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#transports touristiques
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Transfert aéroport Casablanca
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mdameninie · 9 months
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Retour sur la création mon City Trip Européen...
Cet été, j’ai voulu voyager autrement. Et pourquoi ne pas le faire en train, dans la mesure du possible et parce qu’au final, je suis celle qui aimerait bien aussi préserver un maximum notre planète pour l’épanouissement de nos enfants et des générations futures. Cette expérience passionnante, vous permettant d’explorer plusieurs destinations captivantes en une seule aventure.Dans cet article, je…
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Touristique Express S.A, levée des sanctions : Le Ministre des Transports autorise la reprise des activités de la compagnie
Dans un COMMUNIQUÉ DE PRESSE largement diffusé ce lundi 15 mai 2023, le Ministre des Transports autorise la reprise des activités de la compagnie Touristique Express SALe Ministère des Transports de la République du Cameroun annonce aujourd’hui la levée de la suspension de la compagnie Touristique Express SA. Cette décision exceptionnelle fait suite à un accident de la circulation tragique…
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homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 157
La Dominique arrivée
Nous partons pour la République Dominicaine.
Avant cela, je charge Samir de veiller sur la maison, au respect des rendez vous de Jimmy et de transporter Ed aux siens. Avec lui à la maison, nous partons en toute confiance.
Il nous conduit à Roissy (pour info j'ai procédé au remplacement de la berline de Marc par une Chrylser 300C break).
Habitués à voyager léger (moto oblige), l'hôtesse s'étonne du faible poids de nos valises (à peine 12 Kg pour deux et un bonne part est due aux kpotes !). Bien que très touristique, le pays est pauvre et je n'ai pris sur moi qu'une montre basique, mon percing d'oreille vide de tout pendentif, et mon cockring en or que je porte à mon sexe en espérant ne pas biper au passage des portiques (et si cela bip je serais peut être fouillé par un beau vigile). Marc ne prend pas ce risque et place le sien dans son bagage à main.
Dégouté ! Pas le moindre bip et pourtant il y avait bien un contrôleur que j'aurais aimé me faire (mais si cela se trouve c'était un mauvais coup !!).
Bin qu'en première classe, le vol n'a pas été totalement agréable malgré le champagne, des parents sans sens communs ont laissé brailler leur gamin une bonne partie du temps jusqu'à ce qu'un de nos voisins intervienne.
Arrivée à Punta Cana, un 4x4 avec chauffeur (très baisable) nous attendait. Direction notre villa. Pas de mauvaises surprises, l'habitation est telle que dans la publicité. Nous y sommes reçu par notre correspondant pour régler les détails triviaux. Il nous présente au personnel de maison, une cuisinière et deux hommes de service aussi " sexe " ;que le chauffeur qui reste tout le séjour à notre disposition sur place, puis nous présente un catalogue de mecs.
Les photos nous montrent toutes les mecs en maillot et à poil. Toutes les couleurs de peau et tous les types de mecs sont représentés du quasiment blanc au noir le plus profond en passant par tout les dégradés de peaux et de morphologie. Le correspondant nous précise, devant notre indécision que nous n'étions pas limité à un par personne mais que durant le séjour, nous n'avions qu'à l'appeler pour faire l'échange de nos Toy-Boy. Marc opte pour un jeune mec (1,80m, environ 18 ans) chocolat clair, musclé, imberbe avec un beau morceau entre les jambes. Moi, je choisi un noir très noir d'1m95, très musclé aussi (mais à part quelques crevettes efféminées, c'était plutôt le cas de tous les autres) et dont les attributs se rapprochent de ceux d'Eric (paraissant la 20aine).
Coups de fil et ils seront à la villa le soir même. Nous gardons le catalogue en cas de besoin.
En les attendant, nous nous mettons à l'aise. Nous allons passer le séjour en maillots principalement quand ce ne sera pas à poil (je dois faire attention à ne pas l'être trop souvent au soleil si je veut garder mes fesses blanches !).
