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#sébastien côté
l3r40l · 5 months
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Just shouldn't have worn a jacket in the heat
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itsohh · 1 year
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R6S VALENTINES DAY CARDS: JTF2
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frostysdarkzone · 6 months
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Sexy lumberjack Buck coming soon!
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nervy-nerva · 6 months
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CAN 2024 : Sébastien Désabre dévoile les ambitions des Léopards
Le sélectionneur-manager des Léopards de la RDC, Sébastien Désabre a dévoilé les grandes lignes des objectifs de la RDC pour sa participation à la coupe d’Afrique des nations, Côté d’Ivoire 2023, qui ira du 13 janvier au 11 février 2024. C’est sur le plateau de émission Talent d’Afrique de CANAL+ que le technicien français, invité lundi 23 octobre, a livré les objectifs de son équipe. «Notre…
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aurevoirmonty · 2 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française.
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
📌 CYBER – Des nouvelles cyberattaque pro-russes contre la France Avec @emiliebrouss, @ericbrunet et @cyberguerre C’est en ce moment sur #LCI #La26 ⤵️ pic.twitter.com/anUTXNa6wZ — LCI (@LCI) March 11, 2024
Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
Démocratie Participative
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homomenhommes · 6 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 19
Avec Marc, je discute de mes nouvelles fonctions de " coaching ". Il aime bien que je lui raconte mes " aventures extérieures ". Après lui avoir expliqué que la demande du boss est simple, sport puis enculade, je lui raconte le gardien et lui passe sur son PC l'enregistrement que j'avais récupéré sur ma clé. Sans que j'ai besoin de lui dire, il me demande l'age du gardien. Je lui dis, le décris et lui avoue que nous avons fait un bon 69 avec ses 19cm. Je lui dis aussi que j'ai décroché, en conseil de muscu, un jeune cadre tout mignon qui s'avère être l'un des préférés du boss. Je lui brosse son portrait. Il me demande combien il est monté, ça, je ne le sais pas, j'ai juste vu que sous la douche son sexe pendouillait d'environ 12/13 cm. Marc me dit que en érection il devrait atteindre les 19/20 cm sans soucis.
Je lui dis que j'aimerais assez me le faire. Marc me traite alors d'obsédé sexuel. Je lui dis que c'est de sa faute, car avant de le connaître je me comportais en bon hétéro avec des goûts et des envies simples.
Toutes ces considérations l'ayant bien chauffé, je sens sa bonne bite grossir sous le jeans. Je la libère rapidement et me penche pour avaler sa queue avant qu'elle ne soit complètement déployée. J'aime la sentir grossir dans ma bouche et écarter mes mâchoires. Il me prend la tête entre ses mains et imprime le rythme qu'il désire. À moi de faire attention à ce que mes dents ne le blessent pas et de bien régler ma respiration en fonction de son passage dans ma gorge.
Il adopte un rythme lent, mais complet qui me met le nez dans sa toison quand le gland se fiche derrière ma pomme d'Adam, ses 22 ;cm enfoncés en moi. Je sens son excitation monter, ses coups de reins deviennent plus saccadés. Il stoppe brusquement pour faire retomber la pression. Il me relève et me plie sur le dossier d'un canapé. J'écarte les jambes pour lui dévoiler mon trou palpitant d'envie de se faire prendre. Il se penche pour me le bouffer et à grands coups de langue pousse sa salive dedans. Il se redresse et immédiatement son gland remplace sa langue. Il le pousse doucement, entrant millimètre par millimètre ses 22cm, un vrai supplice. Avec un bon coup de cul, j'absorbe les 5 derniers centimètres et me ramasse une fessée magistrale pour m'apprendre à être patient ! Accroché au canapé, je me fais limer comme une reine, les grands coups de piston alternant avec de petits pilonnages en règle. Ses mains crochetées à mon bassin, il domine complètement la possession de mon trou. Ayant compris la leçon, je ne me risque plus à vouloir diriger le débat.
Il me redresse et me tourne la tête pour me rouler une pelle. Puis ses bras me ceinturant, il me mord l'épaule alors qu'il jute dans mon cul. Je pousse un hurlement, car il y a été franchement, et je récolte les marques de sa dentition pour un bout de temps ! De mon côté je largue tout dans ma main et la lèche pour ne rien perdre.
Le samedi arrive ou je dois conseiller Sébastien. J'arrive à 9 h -1/4 à la surprise du gardien qui me laisse passer. Je rejoins directement le vestiaire et me change tranquillement en attendant le jeune cadre. Il arrive alors que je suis encore à poil et que j'enfile un jock strap. Alors qu'il se déshabille à son tour, il me demande ce qu'est ce " slip ". Je m'approche alors de lui, baisse mon short pour qu'il puisse le voir de plus près et lui explique la philosophie du suspensoir.
En fin d'explication, je pince le tissu de la poche entre deux doigts et l'écartant de mes couilles lui propose de toucher la texture antitranspirante. Il glisse ses doigts et entre en contact avec mes couilles rasées. Il s'écarte brusquement en rougissant. Je remonte mon short et comme il finit de se changer, l'emmène dans la salle de sport. 10 ;mn de vélo et nous voilà bien chaud pour les exercices.
Nous passons quelques appareils en revue et je corrige une ou deux positions posant naturellement les mains sur son corps afin de le guider. Bon ! c'est sûr mes mains restent un peu plus longtemps que nécessaire, mais il ne me repousse pas. La séance continue sur le même régime et même quand la position est bonne, je pose mes mains sur les muscles travaillés pour apprécier l'intensité de l'effort. Ses pecks au développé couché, ses dorsaux au tirage poitrine, ses cuisses.. Tous y passent. Lorsqu'à la fin il fait ses abdos, ma main sur son ventre provoque en lui une érection incontrôlable qui finit par déformer son short. Je fais comme si rien ne se passait et continue à compter sous mes doigts les carrés de sa " tablette de chocolat ".
10 h -1/4, je le pousse vers les vestiaires et nous allons nus à la douche. Il est vraiment pas mal, 1,80m pour 70Kg environ, châtain court, peu poilu (la bite et quelques poils sur les pecs), musclé sec avec de superbes yeux verts. Sa raideur ne l'a pas quitté alors que nous glissons sous les jets. Il me demande pourquoi je rase mes couilles et ce que je fais au reste pour que seule subsiste une ligne entre ma bite et mon nombril. Je lui dis qu'en général mes partenaires préfèrent les couilles rasées, car de longs poils dans la bouche quand tu les bouffes c'est pas très agréable et que pour le reste c'est juste une question d'esthétisme.
Il me dit alors qu'il me trouve super musclé pour mon age (lui ne doit avoir que 5 ans de plus que moi maxi !). Nous nous savonnons chacun de notre côté. Avisant une large zone de son dos sans savon, je me rapproche et y étale mon gel douche de la main droite, la gauche posée sur son épaule gauche l'empêche de s'écarter. Après un sursaut de surprise, il se laisse faire, appréciant le massage de ses dorsaux et lombaires (ma main ayant tendance à descendre vers les fesses, une question de gravité comme dirait Newton).
