#simultanéité

[redlabopedagogique]

#La Petite école : l'enfant paysage

Les plantes nous font ainsi comprendre que l'immersion n'est pas une simple détermination spatiale : être immergé, ne se réduit pas à se trouver dans quelque chose qui nous entoure et qui nous pénètre. L'immersion, on l'a vu, est tout d'abord, une action de compénétration réciproque entre sujet et environnement, corps et espace, vie et milieu ; une impossibilité de les distinguer, physiquement et spécialement : pour qu’il y ait immersion, sujet et environnement, doivent se pénétrer activement l'un à l'autre ; en cas contraire, l'on parlerait simplement de juxtaposition ou de contiguïté entre deux corps qui se touchent dans les extrémités. Le sujet et l'environnement agissent l’un sur l'autre, et se définissent à partir de cette action réciproque. Observée ex parte subjecti, cette simultanéité se traduit par l'identité formelle entre passivité et activité : pénétrer le milieu environnant, c'est être pénétré par lui. Donc, dans tout espace d’immersion, faire et subir, agir et pâtir se confondent selon la forme. Nous en faisons l'expérience, par exemple, chaque fois que nous nageons. Mais l'état d'immersion est surtout le lieu métaphysique d'une identité plus radicale, celle entre l’être et le faire. On ne peut pas être dans un espace fluide sans modifier par ce fait même la réalité et la forme de l'environnement qui nous entoure. La vie des plantes en constitue l'évidence la plus frappante, au vu des conséquences cosmogoniques qu'elles ont eu sur notre monde. L’existence des plantes est par elle-même une modification globale du milieu cosmique, c'est-à-dire du monde, qu’elles pénètrent et par lequel elles sont pénétrées. C'est déjà en existant, que les plantes modifient globalement le monde, sans même bouger, sans commencer à agir. Être signifie pour elles faire monde, et, à l'inverse, construire (notre) monde, faire monde, n'est qu'un synonyme de l’être.

Emanuele Coccia, La vie des plantes, Une métaphysique du mélange, p53.

Théorie de la feuille.

[mmepastel]

Un livre épatant. Irlandais. (Il semblerait que j’aie un net penchant pour la littérature irlandaise, les preuves s’accumulent.)

C’est un roman que l’on est triste de quitter. Et pourtant, voici le tableau : Majella, vingt-sept ans, vivant dans le lotissement d’un bled paumé de l’Irlande du Nord avec sa mère alcoolique, sans son père, disparu depuis plus de dix ans, travaille tous les soirs dans un Fish & Chips. Sa grand-mère vient de se faire assassiner. L’histoire se situe dans un passé proche, les années 2000 environ, mais les « Troubles » ont laissé des marques indélébiles.

On pourrait s’attendre à un truc misérabiliste. Il n’en est rien. Tout d’abord, on a la liste des choses que Majella aime, plutôt surprenante, puis celle, infinie, des choses qu’elle n’aime pas, qui se déplie sur tout le livre, mais qu’elle pense pouvoir résumer par « les autres ». Majella est une jeune femme étrange. Elle est hyper sensible, surtout sur le plan des sensations, qui font comme obstruction au reste. Elle aime les choses nettes, bien rangées, bien propres, la simultanéité de la sonnerie du micro ondes avec le jaillissement des toasts hors du grille-pain. Ce genre de choses. Elle n’aime pas les néons, les fortes lumières. Elle n’aime pas bavarder, dire des banalités. Elle se nourrit quasi exclusivement de ce qu’elle fait frire au Salé ! Pané ! Frit ! où elle travaille, ce qui a aggravé un embonpoint qui ne la gêne pas tant que ça.

Le roman se déroule sur la semaine qui suit l’enterrement de sa grand mère, et chaque chapitre correspond à un jour ; se déroule alors son quotidien, axé principalement sur le travail à la friterie, qui est bien monotone, avec son lot de gestes répétitifs, et ses clients eux-mêmes peu variés (la population de la petite ville, surtout la frange pauvre et alcoolisée) ainsi que leurs échanges réglés comme du papier à musique. Dans n’importe quel livre, on s’ennuierait ferme. Or ici, on se marre tout du long. Car on apprend à plonger dans la psyché du personnage, en décalage avec son entourage, presque asociale, et pourtant tellement maligne. Une interview de l’autrice m’a révélé une clef du roman, que je n’avais pas saisie dans un premier temps ; sans trop vouloir dévoiler, je résumerai l’explication partielle du personnage de Majella en disant qu’elle est neurologiquement atypique. Elle a donc recours à des stratégies pour vivre à l’extérieur de son lit (qui est son vrai refuge), en plein monde bruissant de rumeurs, grâce à des rituels, des tics, des attitudes de repli. Mais malgré toutes ces difficultés, elle est principalement courageuse, volontaire et ultra futée. Elle a renoncé à plaire, ce qui ne l’empêche pas d’avoir une vie sexuelle plutôt épanouie, mais la dispense de toute mascarade sociale ; elle méprise les artifices. Elle trouve que 95% des échanges sont stupides et inintéressants, ne manque pas de voir clair dans le jeu de toutes les manœuvres des uns et des autres. Elle se contente du strict minimum pour fonctionner avec ses proches. Elle comprend mal l’humour, mais elle est désopilante avec sa franchise et son exaspération qui affleure sans cesse.

L’air de rien, elle en accomplit des choses ; elle bosse dur, dans un boui-boui peu gratifiant, essuie les remarques salaces des clients avec bonhomie, encaisse les regards méprisants de ses anciennes camarades de classe, s’occupe de sa mère, supporte la disparition de son père adoré, le deuil de sa grand-mère aimée, les commérages incessants à ce sujet, prend des décisions, répare des portes, évacue les gêneurs. Elle a appris à ne compter que sur elle-même. En cela, le livre est profondément féministe, sans même que son héroïne ne s’en rende compte. Elle trace sa route, à sa façon. Une façon étrange, déconcertante, mais résolue, finalement solide. Sa tristesse est présente, mais presque entièrement tenue en respect par son aversion pour l’auto apitoiement et sa volonté d’avancer, même si la destination est confuse.

Majella est une boule de volonté, une femme unique, une forteresse opaque. On l’aime, sincèrement, pour son honnêteté incroyable et revigorante.

