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L’IMPACT DU TÉLÉPHONE PORTABLE DANS LA SOCIÉTÉ ACTUELLE

                  Le téléphone portable : un impact technologique

Suite à l’essor de la technologie, le téléphone portable a une place importante dans notre société actuelle. Le téléphone portable est un appareil qui permet de communiquer sans être connecté par câble à une centrale. Il possède de multiples fonctionnalités utiles dans la vie quotidienne (appels, SMS et MMS illimités, réveils programmés, mémos...) Il permet également d'être en contact avec le reste du monde  à travers l’accès à internet et aux réseaux sociaux. Il peut aussi contenir plusieurs données personnelles (images, photos et vidéos) faisant de lui une sorte de “journal intime”. Les utilisateurs ont la possibilité de personnaliser leur téléphone portable (par exemple grâce à des choix d’un fond d’écran ou d’une sonnerie souhaitée) afin de le rendre unique. Il est donc le reflet de son utilisateur. 

Cependant, toutes ces fonctions peuvent donc être une incitation à une utilisation abusive du téléphone portable qui peut être à l’origine d’une addiction. 

                     Le téléphone portable : un impact sanitaire

En effet, celle-ci se caractérise par un usage récurrent du téléphone portable dans n'importe quel lieu et à n’importe quel moment. La manifestation soudaine d’une angoisse lors d’un bug, lorsque l’on ne retrouve plus son téléphone ou au moment ou lorsque l’on arrive pas à recharger son téléphone portable est un signe d’addiction. 

Cette addiction peut même pousser certaines personnes à dormir près de leur téléphone portable.

Source : https://www.linternaute.com/hightech/mobile/1395157-10-astuces-pour-utiliser-votre-smartphone-sans-bousiller-votre-sante/1395308-nomophobie

Par conséquent, elle peut entraîner des effets néfastes sur notre bien-être. En effet, elle peut causer de nombreux troubles tels que la nomophobie. Issu de la contraction entre “no mobile phone” et “phobia”, la nomophobie désigne la peur de se retrouver sans son téléphone portable. 

Pour le moment, ce trouble n’est pas répertorié dans le manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux (DSM-V) mais il est tout de même considéré comme une maladie par les chercheurs en psychiatrie.

Selon le rapport de l’Anses, l’utilisation abusive du téléphone portable peut s'avérer être dangereux pour la santé des enfants. En effet, il reste une source majeure d’ondes électromagnétiques qui peuvent d’abord affecter les fonctions cognitives de l'enfant telles que le langage, les capacités psychomotrices, l’attention et la mémoire. Ensuite, l’usage excessif et nocturne du téléphone portable peut être la cause d’une fatigue supplémentaire,de trouble du sommeil, de stress et d’anxiété. Enfin, l’usage intensif du téléphone portable peut provoquer des dépressions ou des idées suicidaires notamment chez les jeunes ayant une santé mentale affectée.

Le téléphone portable :  l’impact scolaire

Ils peuvent être à l’origine d'échec scolaire car ils peuvent être à l’origine de problèmes de concentration et d’apprentissage chez les jeunes qui passent plus de temps devant leurs smartphones que devant leurs cours.

Le téléphone portable : l’impact social

Si nos téléphones portables peuvent favoriser les relations sociales à travers une vaste ouverture sur le monde grâce à internet et aux réseaux sociaux, ils constituent tout de même un instrument dé désocialisation. En outre, la dépendance aux téléphones portables peut affecter les rapports sociaux car les individus sont connectés leurs portables à n’importe quel moment. Le contact avec autrui devient donc superficiel voire inexistant. 

             Le téléphone portable : un impact environnemental

Les piles et les batteries contenues dans les téléphones portables possèdent des métaux lourds dangereux pour la santé humaine et l'environnement. De plus, ils consomment une  grande quantité d'énergie , en moyenne une heure de conversation est équivalente à l’énergie utilisée par un lave-linge à 400C. Enfin, l'émission de CO2 engendrée par la production de téléphone portable est l’équivalent de 20 millions d’automobiles (Source : Economie Solidaire).

 Bibliographie :

https://www.francetvinfo.fr/sante/memoire-attention-depression-quels-sont-les-effets-des-ondes-des-telephones-portables-chez-les-jeunes_1537187.html

http://www.economiesolidaire.com/2010/05/10/avantages-et-inconvenients-du-telephone-portable/

https://www.sante-sur-le-net.com/nomophobie-addiction-au-smartphone/

https://letelephonemobiletpe.wordpress.com/ii-le-telephone-portable-un-danger-2/3-une-destruction-sociale/

http://www.danger-sante.org/definition-de-telephone-portable/

Christelle Monsembola

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BZZZZT No2: Le Web, notre mémoire collective ?

Bienvenue dans l’instant BZZZZT No2 ! Aujourd’hui on focus sur le WWW, le World Wide Web... Des milliards de connexions à travers le monde, un enjeu politique de taille et… le meilleur moyen de retrouver son ex (ou pas) ! En bref, la toile couvre un large spectre de flux, dans ses plus magnifiques formes d’humanités comme dans ses plus terribles… Les individus tendent à faire passer leur savoir à la fois par des écrits mais surtout par des visuels et des documents audios synthétiques. On assiste à une individualisation du savoir où l’on est moins tentés d’écrire au nom d’une civilisation que de raconter notre expérience sur les réseaux. En ce sens, avons nous perdu notre mémoire collective ou s’est-elle incarnée dans la toile ? Un petit jeu de mot pas inopportun puisque nos manières de représenter les connexions neuronales et numériques sont similaires (cf. Opte.org)

“C’est une des structures les plus complexes que l’univers ait produites. Il renferme une centaine de milliards de neurones, chacun étant connecté à plusieurs milliers d’autres ! Nous savons de quoi il est fait, mais peu de choses sur la manière dont il fonctionne.”  Richard Walker.

(1)  Henry Markram, directeur du Human Brain Project, devant une image numérique d'un cerveau humain (2015)

(2) Aperçu du travail de mapping de deux chercheurs ayant chacun imaginé une base de données intelligentes représentant les différents échanges entre continents “Large Graph Layout” (LGL) est la création d’Alex Adai et “Graphviz” celle de Peter North. (Leurs travaux s’étendent de 2003 à 2005)

Contrairement au cerveau dont nous ignorons le fonctionnement en précision, le web fût inventé le 12 mars 1989 au CERN, à Meyrin. Il a alors pour but de favoriser les liens entre les travaux de chercheurs du monde entier. Depuis, le commerce en a colonisé tous les espaces (sites d’achats, réseaux sociaux, blogs, plateformes musicales, pages culturelles, sites scientifiques…) collectant toujours plus de données dans un but lucratif. Dans ce contexte de marchandisation des données, le Web est-il encore un témoin des connaissances de l’histoire ? Nous permet-il de nous souvenir ? Je n’aborderai pas dans cet article la question des réseaux sociaux car massivement abordée et soumise à des enjeux commerciaux forts. C’est pourquoi, nous allons nous intéresser à des sites assez particuliers : les banques d’images gratuites ! Généralement très usitées mais impopulaires, les banques d’images émergent à la suite des photothèques. Un rapide détour sur des sites culturels me permet de retenir de ces lieux qu’ils permettaient un archivage ciblé d’une collection de phototypes (cad. de nombreux clichés photographiques de haute qualité) selon des catégories. La numérisation de ces lieux permet alors de réduire les coûts pour tendre à une démocratisation de l’image, et du souvenir qui en découle. La question que l’on se pose est alors : les banques d’images gratuites participent-elles au devoir de mémoire ?

“Nos mémoires sont de gigantesques prothèses qu'on appelle serveurs, archives ou bibliothèques.” La sagesse du bibliothécaire - Michel Melot

Dans un premier temps il serait facile de répondre que ces plateformes participent pleinement au devoir de mémoire, en ce qu’elles dérivent historiquement d’un procédé d’archivage de plusieurs centaines d’années. Des artistes comme Christian Boltanski dans sa récente exposition intitulée “Faire son temps” au centre Georges Pompidou reprennent les mêmes procédés de collecte de photographies à des fins de commémoration. L’importance de l’archivage comme moyen de conserver la mémoire n’est pas à négliger. Dans son oeuvre "Album de photos de la famille D, 1939-1964″ (1971), ce que transmettent les photos n’importent plus vraiment dans leur caractère individuel mais bien dans l’archivage qui en a été fait. Les émotions ne sont donc pas un facteur déterminant d’un objet à être acteur d’une mémoire collective. Aussi, même si les photographies des banques d’images sont employées à des fins commerciales, elles n’en sont pas moins présentes dans la base de données et sont visibles de tous. Elles laisseront de toute façon une trace en tant qu’objet “photo”.

(3)  Christian Boltanski, Album de photos de la famille D, 1939-1964 (1971)

“Penser aux morts, c'est assurer la survie des gens qu'on a aimés, en attendant que les autres le fassent pour vous. C'est un devoir de mémoire.” François Mitterrand (1995)

Dans le discours de F. Mitterrand, il semblerait néanmoins que l’émotion ai une place, et que le souvenir qui lui est lié dusse être valorisé. Cependant, de nombreuses autres personnalités rejettent cette “obligation”, ce “devoir” en tant qu’elles considèrent que cela relève de l’éducation et non du vocable de la législation. Les autres spécificités allant dans le sens du devoir de mémoire font parties de l’argumentaire de mise en valeur des banque de données, c’est pourquoi je vais essayer de déconstruire au maximum ces idées dans un second temps.

“Une grande diversité” Les banques de photos gratuites ont cet avantage certain de rassembler sous une même identité les productions de chacun des photographes ayant participé à enrichir la banque de données indépendamment du fait qu’ils soient professionnels ou amateurs. Il n’y a pas de distinction de diplôme et l’on pourrait donc penser que les écarts liés à l’origine sociale sont réduit. Ainsi les banques d’images seraient un témoignage plus juste de l’histoire car plus représentatives des différentes réalités sociales que les anciennes photothèques, ne travaillant qu’avec des photographes privilégiés. Les sujets sont de plus en plus différenciés, rendant compte de multiples facettes de la même réalité. Ex : un sandwich vu par 2 banques d’images n’aura pas la même identité... ci dessous un sandwich de foodiesfeed et l’autre, burst.

“Universalité à toute épreuve” La banque d’image gratuite se veut ouverte à tous et donc libre de droits. Certaines font toutefois le choix d’avoir des licences n’admettant qu’un nombre minimal de contraintes. Les images sont si variées qu’il est impossible de ne pas y trouver son compte. Les petits-entrepreneurs sont aidés car ils peuvent avoir des photos de qualités sans avoir de frais supplémentaires pour leurs entreprises, cela permet de rétablir quelques inégalités causées par l’injonction contemporaine constante à avoir une communication réseaux « sans faute », quasiment lisse. Les photos viennent des 4 coins du monde et ne sont régies par aucune instance particulière que les gestionnaires du site en question. Bien souvent les sites sont en anglais, preuve de l’ouverture internationale de la plupart des banques d’images. On émettra tout de même une réserve sur le fait que les petits entrepreneurs ai tous défini une identité de marque, etc... sans quoi avec ou sans banque photographique, cela pourrait ne rien changer.

