Tumgik
#squamiform
forgottenpnffacts · 5 years
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-Phineas and Ferb keep a list of "S" words seldom used by kids that they cross off when they use them
-Phineas and Ferb have used the words: sanctimonious, simultaneously, spagyrist, shenanigans, sphyemodic, squamiform, and septuagenarian
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and on today’s episode of “things I’ve wanted to do for weeks but never gotten around to,” here’s a rundown of Phineas and Ferb’s list of s-words seldom used by teenagers because what the fuck is up with these kids’ vocabulary
sanctimonious (adj): making a show of being morally superior to other people.
solipsism (n):  the view or theory that the self is all that can be known to exist.
simultaneously (adv): at the same time
spagyrist (n): an alchemist, especially one who tried to discover remedies for diseases
siccimeter (n): An apparatus for measuring the evaporation from a surface of water
scurrilous (adj): making or spreading scandalous claims about someone with the intention of damaging their reputation OR hilariously insulting
shenanigans (n): secret or dishonest activity or maneuvering OR silly or high-spirited behavior
sabretache (n): a flat satchel on long straps worn by some cavalry and horse artillery officers from the left of the waist-belt
sphyemodic (adj?): technically not a word, but a possible misspelling of sphygmodic, which means pulselike or rhythmic
squamform (adj?) also technically not a word, but a possible misspelling of  squamiform, which means in a loud manner or directly
solfatara (n): a natural volcanic steam vent in which sulfur gases are the dominant constituent along with hot water vapor 
septuagenarian (n): a person who is from 70 to 79 years old
setigerous (adj): covered with bristles; having or bearing a seta or setae
schematomancy (n): divination by the examination of a person's appearance or form to determine his personal history
saburration (n): the use of heated sand in healing
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lecorcure · 4 years
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Ce matin-là pourtant, il se trouvait au pied du plus haut de ces arbres, et plongeant le regard dans la profondeur de sa ramure, il calculait qu’il ne devait pas avoir moins de cent cinquante pieds de haut. Après plusieurs jours de pluie, la fraîcheur du matin annonçait un retour du beau temps. La forêt fumait comme une bête, et dans l’épaisseur des mousses d’invisibles ruisseaux faisaient entendre un ramage inhabituel. Toujours attentif aux changements qu’il observait en lui-même, Robinson avait noté depuis plusieurs semaines qu’il attendait désormais chaque matin le lever du soleil avec une impatience anxieuse et que le déploiement de ses premiers rayons revêtait pour lui la solennité d’une fête qui, pour être quotidienne, n’en gardait pas moins chaque fois une intense nouveauté.
Il empoigna la branche la plus accessible et s’y hissa sur un genou, puis debout, songeant vaguement qu’il jouirait du lever de soleil quelques minutes plus tôt s’il grimpait au sommet de l’arbre. Il gravit sans difficulté les étages successifs de la charpente avec l’impression grandissante de se trouver prisonnier — et comme solidaire — d’une vaste structure, infiniment ramifiée, qui partait du tronc à l’écorce rougeâtre et se développait en branches, branchettes, tiges et tigelles, pour aboutir aux nervures des feuilles triangulaires, piquantes, squamiformes et enroulées en spirales autour des rameaux. Il participait à l’évidente fonction de l’arbre qui est d’embrasser l’air de ses milliers de bras, de l’étreindre de ses millions de doigts. À mesure qu’il s’élevait, il devenait sensible à l’oscillation de l’architecturale membrure dans laquelle le vent passait avec un ronflement d’orgue. Il approchait de la cime quand il se trouva soudain environné de vide. Sous l’effet de la foudre, peut-être, le tronc se trouvait écuissé en cet endroit d’une hauteur de six pieds. Il baissa les yeux pour échapper au vertige. Sous ses pieds, un fouillis de branches disposées en plans superposés s’enfonçait en tournant dans une étourdissante perspective. Une terreur de son enfance lui revint en mémoire. Il avait voulu monter dans le clocher de la cathédrale d’York. Ayant longtemps progressé dans l’escalier raide et étroit, vissé autour d’une colonnette sculptée, il avait brusquement quitté la rassurante pénombre des murs et avait émergé en plein ciel, au milieu d’un espace rendu plus vertigineux encore par la lointaine silhouette des toits de la ville. Il avait fallu redescendre comme un paquet, la tête enveloppée dans sa capeline d’écolier...
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Il ferma les yeux et appuya sa joue contre le tronc, seul point ferme dont il disposât. Dans cette vivante mâture, le travail du bois, surchargé de membres et cardant le vent, s’entendait comme une vibration sourde qui traversait parfois un long gémissement. Il écouta longuement cette apaisante rumeur. L’angoisse desserrait son étreinte. Il rêvait. L’arbre était un grand navire ancré dans l’humus, et il luttait, toutes voiles dehors pour prendre enfin son essor. Une chaude caresse enveloppa son visage. Ses paupières devinrent incandescentes. Il comprit que le soleil s’était levé, mais il retarda encore le moment s’ouvrir les yeux. Il était attentif à la montée en lui d’une allégresse nouvelle. Une vague chaleur le recouvrait. Après la misère de l’aube, la lumiere fauve décousait souverainement toutes choses. Il ouvrit les yeux à demi. Entre ses cils, des poignées de paillettes luminescentes étincelèrent. Un souffle tiède fit frémir les frondaisons. La feuille poumon de l’arbre, l’arbre poumon lui-même, et donc le vent sa respiration, pensa Robinson. Il rêva de ses propres poumons, déployés au dehors, buisson de chair purpurine, polypier de corail vivant, avec ses membranes roses, des éponges muqueuses… Il agiterait dans l’air cette exubérance délicate, ce bouquet de fleurs charnelles, et une joie pourpre le pénétrait par le canal du tronc gonflé de sang vermeil...
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Du côté du rivage, un grand oiseau de couleur vieil or, de forme losangée, se balançait fantasquement dans le ciel. Vendredi exécutant sa mystérieuse promesse faisait voler Andoar.

Michel Tournier, « Vendredi ou les limbes du Pacifique ». 1967.
Photos ©Lecorcure
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