#vue agency
Explore tagged Tumblr posts
Text
i love vueko but i need to be slightly less vueko* and more belaf. and i don’t just mean i want to be a confident and dignified and intense looking person of unconventional appearance whose gender isn’t necessarily clear upon initial visual assessment. actually maybe i do
#*note: i think she’s a way way stronger and better person than me!!#i actually generally resist comparing myself to Vue for that reason#it goes hand in hand with my frustration with how much o fthe fandom infantilizes or victimizes her#i don’t see her that way! i think she has way more strength and agency than me even if she has no idea#BUT#we are both nervous blobs. this is inescapable.#(i also think that Sex Meta Aside we both love the same way. deep admiration with no expectation of return.)#(it can be dangerous unless you fall for someone that truly deserves it. but that aspect is entirely down to my Belavue Hallucinations)#(anyway i need to be less of a self Doubt Blob even though i love that Self Doubt Blob)#this post wasn’t really about gender it was about dignity and confidence but also if we’re gonna go there#i’m a woman but I want to be a woman like everyone’s favorite Androgynous Woman Version of Belaf#GNC Woman Belaf in Vuebela Yuri..Save Me [All of That Phrase Repeated]…#are there seven gender versions i like for that thing or only six? I forgot. I need to write a list again
9 notes
·
View notes
Text

Vue with Ruby on Rails: Best Combination for Web Development
Discover the power of combining Vue with Ruby on Rails for modern web development. This dynamic duo can significantly enhance user experience (UX) and streamline the development process. By integrating Vue’s reactive components with the robust backend of Ruby on Rails, developers can create highly interactive and efficient web applications. Moreover, working with remote Ruby on Rails developers adds another layer of flexibility, allowing projects to progress smoothly and efficiently, regardless of location. This combination ultimately results in a more agile and responsive development process, leading to superior outcomes.
#Vue with Ruby on Rails#ruby on rails development#ruby on rails development company#ruby on rails company#ruby on rails development services#offshore ruby on rails development#ruby on rails development agency#ruby on rails development india#ruby on rails development firm#custom ruby on rails development services#ruby on rails development company usa#ruby on rails development company in india#ruby on rails development company india#hire ruby on rails development company#offshore ruby on rails development company#ruby on rails development new york#hire ruby on rails development companies#top ruby on rails development company#ruby on rails development companies in india#rails development companies#rails development company#ruby development company#rails company#rails development#ruby development#ruby on rails development companies#ruby on rails companies#ruby on rails web development#best ruby on rails companies#ruby on rails agency
0 notes
Text
#Custom Vue.js Application Development#Vue.js Development Agency#vue web development#vue app development#vuejs web development services
1 note
·
View note
Link
VueJS is two-way binding; whereas ReactJS is one-way binding and that's why VueJs uses more computer resources than ReactJS. Read our blog to check out for more information.
0 notes
Text
Des explosions entendues à Téhéran, Israël dit avoir bombardé des cibles militaires à l'instant 26 octobre 2024

The Jewish terrorist state of Israel is bombing: Iran, Lebanon, Palestine, Syria, Yemen, Iraq. They are building the Greater Israel.

Israël vient de riposter contre Téhéran capital de l'Iran. Les sites nucléaires seraient les prochaines cibles du régime islamique ❔❓❔

Une vue générale de Téhéran après que plusieurs explosions aient été entendues, à Téhéran, Iran, Photo prise le 26 octobre 2024. Majid Asgaripour (WANA) West Asia News Agency

7 notes
·
View notes
Text

Vue de l'exposition « Geography Biography » de Tacita Dean, dans le cadre de la saison "Avant l'orage" / View of Tacita Dean’s exhibition, "Geography Biography", in the frame of the season "Avant l’orage", Bourse de Commerce - Pinault Collection (Paris), 2023 © Tadao Ando Architect & Associates, Niney et Marca Architectes, agence Pierre-Antoine Gatier. Photo : Aurélien Mole Courtesy de Pinault Collection
5 notes
·
View notes
Text
Vu qu'en conduisant je pense toujours à des trucs et je me fais des arguments et contre-arguments dans ma tête pour vérifier et solidifier mes positions, j'en arrive à penser à des sujets relativement improbables.
Ce matin, j'ai fait un gros melting pot au départ d'un constat photographique.
Bien que l'observation qui suit soit probablement biaisée, il me semble que les filles sont plus aptes que les garçons lorsqu'il s'agit de cadrer et de rendre une image "belle". Leur préoccupation se porte sur l'effet que l'image produit et sur la qualité de son agencement, de ses couleurs (quelles émotions ressent-on en regardant l'image) alors que :
Les mecs : "HAHA voiture de course fait BRRRR TROP COOL". "OH PUTAIN AVION MiLITAIRE WEEEEEEE" (j'exagère à peine). Ils sont orientés objets. Leur sens de l'esthétique est incroyablement atrophié si bien que lorsqu'ils me demandent de faire des commentaires sur la qualité de leur production, je dois avoir recours à la méthode shit-sandwich tant c'est de la merde en boîte absolue à chaque fois).
Avec ce constat, ma tête directement, en bon réflexe de progressiste, va fouiller dans des explications systémiques et sociologiques du truc mais très (très) vite je me rappelle des expériences menées sur des bébés primates tant que sur des humains. Ces expériences on démontré que les mâles (humains comme primates) sont plutôt attirés par les jouets mécaniques: voitures, bâtons etc. Femelles : jouets à composante socialisante, poupées et peluches.
En contre-contre argument, il est évident que la société dans laquelle nous vivons renforce tout cela et c'est un problème que je ne perds pas de vue et un peu de conscience de ces influences néfastes à des niveaux individuels, pour essayer d'en sortir, est une nécessité.