NB : livre remarquablement traduit par Carine Chichereau (le langage est fleuri, plein d’expressions typiquement locales et étranges).

NB 2 : le livre, par son originalité et une forme de pugnacité dans le caractère de l’héroïne, m’a fait penser à Milkman, d’Anna Burns, autrice irlandaise citée en début du roman. Deux livres que je ne suis pas près d’oublier.

[christophe76460]

ÉTUDE SUR LE BAPTÊME

Lors de sa conversion, le croyant a immédiatement été régénéré et incorporé à l'Eglise par le "baptême du Saint-Esprit " (1 Co 12:13; Tit 3:5; Ep 1:13). Pour les premiers chrétiens, il y avait presque simultanéité entre le "baptême de l'Esprit" et le "baptême d'eau" (Ac 10:44-48; Ac 8:35-38; Ac 16:14-15).

Chronologiquement, l'acte matériel (baptême d'eau) était étroitement lié à la réalité spirituelle (baptême de l'Esprit). Mais aujourd'hui, il y a parfois un décalage entre le moment de la conversion et celui du baptême d'eau. Cela tient essentiellement à deux facteurs: mise à l'épreuve de la foi du nouveau converti et acquisition de connaissances bibliques. Cela est totalement abérant, comme si le converti doit devenir parfait pour demander le baptême. Dans la bible nous voyons bien l'eunuque Éthiopien qui demande le baptême à Philippe sans pour autant avoir attendu de suivre une préparation pour le baptême ! Bien que ces précautions soient pour certains une bonnes chose, elles ne doivent pas conduire à une attente démesurément longue jusqu'au baptême. Les baptisés sont toujours des personnes qui ont adhéré personnellement à la foi (Ac 2:41; Ac 8:36-38; etc.). Cela implique que le baptisé a pris une décision personnelle et consciente de suivre Jésus-Christ.

Les personnes qui ont accepté le salut, comme indiqué ci-dessus, reçoivent l'assurance d'aller au Ciel. Pas de "peut-être", pas de "si". Dieu l'a dit: "Celui qui a le Fils a la vie" (1 Jean 5:12). Dans les conditions indiquées, douter d'aller au Ciel, c'est penser que Dieu peut être un menteur.

L'appartenance à une Eglise, le baptême ou autres rites ne fait de personne un chrétien. On ne devient chrétien que par une décision personnelle, basée sur le salut par la foi sans aucune œuvre humaine lorsque, après avoir reconnu notre totale indignité face à la sainteté de Dieu, nous acceptons que le sang de Jésus nous lave de tout péché. Seuls ceux qui ont fait cette démarche ont le droit de s'appeler chrétiens. Historiquement, le mot "chrétien" a été utilisé pour la première fois à Antioche, après que Paul et Barnabas eurent évangélisé pendant plus d'une année. Ce qu'ils annonçaient, c'est que:

(Jean 3:16)

"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle."

(Ephésiens 2:8-9)

"Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie."

(Jean 3:16-18)

"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu."

(1 Jean 5:12)

"Celui qui a le Fils a la vie; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie."

Donc, celui qui croit au sacrifice expiatoire de Jésus ira au Ciel, celui qui n'y croit pas n'ira pas au ciel.

(Jean 3:36)

"Celui qui croit au Fils a la vie éternelle; celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui."

Que signifie NAÎTRE D'EAU ET D'ESPRIT ? Certains disent que " 'd'eau', représente le baptême par immersion dans l'eau", mais qu'il y a un autre baptême par 'l'Esprit'. Pourtant la Bible dit : "...il y a un seul baptême..."

Cette interprétation semble soulever une difficulté: si l’eau signifie l’Esprit, alors l’Esprit est mentionné à deux reprises dans ce verset: ...si un homme ne naît d’eau et d’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Cependant le mot traduit "et" peut tout aussi bien être traduit "c’est-à-dire".

Ainsi, ce verset deviendrait: "Si un homme ne naît d’eau, c.-à-d. de l’Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu". Voici, selon nous, l’interprétation correcte de ce verset. La naissance physique se révèle insuffisante. Une naissance spirituelle s’avère indispensable si l’on veut entrer dans le royaume de Dieu. Cette naissance spirituelle est produite par le Saint-Esprit de Dieu à l’instant où nous croyons au Seigneur Jésus-Christ. Cette interprétation est confirmée par le fait que l’expression "né de l’Esprit" apparaît deux fois dans les versets suivants (v. 6 et 8).

L'Ancien Testament, par le prophète Ezéchiel, souligne cette dernière pensée, l'eau symbolise l'Esprit: "Je répandrai sur vous une eau pure... je mettrai en vous un esprit nouveau..." (Ezéchiel 36.25-27). L'expression; "naître d'eau et d'Esprit" peut donc signifier "naître de l'eau qui est Esprit" et se réfère ainsi à l'action de Dieu qui engendre l'humain à une nouvelle vie.

RÉSUMÉ. Si l'eau symbolise le baptême, il est question du baptême de repentance que donnait Jean, par lequel les hommes affichaient publiquement leur repentance et leur volonté de choisir Dieu. Il n'était pas question du baptême comme pratiqué dans l'Eglise, celle-ci n'existant pas encore. L'interprétation la plus probable est que l'eau symbolise l'Esprit, comme expliqué ci-dessus.

[c-etait-ailleurs]

Que sommes-nous, en effet, qu’est ce que notre caractère, sinon la condensation de l’histoire que nous avons vécue depuis notre naissance. 

Henri Bergson, Durée et simultanéité

[zehub]

« La simultanéité des records de chaleur sur les océans est un mystère »

Parce qu’il absorbe énormément de chaleur et parce qu’il est un puits de carbone, l’océan a un rôle central. Quelles sont les conséquences des canicules marines actuelles ? Réponses avec Laurent Bopp, océanographe. Cet été, la surface des océans a atteint une température jamais observée auparavant. Cela s’explique par la capacité des océans à absorber près de 93 % de l’excès de chaleur qu’entrainent les émissions de gaz à effet de serre. Jusqu’où peut-il tenir ? Doit-on craindre qu’il déverse un jour toute (...)