“Être dans le mood” Si les banques d’images admettent une certaine universalité, elles n’en n’oublient pas de travailler leur personnalité, c’est ainsi que l’on retrouve de petites banques d’images comme Magdeleine. Les créateurs ont défini à l’avance une ambiance et une certaine technicité dans les photographies et/ou les montages. Les montages permettent ici de mettre en valeur des photographies et débloquent une certaine créativité dans l’esprit des photographes de la nouvelle génération. (Pour explorer la question de la retouche en photographie, voir les liens en fin d’article)

“De la haute qualité” La qualité se caractérise non seulement dans la résolution de la photo, dans le caractère universel de ces banques mais aussi dans l’instantanéité à trouver exactement ce que l’on cherche au moment ou on le cherche sur la page. Les catégories sont ciblées et on reconnaîtra la qualité d’un site à sa facilité d’accès aux différentes catégories dont on a besoin. Efficacité et productivité sont les mots d’ordre définis par l’accès à une diversité de représentations sous forme d’un classement et d’un système de recherche. Sans nul doute, cette diversité permet de dresser un portrait des différents événements qui surviennent (manifestations, concerts, spectacles etc..) sous différents points de vues. On pourrait permettre par ce biais un certain devoir de mémoire, ceci dit, le système de classement ne permet pas d’ouvrir le champ des possibles et oriente trop vite un utilisateur vers ce qu’il cherche. Il n’explore pas, on lui donne.

"Payer les factures” Quel que soit le moyen employé par la banque d’images étudiée, arrive forcément un moment ou il faut payer les factures pour l’hébergeur, le serveur, certains photographes peut-être etc... Plusieurs options sont alors possibles, les coups sont fait grâce à la publicité, en comparaison avec les sites payants qui eux se débrouillent pour avoir des abonnements à prix dérisoires. Le problème vient plutôt des plateformes qui font du troc photos/visibilité pour les photographes, alors qu’ils sont plus sujets à être dans des situations instables. C’est un emploi qui s’est clairement précarisé depuis la démocratisation des appareils photos et plus encore après la popularisation des appareils numériques. Même lorsque les plateformes sont gratuites, des inscriptions sont demandés, donc des données et par extension, un moyen peu valorisant de faire survivre le domaine.

“Guideline et connotation” Chacune des plateformes a ses propres caractéristiques, sa ou ses différentes ambiances et catégories de photos, sa propre politique de valorisation des artistes qui ont contribué à la banque d’images. Les petites banques d’images ont plus tendance à privilégier des artistes en particulier, à en avoir un nombre restreint avec une identité forte, à l’instar des photothèques par le passé. Cependant chacune des plateformes ne partagent pas un flux de photos comme on pourrait le penser mais bien une collection, sagement réfléchi pour qu’elle convienne à l’idée que l’on se fait du site.

"L’impopularité” Peu importe le nombre d’arguments présentés, le fait est que pour la banque d’images … il n’y a pas d’implication de la part d’acteurs autres que commerciaux. La population ne s’y intéresse pas contrairement à des réseaux comme Snapchat, Instagram, Facebook… où certaines images sont relayées constamment. Le problème est que les utilisateurs semblent ne plus rien avoir à faire de l’avenir des choses qu’ils postent… tout est instantané, éphémère. La mémoire est d’avantage fixé sur un passé proche qu’un passé lointain mais peut-être est-ce finalement le cœur du débat. 

“Censure politiquement correcte” A la pseudo diversité des acteurs et la qualité des plateformes on opposera la censure du site qui trie les images envoyés par les auteurs parfois sévèrement (1/100 clichés sur Pixabay)

 “Renouvellement programmé” C’est un argument de vente mais il demeure négatif dans cet article car les clients de ces banques recherchent un renouvellement incessant des photographies et des sources amenant systématiquement à une obsolescence. Certaines photographies plus anciennes sont ainsi « nettoyées » de la plateforme et tombent dans l’oubli. Même si certaines traces subsistent, ce procédé rend obsolète le photographe derrière la photo. De plus les appareils numériques nous permettant de nous connecter à ces plateformes risquent de se faire de plus en plus rare car les matières premières elle-même deviennent inaccessibles avec le temps. Cela pose grandement question d’une transition de la mémoire numérique à une mémoire plus tangible.

“Une vision irréaliste” Le leurre de la diversité par le biais d’un tri ultra sélectif, et le positionnement sur le marché de celles-ci ne permet pas un tri « intelligent » des sources et de la mise à disposition des ressources photographiques. Aucune retranscription émotionnelle n’est présente contrairement à Boltanski qui joue entre des oeuvres vides d’émotions et d’autres pleines d’histoires dont chacun s’approprie le ressenti, impossible donc de penser que cette représentation est un témoignage plus fidèle de la réalité.  C’est une réalité lissée, une virtualité. Appuyé par les logiciels de retouches et de montage tel que Photoshop. Dans l’oeuvre Crépuscule, (2015) Christian Boltanski rompt avec cette vision lisse et déterminée en laissant le spectateur interpréter à sa manière l’image qu’il offre au monde. C’est à dire ici la vision de lampes emmêlées, brillant dans un même espace. Il fait ici appel à nos émotions plus qu’il ne retranscrit pas trait pour trait un événement. 

(4)  Christian Boltanski, Centre Pompidou, Crépuscule, (2015)

Pour conclure, j’espère que cette recherche vous aura permis d’en apprendre plus sur les banques d’images. Il semblerait que de trop nombreux points nous empêchent de considérer ces pages Web comme actrices du devoir de mémoire, notamment l’aspect commercial de ses utilisateurs ainsi que les enjeux économiques amenant à une sélection et une monétisation des différents médias. Seuls les plus petites banques d’images qui priorisent la personnalité de leurs flux font survivre leurs propres réalités et donc leur propre mémoire des moments sensibles. Les sujets ne sont finalement pas si divers car ne peuvent pas être abordés si trop sombre ou peu vendeur… Le devoir de mémoire n’est pas respecté dans son sens originel. A mon sens, les banques d’images photos rendent obsolescentes nos manières de photographier. Elles standardisent les ressources, et la multitude d’offres similaires fait donc bouger la balance en faveur d’autres moyens de commémorer et de partager nos émotions.

Louise MILLIERY, L2 Sociologie

Quelques sources :

http://www.opte.org/maps/

https://www.flickr.com/photos/curiouslee/3485479724

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13284

http://histoirevisuelle.fr/cv/icones/500

https://www.parismatch.com/Actu/Environnement/Le-projet-du-siecle-la-carte-du-cerveau-734974

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Les intelligences artificielles, avenir ou fin de l’humanité

Depuis plusieurs années, l’évolution numérique ne cesse de se développer apportant matériels et aides aux Hommes dans divers secteurs, qu’ils soient professionnels ou personnels. Actuellement, l’Homme vit dans un monde où le numérique a entièrement pris place mais il continue ses recherches dans l’objectif d’apporter davantage à l’humanité avec des machines qui sont de plus en plus aptes à effectuer des actions humaines.

Quel avenir pour les intelligences artificielles ? Quelle place des Hommes dans cette évolution ?

Récemment, l’auteur Victor Dixen, qui s’est démarqué par sa saga Phobos, a sorti un nouveau roman d’anticipation, intitulé Cogito, dans lequel il imagine un monde futur où les Hommes cohabiteraient pleinement avec les intelligences artificielles qui ont pris une place majeure dans la société.

Un roman qui donne plusieurs approches de l’intelligence artificielle en la montrant tantôt bénéfique à l’humanité, tantôt néfaste pour celle-ci.

Si l’intelligence sait se montrer avantageuse pour les Hommes, on y découvre également un côté sombre à son développement qui s’est déjà fait ressentir dans la société actuelle. En effet, la création de machines a pour principale objectif d’apporter son aide à la société en effectuant diverses tâches autrefois réalisées par l’énergie humaine. Un des principaux point qui est rapidement mis en avant dans le roman, c’est bien le manque d’emplois qui accroît le taux du chômage. Les robots ayant pris petit à petit la place des humains pour des raisons de performances ont obligé certains de ces derniers à les servir, inversant ainsi les rôles.

Les intelligences artificielles sont-elles dignes de confiance ?

« Les robots, si perfectionnés soient-ils, se réduisent à la somme de leurs parties. Mais les êtres humains, eux, sont davantage que l'assemblage de leurs organes. Ils ont la pensée, qui elle est parfaitement indivisible ! » Cogito, Victor Dixen, 2019

Les chercheurs recherchent une ressemblance aux Hommes permettant aux intelligences artificielles de réagir, voir penser comme on le ferait dans certaines situations. Mais le problème que posent les IA est bien cette faculté de réfléchir.

On peut essayer de créer un automate aussi perfectionné et similaire à l’Homme dans son apparence, sa manière de bouger ou encore de parler, il lui manquera la possibilité de penser sur un instant donné, de prendre une décision adéquate à une situation imprévue.

Cette complication présente un réel danger qui a déjà montré des conséquences pouvant causer des accidents majeurs, voir mortels pour un humain. En effet, en 2018 dans l’Etat américain de l’Arizona, une voiture autonome de la filiale Uber, encore à l’état de test, a causé un accident mortel entrainant le décès d’une femme suite à un dysfonctionnement du système qui aurait pu empêcher la collision entre le véhicule et la femme. (”Voiture autonome : une agence américaine étrille Uber pour l’accident mortel de 2018″, LesEchos)

D’une manière plus relative, l’imagination de l’Homme a envisagé de nombreuses possibilités de futur avec la présence d’intelligences artificielles, notamment dans les films qui donne une image positive comme négative des IA.

Le Marvel Cinematic Universe donne son approche de deux manières différentes que l’on peut remarquer à travers le personnage de J.A.R.V.I.S., l’assistant vocal de Tony Stark (Robert Downey Junior), ou encore dans Avengers 2 : L’ère d’Ultron réalisé par Joss Whedon dans lequel on retrouve une intelligence artificielle destructrice qui s’émancipe de la volonté de son créateur.

L’idée que les IA peuvent s’émanciper de l’Homme et prendre leurs propres décisions peut sembler extrême. Et pourtant c’est bien une solution envisageable en vue des recherches voulant apporter davantage d’améliorations aux machines.

Outre les films Marvel, on peut noter d’autres références cinématographiques qui ont abordé le sujet comme Transcendance de Wally Pfister, sortit en 2014, dans lequel l’intrigue s’intéresse à la possibilité de sauvegarder une partie de l’être humain pour continuer de le faire vivre après sa mort. Ou encore, le film Tau de Federico D’Alessandro, sortit en 2018 qui montre une nouvelle fois, la volonté d’une intelligence artificielle à se détacher de sa fonction principale et donc de la volonté de son créateur en voulant penser et agir de son propre chef.

Quoiqu’il advienne, l’humanité doit se préparer à trouver sa place dans un futur qui accueillera sans aucun doute les intelligences artificielles qui commencent déjà à s’imposer.