Nous sommes dans la piscine à nous délasser du voyage quand on nous annonce que le " service + " est arrivé. Nous les faisons venir sur la terrasse et après les avoir vu habillés, nous leur demandons de se mettre nus. Sans complexes, il se défont de leurs pantalons larges et leurs chemisettes. Nous nous retenons de faire le tour de la " marchandise " mais ce n'est pas l'envie qui nous manque. Ils sont fidèles aux photos. Je m'approche du " mien " et lui prend le sexe en main. Il bande directe et malgré ses dimensions hors norme assure une raideur propre à tout enculage qui se respecte. Marc qui m'a rejoint, pose sa main sur le cou de son Toy boy et ce dernier se met aussitôt à genoux et entame une fellation. Je relève ma tête fixe mon mec dans les yeux puis baisse mon regard sur ma bite. Il a tout de suite compris et à genoux à coté de son collègue il me mange littéralement la queue. Ses grosses lèvres rouges tranchent sur la peau blanche de mon pubis. Du premier coup il avale mes 20cm sans que le passage de mon gland dans sa gorge ne lui procure de renvois. A mes cotés c'est pareil pour Marc, ses 22cm trouvent refuges entièrement dans son mec. Mes mains sur sa tête, je lime sa gorge avec entrain. Marc à mes cotés fait de même. Je sens ses grandes mains se poser sur mes fesses et augmenter la pression quand je suis déjà au fond. Il a l'air d'y prendre plaisir aussi. Je suis très excite et le balai de sa langue sur mon gland à chaque va et vient m'achève. J'ai juste le temps de me retirer et je lui marbre le visage de grandes trainées blanches de sperme. Bien éduqué, il ne bouge pas et reçois sans broncher tout le contenu de mes couilles sur sa tête. A nos coté, Marc fait de même et couvre son mec de la même façon. Marc leur dit d'aller se doucher (il y a une douche auprès de la piscine). Quand ils reviennent ils bandent encore. Comme je voulais enculer mon Toy-boy avant qu'il ne me mette (histoire de fixer quand même qui est le maître (dans la relation), et comme Marc aussi n'avait pas repris suffisamment de vigueur, je leur ai dit de faire un 69. sur les matelas de bronzage, alors que nous les mations depuis nos transat. Ils nous ont fait un très beau spectacle. Nous avons pu admirer leurs expériences. Les bites de l'un comme de l'autre ont pénétrées sans problème la gorge adverse jusqu'aux couilles. On comprend soudain mieux que même les 22cm de Marc y aient trouvés leur place. Je demande au mien de préparer le cul de son partenaire. J'ai pu ainsi voir ce qui m'attendait. J'ai admiré et puis j'ai été impatient qu'il me le fasse aussi à moi. Il a une technique irréprochable. Grand coups de langue sur la rosette, langue pointue pour pénétrer l'anus, ventousage de sa grosse bouche, je lui demandais régulièrement de reculer pour que je vois l'effet de son travail. Superbe ! l'oignon de son partenaire se détendait bien sous ses efforts. Marc lui a donné alors une kpote et lui a dit " encule le maintenant ". Obéissance parfaite, il a posé la protection XXL et nous l'avons admiré dans sa prestation. Je lui disais quand ralentir ou accélérer sa pénétration. Nous avons pu mater la séquence complète et le plaisir que prenait l'enculé à se faire défoncer par une telle bite (mesurée à la main : 25cm x 7). Nous les avons regardé comme dans un porno en live. Assez discrets dans leur baise coté verbal, ils ont assurés coté physique. Ils nous ont montré une bonne panoplie de positions et démontré aussi bien leur endurance que leur souplesse.
Ils jouissent à peu d'intervalle. Nous pouvons passer à table. Slip, maillot ou caleçon nous voilà attablés tous les 4. Diner couleur locale, langouste grillée. Nos " invités " ne se font pas prier pour fini les plats. J'observe que nos nudités ont quelques effets sur l'un des deux hommes de service, le plus jeune (environ 25ans baisable).
Nous sommes fatigués par le voyage et décidons de nous coucher. Choix : avec ou sans nos Toy-boys ?
La chambre principale est immense avec un très grand lit, nous tentons le couchage à 4. C'est trop juste ! Nous demandons alors à ce qu'un des lits d'une autre chambre soit transféré et en collant les deux nous obtenons une surface de couchage adéquate.
Nous serons réveillés en douceur par une pipe magistrale. Par rapport à la veille, nos suceurs s'étaient échangés nos corps et c'était le choix de Marc qui me mangeait la bite alors que ses 22cm disparaissaient dans la bouche du mien.
Le fait de les voir tous les deux à 4 pattes entre nos jambes nous a donné des idées et après les avoir contournés, s'être kpotés, nous avons testé pour la première fois leur cul. Mon noir avait des fesses magnifiques, rondes, musclées, un délice à écarter et son trou, bien que sûrement utilisé fréquemment, il enserrait ma queue fermement. A mes cotés Marc prenait autant de plaisir à sodomiser le sien.
