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Le monde numérique selon Antoine
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tonyled21 · 9 years ago
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Bilan du cours Médias Numériques
Voilà! C’est déjà la fin d’une longue épopée concernant les médias numériques. J’ai eu beaucoup de plaisir à découvrir ou redécouvrir les médias comme nous les connaissons aujourd’hui. Il est vrai que nous n’avons pas vu les premières années de la radio ou de la télévision, mais nous avons été plongés dans l’univers des médias sociaux et de ses plates-formes très rapidement.
Je me souviens encore du cours où nous avons abordé la première version d’Intranet ou d’Internet Explorer, comment tout cela me semblait si loin et que finalement, c’est il n’y a pas très longtemps. Ça me surprendra toujours à quel point les jeunes qui ont quelques années de moins que nous perçoivent maintenant les médias numériques.
Ce que je retiens de ce cours, entre autre, c’est l’aspect d’interaction avec les médias numériques. Comme l’indiquent les panélistes de la table ronde de l’avenir des médias numériques présentée par Newspapers Canada, « Aucune technologie n’existe en zone neutre : la technologie est consommée culturellement, socialement et économiquement. Les technologies numériques ne sont pas, d’elles-mêmes, positives ou négatives; la valeur de ces nouveaux outils est dans la façon dont nous interagissons avec eux » (Newspapers Canada, 2015).
Dans plusieurs années, alors que nos enfants et nos petits-enfants seront assis dans le cours de médias numériques, comment verront-ils ces technologies 1.0 et 2.0? Existera-t-il des technologies 3.0 qui nous feront réaliser à quel point les technologies 2.0 sont dépassées? Pour l’instant, on ne peut que spéculer en faisant quelques recherches sur Google.
Finalement, un autre questionnement intéressant à la suite de ce cours est celui de la question des médias numériques dans une ère d’information. Il en était question lors de la dernière semaine de classe. En tant que relationniste pour une équipe sportive, les médias numériques deviennent donc intéressants à connaître l’évolution dans les prochaines années. Selon Médiamétrie «42% des internautes français suivent l'actualité sportive et 42% utilisent un second écran lorsqu'ils regardent un événement sportif à la télé ou l'écoutent à la radio» (Médiamétrie dans L’OBS, 2012).
C’est pourquoi j’ai bien hâte de voir comment l’évolution des médias numériques se fera d’ici les 20 prochaines années.
Pour en savoir plus sur la table ronde de Newspapers ou bien les résultats de l’enquête sur les médias numériques et le sport de L’OBS, consultez les sites web suivants.
http://newspaperscanada.ca/news/events/table-ronde-sur-lavenir-des-medias-numeriques/?lang=fr
http://tempsreel.nouvelobs.com/sport/20121115.OBS9624/quand-le-sport-dope-les-nouveaux-medias-numeriques.html
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tonyled21 · 9 years ago
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Médias numériques et démocratie
Avec les plus récents attentats terroristes à l’Aéroport de Bruxelles, les réticences face à une éventuelle menace sont de plus en plus grandes de la part de la population et des organismes s’occupant de la sécurité comme la National Security Agency (NSA) et le Centre de la sécurité des télécommunications Canada (CST).
À la suite de ses évènements, je me suis rappelé à quel point un aéroport était une cible de choix pour des personnes mal intentionnées. Un grand nombre de personnes, tous de nationalités différentes, où les vérifications sont effectuées après plusieurs postes de contrôle bien gardés.
On se pose ensuite la question, jusqu’où la NSA et la CST peuvent-ils aller pour surveiller les allées et venues de la population, autant dans leurs déplacements, que sur les différents médias numériques? Je me suis alors souvenu d’un reportage qui avait fait les manchettes il y a un peu plus de deux ans. On parlait que la CST avait utilisé un réseau Wi-Fi pour surveiller les communications numériques des utilisateurs d’un aéroport canadien en 2012. Toujours d’après ce document ultrasecret, les deux entités qui expérimentaient un nouveau logiciel très puissant ont confirmé son utilisation à plein-temps (Radio-Canada, 2014).