Je passe à la vitesse supérieure, il m'énerve à bander ! je le plaque sur la vitre de séparation douches/vestiaire et dans le même temps, je glisse ma main entre ses belles fesses rondes et enfonce deux doigts savonneux dans son anus. Je maîtrise son sursaut de ma main posée sur son épaule et rapidement atteint la prostate avec mes doigts enfoncés en lui. À ce moment-là, il se fige. Je masse la glande du bout des doigts. Il se met à frissonner sous les jets brûlants qui nous arrosent et éjacule dans un grognement sourd une bonne quantité de sperme sur le verre. Je le fais pivoter et sans lui demander son avis plonge ma langue dans sa bouche pour lui rouler une pelle magistrale. Encore sous l'abrutissement dû à l'orgasme, il se laisse faire et j'en profite. Quand je sens sa langue attaquer la mienne, je me dis que c'est gagné. Je me décolle, il me sourit en me disant que c'est la première fois qu'il a joui comme ça ! on finit la douche et alors qu'on se rhabille, il me tend sa carte de visite sur laquelle il note son tel perso en me disant de le rappeler.
J'ai juste le temps de l'enfouir dans ma poche que notre boss arrive. Alors que Sébastien va pour sortir, il l'interpelle pour savoir si son cours s'était bien passé. Seb le remercie de bien avoir voulu lui prêter son coach car il avait fait des progrès inattendus. Sous son regard interrogatif, je confirme qu'il avait eu besoin de rectifier quelques positions, ce qui lui permettrait maintenant d'être plus performant. Sur ces propos il nous quitta et je pus commencer à m'occuper du boss.
4 tours de piste, réalisés plus facilement que la semaine précédente et nous sommes de retour au gymnase pour les exercices de muscu. Comme il souhaite plutôt développer le haut de son corps, je m'attache à lui faire soulever ou tirer de la fonte au développé couché ou à la poulie. Pendant les moments de récupération, il essaye de me tirer les vers du nez concernant son jeune cadre. Je lui dis juste que je l'avais trouvé sympathique, sérieux et bien foutu musculairement parlant, écoutant bien les conseils. Alors qu'il me disait en avoir assez pour ce matin là, je lui demandais quand même de finir par deux séries d ;"abdos.
Alors que je me mettais nu dans le vestiaire pour aller aux douches, je le vis faire de même. Je lui demandais alors pourquoi et il me dit qu'il y avait des travaux dans sa salle de bain privée. Sous les douches, je lui demandais de me frotter le dos. Il s'y mit et cela ressemblait plus à un massage qu'à un savonnage. Doucement il dériva vers mes abdos, mes pecks, me faisant bander comme un âne. L'eau qui coulait nous rinçait en permanence. Brusquement, je lui ai appuyé sur la tête pour le mettre à genoux devant l'objet de son désir. Aussitôt, il m'avala le gland puis le reste de ma bite. En posant mes mains de chaque côté de sa tête, j'ai maîtrisé la vitesse et la profondeur de la pipe. Je suis resté une bonne demi-heure à me faire téter la bite. À la fin alors qu'il était couché sur le dos, je faisais des pompes en sens inverse pour bien enfouir mon gland au fond de sa gorge. J'aime cette position où il n'est plus qu'un trou à plaisir.
Je calme mon excitation et nous sortons des douches. Je le place sur un banc de dos, lui relève les jambes plaçant ses pieds sur mes épaules, lui écarte les fesses et plonge mon gland enkpoté dans son anus. Bien excité, son trou commençait à s'ouvrir et la lubrification de la kpote suffit pour me frayer le passage. Doucement j'ai entré mes 20 ;cm bien serré tout au long de ma progression. Il a placé ses mains sous ses cuisses et tirant vers lui, a écarté encore plus les fesses me permettant d'y aller franchement. Je me suis penché vers lui, mon nez à 10 ;cm du sien, j'ai pu voir, sur son visage, les effets de chacun de mes coups de buttoir dans son cul. Plongé au plus profond de son cul, il arborait une expression de plénitude, chaque passage de mon gland sur sa prostate lui tirait un gémissement. Après l'avoir retourné, le fixant par les hanches j'ai pu accélérer le mouvement. Peu de temps a suffi pour le faire juter sur le banc alors que je remplissais la kpote, bien enfoui au fond de son cul. ;
Une deuxième douche pour ôter le voile de sueur provoqué par l'effort et j'ai revêtu mon cuir pendant qu'il rejoignait son bureau. Je le suivais peu de temps après. Sa secrétaire me donna mon salaire et excusa son boss. J'ai compris que je n'étais qu'un prestataire comme un autre (sauf en ce qui concerne second sujet de mon job !). Cette façon me convenait particulièrement bien, ce détachement me permettant de faire ce que je veux de mon côté avec ses collaborateurs ! Mon passage au poste de garde me prit plus de temps. En effet j'avais promis au gardien de passer à la vitesse supérieure. À mon arrivée, nous avons commencé par copier les enregistrements sur ma clef et à les effacer du PC.
Le mec me prévient qu'il ne dispose que de 3/4 heure avant la relève. Je le pousse alors dans l'arrière-salle et lui attrape le paquet bien gonflé par la vision des deux baises successives. Il me demanda si je comptais aller plus loin avec le jeune mec. Je lui dis oui. J'avais baissé la fermeture éclair de ma combi moto. Il tomba à genoux pour me sucer. Bien mieux que la fois dernière, penché par-dessus son dos, je glissais ma main le long de sa colonne vertébrale et pénétrant par l'entrebâillement de la ceinture je pus poser mes doigts sur sa rondelle. Cette position lui enlevait toute possibilité de retrait et j'ai pu copieusement lui bourrer la gueule. Je l'ai relevé, impatient et de lui-même, il a descendu pantalon et slip d'un seul geste. Je le retournais et le pliais sur la petite table, mes doigts pleins de salive ont vite trouvé le chemin de son petit trou. Un premier passa tout seul. Je lui crachais sur l'oignon pour pouvoir en entrer un deuxième. Bien que partant pour l ;"expérience, il était un peu tendu et je mis du temps à faire pénétrer mon index à côté du majeur.
Le minutes passaient et j'ai vu que je n'aurais pas le temps de l'enculer. J'ai donc joué des doigts, les faisant aller et venir, tourner jusqu'à ce qu'il jute en se retenant de crier. Vite fait nous avons remis tout en place, vêture et coup d'éponge, plus de traces et je quittais juste le poste quand son collègue est arrivé. Nous avions eu chaud !
JARDINIER
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jc-en-chemin3 · 1 day
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Le 25 avril de Bilbao à Pobena 25 km.
Hier soir repas indien en solitaire pour la première fois depuis mon départ et finalement cela fait du bien d'être tranquille.
Longeant le Nervion jusqu'à l'embouchure et le grand port j'ai pu admirer le musée Guggenheim sous un angle qui montre sa grandeur.
C'est donc d'un cœur joyeux que j'ai quitté Bilbao ce matin quand vint s'offrir à moi un petit bonheur supplémentaire avec un appel vidéo WhatsApp d'une petite fille qui s'appelle Nefeli.
Ce Papé gaga de ses deux trésors avait du coup une réserve d'énergie décuplée.
Pour traverser juste avant le port on monte dans un petit bac suspendu et on se retrouve à grimper de l'autre côté à Portugalete.
Ce sera la montée la plus facile de mon chemin car il y a des tapis roulants.
À la sortie j'ai retrouvé Sébastien avec qui j'ai marché hier et nous avons fini l'étape ensemble.
Ce soir albergue municipale pas de confort mais c'est cool.
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lepartidelamort · 2 months
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« L’Ukraine a perdu… nous avons une armée de majorettes à côté des Russes » indique un rapport secret de l’armée française
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Mourir sous les ordres d’une fiotte, ça donne le vertige
L’armée française a fait fuiter un rapport sur l’état du front ukrainien.
La guerre est perdue pour l’Ukraine.