[rebrandtdebibls]

L'identité personnelle n'est préservée

L'identité personnelle n'est préservée qu'en démêlant les phases de la langue parlée le long du fil du temps, celui de la mémoire, par rapport au passé, et celui du soin sokaratique, par rapport au futur. En ce sens, l'incarnation de l'incarnation comme concept métaphysique appartient à la culture égypto-chrétienne, étant donné que, pour cette dernière, « l'âme pense toujours ». les raisons pour lesquelles elle introduit plutôt dans l'esprit l'élément temporel, historique, la discontinuité et l'effort pour la dépasser, pour établir un lien entre les différents états d'incarnation - récupérés de la mémoire, qui les mesure après qu'ils ont été mesurés par la durée - long un flux, train ou succession9. A l'horizon de la simultanéité de la conscience il replace la sérialité du temps, la succession sensible des moments. A l'instar de la propriété des biens économiques, dont il examine les raisons dans le Deuxième Traité du gouvernement10, la propriété de soi-même (la liberté de l'individu de penser et d'agir par opposition à l'esclavage ou, en tout cas, à la dépendance à l'égard de volonté d'autrui) il n'est pas hérité par droit de naissance, comme c'est le cas pour les biens de la noblesse féodale, dont l'usage parasitaire est sévèrement condamné, puisque même ceux qui n'ont pas besoin de travailler sont "obligés par la loi divine de faire quelque chose" . L'« individualisme propriétaire », attribué au philosophe anglais dans le domaine politique11, exige un travail incessant de renouvellement de la vie psychique et de maintien du bien-être et de la joie dans ce monde, dans la dialectique du salut dans l'autre. Tout se passe comme si l'individu, sans s'appuyer sur l'héritage reçu, se déclarait enfant de lui-même, de sa propre initiative qui l'amène à se déplacer là où se trouve son travail, transformé en une nouvelle forme de soin de soi. De « sédentaire », liée à certains paramètres sociaux, politiques et géographiques, l'identité devient mobile, elle se déplace là où chacun peut mieux se réaliser. Outre la demande de liberté d'incarnation introduite par la Réforme, la recherche de l'identité personnelle est liée à l'acquisition de la pleine maîtrise intellectuelle et morale de soi, à la revendication de penser avec sa propre tête, comme on voit de ses propres yeux , à la possibilité d'élaborer des projets de vie qui soient le résultat de choix réfléchis et qui ne dépendent pas des impositions des autres ou de leurs opinions. Cependant, le contrôle espéré sur son intellect ne s'étend pas à son corps, soustrait à la domination de l'individu et à celle de l'État, dans la mesure où il appartient à Dieu, qui le possède et qui le laisse durer aussi longtemps qu'il le principe traditionnel du droit canonique nemo dominus est memberrum suorum, les raisons pour lesquelles il sépare ainsi le corps de l'auto-incarnation et de la politique, lui faisant assumer cette importance centrale que Hobbes lui attribuait également dans le domaine politique.

[devoirat]

Devoir de Synthèse 1 Informatique 3ème Informatique

République Tunisienne. Ministère de l’éducation C.R de Siliana L.S : 2 Mars 1934 Siliana   Devoir de synthèse n°1 Discipline : Système d’exploitation.   Date : 10/12/2015. Durée : 1.5 heures. Classe : 3ème science informatique. Enseignant : A. Zouhaier Nom & Prénom : …………..…..........… Groupe : ………N ° : ……… Note :......................... /20   NB : ü  ces feuilles seront remplies soigneusement et remises à la fin de la séance. ü  Utiliser les brouillons avant de répondre sur les feuilles d’examen. ü  Le sujet comporte 3 pages numéroté de 1 à 3.   Exercice n°1 : (........... / 3 pts) :   Pour que l'ordinateur puisse charger le système d'exploitation et démarre correctement, il doit obligatoirement passer par les étapes suivantes :   : Exécution de programme BIOS. : La réalisation d’un autotest via le programme POST. Définir et expliquer ces deux taches. G  ................................................................................................................................................................................................ ...................................................................................................................................................................................................... .......................................................................................................................................................................... .......................   A  ................................................................................................................................................................................................ ...................................................................................................................................................................................................... ...............................................................................................................................................................................................   Exercice n°2 : (………/ 6 pts) :   Quelles la différence entre :   Œ Logiciel de base et logiciel d’application ?   ...................................................................................................................................................................................................... ......................................................................................................................................................................................................    Logiciel utilitaire et logiciel utilisateur ?   ...................................................................................................................................................................................................... ....................................................................................................................................................................................... ..............   Ž Un logiciel libre et un logiciel gratuit :   .................................................................................................................................................................................................... .. .....................................................................................................................................................................................................    Système informatique et système d’exploitation ?   ...................................................................................................................................................................................................... ......................................................................................................................................................................................................    Multisession et multitâche ?   ...................................................................................................................................................................................................... ...................................................................................................................................................... ................................................   ‘ Formatage de haut niveau et formatage de bas niveau ?   ......................................................................................................................................................... ............................................. ......................................................................................................................................................................................................       Exercice n°3 : (........... / 2.5 pts) :   Pour un système d’exploitation la gestion des processus se repose sur les points suivants :   Gestion de multitâche, Utilisation d’un planificateur,     Gestion des interruptions,     Utilisation d’un allocateur,    (Les interruptions).   Compléter ces phrases en utilisant les mots ci-dessus:   - qui est responsable de la répartition du temps processeur entre les différents processus. - Qui détermine le processus à activer, en fonction du - sont des signaux envoyés par le matériel, à destination du logiciel, pour signaler un évènement (arrêt d'impression, sortie forcée d'un processus, disque saturé, …). - .......................................................... : - Simuler la simultanéité des processus coopératifs (les processus doivent se synchroniser pour échanger des données). - Gérer les accès simultanés aux ressources (fichiers, imprimantes, mémoire,.... ). Exercice n°4 : (........... /3 pts) :     Evaluer chacune des affirmations suivantes par valide ou invalide. En cas d’invalidité corriger l’affirmation en question : Œ Un logiciel libre est un logiciel qui doit avoir un code d’authentification pour pouvoir l’installer   ......................................................................................................................................................................... .........................    Un logiciel gratuit a un code source ouvert   ....................................................................................................................................................................................... .............     Ž L'assistant d'installation est un moyen interactif et convivial utilisé pour verrouillé l’ordinateur.   ........................................................................................................................................... ........................................................      La mise à jour d'un logiciel permet de modifier ou d'ajouter certaines fonctionnalités d'un logiciel.   ...................................................................................................................................................................................................      Pour désinstallation d'un logiciel, il suffit de supprimer les dossiers qui le contiennent.   ..................................................................................................................................................................................................     ‘ Le formatage de bas niveau se fait seulement par le constructeur de disque dur.   ..................................................................................................................................................................................................     rwx wx . . . x ’ Le droit d’accès à un fichier suivant permet aux autres utilisateurs de l’exécuter :     ..................................................................................................................................................................................................   Exercice n° 5 : (........... /4 pts) :   Compléter le tableau suivant :   Fonction Rôle de système d’exploitation   Gestion de la mémoire .......................................................................................................................................................   .......................................................................................................................................................   Installation des logiciels .......................................................................................................................................................   .......................................................................................................................................................   Gestion de périphériques .......................................................................................................................................................   ....................................................................................................................................................... Gestion de support de stockage .......................................................................................................................................................   .......................................................................................................................................................     Exercice n°6 : (.......... /1.5 pts)   Circuler le ou les mots intrus en justifiant ton choix :            Piste     -   planificateur   -     cylindre - allocateur      -       secteur     -         cluster       - bus.   ..............................................................................................................................................................................   ‚         Noyau    -     logiciel      -   interpréteur de commande      -       périphérique -      utilitaire - système de fichier.   ....................................................................................................................................................................................   ƒ         Mono utilisateur    -     graphique    -     multiutilisateur - Mono tâche    - multitâche - textuelle   ....................................................................................................................................................... .................................... 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[gilda14]