Johanna Bocquillon, L2-Droit

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Êtes-vous un robot ?

Les intelligences artificielles tel que les chatbots ,les robots et les assistants vocaux se nourrissent des données personnelles afin de se développer et imiter l’intelligence humaine. Elles sont dotées d’un apprentissage automatique, qui leurs permettent d’exécuter des performances en apprenant avec des données personnelles. Nos données collectées sur internet, sur nos réseaux sociaux , des captcha , et de nos téléphones leurs sont transmises afin qu’elles puissent exécuter des tâches comme des êtres humains.

La distinction entre l’humain et l’intelligence artificielle à cause de la collecte de données personnelles  ne devient-elle pas difficile à faire ?

Cette distinction devient de plus en plus confus face aux nouvelles technologies d’intelligences artificielles comme les chtabots qui sont des logiciels de robots qui dialoguent avec un consommateur. Ils sont nourris d’algorithme de conversations ou des phrases automatisées qui leur permettent de répondre aux questions du consommateur. Ils peuvent aussi être doté d’un logiciel de traitement de langage naturel ou posséder des capacités d’apprentissage. Lorsque nous parlons avec des conseillers sur internet nous ne savons pas réellement  si ce sont des intelligences artificielles ou des humains.

https://www.lemonde.fr/pixels/article/2017/05/25/l-intelligence-artificielle-alphago-bat-une-nouvelle-fois-le-champion-du-monde-de-go_5133716_4408996.html

Alpha GO est un programme informatique qui est capable de jouer au jeu de go et qui a battu en le meilleur des joueurs. Des données de parties jouées par des professionnelles lui ont permis d’apprendre et d’imiter le raisonnement des joueurs. Son algorithme lui permet de chercher les combinaisons différentes en peu de temps. Il possède aussi une techniques d'apprentissage automatique lui permettant de s’entraîner avec des ordinateurs, des humains ou avec lui-même. Cette victoire a causé de nombreux doutes chez les spectateurs se demandant si ce n’était pas un humain qui jouait à la place du programme informatique.  

Les intelligences artificielles sont de plus en plus créés de façon à nous ressembler physiquement ou à pouvoir dialoguer avec nous comme  des êtres humains à part entière. Cette envie de les rendre de plus en plus « humain » rend la distinction de plus en plus mince.

https://www.youtube.com/watch?v=S5t6K9iwcdw

En 2017, le  Robot Sophia  a eu la nationalité saoudienne. Elle a l’apparence physique d’une femme, et est capable de dialoguer ainsi que de dessiner. 

https://www.parismatch.com/Actu/Insolite/Un-Chinois-s-est-marie-avec-son-robot-humanoide-1225544

Un Chinois a décidé de se marié avec une femme robot capable d’identifier des personnes et des caractères chinois en 2017.  

  https://www.youtube.com/watch?v=ld9m8Xrpko0

Dans un épisode de Black Mirror, bientôt de retour, Martha essaie un service expérimental qui exploite les données enregistrées sur internet sur des personnes décédées pour continuer à échanger avec eux. Elle entretient des échanges par messages avec une intelligence artificielle imitant Ash son défunt copain. Suite à une chute de son téléphone dans l’eau qui l’empêche de parler au Ash virtuel elle essaie un service expérimental qui consiste à créer un clone de Ash. Le clone a les mêmes caractéristiques physique et les mêmes souvenirs que Ash. Mais Martha finit par être gêné par son comportement différent du vrai Ash car le clone ne dispose pas de libre arbitre et se conforme exactement aux ordres donnés. De plus  il ne mange pas, ne dort pas et ne respire pas. Martha finit par l’emmener près d'une falaise et lui demande de sauter. Alors qu'il est sur le point de s'exécuter, Martha lui signale qu’un vrai  humain comme Ash n'aurait jamais fait ça sans résister. Le clone imite donc un sentiments de tristesse et la supplie de ne pas lui faire ça.

Dans cette épisode l’intelligence artificielle a pu imiter Ash grâce aux données collectées et à l’envie qu’avait  Martha de lui faire ressembler le plus possible à Ash. Il en vient à avoir les mêmes souvenirs, les mêmes caractéristiques physiques. Il a la capacité d’imiter un sentiment d’amour pour Martha, et un sentiment de tristesse pour ne pas sauter de la falaise. Cette distinction entre humain et robot a peut-être été compliqué à faire pour Martha car celle-ci décide de le garder dans son grenier et vient le rendre visite de temps en temps avec sa fille.

La distinction entre humain et intelligence artificielle est de plus en plus difficile à faire car leurs capacités leurs permettent d’imiter nos comportements et nos raisonnements et les progrès technologiques leurs permettent de nous ressembler physiquement. Néanmoins leurs capacités sont limitées car elles reposent sur nos données et ne disposent pas de raisonnement ni de volonté propre ce qui les différencie de nous. 

https://www.lci.fr/high-tech/intelligence-artificielle-villani-macron-ces-domaines-ou-les-machines-robots-surpassent-deja-les-humains-2077631.html

Les intelligences artificielles ont été créés non pas dans le but de nous remplacer mais d’améliorer des capacités humaines, mais nous pouvons demander si le développement des leurs capacités ne permettront-il pas de nous surpasser. Nous pouvons le voir avec l’Alpha GO qui a battu le meilleur des joueurs de go ou en mai 2016 une machine a réalisé une opération de chirurgie de manière autonome. 

ZANSY MARIE L2 DROIT

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La frontière entre les relations irréelles via les jeux vidéos et la vraie vie : un monde artificiel crée numériquement.

Pour commencer, la réalité virtuelle est une technologie qui permet à un individu de se plonger dans un monde artificiel grâce à des outils technologiques comme le casque VR ou encore les applications mobiles. Il peut s’agir d’une reproduction d’un monde réel ou d’un univers complètement imaginaire. L’expérience est comme une simulation réaliste d’un environnement qui peut être visuelle, auditive, ou encore haptique c’est à dire qui exploite le sens du toucher avec un retour d’effets. Il existe également le casque « Nosulus Rift » qui permet de ressentir des odeurs lorsqu’on joue. 

Pour cet article, l’épisode de la série BLACK MIRROR « Striking Vipers », est le bon exemple.

https://lavisduneophyte.com/2019/06/11/focus-sur-striking-vipers-black-mirror-netflix/amp/

Striking Vipers est l’histoire de deux amis d’enfance. L’un, Danny, ayant une femme et un enfant. Tandis que, Karl, le second est seul et passe ses soirées à jouer aux jeux vidéo. Ces deux amis avaient perdu contact. Onze ans plus tard, Danny organise un barbecue chez lui. Karl arrive à la fête et lui offre un cadeau d’anniversaire : Striking Vipers X et le kit de réalité virtuelle. Cette nuit-là, les deux joueurs décident de jouer ensemble mais cela va s’avérer un peu trop réel.  Après une partie de combat, dans lequel ils ressentent pleinement les souffrances de leurs personnages respectifs, les personnages de Karl et Danny se tombent l'un sur l'autre et s'embrassent. Perturbés, les deux hommes quittent la partie. Les semaines suivantes, Danny et Karl commencent à se connecter régulièrement en ligne et à entrer dans le jeu afin d'avoir des relations sexuelles l'un avec l'autre. Danny décide de tout arrêter quand il réalise que cela l’éloigne de sa famille mais surtout à son propre couple. Il demande alors à Karl de se voir dans la vraie vie afin de savoir s’il existe un lien réel entre eux en s'embrassant dans leurs corps normaux, mais ils ne ressentent rien.

https://images.app.goo.gl/FhxgdPRWz3ZWLYU7A

Cet épisode offre une réflexion sur l’évolution des jeux vidéo mais aussi sur tous les changements sociaux après l’arrivées des nouvelles technologies.

Les joueurs sont réellement projetés dans la peau de leur personnage par l'intermédiaire d'une puce immersive. Cette réflexion questionne les relations virtuelles et leur place dans la vie réelle, mais aussi l’infidélité numérique au sein du couple.

Avoir une relation virtuelle alors que l’on est marié ressemble-t-elle à une tromperie ? D’après cette épisode, nous pouvons se rendre compte qu’il y a une certaine menace du virtuel qui prend peu à peu le pas sur le monde réel. Ici, l’utilisation de cette réalité virtuelle peut être compromettant puisqu’elle peut causer quelques problèmes et quelques confusions comme remettre en question l’orientation sexuelle des deux jeunes hommes.

https://images.app.goo.gl/M1fiviyxCbsf4C2Y8

« Ce que j'adore c'est que la VR nous met dans les chaussures de quelqu'un d'autre ! » Clorama Dorvilias, designer d'expériences de réalité virtuelle (VR).

Cette problématique nous pousse à s’interroger sur les impacts des nouvelles technologies sur notre société futur.

Black Mirror souhaite montrer, grâce à cet épisode, l’un des dangers inhérents de jeux vidéo, auquel le virtuel peut devenir plus important que le monde réel.

Existent-ils des aspects positifs qu’apportent les réalités virtuelles ? En effet, l’utilisation de la simulation de vol est très utile puisqu’elle permet de former efficacement les futurs pilotes.

https://images.app.goo.gl/tLn4oK9ojffBCJfX6

Avez-vous déjà pensé au fait que les jeux vidéo, de plus en plus réalistes avec le temps,pouvaient rendre floue la frontière entre la réalité et la fiction ?

De plus en plus de séries ou de films comme Ready Player One ou Matrix essayent de nous dénoncer le danger de la réalité virtuelle. La mini-série nommée The i-Land sur Netflix, rappelle également cette frontière entre la réalité et la fiction car les personnages avancent dans une illusion numérique.

https://freakingeek.com/the-i-land-une-mini-serie-de-neil-labute-sur-netflix/

Pour finir, de mon point de vue, la réalité virtuelle peut avoir des avantages et des inconvénients dans notre vie. Grâce aux jeux vidéos en utilisant la réalité virtuelle, nous avons la possibilité de se divertir différemment en allant dans un monde imaginaire. Au contraire, il y a aussi des inconvénients, tout comme on a pu le voir dans l’épisode de Black Mirror qu’il peut avoir confusions sur le virtuel et la réalité.

Sources :

http://justabouttv.fr/critiques/black-mirror-lavis-de-la-redac-sur-le-5x01-striking-vipers/

https://www.google.com/amp/s/www.slate.fr/story/178146/black-mirror-saison-5-critique-morale-flop%3famp

https://www.cineserie.com/critiques/series-tv/black-mirror-une-saison-5-bien-decevante-2570970/?gclid=EAIaIQobChMIg_3DyInF5gIVWeDtCh3o9QdzEAMYASAAEgLs5fD_BwE

http://www.mulderville.net/nouvelles/netflix/2476/black-mirror-s05-striking-vipers

RANDRIANOMENJANAHARY Juanita Laurène

L2 LEA

[uel2019s1]

Quel est le rôle de l'image dans l'interprétation du réel ?

C'est en allant au musée d’art moderne de Bruxelles que je me suis penchée sur la question du rapport entre image, imagination, interprétation, réel, fictif...

