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Un petit pas plus vert
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unpetitpasplusvert · 4 years ago
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Il y a presque 1 an, à l'annonce du premier confinement, je lançais ce blog pour partager quelques astuces écolo et zéro dechet, faciles à mettre en place par tout un chacun. La reprise du travail post confinement, et la naissance prochaine de notre premier enfant m'a fait mettre ce blog de côté quelques temps, mais aujourd'hui j'avais envie de faire un petit point bilan sur les changements et l'évolution qu'il y a pu y avoir à la maison. Si vous remontez un peu dans les articles précédents, vous retrouverez celui où je vous parle des shampoings solides. A l'époque je les fabriquais maison, depuis quelques années, sans en être jamais déçue. Et bien finalement, j'ai totalement laissé tomber cette tambouille. Pour 3 raisons : - la première : j'ai terminé les derniers shampoings en début de grossesse, et un gros manque de motivation m'a envahi à ce moment - la deuxième : je me suis aperçue que le tensio actif (l'agent nettoyant en gros) que j'utilisais n'était pas si écolo, ni si doux que je le pensais - la troisième et dernière raison : les shampoings se tenaient très mal dans le temps et avaient tendance à fondre à une vitesse folle Mon alternative à ce moment précis : racheter un flacon de shampoing liquide, faussement écolo, en grande surface. C'était la première fois que je faisais un pas en arrière dans ma démarche zéro déchet concernant les cheveux. Sur le moment j'ai pas mal culpabilisé, et puis je me suis dis que oui, même si on veut faire attention à sa consommation et ses déchets, on a le droit de faire des écarts. Ce n'est pas grave, et ça ne fait pas de nous une plus mauvaise personne. Il n'empêche que pendant ce temps, je me suis remise en question et j'ai cherché une nouvelle alternative. J'ai découvert par hasard une marque de shampoings et après-shampoings solides fabriqués dans le village de mes parents : asphodèle cosmétique que vous trouverez ici Sur le papier tout était parfait : 100% local, zéro déchet et avec des ingrédients parfaits, et l'utilisation du tensio actif le plus doux du marché. J'ai choisi ce shampoing pour mon bébé sans aucune hésitation et, arrivant enfin à la fin de ma bouteille, j'ai décidé de m'en prendre un également. Il ne restait plus qu'à le tester ! Verdict : Au premier lavage : grosse grosse déception. Pas de mousse et cheveux poisseux et vite gras. Mais il faut savoir qu'il y a une phase de transition lorsque l'on passe d'un shampoing du commerce plein de produits chimiques, à un shampoing naturel. J'ai donc persévéré. En mouillant bien le bloc de shampoing et en insistant un peu plus sur les cheveux, il mousse finalement très bien ! Et une fois mes cheveux lavés 2 ou 3 fois avec, ils sont devenus extra doux ! Et en plus de tout ça, le shampoing solide sèche très très vite, même en le laissant dans la douche et diminue très peu en taille après les lavages, donc visiblement très durable dans le temps. Ça fait plus d'un mois que j'utilise le mien, à raison d'un shampoing un jour sur deux, et j'ai à peine l'impression qu'il a rétréci. Actuellement il me reste encore une bouteille d'après shampoing à terminer, mais je sais d'avance qu'une fois vide, je la remplacerai par un après shampoing de la même marque. La conclusion de tout ça, c'est qu'on ne devient pas écolo et zéro déchet du jour au lendemain. Il y a des étapes plus dures à franchir. D'autres qu'on ne souhaite simplement pas mettre en place. On tâtonne parfois sur certaines choses, on fait quelques pas en arrière, puis on trouve finalement l'alternative qui nous convient. De mon côté, la prochaine étape qui me tient à cœur c'est d'adopter un dentifrice zéro déchet. J'ai déjà mon idée, mais je termine avant ceux qui sont déjà entamés à la maison.
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Cette période de confinement aura été pour beaucoup l'occasion de s'essayer à de nouvelles occupations. Pour ma part, je me suis lancée un peu dans la boulangerie : non pas sur la confection de pain à proprement parlé, mais j'ai réalisé mes buns à burger maison, ma pâte à pizza ainsi que des tortillas pour faire des fajitas. Finalement j'ai pu me rendre compte que ça n'avait rien de compliqué et, surtout, que c'était bien meilleur que ceux tout prêts en grandes surfaces. Et je suis bien motivée pour continuer dans cette lancée.
Le confinement aura également été l'occasion de m'essayer à la méditation (grâce à l'appli Petit Bambou). C'est une belle découverte également et je compte bien m'y tenir !
Enfin, et c'est le sujet du jour, j'ai réalisé ma cire d'épilation maison ! Une très bonne surprise que je partage avec vous !
| Préparer sa peau à l'épilation : 
Rien de mieux qu'un bon gommage pour retirer toutes les petites peaux mortes avant l'épilation. Pour un gommage efficace, zéro déchet et surtout quasiment gratuit, il vous suffit de récupérer du marc de café (ou du sucre par exemple) et d'y ajouter un peu d'huile végétale (celle de votre choix : coco, amande douce ou même olive). 
| L'épilation :
J'ai testé la cire au sucre en suivant à la lettre la recette de Carnetgreen. Il s'agit en fait d'un caramel. Très peu coûteux, naturel et quasiment zéro déchet. Il vous faudra simplement du sucre (j'ai utilisé de la cassonade bio), de l'eau, du jus de citron (acheté bio) et du miel (de touraine évidement) pour la cire, et des bandes de tissus pour réaliser l'épilation. Pour la partie technique je vous renvois directement sur le blog avec la recette originale.Sincèrement c'est vraiment top et presque indolore. Pensez juste à prévoir suffisamment de bandes (pas comme moi ) si vous ne voulez pas vous épiler en plusieurs fois.
