Tumgik
#vanessa hugdens christmas movies in there
bruciewayne · 3 years
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you can remove shit from netflix continue watching now,, i am At Peace
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girlysword · 4 years
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Review of Royal Spouses in Royal Rom-Coms
A Christmas Prince
A European royal marries an American journalist. This is probably the most iconic bad Christmas romcom not made by Hallmark because of that tweet where Netflix displayed shady standards for dealing with customer information. The idea of a Journalist-Queen is fantastic though. That is direct control of the royal public image. This is one of the few instances where the tradition stock character in these types of movies had absolutely no leg to stand on and a great example of an obsession with tradition blinding someone to an amazing opportunity.
Princess Switch
Two European royals marries American bakers, which is patently ridiculous. Particularly because these royal bakers apparently run their own stores (can you imagine the security problems that would cause?). Characterization-wise, the first movie did make a good argument for why Prince Edward and Lady Margaret wouldn’t be a good match, despite it being perfect on paper. They would be the most timid royal couple ever. The second movie had a disposable love interest in Margaret’s (absurdly young) chief of staff. He would have been a better match, if he hadn’t been a back-stabbing little bitch, and I believe that Margaret was definitely considering it before Kevin showed up. The worst offender on this list, but the Vanessa Hugdens holiday romcoms take themselves the least seriously of the entire genre, so I’m not entirely convinced it wasn’t done at least partially on purpose.
A Princess for Christmas
A European royal marries an American antiques expert. I feel that this one is automatically the smallest offender on this list because, although the couple is in line for the throne, there is no indication that they will ever inherit. The prince is the son of the duke and inherits the title from his mother, who was probably a younger sibling to the crown heir of whatever country this movie takes place in, or the country practices male primogeniture.
The Prince and Me
The Prince of Denmark courts an American pre-med student. Unique in that in takes place in a real country and that the girl does break up with the royal because she can’t deal with royal life. Although, the prince does come back and says he’ll wait for her, so the audience is meant to assume that they’ll get married someday. I think medicine is a much better profession for a working royal because I imagine that a doctor’s office is much easier to secure than a bakery. Also, I think the main character actually did pretty well when she was acting as consort, almost too well. From what I remember of the movie the main issue was that her celebrity distracted from the royal campaigns. She would be a great queen once she and the prince figured out how to integrate her ambitions with the royal agenda.
 Please let me know if there any other Royal Rom-Com Spouses you want my opinion on.
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lookatthescreen · 3 years
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Chronique #23 - Les films de Noël et la norme (Thème du mois - Les films de Noël)
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En ces temps de fêtes, les films de Noël fleurissent à tout va. Pour beaucoup, boire un chocolat chaud devant un de ces films est une tradition au même titre que décorer son sapin. Et pourtant, il y a ce sentiment que lorsqu’on en voit un, on les a tous vu… Se pose alors une question : les films de Noël obéissent-ils à une norme (dans le sens “majorité des cas”) ?
Premièrement, le film de Noël n’est pas un genre en soi. Ce sont des films qui correspondent surtout à un état d’esprit, on en trouve de plusieurs genres mais ils ont pour point commun la transmission de valeurs traditionnelles, et souvent, très américaines.
Mais alors, c’est quoi la recette d’un film de Noël en règle générale ?
Tout d’abord, les comédies romantiques avec princesse. Netflix en regorge : La Princesse de Chicago 1 et 2 de Michael ROHL, L’alchimie de Noël, de Monika MITCHELL (Vanessa HUGDENS ne fait-elle que ça de l’année ?), mais aussi A Christmas Prince d’Alex ZAMM et toutes ses suites. Le schéma est récurrent : une jeune femme ordinaire (patissière dans La Princesse de Chicago ou journaliste dans A Christmas Prince), bienveillante et soucieuse du bonheur des autres, rencontre un prince qui finit par (spoilers alert !) tomber amoureux d’elle et l’épouser. C’est la reprise de cette histoire vieille comme le monde : le prince amoureux de la paysanne. Et ça fait rêver : peu importe où tu es née, tu peux avoir un destin extraordinaire, grâce à cette chose dont nous rêvons tous : l’amour.