Notamment en voyant l'oeuvre : La Trahison des images, de René Magritte.

C'est sur celle-ci que je me suis penchée aujourd'hui et sur ce quelle représente au fur et à mesure des années.

René Magritte souhaite à travers peinture, "montrer que même peinte de la manière la plus réaliste qui soit, cette pipe représentée sur le tableau, n'est pas une pipe".

Prenons l'exemple de la presse people, ou presse à scandale.

Celle-ci véhicule chaque semaine de nouvelles "rumeurs" basées sur de simples photographies. Photographies qui pourraient être interprétées d'une toute autre façon, sans les interprétations qu'en font les paparazzi et autres journalistes.

Là où la presse people rejoint l'oeuvre de Magritte c'est dans le rapport entre l'objet et son identification. On retrouve un paradoxe contenu dans cette toile, l'imagination et la réflexion du spectateur, qui en tirera les conclusions qu'il souhaitera sur la question de la réalité des choses en général.

Ce que l'on voit n'est parfois qu'une simple interprétation.

SASSIER Lucy L2 sociologie

[uel2019s1]

Le voyage numérique du visiteur dans la culture

De plus en plus de musées s’équipent de dispositifs numériques, à l’image du Louvres qui s’est doté d’une reconstitution virtuelle du Palais de Darius 1er ou encore l’application Blinkster du Centre Pompidou qui permet d’avoir des informations sur une œuvre en la prenant en photos. Il y a également eu depuis quelques années une démocratisation de musées entièrement numériques.

On peut cependant se demander ce qu’apportent ces dispositifs numériques et immersifs dans nos explorations culturelles.

L’Atelier des Lumières : des expositions immersives

L’Atelier des Lumières a été créer par Bruno Monnier en 2013 puis ouvert en 2018 dans une ancienne fonderie dans le XI arrondissement de Paris.

On y retrouve des expositions temporaires, Klimt et Hundertwasser en en 2018 puis Van Gogh et le « Japon rêvé » en 2019 et nous pourrons retrouver Monet, Renoir et Chagall en 2020.

Le musée est équipé de 149 projecteurs, 50 enceintes à directivités contrôlées permettant une sonorisation spatialisée. Quand nous y sommes, nous sommes totalement immergés par les tableaux et une atmosphère musicale en rapport avec ce que l’on voit.

Exposition « Le Japon rêvé », « La Grande Vague » de Kanagawa

Exposition « Van Gogh », « La récolte des olives » de Van Gogh

Micro-folie : un musée numérique

Qu’est ce que la démarche Micro-folie ?

Plusieurs Micro-folie on déjà vu le jour, une à ouvert ses portes fin septembre àMontereau-Fault-Yonne, puis plus récemment à l’Astrolabe de Melun (où on peut retrouver également de l’impression 3D, une Fab lab et de la Réalité Virtuelle), par la suite suivra l’Agora d’Evry et Grigny. Le projet va s’étendra d’ici quelques années à plus de 2000 structures. Pour ce faire, les fondateurs ont pu compter sur l’aide à des associations locales avec, par exemple pour Evry, Siana et Planète science.

L’initiateur de ce projet est Didier Fusilier, Président du Parc et de la Grande Halle de la Villette. Sa volonté était que chacun puisse avoir accès à la culture, le musée étant totalement gratuit . « Cela faisait longtemps que je travaillais sur cette idée d’essayer de rendre la culture et l’art accessibles aux gens qui sont à priori les plus éloignés. »

De quoi se compose une Micro-Folie ?

On peut y retrouver un écran HD de 6m par 3,4 où sont diffusés des œuvres en continu et une vingtaines de tablettes connectées où le visiteur peut trouver des informations sur ce qui est à l’écran. Les explications sont disponibles en plusieurs langues : le français, l’anglais, l’italien, l’espagnol, le turc, le chinois et le japonais.

Écran et Tablette de la Micro-Folie de Montereau

Si pour l’instant on peut déjà retrouver plus de 1100 œuvres, le répertoire va encore croître et encore plus se diversifié . Ces œuvres sont issus de 12 institutions nationales : le Louvres, le Centre Pompidou, le Château de Versailles, la Cité de la Musique, le Festival d’Avignon, l’Opéra National de Paris, le Musée National Picasso l’Institut du Monde Arabe, le Grand Palais, le Musée d’Orsay, le Musée du Quai Branly et Universcience.

La Micro-folie de Montereau.

Prenons comme exemple la Micro-folie de Montereau.

Montereau-Fault-Yonne est une ville du Sud du 77, à environ une heure de Paris en transport.

Le musée a ouvert ses portes le 27 septembre 2019 et a été inauguré par Franck Riester le Ministre de la Culture.

Son emplacement est stratégique, il est à proximité du lycée et du collège. Alors que pour visiter les musées en question il faudrait mettre une heure et le musée est totalement gratuit alors que le ticket navigo pour une journée coûte 17,80€. Autre fait important, les professeurs peuvent eux même crée leur propre diaporama selon ce qu’ils souhaitent montrer à leurs élèves. « Ce qui va être utile, c’est que l’on peut montrer notre propre parcours en lien avec les programmes scolaires. » dit une professeur de Montereau.

Le musée est réservé le lundi de 9h à 18h pour les groupes scolaires et ouvert le mercredi et le samedi de 14h à 19h pour tout public ou bien du mardi au samedi de 14h à 17h pendant les vacances scolaires.

En plus de découvrir les œuvres, le visiteur pourra également admirer la structure dans laquelle la Micro-folie est situé. En effet, celle-ci se trouve dans le Prieuré St Martin, un monument datant de 807 et classé monument historique depuis 1979.

Le Prieuré Saint Martin, lieu hébergeant la Micro-Folie de Montereau

On peut également y retrouver un dispositif où les visiteurs pourront se prendre en photos à la place de la Joconde.

Dispositif permettant de se mettre dans la peau de la « Joconde »

Quelques inconvénients

Si il comporte de nombreux avantages, le musée Micro-folie peut soulever quelques points négatifs.

L’un d’eux est le fait que les images à l’écran sont rapides, le temps de lire les informations d’une œuvre sur la tablette d’autres se seront déjà enchainé.

De même, contrairement à l’Atelier des Lumières où on est totalement entouré par une œuvres et une ambiance musicale, la Micro Folie ne nous immerge pas totalement.

On peut également se demander si même si cela permet de sensibiliser et initié à la culture, cela ne va pas freiner certaines personnes d’aller voir ces mêmes œuvres en vrai. Face à cette question, Didier Fusillier a répondu : « Depuis que nous expérimentons ce concept, les retours montrent qu’après avoir découvert et être entrés numériquement dans l’œuvre, les gens n’ont qu’une envie, c’est de la voir en vrai ! »

Sources :

-atelier-lumières.com

-sortiraparis.com

-Le Montereau 77, semaine du 2 octobre, n811

-Confluence Magazine d’octobre 2019, d’où sont puiser les interviews

- Toutes les photos de l’article ont été prise lors de mes visites de ces musées

ZEMBALIA Aline

L2 Musicologie

[uel2019s1]

Intelligence artificielle et la communication  

 L’intelligence artificielle fascine le monde depuis quelques années. Ont peut la voir dans différents secteurs, tels que la médecine, dans l’industrie… Depuis peu, l’IA se fait progressivement une place dans les secteurs de la communication. A coups d’algorithme et de robots, l’IA répondent, rédigent et influencent les informations pour vous. Ils nous est déjà tous arrivé de communiquer avec un robot sur internet. Aujourd’hui les rechercher mènent de nouvelles expériences afin que les robots puisse tenir une conversation plus réfléchit avec d’autre robots ou êtres humains.  Ici, nous verrons l’impact de l’IA sur la communication.  Et quelles sont ces nouvelles technologies de communication.

Les Chatbots

Dans un premier temps, nous allons parler des chatbots, c’est un logiciel programmé pour stimuler une conversation en langage naturelle. C’est un dispositif très utiliser par plusieurs grands enseignes afin de pouvoir dialoguer avec ses clients afin de résoudre leur problème ou de les aiguiller dans leur achat . On peut notamment y être confronter dans les services client de notre banque ou de notre opérateur  téléphonique .

  La plupart du temps nous arrivons a reconnaître que nous sommes entrains de dialoguer avec une machine car lorsque la question est un peu trop complexe le chatbot nous répond complètement a coter. Mais toutefois, il arrive que ces chatbots soient extrêmement bien fait et que ne nous sommes pas conscience de dialoguer avec une machine. 

Les avantages de ces chatbots est qu’ils sont disponibles 24h/24H, il n’y a pas de file d’attente ou l’on doit rester des heures en attentes aux téléphones. De plus, c’est un gain de temps pour les entreprises et augmentent l’engagement des clients par la faite que le chatbot a pour objectifs d’aiguiller les nouveaux clients par des questions qu’il pose. Malgré les bons résultats quels apportent aux entreprises le chatbot a quelques inconvénients, d’une part il est limité car lorsqu’ils se retrouvent dans une situation inhabituelle ils vont se bloquer et ne plus être performant. De plus ils prennent la place de l’humain car avant sa, ces services étaient assurés par des salariés.

 Les assistants vocaux

Il n’existe pas que les chatbox, en effet depuis peu nous pouvons constater l’essor d’assistants vocaux. Très visible sur nos smartphones, avec l’apparition de Siri mais aussi d’Alexa ou bien de Google Home et HomePod qui sont des enceintes avec cette capacité de communiquer et de répondre a nos demande, elles sont aussi cette possibilités d’être connectées nos autres appareils électroniques de chez nous.

   Ces enceintes dit connectés ont énormément d’avantages notamment, elles sont la capacité de reconnaître la voix de l’utilisateurs afin qu’ils puissent lui poser la question qu’il souhaite, elles permettent donc un accès plus facile a internet. Néanmoins a faire a attention car ces appareils qui sont quasi toujours en veille peuvent s’en que nous le voulons s’active et peuvent retranscrire nos conversations. Alors il y aurais peut-être une collecte de nos données contre notre issue c’est la question que beaucoup d’utilisateurs se posent…

 La robotisation et les algorithmes sont de plus en plus présent dans la communication, l’intelligence artificielle fait aussi peu a peu sa place dans le domaine de la communication. Cette avancée est très bénéfique pour les entreprises car elles boost leur ventes et fidélisent des clients mais néanmoins il faut faire attention car ces machines collectent nos données et les réutilisés.

Sources :

Wikipédia

Tube2com

Clubic

Le Figaro

CNIL

Sousa De Almeida Luna     L2AES

[uel2019s1]

ONE HEART ONE TREE

Actuellement, le monde connaît énormément de causes environnementales (déforestations, changements climatique, montée des eaux…). Nous utilisons beaucoup les nouvelles technologies au quotidien. Cependant, le numérique a un impact négatif sur l’environnement car cela consomme et pollue beaucoup. Néanmoins malgré une forte pollution, le numérique permet de relier les populations du monde entier. Ceci permets, depuis quelques années, l’émergence de lutte pour l’environnement.