Marianne :
Quelle mouche a piqué le président au moment d’envisager l’envoi de troupes en Ukraine ? Plusieurs rapports confidentiels défense expliquent « l’affolement » de l’Élysée, où les chefs de partis sont invités ce jeudi 7 mars à évoquer la question. Sur le front, les Russes sont en position de force. Fallait-il pour autant, face à Poutine, brandir une menace intenable ? En n’excluant pas d’envoyer des troupes en Ukraine, Emmanuel Macron a provoqué un tollé en Europe et écopé d’un désaveu américain. Plusieurs militaires français, interrogés par Marianne, disent, eux, être « tombés de l’armoire ». « Il ne faut pas se leurrer, face aux Russes, on est une armée de majorettes ! », raille un haut gradé, persuadé que « l’envoi de troupes » françaises sur le front ukrainien ne serait tout simplement « pas raisonnable ». À l’Élysée, on assume la position : « Le président voulait lancer un signal fort », glisse un conseiller, reprenant la formule « de propos millimétrés et calibrés ».
Au ministère des Armées, dans l’entourage de Sébastien Lecornu, on défend la parole présidentielle : « L’état des forces en Ukraine est très préoccupant. Les propos du président appellent à un sursaut et montrent qu’on est à un tournant. » Comment en est-on arrivés là ? Plusieurs rapports confidentiels défense, que Marianne a pu consulter, évoquent une « situation critique ». Explication en trois constats, bien loin des discours officiels. Premier constat : une victoire militaire ukrainienne semble désormais impossible. Pendant des mois, les chancelleries européennes ont voulu croire que la contre-offensive de Kiev du printemps 2023, appuyée par du matériel occidental, allait renvoyer l’armée russe à Moscou. Rédigés cet automne, les « retex » (retours d’expérience) de l’opération sont accablants. « Elle s’est progressivement enlisée dans la boue et le sang et ne s’est soldée par aucun gain stratégique », écrit un rapport confidentiel défense sur « l’échec de l’offensive ukrainienne » auquel Marianne a eu accès. En amont, la planification, imaginée à Kiev et dans les états-majors occidentaux, s’est révélée « désastreuse ». « Les planificateurs pensaient que dès que les premières lignes de défense russes seraient franchies, l’ensemble du front s’effondrerait […] Ces phases préliminaires fondamentales ont été faites sans tenir compte des forces morales de l’ennemi en défensif : c’est-à-dire la volonté du soldat russe de s’accrocher au terrain », constate ce rapport évoquant « la faillite de la planification » du camp occidental. Autre leçon, l’insuffisance de la formation des soldats et des cadres ukrainiens : « Les brigades nouvellement constituées l’ont essentiellement été sur le plan administratif » et les formations n’ont pas duré plus de trois semaines. Faute de cadres et d’un volume de vétérans significatif, ces « soldats de l’an II » ukrainiens ont été lancés à l’assaut « d’une ligne de fortification russe qui s’est avérée inexpugnable ». Sans aucun appui aérien, avec du matériel occidental disparate et moins performant que l’ancien matériel soviétique (« vétuste, facile d’entretien, et apte à être utilisé en mode dégradé », mentionne le rapport), les troupes ukrainiennes n’avaient aucun espoir de percer.
Les Russes font des armes pour faire la guerre, l’OTAN pour faire des bénéfices.
Cela a forcément un impact sur le champ de bataille.
Ajoutons « l’archidomination russe dans le domaine du brouillage électronique pénalisant, côté ukrainien, l’utilisation de drones et les systèmes de commandement ». « L’armée russe est aujourd’hui la référence “tactique et technique” pour penser et mettre en œuvre le mode défensif », écrit le rapport. Non seulement Moscou dispose d’engins lourds du génie lui ayant permis de construire des ouvrages défensifs (« absence presque totale de ce matériel côté ukrainien, et impossibilité des Occidentaux d’en fournir rapidement ») mais les 1 200 km de front, dits ligne Sourokovine (du nom d’un général russe), ont été minés dans des proportions énormes (7 000 km de mines).
Les généraux occidentaux, tout particulièrement américains, sont des idiots. N’importe qui pouvait anticiper un tel désastre, mais leur arrogance a été plus forte.
Les paysans de Zelensky n’ont jamais pu atteindre la seconde ligne de défense russe malgré plus de 5 mois d’offensive.
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Un nombre effrayant d’hommes ont été envoyés à la mort par Zelensky pour rien, mais la mafia de Kiev est déterminée à en faire tuer beaucoup plus pour le même résultat.
Autre constatation, « les Russes ont aussi su gérer leur troupe de réserve, pour garantir l’endurance opérationnelle ». Selon ce document, Moscou renforce ses unités avant leur usure complète, mélange les recrues à des troupes aguerries, ménage des périodes de repos à l’arrière régulières… et « a toujours eu un réservoir de force cohérent pour gérer les imprévus ». On est bien loin de l’idée répandue à l’ouest d’une armée russe envoyant ses troupes à la boucherie sans compter… « À ce jour, l’état-major ukrainien ne dispose pas d’une masse critique de forces terrestres aptes à la manœuvre interarmées à l’échelon du corps d’armée capables de défier leurs homologues russes en vue de percer sa ligne défensive », conclut ce rapport confidentiel défense, selon lequel « la plus grave erreur d’analyse et de jugement serait de continuer à rechercher des solutions exclusivement militaires pour arrêter les hostilités ».
Un gradé français résume : « Il est clair, au vu des forces en présence, que l’Ukraine ne peut pas gagner cette guerre militairement. »
C’est justement ce moment qu’a choisi Macron pour rechercher une solution militaire.
Deuxième constat : le conflit est entré dans une phase critique en décembre. Selon nos sources militaires à Paris, l’armée ukrainienne est passée, contrainte et forcée, en mode défensif. « La combativité des soldats ukrainiens est profondément affectée », mentionne un rapport prospectif sur l’année 2024. « Zelensky aurait besoin de 35 000 hommes par mois, il n’en recrute pas la moitié, alors que Poutine pioche dans un vivier de 30 000 volontaires mensuels », constate un militaire rentré de Kiev.
C’est la partie la plus importante de ces informations. Les Russes détruisent environ 400,000 soldats ukrainiens par an, un rythme qui va s’accélérer compte tenu de l’affaiblissement qualitative et quantitative de l’armée ukrainienne.
Aujourd’hui, Zelensky dispose de 700 à 800,000 hommes. Dans 6 mois, ce sera 500 ou 600,000 hommes et d’ici à l’hiver 2024, ce sera 400,000. À l’inverse, les Russes ajouteront près de 500,000 hommes sur le front en 2024. Ces deux courbes, en se croisant, vont amener la rupture du front quelque part d’ici au printemps, voire à l’été.
La rupture du front à Avdivka est symptomatique. Cette place forte était censée être imprenable.
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Maintenant qu’elle est tombée, les Ukrainiens n’ont pas de seconde ligne défensive et ils doivent en créer une à la hâte, ce qui les pousse à jeter dans la brèche leurs maigres réserves. Ces unités, engagées à terrain découvert pour ralentir les Russes, sont rapidement détruites, mais cela permet de gagner du temps pour reconstituer une ligne en arrière du front qui recule. Les Ukrainiens sacrifient leurs meilleures unités dans cette opération et cela se ressentira lors de l’inévitable offensive russe du printemps ou de l’été.