Mon trou me démangeant, j'ai déculé et me suis mis devant mon black en lui demandant de me préparer. J'ai pu apprécier ce que nous n'avions que supposé la veille au soir. Sa bouche et surtout sa langue m'ont procuré des sensations particulièrement intéressantes. Je me suis ouvert comme sous l'effet du meilleur des poppers. Sans Marc qui lui a dit (à mon préparateur) qu'il pouvait me sodomiser, je crois que je me serais fait bouffer l'oignon jusqu'à la jouissance.
La tête et les épaules sur le matelas, le cul relevé j'attendais avec impatience qu'il pose sa kpote. Claquement du latex et je sens enfin son gland sur ma rosette. Il fait couler à la jonction de nos corps un bonne dose de gel et force soudain. Je me prend son gland. Mon anus se referme derrière la couronne. Il reprend sa poussée et mon sphincter s'écarte pour laisser passer le reste de sa tige. Il me rempli le ventre avec sa bite. ; C'est top bon ! surtout quand, après que je me sois habitué à ses dimensions, il se met à me limer en force. Je ne retiens pas mes gémissement et prend un plaisir énorme. Je tourne la tête pour voir Marc. Lui, il est en train d'enculer son choix et ce dernier à l'air d'y prendre plaisir.
Je me redresse et mes bras en arrière, je m'accroche à la nuque de mon enculeur, cambré pour ne pas perdre un cm de sa bite. Je sens alors sa bouche se poser sur mon cou, le lécher, mordiller mes deltoïdes. ;Une de ses mains enveloppe mon sexe et me branle fermement. Sans être calleuses, ses mains sont très fortes et compresse ma queue à la limite de la douleur (souvent cette limite est aussi celle du plaisir !). Sous les yeux de Marc, j'ai un orgasme pas possible. A la surprise de mon Toy-boy, mes muscles annaux le bloque dans ses va et vient et il ne peut plus sortir avant que j'ai fini de jouir. Dès que je le " libère " il s'enfonce rageur au fond de mon trou et éjacule dans sa kpote. A nos cotés Marc se lâche dans son mec, ce dernier ayant la courtoisie de juter en même temps.
Nous allons prendre nos petits déjeuners façon pantagruélique, la baise ça creuse l'estomac et la cuisinière au courant de nos ébats s'était surpassée en pancakes, beignets, bacon, oeufs frits... et fruits divers.
Nos Toys avaient accepté de ne revêtir, pendant leur séjour à notre service, qu'un jockstrap. Moi je me couvrais les fesses de mon maillot de bain alors que Marc restait à poil.
Nous passons les premiers jours à ne rien faire d'autre que se dormir, baiser, manger et bronzer. ; ;
Le chauffeur n'a rien à faire et nous avons remarqué que quand on baise sur la terrasse ou dans le séjour, il vient discrètement jeter un coup d'oeil. J'ai pu voir qu'il bandait dur ! Le troisième jour, alors qu'il nous mate je me décolle du Toy de Marc que j'enculais alors pour aller le chercher et l'inviter à participer. Marc appelle alors nos deux hommes de service qui ne se font pas prier pour nous rejoindre. Nous avons improvisé une touze où j'ai l'impression tous ont pris leur pied. Marc et moi les premiers. J'ai explosé après pas mal de positions possibles passif comme actif alors que je me faisais mettre par mon Toy-boy et que j'enculais notre chauffeur.
Marc lui a juté dans le cul d'un de nos hommes de service alors que son " jouet " couchés sous eux, lui bouffait les couilles.
En fin de première semaine, nous avons changé nos " accompagnateurs ", non sans leur avoir montré en dollars tout le plaisir que nous avions eu avec eux. Au moins cette somme n'ira pas enrichir leur intermédiaire !
Les suivant sont arrivés dans l'heure qui a suivit leur départ. Cette fois nous avons choisi deux jeunes mecs indiqués comme passifs. La touze précédente nous ayant permis de découvrir dans le personnel mâle de la maison ce qu'il me fallait comme actif de bon calibre.
La seconde semaine, j'ai quasi systématiquement baisé en " jambon de sandwich ", Marc ou un des hommes de service dans le cul et un des petits jeunes planté sur ma bite. Marc, lui, s'est essayé tous les trous des 5 mecs de la maison, et pas un pour rechigner devant sa queue. Les pipes toujours profondes nous ont procuré de merveilleuses éjaculations.