Il existe aussi les versions sans princesse : Love Actually, de Richard CURTIS (2003), par exemple, est un classique, diffusé tous les ans à la télévision. On y raconte les histoires d’amour de personnages qui se croisent et s’entrecroisent. Ici, pas d’histoires de prince charmant, mais des personnes ordinaires (ou presque, le film mettant tout de même en scène un Premier Ministre britannique) qui cherchent l’amour, avec des personnages attachants et bienveillants. L’amour est au centre de tout (y compris des musiques), il n’y a pas de méchants. L’antagoniste, ici, c’est le destin qui empêche les personnages de vivre leur amour (l’amoureuse de Sam, le petit garçon, déménage ; David, Premier Ministre ne peut vivre une histoire d’amour avec une secrétaire ; Mark est amoureux de la femme de son meilleur ami...). Il y cette idée qu’il faut se battre contre le destin pour une cause plus grande : l’amour. Et puisqu’il est plus fort que tout, tout est possible, y compris passer la sécurité d’un aéroport pour rejoindre son amoureuse (ce qui est d’ailleurs un cliché des films d’amour en général. Ce n’est pas réservé à Noël). 
(Pour voir l’extrait, c’est ici : https://www.youtube.com/watch?v=QDZb8BxJXtY)
Les films de Noël, ce sont aussi les comédies familiales. L’humour y est soft, on joue principalement sur le comique de situation. C’est le cas des films tels que Maman, j’ai raté l’avion, de Chris COLOMBUS (1990) où des cambrioleurs pas très effrayants enchaînent les gaffes et se retrouvent mis à mal par un enfant ou dans Les Gremlins, de Joe DANTE (1984) où ces petites créatures mignonnes se transforment en petits monstres. Et bien que monstrueux, ils ne font pas peur et se dédient plutôt à mettre la maison sans dessus-dessous. Les Gremlins ajoutent un côté magique (la transformation de ces animaux imaginaires) aux films de Noël, qui est un thème déjà bien présent à cette période (le Père Noël et ses lutins ne sont-ils pas les meilleurs des magiciens ?).
En matière d’animation, la plupart des œuvres s’adressent aux enfants (en règle générale, c’est une catégorie qu’on leur associe généralement, à tort). Même les oeuvres qui se veulent plus sombres reprennent ces schémas : L’étrange Noël de Monsieur Jack, de Henry SELICK (1993) prône la découverte de la bonté et de l’amour par une créature du monde d’Halloween.
Dans Le drôle de Noël de Scrooge, de Robert ZEMECKIS (2009), adapté à la base des Christmas Carol de DICKENS, connu pour ces histoires plutôt sombres, le personnage acariâtre et méchant de Scrooge vit différentes épreuves, en rencontrant des fantômes, qui l’amènent peu à peu à la bienveillance. Ce dessin animé n’est pas nécessairement pour les jeunes enfants, l’histoire d’origine datant du XIXe si��cle ne leur étant d’ailleurs pas adressée. Et pourtant, la magie et la rédemption par l’amour sont au rendez-vous.
Alors pourquoi allons-nous les voir, si nous en connaissons nécessairement la trame puisqu’ils suivent tous la même norme ? Premièrement, car ils se finissent bien. En cette période de fête, nous voulons éloigner les soucis (je vous renvoie ici à la chronique de Mathilde AMBACH, sur le réconfort dans les films de Noël). Quoi de mieux pour se changer les idées qu’un film empli de féérie où tous les problèmes sont résolus ? De plus, et c’est très important, ces films sont tous consensuels. On y prône la bienveillance, la tolérance, aucune sensibilité et opinions n’y sont heurtées. On peut les regarder en famille et ils n’entraîneront aucun débat risquant de se terminer en débris de vaisselles. Puisque l’on sait déjà à peu près ce que l’on va y trouver, on le regarde sans risque.
Et les films de Noël qui ne correspondent pas à cette norme ?