Une fois terminée, il ne reste qu'à enlever les petits résidus de cire à l'aide d'un coton et d'huile végétale.
| Hydratation : 
Et bien figurez-vous que c'est le même principe que pour le visage : un pschitt d'aloe vera et quelques gouttes d'huile végétale. C’est quand même pratique la beauté écolo et minimaliste : on utilise les mêmes produits pour tout (et vous verrez bientôt que c’est le même principe pour l’entretien de la maison). Carnetgreen recommande l'huile de souchet qui retarde la repousse, mais j'ai utilisé celle d'amande douce que j'avais déjà dans mon placard. J'aime bien également refaire un petit gommage quelques jours après pour limiter les poils incarnés. Et c'est tout. A vous !
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Aujourd’hui c’était lavage des cotons lavables. J’en profite donc pour vous faire un petit poste pour partager avec vous mes petites astuces écolo !
| Détachage :
Pas toujours pratique de garder ses petites lingettes toujours propres et blanches, surtout lorsqu’on les utilise pour se démaquiller. Perso, je ne me maquille jamais beaucoup, j’utilise donc principalement un savon de Marseille. Je frotte directement mon savon sur les lingettes que je frotte les unes contre les autres en prélavage. Si vous utilisez un peu plus de maquillage, le produit vaisselle fait des miracles !
| Lavage :
Comme pour le linge, j’utilise ma lessive maison au savon noir et de l’eau chaude. J’ajoute une bonne cuillère de percarbonate de soude pour blanchir et je laisse tremper un petit moment. Je rince, j’essors, et je laisse sécher à l’air libre. Et, quand je trouve qu’elles perdent un peu en douceur, j’emprunte le sèche linge de ma petite maman. Attention, pour le lavage en machine et le séchage dans un sèche linge, pensez bien à placer vos cotons dans un petit filet afin de ne pas les perdre. 
| Zoom sur le percarbonate de soude :
C’est le produit magique de la buanderie ! Il blanchit et détache le linge ! Je l’utilise régulièrement dans mes machines de linge blanc/clair. Attention, il “s’active” entre 40 et 60°C. Il n’est donc pas très utile si vous lavez à froid ou à 30°C... 
On peut également l’utiliser pour récupérer ses joints jaunis ou autre.
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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| Pastilles lave vaisselle :
Je fabrique mes pastilles lave vaisselle depuis plus d’un an maintenant. Rapides à faire, très économiques et bien sûr efficaces, elles ont fait leurs preuves avec notre ancien lave vaisselle, ainsi que l’actuel (et non, le prédécesseur n’a pas rendu l’âme à cause des pastilles, je vous vois venir ! L’actuel était tout simplement compris dans la cuisine de notre maison !).
Pour se faire c’est très simple. Il vous faut :
60g de bicarbonate de soude
60g de cristaux de soude
60g d’acide citrique
60g de gros sel
un peu d’eau
un bac à glaçons
On mélange toutes les poudres ensemble, et on ajoute de l’eau petit à petit (vraiment, petite cuillère par petite cuillère). Lorsque l’on obtient une petite pâte compacte, on rempli le bac à glaçons en tassant bien et on laisse le tout à température ambiante pendant environ 12h. Ensuite il ne nous reste plus qu’à les démouler et à les conserver dans un endroit bien sec. Nos pastilles sont prêtes à l’emploi et s’utilisent comme n’importe quelle pastille du commerce ! 
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Y a t-il une ressource plus précieuse que l'eau ? Elle est indispensable à la vie de tout être vivant, animal et végétal. Pourtant, voilà encore une réserve que l'Homme maltraite et gaspille... Consciemment ou inconsciemment, par habitude ou simple confort... il est grand temps d'ouvrir les yeux, et de changer nos façons de faire. 
| Economiser l'eau :
L'une des premières choses que nous avons fait dans la maison avant même d'y emménager, a été d'installer des économiseurs d'eau sur absolument tous nos robinets (évier, lavabo et douche). 
J'avais commandé le kit de chez Oopla qui contient 2 régulateurs pour robinet à 5L par minute (pratique pour la cuisine), 1 régulateur à 2,5L par minute (suffisant pour la salle de bain), un régulateur pour douche à 8L par minute ainsi que les joints adaptés. L'envoi se fait sans emballage superflus. J'ai reçu la boîte de la photo, en carton recyclé et recyclable, telle quelle, dans ma boite aux lettres.
Et si vous vous posiez la question : on n'a pas l'impression de se rincer les dents avec de l'air comme avec certains mousseurs, et on ne doit pas passer plus de temps sous la douche pour se rincer.