Comment impacter la population à la cause environnementale ?

Comme dit ci-dessus, le numérique permets aux populations de s’exprimer et d’adhérer à des causes telle que la cause environnementale.

En effet, l’art et la technologie peuvent porter un message positive pour l’environnement et la sauvegarde de la Terre.

Une œuvre monumentale nommée ONE HEART ONE TREE donne naissance à une forêt virtuelle sur des monuments de Paris.

https://images.app.goo.gl/GNgd3ULWQbDYtzU86

Cette œuvre, faîte par Naziha Mestaoui pendant la COP21 en décembre 2015, utilise les technologies pour nous reconnecter à la nature.

En effet, grâce à une application, le public peut planter des graines virtuelles qui poussent au battement de son cœur pour devenir un bel arbre qui sera projeter sur un monument de Paris.

Le numérique utilisé permet la diffusion d’un arbre virtuel qui pousse grâce à la technologie qui détecte le battement du cœur de la personne

Le rapport entre le virtuel et le réel est fort car chaque arbre virtuel crée sur l’application entraînera la plantation d’un arbre quelque part dans le monde. Actuellement, environ 100300 arbres ont été plantés.

https://images.app.goo.gl/NHBVS8gc6pk36A947

https://images.app.goo.gl/EHBBepnHadxw8KeL6

Pour Naziha Mestaoui, le but de cette œuvre est de redevenir acteur de la société, de reconnecter l’homme à lui-même et à la nature.

En effet, cette œuvre qui permet la reforestation en utilisant la technologie permet une connexion Homme-Nature. De cela, l’Homme peut se réapproprier la réalité. Et par le biais de cette œuvre, chacun peut avoir un impact plus ou moins grand dans la société et sur l’environnement.

D’autres outils numériques permettent d’impacter la population sur les causes environnementales tel que ECOSIA.

https://images.app.goo.gl/nR4H1Grnw684j4YM9

Le moteur de recherche ECOSIA est un moteur de recherche solidaire dont 80 % de ses bénéfices sont reversés pour la reforestation du monde. Les recherches faîtes par les utilisateurs ont un bilan carbone neutre. Elle permettent aussi d’éliminer de l’atmosphère environ 1 kilo de CO2 et de planter des arbres.

Ce moteur de recherche permet, à nous qui naviguons tout les jours sur internet, d’être acteur de la société et de préserver la nature.

Depuis quelques années, de plus en plus d’initiatives écologiques et de pages Instagram, Twitter et Facebook apparaissent pour lutter contre les causes environnementales. Le numérique, les nouvelles technologies polluent mais servent et luttent contre les causes environnementales. Le numérique touche les populations du globe et permettent d’impacter les populations aux causes environnementales.

Sources:

https://www.youtube.com/watch?v=LsmFtAVxDHo

https://www.1heart1tree.org/cop21/live

https://www.ecosia.org/

Blondel Vincent        L2 ECO GESTION

[uel2019s1]

“Chute Libre” de Black Mirror, un avant goût du Crédit Social chinois

Black Mirror est une série d'anticipation interrogeant nos rapports à la technologie dans un futur dystopique. Dans le premier épisode Chute Libre de la saison 3, diffusé pour la première fois le 21 octobre 2016 sur Netflix.

D’abord, Black Mirror est une anthologie télévisée britannique créée par Charlie Brooker. Les épisodes sont liés par le thème commun de mise en oeuvre d’une technologie dystopique, le « Black Mirror » du titre fait référence aux écrans omniprésents qui nous renvoient notre reflet. Le série présente un futur assez proche voire même immédiat. Elle interroge les conséquences inattendus que pourraient avec les nouvelles technologies et comment ces dernières influent sur la nature humaine de ses utilisateurs et inversement.

La série Black Mirror nous permet donc de souligner que l’art numérique peut permettre de dénoncer un fait social, peut dénoncer la société.

Ainsi, l’histoire dans Chute Libre se déroule dans un monde où chaque personne note les autres de 0 à 5, les mieux notés ayant accès à de meilleurs services. Lacie, le personnage principal, cherche à améliorer constamment sa note qui est au départ de 4,2. Au cours de l’épisode, elle perd des points et se voit refusée certains accès à cause de sa note.

Cet épisode renvoie au nouveau modèle de citoyen aura désormais, début 2020, une notre entre 350 et 950 qui lui sera attribué, ça s’appelle le « crédit social », fondé sur les données dont dispose le gouvernement à propos de leur statut économique et social.  

« Le but de ce système c’est la reconstruction de la morale. Nous voulons atteindre de même niveau de civilité que les pays développés. »

Lin Junyue, chercheur pékinois, « père » du système du Crédit social 

Une quarantaine de villes chinoises expérimentent le système.

Une liste noire est mise en place sur l’ensemble du territoire, tout le monde peut la consulter sur internet, on y trouve les adresses et parfois les visages des personnes qui ont des problèmes d’argent, des dettes, … Une personne qui est sur la liste noire ne peut, par exemple, acheter une voiture, obtenir un crédit, ou même une carte bleue et l’argent sur leur compte épargne peut être bloqué. Les personnes sur liste noire on une sonnerie spéciale (dans une ville en particulier) où avant toute communication avec la personne il y a une message d’alerte « Nous vous signalons que votre correspondant est inscrit sur liste noire. Veuillez, s’il vous plait, exhorter cette personne à remplir ses obligations légales » avec la sonnerie de la police en fond.  

Sources :

https://www.youtube.com/watch?v=ymuC8St-TFs

https://www.numerama.com/politique/376649-en-chine-le-systeme-de-notation-a-la-black-mirror-a-empeche-des-millions-de-personnes-de-prendre-lavion-et-le-train.html

https://fr.wikipedia.org/wiki/Système_de_crédit_social

https://m.centre-hubertine-auclert.fr/outil/chute-libre-black-mirror-saison-3-episode-1

MENAY Laure 

L2 Sociologie 

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Les nouvelles technologies au service de l’art

L’art existe depuis très longtemps, mais le monde a connu l’émergence de nouveaux moyens pour venir perfectionner l’art, pour le rendre plus attractif, plus intéressant pour la jeunesse par exemple, mais surtout avec une meilleure qualité. Quand je parle d’art, je parle bien évidemment de tout ce qu’il regroupe comme les livres ,le cinéma, la sculpture, la peinture et pleins et j’en passe des des meilleures

Ces nouvelles technologies risquent-elles de dénaturer l’art?

Prenons la réalité virtuelle, comme le dit si bien Mark Zuckerberg «  la réalité virtuelle sera une technologie importante ». 

Le premier casque de réalité virtuelle est créé à l'Université de l'Utah dans les années 1970 par Daniel Vickers. La réalité  virtuelle au final qu’est-ce que c’est? C’est une technique simulant un environnement en trois dimensions à l’aide d’un ordinateur.  Cela apporte plus de possibilités et grâce à cette avancée technologique l’art sera vu sous un nouveau jour. 

L’art comme vous le savez permet de transmettre des émotions, de faire partager des idées, d’être dans un certain confort. Qui n’a pas rêvé de s’enivrer d’une bonne histoire au coin du feu dans un chalet à la montage? C’est ce que je vais essayer de transmettre lors de la tribune qui m’est donné. Alors comme je le disais prenons l’exemple de la réalité virtuelle comme l’écrivent si bien benoît Baume qui st le cofondateur d’un festival qui s’appelle la VR Arles festival et Fabien Siouffi ancien producteur de jeux vidéos « loin des sensations gratuites des montagnes russes ou des zombies, il existe une autre réalité virtuelle qui réenchante nos perspectives et génère de la poésie ». Le monde actuel ne saurait vivre sans technologie alors autant la mettre au service de l’art pour pouvoir générer de nouvelles émotions chez les personnes aux quatre coins du monde car l’art est universel. Que l’on soit japonais, français ou espagnol nous voyons tous la même chose quand nous utilisons cette technologie de la réalité virtuelle. Lors de leur passage à Arles les spécialistes on pu découvrir avec un casque de réalité virtuelle sur les yeux l’oeuvre de Mélanie Courtinat qui permet de faire fleurir ou mourir les plantes dans un jardin d’un simple geste de la main.

Les artistes réalisent que la technologie leur permet de créer des œuvres plus touchantes. Par exemple, Fabio Giampietro, peintre italien de renom, a très tôt pris conscience que les dernières technologies transforment l’art en profondeur. Grâce à son œuvre « Hyperplanes of Simultaneity », Il  a remporté le Lumen Prize en 2015. Cette pièce en réalité virtuelle explore les mystères de l’espace et du temps.  Faisons un parallèle avec le film avatar, dans ce film es ingénieurs mettent au point une nouvelle machine qui permet d’aller dans un autre monde qui est rempli de nouvelles technologies avec des arbres phosphorescents,des dragons qui volent et des êtres différents de la population terrestre . Et bien au début l’homme qui arrive dans ce monde est déboussolé car il y perd ses repères, mais petit à petit il y trouve un monde meilleur, plus beau, plus accueillant, plus chaleureux et au final il ne veut pas le quitter. La réalité virtuelle c’est le même principe au départ nous perdons nos repères mais au final ce qu’on y découvre est tellement magique qu’on ne voudrait y renoncer pour rien au monde.

Il existe un enjeu de de démocratisation de l’art. La numérisation de livres, peintures ou autres œuvres d’Art est un enjeu majeur de notre siècle. Le but est donc de conserver un patrimoine culturel ce qui passera donc forcément par des rénovations nécessaires afin de garder ce qui rend l’art si beau si interessant Ces nouvelles technologies ne dénaturent donc pas l’art elles les améliorent en y apportant quelques améliorations, l’art est donc accessible à tous aujourd’hui car un adolescent de 14 ans peut connaitre une oeuvre de Vincent Vang Gogh par exemple grâce au monde du numérique, l’accès à la culture et au savoir est donc possible à tout âge. De plus en plus de musées mettent en place des machines de réalité virtuelle, pour vivre le moment présent au lieu de passer son temps sur son portable à jouer.

Pour conclure j’aurais tendance à dire que le numérique améliore nos vies et permet de changer beaucoup de choses dans ce monde. Elles permettent également d’intéresser les jeunes, les adolescents de plus en plus à l’art. La technologie vise donc un monde meilleur!!!

Sources:

https://www.journaldugeek.com/2017/08/10/neuromancer-deadpool-tim-millier/

https://vimeo.com/236771088

L2 Droit   

Gailhou Axel

[uel2019s1]

La robotisation de l’Homme et l’intelligence artificielle. 

https://images.app.goo.gl/PeTpAsCc2czpEA6W6                              

Les machines ont fait leur apparition il y a de cela 150 ans, mais à l'époque les robots étaient plus utiles dans les domaines agricoles et industrielles. Aujourd’hui, les hommes sont capables de créer des robots capable d’effectuer plusieurs tâches là où l’homme aurait du mal, mais, de plus en plus de ces robots commence à ressembler aux hommes. C’est en quelque sorte une manière de simplifier la vie humaine.