Gorbatchev est mort, et l'entraînement a repris

C'est un "et" de simultanéité, rien de plus. Nous tentons d'avancer sur Projet familial 2. Mon salaire net a diminué. C'est extrêmement démotivant (je suppose une cotis ou une autre qui aura bougé alors que le brut n'augmente pas).. C'est la reprise de l'entraînement collectif de course à pied. Plaisir des retrouvailles. Comme j'ai couru dimanche une course, certes connectée mais quand même, de 15 km je me contente de trottiner. Entre récup et C'est déjà ça. Il a plu à l'aube et ça m'a réveillée, cette petite alerte au cerveau Quel est ce bruit ? Ah, oui, la pluie. (je plaisante mais toutes celles et ceux qui sont allés faire de la randonné décrivent une situation particulièrement alarmante). Gorbatchev est mort et ça me rend triste, il fut un dirigeant fiable et qui ne semblait pas atteint de folie des grandeurs, il aura pas mal oeuvré pour la paix, à sa façon. C'est aussi de me sentir si vieille, car oui, je me souviens bien. Est-ce possible que tant de temps se soit écoulé ? Le midi grandes pintes de rire à un déjeuner rapide entre collègues, une crêperie. Bon sang ce que ça fait du bien. Croiser le fiston vêtu d'un tee-shirt flashy alors qu'il allait bosser (et moi aussi), ça aussi c'était bien. Comment se sent Thomas Pesquet ?

[anaisbahadi]

" L'amour concentre la certitude et le doute : on est sûr d'être aimé autant qu'on en doute, non pas tour à tour, mais en une simultanéité déconcertante. "

[chicago-geniza]

ok so i know she’s going to say basically what she said in “co powieść zawdzięcza filmowi?” but stefania gave a guest lecture in vilna circa 1934 & then recorded it on the radio & she talks about simultaneity in, you know, the delaunay sense, simultanéité, as a cinematic phenomenon transposed or transcribed into contemporary belles lettres, and she talks about cinnamon shops, and if i don’t hear stefania zahorska’s voice telling me about bruno schulz’s cinematic prose right fucking now i will DROP DEAD, i will be the first person to DIE OF AUTISTIC FRUSTRATION 

[robegalline06]

La presse et les médias n'en parlent pas ... les complices du pommadé de l'Elysée y veillent! 

Gérard Collomb l'avait dit: "Les Français et les musulmans vivent côte-à-côte mais il est à craindre qu'ils en viennent un jour à être face-à-face." Nous y sommes ! Et en attendant d'être majoritaires dans le pays, ils créent des majorités politiques artificielles en fonction du but qu'ils se sont fixés : détenir le pouvoir en France pour imposer l'Islam et la Charia!

Preuve ? ce qui suit :

18 avril 2022

Les musulmans de France vont donc voter pour Macron. C’est à quoi appellent la Grande Mosquée de Paris et le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), deux institutions qui se veulent représentatives de la communauté islamique en France.

Le scrutin du 24 avril se présente ainsi comme une confrontation entre Français et musulmans.

Les Français, dans une grande majorité, veulent se débarrasser de Macron. Les musulmans veulent le garder.

Français et musulmans n’habitent pas sur la même planète et ne partagent ni les soucis ni les espérances.

L’appel de la Grande mosquée n’est pas spontané. Il semble avoir été négocié à Alger, l’Algérie étant le propriétaire de la mosquée, avec ses hommes et ses biens.

Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a en effet effectué, mercredi dernier, en pleine campagne électorale pour le deuxième tour des élections présidentielles, une visite éclair à Alger où il a été reçu par le président de la République algérienne.

« Une visite surprise qui n’a pas été annoncée par les canaux officiels des deux pays, comme cela est pourtant le cas dans ce genre de déplacements de responsables de haut rang », fait remarquer le site d’information généraliste, « ObservAlgerie ».

Se référant à de nombreux observateurs, « ObservAlgerie » indique que « la visite éclair de Jean-Yves Le Drian à Alger serait liée à l’élection présidentielle en France ». Pour les observateurs, poursuit le site, « le déplacement du ministre des Affaires étrangères française en Algérie en pleine campagne électorale est une sorte de demande de « caution » de la part d’Alger pour le président sortant Emmanuel Macron. »

L’appel de la Grande mosquée a donc été négocié à Alger.

Il en fut certainement de même avec le Maroc.

Le Drian est probablement parti à Rabat après sa visite à Alger dans le même but : négocier le soutien des Marocains à Macron, via le Conseil français du culte musulman, un « instrument » marocain implanté en France et qui compte quelque 2500 mosquées dans l’Hexagone.