En ce qui concerne les comédies romantiques de Noël, ce n’est pas encore ça… En 2015, Todd HAYNES réalisait Carol, où Cate Blanchett, femmes mariée dans les années 50 tombait, à la période de Noël, amoureuse de Thérèse, vendeuse dans un grand magasin. Cependant, ce film relève plus du drame que du “feel good movie” (film fait du bien) que je décrivais ci-dessus. Peut-on alors le considérer comme un film de Noël ? Telle est la question…Il aura donc fallu attendre 2020 pour qu’une comédie romantique familiale parle ouvertement d’homosexualité féminine : Ma belle-famille, Noël et moi semble reprendre tous les codes de la comédie romantique et familiale de Noël, (d’après sa bande-annonce, le film n’étant pas encore sorti en France au moment où j’écris cette chronique), mais tire son originalité de son histoire d’amour principale : un couple de femmes !
L’un des grands films de Noël, devenu culte et qui, pourtant, défie la norme est Le Père Noël est une ordure, de Jean-Marie POIRE (1982). Le titre du film (à la base une pièce de théâtre) est bien choisi puisqu’il montre cette variante. Le Père Noël, figure bienveillante incontournable de cette période, est ici accolé à un nom péjoratif. L'entièreté du film est basée sur ce concept. Les poncifs du film de Noël y sont maltraités.
L’histoire prend place dans les bureaux de “SOS Détresse Amitié”, où des bénévoles passent leur nuit de Noël à réconforter au téléphone des personnes seules et malheureuses. On y retrouve donc les personnages, prônant la bienveillance, l’aide des autres. Cependant, ils sont ici tournés au ridicule. Ils aident de loin, à distance, et n’hésitent pas à mettre des barrières dès qu’une de ces personnes désespérées s’approche un peu trop. On y retrouve l’humour… qui est ici noir (spoiler alert : le garçon tout mignon de Maman, j’ai raté l’avion ne découpe pas de cadavre à la scie dans sa cuisine).
Le film inverse le postulat : les fêtes de fin d’année n’ont rien de festif, c’est un moment déprimant pour plein de gens. On a l’obligation sociale d’être heureux alors qu’on ne l’est pas nécessairement. 
Alors que Noël n’est qu’illusion avec la magie et les lutins, Le père Noël est une ordure est un film sur la désillusion. Finalement, la seule personne lucide est Katia, le travesti joué par Christian CLAVIER, qui lui, sait depuis le début que “la vie est une chienne borgne sous un ciel d’octobre”, pour reprendre cette superbe métaphore de Fabrice CARO.
A noter que contrairement aux principaux exemples de films de Noël cités ci-dessus et auxquels nous sommes habitués, celui-ci est un film français. Comme tout film français qui se respecte, il se veut un peu plus réaliste que le cinéma américain et anglo-saxon.
Et pourtant, ce film n’est pas déprimant. Comme tout bon film de Noël, on y rit, et le film se termine bien pour les personnages principaux : après tout, les personnages rentrent chez eux gaiement, en parlant du réveillon du Nouvel An. Aussi terrible soit l’histoire, aussi déconstruites soient les valeurs traditionnelles, le film de Noël ne peut être triste.
Ainsi, des films de Noël qui ne rentrent pas dans le moule, il y en a finalement peu. Il ne faut pas oublier que le film de Noël doit être rentable, en se tournant donc vers le plus commun, le traditionnel, les valeurs les plus partagées. Cela n’en fait pas des mauvais films, au contraire, mais on en oublie les gens qui ne se retrouvent pas dans cette norme, dans cette majorité. De plus, le film de Noël s’inscrit vraiment dans une période de l’année précise, avec un état d’esprit festif qui lui correspond : il est donc difficile de s’en détacher, sous peine de ne plus être un film de Noël. S’ajoute à cela que, comme toutes les œuvres, le film de Noël s’inscrit dans le contexte de son époque. Heureusement pour nous, nous vivons dans une société qui s’ouvre de plus en plus à la diversité. Le cinéma suivra probablement, voire amorcera le mouvement, car c’est aussi son rôle !
Chronique écrite par Lucie Basso de March
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