En matière de matériel, la balance est tout aussi déséquilibrée : l’offensive ratée de 2023 aurait « tactiquement détruit » la moitié des 12 brigades de combat de Kiev. Depuis, l’aide occidentale n’a jamais été aussi basse. Il est donc clair qu’aucune offensive ukrainienne ne pourra être mise sur pied cette année. « L’Occident peut fournir des imprimantes 3D pour fabriquer des drones ou des munitions rôdeuses, mais ne pourra jamais imprimer des hommes », constate ce rapport. « Compte tenu de la situation, il a pu être envisagé de renforcer l’armée ukrainienne, non pas en combattants, mais avec des forces d’appui, à l’arrière, permettant de libérer les soldats ukrainiens pour le front », admet un haut gradé, confirmant une « montée en puissance » de militaires occidentaux en civil. Même si deux wagons américains, vraisemblablement utilisés par la CIA, sont accrochés au train qui fait la liaison quotidienne entre la Pologne et Kiev, le camp occidental n’admet qu’à moitié la présence de forces spéciales en Ukraine. « Outre les Américains, qui ont autorisé le New York Times à visiter un camp de la CIA, il y a pas mal de Britanniques », glisse un militaire, qui ne dément pas la présence de forces spéciales françaises, notamment des nageurs de combat pour des missions de formation… Troisième constat : le risque de rupture russe est réel. C’est la dernière leçon en date du front ukrainien, qui donne des sueurs froides aux observateurs de l’armée française. Le 17 février, Kiev a dû abandonner la ville d’Avdiïvka, dans la banlieue nord de Donetsk, qui faisait figure jusque-là de bastion fortifié. « C’était à la fois le cœur et le symbole de la résistance ukrainienne dans le Donbass russophone », souligne un rapport sur la « bataille d’­Avdiïvka », tirant une série de leçons accablantes. « Les Russes ont changé leur mode opératoire en compartimentant la ville, et surtout en utilisant pour la première fois à grande échelle des bombes planantes », constate ce document. Quand un obus d’artillerie de 155 mm transporte 7 kg d’explosif, la bombe planante en projette entre 200 et 700 kg et peut donc percer des ouvrages bétonnés de plus de 2 m. Un enfer pour les défenses ukrainiennes, qui auraient perdu plus de 1 000 hommes par jour.
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Stupides goyim !
De plus, les Russes utilisent des réducteurs de son sur les armes légères d’infanterie afin de déjouer les systèmes de détection acoustique sur le terrain. « La décision de repli des forces armées ukrainiennes a été une surprise », constate ce dernier rapport, soulignant « sa soudaineté et son impréparation », faisant craindre que ce choix ait été « plus subi que décidé par le commandement ukrainien », évoquant un possible début de « débandade ». « Les forces armées ukrainiennes viennent tactiquement de montrer qu’elles ne possèdent pas les capacités humaines et matérielles […] pour tenir un secteur du front qui est soumis à l’effort de l’assaillant », poursuit le document. « L’échec ukrainien à Avdiïvka montre que, malgré l’envoi en urgence d’une brigade “d’élite” – la 3e brigade d’assaut par air Azov –, Kiev n’est pas capable de rétablir localement un secteur du front qui s’effondre », s’alarme ce dernier rapport. Reste à savoir ce que les Russes feront de ce succès tactique. Continueront-ils sur le mode actuel « d’un grignotage et d’un ébranlement lent » de l’ensemble de la ligne de front ou chercheront-ils à « percer dans la profondeur » ? « Le terrain derrière Avdiïvka le permet », signale ce document récent, avertissant aussi que les sources occidentales ont tendance à « sous-estimer » les Russes, eux-mêmes adeptes de la pratique de la « Maskovkira », « consistant à paraître faible quand on est fort ». Selon cette analyse, après deux ans de guerre, les forces russes ont donc montré leur capacité à « développer une endurance opérationnelle » qui leur permet de mener « une guerre de lente et longue intensité basée sur l’attrition continue de l’armée ukrainienne ». Un constat pessimiste pour la suite. Est-ce cette situation stratégique nouvelle, où l’armée russe semble en position de force face à une armée ukrainienne à bout de souffle, qui a conduit Emmanuel Macron, « en dynamique », comme il l’a glissé, à envisager des renforts de troupes ? Une perspective réaliste face à la situation opérationnelle du moment, qualifiée de « critique » par des observateurs de terrain. « Mais ce qui peut paraître réaliste d’un strict point de vue tactique peut se révéler irréaliste d’un point de vue stratégique et diplomatique », soupire un gradé français.
Macron va nous entraîner dans ce désastre, c’est l’évidence. Si le front s’effondre, l’OTAN déploiera ses unités à l’ouest du Dniepr, comme les USA et la France l’ont fait en Syrie. La perte d’Odessa serait un désastre irréparable stratégiquement pour l’Ukraine qui n’aurait plus d’accès à la mer. C’est sûrement sur cet axe que Macron déploierait des troupes françaises.
En attendant, le gouvernement de Macron poursuit sa campagne d’intoxication, à la fois pour en faire le thème de sa campagne, et pour justifier l’intervention.
Hier, sa clique a organisé une grossière opération d’intoxication.
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Les Ukrainiens n’auraient jamais dû suivre la juiverie occidentale, à présent ils en paient le prix fort. Les juifs les feront tuer jusqu’au dernier avant d’envoyer d’autres goyim mourir à leur place.
L’état-major français doit contempler avec frayeur l’engrenage que Macron veut déclencher. Faire la guerre le cul assis sur le plateau de LCI c’est une chose, la faire en vrai est en une autre.
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raisongardee · 2 months
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"On peut aussi choisir des amis néfastes pour d’autres raisons. Parfois pour les secourir. C’est plus courant avec les jeunes, même si cette volonté continue à exister chez des personnes plus âgées trop gentilles, crédules ou qui ferment obstinément les yeux. On pourrait m’objecter : "Il est tout naturel de voir le bon côté des gens. Le désir d’aider son prochain est la plus grande des vertus." Mais ce n’est pas parce qu’on a échoué qu’on est une victime. Et ce n’est pas parce qu’on a touché le fond qu’on a envie de remonter, même si c’est le cas de beaucoup d’entre eux et qu’une grande partie y parviennent. Néanmoins, on accepte souvent sa souffrance, et il arrive même qu’on l’amplifie. Ainsi que celle des autres, s’il est possible de la brandir comme la preuve de l’injustice du monde. Les oppresseurs ne manquent pas parmi les opprimés, même si, compte tenu de leur modeste position, nombre d’entre eux ne sont que des aspirants tyrans."
Jordan B. Peterson, 12 règles pour une vie. Un antidote au chaos, trad. Sébastien Baert, 2019.
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l3r40l · 1 year
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🌈🌈🌈
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glacialispictorem · 6 months
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Buck and Frost decides to dine out with a few friends... and these friends happen to be Captain-freaking America and Loki.
This is grounds for probably the most awkward table conversation ever lol... and the word of Cap dining in this diner spread like fire so fast that the place got so booked.
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affairesasuivre · 1 year
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Surprise, Metronomy s’offre une nouvelle version de “Love Factory” avec Katy J. Pearson
Le morceau figure sur une réédition de “Small World”, le septième disque de la bande de Joseph Mount sorti en février dernier. Un nouveau disque prévu pour le 29 novembre prochain.
Huit mois après l’arrivée de Small World, un septième album lumineux sur lequel ne figure qu’un seul feat, Hold Me Tonight, avec Porridge Radio, Metronomy prend son disque à revers et prépare une réédition uniquement composée de collaborations. Pour amorcer les festivités, Joseph Mount et sa bande revisitent  Love Factory aux côtés de Katy J. Pearson, révélée avec le très beau Return, son premier album sorti en 2020. 