22€ le kit Oopla, qui permet une économie de près de 50% sur votre consommation d'eau.
Une autre façon simple et efficace de réduire sa consommation d'eau est de placer une brique ou une bouteille d'eau dans le réservoir de la chasse d'eau. Pas encore mis en place à la maison d'ailleurs, mais ça ne serait tarder (il faut juste que je trouve où me procurer une brique ! )
D'ailleurs, suis-je la seule à trouver absolument aberrant le fait d'avoir de l'eau POTABLE dans les WC quand on voit le nombre de personne dans le monde qui n'en ont même pas à boire ?!? Encore une belle preuve de notre petit confort...
Enfin, dernière chose, que je me permets de vous rappeler ici, mais que vous avez très certainement entendu toute votre enfance : on coupe l'eau pendant le savonnage du corps et le lavage des dents. Inutile de laisser couler l'eau dans le vide. 
Que de bonnes actions pour la planète qui, en plus, raviront votre porte monnaie !! Comme quoi, une fois de plus, écologie ET économie, ne sont pas incompatibles, bien au contraire ! 
| Recycler l'eau :
Ce deuxième onglet reste dans le thème de l'économie de l'eau, mais je tenais à séparer la partie purement quantitative, de celle de la réutilisation. 
Je pense notamment à l'arrosage des plantes et du potager. 
Ici on a installé un récupérateur d'eau de pluie. Par soucis esthétique, on en a pris un de la couleur du crépi de la maison. On pense en installer un autre très prochainement à côté du futur potager et pourquoi pas, dans les années à venir, investir dans 2 autres à double fonctions (pots de fleurs et récupérateur d'eau) à placer directement sur la terrasse. On en trouve de toute sorte, de toutes les couleurs et toutes les tailles, pour tous les budgets possibles. 
L'énorme avantage qu'ils présentent c'est que l'on peut maintenir l'arrosage de nos cultures en pleines canicules lorsque que nous sommes en restriction d'eau.
Vous pouvez aussi récupérer l'eau de la douche le temps qu'elle chauffe, dans un seau ou un arrosoir. Elle servira à arroser les plantes vertes ou faire un brin de nettoyage à l'extérieur par exemple (la plancha à rincer après la fin de l'hiver, la table de jardin à laver ou tout ce qui vous passera par la tête).
| Stopper la pollution :
Il y a quelques temps, lorsque je vous partageais la recette de ma lessive, ou encore lorsque je vous parlais des shampoings solides, j'ai évoqué avec vous l'impact des produits polluants qu'ils peuvent contenir, sur la faune et la flore aquatiques. 
On n'y pense pas forcément lorsqu'on lance une machine ou qu'on nettoie nos toilettes, mais tous les produits qu'on utilise, se retrouvent ensuite dans l'eau et, s'ils ne sont pas biodégradables, ils polluent le milieu aquatique dans lequel ils finissent.
Fort heureusement, il existe des alternatives naturelles et écologiques à tout. Reste juste à changer notre façon de penser, à se demander si notre geste à l'instant T, aura un impact ensuite. 
Lessive, pastilles lave-vaisselle, gel wc, savons, shampoings et gels douches, produit vaisselle, nettoyant pour le sol, etc... tous nos produits du quotidien ont finalement un impact sur l'eau si l'on ne les choisis pas correctement. Pensez-y lors de vos prochaines courses. Et comparez les prix, vous serez surpris. En plus, je vous assure que même pendant cette période, les rayons de produits écologiques sont encore étrangement (et malheureusement) pleins...
Bien sûr vous avez aussi la possibilité de tous les fabriquer vous-même. Je partagerais prochainement quelques nouvelles recettes, l'avantage étant que les mêmes ingrédients reviennent très souvent, ce qui évite d'acheter des tonnes de produits différents. Mais par pitié, n'utilisez pas d'huiles essentielles pour parfumer vos préparations. Il s'agit de concentrés avec des propriétés thérapeutiques qui n'ont absolument rien à faire dans des produits ménagers. Et, par ailleurs, n'étant pas miscibles dans l'eau, elle contribue également à sa pollution...
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Quand j'ai décidé de mener une vie plus écolo, je me suis renseignée sur plusieurs sujets. Le remplacement des produits chimiques et toxiques par du naturel a été la première action que j'ai voulu mener. On allait acheter une maison et je voulais absolument bannir les produits polluants de celle-ci. 
Forcément, au moment du déménagement, je me suis renseignée davantage sur le minimalisme. J'ai réalisé pas mal de tri, et j'essaie de le faire encore assez souvent maintenant. 
Enfin, le dernier point important a été de se pencher un peu sur nos déchets...
| Faire le tri sélectif :
Micka et moi on a toujours trié soigneusement nos déchets. Depuis qu'on vit ensemble, mais aussi bien avant ça, parce que nos parents nous ont élevé comme ça. Le plus simple étant de séparer les déchets ménagers, de ceux recyclables. En cas de doute, il suffit de se référer à l'emballage. En règle générale, il est toujours précisé dessus où doivent être jetées les différentes parties. On sépare également les produits recyclables de la "poubelle jaune" (cartons, certains plastiques, boîtes de conserve), du verre. 
| Les déchets organiques :
Pour aller plus loin dans la démarche, on peut trier les déchets organiques, bien souvent jetés avec les déchets ménagers. 