Un coup de fil à Samir m'a rassuré sur le fonctionnement de ma petite entreprise. Jimmy s'est bien rendu à tous les rendez vous et lui avait remis à chaque fois le montant exacte de sa prestation. Quand à Ed, il l'avait véhiculé comme prévu et après un instant de gène, il m'a avoué qu'il l'avait baisé au retour de son deuxième rendez vous. Quand je lui ai fait raconter la chose, j'ai bien senti, malgré sa formulation propre à prendre sur lui toute la responsabilité de l'affaire, qu'Ed ne lui avait pas laissé le choix. Ce petit salaud sait se rendre irrésistible quand il le désire ! Comme il parlait de retirer ça de son salaire, j'ai éclaté de rire et lui ai dit qu'il n'en était pas question. Je lui réitérais ma confiance pour la semaine suivante en lui disant que s'il se faisait encore avec Ed, c'était leur problème et non le mien.
En république Dominicaine :
Nous avons même testé la baise en mer. Convaincus par notre chauffeur (qui devait avoir sa commission), nous sommes partis une journée en mer sur un catamaran géant où l'équipage constitué exclusivement de mec a été à notre service complet, du capitaine au moindre matelot et jusqu'au cuistot! Dans la journée je me les suis tous pris au moins une fois dans le cul. Ce qui devait faire quand même 5 mecs sur les 6 que comptait l'équipage. En effet, le plus jeune mousse était le vide couille du capitaine qui, sans problème, nous l'a cédé à Marc et moi le temps de la balade. Une véritable salope avec un physique qui pousse au viol (s'il n'était déjà consentant). Il nous a asséché les couilles comme un pro. Petit corps imberbe, musclé finement, d'une souplesse aussi incroyable que celle de Jimmy, nous avons même eu le plaisir de l'enculer ensemble Marc et moi et pour son plus grand plaisir habitué qu'il était aux bites de gros diamètre. Le capitaine avait beau être blanc, il était monté comme un âne, ce qui d'après ses dire lui assurait une autorité naturelle sur son équipage. ; J'ai tellement baisé et été baisé que le lendemain je n'ai supporté qu'une ou deux pipes pour dissiper la tension qui me prenait lorsque Marc baisait l'un de nos hommes de service ou un des deux Toy-boy.
JARDINIER
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Villa Unión y Termas de Fiambala 💧
Après San José des Chacal, nous avons repris la longue route vers Salta. Nous avons refait un tour vers Rodéo avant le départ pour pouvoir refaire la sublime route que nous avions vu et nous en avons profité pour laisser de l’eau au petit temple érigé par mon père et Nico.
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Suite à cela, nous avons mis le cap vers Villa Union car nous avions pour plan d’aller voir deux parcs classés par l’UNESCO : le parc Ischigualasto et le parc Talampaya. Nous voulions aussi en profiter pour aller à la Laguna Brava, un lac de fou rempli de flamands roses.
Malheureusement, Villa Union a été une grosse déception.
Dans cette zone, rien ne se fait sans guide et tout est très cher. Comptez entre 60 et 80€ par personne pour la visite des parcs qui se fait uniquement dans des bus touristiques ou dans sa propre voiture au milieu d’une caravane de véhicules. De plus, la Laguna Brava était fermée jusqu’à nouvel ordre à cause de la neige. Ici, le touriste français est vu comme un pigeon qui doit dépenser le triple de ce que dépense un local pour la moindre visite. Cette vérité était déjà assez présente sur tout le continent Argentin mais elle ne nous a jamais paru aussi flagrante qu’à Villa Union où les prix y sont exorbitants.
Nous n’avions pas envie de faire partie de cet engrenage et nous étions plutôt short sur l’argent après les réparations de la voiture. Nous avons donc fait l’impasse sur toutes ces visites et avons repris la route. A force de recherches nous avons quand même pu trouver une petite pépite à visiter totalement gratuitement : La Banda Florida, une version miniature de l’impressionnant canyon que vendait le parc Talampaya.
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De retour dans notre Doudi Cuatro en direction du Nord, nous avons fait une halte dans un petit restaurant Libanais, le tout premier de notre voyage ! Agréablement surpris par cette découverte culinaire qui nous changeait du bife et des milanaises, nous avons pris le temps de déjeuner là. C’est autour de délicieux mezzes libanais et sandwichs falafels que nous avons fait la rencontre de Georges et son épouse, les deux patrons du restaurant. Georges est un argentino-libanais qui parlait parfaitement français et avec qui nous avons discuté un long moment. C’était une rencontre passionnante durant laquelle nous avons appris plein de choses sur le Liban et sur la famille de Georges (son fils est réalisateur et il a fait un court métrage en partenariat avec l’institut du monde Arabe, rien que ça !). Avant de partir, la femme de Georges nous a donné le meilleur plan que l’on a eu depuis le début du voyage : LES THERMES DE FIAMBALA !