Dans un communiqué, Katy J. Pearson confie :“Je suis une grande fan de Metronomy depuis longtemps, leur musique a eu une grande influence sur la mienne. J’allais à Bristol pour les voir jouer lorsque j’étais adolescente, leurs concerts étaient si joyeux. De la musique pop, brillamment intelligente. J’ai d’ailleurs rencontré Joe après l’un de leurs concerts à Bristol et nous avons discuté. Après cette rencontre, on m’a demandé de retravailler Love Factory pour l’édition spéciale de leur album Small World. J’en étais très heureuse car il s’agissait de ma chanson préférée sur le nouvel album. Elle esttellement belle !”. Elle poursuit :“Je suis très flattée et honorée d’avoir la chance d’y apporter ma propre touche. Je voulais la réduire à l’essentiel et en faire un duo sensible. J’écoutais beaucoup de Nancy Lee et Lee Hazlewood à l’époque, alors en faire un duo pop m’a semblé très amusant”.
Préparez-vous car, chez Metronomy, l’heure est aux duos. Sébastien Tellier, Bolis Pupul, Jessica Winter ou encore PPJ font partie du casting de luxe réuni sur la réédition de Small World. Des surprises paveront donc peu à peu le chemin jusqu’à fin novembre. On a hâte !
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jpbjazz · 4 days
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LÉGENDES DU JAZZ
OLIVER JONES, SUR LES TRACES D’OSCAR PETERSON
“There was a lot of hullabaloo surrounding Charlie and myself. Anything pertaining to jazz, we were asked to do. I’d made my first recording. Truthfully, I was in a state of shock, because when you dream something for 30 years…”
- Oliver Jones
Né le 11 septembre 1934 dans le quartier ouvrier de la Petite-Bourgogne à Montréal, Oliver Theophilus Jones est le fils de parents originaires de la Barbade. Le père de Jones était mécanicien dans l’industrie des chemins de fer, et avait travaillé pour la Canadian Pacific Railways durant trente-sept ans. Au début, le père de Jones avait voulu que son fils devienne comptable, mais il n’avait vraiment aucune aptitude pour les mathématiques. Jones expliquait: ‘’For some reason, my dad wanted me to be an accountant. However, I was so poor at math that my parents had to hire a tutor for me. So my future as an accountant didn’t look very bright.’’
Jones avait commencé à apprendre le piano classique à l’âge de cinq ans. Le père de Jones était d’ailleurs un grand amateur du répertoire religieux de Jean-Sébastien Bach. Même si le père de Jones avait échoué dans sa tentative de faire de son fils un comptable, il était très fier de sa réussite comme pianiste. Jones précisait: ‘’My father liked to take credit for my musical ability, although it was my mother and her two sisters who travelled around the Carribean, performing as singers with their father. My grandfather was also a high school principal and a minister.’’
Même si Jones n’avait peut-être pas choisi un métier très lucratif, cela n’avait pas empêché son père de lui avoir inculqué une solide éthique de travail. Jones poursuivait: ‘’When I quit high school, my father insisted that I work during the week - even though I was playing music on the week-ends. I’d made $16 - $17 for five days’ work during the week in a dress factory, and then go {to} make 100$ playing in a club on the weekend. When I first started playing in the clubs - the first person I saw in the audience was my father.’’
Jones avait d’abord étudié le piano avec une certaine Mme Bonner de la Union United Church, une église rendue célèbre par la Montreal Jubilation Gospel Choir de Trevor W. Payne. À partir de l’âge de huit ans, Jones avait poursuivi ses études musicales avec la soeur d’Oscar Peterson, Daisy Peterson Sweeney, qui lui avait enseigné la théorie et la composition de 1959 à 1960. Au début, Jones, qui adorait le baseball comme tous les jeunes de son âge, n’avait pas pris ses études musicales très sérieux. C’est alors qu’il avait été sévèrement réprimandé par son ami Oscar. Comme Jones l’avait expliqué plus tard, ‘’I liked to play baseball with the other neighbourhood kids, and one day I was a little late for my lesson. Oscar admonished me - saying that I’d have to take my lessons and practice time more seriously if I hoped to be successful in music.’’
Jones, qui avait grandi à quelques pâtés de maison de Peterson, était également devenu son protégé et ami. Enfant prodige, Jones était si doué que dès l’âge de trois ans, il pouvait interpréter les airs qu’il avait entendus une seule fois à la radio. Comme plusieurs musiciens de jazz, Jones avait fait ses débuts à l’église, notamment en se produisant aus côtés de ses parents à l’Union United Church. Il avait également joué dans les hôpitaux, les danses et les spectacles de variétés. Jones confirmait: "I did a lot of that, I won a lot of insignificant prizes doing that."
À l’âge de seulement neuf ans, Jones avait fait sa première performance publique dans un club dans le cadre d’une prestation en solo au Café Saint-Michel. Jones expliquait: "I had a trick piano act, dancing, doing the splits, playing from underneath the piano, or with a sheet over the keys." Durant cette période, Jones s’était également produit dans d’autres clubs et théâtres de la région de Montréal comme le Rockhead’s Paradise (1963). Dans une autre entrevue, Jones avait commenté: "It was fun, it was amusing and I had done it for quite a few years. But up until the time that I was 17 or 18, I really didn't take it seriously. I didn't think of it as being a step to becoming a pro musician, and especially a jazz musician. That was unheard of, other than Oscar and a few others who really had the talent."
DÉBUTS DE CARRIÈRE
Jones avait amorcé sa carrière professionnelle en participant à une tournée au Vermont et au Québec avec le groupe Bandwagon. De 1953 à 1963, Jones s’était produit principalement dans la région de Montréal, tout en faisant des tournées un peu partout au Québec avec des artistes comme Richard Parris, Al Cowans et Allan Wellman. C’est dans le cadre de son séjour au Rockhead’s Paradise en 1963 que Jones avait été découvert par le chanteur de calypso jamaïcain Kenny Hamilton, qui l’avait engagé comme directeur musical. Au début, le groupe de Hamilton avait obtenu un contrat d’une durée de quatre mois au Americana Hotel de San Juan, à Puerto Rico. Après la Révolution cubaine, les clubs et les casinos de l’île avaient été relocalisés à Puerto Rico, qui avait alors connu une sorte de renaissance. Jones  précisait: "It was a wonderful time. Puerto Rico was really starting to flourish, so I was there during that heyday." Le groupe avait même fait des tournées internationales avec Bob Hope.
Jones s’était finalement installé à Puerto Rico avec sa femme et son jeune fils en 1964. Le groupe de Hamilton se produisait principalement dans les Caraïbes, mais faisait aussi de nombreuses tournées aux États-Unis, ce qui avait permis à Jones de travailler avec plusieurs chanteurs et de rencontrer de nombreux musiciens. Il avait également commencer à écrire des arrangements pour des chanteurs et des danseurs. En fait, Jones faisait tellement d’argent à l’époque qu’il avait pu s’acheter une maison à Puerto Rico. Tout en interprétant principalement des chansons du Hit Parade, Jones avait aussi commencé à développer un grand intérêt pour le jazz. Après le travail, Jones se rendait d’ailleurs régulièrement dans les clubs de jazz pour écouter les plus grands noms de l’époque.
Retourné à Montréal en 1980, Jones se remettait d’une opération à l’oeil droit lorsqu’il avait été visité dans sa chambre d’hôpital par le contrebassiste montréalais Charles Biddle qui lui avait proposé de former un duo. Jones expliquait: ‘’During that visit, Charlie told me that he needed a pianist, because my friend, the late Sean Patrick, was going back to teaching.’’ Après avoir hésité un long moment car il n’avait pas joué de jazz depuis un certain temps, Jones a finalement a ccepté l’offre de Biddle et avait commencé à se produiredans les clubs locaux et les hôtels de Montréal.