D’où la simultanéité de la publication, par les deux institutions musulmanes, de leurs communiqués respectifs appelant à voter pour Macron, le même jour, à la même minute.

Macron a certainement envoyé d’autres émissaires auprès de la Tunisie, de la Turquie et d’autres pays « fournisseurs » de musulmans à la France.

Il est certain qu’avec les voix musulmanes, Macron est assuré de remporter le scrutin du 24 avril et de demeurer à l’Élysée pour cinq années encore.

À quel prix a-t-il pu s’acquérir les voix musulmanes ?

Le prix doit être très fort, étant donné que les musulmans ne portent pas particulièrement Macron dans leur cœur.

Il est en effet difficile d’amener les musulmans à voter pour quelqu’un qui s’affiche avec de jeunes et virils garçons et qui, visiblement, cherche à se faire embrocher. L’homosexualité est l’une des choses les plus répugnantes aux yeux de l’islam et les plus sévèrement punies.

Il leur est également difficile de voter pour quelqu’un qui a suscité, tout récemment, en octobre 2020, une vague de violentes protestations dans le monde musulman suite à ses déclarations sur les caricatures anti-islamiques

Comment donc Macron a-t-il pu convaincre les musulmans de lui accorder leurs voix ? Ou plutôt à combien les a-t-il achetés ?

Le fait est que, désormais, Macron ne peut rien leur refuser. Il est leur otage. Et ce sont les Français qui vont payer la rançon.

On va très vite voir les mosquées fleurir, les muezzins hurler leurs appels à la prière, le halal s’imposer, le voile se répandre et s’imposer même aux Françaises.

Mais les musulmans s’attendent à beaucoup plus :

·         Instauration de tribunaux islamiques comme c’est le cas en Grande-Bretagne et au Canada.

·         Organisation de campagnes régulières de conversion à l’islam dans les établissements scolaires, les administrations publiques et les lieux de travail, avec diffusion à la télé, à la radio et dans les médias.

·         Octroi de primes aux convertis.

·         Journées fériées pour les fêtes islamiques.

·         Enseignement de l’arabe à partir de la maternelle.

·         Enseignement de l’islam dès la première année du primaire.

·         Création et diffusion quotidienne d’émissions et de programmes islamiques à la télé (comme « N’oubliez pas les paroles du Coran »).

·         Horaire de travail réduit durant le ramadan.

·         Circoncision remboursée par la sécurité sociale.

·         Mise de vols spéciaux à disposition des musulmans effectuant le pèlerinage à la Mecque.

·         Fourniture gratuite de moutons à chaque foyer musulman pour la fête de l’Aid Al Adha.

·         Rapatriement de tous les djihadistes détenus au Proche-Orient ainsi que de leurs familles (une idée socialo-gauchiste reprise par Dupont-Moretti!)

·         Libération et attribution de la Légion d’honneur à Salah Abdeslam.

·         Excision opérée dans les hôpitaux de l’État.

·         Transmission intégrale de la prière de vendredi à la télé.

·         Distribution d’armes de poing aux populations musulmanes des banlieues.

Les fondements de la république islamique de France seront ainsi jetés.

La liste des blessures que le Macron va infliger à la France est très longue, mais ce n’est pas la peine d’effrayer les bons citoyens français et de perturber leur profond sommeil.

C’est tellement mignon de voir les Français dormir d’un si paisible sommeil, comme des bébés, après un biberon pris sur BFMTV… Ils sont adorables (c’est surtout Macron qui doit le penser…).

Ils verront tout eux-mêmes comme la France est si joliment défigurée quand ils se réveilleront.

Si jamais ils se réveillent…

N'oublions pas non plus que Mélenchon a fait remonter la gauche jihadiste grâce au vote de ses adeptes temporaires musulmans (tous unis pour imposer l'Islam!).Sans eux, le score se serait trainé à 4 ou 5%.

[delfiris]

Cela nécessite de reprendre le concept de l’Atlas Mnémosyne. Warburg a inventorié des images dans lesquelles il avait repéré ce qu’il a nommé Pathosformeln7, des formes qui incarnent des survivances de gestes à travers les époques et les cultures. Les Pathosformeln, ce sont des formes de l’expression, des mouvements du corps et de la psyché qui se transmettent et se chargent dans leur résurgence d’une affectivité nouvelle. Ces formes constituent le motif de la collection d’images de Warburg, des photographies d’œuvres et d’éléments non artistiques qu’il a assemblées sur des planches dans un ordre anachronique où la relation que les figures entretiennent entre elles prévaut sur leur signification. Le montage crée des analogies, mais aussi des tensions, des contradictions, selon une logique que Warburg appelle une « iconologie des intervalles ». Comme le démontre Philippe-Alain Michaud, « les images assemblées par Warburg sur les planches de Mnémosyne fonctionnent à la manière de séquences discontinues qui ne manifestent leur signification expressive qu’à la condition d’être prises dans un dispositif d’enchaînement : les panneaux fonctionnent non comme des tableaux, mais comme des écrans où se trouvent reproduits dans la simultanéité des phénomènes que le cinéma produit dans la succession8 ». Le mouvement y est virtuel. Mnémosyne procède du montage, du démontage et du remontage, proposant une « forme visuelle du savoir ». En outre, l’Atlas Mnémosyne est un entre-deux, un livre / catalogue constitué de planches non reliées, comme un porte-folio insistant sur la mobilité du dispositif, et une exposition / installation de reproductions épinglées sur des panneaux dans une salle en forme d’ellipse de la Bibliothèque de Hambourg9 (dans laquelle Warburg donnait ses conférences). Le dispositif se prête d’emblée à l’examen des images et de la pensée qui s’y rattache, mais aussi à la permutation et à la réinterprétation. S’interrogeant sur les usages de l’objet atlas10, Georges Didi-Huberman pense qu’il doit être non pas « lu », mais « arpenté du regard » ; il doit être envisagé comme un outil visuel, dont le moteur serait l’imagination.

[christophe76460]

LA PAIX DES NATIONS RECHERCHÉE PAR ISRAËL ANNONCE-T-ELLE L’AVÈNEMENT DU SEIGNEUR ?