Les déchets organiques ont la particularité d'être totalement biodégradables par l'action de micro-organismes (ou des petites bêtes du jardin) qui y voient une source d'alimentation. Ils sont assez divers et variés : épluchures de légumes, coquilles d'œufs, marc de café ou sachets de thé, paille ou foin du poulailler, herbe de tondeuse, brindilles de bois, mais aussi mouchoirs en papier ou cartons. Le tout étant de respecter une règle d'équilibre entre les déchets secs et humides, et les déchets imposants et ceux qui peuvent se glisser partout.
J'en parlais quelques postes plus bas : une partie de nos déchets organiques est donnée aux poules qui se régalent des épluchures ou du riz cuit en trop grande quantité et oublié dans le frigo. 
Tout ce qui ne peut pas être donné aux poules est envoyé au compost. On a installé le nôtre il y a quelques mois. Il se rempli à vu d'œil et se décompose tranquillement avant de rejoindre dans quelque temps le potager.
On a la chance d'avoir un jardin, ce qui facilite pas mal les choses. Si ce n'est pas votre cas et que vous souhaitez quand même trier vos déchets organiques, renseignez-vous, vous avez peut-être un compost partagé dans votre ville. 
Une autre solution est le lombricomposteur : un compostage par les vers de terre, qui peut facilement se faire sur un balcon. Je ne suis pas une pro sur le sujet, je vous laisse donc le soin de vous renseigner sur internet si cette solution vous intéresse.
PS : on évitera d'apporter des restes de viandes et de poissons dans le compost si on ne veut pas accueillir une jolie colonie de rongeurs indésirables.
| Réduire ses déchets :
Trier c'est bien. Néanmoins, on entend souvent que le meilleur déchet est celui qu'on ne produit pas. Essayer de réduire ses déchets c'est trouver des solutions pour remplacer certains objets qui en produisent, contre d'autres qui n'en font pas, ou peu. Le premier exemple qui me vient en-tête ce sont les cotons lavables : on passe de plusieurs cotons par jour mis à la poubelle (sans parler de la pollution engendrée pour les produire), à 0. En y réfléchissant bien, en observant son environnement, on s'aperçoit que c'est valable pour une multitude d'objets à la maison. On peut acheter ses fruits et légumes sans prendre de sacs par exemple (on a déjà abordé le sujet un peu plus bas), ou même acheter tous ses produits en vrac si on en a la possibilité. 
| Changer de regard :
Il faut se le dire : on n'a pas tous la possibilité d'acheter en vrac. Soit parce qu'on n’a pas les magasins à proximité, soit parce que les prix y sont exorbitants. Et c'est ok. Dans ce cas, il y a toujours une solution. 
On le sait, le plastique est un peu le tabou du recyclage. On le dit recyclable, on le trie et finalement on le croise à l'autre bout du monde, dans des pays qui n'ont pas demandé à recevoir nos déchets... 
On lui préfère le carton ou le verre qui se recyclent correctement. Des pâtes ou du riz dans des emballages en carton, du jus de fruits dans une bouteille en verre, etc...
| Donner une seconde vie :
Jeter n'est pas une fatalité ! Il existe mille et une façon de réutiliser ou recycler nos déchets. 
Les bouteilles des jus de fruits, les pots de confiture ou de miel en verre peuvent être réutilisés.
Le marc de café peut-être utilisé pour déboucher les canalisations, au jardin, ou encore en gommage pour le corps.
Les coquilles d'œufs broyées et mises aux pieds des plantes repoussent les limaces. Elles servent aussi de récipients pour semer les tomates en leur apportant le calcium nécessaire. 
Les vêtements qu'on ne porte plus se revendent ou peuvent être donné à des associations.
Et bien sûr, on essaie de réparer ce qui semble cassé.  
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Il y a quelques jours je vous partageais ma routine visage au naturel : des cotons lavables, un hydrolat, un peu de gel d’aloe vera et quelques gouttes d’huile végétale, à choisir en fonction de votre type de peau. Rien de plus simple. Je crois que c’est ce que j’aime le plus dans la transition écologique : la simplicité, et le minimalisme. Et évidemment, la règle s’applique aussi pour la routine cheveux !
| Passer au shampoing solide : 
Pas besoin de vous faire un grand discours, ni de trop rentrer dans les détails : les shampoings du commerce c’est pas très glorieux, tout le monde le sait. Entre les ingrédients à rallonge, pas dégradables et donc polluants, et les flacons en plastiques, soit disant recyclables mais qui en fait se retrouvent à l’autre bout du monde, il y a un sacré progrès à faire.
La solution : le shampoing solide ! Testé et adopté depuis plus d’un an, grâce à ma cousine Emilie, c’est un produit chouchou qu’on peut; une fois encore, trouver tout prêt en magasins bio, ou bien le fabriquer soi-même. J’ai choisi cette dernière option parce que j’adore la tambouille et qu’en plus, une fois qu’on a compris le principe, on peut l’adapter à tout type de cheveux. 