Les robots nous parlent et nous écoutes prennent l’exemple de siri, ils  apprennent à nous connaître aussi par le biais des réseaux sociaux en nous proposant notamment des contenus par rapport à nos centres d'intérêt.                                                                                                                                            On assiste en quelque sorte à une humanisation robotique ( une sorte de bras de fer entre l’homme et le robot), l’homme devient de plus en plus dépendant des machines que ce soit dans le domaine professionnel que dans la vie courante notamment avec les smartphones et bien d’autres. les robots sont  donc à la foi un risque majeure dans la société mais aussi une opportunité formidable car il détruisent et crée des emplois à une vitesse incroyable. 

            Mais, l’humanisation robotique ne conduirait elle pas plutôt à la robotisation de l’homme de nos jours? Aussi, quel serait l’impact de cette robotisation sur l’homme? 

I : La robotisation de l’Homme : une révolution intellectuelle pour l’Homme

l’homme est aujourd’hui dépendant de l’intelligence il partage beaucoup d’information sur les réseaux sociaux même des informations personnelles qui sont ensuite récolté et examiner par  pratiquement tous les jours

Suite à des progrès remarquable dans l’intelligence artificiel, les hommes deviennent de plus en plus dépendant des machines et cela suscite en effet une grande crainte, de curiosité vis à vis de l’humain de découvrir ou du besoin qu’il a de toujour vouloir découvrir et d’avoir besoin des nouvelles technologie dans leur vie courante comme dans leur vie professionnel. On s’interroge alors sur  la question de savoir si dans un monde tourné de plus en plus vers les nouvelles technologies ne conduirait il pas plutôt à l’humanisation robotique et à la robotisation de l’homme. 

En effet, autrefois les robots étaient juste capable de réaliser des tâches pénibles, ennuyante, celle que l’homme ne pouvait pas réaliser facilement mais que le robot lui réalisait avec une certaine précision, de rigueur et plus rapidement que l’homme ce qui a conduit à ces robots de s’adapter de plus en plus avec le temps grâce aux tâches confiées par l’homme, aussi, certains robots ont aujourd’hui une apparence beaucoup plus humaine, ils ont une peau, des organes, des cheveux presque identique à celle de l’homme, ce qui peut faire douter l’homme car il peut arriver que l’identification entre un robot et un homme ne soit pas facile visuellement la question qui se pose est donc de savoir si cette intelligence artificielle peut elle faire partie dans notre quotidien tout le temps. 

Des partenaires incontournables en médecine

il est important de suivre de très près les l’évolution de l’intelligence artificielle plus particulièrement celui des robots mais retenant tout de même que celle ci nous aide surtout dans le domaine médical plus précisément concernants les prothèses car aujourd’hui une personne ayant été victime d’un accident et d’avoir perdu un membre suite à cette accident peu grave à la fusion de la robotique et de la biologie bénéficier d’un remplacement de ce membre par une prothèse bionique prennent ici pour exemple du jeune autrichien Patrick Mayrhofer qui avait été victime d’un accident de travail avait été brûlé gravement aux deux mains, suite à plusieurs opération seule les fonctions de sa mains droite avait pu être restauré sa main gauche n'étant plus vraiment fonctionnelle il s'était fait amputé de son bras gauche pour la remplacer par une prothèse ce qui lui a permis de se resservir encore de ces deux mains même si l’autre étant juste une prothèse.

(https://www.doctissimo.fr/santé/news/pose-d-une-main-bionique-apres-une-amputation-volontaire)

II : L’humanisme robotique : un fantasme angoissant?

L’humanisation robotique évoque la ressemblance qui existe entre les robots et les humains, en effet les robots sont des machines qui évolue de jour en jours et on constate de ce fait que de plus en plus de robots ont dorénavant un aspect humain.

Alors, est ce que les robots pourront ils dépasser l’humain à l’avenir? 

Bientôt, les robots seront capable de réaliser des tâches quotidienne pour l’homme car a force de lui donner des tâches elles deviennent plus performantes elles pourront peut être, dans les années futures d'être capable de comme faire par exemple les courses pour l’homme. 

L’utilisation des robots peut être considérée comme positive dans le sens où elle permet à l’homme d'éviter des travaux pénibles et dangereux pour lui.

De plus en plus de robot prennent la place de l’homme aujourd’hui, les robots envahissent tous les secteurs métiers et bien d’autres ( robot de cuisine, les machines soulage en quelque sorte l’homme sauf que c’est nous même homme qui rendent  ces machines plus performant. 

Cependant, il existe tout de même des inconvénient à l'évolution lié aux robots, car certe les robots ont dorénavant une apparence humaine, mais elle ne sont de tout de même incapable de réfléchir comme les humains et n’est pas doué de sentiment comme l’homme, c’est réellement ce qui distingue les robots aux humain car l’homme est doué de connaissance alors que le robots n’a pas de sentiment. 

La plupart des personnes connaissent sophia, un robot avec une apparence humaine incontestable mais, son intelligence a été remise en cause suite à une interview durant laquelle lui avait été posé la question de savoir “Est ce que tu veux détruire les humains?” et elle répond “OK, je vais détruire les humains” juste ce passage prouve à quel point les robots ne peuvent pas remplacer l’humain ils ne sont pas doué de connaissance tout ce qu’il savent c’est grâce à nous humain qu’ils le doivent, sans l’humain les robots ne seraient pas ce qu’il sont aujourd’hui. 

“Robot Sophia qui répond je vais détruire toute l’humanité” 

 https://images.app.goo.gl/aSTZjcdnMeCxzXmE6

Les robots dans le domaine professionnel 

Les métiers ont aussi été affecté par cette par l'évolution des nouvelles technologies en effet les corps des métiers ont changés prenons par exemple la profession de caissière qui sont aujourd’hui remplacé le plus souvent par les machine mais toutefois cette innovation n’est pas toujours bien perçu par une catégories de personnes identifier spécialement par une tranche d'âge, c’est souvent les personnes âgées qui ont le plus du mal à accepter cette évolution car elles ont souvent besoin d'échanges, et d’avoir un contact humain, mais, tout le monde ne connaissent pas ces nouvelles technologie et ont du mal à les utiliser au quotidien on constate souvent dans les restaurants disposant de borne pour passer les commandes il y a pour la plupart du temps que les jeunes qui l'utilise les personnes âgées préfèrents le contacte avec l’humain que de se confronter à ces nouvelles technologies.

 ↪ Syllogisme sur l’humanisation des robots avec une référence au film Blade Runner ( via la chaîne youtube ; Le CORONER). 

https://www.youtube.com/watch?v=lWJbDhSW7l0

https://www.youtube.com/watch?v=lWJbDhSW7l0

https://www.google.com/search?q=film+blade+runner&sxsrf=ACYBGNSONNfPlyL1zyNfygHGWhNR1TcCsQ:1576859144339&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwiS0qKJ0sTmAhWEUMAKHfyTATIQ_AUoAXoECA4QAw&biw=1920&bih=916#

Les robots, une nouvelle forme de vie sur terre.

En définitive, partant de l’humain aux robots en passant par l’intelligence artificiel, l’intelligence artificiel est un processus qui résulte de l’homme lui même. Ainsi elle ne cesse d'évoluer, elle touche presque tous les domaines et facilite notre quotidien. Cependant, elle nous estimant qu’elle n’a pas encore atteint son but et nous réserve encore beaucoup de surprise à l’avenir. 

L2 Droit                                                 Leyda Geiv Nkoua Tsala

[uel2019s1]

Une surproduction technologique nocive

 La technologie elle peut être utilisée pour le meilleur ou le pire, elle transforme notre manière de vivre. La société actuelle subit une forte progression de la technologie par rapport aux anciennes sociétés, cette progression est due à une régression scientifique spectaculaire et cette envie de l’homme de toujours améliorer la technologie afin que celle-ci l’allège dans son quotidien.

  Avant toutefois de poursuivre il nous faut définir les mots qui composent le sujet, wikipédia définit la technologie comme étant l'étude des outils et des techniques, le terme désigne tout ce qui peut être dit aux diverses périodes historiques sur l'état-d’art en matière d'outils et de savoir-faire Il inclut l'art, l'artisanat, les métiers, les sciences appliquées et éventuellement les connaissances. En second lieu il nous faut définir la surproduction, c’est une production excessive d’un produit. Et le mot nocif veut dire qu’une chose est nuisible.

 La surproduction technologique dans la société actuelle revêt deux aspects parce qu’elle peut être contraignante tout comme avantageuse. Il est donc important de savoir si nous serons capables de choisir les éléments de la technologie qui améliore la qualité de vie et éviter ceux qui la détériorent ? et de voir comment pouvons-nous stopper cette pollution technologique ?

 I.                   L’inconvénient de la surproduction

 L’artiste Barthélémy Antoine Loeff grâce à ses œuvres nous démontre comment la surproduction technologique insiste le producteur a ne plus produire des pièces pour les modèles qu’il a sortis auparavant parce que dans sa quête de satisfaction il essaye d’améliorer son produit afin de que l’utilisateur puisse atteindre un niveau élevé de satisfaction et en cas de panne de l’ancien produit on ne peut le réparer parce que au fil du temps le producteur ne fabriquera plus de pièce de rechange. On va illustrer ces propos avec une photo d’une œuvre de Barthélémy prise pendant une exposition qui représente un led abîmé qui n’a plus d’ampoule de remplacement parce qu’on en fabrique plus.

Cette surproduction fait l’objet d’une pollution technologique qui peut entraîner une pollution écologique, ayant ce désir d’améliorer la technologie pour l’adapter à son quotidien l’homme fait recours à des resources naturelles et laisse ses déchets déambuler ainsi et peuvent causer des graves répercussions sur la nature. Prenons un exemple l’exploitation du cobalt en République Démocratique du Congo précisément dans le Kivu pour la fabrication du téléphone. Le cas du réchauffement climatique est le fruit du déboisement au profit des complexes nouveaux pour l’intérêt de l’homme. Barthélémy Antoine dans une autre de ses œuvres illustre les conséquences que produit l’acte de l’homme sur la nature 

II.                 Une surproduction avantageuse

 Comme tout aspect la surproduction technologique peut être avantageuse pour l’homme parce que ce dernier en voulant améliorer son quotidien sera amener à produire et tester son niveau de satisfaction si celui-ci atteint son seuil maximum il s’estime satisfait et dans le cas contraire le producteur doit encore améliorer son produit pour qu’il puisse atteindre son niveau maximum. Prenons le cas des appareils médicaux qui subissent des évolutions technologiques tout le temps afin d’améliorer les résultats que celle-ci fournira comme l’évolution de la technologique du scanner, du microscope.

Dans le film Iron Man on peut voir que l’évolution technologique peut être aussi avantageuse sur le plan quotidien. Jarvis était l’intelligence artificielle que Tony Stark avait installée afin de lui service dès rappel, de secrétaire et d’être une aide pour lui.