En tant que parents nous n'avons rien poussé dans un sens ou dans l'autre. Malgré cela, nos enfants ont dès leur plus jeune âge montré leurs préférences en la matière et parfois elles furent relativement marquées. Ce que nous avons accueilli (et accueillons toujours) de manière indifférente tout en expliquant que l'on peut jouer avec n'importe quel jouet si l'on veut. Nous restons vigilants à ne rien renforcer, ni déforcer.
C'est leur voyage pas le nôtre. On est là en soutien.
12 notes
·
View notes
Text
Déjà, il faut savoir qui produit cette « étude ». Ou plutôt qui finance quoi.
Sur 1 847 105 €, le réseau « Action Climat » est financé à hauteur de 1% par ses adhérents, mais à plus de 50% des fonds privés. Le gouvernement ajoute 31% du total.
Voici la liste des financeurs ayant soutenu le Réseau Action Climat en 2022 :
Agence française de Développement (AFD) Agence de la Transition Écologique (ADEME) Climate Works Commission Européenne (Programme LIFE) ECOS EUKI Feedback Fondation Carasso Fondation Européenne pour le Climat (ECF) Fondation pour le Progrès de l’Homme (FPH) Fondation Oak Mairie de Paris Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires
Dès lors que l’on trouve la Commission Européenne, on sait à quoi s’en tenir. La municipalité écolo-socialiste de Paris est du même calibre.
Le plus intéressant est toutefois l’identité des fondations privées, car nous parlons nécessairement de fonds issus du monde des affaires, pas des impôts.
La fondation Feedback a été créé par Hal Harvey, un agent des familles Rockefeller et Hewlett qui a été chargé d’infiltrer les bureaucraties gouvernementales de nombreux pays.
Il a été baptisé « l’écologiste le plus puissant du monde » par le journal allemand Die Zeit. Disposant de fonds illimités pour recruter, former et soudoyer, il a méthodiquement pris le contrôle du ministère de l’économie allemand après une décennie d’infiltration. C’est lui qui a nommé l’un de ses associés à la tête du ministère, l’écologiste de gauche radical Robert Habeck.
Vu de France, personne ne comprend l’acharnement du gouvernement allemand à poursuivre une politique anti-nucléaire tout en s’alignant sur Washington qui mène une guerre contre l’alliance énergétique germano-russe. Sans le gaz russe, l’industrie allemande est condamnée à moyen terme face aux concurrents mondiaux.
Les Allemands ne le comprennent pas davantage. Une enquête de novembre dernier indique que 73% de l’opinion allemande désapprouve l’action du gouvernement Scholz. Les écologistes sont à 12% d’intentions de vote. Il faut préciser qu’en plus de Habeck, l’écologiste Annalena Baerbock occupe le ministère des Affaires étrangères où elle impose les vues des juifs de Washington, tant sur l’Ukraine que la Palestine.
Une autre fondation citée est la fondation Carasso, de son nom complet Fondation Nina et Daniel Carasso. Daniel Carasso est le juif séfarade qui a fondé Danone. La fondation est dirigée par leur fille, Marina Nahmias.
La Fondation Européenne pour le Climat est une organisation fondée en 2008 qui est présidée depuis 2017 par la juive séfarade Laurence Tubiana. C’est elle qu’Emmanuel Macron avait mandaté pour circonscrire la crise des Gilets Jaunes via la Convention citoyenne pour le climat.
La crise avait été déclenchée par la hausse mécanique des taxes sur le carburant votée par la majorité socialiste sous la présidence Hollande, première étape vers le rationnement de la consommation de la classe moyenne maquillée en « écologie ».
La fondation Oak, quoique officiellement située en Suisse, est une structure légalement basée dans l’île anglo-normande de Jersey, un paradis fiscal d’où elle gère une fortune colossale. Rien qu’en 2018, elle a accordé 350 millions de dollars de dons à diverses initiatives, notamment contre l’utilisation des énergies fossiles. Après des recherches poussées, la presse américaine a découvert qu’elle était indirectement contrôlée par la Banque Royale du Canada via une filiale, la RBC Trust Company Jersey Limited.
La Banque Royale du Canada n’est pas détenue par l’État Canadien, mais par des actionnaires, dont le groupe Vanguard qui gère plus de 7,000 milliards de dollars d’actifs dans le monde.
Personne ne va jamais voir qui finance ces coquilles vides écolo-réchauffistes qui payent des provocateurs pour bloquer les routes ou saccager les musées.
De bout en bout, la finance internationale est le commanditaire et cette finance veut que la plèbe intègre l’idée qu’elle ne pourra plus manger de viande, ni rouler en voiture.
Le discours sur l’apocalypse climatique ne sert qu’à faire accepter une baisse drastique du niveau de vie, baisse devenue inévitable avec l’énorme masse de dettes qui écrase les états occidentaux.
« Les résultats montrent qu’il est possible de réduire de 50% la consommation de viande tout en satisfaisant l’adéquation nutritionnelle et sans avoir recours à des produits enrichis ou à des supplémentations », ce qui « conduirait à une réduction de l’impact carbone de l’alimentation comprise entre -20% et -50% selon le type de changements alimentaires associés ». L’alimentation représente 22% de l’empreinte carbone de la France, et « 60% de ces émissions proviennent de la production, au niveau agricole, des aliments que nous consommons ». L’étude souligne qu’en France, « après deux décennies de baisse entre 1990 et 2012, la consommation de viande par habitant affiche une légère hausse depuis une dizaine d’années ». « La consommation de poulet par habitant en France a en effet plus que doublé entre 2000 et 2022 », ajoute l’étude. Plus généralement, « la quantité de viande consommée par habitant en France est aujourd’hui deux fois supérieure à la moyenne mondiale ».
La moyenne mondiale est notamment calculée en intégrant ce que mangent les noirs et les indiens tous les jours.
Tant que vous mangerez à votre faim, les financiers internationaux estimeront que vous vous gavez, vous et vos enfants, et ils voudront vous enlevez le pain de la bouche pour vous ramener dans le rang.