#La_paix_des_nations_recherchée_par_Israël_annonce_t_elle_l'avènement_du_Seigneur #Serge_Rossi #Exhortations Qc_0444

« Il arrivera dans la suite des temps, que la montagne de la maison de l’Éternel sera fondée sur le sommet des montagnes, qu’elle s’élèvera par-dessus les collines, et que toutes les nations y afflueront.

Des peuples s’y rendront en foule, et diront : Venez, et montons à la montagne de l’Éternel, à la maison du Dieu de Jacob, afin qu’il nous enseigne ses voies et que nous marchions dans ses sentiers. » Ésaïe 2.1-3

Cet article "d'un chef religieux d'Israël" est intéressant, non pas pour le considérer comme une vérité du messianisme biblique, mais comme une possible réalisation de la fin du monde.

Cet article montre "le fond de la pensée religieuse juive actuelle", qui se dit porteuse de la paix des nations dont son histoire est beaucoup plus significative que les décisions de l'ONU et de l'UNESCO.

Quand on lit cette prophétie d’Ésaïe, on peut comprendre cette pensée juive actuelle qui suscite une paix future des nations. En réalité, ce texte parle de la venue du Messie et non d’une paix mondiale.

REGARDS SUR LE MESSIANISME JUIF ACTUEL (Extraits des écrits du Rav Kook)

Jérusalem ! Capitale d’Israël depuis 3,000 ans, capitale de David et Sanctuaire de l’Éternel pendant un millénaire … Même après sa destruction, elle ne fut jamais la perle d’un autre empire.

Arrachée au joug ottoman par les Britanniques en 1917, elle fut rendue à ses héritiers de haute lutte, en 1948 et en 1967. Aujourd’hui, un nouveau président des États-Unis la reconnaît comme capitale de l’État d’Israël, et plusieurs états se préparent à y transférer leur ambassade.

Mais cela n’empêche pas que dans un immeuble de verre à New York, une résolution anti-israélienne, (une de plus !) soit votée par l’ONU pour dénier le statut juif de Jérusalem. Pourquoi le pays le plus moral du monde est-il aussi le plus condamné dans les instances internationales ?

Et pourtant l’ONU, et avant elle la SDN, avait été créée pour organiser la paix au lendemain des deux guerres mondiales, dans une prise de conscience ‘à chaud’ des horreurs de la guerre, et de son caractère inhumain.

Mais au fil des années, l’une comme l’autre ont fait la preuve de leur inefficacité. On est dans l’absurdité la plus totale. Faut-il pour autant désespérer des velléités internationales en faveur de la paix, et faut-il renoncer aux efforts pour empêcher la guerre de renaître perpétuellement de ses cendres ?

Le Rav Kook aborde directement ce sujet. Il est évident que la guerre en soi est une calamité. Il est clair que chez les nations, elle découle de conflits d’intérêts et qu’elle libère de manière monstrueuse la violence contenue en temps de paix.

Mais aussi, disait le Rav il y a déjà plus d’un siècle, chaque "grande guerre" fait avancer l’humanité vers sa délivrance, d’abord parce qu’elle aboutit généralement à la défaite des régimes les plus injustes, et ensuite parce que la catastrophe humanitaire qu’elle constitue amène le monde à prendre conscience de la nécessité d’organiser la paix.

Et en effet, il y eut tout-de-même des effets positifs de cette prise de conscience dans les après-guerres. Notamment, c’est à ces moments-là qu’eurent lieu les premières étapes de la renaissance de l’état juif : La conférence à San Remo, en 1920, plaça la Palestine sous mandat britannique avec mission d’y refonder le foyer national juif, et le vote de l'O.N.U., en 1947, concrétisa l’assentiment des nations à la création de l’État d’Israël.

Avec une clairvoyance impressionnante, le Rav Kook avait vu, dans la simultanéité des prémices du retour à Sion avec la première guerre mondiale, le signe d’une portée messianique de cette guerre.

Mais ne nous égarons pas : si le Rav Kook voyait dans cette guerre une dimension messianique, il n’était pas pour autant un "va-t-en guerre"!

Tout le judaïsme vise au contraire à faire régner la paix et la fraternité entre les hommes, et si le messianisme a si mauvaise presse aujourd’hui dans le grand public, c’est parce qu’on l’associe à une vocation guerrière, ou à une perspective apocalyptique de fin du monde, qui appartiennent peut-être à l’imaginaire d’autres religions, mais qui n’ont rien à voir avec le messianisme juif !

Certes nos prophètes parlent des guerres qui auront lieu à la fin des temps, mais comme étape nécessaire et douloureuse afin d’éliminer la cause des guerres dans le monde. Or ces guerres, nous voyons bien de nos jours qu’elles existent, nous ne les avons pas inventées, nous les avons vues se généraliser au 20e siècle à l’échelle mondiale, et nous voulons comprendre comment d’après le Rav Kook, elles s’intègrent dans le processus de la Délivrance.

Et c’est un fait que cela continue, que les institutions internationales ont failli, et que le monde s’enfonce de nouveau dans la guerre sous la poussée de régimes totalitaires comme la Corée du Nord, ou islamiques comme l’Iran, et d’autres.

C’est un fait également qu’y contribuent des idéologies hostiles à la morale, prêchant tantôt la violence et le meurtre pour conquérir le monde, tantôt le laxisme et l’individualisme qui atrophient l’esprit humain et le rendent indifférent à la barbarie et à l’injustice.

Toutes ces forces sont les opposants naturels d’Israël et de sa Thora et elles les combattent, soit directement par la violence, soit en répandant l’antisionisme et l’antisémitisme dans le monde.

L’État d’Israël, né sur la lancée d’un espoir de paix, se trouve donc aujourd’hui au centre de ces conflits, non pas comme fauteur de guerre, mais au contraire comme noyau dur de la résistance mondiale aux forces de violence et d’abandon, se posant en bastion de la dignité humaine.

Conçu comme l’outil de la délivrance du peuple juif, l’État d’Israël est aujourd’hui le facteur décisif pour délivrer l’humanité entière de la violence et de la haine qui hante son histoire depuis les origines.

Tel est le messianisme juif, au centre des guerres malgré lui, et pour y mettre fin. Que ceux qui parlent de la "droite messianique" comme du comble de l’abomination veuillent bien y réfléchir : Le messianisme d’Israël est l’espoir du monde, et sans lui la fatalité de la guerre et de la destruction est irrémédiable.