Jones se produisait avec Biddle depuis environ un an lorsque ce dernier avait décidé d’ouvrir un club sur la rue Aylmer, le Biddle’s Jazz and Ribs. Devenu très populaire, le club (devenu aujourd’hui la House of Jazz) attirait de nombreux amateurs. Décrivant cette période de sa carrière, Jones avait commenté: "It was the first time that I really had the opportunity to play jazz on a regular basis." De 1981 à 1986, Jones était d’ailleurs devenu le pianiste attitré du club. En 1981, Jones s’était également produit dans le cadre de la seconde édition du Festival international de jazz de Montréal, qui comprenait notamment des artistes comme Tom Waits, Dizzy Gillespie et Dave Brubeck. Très attaché à Montréal, Jones s’était produit au festival à chaque année jusqu’en 1999, se permettant même de participer à l’ouverture et à la clôture de l’événement à sept occasions ou de jouer en première partie de grandes vedettes comme Sarah Vaughan et Art Blakey. En 1985, Jones a d’ailleurs enregistré un album en duo avec Biddle dans le cadre du même festival.
C’est en se produisant dans le club de Biddle que Jones fut finalement remarqué par le producteur Jim West, qui était sur le point de fonder les disques Justin Time. Décrivant sa réaction lorsqu’il avait entendu Jones jouer, West avait déclaré: "I went to have dinner at Biddle's, and I was with my wife and another couple, but I wasn't paying attention to them at the table. I was listening to the music. I was fascinated. I couldn't believe how good it was."
West avait d’abord proposé à Jones d’enregistrer un album solo, mais ce dernier n’étant pas encore tout à fait prêt à prendre toute la place, il a plutôt proposé d’enregistrer un album en trio avec Biddle et le batteur Bernard Primeau. Jones poursuivait: “There was a lot of hullabaloo surrounding Charlie and myself. Anything pertaining to jazz, we were asked to do. I’d made my first recording. Truthfully, I was in a state of shock, because when you dream something for 30 years…”
C’est d’ailleurs Jones qui avait enregistré le premier album publiéde la nouvelle étiquette Justin Time en 1983. Intitulé ‘’Live at Biddle’s Jazz and Ribs’’, l’album qui était le premier enregistrement de Jones comme leader, mettait également en vedette Biddle à la contrebasse et Bernard Primeau à la batterie. C’est également dans le cadre de cet album que Jones avait expérimenté pour la première fois le jeu en trio qui était devenu par la suite son format de prédilection. Accédant enfin à la requête de West, Jones avait enchaîné l’année suivante avec un premier album solo intitulé ‘’The Many Moods of Oliver Jones.’’ Fort du succès de ces deux premiers albums, Jones avait énormément voyagé autour du monde, parcourant jusqu’à 200 000 miles par année et se rendant aussi loin qu’en Espagne, en Nouvelle-Zélande, en Australie, en Chine, au Portugal et en France.
Devenu de plus en plus populaire tant sur la scène nationale qu’internationale, Jones avait dû de plus en plus espacer ses apparitions au club Biddle. Devenu l’étoile montante du jazz canadien dans les années 1980, Jones avait même devancé le populaire groupe Shuffle Demons. En 1985, Jones avait traversé tout le Canada, faisant des apparitions dans les festivals et les clubs, que ce soit en solo ou en trio avec des musiciens comme Skip Bey, Bernard Primeau, Michel Donato, Skip Beckwith, Dave Young, Steve Wallace, Bernard Primeau, Jim Hillman, Nasyr Abdul Al-Khabyyret Archie Alleyne. Il s’était également produit en Europe. L’année suivante, Jones avait fait une tournée en Australie, en Nouvelle-Zélande et aux îles Fiji. Il a également présenté ses premiers concerts aux États-Unis, notamment au festival de jazz de Newport et dans le cadre d’apparitions au célèbre Greenwich Village de New York.
ÉVOLUTION RÉCENTE
En 1987, Jones a participé à une première tournée européenne d’envergure, notamment dans le cadre de prestations en Grande-Bretagne, en France, en Espagne, en Irlande, en Écosse, au Portugal, en Allemagne et en Suisse. Au cours de cette période, Jones avait également fait des apparitions dans de nombreux festivals de jazz, comme ceux de La Haye et de North Sea en Hollande (1987) de Monterey, en Californie (1988), et au festival JVC de New York (1989). De 1987 à 1989, Jones avait aussi collaboré avec des orchestres prestigieux comme le Symphony Nova Scotia, l’Orchestre métropolitain de Montréal, l’Orchestre symphonique de Québec, l’Orchestre symphonique de Kitchener-Waterloo ainsi que l’Orchestre symphonique de Montréal dans le cadre du Festival international de jazz de Montréal. Poursuivant sa carrière internationale, Jones s’était produit à Cuba et au Brésil en 1988, puis en Égypte, en Côte d’Ivoire et au Nigéria l’année suivante. L’Office national du film du Canada avait éventuellement immortalisé la tournée dans le cadre du documentaire ‘’Oliver Jones in Africa’’ publié l’année suivante. Le film s’était d’ailleurs mérité en 1990 le prix Golden Dukat décerné dans le cadre du Festival du film de Mannheim en Allemagne. La musique de Jones était également en vedette dans le court-métrage ‘’Season of Change’’, qui évoquait la saison que Jackie Robinson avait passée avec les Royaux de Montréal en 1946.  Jones s’était également rendu en Namibie en 1990.
En 1993, Jones avait enregistré un second album solo intitulé ‘’Just 88.’’ Parmi les pièces de l’album, on remarquait deux compositions originales de Jones, ‘’Blues for Laurentian U’’ et ‘’Dizzy-Nest.’’ L’album s’est d’ailleurs mérité un prix Félix en 1994. La même année, à l’invitation du gouvernement canadien, Jones avait présenté une série de concerts en Chine. En 1995, Jones avait publié un premier enregistrement avec grand orchestre intitulé ‘’From Lush to Lively.’’ En 1997, Jones avait enregistré un album en trio intitulé ‘’Have Fingers, Will Travel’’. Enregistré aux studios Capitol de Los Angeles, l’album, qui mettait en vedette le légendaire contrebassiste Ray Brown et le batteur Jeff Hamilton, comprenait des pièces comme MMStreet Of Dreams", "If I Were A Bell" et "My Romance".
Même si Jones avait officiellement annoncé sa retraite le 1er janvier 2000, sa passion pour la musique était demeurée la plus forte. Décrivant les quatre années de sa retraite comme les plus intéressantes de son existence, Jones avait ajouté que cela lui avait laissé de temps d’enseigner à l’Université McGill et au Collège Vanier, en plus d’avoir travaillé comme directeur du Conseil des Arts du Maurier, qui soutenait le développement des arts un peu partout au Canada. Jones expliquait: ‘’I was truly enjoying my retirement. I took up golf at 65, and today I shoot 82-84, and on a good day I can break 80. I bought a house that backs onto a golf course in Florida, and I play at least three times a week. I generally shoot in the low 80s, and on a good day I can break 80. I have a great sense of joy in sharing the game with my son Richard. It’s odd; I lived all those years in Puerto Rico, and never took up golf.’’