Jusqu’où iront la censure et la surveillance de la population et des réseaux? Lorsqu’on empiète sur la vie privée, on peut trouver de l’information et sauver des vies, mais on peut aussi trouver de l’information de nature privée. Encore une fois, la ligne est mince entre la sécurité du public et la vie privée.
Si à mes yeux, on va beaucoup trop loin dans la collecte de données, ce n’est peut-être pas l’avis de tous les Canadiens. En effet, 62 % des habitants de notre pays estiment que la collecte d’informations personnelles par le gouvernement aide à protéger la démocratie (Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques et d’Environics Institute dans Protégez-vous, 2014).
Avec la montée de la radicalisation et de l’accessibilité au monde numérique, est-ce que le pourcentage d’habitants en faveur de la collecte de données augmentera ou diminuera d’ici les prochaines années? Ça reste à voir…
Pour en savoir plus sur le reportage de la CST et de la NSA, ainsi que le reportage sur la vie privée dans Protégez-vous, cliquez sur les liens ci-dessous: 
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2014/01/30/010-enquete-cbc-aeroports-surveillance-electronique-cst-voyageurs.shtml
http://www.protegez-vous.ca/technologie/anonymat-web.html
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tonyled21 · 9 years ago
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(S’) Informer à l’ère de Google et des médias sociaux
S’informer et informer fait partie des choses qui ont profondément changé avec l’arrivée des médias numériques. Aujourd’hui, toute information doit être livrée rapidement à la population. La guerre de l’information se déplace maintenant vers Google et les médias sociaux. C’est principalement le cas en Amérique du Nord, mais aussi sur le «Vieux Continent», où la lecture de journaux quotidiens est en grande diminution depuis l’avènement de l’instantanéité médiatique (Jouët et Rieffel, 2013).
Prenons le cas particulier des médias sociaux. Des évènements comme ceux d’aujourd’hui (mardi) à Bruxelles, en Belgique, confirment à quel point les médias sociaux peuvent devenir une plaque tournante d’informations, mais aussi une véritable machine à rumeurs. En effet, depuis le début de la journée, on relate les faits de cette tragédie en sol belge, et ce, de plusieurs façons. La majorité des citoyens vont suivre les informations sur les chaînes en continu ou sur les médias sociaux. Ils vont se fier à des journalistes et des reporters qui sont sur place ou qui ont des informations véridiques.
Toutefois, dans certains cas, plusieurs relaient de fausses informations. C’est là, selon moi, le nerf de la guerre depuis l’arrivée des médias sociaux. Le journaliste doit s’adapter à de nouveaux outils et devenir un expert, voire même un surhomme, dans son domaine (Roche, 2015). Ils voient aussi les citoyens s’improviser comme des journalistes. La véracité de l’information peut être compromise. Il y a plusieurs années, les journalistes avaient la latitude de vérifier et contre-vérifier leurs renseignements avant de les publier dans les journaux. Maintenant, ils le font, mais le plus rapidement possible pour ne pas être surpassé par leur compétiteur. Ils doivent aussi composer avec ce journaliste citoyen qui est aussi sur les lieux.
Une piste intéressante, celle offerte par Michel Dumais, serait de renforcer les bases du journalisme et de l’information en adoptant un code déontologique précis comme les médecins ou les avocats. (Dumais, 2007) Il en va de la survie de la profession. En plus de cela, il faudrait ajouter une clause concernant le journalisme citoyen, afin de ne pas amoindrir leur travail, ni nuire à la crédibilité des professionnels qui possèdent une spécialisation dans le domaine.
Pour en savoir plus sur le sujet :
http://www.pur-editions.fr/couvertures/1385456282_doc.pdf
http://future.arte.tv/fr/le-journalisme-lere-numerique
http://www.fpjq.org/le-journalisme-citoyen-la-revanche-de-lhomme-de-la-rue/
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tonyled21 · 9 years ago
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La vie privée au temps de Facebook
Il était une fois, la vie avant Facebook. Un instant, y avait-il vraiment une vie avant Facebook? Je ne sais plus trop, il faudrait que je consulte mes souvenirs sur ma page Facebook. Avec l’arrivée de Facebook, tout s’est transformé. Nos mœurs, comme nos actions. Il y a toutefois une chose qui a changé plus que jamais : notre vie privée. Est-ce possible d’avoir une vie privée en 2016? Je ne crois pas. 
