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thesheepyr-blog · 7 years ago
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Ma tĂŞte est pleine.
On a tous plusieurs voix dans nos têtes. La sagesse et la déraison souvent représenté en ange et démon. Certains on plus de voix encore. C’est pas de la schizophrénie juste une façon, après beaucoup d’introspection, d’ordonner les différent moteurs et volonté de l’âme. Dans mon cas ils sont six et ils ont des relations très particulière entre eux.
« Beast » est très ancien. Il était là avant les autres. La violence, la faim, la soif, le sexe c’est lui. Il ne veux pas une entrecôte, un bon bordeaux et faire sauté les boutons d’un chemisier. Non du tout. Il veux de la viande, être ivre et baiser. « Beast » à une laisse à gros maillon et un coller étrangleur car faire appel à la raison ne marche pas avec lui. En règle général c’est « Care » qui le force à appliquer la principe de diététique et de bon goût, limite sa consommation et l’empêche d’arracher les vêtements des femmes.
« Care » est attentif. Il doit gérer un grand nombre de critère des six qui sont parfois en conflit. « Care » pilote « Beast » au maillon de chaine près et ajuste en permanence le dégréer de liberté. « Dad, Pro & Child » ont donné des consignes. « Pro » ne veux que rien n’entrave la vie professionnelle. Il gère l’indépendance économique a court comme à long terme. . Il a le support de « Dad » en cela qui veux que rien d’entrave sa mission paternelle. « Dad » applique sa mission avec beaucoup d’empathie. Il considère peu tout les enfants sous sa responsabilité. « Child » est un peu le chiant de la bande, il casse l’ambiance pour des questions de culture, de norme et de « quand dira t'on ». En général il n’est la que pour faire le quorum dans un débat. Il réclame pas de lui même c’est toujours un autre qui demande sa voix pour peser sur un vote.
« No Name » est spécial. Il parle pas, il demande pas de vote, il agit. Il est présent en toute circonstance, en tout lieu, en tout temps. Il gère la merde, le vomis, le sang et les larmes. C’est un Golem de volonté. Il est comme « Beast » impossible à raisonner. Quand il ce lance c’est cuit, quelqu’un, quelque chose à merdé il va nettoyer. C’est Victor dans le film Nikkita. « Dad » lui demande de mettre les deux mains dans la merde pour gérer une gastro. « Pro » lui demande de mettre fin à un travail ou une négociation. « Beast » en a peur et demande rien. Si « No Name » interviens dans le jeu de « Beast » c’est direct retour à la cage avec deux tartes dans le truffe. C’est « Care » qui l’invoque le plus souvent, question de survie.
Trouver un travail ? C’est le travail de « Pro », motiver par « Care » qui demande un survie à long terme et « Dad » qui veux les moyens de sa mission.
Faire le ménager ? Les courses ? C’est « Care », toujours pour la survie et « Dad » qui en toutes circonstance veux les meilleurs conditions pour sa mission.
Sortir ? Faire la fête ? C’est « Beast » avec « Care » qui tiens la laisse. « Pro » réclame que cela n’impacte pas sur le planning travail, le besoin de repos pour sa mission, les finances. « Dad » réclame pareil pour le planning enfant.
Une maitresse envahissante qui demande trop au risque des mettre en péril la mission de « Dad, Pro ou Care » à toutes les chances de voir « No Name » mettre fin à la relation.
Un femme enfant ? « Dad » et « Child » pose leur véto.
Une maitresse demande de traverser Paris pour la rejoindre au milieu de la nuit ? « Dad et Pro » s’allient pour refuser.
Vous voyez un peu l’équilibre des choses ?
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thesheepyr-blog · 7 years ago
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J’aime assez vos miaou miaou
“J'aime assez (vos) miaou miaou Griffes dehors moi dents dedans Ta nuque voir de ton joli cou”
Comme dit la chanson ...
Le yeux dans les vôtres. Mon prénom dans vos soupirs. Et ma main plongé dans vote sexe remontant la courant de vos envies.
Lire dans vos pupilles ourlées d’émeraude des "encore" et des "toujours", des "plus loin" et des "plus fort".
Votre main sur mon sexe, tenant le capitaine par la barre, gardant le cap sur vos désirs.