Pour conclure on peut estimer que l’homme dans son désir d’améliorer son quotidien il aura recours à une amélioration technologique pour son bien être. Cette améliore peut détenir des avantages tout comme des inconvénients. Elle est désavantageuse lorsqu’elle porte une atteinte à la nature en créant une pollution technologique qui conduira à une pollution écologique en cas de manque de recyclage et lorsque l’on puise énormément dans la nature on la détériore. Comme il a été mentionné ci-haut cette amélioration a aussi ses avantages si on le prend du point de vue médical cette amélioration est importante parce qu’elle permet d’avoir plus de précision dans les résultats médicaux afin que le médecin procède à un traitement exact.

Afin d’éviter tout cela l’homme doit prendre conscience des conséquences de ces gestes dans la nature.

MAMONA KIEKIE Grace

L2 Droit Evry

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L’AVENIR DES INFLUENCEURS DANS  LE PAYSAGE NUMÉRIQUE  ECO RESPONSABLE

Les influenceurs sont considérés comme des personnes qui interagissent sur les réseaux sociaux car elles ont une forte influence sur le comportement d’achat des individus qui les suivent et  que l’on nomme « follower ». Ces followers sont à l’affût de leurs moindres faits et gestes. les plus fidèles créent des alertes et restent constamment connectés pour ne rien manquer de leurs publications. Aujourd’hui, certains influenceurs sont pointés du doigt car ils poussent à toujours plus de consommation et de connexion dans une époque où un état d’urgence climatique est déclenché et où nous n’avons pas le choix d’agir à l’opposé afin de réduire l’empreinte carbone

Dans l’ état d’esprit actuel, les influenceurs auront-ils un avenir dans un paysage numérique éco- responsable ?

Le rôle des influenceurs

Les  marques ont très vite compris le pouvoir de ces nouveaux intervenants dans le système marketing et les influenceurs sont devenus partie intégrante de leurs stratégies commerciales, pour assurer la promotion de leurs campagnes de produits ou services.

Ils remplacent les anciennes pages de publicités que l’on voyait dans les magazines. Aujourd’hui tout se passe sur le net. Les mannequins posaient pour des marques les influenceurs les remplacent. La  marque Jennyfer a su prendre un tournant dans sa stratégie marketing et a relancé la marque, en perte de vitesse,  avec deux campagne successives.)

Source: Instagram Léna Situations

Des agences de communication se sont spécialisées ou se sont créées pour vendre l’image et gérer les contrats de ces influenceurs à des prix souvent exorbitant.

Ces agences ont créé des communautés d’influenceurs qu’elles  nomment « des talents » pour dissimuler l’idée d’influence sur le comportement du consommateur. Elles regroupent plusieurs influenceurs dans un même lieu, ou ils donnent une image de vie idyllique en vendant les qualités ou les bienfaits de tel ou tel produits. Les marques les utilisent comme levier afin de booster leurs ventes en réalisant des partenariat avec ces jeunes gens de façon à toujours plus consommer. Comme par exemple l’agence foll-ow qui cumule aujourd’hui plus de 79 000 abonnés. Cette agence s’engage pour que ses talents représentent au mieux les marques en les emmenant dans des endroits qui font rêver. Ile logent dans des hôtels haut de gamme et organise des soirées très luxueuses pour leur talents.

Source: Site internet Foll-ow

En parallèle  à ces influenceurs qui poussent à la surconsommation, une nouvelle tendance émerge avec des lanceurs d’alerte qui incitent à limiter leurs consommations de produits pour le bien de la planète et à moins se connecter.

Le numérique énergivore 

En 2019, le secteur numérique mondial est constitué de « 34 milliards d’équipements pour 4,1 milliards d’utilisateurs, soit 8 équipements par utilisateur », à cela la nouvelle étude de Green IT ( ensemble des techniques visant à réduire l'empreinte sociale, économique et environnementale du numérique), nous alerte sur le fait qu’il faut ajouter les infrastructures de réseaux et les centres informatiques (data center).

Au niveau mondial, ce secteur numérique consomme environ 1 300 TWh d’électricité par an. Cette consommation est très importante car elle équivaux aux productions électriques annuelles cumulées de la France, l'Allemagne et la Belgique. Selon GreenIT, cette consommation proviendrait à 44% des utilisateurs , à 32% du réseau et à 24% des centres informatiques.

GreenIT étudie l’empreinte environnementale du secteur numérique en se basant sur 4 indicateurs: le bilan énergétique avec notamment l’épuisement des ressources dites abiotiques, c’est-à-dire qui sont naturelles et non renouvelables. On trouve également les émissions de gaz à effet de serre et les tensions sur l’eau douce. Ainsi, grâce à ces indices, il a été estimé que le secteur numérique compte pour environ 3,8 % des émissions annuelles mondiales de gaz à effet de serre.

Source : commeungardon.com

On compte environ 30 % de cette consommation électrique imputable aux équipements tels que les ordinateurs, téléphones et objets connectés, 30 % aux data centers qui contiennent toutes nos données et 40 % est liée aux réseaux, ce qu’on appelle plus communément les autoroutes de l’information.  La majorité des utilisateurs d’internet pensent que c’est comme des tuyaux passifs mais la réalité est autre car ils ne soupçonnent pas le nombre d’antennes de routeurs, d’aiguillages que contient l’Internet. Un simple routeur consomme 10 000 watts, ou encore un très gros data center consomme environ 100 millions de watts ce qui représente un dixième de a production d’une centrale thermique. Nous pouvons donc voir que les consommations de tous ces réseaux a un impact important sur notre planète car l’électricité produite est dissipée en chaleur.

Beaucoup ignorent que même lorsque nos appareils restent inactifs, ils consomment beaucoup, c’est pour cela que ces équipements sont dits « énergivores ». Un serveur allumé mais inactif consomme en moyenne 100 W et 200W si il est en plein calcul. La seule solution pour réduire cette consommation est d’éteindre son téléphone aux heures creuses ce qui semble bien difficile au vue de l’addiction des gens à leur téléphone portable.

“ Si Internet était un pays, il serait le 3ème plus gros consommateur d’électricité au monde avec 1500 TWH par an, derrière la Chine et les États-Unis. Au total, le numérique consomme 10 à 15 % de l’électricité mondiale, soit l’équivalent de 100 réacteurs nucléaires. Et cette consommation double tous les 4 ans ! “

Source :  https://www.fournisseur-energie.com/internet-plus-gros-pollueur-de-planete/

Des influenceurs changes de comportements

Depuis quelques temps de nombreux influenceurs ont changé de comportement et incitent leur followers à consommer plus responsable. Enjoy phoenix, depuis peu insite sa communauté à  consommer moins, elle trie ses produits de beauté afin de garder seulement ceux avec le moins de composants nocifs et uniquement ceux dont elle a besoin. Elle privilégie des produits certifiés responsables et refuse de recevoir des produits à tester et des cadeaux de marques pour être transparente sur ses avis et limiter l’empreinte carbone par des envoies inutiles.

Elle a également crée en mars 2018 une marque de produits life style « Leaves and clouds » , Pour la fabrication de leurs produits, ils s’inspirent de la faune et de la flore pour proposer des visuels directement inspirés de la nature sous tous ses aspects les plus vibrants. Tous les produits proposés sont made in France.

Source : site internet Leaves and clouds

De nouvelles personnes se lance sur instagram en proposant sur plusieurs sujets de solutions éco-responsables.

Nous avons par exemple « Anne le dressing idéale » qui propose une consommation raisonné de la mode , elle donne pleins d’endroits sympathiques pour acheter du seconde main  (vide dressing , fripp ....) on va pouvoir remplir son dressing sans pour autant acheter beaucoup. Elle parle beaucoup de revente et de réutilisation car on sait aujourd’hui que nous avons de quoi habiller deux fois la population mondiale avec tout les vêtements qui circulent déjà sur le marché.

Source : Instagram Anne le dressing idéale

Nous avons aussi du côté de la nourriture healfy « thefrenchcoconut » donne pleins de recette sympa à réaliser fait avec des produits sain et équilibrer , elle va aussi emmener ses followers dans des restaurants healfy . Pour elle , bien manger c’est se sentir bien dans son esprit et dans son corps.

Source : Instagram Thefrenchcoconut

Selon une étude près de la moitié des français recherche des informations "pour mieux consommer" et 75 % des internautes ont déjà acheté un produit après le post d'un influenceur

Pour conclure, les influenceurs tel que nous les connaissons aujourd’hui n’auront pas un avenir certain mais une nouvelle forme se prépare qui aura tendance à informer plus qu’à influencer , il semble que dans ce sens le net retrouve sa forme initiale car Il faut se rappeler que les pères fondateurs du web cherchaient  un moyen d’information universel accessible à tous et pour tous .

Sources :

- https://lejournal.cnrs.fr/articles/numerique-le-grand-gachis-energetique

- https://www.connaissancedesenergies.org/le-numerique-un-univers-energivore-en-expansion-191025

- https://www.e-marketing.fr/Thematique/social-media-1096/Infographies/Quel-est-impact-influenceurs-consommateurs-322071.htm

- https://www.journalducm.com/influenceurs/

Marchal Saveria

L2 Art & Musique

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L’image du corps sur les réseaux sociaux.

Tout d’abord, on peut remarquer que nous sommes tous touchés par ce phénomène (obsession du corps) plus ou moins fortement. Aujourd'hui avec les avancées technologiques et la naissance de la publicité, le corps est devenu une réelle obsession dans notre société. Beaucoup de personnes souhaitent plus ou moins atteindre le corps parfait qu’on peut apercevoir à outrance sur les réseaux sociaux. Nous allons donc nous demander comment les réseaux sociaux affectent la relation que nous pouvons avoir avec notre propre corps.

Quels en sont les causes ?

Auparavant il était difficile de s’identifier à quelqu’un en dehors de films ou autres, mais avec l’avènement des réseaux sociaux tel qu’Instagram, Snapchat… Il y a la naissance d’influenceurs qui eux mènent la vie « parfaite », ils et elles semblent représenter un modèle physique à atteindre pour les plus jeunes qui les suivent, certains en profitent même pour « monétiser les complexes » via les placements de produits qui est encore un effet des réseaux sociaux et donc du numérique.

Source : https://www.polygeia.com/post/social-media-and-body-image

Sur Instagram par exemple tout ce qui est beau mais pas forcément vrai est toujours mis en avant : paysages, nourriture mais aussi les corps.

Nous avons aussi un bon exemple qui est Tik Tok, cette plateforme assez récente pousse (surtout à ses débuts) les plus jeunes à devenir narcissique, à faire la vidéo la plus parfaite en ayant pour objectif, la célébrité. Tout est misé sur l’apparence.

Quels sont les conséquences de ce “nouveau” phénomène ?

Des groupes de personnes anciennement atteintes de tous ces problèmes physiques (boulimie, anorexie…) parlent avec les plus jeunes pour les avertir sur ce genre de problème et font de la prévention. Etant donnée qu’ils sont déjà passés par là ils seront capables de leurs donner de bons conseils.

Il y a également des gens qui étaient mal, mais qui grâce à la vue d’autres personnes qui parviennent à s’en remettre reprenne courage comme avec les images avant après, donc il y a l’effet de masse des réseaux sociaux qui peut être bénéfique et permettre à plusieurs personnes de se mettre au sport de manger sainement de reprendre confiance etc…

Evidemment il y a des conséquences extrêmement néfastes dû à ces plateformes.