Le réseau Action climat, qui fédère une trentaine d’associations, et la Société française de nutrition, ont effectué « un travail de modélisation de régimes alimentaires durables » avec le bureau d’études MS Nutrition. L’étude prend comme référence les engagements pris par la France dans le cadre de sa 2e Stratégie bas carbone, qui vise notamment une réduction des gaz à effet de serre de son secteur agricole de 46% d’ici 2050.
Ce sont aussi ces financiers qui éradiquent les agriculteurs avec un mécanisme de concentration des fermes. L’accumulation de normes pseudo écologiques visent à éliminer d’office les agriculteurs qui ne peuvent pas suivre. L’objectif est de détruire la capacité de production.
Si vous vous demandez pourquoi ces financiers planifient cette liquidation des koulaks, c’est très simple : pourquoi attendre une dépression sans précédent, avec son lot de révolutions et de violences, si l’on peut ajuster la demande en compressant l’offre autoritairement ?
Pas d’offre, pas demande, c’est facile.
Dans l’esprit des financiers internationaux, il faut vider les étalages avant que les plébéiens ne soient trop pauvres pour se payer quoi que ce soit et ne demandent des comptes.
En leur disant que s’il n’y a rien dans les magasins, c’est pour survivre à la fin du monde, les affamés sont censés avoir l’impression d’être des ascètes, pas des gueux.
C’est un pari risqué, mais les banquiers juifs sont décidés à le tenter.
2 notes
·
View notes
Text
16 novembre :00h00 c'est une bonne heure pour débuter une journée si on a l'intention de profiter du lever de soleil au sommet d'un volcan. 2 heures de 4x4 pour se rapprocher au maximum du Parinacota à la frontière du Chili à 5100m. On est 4 en comptant notre guide. On passe rapidement de 0 à -10° en quelques 100aines de mètre d+. J'ai les mains congelée mais c'est le seul problème technique. Le cardio et le morale sont au top, et en 4h30 on atteind le sommet qui est à 6300m (!!!). Les derniers 300m étant particulièrement éprouvants puisqu'on avait l'impression que le sommet tout proche était inatteignable. Arrivé en haut évidement la vue est à couper le souffle, surtout à 06h30 aux aurores et avec le volcan jumeau du Paniracota juste en face, le Pomerape. On redescend en 1h30 puis s'enchaînent:
Retour à l'hébergement, taxi jusqu'à la frontière, bus jusqu'à Patacamaya, bus jusqu'à Oruro, pizza et visite express de la ville, bus de nuit jusqu'à Sucre.
Bilan: 7km, 1200m d+
En parallèle, Jessica fait mieux que moi avec une ascension à 9000m en 30min depuis l'aéroport CDG. Arrivée à Zurich escale de 6h avant de prendre le vol de nuit vers Sao Paulo et être sur le même continent que moi.
17 novembre : Arrivé de bonne heure dans le logement qu'on s'est réservé avec Jessica, j'en profite pour faire une lessive et prendre 5 douches. 4000km à l'est, Jessica termine un vol pénible car "peu d'espace pour mes jambes, à côté d'une personne un peu imposante et derrière une personne qui s'est littéralement allongée sur moi. Je retiendrai un mauvais souvenir de ce vol. Puis escale de 3h à Sao Paulo avant d'embarquer vers Santa Cruz. Arrivée en Bolivie, je passe la police aux frontières puis en voulant me diriger vers les couloirs de correspondance, j'aperçois mon sac de rando par terre avec d'autres bagages. Heureusement que je l'ai aperçu car j'ai du de nouveau m'enregistrer pour le dernier vol vers Sucre. Ensuite j'atteins enfin la ville pour retrouver mon Alexis qui est venu me chercher à l'aéroport vendredi vers 17h30".
Arrivés à la chambre, sieste méritée pour Jessica puis bar où elle découvre, à sa bonne surprise, les prix des cocktails en Bolivie.
18 novembre: Journée dediée à la visite de Sucre. Pour briller en société, il s'agit de la capitale constitutionnelle du pays, qu'est-ce que cela veut dire ? Que dans la constitution il est indiqué que la capitale c'est Sucre, voilà. La capitale de facto c'est La Paz (où siègent le gouvernement et autres institutions gouvernementales) et la capitale économique Santa Cruz. Bref, la ville est à 2800m, je suis donc au club med mais Jessica sent les montés. On commence la journée en prenant des churros AU DULCE DE LECHE. Ensuite on se dirige vers le museo del Tresoro où sont exposés des bijoux et pierres précieuses qu'on peut trouver dans le pays comme l'Ametrine Bolivienne (j'espère pouvoir caler cette information un jour lors dun diner). A défaut de trouver toutes les églises et cathédrales ouvertes au public, nous faisons un tour au marché ou je me pète le bide aux salades de fruits. On termine la visite par la Ricoleta, qui pour le plus grand plaisir de Jessica est à 100m d+. Belle vue sur la ville, visite d'un couvent et des musées sur les techniques de tissages indigènes. Bières/cocktails au même bar que la veille puis direction la gare routière pour notre bus de nuit vers Uyuni.