Vagues après vagues sentir votre main s'affermir pour mieux dominer votre plaisir
Un ruade, une dernière déferlante, jouir comme on arrive au port
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thesheepyr-blog · 7 years ago
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L’impossible
Malgré l’âge, malgré l’expérience parfois nous ne somme pas raisonnable. Certain appel ça « le lâchez prise » moi je pense que c’est la conscience qu’il faut vivre. Bref le boulot avait craché une prime et le 6 juin offrait la possibilité d’un long weekend. Je devais en faire quelque chose alors j’ai pianoté un sms d’invitation irraisonnable. Et quitte à faire autant tenter le weekend de la décennie en invitant la femme impossible. Non j’aime pas le poker, mais bon j’ai fais tapis.
Pourquoi l’impossible et pas une copine disposée et disponible ? Sérieusement on a tous un coup foiré qui vous titille. Ben l’impossible c’est ça ! Une femme qui n’a pas besoin d’un homme, une vie active, une professionnelle audacieuse, un esprit cultivé, une mère aimante, une coolitude assumée et une unique nuit avec elle qui avait été totalement passable. Cette nuit avait tout pour être un feux de saint jean et pourtant ça c’est terminé en pétard mouillé.
«  Y’a un easyjet pour Porto et un vol de correspondance pour Faro jeudi. On loue une voiture pour trois jours et on cherche la crique magique sur la cote d’Algarve ce weekend ? ». Voila le sms, avec un gif pour mettre en situation.
Réponse dans l’heure
«  Jean, t-shirt, brosse à dent, sac cabine, jeudi Orly pour le vol de 17h, no promesse, no caresse avant la mer »
J’en ai compris que le deal est simple: on vois sur place. Peut être qu’avec l’iode et le soleil tu verras ses fesses.
Jeudi, comptoir easyjet elle est là en jean, t-shirt blanc, stand smith, un énorme bracelet frey wille et un duffle bag filson à ses pieds. Trois louches de bohème et deux touches de bourgeoisie. Si je peux faire confiance à mes connaissance en langage non verbal son seul look est un message de style tout en nuance: « soit aussi cool que moi, soit toi même, y’a pas d’enjeux … pas encore  »
Elle n’est pas Emmanuelle, je suis pas Mario. Le vol à été des plus calme. Moi plongé dans le dernier opus du « Comité invisible » elle dans ses contrats avec je ne sais quelle multinationale. Escale à Porto, correspondance pour Faro sans un mot, sans même ce suivre pour les contrôles.
Sortie de l’aéroport de Faro à pas d’heure, fatigué par une longue journée, heureusement la Mini Cooper réservée nous attendais. Peu de mots échangé, si non pour trouver notre chemin vers l’hôtel. Cette absence de conversation était reposant par le manque total d’investissement à vouloir ce plaire l’un l’autre.
«  Heu … dit Hank Moody l’a magie s’arrête à l’hôtel ? »   « Je suis pas frais, tu n’es pas fraiche, l’hôtel n’est pas frais, regardons le verre à moitié pleins nous somme en totale harmonie »
Avec la fatigue ça m’a un peu piqué l’égo, mais bon bien obligé de reconnaitre l’hôtel m’a fait un coup a la meetic avec des photos datant de dix ans. J’ai balancé mon sac dans un coin, vérifié que les draps était propre avant de filer m’accaparer la salle de bain. Relaxé après une douche Niagara très chaude, serviette autour des hanches, me voulant sexy, je tente retour dans la chambre digne d’un film de Max Pécas. Trop tard, l’impossible n’est plus q’une poupé de chiffon, en boule, le souffle paisible, déjà avec Morphée.
«  Hey on vois la mer depuis la fenêtre »
Y’a un truc que j’aime pas c’est me faire sortir des vapes avant d’avoir mon compte. Le hamster est mon totem, mon réflexe c’est de m’enfoncer dans la paille et de refuser le réveil. Non, je n’ouvrais pas les yeux, je resterais sous mon drap.
«  Hey j’ai vue la mer je te dit »
Je crois que c’est la main sur mes couilles qui à congédié le hamster et fait apparaitre une chose bien plus rustre et noire en moi. Je suis sortie des vapes fissa acompagné d’une belle érection de champion. Je pourrais gloser sur ses talents de suceuse et vous en tartiner des salaces, mais moi ce qui m’a foutu le court-jus c’est pas des arabesques de langues, des filets baveux ou les bruits de gorge. C’est son regard. J’y lisais une disposition d’esprit, une intention, une détermination. Ha quoi ? Ben à plier le bonhomme, le mettre mat, bouffé le roi quoi. L’impossible n’était qu’un crush inachevé pour moi, un truc à finir, vous savez une écorchure d’orgueil. Mais là face à ses lèvres sur mon gland et ses prunelles éclairées d’une étincelle j’avais un truc entrain d’éclore dans la poitrine, une douleur sentimental. Et je comprenais qu’elle aussi, elle avait un truc à finir avec moi.