Bien entendu, il nous faut une base (j’utilise du sodium coco sulfate et de l’huile de coco), ensuite on peut tester un peu tout ce qu’on veut. Le donuts vert de la photo contient une infusion de romarin, de l’argile verte, de l’aloe vera et des huiles essentielles d’arbre à thé et de citron, dans le but d’en faire un shampoing anti-pelliculaire, mais tout en gardant une base hydratante. La petite “fleur” blanche est plus axée sur l’hydratation, j’y ai rajouté de l’hydrolat de camomille pour les cheveux blonds, du gel d’aloe vera, du miel, et quelques gouttes de fragrance coco. On laisse une nuit au frigo, puis quelques jours de séchage à température ambiante et ils sont prêts à l’emploi.
Petit conseil : pensez à bien laisser sécher vos shampoings, si possible en les retirant de l’humidité de la douche afin qu’ils durent le plus longtemps possible.
| Shampoing sec :
Si vous avez envie d’espacer un peu les shampoings, s’il-vous-plait, ne vous ruez pas sur les flacons plein de gaz et de parfums ! 
Petite astuce toute simple et rapide : on mélange maïzena et argile blanche à parts égales, on prend un petit pinceau et on pose sur les racines. On va déjeuner, on se prépare, et ensuite un petit coup de brosse !
Et si vous êtes brunes, vous rajoutez du cacao pur en poudre et fini les traces !
| Masques et soins :
Efficacité et simplicité. Lorsque je trouve que mes cheveux sont un peu secs, j’y applique une bonne noisette de gel d’aloe vera, je passe un coup de brosse aux poils de sangliers pour bien répartir et c’est terminé ! 
Une fois de temps en temps, pour bien les nourrir et les hydrater, je réalise dans le creux de ma main un mélange de gel d’aloe vera et d’huile d’avocat (particulièrement réputée pour la beauté des cheveux) que j’applique généreusement sur les longueurs et que je laisse poser toute la nuit.Il suffit juste de réaliser un shampoing le lendemain pour avoir de beaux cheveux doux et brillants.
Et encore une fois, il faut reconnaître que les shampoings solides et les brosses en bois sont quand même vraiment plus élégants que les flacons multicolores et les brosses en plastiques qui se décolorent avec le temps,  non ?
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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La lessive. On la trouve chez absolument tout le monde. De toutes les marques, de toutes les couleurs, avec toutes sortes d’odeurs, mais avec un seul et unique but : laver le linge.
| Impacts de la lessive, dite “classique” :
J’entends par “classique” toutes les marques lambda de la grande distribution. D’un premier abord, on ne se rend pas spécialement compte des effets néfastes de ces lessives. Après tout, elles sont accessibles à tous, et lavent correctement nos vêtements. Cependant, si l’on y regarde de plus près et qu’on détaille un peu les étiquettes, on s’aperçoit vite que tout n’est pas si bon... 
Allergènes, colorants, parfums de synthèse et autres détergents, que de produits qui se retrouvent dans les fibres de nos vêtements puis, au contact de notre peau. Les pores de la peau n’étant pas totalement imperméables, il se trouve que celle-ci peut absorber certaines substances présentes dans la lessive... Par ailleurs, tous ces composants n’étant pas 100% biodégradables, ils polluent par conséquent les milieux aquatiques dans lesquels ils sont rejetés, et ont donc un impact sur la faune et la flore de ces milieux...
| Revoir sa consommation :
Il existe plusieurs alternatives à ces problèmes environnementaux et dermatologiques. 
La première est de favoriser l’achat d’une lessive écologique, biodégradable et hypoallergénique. 
Ariel : 4.04€/L (je compare avec cette lessive spécifiquement puisque c’est elle que j’utilisais avant).
Arbre vert : 3.74€/L
La seconde, c’est celle que j’ai choisi personnellement, est de fabriquer sa propre lessive. Sur internet vous trouvez des tonnes de recettes différentes, avec plus ou moins de produits : du savon de Marseille en paillette (attention à le choisir correctement, c’est à dire véritablement de Marseille, à l’huile d’olive = vert. Si vous vous faites avoir comme moi, avec les paillettes blanches toutes prêtes en magasin, gare aux traces blanches sur vos vêtements foncés), du savon noir, du bicarbonate ou des cristaux de soude, du vinaigre ou bien d’autres choses. L’idéal étant de tester, pour trouver celle qui nous convient le mieux.
Personnellement j’utilise une recette trouvée sur instagram (@maison_minimaliste_zerodechet), on ne peut plus simple et rapide :
50g de savon noir (concentration entre 15 et 30%)
1L d’eau, idéalement chaude pour simplifier l’homogénéisation du savon
Je l’utilise depuis plus d’un an sans aucun problème, ni sur le linge, ni dans ma machine.
Le seul petit point négatif que je pourrais lui trouver c’est son manque d’odeur. Alors autant en été ça ne me pose pas le moindre problème puisque je fais sécher mon linge dehors et qu’il sent bon l’extérieur (je ne sais pas vous décrire cette odeur, mais je suis sûre que vous voyez très bien ce que je veux dire), autant l’hiver, quand le linge a du mal à sécher, il arrive qu’il sente un peu l’humidité. Pour ça, j’ai donc trouvé une solution : j’achète un assouplissant écologique, que je dilue un peu avec de l’eau et j’en verse un peu pour parfumer légèrement le linge. 