19 novembre: Arrivé à 5h30, ça nous donne le temps de prendre un petit déjeuner, trouver une agence pour un tour de 3 jours et organiser la suite de notre voyage au Chili. A 10h30 on charge le 4x4 et on commence par un "cimetière" de trains et locomotives. Nous n'avons aucune explication de notre "guide" Alex qui s'avérera tout aussi inutile que les locomotives. J'imagine qu'il s'agit d'anciens moyens de transports pour les mines du coins. En tout cas dommage pour le manque totale de conservation mais ça reste divertissant de grimper sur et dans les loco toute rouillées. Après ça, direction le Salar d'Uyuni, un désert de sel à perte de vue tout blanc avec un ciel bleu magnifique et quelques volcans au loin. Le desert est tellement impressionnant que de loin on voit le reflet des montagnes sur le sol. Il n'y a pas de mots pour décrire ce que l'on voit c'est sublime. Puis on s'enfonce un peu plus dans le désert, on déjeune dans un batiment en sel, puis de nouveau dans le désert mais cette fois éloigné des autres touristes pour pouvoir faire des photos. Ensuite on s'arrête sur une "île" de cactus géants. Jessica commence à en chier avec l'altitude (3600m). On termine la journée en admirant le coucher de soleil sur les montagnes en plein milieu du désert, spectacle incroyable. Nuitée dans un hôtel familiale de San Juan sans eau chaude. De toute façon les douches c'est pour les fragiles. Jessica n'est pas étonnée des vacances que je lui ai préparées.
20 novembre : On quitte le Salar pour s'enfoncer dans un désert qui me rappel le parc de Sajama. On roule au pied du Volcán Ollagüe que je capture avec mon drone à bord du 4x4, on s'arrête à des lagunes où habitent des flamands rose, on se promène dans une "forêt" de rochers, observe ves vigognes sauvages et des lapins andins. Le mal de tête de Jessica s'accentue lorsque qu'on remarque qu'on est à 4400m. On termine la journée avec la laguna colorada dans un paysage dessiné par Van Gogh puis par une région avec des fumerolles qui doivent se transformer en geysers tôt le matin (quand il fait très froid). A l'auberge, après le dîner, je laisse comater Jessica pour aller me baigner dans des thermes d'eau chaude sous un ciel chargé d'étoiles. Je traîne pas trop et je rentre tenir compagnie à Jessica qui passera l'une des pires nuits de sa vie.
21 novembre : Jessica se réveil avec du plomb dans la tête et c'est partie pour continuer notre visite, youhou. On ne visitera qu'un lac puis direction la frontière chilienne. On frôle la prison à cause de Jessica qui avait oublié dans sa poche un citron vert au moment de passer la douane. Je nous esquive un interrogatoire musclé en le balançant dans la poubelle en prétextant vouloir aller aux WC. Une fois sortie de mon personnage d'agent 007 je m'aperçoit qu'on pouvait le déclarer en 2 min sans être embêté. La douane passée, au plus grand plaisir de Jessica nous passons de 4700m à 2400m en arrivant à San Pedro. Le mal d'altitude disparaît progressivement et elle peut à nouveau se considérer en vacances. Puis s'ensuit une séquence d'événements peu intéressante mais agréable par son efficacité : check-in, douches, bus de 1h pour Calama, déjeuner, achat carte SD (oui Jessica s'est ramenée avec l'appareil photo sans vérifier s'il y en avait une dedans), location de voiture, route jusqu'à San Pedro, contemplation couché de soleil sur la valle de la luna, apero/dîner. On découvre alors que ce village touristique est très charmant et offre plusieurs choix de restos et bars, ce qui n'est PAS DU TOUT la norme depuis le début de mon séjour dans les Andes.
22 novembre : 2h de route pour atteindre Piedras Rojas, une énorme lagune peu profonde donnant à l'eau une couleur turquoise, entourée de sable blanc (ou de sel ou les 2) et ponctuée de roche volcanique rouge. 2e étape sur le chemin du retour aux lagunes Miscanti et Miñiques plus haute en altitudes (= Jessica pas bien). Magnifique avec quelques vicuñas qui s'y baladent mais on est un peu saoulés par les règles bizarres imposées. Il faut préciser que contrairement à tous les autres pays d'Amérique latine, le Chili capitaliste ne croit pas aux biens publiques et tout terrain est privé (ou communale), à savoir donc les endroits touristiques, ne serait-ce qu'une flaque d'eau (je ne déconne même pas, on a du payer pour en voir une) et est soumis à un droit payant à la communauté du coin. On en fera constamment l'expérience frustrante, comme avec ce canyon où lon decide de se poser pour déjeuner mais qui ne paye aucune mine et qu'on devra payer. Après ce petit pique nique on se dirige vers le Salar de Atacama au bord de la Laguna Chaxa remplie de flamands roses qui tapent la pose devant les objectifs. Le Salar n'a rien à voir avec celui de Uyuni, le sel étant mélangé à de la boue, mais les paysages sont tout de même beaux dans ce milieu à perte de vue et chaotique. Le soir on admirera le coucher de soleil depuis un point de vue qui donne sur San Pedro et la chaîne de volcans de la frontière Bolivienne. Dans ce désert, voir les couleurs virer du jaune à l'orange puis au rouge nous fait oublier qu'on est sur Terre.
23 novembre : On continue la visite du désert avec la Laguna Tebenquiche; à travers le sentier qui le longe nous avons différents points de vue sur la chaînes de volcans qui se reflète sur l'eau de la lagune qui est un miroir parfais grâce à l'eau qui n'est que superficielle. Puis direction la star du coin, la Valle de la Luna. En voiture et à pied nous nous promenons dans ces formations de terre, de roche et de sable et on a l'impression que Kubrik va crier "action" à tout moment (oui je fais de mon mieux pour varier les références à des paysages extra-terrestres). C'est tellement beau que je n'hésite pas à braver le sentier pour prendre une photo panoramique. Plus tard une touriste me fera remarquer qu'elle "apprécierait si je restais sur le sentier". Contrairement à ce que l'on pourrait croire, creuser une tombe dans le sable n'est pas chose facile. Le soir on se couche à 00h00 car:
24 novembre : Réveil à 3h30 pour profiter des températures glaciales qui provoquent des geysers au site de El Tatio, à 2h de route de San Pedro. Sur le chemin on fera des haltes pour admirer la voie lactée. Ce n'est pas pour rien que plusieurs observatoires se situent dans ce désert. Arrivés à El Tatio aux aurores, nous faisons le tour du site en admirant une 20aine de geysers plus ou moins importants. Avec le soleil qui se lève derrière les montagnes, le spectacle évolue constamment avec la lumière et les fumerolles comme protagonistes principaux. De retour à San Pedro, on check-out et direction Calama pour prendre notre bus pour la Bolivie le lendemain. Sur le chemin on s'arrête à la Rainbow Valley (valle Arcoiris) qui porte bien son nom. La aussi de la roche volcanique en plein milieu du désert chargée de différents minéraux et métaux qui donnent cet aspect d'arc-en-ciel. Dernière étape avant notre hébergement, le village de Chiu Chiu et son église entièrement à la chaux sortie tout droit d'un western.