Elle m’a achevé avec un clin d’oeil et un doigt dans le cul. Je n’y voyais plus rien, terrasser, je laissais jaillir les watts dans la moiteur torride de sa bouche.
« Hey mon loup, t’a compris comme moi ? Nous avons quoi, trois ans, peut être cinq à nous faire du bien avant de ce bouffer le nez, tu signe ? »  
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thesheepyr-blog · 8 years ago
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Regarder
On dit qu'un regard appuyer de plus de trois secondes est déjà une invitation. Est ce vrais ? Je ne sais pas vraiment. J'ai longtemps eu beaucoup de mal à décrypter le regard féminin. Je doute d'y être arrivé. Et pourtant avec l'âge je les remarque de plus en plus. Messieurs, croire que les femmes ne portent pas de regards charnel sur vous, est, je pense, une grave erreur. Le regard est discret, rapide, léger, bien loin de vos sens patauds et si premier degré.
Il y a le regard fixe sur un point au-delà de vous. On le perçois et par erreur on pense qu'elle regarde autre chose. En fait vous venez de passer dans le champ de vision ou aller le traverser dans un instant. Subterfuge de diversion.
Il y a le regard scanner qui saute d'un point à une autre avant de s'éloigner. Vos chaussures, votre montre et votre visage et hop il est déjà ailleurs.
Il y a le regard périphérique. Ce n'est pas vous qu'elle regarde c'est votre mouvement et son sillage. Votre ligne d'épaule, votre décontraction ou votre maintient est seul pris en compte.
Et mon préféré le regard de lionne. Vous n'êtes qu'un objet insignifiant dans le périmètre et sans méfiance vous baisser la garde votre attention s'égare ailleurs. L'instant d'après, la lionne estime que vous êtes à porter et vous jauge déjà. J'ai surpris de ces des regards. L’œil a changé, certains s'étire, d'autre s'arrondissent, mais tous deviennent voraces. Lust est de ces femmes au regard de lionne. Elle converse avec vous sereinement. Un serveur passe, vous décalez votre chaise et vous entrez dans le périmètre de ses griffes. L’œil vert qui passe d'un instant en mode félin. Le regard s'étire, l’œil devient bridé. Le vert de l'iris passe au sombre profond. Elle tend une main sur votre cuisse ou un pied ce glisse sous la table dans votre entre-jambe.
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thesheepyr-blog · 8 years ago
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Un dîner orange
Le pic-nique square du vert-galant un soir d'été est un classique parisien. Avec trois fois rien, un saucisson, une bouteille de rosé, on passe du bon-temp à regarder le soleil se coucher sur la Seine et jeter ses derniers feux vers le Louvre.
Cette copine de potes avait toujours des idées loufoques et débridées. Mais son sms m'avais pris vraiment au dépourvue. Un peu comme la dernière fois chez Alain ou j'avais été cash en balançant après le fromage et le dernier verre de Saint Estephe que pour le dessert je désirais l'abricot de la rouquine. D'hab je suis plus nuancé, mais deux bouteilles à quatre cela a dégommé mon politiquement correcte. Bref la loufoque sans perdre sa contenance, remonte sa robe blouse Cacharelle, retire sa culotte, la pose dans mon assiette à dessert et me toise de ses deux mirettes cyans en articulant « le fruit n'est pas mure mais tu peux reniflé l'emballage ». Forcement, allumé comme nous l'étions nous avons tous piqué un fou rire avant de sortir un flacon de mirabelle en guise de dessert.
Trois semaines plus tard, bim le sms « Si tu veux mon cul fait moi un pic-nique orange square du vert-galant pour jeudi ».