C’est finalement André Ménard, le directeur artistique du Festival international de jazz de Montréal, qui avait sorti Jones de sa retraite en 2004. À l’époque, le festival était sur le point de célébrer son 25e anniversaire, et Ménard avait eu l’idée de célébrer l’événement dans le cadre d’un concert en duo à la Place des Arts mettant en vedette Jones et son mentor Oscar Peterson. Reconnaissant envers tout ce que le festival avait fait pour faire avancer sa carrière, Jones n’avait pu refuser. Il expliquait: ‘’The Jazz Festival has been very good to me, and really helped to put Oliver Jones on the map. Even though Oscar and I had been good friends since we grew up a few blocks from each other, we had never performed together.’’ Finalement, le concert avait remporté un tel succès que le carnet de commandes de Jones s’était rempli comme jamais auparavant. Jones poursuivait: ‘’Well... I started getting calls the day after the jazz festival concert. I figured that it might be nice to play 15 to 20 concerts a year. I called my agent, and he called back in a week with 59 different offers, including 40 dates in 2006.’’ Jones avait conclu en riant: ‘’Since then, retirement went out the window.’’ Très satisfait du concert, Ménard avait décrit la performance du duo de la façon suivante: ‘’It was very emotional. Oliver was relieved that it would finally happen, that he would share the stage with Oscar, and he said something very funny. He said, ‘Well, to be on the same stage as Oscar Peterson, for me, is a great feeling, but I wish I had his money.’’
Deux ans après le concert, Jones avait décidé de retourner en studio avec le contrebassiste Skip Bey pour terminer l’album ’’Then and Now’’, qui était resté inachevé en 1986. La même année, Jones était aussi devenu directeur artistique de la section jazz du Festival de musique de chambre de Montréal. En 2005, Jones a enregistré avec sa compagne, la chanteuse Ranee Lee, l’album ‘’Just You, Just Me’’, qui s’était mérité l’éloge du public et de la critique. En 2006, Jones a été en vedette dans le cadre du Festival de musique de chambre d’Ottawa. La même année, il avait aussi été nommé directeur artistique de la House of Jazz (anciennement le club de jazz Biddle’s) à Montréal. Toujours en 2006, Jones avait publié trois nouveaux enregistrements: ‘’One More Time’’ (avec le bassiste Dave Young et le batteur Jim Doxas), ’’From Lush to Lively’’ (avec un ‘’big band’’ et un orchestre à cordes) et ’’Serenade’’ (DVD). Jones a publié son dernier album intitulé ‘’Just for my Lady’’ en 2013. Continuant toujours de se produire sur scène, Jones avait été un des principaux invités du P.E.I. Jazz and Blues Festival de Charlottetown, à l’Ile du Prince-Édouard en 2011. Jones avait également été en vedette au Festival de jazz de Sudbury, en Ontario, tenu du 6 au 8 septembre 2013.
Victime de problèmes de santé en 2015, Jones avait annoncé officiellement sa retraite en janvier 2016 dans le cadre de la 10e édition du Festival international de jazz de Port-au-Prince. Jones avait présenté son dernier concert à la Barbade, le lieu de naissance de ses parents.
Très prolifique, Jones avait enregistré plus de quinze albums de 1982 à 1999, dont ‘’Lights of Burgundy’’ (1985), ‘’Cookin’ at Sweet Basil’’ (enregistré en 1988 au célèbre club Sweet Basil de New York) et ’’Just in Time’’ (enregistré au Montreal Bistro avec Dave Young et Norm Villeneuve en1998). Durant la décennie 1990, Jones se produisait plus de 130 fois par année. En 1992, Jones avait participé aux festivités entourant le 350 anniversaire de la fondation de la ville de Montréal aux côtés du big band de Vic Vogel et du Montreal Jubilation Gospel Choir dans le cadre de la soirée de clôture du Festival de jazz.
Jones, qui avait aussi entrepris une carrière de professeur, avait enseigné la musique à l’Université Laurentienne de 1987 à 1995. De 1988 à 1995, il avait été professeur à l’Université McGill. En 2009, Jones avait également parrainé la chanteuse Dione Taylor dans le cadre du Performing Arts Awards (GGPAA) Mentorship Program du Gouverneur-Général du Canada.
Jones avait remporté de nombreux honneurs au cours de sa carrière, dont le prix Procan qui lui avait été décerné en 1984 pour souligner sa contribution au développement du jazz. En 1992, Jones avait également remporté le prix Martin Luther King Jr. pour souligner sa contribution à la communauté noire du Canada et à sa ville natale, Montréal. Décoré de l’Ordre du Canada en 1993, Jones avait été intronisé chevalier de l’Ordre national du Québec l’année suivante. Jones était particulièrement fier d’avoir été le second musicien de jazz à avoir remporté l’Ordre du Canada après Oscar Peterson. Il précisait: ‘’Oscar was the first, and I was the second jazz musician to receive the Order of Canada. This legitimizes our particular type of music - that was relegated to the cellars for so long. So many other great musicians have also been honoured, including Phil Nimmons, Rob McConnell, and Moe Kaufman. I did to think that Oscar and I led the way.’’
En 1997-98, Jones avait aussi été le récipiendaire d’un prix Hommage du Conseil québécois de la musique. En 1999, Jones avait également été lauréat d’un Special Achievement Award décerné dans le cadre du gala de la Socan à Toronto. En 2005, Jones avait également été lauréat du Performing Arts Award décerné par le Gouverneur-Général du Canada. L’année suivante, Jones avait également été élu claviériste de l’année dans le cadre des National Jazz Awards. En 2012, le Festival international de jazz de Montréal a décerné à Jones le Prix Oscar Peterson. Le prix lui avait été remis par le directeur artistique de l’Orchestre symphonique de Montréal, Charles Dutoit, dans le cadre d’un concert présenté le 5 juillet au Théâtre Maisonneuve de la Place des Arts lors de la 33e édition du festival.  
Jones avait remporté deux prix Juno: le premier pour son album ‘’Lights of Burgundy’’ en 1986, et le second pour son album de 2009 ‘’Second Time around.’’ Jones avait été mis en nomination neuf autres fois pour un prix Juno, y compris pour son album de 2012 Live in Baden.  Jones était aussi récipiendaire de quatre prix Félix, décernés respectivement en 1989, 1994, 2007 et 2008. 
En 2006, Jones s’est également vu remettre le prix de l’album de l’année dans le cadre des National Jazz Awards pour son album ‘’Just You, Just Me.’’ En 2010, l’arrondissement de Montréal-Nord a également rendu hommage à Jones en donnant son nom à la salle de spectacle de sa Maison culturelle et communautaire.
Le Service canadien des Postes a aussi émis un timbre en l’honneur de Jones dans le cadre du mois de l’histoire des Noirs en 2013. En 2017, l’ancienne athlète Rosey Ugo Edeh a rendu hommage à Jones dans un documentaire biographique de 48 minutes intitulé ‘’Oliver Jones Mind Hands Heart.’’ Le film a été présenté en grande première au Montreal International Black Film Festival la même année.
En 2015, Jones a également été nommé ‘’Grand Montréalais’’ par la Chambre de commerce du Grand Montréal. Il a aussi remporté le prix RIDEAU Hommage 2015 du Réseau indépendant des diffuseurs d’événements artistiques unis pour sa présence assidue sur les scènes du Québec. Jones est également titulaire de plusieurs doctorats honorifiques (Université Laurentienne, 1992; Université McGill, 1995; Université St. Francis Xavier, 1996; Université Windsor, 1999).
Considéré comme un des plus grands pianistes de jazz canadiens aux côtés d’Oscar Peterson et Paul Bley, Jones est caractérisé par un style lyrique et très mélodique alliant dextérité technique à un indéniable sens du swing. En dehors de sa carrière de musicien de jazz, Jones avait aussi accompagné plusieurs vedettes de la musique populaire. Souvent comparé à son mentor Oscar Peterson, Jones avait toujours été un peu flatté par la comparaison. Il s’était même souvent produit avec d’anciens collaborateurs de Peterson, comme Ray Brown, Clark Terry, Herb Ellis et Ed Thigpen. Dans une entrevue qu’il avait accordée en 2004, Jones avait d’ailleurs reconnu Peterson comme sa ‘’plus grande source d’inspiration.’’