On ne voit pas les coulisses des photos Instagram, mais justement une influenceuse du nom d’Essena O’Neil a raconté le long travail qu’il y a derrière chaque post.

Source : https://www.vanityfair.fr/actualites/articles/essenaoneill-essena-oneill-reine-dinstagram-raconte-lenvers-du-dcor/29499

Par exemple sur cette photo elle dit : On a fait plus de 100 photos dans cette pose pour essayer de faire en sorte que mon ventre ait l’air bien. J’avais à peine mangé ce jour-là. J’avais hurlé sur ma petite sœur pour qu’elle continue de me photographier jusqu’à que j’obtienne quelque chose dont je pourrais être fière. »

En 2015, elle supprime son compte Instagram (avec plus de 2000 photos ), a annoncé vouloir mettre un terme à sa vie en ligne et a posté une dernière vidéo Youtube dans laquelle elle a raconté l’engrenage dans lequel elle était tombée après avoir passé « des heures à observer des filles parfaites sur Internet, en rêvant d’être l’une d’entre elles. Puis je suis enfin devenue l’une d’entre elles, a-t-elle poursuivi, et j’ai réalisé que je n’étais toujours pas heureuse ni en paix avec moi-même. »

Les plus jeunes qui sont à un âge où leurs corps changent et qui se remettent beaucoup en question qui voient par exemple les comptes fitness avec des corps toujours plus maigre, plus svelte etc... Tout cela leur fait avoir des remises en question surtout qu’ils, mais plus généralement, elles sont plus influençables.

Le culte de l’image, du corps qui apparait sur les réseaux sociaux a des effets pervers pouvant aller facilement jusque l’anorexie ou la boulimie, la dépression, l’anxiété et la perte de confiance en soi.

Source : https://dailytitan.com/2019/09/social-media-encourages-body-image-issues-mental-disorders/

Toutes ces maladies sont difficiles à soigner car mentales et ont pourtant un réel impact physique sur la personne, ajouter à cela la perte de confiance en soi et donc le souhait de cacher à ses proches et les dégâts deviennent très importants.

Les plus touchés par cela sont les filles de 11 à 20 ans, ce sont donc les mêmes filles qui passent du temps sur les réseaux à être inondés de photos de corps toujours plus parfaits.

Les réseaux sociaux font également naitre certains mouvements comme le body positive qui aide les gens à accepter leurs corps et en être fier, en acceptant que tout le monde est différent.

En conclusion

Pour conclure l’image du corps peut toucher des personnes totalement différentes allant de petites filles de 13 à 18 ans aux hommes et femmes adultes, ayant avec eux leurs lots de effets néfastes et bénéfiques. Mais en général, ces individus ne choisissent pas de suivre un idéal de « beauté » de leur plein gré, c’est la pression sociétale encore plus importante via les réseaux sociaux de nos jours qui impose des critères de beauté. Mais le plus important c’est que les gens se sentent bien comme ils sont tant que ce n’est pas dangereux pour leurs santés.

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Derrière le rideau numérique

J’ai choisi de faire un article en rapport avec l’exposition du 28/11/19

En prenant comme support l’œuvre de Philipe Ramette faite en 2011 prénommé “Le voyeur”. L’artiste originaire d’Auxerre présente une œuvre à la fois simple et pourtant très profonde. Dans celle-ci nous y voyons un long rideau blanc au milieu duquel on aperçoit en se rapprochant d’un peu plus près un œil nous observant discrètement. Cette œuvre mélange des sentiments tels que la peur et la stupéfaction de voir un individu (homme ou femme) nous observant sans meme qu’on ne puisse le remarquer.

L’artiste fait référence à travers son art à un aspect assez lugubre d’internet, comme le fait que les personnes peuvent nous observer sans que nous l’autorisions, l’aspect de l’identité et aussi relevé dans cette œuvre car on se rend compte que nous pouvons nous faire passer pour n’importe qui et n’importe quoi sur le web et monter uniquement ce que nous désirons (en l’occurence l’œil est celui d’une femme et pourtant les chaussures sont celles d’un homme).

En analysant l’œuvre de plus près les chaussures que j’interprète personnellement comme le fait que nous laissons malgré tous des traces de notre passage sur internet. L’œuvre à bien évidement un but préventif sur le danger d’internet en appuyant le fait que personne ne peut y être en sécurité et surtout que l’intimité n’existe pas en finisant par le fait que les choses que nous faisons sur les réseaux sont pas toujours vu par les gens que nous connaissons. Mais cela porte-t-il vraiment préjudice ? car aujourd’hui nous nous trouvons dans une société ou tout le monde est obligé d’être connecté sur les réseaux, certaines de nos données sont utilisées certes à des fins publicitaires et autres mais dans d’autre cas elle le sont aussi pour notre sécurité !

La question que nous pouvons nous poser avec cette œuvre est ; est –il acceptable que le contenue que nous mettons sur internet puisse être accessible à tous ? Est-ce vraiment mauvais de pouvoir être vu par autrui ? La personne caché derrière son rideau numérique est-elle aussi mal attentionnée que l’on nous laisserait croire ?  

Pour nuancé mes propos j’ai choisi de prendre l’exemple d’un épisode de Black Mirror une série critique sur les nouvelles technologies et leurs évolutions dans un future proche ; dans cet épisode nommé « Tais-toi et danse » on voit l’histoire d’un jeune homme victime d’un hackage internet sur sa webcam ; filmer à son insu et du vol de son historique, l’hacker le menace d’obéir à ses ordres sous risque d’exposer ses secrets intimes. Le pirate du web l’oblige à effectuer plusieurs missions plus farfelus les uns que les autres tout en lui faisant comprendre qu’il méritait tout ce qui lui arrivait, à la fin de l’épisode on apprend que le héros avait enfaite des tendances pédophiles et qu’il consommait régulièrement ce type de contenu, ce qui explique la raison pour laquelle l’hacker à « rendu justice » en piégeant plusieurs personnes dans le meme cas et en les rendant aux autorités (commettant des actes illégaux).

https://mytfsa.wordpress.com/2016/12/04/dossier-black-mirror-la-serie-qui-donne-a-reflechir/comment-page-1/

Pour donner des exemples plus concret ; La Chine, mettant sous surveillance ses citoyens à l’aide des nouvelles technologies, dans le but de protéger ses habitants et de rendre le pays plus « sûr ». La surveillance allant si loin que chaque citoyen est doté d’un système de notation si il commet des actes “illégaux” ses points baissent mais si il agit en faveur pour le société ses points augmentent et bénéfice d’avantage sociaux.

https://www.reddit.com/r/interestingasfuck/comments/721lk5/this_chinese_surveillance_system/

Personnellement je trouve que la surveillance population à ces bons comme ses mauvais côtés, Nous surveillé permet de restreindre certain à faire de mauvais actes, mais cela est une atteinte au droit à la vie privée, c’est un débat sans fin…

MANUA NZILANSIO Sharon

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Intelligence Artificielle et agriculture

L’intelligence artificielle a impacté plusieurs domaines. Elle est répandue dans le domaine de la création des jeux, de la robotique, des voitures autonomes etc. Elle révolutionne actuellement le secteur agricole. Par Intelligence Artificielle, on entend la discipline scientifique dont le but est de faire faire par une machine des tâches que l’homme accomplit en utilisant son intelligence. Une machine sera considérée comme intelligente si elle reproduit le comportement d’un être humain dans un domaine spécifique. Ainsi le secteur agricole a pu bénéficier des certaines machines capables d’effectuer et d’exécuter les tâches les plus difficiles et répétitives dans l’agriculture. Quel impact l’Intelligence Artificielle a-t-elle dans l’agriculture ? les agricultures et les agronomes se voient être accompagner par des machines et engins pour accomplir certaines tâches agricoles.

Les drones, les moissonneuses au service de l’agriculture.

L’IA, dans le champ agricole, se déploie de plusieurs manières. D’abord, elle aide les agriculteurs à suivre ce qui se passe sur leurs exploitations. Ces derniers disposent depuis quelques années de drones et de capteurs, mais le machine learning et le deep learning leur permettent d’analyser ces données de manière toujours plus précise. Par exemple, l’application de deep learning Plantix, développée par la start-up berlinoise PEAT, fonctionne comme une application de reconnaissance d’images  :  après analyse du feuillage des plantes, ses algorithmes sont capables d’établir une corrélation avec certains défauts du sol, la présence de ravageurs ou une maladie.

https://www.drone-malin.com/pages/nos-prestations/pour-les-professionnels/de-l-agriculture/le-drone-pour-traiter-les-cultures.html

Suivre l’évolution de la culture et la protéger est parmi les périodes les plus difficiles pour les agriculteurs et agronomes. L’agriculture de précision par drone, est une étude et analyse de la santé des parcelles agricole par cartographies NDVI qui permet aux agriculteurs d’inspecter, contrôler et améliorer la gestion des cultures et leurs rendements pour optimiser les récoltes. Le drone permet de traiter rapidement et efficacement de grande ou petite surfaces agricoles ou viticoles tous types de produit pesticides, engrais ou herbicides

Ainsi l’utilisation des drones permet un suivi permanent des cultures pour prévenir le pourrissement sur certaines parcelles. Mais sans cette technologie, une surveillance quasi permanente des récoltes à venir sur des surfaces de plusieurs hectares nécessite une main d’œuvre très coûteuse et chronophage. Un problème auquel l’intelligence artificielle pourrait alors remédier.

Or, la technologie est déjà mise à contribution pour augmenter les rendements : drones, caméras thermiques et autres capteurs d’humidité font déjà partie du quotidien des agriculteurs un peu partout dans le monde. Avec l’explosion de la quantité de données provenant de ces outils, le recours à l’intelligence artificielle devient indispensable pour les analyser et aider les agriculteurs à prendre les bonnes décisions

www.entraid.com/wp-content/uploads/2015/11/moissonneuse-batteuse.jpg

Grâce à l’Intelligence Artificielle, l’automatisme des certaines tâches agricoles sont accomplies avec rapidités et précision. Pour cela, une optimisation et une rationalité productive peuvent être réalisées dans ce secteur.

En guise de conclusion, aujourd’hui beaucoup de pays agriculteurs ont déjà adopté cette technologie et méthode pour protéger et suivre les cultures afin d’accroitre la productivité, voilà l’impact, l’influence et l’apport de l’intelligence Artificielle dans le secteur agricole.  Ces machines sont enrichies des algorithmes puissants pour effectuer les tâches manuelles de l’homme.  Ainsi ce secteur se voit de plus en plus être affecté par des avancées technologique.

Sources :  https://usbeketrica.com/article/comment-l-intelligence-                                  artificielle-transforme-l-agriculture-1 ; https://www.actuia.com/dossiers/sera-limpact-de-lintelligence-artificielle-lagriculture/

Fabrice MUTOMBO TSHIMANGA 

L2 Administration Economique et Sociale