Je profite de ce petit point “odeur” pour vous déconseiller formellement l’usage des huiles essentielles dans la lessive (ainsi que tout autre produit ménager fait maison d’ailleurs), car :
 petit un : ça ne parfume absolument pas le linge, l’odeur disparaissant pendant le lavage
petit deux : elles ne sont pas miscibles dans l’eau et donc la polluent
petit trois : elles sont thérapeutiques et doivent être réservées pour soigner des petits maux
petit quatre : elles sont à proscrire chez les femmes enceintes et les jeunes enfants. 
Je pense que désormais vous savez tout et que vous êtes prêts pour franchir le pas de la lessive écologique, prête à l’emploi ou fait maison ! 
Bientôt je vous partagerai les petits produits magiques pour détacher et blanchir !
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Quand j’ai décidé de me lancer dans une démarche plus écolo, avoir des poules a été une évidence. Question zéro déchet, of course ! Ça, c’était le point de départ. J’ai découvert ensuite les poules d’ornement : coup de foudre immédiat. Sincèrement, je les trouve toutes plus belles les unes que les autres, et si je pouvais, j’en prendrais encore et encore, tant il y a de belles races !
| Mes petites poules de compagnie :
Avant toute chose, il faut bien garder en tête que les poules sont des animaux. Pas des petites travailleuses qui sont là uniquement pour pondre et manger nos déchets. Loin de là. 
Elles ont besoin d’une petite maison pour dormir et pondre, un terrain suffisamment grand pour se dégourdir les pattes et grignoter, une bonne alimentation, de l’eau fraîche et pourquoi pas quelques gourmandises comme des vers de farine séchés. Ces trois là se laissent relativement bien approcher et elles acceptent même des petites caresses. La quatrième est plus réservée et réticente (actuellement elle couve 4 gros œufs qui, je l’espère, donneront de jolis poussins en pleine forme !)
| Des œufs tout frais :
On distingue les poules pondeuses des poules d’ornement. Mais il va de soit qu’une poule reste une poule et que, dans tous les cas, elle pond ! Les ornementales pondent simplement un peu moins que les pondeuses et leurs œufs sont un peu plus petits. En ce moment j’ai deux poules sur quatre qui pondent (Grisette est en pause à cause de sa couvade, et Artémis est encore un peu jeune je pense) et je ramasse pratiquement 2 œufs par jour : un moyen beige, et un tout petit blanc ! Les œufs colorés c’est devenu ma passion, je l’avoue ! Blanc, beige, vert, bleu, marron : il en existe de toutes les couleurs, et de toutes les tailles ! Mais je m’égare...
| Réduction des déchets organiques : 
Si l’on souhaite se lancer dans une démarche de réduction des déchets, avoir des poules est une super idée : elles sont gourmandes et mangent sans aucun soucis une grande partie de nos épluchures (à quelques exception près comme les épluchures de pomme de terre, le poireau, et d’autres) et même certains restes oubliés dans le frigo. Et si on a la bonne idée d’installer un compost, elles ne nous créent elles-même aucun déchet, puisque la paille ou le foin du poulailler, ainsi que leurs fientes, peuvent rejoindre le compost sans aucun souci !
Et si vous n’osez pas tout à fait franchir le pas, n’hésitez pas à me poser vos questions ! Je suis loin d’être une experte, mais peut-être que je pourrais vous éclairer un peu !
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Il y a environ sept mois, avec l’arrivée de notre super robot, je me lançais un défi : ne plus acheter de desserts en grandes surfaces. Pari tenu jusqu’à maintenant (à l’exception des yaourts que j’utilise pour faire les miens). Cela paraît fastidieux de réaliser la totalité de ses desserts soi-même, mais finalement je pense que c’est d’avantage une question d’organisation que de temps. Et puis c’est tellement gratifiant en fait !
Je vous partage deux petites idées de desserts pour aujourd’hui, mais j’en ai plein d’autres en réserve que je vous publierais une prochaine fois ! 
A gauche, dans les pots en terre cuite : des petites crèmes desserts à la vanille ; à droite, dans les pots en verre : des yaourts
| Crème dessert à la vanille :
Le grand basique. Du lait, de la crème liquide, des œufs frais, de la vanille, un peu de sucre, et c’est tout. On trouve tout un tas de recettes sur internet, avec ou sans robot, cuisson au four ou au varoma. Pour vous dire la simplicité et la rapidité : j’arrive à en préparer une tournée avant de partir au travail (et croyez-moi je suis pas une flèche le matin !!)
| Yaourts maison :
Avec ou sans yaourtière, les yaourts maison sont à la portée de tous ! Ici, ce sont des yaourts à la grecque. Il suffit de mélanger du yaourt nature, de la crème fraîche épaisse et du lait entier, chauffer à 37°C et passer à la fermentation : une nuit toute entière dans la yaourtière, le four ou le varoma, un petit tour au frigo et c’est prêt ! 