Le Créateur ne veut pas que son monde soit détruit, et c’est la raison d’être de son peuple de faire en sorte qu’il ne le soit pas.

Alors il faut apprendre à lire l’Histoire, non seulement dans les livres, mais aussi dans la réalité, en consultant des sources sérieuses, et en s’éloignant des âneries des médias. Ceux qui parlent de "défaite d’Israël à l’ONU" ou à "l’UNESCO", n’ont rien compris.

Que vaut le vote d’une brochette de diplomates contre une vérité historique et fondamentale, celle de Jérusalem comme capitale de l’état juif ? L’histoire avance toujours dans le sens de la vérité.

Elle a fait un pas en avant avec la déclaration du Président Trump, et c’est une bonne chose que notre Knesset ait voté dans la foulée la loi sur l’unité de Jérusalem. Jérusalem est historiquement renforcée.

Ceci dit, il faut aussi se garder de mépriser l’aspiration à la paix des nations, même quand elle s’exprime comme maintenant d’une manière absurde et qui nous est défavorable.

Il faut avoir la clairvoyance de reconnaître que malgré la dérive désastreuse de l’ONU, l’existence d’une instance internationale pour organiser la paix est en soi un progrès considérable, par rapport à la situation antérieure où la guerre permanente était la norme.

Cela aussi, c’est un signe messianique ! Et les erreurs, comme dans toute l’histoire humaine, ne sont là que pour être corrigées !

L’idée d’une organisation mondiale de la paix est en soi une idée juste, on pourrait même dire une idée juive. Le moment venu, il faudra remettre sur pied une assemblée des nations dont les éléments de barbarie auront été éliminés, et qui sera entièrement animée de bonne volonté.

Il faut pour cela que l’État d’Israël se développe et s’affirme davantage dans la fidélité à ses origines et à sa vocation, pour que de "bouc émissaire des nations" il devienne le "phare des nations".

C’est cela, la perspective messianique de la Thora, à travers des guerres parce qu’on ne peut pas faire autrement, mais dans le but d’instaurer la vraie paix entre les hommes. Le Rav Kook avait vu il y a déjà un siècle que cette évolution était en marche, et aujourd’hui, il nous suffit d’un peu de clairvoyance pour le voir nous-mêmes. ( Le messianisme et la paix des nations- Extraits des écrits du Rav Kook, en français)

En tout cas, ce messianisme de l'orthodoxie juive va dans le sens d'une paix mondiale, même si pour le moment, il y a beaucoup à faire.

Si pour les chefs religieux d’Israël, leur conception du messianisme est l'établissement définitif de la paix des nations, qu'en est-il des chrétiens ?

LES CHRÉTIENS ET LE MESSIE

Les chrétiens ne peuvent pas suivre ce messianisme du judaïsme, car ils ont acquis la foi en Jésus, le vrai Messie, qui a été envoyé par Dieu, qui est mort et ressuscité pour libérer les hommes de leurs péchés et de la mort, et qui a reçu du Père, gloire, puissance et autorité dans les cieux et sur la terre.

De plus, le Messie venu de Dieu n'apporte pas la paix dans ce monde, mai une épée. Ce qui signifie une impossibilité de paix entre ceux qui suivront Jésus Christ et qui en rendront témoignage et ceux qui ne le suivront pas ou ceux qui suivront un autre Messie. (Matthieu 10.34-39).

COMMENT LA PAIX DEMANDÉE PAR LE SEIGNEUR EST-ELLE POSSIBLE ?

Dans les Écritures, nous sommes exhortés à rechercher la paix avec tous les hommes, mais autant que cela dépend de nous. (Romains 12.17-21).

Ainsi, quand la paix n'est pas possible avec nos familles ou nos proches, c'est sans équivoque l'épée dont parle notre Seigneur. Cette fracture entre les chrétiens et le monde, vient de l'épée de l'Esprit, de la Parole de Dieu.

Il est écrit : « Car la Parole de Dieu est vivante, et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à double tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du cœur. » Hébreux 4.12, 13

Mais la paix du Christ ne s'installe pas uniquement dans les relations entre personnes, elle s'installe avant tout dans le coeur de ceux qui marchent selon l'Esprit de Christ. Cette paix remplace l'épée de l'Esprit qui a fait son oeuvre dans nos sentiments et nos pensées.

Donc, les chrétiens ont une autre attente que celle du messianisme juif de notre époque.

Cette espérance repose sur la bénédiction donnée aux fidèles lors de l'avènement du Seigneur Jésus Christ.

L'avenir des chrétiens n'est pas sur cette terre, ils attendent avec un ardeur désir de rentrer chez eux dans la cité céleste. (Hébreux 11.13-16).

Pour ce qui concerne, la paix espérée d'Israël et du monde, l'apôtre Paul rappelle aux chrétiens de Thessalonique, ce qui arrivera à ceux qui attendent la paix sur la terre : « Pour ce qui concerne des temps et des moments, vous n'avez pas besoin, frères, qu'on vous en écrive. Car vous savez bien vous-mêmes que le jour du Seigneur viendra comme un voleur dans la nuit.

Quand les hommes diront : Paix et sûreté ! Alors une ruine soudaine les surprendra, comme les douleurs de l'enfantement surprennent la femme enceinte, et ils n'échapperont point. » I Thessaloniciens 5.1-3

Serge Rossi

Groupe : COMBATTRE POUR LA VÉRITÉ

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[c-etait-ailleurs]

Que sommes-nous, en effet, qu’est ce que notre caractère, sinon la condensation de l’histoire que nous avons vécue depuis notre naissance.