25 novembre : Journée dédiée au transfert à Tupiza en Bolivie avec escale à Uyuni après le passage de la frontière. Arrivés à destination on fait le seul bar de la ville qui est une "vinoteca". Je dois visiblement revoir mon espagnol parce que je pensais que "vino" signifiait "vin" et non "vinaigre". On a préféré la pizza.
26 novembre : Le rythme du voyage ralentit mais ce n'est pas plus mal. Visite à pied de la quebrada (vallée) Palala ou nous regrettons presque les entrées payantes du Chili mais qui sont propres... on rentre à l'hôtel pour éviter la pluie puis nous ressortons pour admirer le coucher de soleil depuis le Cerro Cruz.
27 novembre : Visite des environs en tour privé en 4x4. Au programme:
Cañon del Inca, Cañon del Duende, El Silar avec une pause déjeuner à Toroyo en dégustant des tamales prévus par notre chauffeur. Des paysages aux couleurs balayant plusieurs nuances du rouge au marrons. Au cañon del Inca le passage devient de plus en plus étroit et on s'enfonce à pied jusqu'à ne plus pouvoir avancer. Nous sommes tout seul et je peux enfin sortir mon drone sans déranger personne. De retour à Tupiza nous enchaînons direct avec un "rapidito" (taxi, sensé être plus rapide qu'un bus) pour Tarija. L'attente et longue pour trouver un 3e passager pour partager la course, mais ça me donne l'occasion de me couper les cheveux et rendre un peu plus heureuse Jessica. Apres 3h de belle route à travers la montagne pendant la "golden hour" (coucher de soleil), nous arrivons à notre hébergement. Fast food et dodo.
28 novembre : La "capitale" Bolivienne du vin se situe à 1900m et je retrouve enfin un climat méditerranéen après 1 mois dans les Andes arides, ça fait plaisir. Nous visitons la ville avec la jolie place principale, la "casa dorada" qui était la maison d'un noble commerçant bien entretenu et le Mirador de la Loma de San Juan. Nous sommes un peu déçus de la ville car aucune église ne se visite. On apprendra plus tard que c'est commun en Bolivie à cause de vols qui ont eu lieu; les églises n'ouvrent que pour la messe. On arrive tout de même à passer une bonne soirée dans l'un des rares bars de la ville.
29 novembre : tour organisé emblématique de la ville: la visite des bodegas avec dégustations de vin. On commence par une maison qui est sensé faire du vin de haute gamme, et c'est franchement pas bon. On continue avec une autre Bodega qui nous sert du vin mais clairement sa sent la triche tellement ça a un goût de Kir. Les 2 prochaines nous servent des vins passables et à la dernière c'est la fête, on nous sert des vins sans aucune explications. On aura chacun dans les 10 verres au total, la quantité compensant largement la qualité. En plus on passe pour des experts juste parce qu'on est français et les vignerons espèrent nous satisfaire. On dit poliment que c'est pas mauvais. Un des vignerons (le haut de gamme) veut nous impressionner et nous sort et de ses "grand" vin juste pour nous. En effet c'est mieux mais pas extraordinaire non plus. Par contre les dégustations se font au bord des vignes et les paysages rappellent la France du Sud, c'est donc beau. J'aurai aussi gouté un singani (pisco bolivien, eau de vie de vin) excellent, ça ils savent faire. Le soir on prend un bus de nuit pour Potosí.
30 novembre : Arrivés à notre hôtel à 07h00, on prend sûrement ce qui est notre meilleur petit déjeuner tout hôtel, tout pays, confondu ! Une oasis dans ce désert culinaire. Après avoir visité la très jolie cathédrale, on visite la casa de la moneda qui fabriquait et frappait toute la monnaie de l'empire espagnole. Il faut rappeler que la mine d'argent de Potosí est la plus grande jamais exploitée et est toujours en activité. Bizarrement aujourd'hui les pièces viennent du Canada et les billets de France. La raison donnée par le guide c'est le prix de l'électricité (mwe...). Le bâtiment coloniale est en tout cas très joli et on y aperçoit plusieurs engins de frappe du XVIe aux XXe siècle. On embarque ensuite vers un tour organisé pour visiter la mine, ou l'on n'exploite plus l'argent mais d'autres minéraux (zinc, fer, plomb, je ne sais plus). On aprehende un peu car on ne veut pas tomber dans du voyeurisme de misère comme indiqué par certains avis lus en ligne. Finalement on trouve la visite très intéressante; on se ballade avec notre guide (UNE ex mineur, fait rare) dans les galléries du cerro Rico (la roche volcanique permet aucun support de structure pour que ça tienne), on observe sans déranger les mineurs extraire la roches, notre guide les connaît et nous laisse leur donner des boissons et feuilles de coca achetés préalablement au marché (apparemment c'est mal vu de rien apporter). Ils sont tous en train de mâcher des feuilles de coca, ce qui leur donne une grosse boule au niveau de la joue. On monte sur une gallérie supérieure à l'aide d'échelle à travers des trous assez étroits et Jessica n'est pas très à l'aise. On ne visitera pas les galléries inférieures chargées en "j'ai oublié quel gaz issue du volcan" qui provoque systématiquement la mort des mineurs après 15 ans d'activité s'ils ne prennent pas leur retraite. Selon la guide c'est un bon travail, payé largement au dessus du salaire moyen bolivien, mais dont on reconnaît les conditions de travail difficile. Avant de sortir on passe donner des offrandes (cigarettes, coca) à Tio, la divinité de la mine. On le retrouve dans toutes les mines des Andes et c'est un mixe de Dieu, Satan, Pachamama (j'ai pas bien compris), mais qui ressemble surtout à Satan avec un gros zizi.