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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En sortant du travail tout à l’heure, je me suis arrêtée faire quelques courses. J’avais besoin d’un peu de légumes car on n’avait absolument plus rien dans le frigo. C’est finalement un maigre butin que j’ai ramené, mais il y a quelques raisons à cela. 
| Consommer local :
J’ai pris l’habitude de faire mes achats de fruits et légumes chez un revendeur près de chez moi, qui propose énormément de produits du département ou, à défaut, français. Aujourd’hui, pour une question de pratique, je me suis arrêtée chez grand frais. J’ai trouvé qu’il y avait une grande quantité de produits importés, notamment d’Espagne, du Portugal ou encore du Maroc. C’est la première raison pour laquelle j’ai limité mes achats. Je suis repartie avec un panier 100% français.
1,50€ le kilo de pomme de terre française, contre plus de 2€ le kilo celles, proposée juste à côté, du Maroc.
| Consommer de saison :
Trop peu de gens y font attention, mais manger de saison c’est primordial. Si vous trouvez des tomates en plein hiver dans le rayon de votre supermarché, demandez-vous comment est-ce qu’elles ont bien pu pousser, alors que leur saison à elles, c’est l’été..?! Serre ? Lumière artificielle ? Engrais chimique ? 
Manger de saison, c’est hyper facile ! On trouve sur internet plein de listes avec les fruits et légumes du mois, ainsi que de nombreuses idées recettes ! 
Le petit plus ? Les produits de saison sont moins chers ! 
0.99€ le concombre, par exemple, en tout début de saison.
| Consommer sans emballage :
Je me gardais le meilleur pour la fin ! 
C’est LA chose la plus simple à mettre en place ! Depuis environ un an, je me rends systématiquement chez le primeur avec mon petit panier et toutes sortes de sacs en tissu. Hors de question d’utiliser un sac jetable fourni par le magasin. Je range les produits peu encombrant comme les concombres et les bananes (ou choux fleurs, melons, poireaux, en fonction de la saison), directement dans mon panier et je les dépose tels quels à la caisse (en prenant bien soin de les ranger par catégorie pour ne pas embêter la personne à la caisse). Et j’utilise les sacs en tissus pour le reste : pommes de terre, oranges, champignons, etc... Rien de plus simple.
| Revoir sa copie :
J’ai voulu rester transparente par ici. Tout montrer, sans essayer de cacher le moins bien. Les bananes, c’est le point faible de mon panier... Je les choisis toujours françaises et, si possible de Guadeloupe (j’y tiens, c’est un petit clin d’oeil à mon fwewe, même si celles de la photo sont de Martinique...), mais elles restent quand même à éviter du fait du trajet loin d’être très écolo...
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Ils l’ont dit aux informations : il faut, malgré le confinement, garder une routine et structurer sa journée. Continuer à se préparer, à prendre soin de soi. 
J’entends souvent beaucoup de préjugés concernant la beauté au naturel : ça n’est pas efficace, ça coûte cher, c’est trop compliqué, ou pire : ça n’existe pas ! Aujourd’hui, j’avais envie de vous montrer que finalement, prendre soin de soi, au naturel et pour trois fois rien, c’est possible ! Ici on ne parlera que la petite routine du matin, mais promis, d’ici quelque temps, je vous partagerai d’autres petites astuces toute simples pour réaliser un gommage, un masque visage et même un masque pour les cheveux et, pourquoi pas, un baume hydratant pour le corps !
| DÉBARBOUILLAGE :
Le matin, je me rince le visage avec un hydrolat de fleur d’oranger et un petit coton lavable. 
Il existe une multitude d’hydrolats (il s’agit d’eaux florales si l’on veut faire plus simple), chacun étant adapté à différents types de peaux (sèches, matures, fatiguées, mixtes, etc...), et chacun ayant donc différentes propriétés (hydratantes, apaisantes, régénérantes, etc...).
Ils remplacent facilement les eaux micellaires et sont moins irritants pour la peau que l’eau du robinet parfois trop calcaire, et le lavage au savon quotidien trop agressif.
Les hydrolats sont très simples à trouver : pharmacie, parapharmacie, magasins bio ou encore grandes surfaces.
Comptez environ 3,50€ pour un flacon comme le mien (250mL, non bio). 
Les cotons lavables sont un indispensable, à mon sens, de la routine naturelle. Facile à se procurer, on peut les acheter un peu partout, ou bien se les fabriquer soi-même dans le format et le motif que l’on souhaite. Et, entre nous, en plus d’être plus écologiques que les cotons jetables, ils sont quand même carrément plus jolis ! Si vous souhaitez investir, je vous conseille de faire un petit tour sur etsy où vous trouverez plein de modèles tous plus jolis les uns que les autres, ou de vous rendre dans les petits magasins bio qui ont également tout ce qu’il faut. 
| HYDRATER ET NOURRIR :
La peau a besoin d’être hydratée ET nourrie. C’est hyper important. 
Pour cela rien de plus simple : un pschitt de gel d’aloe vera (ou de gel de lin, qui hydratent) dans le creux de la main, on ajoute 2 à 4 gouttes d’huiles végétales (qui nourrissent), on mélange en frottant ses mains et on applique directement sur le visage. Je ne tire aucun mérite de cette technique hyper rapide et efficace, puisque je l’ai moi-même trouvé sur le blog de carnetgreen qui explique tout ça bien mieux que moi.