Très influencé par Bach et Chopin, Jones avait toujours entretenu une certaine prédilection pour les ballades. La musique classique avait toujours occupé une grande place dans la vie de Jones. Même s’il possédait une importante collection de disques de jazz, Jones avait toujours préféré écouter de la musique classique pour se divertir.
Même si Jones trouvait souvent le bebop un peu répétitif, cela ne l’avait jamais empêché d’exprimer énormément de nynamisme et de vitalité dans ses pièces plus rythmées. Faisant état d’un concert de Jones au club Positano de New York en 1987, le critique John S. Wilson du New York Times écrivait: ‘’On remarque une légèreté de touche évoquant la facilité de [Art] Tatum et de [Oscar] Peterson, mais dans un contexte qui rappelle les grandes structures mélodiques et exubérantes d’Erroll Garner.’’ Compositeur prolifique, Jones avait dédié plusieurs de ses oeuvres à des amis et collègues, dont ‘’Blues for Chuck’’ et ‘’Big Pete’’, qui avaient été écrites en hommage à Chuck et Oscar Peterson respectivement. Parmi les autres compositions de Jones, on remarquait ‘’Gros Bois Blues’’, ‘’Lights of Burgundy’’, ‘’Snuggles’’, ‘’Fulford Street Stomp’’, ‘’Here Comes Summer Again’’, ‘’Dumpcake Blues’’, ‘’Hilly’’, ‘’The Sweetness of You’’, ‘’Looking for Lou’’, ‘’Bossa for CC’’, ‘’Stay Young’’, ‘’Blues for Hélène’’, ‘’Last Night in Rio’’, ‘’Sophie’’, ‘’Abunchafunk’’, ‘’What a Beautiful Sight’’, ‘’Jordio’’, ‘’Katatura’’, ‘’Mark My Time’’, ‘’Tippin’ Home from Sunday School’’, ‘’Stan Pat’’ et ‘’Peaceful Time’’. En 2012, Jones avait d’ailleurs interprété un répertoire composé exclusivement de ses propres compositions dans le cadre du Festival international de jazz de Montréal.
Oliver Jones avait enregistré vingt-cinq albums sous son nom au cours de sa carrière. Très apprécié sur la scène internationale, Jones avait fait plusieurs tournées à travers le monde, tant aux États-Unis qu’en Europe, en Nouvelle-Zélande, en Australie, au Japon, en Chine et en Afrique. Un des derniers trios de Jones mettait en vedette le contrebassiste Éric Lagacé et le batteur Jim Doxas. Jones appréciait d’ailleurs particulièrement de se produire avec de jeunes musiciens. Une semaine avant la présentation de son concert en duo avec Oscar Peterson en 2004, Jones avait évoqué son avenir en ces termes: "I know that I'll try to stick around for another couple of years. But after that, if I do anything at all, it won't be teaching but perhaps to motivate young musicians and artists and try to make sure that they get the opportunity to be heard and seen and get the exposure — which was very elusive in my era."
Commentant l’implication de Jones auprès des jeunes musiciens, Doxas avait expliqué: "My particular case is very explanatory. He wanted some younger musicians to 'burn the fire under his butt,' that's what he always said. Wherever we go, [Jones] always takes the time to give master classes, to listen to young musicians play, to get their CDs, to listen to their CDs." Commentant la contribution de Jones au développement des arts au Canada, Doxas l’avait décrit comme un des grands ambassadeurs de la musique et du pays tout entier.
Une des plus grandes satisfactions de Jones avait été que sa mère, qui avait vécu jusqu’à l’âge avancé de 102 ans, avait pu le voir connaître du succès dans le domaine qu’il avait choisi. Mais malgré tous ses succès, Jones n’avais jamais remporté le même succès que son idole et mentor Oscar Peterson. Né neuf ans après Peterson, Jones avait commencé sa carrière de musicien de jazz professionnel relativement tard. Le fait que Jones et Peterson aient joué à peu près le même style de musique était probablement une autre raison de cette situation.
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SOURCES:
KASSEL, Matthew. ‘’Back Home With Canada’s Greatest Living Jazz Musician.’’ NPR, 12 juillet 2012.
‘’Oliver Jones.’’ Wikipedia, 2023.
‘’Oliver Jones.’’ All About Jazz, 2023.
‘’Oliver Jones.’’ Encyclopédie canadienne, 2023.
‘’Oliver Jones.’’ The Montrealer, 1er mai 2012.
PINCOMBE, C. Alexander. ‘’Jones, Oliver.’’ Dictionnaire biographique du Canada, 2023.
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aurevoirmonty · 2 years
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Cela fait trois longues décennies que Sébastien Lapaque arpente les grands chemins de Georges Bernanos et qu’il médite ses avertissements. Pour Lapaque, Bernanos demeure le grand accusateur d'une époque privée de poésie et de lumière d’éternité. En relisant La France contre les robots, l’essayiste nous montre à quel point cette méditation sur la « question de la Technique » fut prophétique. En reprenant chacun des huit romans, il pointe les violences faites à l’esprit d’enfance dans un monde où tout le monde ment. Dans ce magnifique Vivre et mourir avec Georges Bernanos, Sébastien Lapaque réévalue avec une plume inoubliable la place faite à l’écrivain dans l’histoire littéraire : Bernanos se trouve désormais aux côtés de George Orwell, Pasolini, Jacques Ellul et de tous ceux qui ont critiqué les formes de vie barbares provoquées par un capitalisme sans limites.
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vaevictis2 · 12 days
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"Jean-Louis, prévenu par les sœurs d’André, est allé aux obsèques, qui ont eu lieu au crématorium du Père-Lachaise « quatre jours seulement après le décès. Aucune information n’avait filtré dans les journaux, l’Élysée voulait que ça aille vite, il paraît qu’Emmanuel Macron s’est personnellement impliqué pour que ce soit le cas », dit-il. Les obsèques express, organisées en catimini et à la va-vite, au petit matin, à 8 h 30, « avant l’heure d’ouverture pour échapper aux journalistes. Le fameux livret avec la photo était posé sur les chaises. Une douzaine de personnes étaient présentes, assises en clans distincts. D’un côté les sœurs d’André, de l’autre les trois enfants de Brigitte, Tiphaine, Laurence et Sébastien, les uns et les autres ne s’étant plus parlé depuis la séparation. Brigitte n’est pas venue. La compagne d’André, inconnue de tous, était là aussi, un peu à part. Chaque partie a lu un texte. En vingt minutes, la cérémonie a été terminée. La compagne s’est éclipsée tout de suite. Après, je suis allé avec les enfants Auzière et les sœurs d’André prendre un café/croissant. Des membres de la sécurité montaient la garde dehors. On a fini par les faire entrer, tellement il faisait froid. L’atmosphère était lourde, chacun est vite reparti ensuite ». Le décès ne sera révélé publiquement qu’un an après, par Tiphaine, le 8 octobre 2020, dans Paris-Match, décidément canal de communication récurrent de la famille : « Mon père est mort, je l’ai enterré le 24 décembre dernier dans la plus stricte intimité. Je l’adorais, c’était un être à part, un anticonformiste qui tenait plus que tout à son anonymat. Il faut le respecter. » On notera que la date du « 24 décembre » est sans doute une erreur, puisque ce serait celle du décès, et non des obsèques, qui auraient eu lieu le 28."
Emmanuelle Anizon - L'Affaire Madame StudioFact - 2024
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latribune · 1 month
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