1 décembre : On n'attendait que ça depuis la veille: le petit déjeuner. Puis fin de visite de cette très jolie ville, qui fut dit-on à un moment la plus grande au monde (mwe, en vérifiant il s'agit du "nouveau monde". A l'apogée de Potosí, Pékin faisait 10 fois sa taille). Avant de partir pour Sucre, nous visitons le très joli Convento de Santa Teresa. A Sucre je découvre une mini brasserie artisanale et enfin, après 2 mois, je déguste une bonne bière. Même Jessica boit 2 pintes.
2 décembre : Dernière journée avec Jessica, on sent la fin approcher et on est un peu tristes. On finit tout de même la visite de la ville entamée il y a 2 semaines avec la casa de la libertad où la déclaration d'indépendance de la Bolivie a été signée (Haut Pérou à l'époque), le Couvant de Santa Clara où notre "guide" nous présente les tableaux en lisant leur pancarte (titre, peintre, date) et la Iglesia de San Felipe Neri où l'on peut monter sur le toit en forme de terasse pour y admirer la ville. Mention spéciale pour les rellenas et empanadas de la pause déjeuner tout aussi bons que pas chères. Le soir on laisse une dernière chance à la cuisine bolivienne dans un restaurant bien critiqué pour ses plats locaux, c'est sans surprise un échec, mais les cocktails sont vraiment pas chers. On n'en profite pas trop car on n'est pas d'humeur à faire la fête, snif.
2 notes
·
View notes
Text
last post brought to you by: one of my Twitter mutuals drew Be and Vue as Utena and Anthy respectively and my dumb ass who had in the past thought about drawing just the sword pull moment for them but the other way around with very little thought put in other than ‘Be would look good like that’ (and as a me-specific point, Vue taking something out of Be would get to invert the symbolism that I’m obsessed with in the feeding scene, which i could probably talk for twenty pages about as far as agency, consent, gender, et cetera. but no one else seems to see that quite that way and i’ve accepted it’s a me-specific overanalysis hallucination to an extent lol) immediately saw how wrong I had been and specifically what had me going ohh your brain is soo huuuuge is how Anthy and Vue are both such interesting and multi-layered depictions of relationship to agency and victimization and guilt and complicity and perpetuating versus breaking cycles of trauma and saving and being saved, and not a helplessness-or-passivity-defined character even though both the narrative and perhaps the character themselves in their own perception present them in this manner at first and i feel you need to think about them for a while to appreciate all that you can appreciate
4 notes
·
View notes
Text
Hire VueJS Developers in 2025: Best Practices & Expert Tips for Success
In today’s fast-moving digital world, speed, performance, and user experience are everything. If you’re planning to build a modern web app in 2025, Vue.js is likely at the top of your tech stack. But great technology needs skilled people and that’s where hiring the right Vue.js developers becomes critical.
In this blog, we’ll guide you through the best practices to hire VueJS developers, what to look for, and how to ensure your web project is a success. Whether you’re a startup, agency, or enterprise, this guide will help you make a smart and future-ready hiring decision.

Why Choose Vue.js in 2025?
Vue.js continues to be one of the most popular JavaScript frameworks due to its flexibility, speed, and ease of integration. It’s ideal for building lightweight, high-performing apps from single-page applications (SPAs) to complex enterprise dashboards.
Some reasons why Vue.js is dominating 2025:
Lightweight and fast
Easy to learn, quick to develop
Backed by a growing community and ecosystem
Great for both startups and enterprise applications
When Should You Hire VueJS Developers?
If you're planning to:
Build a new app with a rich front-end experience
Upgrade from jQuery or AngularJS
Migrate to a more flexible and scalable framework
Develop a progressive web app (PWA)
Create a modular and reusable component-based UI
Then it’s the right time to hire VueJS developers.
Best Practices to Hire VueJS Developers in 2025
Here’s how to hire smart and avoid costly mistakes:
1. Define Your Project Scope Clearly
Before you start hiring, know what you’re building. Is it a dashboard? A full-scale SaaS? A mobile-friendly app using Vue with NativeScript? Clear documentation helps developers give better estimates and deliver on time.
2. Look Beyond Just Coding Skills
A great Vue.js developer is not just a coder; they should understand design patterns, component architecture, state management (Vuex or Pinia), routing (Vue Router), and performance optimization.
3. Test with a Small Task First
Start with a trial project or a small module to evaluate their coding style, communication, and how well they follow deadlines.
4. Prioritize Communication & Collaboration
Especially for remote hires, strong communication skills are as important as technical ones. Ensure the developer is comfortable with tools like Slack, Jira, Git, and Zoom.
5. Ask About Past Vue Projects
When you hire VueJS developers, ask to see previous work. It gives you insight into their real-world experience with the framework.
What to Look for in a VueJS Developer
Here's a checklist to help you identify top Vue talent:
Strong knowledge of Vue 3 and Composition API
Experience with Vuex, Pinia, Vue Router
Familiarity with REST APIs and GraphQL
Understanding of HTML, CSS, SCSS, and Tailwind
Knowledge of testing frameworks like Jest or Cypress
Familiar with Git, Agile, and DevOps practices
Bonus: Experience with Nuxt.js for SSR (Server-Side Rendering) or Vite for blazing-fast development environments.
Expert Tips for Success
Build a clean onboarding process – Give your new hires a good start with proper documentation and setup.
Use component libraries wisely – Tools like Vuetify, Quasar, or Element Plus can speed up UI development.