Les huiles végétales (et macérat huileux), à l’instar des hydrolats ont chacune des propriétés bien spécifiques, adaptées à chaque type de peau. J’utilise personnellement l’huile de noisette (pour peau mixte = zone T), et le macérat huileux de calendula (pour peau sensible = mes joues rouges et sèches).
Environ une petite dizaine d’euros le gros flacon d’aloe vera comme le mien, qui dure plusieurs mois : bio, équitable, et contenant 98% de gel d’aloe vera.
7.25€ un flacon d’huile végétale bio qui dure des mois et des mois puisque, je le rappelle, on applique seulement quelques gouttes par jours ! 
 Pour vous donner une idée avec l’huile de noisette que je n’utilise que pour cette routine (le calendula se vidant plus vite puisque je l’utilise pour la préparation de baumes hydratants pour le corps) : j’ai acheté le flacon en novembre 2019 et il m’en reste environ 2/3, soit une durée de vie d’environ 15 mois si, comme moi, vous ne respectez jamais les “à consommer dans les X jours après ouverture*”  Soit environ 0.50€/mois. 
Si vous vous avez des questions pour le choix de vos huiles et hydrolats en fonction de votre type de peau, je peux vous aider à vous renseigner et vous partager en message privé les tableaux comparatifs. N’hésitez pas ! Et encore une fois, je vous invite à visiter le blog de Carnet Green qui est plein de bonnes astuces !
*Attention tout de même à conserver correctement les produits et à ne plus les utiliser en cas de changement de couleur ou d’odeur.
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unpetitpasplusvert · 5 years ago
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Un virus méchant. Le confinement. Du Beau temps.
C’est le combo parfait pour se lancer dans un petit nettoyage de printemps !
Sauf que : tous les rayons de sanytol, lacroix javel et autres produits industriels sont dévalisés. Et si, finalement, c’était le moment de faire un petit pas plus vert ?
| NETTOYER :
A la maison, pour nettoyer, j’utilise un seul et unique produit pour absolument tout : que ça soit pour la lessive, le lavage des sols, l’entretien de la salle de bain, le lessivage des meubles de cuisine, ou encore le poulailler, il se montre efficace pour toutes les tâches (dans les deux sens du terme) !
Le savon noir est le produit à avoir dans ses placards !
Je suis une adepte du savon noir liquide à l’huile d’olive de Marius Fabre (simplement parce que sa concentration est parfaite pour la réalisation de ma lessive), mais on peut trouver le savon noir sous différentes marques, liquide ou « mou », à l’huile d’olive comme à l’huile de lin ; en grandes surfaces, en jardineries ou en magasins bio.
Question odeur, on est loin des odeurs chimiques des parfums de synthèse. Personnellement j’adore cette odeur de propre et de frais, mais si vous avez du mal à vous y habituer, rien ne vous empêche de rajouter quelques gouttes de fragrances.
Comptez une petite dizaine d’euros le litre de savon noir Marius Fabre (j’ai le mien depuis une bonne année, et j’arrive tout juste à la fin)
| DÉSINFECTER :
Nous sommes d’accord : nettoyer c’est bien, mais si l’on souhaite se débarrasser des microbes, il est nécessaire de désinfecter ensuite.
Pour cela encore, un seul produit me suffit à la maison : on ne le présente plus, le vinaigre blanc est connu depuis des siècles ! Lui aussi multitâche, il désinfecte, certes, mais peut également être utilisé comme assouplissant du linge, anti-calcaire, désodorisant, désherbant, et bien d’autres !
J’avoue ne pas être fan de son odeur persistante, comme beaucoup d’entre vous, j’imagine. La meilleure solution, à mon sens, est de le diluer avec de l’eau (1/3 de vinaigre pour 2/3 d’eau) et d’y faire infuser des peaux d’agrumes, des pétales de roses, de la lavande, ou même des herbes aromatiques. On filtre le tout dans un flacon spray et le tour est joué !
Je récupère essentiellement les peaux des agrumes une fois que j’en ai fait un jus. Attention à bien éplucher l’écorce et de ne pas tout mettre directement à infuser car la pulpe risquerait de boucher votre pulvérisateur.
Moins d’un euro la bouteille d’un litre de vinaigre blanc.
Voilà mes deux indispensables à l’entretien de la maison. Bien sûr, il existe d’autres alternatives naturelles aux produits industriels : le savon de Marseille en paillette peut aisément remplacer le savon noir, et le bicarbonate de soude peut venir en renfort au vinaigre (attention à bien faire le mélange vinaigre + bicar à la dernière minute, sans quoi les deux produits perdent leurs efficacité).
La vapeur est également une bonne alternative pour l’élimination des agents pathogènes. Si vous possédez un balai vapeur n’hésitez pas à vous en servir pour vos tapis, canapés, matelas ou autres, après bien sûr y avoir fait un bon coup d’aspirateur.
| AÉRER :
Dernier petit conseil pour un intérieur clean et propre : on aère son logement sans modération, aucune ! Quand on sait que nos intérieurs sont plus pollués que l’air extérieur, on ne se prive pas, et on laisse tout ouvert !
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