Ces termes cachées au milieu des montagnes, près de la ville de Fiambala, sont un plan très local et peu connu des touristes. Elles n’apparaissent d’ailleurs pas dans les résultats de recherche Google Maps quand on tape le mot « termas ». Nous nous sommes donc empressés de nous y rendre.
Nous sommes arrivés à Fiambala, une très jolie petite ville dont les alentours sont à tomber par terre tant ils sont beaux. Nous avons bu un coup sur la place en observant les centaines de motos défiler devant nos yeux. En effet, depuis la crise, tout le monde ou presque circule en moto, un moyen de transport plus économique et facile à réparer.
Nous avons pris le créneau du soir pour les thermes, 12€ par personne pour 4h à mariner dans l’eau chaude : un plan en or !
Les thermes sont sublimes. Après une fastidieuse montée en voiture dans les hauteurs rocheuses, vous vous retrouvez au milieu de 15 bassins d’eau chaude naturelle provenant directement des montagnes. Tout est en pierre, les locaux s’y prélassent en partageant les ragots du moment et vous avez même un restaurant à bon prix pour vous requinquer entre deux baignades. C’était un paradis sur terre ! Nous nous y sommes rendus le dimanche soir et malgré la foule nous avions largement l’espace pour profiter de l’endroit. Nous avons décidé d’y retourner le mardi matin pour avoir les thermes rien que pour nous.
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Après une nuit dans la pampa, nous sommes partis explorer le cañon del Indio le lundi, un magnifique canyon de pierres rouges qui s’étend sur quelques kilomètres.
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Le mardi matin nous sommes retournés à 8h du matin aux thermes. Pari gagné, nous avons eu les thermes rien que pour nous pendant deux bonnes heures avant de voir quelques locaux débarquer. Un pur bonheur !
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Nous sommes repartis détendus et heureux vers Cafayate, la dernière étape avant Salta !
Je vous raconte la suite dans le prochain post.
Besitos,
Luna.
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Le transport par navire émettant autant de gaz à effet de serre que celui par avions, les bateaux entament à leur tour leur transition énergétique. Le secteur vise la neutralité carbone en 2050, avec l’électricité en ligne de mire. S’il est expérimenté, le plaisancier repère immédiatement que ce bateau n’est pas comme les autres. Tout est dans la forme du moteur, à la poupe : plus fin, et manifestement plus léger. Le signe particulier des embarcations 100 % électriques que l’on commence à apercevoir le long des côtes. C’est à la fin de l’année 2020, durant la pandémie de Covid-19, que deux entrepreneurs de Barcelone se sont jetés à l’eau, François Jozic, cofondateur de Brunch Elektro, et Mathieu Quintart, fondateur de la plate-forme d’immobilier touristique Cocoon Holidays. Se sont penchés sur la problématique de pollution
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alexisgeorge24 · 7 months
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1 novembre :
Matinée dédiée aux corvées: séchage de tente et du sac de couchage, nettoyage des chaussures et de la popote, lessive, etc. L'après midi je constate avec regret que le seul musé qui m'intéressait est fermé car c'est jour férié. Pas grave je fais un massage "Inka" à la place. Les dommages du sac lourd sont rafistolés et la masseuse me met des pierres brûlantes sur tout le corps.... autant je pense bien tenir le froid, mais c'est au détriment de ma tolérance à la chaleur... J'espère que ça sert à quelque chose au moins. Le soir je mange une pizza familiale et je refais mon stock de calorie. Puis bus de nuit pour Puno sur le lac Titicaca.
2 novembre :
Arrivé au aurores, je pose mon sac à l'hôtel et j'enchaîne avec un tour organisé à la journée sur ce lac situé à 3800m d'altitude et dont la superficie est égale à 14 fois celle du lac Lémen. Je m'attends au pire pour cette journée d'attraction touristique, mais le lac est sur mon chemin vers La Paz, autant en profiter. On commence par visiter les îles flottantes (artificielle, en roseau) Uros où habitent les communautés du même nom. Elles ont abandonné leur activités de pêche pour se dédier exclusivement au tourisme (Ça a dû être sympas le covid). Puis visite de Amantani, une autre île avec d'autres communautés où on y fait une ballade de 1h. Puis retour à Puno (~6h de bateau en tout). Pizza et 1er Pisco Sour après quasiment 1 mois au Pérou et à la veille de mon départ pour la Bolivie.