Ce qui est encore plus surréaliste, c’est qu’il est maintenant possible de savoir préciser où nous sommes dès que nous publions quelque chose. Ces précisions, il fallait s’y attendre après l’arrivée des téléphones intelligents. Toutefois, l’entreprise Facebook commence de plus en plus à être surveillée avec les différentes instances qui s’occupent de la sécurité et de la vie privée des citoyens de la planète. La Commission nationale de l’information et des libertés (CNIL) aurait à l’œil Facebook sur des points de la vie privée et de la publicité ciblée. En effet, on maintient que Facebook n’explique pas précisément à quoi sert l’information recueillie par le biais des inscriptions ou de quelque autre façon (France 24, 2016).  
De plus, concernant la publicité, la CNIL mentionne que Facebook incite beaucoup les utilisateurs à en dire beaucoup sur eux en aimant certaines pages ou activités pour ensuite recevoir de la publicité en lien avec cela. Il est vrai qu’il est plutôt spécial d’aimer une page sur la Ligue nationale de hockey et de voir plusieurs pages d’autres équipes apparaître où les publicités. 
Un autre problème de vie privée est l’avènement de la géolocalisation. Maintenant, n’importe qui peut savoir où nous sommes, mais aussi se connaître sur notre compte. Il n’est pas sorcier de savoir comment modifier ses préférences de sécurité, mais quelqu’un qui n’est pas habitué pourrait se retrouver avec des mots de tête (Canoë, 2016).
Il est vrai qu’il est possible de faire des choses merveilleuses avec Facebook, mais est-ce que nous avons poussé trop loin la machine? Peut-être pas encore assez au goût des développeurs et des publicitaires qui nous sollicite presque 24 heures sur 24, sept jours sur sept, et ce, 365 jours par année. 
Pour en savoir plus sur les constats de la CNIL et sur la façon de protéger votre vie privée, consultez les liens ci-dessous. 
• http://www.france24.com/fr/20160209-cnil-facebook-avis-critique-vie-privee-donnees-cookies-internet• http://fr.canoe.ca/techno/mediassociaux/archives/2016/01/20160129-141747.html 
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tonyled21 · 9 years ago
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L’identité dans un monde d’avatars
L'identité dans un monde d'avatars
Notre identité est propre à chacun de nous. Elle nous est apposée dès notre naissance. Ancrée au plus profond de nous, elle fait ce que nous sommes, au quotidien. Lorsque l’on marche dans la rue, elle peut être admirée ou jugée du regard par une autre personne. Il n’est toutefois pas écrit dans notre front : «Je suis ci ou je suis cela».
On doit donc aborder la personne pour se faire une idée, se faire une tête sur celle-ci. Avec l’avènement des médias numériques dans notre société, il est maintenant possible d’avoir une continuité de nous dans un monde virtuel. S’ouvrir sur le monde avec Facebook, Twitter ou même Second Life. Celui qui n’a pas participé à un clavardage en ligne jette la première pierre. Par curiosité ou pour rencontrer des personnes, nous avons forgé notre identité avec des caractéristiques générales d’un avatar. Nom, âge, sexe, couleur des cheveux et des yeux, etc. On créé ainsi le prolongement de qui nous sommes ou qui nous voudrions être dans la réalité.
Ce que nous pensons vient aussi avec ce prolongement de qui nous sommes. Ce que nous pensons est beaucoup plus facile à dire derrière un avatar que lors d’un face-à-face. Selon Dominique Cardon, journaliste du web 2.0, l’avatar «se situe à mi-chemin entre ce que l’on fait et ce que l’on veut projeter comme image dans la société» (Cardon, 2008).