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Face à un calibre 38, deux yeux bleu, une peau de lait et un sens de la réparti aussi affuté vous faite quoi ? Moi aussi ! Et me voilà donc, jeudi,  comme un con dans la cuisine de mon deux pieces sous les toits en train de trier les farfalle tricolore pour ne garder que les oranges. Moi, ma salade de pâtes au saumon et ma bouteille de vinho verdé on ce télé-porte sur île de la cité pour l'heure dite. C'est la foule dans grands soirs de chaleur lourde, c'est noir de monde. La môme est immanquable dans le paysage, outre ça chevelure, elle porte de nouveau sa robe blouse Cacharelle. Message reçu mademoiselle votre fruit charnu et lobé est dans l'atmosphère de la soirée. N'ayant pas perdu mon sans du propos mesuré dans le fond d'un verre je gère la soirée en gentleman cultivé. Soleil couché, bouteille vidée, jeunesse enivrée, le square perd de son charme. Je propose de la raccompagner. L'étincelle dans l'oeil bleu elle m'annonce que c'est évident. Par saint-germain-des-près on gagne la ligne 12, direction Vaugirard.
« J'habite rue des favorites, cela peut que te plaire ». Effectivement, j'adore les clins d'oeil symbolique.
Ascenseur étroit, parquet grinçant, entré étriqué. Passé la porte elle laisse choir sa robe sur la moquette, dégrafe son soutien-gorge, mais garde sa culotte. Tiens tiens c'est la réédition ? On s'offre ? Je m'approche. Caresse d'un doigt négligeant l'arrondie d'un sein, fais la moue genre je suis déçu, soupire exagérément. Un peu d'inquiétude passe dans son regard. Je la pousse violemment d'un doigt dans le sternum. Pas assez pour lui faire mal, suffisamment pour ajouter à l'inquiétude. Un pas forcé en arrière, puis un second et un troisième, toujours en poussant au sternum. L'inquiétude est plus franche, presque le malaise. Oui c'est ton lit dernier toi. Elle comprend, s'assoie sur le matelas, fais glisser sa culotte découvrant son abricot. Lentement je la bascule sur le dos, tire sur le bord du lit son petit cul, écarte ses cuisses blanches.
Elle a le sexe nacré et corail A genoux à ses pieds j'ai dîné une deuxième foi ... de l'orange de son sexe
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thesheepyr-blog · 8 years ago
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La fente
L'élégance à la française et les films en noirs et blanc ce conjugue parfois devant mes yeux. Goût du beau, du glamour et du sobre à la fois.
Nous avions rendez-vous dans un restaurant à l'ancienne avec serviette en lin, couvert argent et boiserie. Nous étions seuls, l'avantage de l'heure décalée ou de ma bonne étoile. Un unique serveur et une salle vide pour nous deux. Nous n'étions pas à notre premier contact. Mais flirter via internet, même explicitement, de conduit pas à connaitre les gens. Sauf à mal connaitre la nature humaine ou à s'illusionner avec ses propres pulsion. Nos sourires respectifs et mutuels était engageant. Pour ma part une robe noire sans falbala a toujours eu mon attention. Cela ne ment pas une robe noire. Impossible de faire de l'effet sans tenu, droiture et élégance du geste.
Elle était placée face à la salle et moi avec pour seul horizon sa personne. Banalité échangées et nos verres apportés. Je m'éclipsais un moment pour me rafraichir et offrir une pause propice pour que nos esprits prennent la mesure de l'instant.
Je revenais doucement du fond de la salle d'un pas lent et mesuré, m'emplissant du moment, les yeux dans les siens.  A l'instant de m'asseoir face à elle, elle avait ce geste lent gracieux. Remontant sa robe et décroisant les jambes et découvrant ses cuisses ainsi son sexe glabre, nos regards ce croisaient. Elle m'a dit “servez vous”.
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thesheepyr-blog · 8 years ago
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La Gourmande
Le rayon de soleil progressais au pied du lit et remontais lentement vers ses orteils manucurés. Encore quelque minutes et la chaleur de la lumière entrera en contact avec sa peau. Les photons avaient cette étrange faculté de lui ouvrir les sens et son désir.
5 .. 4 .. 3 .. 2 .. 1 .. contact
Un soupir, un étirement, une jambe qui glisse vers moi. La couette part en avalanche, un main ce pose sur ma cuisse et remonte. Un doigt ce tend et esquisse les contour de mon sexe. Son appétit est tellement prévisible. Un souffle, deux poumons qui eux aussi ce réveillent. “Je la veux là, là et là” dit elle en pointant d’un ongle laqué noir son sexe, sa bouche et son cul.
Entré, plat, dessert ... c’est comme cela qu’elle avait gagné son surnom.
Je l’appelais La Gourmande
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