3 novembre :
Bus pour Copacabana, ville supposée charmante au bord du lac Titicaca côte Bolivien d'où plusieurs excursions peuvent se faire, comme par exemple la fameuse Isla del Sol. Je n'y resterai que 1h le temps de manger et visiter la cathédrale... J'ai besoin de hautes montages andines, pas de paysages grecs de qualité contrefaçon chinoise. Donc bus pour La Paz. Ce qui me fera une journée transport mais sans regrets.
4 novembre :
Visite de la très moche La Paz. Bon je suis un peu sévère, elle a un certain charme mais uniquement lorsque contemplée de façon très macroscopique. En prenant par exemple le téléphérique qui fait office de métro, on peut prendre de l'altitude et admirer la ville qui s'étant dans une cuvette (et qui y déborde allègrement) avec au loin des glaciers. Les panoramas sont impressionnants sur cette "Toulouse" (tout est en brique mais je ne penses pas que ce soit pour des raisons esthétiques) et je passe 2h dans le téléphérique à faire toutes les lignes possibles. Sinon je visite quelques églises et me ballade à pied dans la ville, mais franchement c'est pas Rome.
5 novembre :
Parmis les glaciers qui dominent au loin La Paz il y a le Huayna Potosi à 6077m (!!!), et comme il fait beau les 3 prochains jours, je m'embarque dans une rando vers son sommet. Le premier jour (sur 3) consiste à rejoindre le camp bas (4800m) en voiture et de s'entraîner avec les crampons et piolets sur une langue du glacier qui s'étend pas loin du refuge. 1er expérience pour moi avec un tel équipement et dans un tel environnement. Je prends du plaisir à marcher sur le glacier puis de grimper un mur de 10m. Évidement je suis encordé et j'ai un guide personnel.  Journée tranquille physiquement et nuit dans un refuge confortable où je fais la connaissance d'un groupe de 10 personnes avec qui je passerai les 2 prochains jours.
6 novembre :
Grasse matinée. Pour des raisons d'organisation entre les groupes qui se succèdent vers le refuge "haut" (5270m) et d'acclimatation pour les fragiles (comme moi il y a maintenant un mois) la journée sera tranquille aussi. Vers 12h00 on part pour le prochain refuge. Je fais le trajet tout seul, sans suivre le groupe, en 1h. J'avoue être particulièrement en forme, je suis très excité de faire mon 1er sommet > 6000m. Mon rythme impressionne les guides et le groupe qui me suit. Du coup mon guide décidera de me faire partir du refuge pour grimper le sommet 1h après les autres. Sinon je risque d'arriver trop tôt pendant la nuit et de me geler les gamètes mal. Mais avant cela on dîne à 17h00 et se couche à 18h00. Réveil prévu pour 00h30 mais j'ai vraiment du mal à dormir, j'ai mal à la tête. Mais c'est le seul symptôme de l'altitude. Au Kilimandjaro c'était bien pire, et cette référence me donne de la force et je reste très positif pour l'ascension.
7 novembre :
Au réveil je pense avoir tout de même réussi à dormir 1h, et surprise, je n'ai plus mal à la tête. J'avale le petit dej, enfile crampons et harnais et c'est partit pour l'aventure. Tous les voyants sont au vert lorsqu'on commence, avec mon guide, à marcher sur le glacier. Je suis forme, je n'ai pas froid (je ne porte pas ma doudoune et il fait -7°C), pas de symptômes de mal d'altitude, la glace n'est pas couverte de neige et les crampons accrochent bien. Ce qui fait qu'on fonce, on double tout le monde et 3h30 plus tard on arrive au sommet, tous seul. Les 2es plus rapides atteindrons le sommet en 5h. Mais il fait encore nuit et on attend 1h dans le froid que le soleil se lève. Les paysages me réchauffent les yeux et par conduction thermique tout le corps (et non le boulot ne me manque pas!). Après la séance photos mais sans le drone (que j'ai trimballé mais qui a complètement gelé le rendant HS pour le moment), nous entamons la descente. Je prends conscience alors des paysages, de jour cette fois, et j'embête mon guide à faire plein de pauses pour capter par caméra les vues (le drone a décongelé). Arrivé au refuge je fais une siete en attendant les autres, qui seront dans l'incompréhension totale lorsque je leur donne mon temps d'ascension. Mon ego est flatté, surtout que je n'ai pas l'impression d'avoir poussé mes limites physiques. Puis retour au camp "bas", trajet jusqu'à La Paz, douche, sieste, dîner, bière, dodo.