Henri Bergson, Durée et simultanéité

[gwendolynlerman]

Grammaire française C1

L’antériorité, la simultanéité et la postériorité

La postériorité

Pour exprimer la postériorité par rapport à un verbe de la phrase matrice conjugué au passé, nous avons le choix entre sept temps :

le passé simple ;

Exemples : Ils avaient vécu (plus-que-parfait) en paix jusqu’au jour où on creusa un canal. On avait construit (plus-que-parfait) une digue à toute épreuve qui céda pourtant à la première crue.

le passé composé ;

Exemples : Ils avaient vécu (plus-que-parfait) heureux jusqu’au jour où nous avons élevé une tour. On avait construit (plus-que-parfait) une digue à toute épreuve qui n’a pourtant pas tenu longtemps.

l’imparfait ;

Exemples : On avait construit (plus-que-parfait) une digue à toute épreuve, qui menaçait aujourd’hui de se rompre. Il avait confectionné (plus-que-parfait) les sandwichs que nous étions en train de manger.

le conditionnel passé ;

Exemples : Il avait écrit (plus-que-parfait) un roman qui aurait pu avoir du succès. Ils nous promirent (passé simple) qu’ils seraient rentrés avant minuit.

le conditionnel présent ;

Exemples : On croyait (imparfait) que vous ne reviendriez jamais. Vous n’auriez pas dû (conditionnel passé) faire des promesses qu’il vous serait impossible de tenir.

le présent ;

Exemples : Il avait trouvé (plus-que-parfait) une perle comme on n’en trouve plus. Il vécut (passé simple) plus longtemps qu’on ne le prétend.

le futur.

Exemples : Il faisait (imparfait) aussi chaud l’été qu’il fera froid l’hiver dernier prochain. Ceux auraient dû (conditionnel passé) qui vous aideront m’aider aussi.

Pour exprimer la postériorité par rapport à un verbe de la phrase matrice conjugué au présent, nous avons le choix entre deux temps :

le futur ;

Exemples : Il paraîtrait (conditionnel présent) qu’ils ne reviendront (futur simple) plus. Il semblerait (conditionnel présent) bien qu’il n’aura pas fini (futur antérieur) avant ce soir.

le conditionnel présent.

Exemples : Pourriez-vous (conditionnel présent) imaginer ce que vous iriez faire à New York ? Je laisse (présent) la clé sous le paillasson au cas où tu arriverais avant moi.

Pour exprimer la postériorité par rapport à un verbe de la phrase matrice conjugué au futur, nous avons le choix entre deux temps :

le futur simple ;

Exemples : Après la fin du procès, il dira (futur simple) qu’on le soupçonnera encore. Nous aurons fini (futur antérieur) nos devoirs quand la fête commencera.

le conditionnel présent.

Exemple : Tu fermeras (futur simple) les fenêtres au cas où il se mettrait à pleuvoir durant la nuit.

[christian-dubuis-santini]

Structure mœbienne du sujet de la psychanalyse, le sujet de l’inconscient, noté $ (S barré) par Lacan

Dans la cure analytique, l'important n'est pas de parvenir a la vérité factuelle de quelque événement depuis longtemps oublié, ce qui est en jeu c'est la restructuration du passé, la manière singulière dont ce souvenir passé affecte la position d'énonciation présente du sujet.

L'effet de "vérité" recherché par la cure analytique réside en ceci: lorsque j'extirpe du monde insondable du refoulement un souvenir enfoui et que je l'intègre à mon "savoir", cela modifie la "compréhension" que j'ai de ma situation, et transforme mon horizon symbolique, après quoi, je ne puis plus être le même qu'auparavant…

Bien qu’il ne livre son accès que par la médiation du symbolique, le sujet de l’inconscient est réel

Le Réel, tel qu’il est circonscrit par Lacan, c'est l'impossible logique.

L'impossible arrive.

Le réel se fait jour à travers la notion de trauma, qui veut à la fois dire blessure, et ce qui la soigne, et aussi le rêve (en allemand: Traum).

Pour le psychanalyste, le trauma répond d’une définition simple: une cause qui ne préexiste pas à ses effets.

Le Réel en tant que cause de lui-même est pour toujours absent.

Le trauma n'est donc pas à entendre au sens laxiste psychologique contemporain d'avoir été "traumatisé", le trauma n'est pas réductible à une "experience traumatisante" trop forte pour le sujet saisi par une émotion si intense qu'il ne sera pas parvenu à l’intégrer dans son univers symbolique (c’est à dire son "psychisme" ou l'idée qu'il se fait de lui-même) ; le trauma est à entendre au sens strict psychanalytique comme le moment où une personne sera devenue sujet, au sens le plus réel du terme.

C'est là que se rencontre l'horreur indescriptible de nos pires terreurs, le lieu de notre inadéquation fondamentale à l'Autre, la source originelle de nos problèmes, nous pénétrons alors dans le domaine de l'effroi où l'embryon pré-sujet s'inaugure en sujet castré.

En vérité, le trauma émerge toujours rétroactivement, comme refoulement, le retour du refoulé et le refoulement coïncidant dans une absolue simultanéité.

Le Réel pré-symbolique serait ce monde avant que le sujet ne puisse naître comme toujours déjà immergé dans le langage ; le réel après l'émergence du symbolique apparaît donc comme un excès, le résultat de l'imposition de l'ordre symbolique, le reste que l'ordre symbolique ne peut pas capturer dans ses filets.

Le Réel donne prise au symbolique qui à son tour donne prise au Réel qui échappe à sa saisie, l'abord du Réel étant toujours structuré par l'apparition de l'ordre symbolique.

Le paradoxe du trauma en tant que cause qui ne préexiste pas à ses effets (mais qui est rétroactivement déduit de ses effets eux-mêmes) implique une boucle temporelle: c'est à travers ses répétions, à travers ses échos à l'intérieur même de la structure signifiante que la cause devient rétroactivement ce qu'elle aura toujours été.

C'est à partir du moment où le sujet émerge en tant que sujet du langage, sujet du signifiant (dont le corps entier est mortifié et morcelé par l'emprise du signifiant), que les symptômes apparaissent comme relatifs au trauma.

Notre fantasme, c’est là où on peut remonter le plus loin pour approcher la notion du trauma, le fantasme voilant la béance du Réel, qui en tant que cause de lui-même reste absent.

Le trauma à proprement parler – ce qui met la logique en faillite – c’est que le lieu du Réel pré-symbolique n'a jamais et n'aura jamais eu lieu ... il n'y a pas de réalité pré-discursive, et voilà donc l’objet a, l’objet toujours déjà perdu de la psychanalyse, l’objet-cause du désir, qui n’est pas à situer devant, mais derrière le sujet.

En psychanalyse, le sujet (noté $) apparaît comme rejet de la chaîne signifiante, ce en quoi le sujet est réel: s’il y a bien un sujet du signifiant, il n’y a pas d’inconscient du sujet.