De son côté, le blogueur Guy Parmentier, estime qu’une des hypothèses les plus plausibles concernant l’identité est que «que l’identité est un processus continu de construction entre le regard des autres et le regard sur soi se nourrissant en permanence du vécu de l’individu» (Parmentier, 2008).
Il est vrai que l’identité «avatar» peut être la continuité de votre réel. Il existerait même trois types d’avatars soit l’avatar double, qui se veut notre alter ego, l’avatar extension qui se veut plus ou moins une amélioration de notre identité réelle et finalement, l’avatar autre, qui se veut une métamorphose complète de nous. Il n’y a peut-être pas de meilleure solution quant à savoir quel avatar est le «meilleur», mais l’important, c’est de garder sa propre identité, dans un monde réel ou fictif.
Pour en savoir plus sur l’identité dans un monde d’avatars, je vous invite à consulter les références de ce billet.
http://www.internetactu.net/2008/02/01/le-design-de-la-visibilite-un-essai-de-typologie-du-web-20/
http://www.theinnovation.eu/article/39
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tonyled21 · 9 years ago
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Les technologies numériques jouent certainement un rôle sur notre quotidien et elles continuent de le faire avec les années. Méconnues au départ, ces technologies ont rapidement pris de l’ampleur avec l’avènement d’un média que nous connaissons trop bien maintenant, soit Internet.
Internet, cette plate-forme planétaire qui permet de se connecter tous ensemble aura, entre autres, permis de créer des communautés qui rassemblent parfois plus de personnes qu’un pays peut en compter.
Dans ces communautés, on retrouve des gens comme vous et moi qui participent à des échanges sur une multitude de sujets. Pertinents ou non, ces sujets sont ensuite débattus sur les réseaux sociaux. Enfin, chacun peut obtenir son moment de gloire.  
Mais, est-ce que ces communautés et ces moments de gloires artificiels ne sont pas que de la poudre aux yeux? Tout dépend d’un concept bien simple. Celui que « le principe central des médias sociaux peut être résumé en trois lettres : UGC pour User Generated Content (contenu généré parles utilisateurs) ». (Coutant et Stenger, 2012).  Si personne ne participe à l’échange, il y a très peu de chances qu’on en parle davantage.
En contre, plus un sujet touchera la communauté avec un C, plus les gens seront tentés de trouver un moyen pour propager leur opinion, qu’elle plaise ou non à la majorité. Plutôt que d’en débattre en personne, avec des gens qui partagent ou non l’opinion, ils se cachent derrière un clavier. C’est un peu ce qui affaiblit les relations interpersonnelles entre les personnes.
Tout cela commençait avec des programmes comme MSN ou ICQ. Maintenant, on parle plutôt de Snapchat et de Tinder.
Heureusement, tout n’est pas que négatif avec la sociabilité en ligne. Les technologies mobiles permettent d’avoir un accès instantané à une information sur quelqu’un ou quelque chose. C’est, selon moi, la plus belle chose en ligne avec ces technologies. Nul besoin d’attendre des heures, voire même des jours pour parler avec une personne. Tout se fait rapidement et efficacement. « Nous avons accès beaucoup plus facilement à toutes sortes de connaissances qui nous étaient difficiles d’acquérir il n’y a encore pas si longtemps » (Turcotte, 2015). Est-ce qu’il y a parfois de l’exagération? Oui, et ce, comme dans toutes les sphères de la société lorsque nous ambitionnons dans quelque chose.
Au final, qui suis-je pour critiquer de tout cela, assis derrière mon clavier d’ordinateur?
Pour plus d’informations sur les médias sociaux et leurs impacts sur la sociabilité en ligne, je vous invite à regarder les deux articles que j’ai consultés pour l’écriture de ce billet.
http://www.cairn.info.acces.bibl.ulaval.ca/revue-le-temps-des-medias-2012-1-page-76.htm http://selection.readersdigest.ca/sante/vivre-sainement/les-avantages-et-les-inconvenients-des-reseaux-sociaux
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