Bilan Huayna Potosi: 13km, 1500m d+ (l'effort n'est pas du tout représentatif de ces stats)
8 novembre :
Et non, pas de repos, réveil à 6h30 pour visiter 2 canyons dans les environs de La Paz:  le Canyon de Palca puis la Valle de las animas. C'est assez uniques comme paysages, les canyons s'étant formés dans la terre (bien plus malléable que la roche) et donnant des formes de pâte à modeler faite par un enfant de 3 ans (mais un enfant avec une fibre d'artiste). Sur le chemin je ne croise que des chiens qui me feront sortir de ma zone de confort plus qu'au Huayna Potosi...
Bilan : 21km, 800m d+
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morocco-transfert · 9 months
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Réserver taxi aéroport Casablanca
Réservez votre taxi à l’aéroport Mohammed V Casablanca à l’avance pour une expérience de voyage sans stress ! Arriver à l’aéroport Mohammed V sans encombre est essentiel pour un départ ou un retour en douceur. Pour les voyageurs qui préfèrent la commodité et la rapidité, réserver votre taxi aéroport Casablanca à l’avance est la meilleure option. Avec notre service de réservation en ligne, vous…
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Jour 43 - Bacalar
Nous profitons de notre nuit supplémentaire à Bacalar pour dormir un peu ce matin. Enfin surtout Antoine, pendant que je retourne à la boutique de vélo prolonger notre location 🚲
Nous partons en milieu de matinée direction un "balneario" (accès privé mais bon marché à la lagune) pour louer un kayak. Nous partons pour deux heures et nous rendons sur la rive d'en face, ce qui demande quand même quelques efforts. Il faut dire que leurs pagaies sont assez lourdes et le kayak peu ergonomiques ! Nous traversons donc la lagune et progressivement l'eau devient foncée, il y a donc plus de profondeur, l'impression d'être dans l'eau des fjords en Norvège mais avec 20° de plus 🔥
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Parvenus de l'autre côté, nous cherchons un endroit pour accoster notre kayak et se baigner un peu. Le soleil est de plomb, on chauffe ! Nous essayons d'abord aux alentours de la mangrove sauf que le sol est extrêmement vaseux, on s'enfonce jusqu'aux cuisses ! Deuxième option qui se révèle être une très bonne solution, un bateau en béton laissé à l'abandon, drôle d'idée... Visiblement, les plantes qui envahissent le bateau peuvent être toxiques (d'après le panneau qu'on a approximativement traduit 😁).
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20-30 minutes de baignade dans l'eau toujours aussi claire mais avec plus de monde qu'hier ! C'est le spot où les bateaux touristiques s'arrêtent pour la baignade, et on est samedi. Mais rien de bien dérangeant, il y a suffisamment d'espace pour tout le monde 😋
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Nous reprenons notre nouveau moyen de transport et allons faire un mini tour dans la mangrove mais ça chauffe fort et le temps de traverser, nous arriverons au bout de notre réservation 🛶
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Nous croisons plein plein plein de petits poissons sur notre trajet ! 🐠
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La suspension de Touristique Express : une décision conforme à la réglementation en vigueur?!
Le Ministère des Transports a publié un message afin d’éclairer l’opinion publique sur la suspension de la compagnie de transport interurbain Touristique Express. Depuis l’annonce de cette décision, il y a eu une vague de désinformation sur les réseaux sociaux visant à manipuler l’opinion publique. Le Ministère des Transports tient à souligner que cette décision est conforme à la réglementation…
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Contacter l’agence Transfert Casablanca pour commander un taxi est la meilleure résolution à prendre pour assurer un voyage en toute tranquillité de l’aéroport vers le centre ville.
Notre agence dispose de taxis propres, modernes et bien équipés avec des chauffeurs sympathiques, indulgents et surtout bilingues pour faciliter la communication.
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Aujourd'hui, c'est docteur Rathatton, polytraumatisée, qui raconte sa journée. Désolée pour le pavé, j'ai besoin d'exorciser ce que j'ai vécu.
L'objectif était de nous rendre sur le Doi (mont) Suteph, visiter ses bucoliques villages et ses temples fastueux. Pour cela,nous avons décidé de louer (et conduire, à mon grand désarroi), un SCOOTER. Cet appareil charmant est manifestement connu pour sa facilité à manier (cte blague), et le peu de règlementation concernant ses gaz d échappement (combien d'année de vie perdue à avoir respiré autant de pollution...). Comme les glandus de la préfecture mettent 3 ans à faire le permis de conduire d'Aneth, c'est donc sur moi qu'est tombé l'insigne honneur de conduire cette chose. Dans Chiang Mai. Au milieu du périph et d'une horde de Thaïs en furie. Passé le premier temps d'adaptation où j'ai revécu l'ensemble du stress de mes 4 années de thèse condensé en une matinée, j'ai compris qu'au fond, la conduite en Thaïlande était telle que celle que je faisais à Paris en vélo. Les feux rouges sont pour les faibles, priorité pour les plus suicidaires, et les piétons sont une démonstration vibrante de la théorie de la sélection naturelle. Ci dessous, une petite photo de moi même, intérieurement en choc traumatique, dotée du seul casque que j'ai trouvé à ma taille (oui, un casque pour enfant... Sans visière).