Focus on scalability – Ask developers how they plan to keep code modular and clean for long-term growth.
Set regular check-ins – Weekly demos and reviews help catch issues early and keep everyone aligned.
Trending Use Cases for Vue.js in 2025
Vue.js isn’t just for web apps anymore. Today’s Vue developers are working on:
Progressive Web Apps (PWAs)
Real-time dashboards
Admin panels for SaaS
Cross-platform mobile apps
JAMstack sites with headless CMSs like Strapi
So if you're scaling in any of these areas, it's a smart time to hire VueJS developers to future-proof your project.
Frequently Asked Questions (FAQs)
Q1: Should I hire freelance Vue developers or a full-time in-house team?
A: It depends on your project scope and budget. Freelancers are ideal for short-term or one-time projects. In-house or dedicated remote teams are better for long-term development, ongoing updates, or projects requiring tight collaboration.
Q2: What questions should I ask during the interview?
Ask questions like:
Can you explain the Composition API vs. Options API?
How do you manage state in a large Vue app?
How do you handle code splitting and lazy loading?
Have you worked with Nuxt.js or SSR apps?
These will help you gauge depth of knowledge and practical experience.
Q3: Where can I find skilled Vue.js developers?
You can hire VueJS developers through:
Freelance platforms (Upwork, Toptal)
Dedicated outsourcing companies
Developer communities (GitHub, VueLand Discord)
LinkedIn and remote job boards
A VueJS-focused development agency can also provide pre-vetted professionals if you're in a rush.
Final Thoughts: Build Smarter with the Right VueJS Developers
Hiring the right developer is the key to any successful tech project. In 2025, Vue.js continues to rise in popularity because it’s lightweight, fast, and scalable making it perfect for modern web development.
When you hire VueJS developers, focus on real-world skills, communication, and long-term collaboration. Whether you’re building a simple landing page or a full enterprise dashboard, the right Vue developer will help bring your ideas to life with clean code and efficient delivery.
Need help finding the right team? Consider working with a Vue.js development agency that can match you with vetted experts and guide your project from concept to launch.
Would you like this blog delivered as a downloadable Word document or HTML version?
0 notes
Link
Partner with Dream Cyber Infoway for top-notch Vue.js development services that enhance your web presence, engage users, and drive business growth. Contact us today to discuss your Vue.js development needs and let our skilled team turn your ideas into reality.
0 notes
Text
Saype, né Guillaume Legros, est un artiste français vivant à Bulle, en Suisse. Artiste autodidacte, les œuvres d’art biodégradables géantes de Saype ornent les champs, sont mieux vues par les drones et ne durent que quelques jours. L'artiste est représenté par MTArt Agency depuis 2018. Débutant sa carrière en tant que jeune graffeur, le travail de Saype a rapidement été reconnu et est devenu très recherché, ce qui lui a valu sa première exposition en galerie à l'âge de 16 ans. Saype est un pionnier du land art. mouvement, se concentrant sur des peintures biodégradables à grande échelle avec des messages sociaux forts
September 22 2023
6 notes
·
View notes
Text
Revolutionize Your Storefront: Exploring the Power of Headless Shopify
In today’s digital-first world, online stores can’t afford to be just average. Shoppers expect speed, beautiful design, and seamless experiences—no matter which device they’re on. If you’ve hit a ceiling with your Shopify theme or feel like your site’s design isn’t matching your brand's potential, Headless Shopify might just be the revolution your storefront needs.
Let’s explore what makes it powerful—and why so many brands are making the switch.
What is Headless Shopify?
At its core, Headless Shopify separates the frontend (what customers interact with) from the backend (where products, orders, and payments are handled). Shopify continues to power your backend, but the frontend is entirely custom-built using frameworks like React, Vue, or Next.js.
This means your store no longer looks or behaves like every other Shopify store out there—it becomes a completely unique digital experience.
The Power Behind Going Headless
Why are so many ambitious brands choosing headless architecture? Here’s what makes it stand out:
🚀 Performance Like Never Before: A headless setup can deliver blazing-fast page loads, keeping customers engaged and reducing bounce rates.
🎨 Custom Front-End Design: Break away from cookie-cutter templates. You get full creative control to build a storefront that’s 100% on-brand.
📱 Omnichannel Selling: With one backend powering multiple frontends (like mobile apps, websites, kiosks), you can create consistent experiences everywhere your customers are.
📈 Future-Proof Scalability: As tech evolves, headless makes it easier to adapt and grow without major overhauls.
Is Headless Shopify for Everyone?
Not necessarily. It’s ideal for:
Growing brands looking to scale and stand out.
Businesses needing a highly tailored user interface.
Companies running omnichannel campaigns across platforms.
eCommerce sites with a development team (or agency support).
If you’re currently running a small shop with limited dev resources, sticking with a traditional Shopify theme might make more sense—for now.
Things to Consider
Before diving headfirst, keep in mind:
Higher Development Needs: Unlike traditional Shopify, headless demands technical know-how.
Increased Upfront Investment: But it pays off in performance and conversion rates.
Custom Maintenance: You’ll need to keep your frontend tech stack updated over time.
💡 Build Smarter, Faster & Stronger with OyeCommerz
Feeling inspired but not sure where to start?
That’s where OyeCommerz comes in. We’re experts in building custom headless Shopify solutions that bring your creative vision to life. From lightning-fast performance to immersive, branded experiences, we’ll help you unlock the full power of Shopify—your way.
👉 Transform your storefront with OyeCommerz. Let’s build the future of eCommerce together. Get in touch now!
Final Thoughts
In a competitive market, delivering a standout user experience is no longer optional. Headless Shopify gives you the flexibility and power to design exactly what your audience needs—without compromising speed or functionality.
So if you're ready to push boundaries and create a storefront that truly reflects your brand’s voice and ambition, now’s the time to go headless. And with the right team behind you, the transition can be smoother—and more rewarding—than you imagined.