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Afin de s'initier en douceur à la conduite du véhicule, et après être sortie de la ville, nous avons emprunté la petite route sinueuse de montagne menant au Wat Doi Suthep. Bâti à 1676 m, en 1373, ce temple fut construit sur ce mont en raison du comportement de l'éléphant exténué transportant une relique de Buddha. Celui ci aurait tourné 3 fois sur lui même et barit 3 fois. Je le comprends, j'étais dans le même état.
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Par un heureuse coïncidence, nous nous sommes ensuite retrouvées près d'un petit lac tranquille, auprès duquel des étudiants fêtaient leur remise de diplômes. Coutume surprenante, ceux ci portent des écharpes de billets, ou bien des bouquets de fleurs et billets.
Nous nous sommes ensuite dirigées vers le charmant village bucolique, devenu un moins charmant village touristique. Devant descendre pour se rendre au village, j'ai pu constater avec une certaine lassitude (la thèse aide à relativiser beaucoup de choses), que les freins de ce brave scooter n'étaient pas suffisamment puissants pour nous ralentir, et également insuffisants pour nous arrêter. Nous sommes cependant arrivée vivantes, par un coup du sort que je ne m'explique pas. Pendant qu'Aneth faisait une sieste, je me suis rendue à l'évidence. Si je voulais rentrer sur Chiang Mai vivante, et redescendre les 1500 m que nous avions monté, il allait falloir lâcher du lest, ce qui signifiait abandonner Aneth. C'est donc la mort à l'âme que je lui ai confié un petit sac de riz, des jolis cailloux blancs, et lui ai dit d'aller compter les buddhas dans la forêt avant de redescendre seule sur mon scooter vers le soleil couchant.
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Pour fêter nos retrouvailles, nous avons dîné autour d'un repas local!
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Bilan de la journée : j'ai failli écraser 457 êtres vivants, mais le seul qui s'est montré outré et a sifflé de mécontentement était un serpent de 7m de long en plein milieu de la route.
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hippocampinae · 1 year
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Le 23 août
C’est la fin du périple, on s’occupe des bagages, Mélissa-Anne a d’avance fait transférer ses bagages auparavant entreposés chez son amie à l’aéroport. On prend le train direction Narita pour un retour à Montréal. Départ 17h30 de Narita, arrivée à 16h30 à Trudeau. Le vol est d'environ  13 heures.
Un gros merci à Louise pour la préparation du voyage, en coordination avec Mélissa-Anne.
Un aussi gros merci à Mélissa-Anne pour son aide, transport, guide touristique, connaissance de la langue, de la culture, etc.  Arigato gozaimasu.
Finalement, une gratitude infinie aux prêtres Shinto et aux moines Bouddhiste pour avoir établi leurs lieux de culte respectifs principalement loin et en montagne, pour me faire réaliser que je n’étais pas en forme et qu’il était temps que je me prenne en main. 
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encantados2022 · 2 years
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Honduras - bilan :
Hasta luego Honduras !
Durée du séjour : 12 jours
Budget :
Chambre dans un hôtel : 35.-/nuit
Repas avec boisson : 8.-
Mojito : 4.-
A savoir que les prix sont bien différents sur le continent que sur les îles, plus touristiques.
Notre séjour au Honduras s’est composé en deux parties: l’île d’Utila et le continent. Notre première impression du pays n’était pas très bonne. Nous avons pu observer l’agressivité de certains honduriens : violente dispute entre un chauffeur de bus et une dame âgée (on a bien cru qu’il allait la frapper), insultes dans la rue, personnes qui se promènent avec une arme à feu dans les mains, conduite agressive etc. Cependant, ce n’était jamais dirigé envers nous et il faut noter que la plupart des honduriens étaient chaleureux.
Le fait d’être restés une semaine sur Utila sans devoir bouger nous a fait du bien et nous a permis de nous reposer. Les plongées y étaient particulièrement belles.
Sur le continent, c’était un peu plus l’aventure avec les transports publics et les treks dans la jungle. Nous y avons croisé très peu de touristes.
Le Nicaragua nous attend ! On se réjouit d’avance des 12h de shuttle demain ;-)
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