0 notes
Text
How Agencies in Egypt Use Web Development to Support Performance Marketing
In the ever-evolving world of digital marketing, performance is everything. It's no longer just about launching ads or building flashy websites—it's about generating real, measurable results. And at the core of this performance-driven mindset lies a critical yet often overlooked pillar: web development. In Egypt, top performance marketing agencies understand that a strong web development foundation is essential to drive leads, conversions, and ROI.
What Is Performance Marketing?
Before diving into the role of web development, let’s quickly define performance marketing. Unlike traditional branding campaigns, performance marketing focuses on specific actions—such as clicks, leads, or purchases. Advertisers only pay when the desired outcome occurs. It's data-driven, trackable, and results-focused.
But even the most optimized ad won’t perform well if it leads users to a slow, confusing, or broken website. This is where smart web development becomes a game-changer.
Why Web Development Matters for Performance Marketing
1. Landing Page Speed and Optimization
Your ad might win the click—but if the landing page takes more than 3 seconds to load, you risk losing that visitor. Agencies in Egypt prioritize fast-loading websites by using optimized code, lightweight images, and modern frameworks like React or Vue. This minimizes bounce rates and keeps users engaged.
2. Conversion-Focused Design
Performance marketing is all about conversions, and that means every landing page must guide the user toward an action. Web developers at leading agencies build clear user journeys, CTA (Call-to-Action) buttons, and minimal distractions to funnel visitors exactly where they need to go.
3. Mobile-First Development
In Egypt, as in much of the world, mobile traffic dominates. That’s why eMarketing Egypt heavily in mobile-first design. Responsive layouts, mobile-friendly forms, and tap-friendly buttons make a big difference in converting visitors on smartphones.
How Egyptian Agencies Integrate Web Development into Performance Campaigns
A. Custom-Built Landing Pages for Campaigns
Instead of sending traffic to a generic homepage, successful Egyptian agencies create custom landing pages tailored to each campaign. These pages are fast, relevant, and built to convert—whether the goal is lead generation, sign-ups, or product sales.
B. A/B Testing Through Development
Developers work closely with marketers to create multiple versions of a page for A/B testing. This helps agencies identify which design, copy, or layout performs best. Real-time changes to code or layout can drastically improve campaign results.
C. Data Integration for Tracking and Analytics
Web developers integrate tools like Google Analytics, Meta Pixel, and conversion tracking scripts directly into the site’s code. This provides agencies with deep insights into what’s working—and what’s not—so they can optimize accordingly.
D. Performance-Optimized eCommerce Stores
For product-focused campaigns, agencies don’t just rely on Shopify templates. They customize eCommerce stores for speed, UX, and SEO, making the shopping experience frictionless and fast—key ingredients for high ROI.
A Localized Approach: Built for the Egyptian Market
What sets top performance marketing agencies in Egypt apart is their understanding of local user behavior. Developers build websites that consider language preferences, cultural design norms, and Egypt-specific payment systems. This localization boosts trust and increases the chances of conversion.
Conclusion: A Winning Combo
Web development and performance marketing are not separate strategies—they are two sides of the same coin. Without a solid web infrastructure, even the most brilliant ad campaign will struggle to deliver results.
Egypt’s best agencies know this. That’s why they build websites with performance in mind—sites that don’t just look good but convert better, load faster, and work smarter. In a performance marketing world, every pixel and every second counts. And with the help of top performance marketing agencies in Egypt, businesses are turning clicks into clients more efficiently than ever.
#marketing company#performance marketing agency#digital marketing agency#marketing agency#digital marketing services
0 notes
Text
Faire le tour du Lac Léman en voiture de location est une excellente idée : c’est un itinéraire magnifique mêlant paysages alpins, villes historiques, vignobles en terrasses et charme franco-suisse. Voici les incontournables, en suivant le lac dans le sens horaire depuis Genève :
🏙️ 1. Genève (Suisse)
Jet d'eau, Vieille ville, Musée d'art et d'histoire, ONU.
Départ idéal : grandes agences de location à l’aéroport ou en ville.
🌿 2. Nyon
Jolie petite ville avec un château surplombant le lac.
Belle promenade le long des quais.
🍇 3. Lavaux (UNESCO)
Route panoramique à travers les vignobles en terrasses.
Arrêts conseillés : Lutry, Cully, Epesses.
Dégustation possible dans des caves locales.
🏛️ 4. Lausanne
Ville dynamique : Musée Olympique, Cathédrale gothique, Ouchy au bord du lac.
Très bon spot pour une pause gourmande ou culturelle.
🌊 5. Montreux
Connue pour son festival de jazz et sa promenade fleurie.
À quelques minutes : le Château de Chillon, l’un des plus beaux de Suisse.
⛰️ 6. Villeneuve et la Riviera suisse
Vue imprenable sur les Dents du Midi.
Belle route longeant le lac avec ambiance méditerranéenne.
🇫🇷 7. Entrée en France – Évian-les-Bains
Station thermale réputée, ville chic au charme Belle Époque.
Dégustez de l’eau d’Évian à la source Cachat.
🎣 8. Thonon-les-Bains
Port de pêche typique, centre thermal, balades agréables en bord de lac.
🏰 9. Yvoire
Village médiéval classé parmi les plus beaux de France.
Magnifique jardin des cinq sens, rues pavées et fleuries.
🌲 10. Retour à Genève via Hermance ou Douvaine
Route agréable, souvent moins fréquentée.
Derniers arrêts au calme au bord de l’eau avant de rendre la voiture.
🚗 Conseils pratiques
Prévoyez 1 à 3 jours selon le rythme (une journée express, ou un week-end en mode détente).
Assurez-vous que la location autorise la traversée de la frontière Suisse/France.
Attention aux vignettes autoroutières : la Suisse l’exige, la France non (mais les péages peuvent s’appliquer).
0 notes