usyoufreedom - Tumblr blog

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“Fumer des clopes, afin de ressentir cette brûlure au fond de la gorge, fumer des clopes, afin de ressentir cette fumée destructrice dans les poumons, fumer des clopes, avec l'espoir (?), d'un jour, en mourir.”

— (via unemultitudedemaux)

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“Le temps guérit les blessures” à ce qu’il paraît.

Presque 10 ans sont passés. Assis au bord de sa fenêtre elle regarde les jeunes étudiants se balader dans les rues à moitiés ivres, profitant de leurs jeunesses et de leurs insouciance, elle voit sur internet la vie de ses anciens camarade de lycée s’amuser presque tout les soirs et faire de nouvelles rencontres. Quand à elle ? Et bien elle est juste assise au bord de sa fenêtre une cigarette à la bouche se demandant ce qui l’a retient en vie. Vous savez ce n’est que lorsqu’on est vraiment seules qu’on se rend compte de notre solitude. Oui je sais c’est un faits connue mais je ne vous parle pas de cette solitude là. Je vous parle de l’autre celle qu’on à attendue durant toute notre adolescence, la solitude de cette indépendance qui nous à tant fait rêver, vous voyer de quelle solitude je vous parle. Et bien elle est entrain de la vivre maintenant, elle qui l’avait si longtemps attendus et bien maintenant elle l’a regrette. Chaque jours elle lui pèse sur les épaules sans qu’elle ne puissent rien y faire c’est seulement une nouvelle fatalité qu’il faut se forcer à accepter. Plus éprouvante à chaque fois qui va la détruire un peu plus. Oui c’est celle-ci même qui l’a pousse chaque jours un peu plus au bord du gouffre. Elle aimerait s’ y jeter pleinement mais elle ne le fait pas sans vraiment trop savoir pourquoi.Mais n’est ce pas justement le même dilemme qui se pose à toute les personnes éveiller si tard, qui rumine pendant la nuit et qui une fois le soleil lever les forces à poser ce masque de joie sur leurs visages afin de ne pas montrer au autres à quel point ils sont brisé... mais trêve de bavardage revenons vers cette fille assise à sa fenêtre. Sa cigarette c’est consumé sans même qu’elle s’en rend compte. Elle pense au temps passé, ce rappelle d’où viens cet tristesse en elle et sourit ironiquement lorsque cet accident est arrivé on lui a dit que le temps guérirais ses blessures et qu’un jours elle oublierait mais maintenant 10 ans sont passés et rien à changer elle ressent toujours se troue béant dans sa poitrine qui aspire chaques parcelles de joie en elle, qui la ronge pour mieux la faire succomber. Cette solitude qui l’a piétinne chaque jours un peu plus, lui comprimants la cage thoracique et qui l’empêche de respirer. Ce sentiment qui lui fait comprendre que touts le monde se porterais mieux sans elle. Qu’elle foutu connerie de dire que le temps nous permet de guérir c’est juste un autre stupide mensonge que les gens préfère croire à la place de voir la vérité en face, seulement un mensonge de plus qui la plonge encore plus dans son desespoir, son enfer personnelle. Les écouteurs au oreilles, la musique des ses souvenir passant en boucle elle se rapproche un peu plus du bord se disant que si elle saute maintenant l’engrenage se terminerai enfin, qu’elle arriverait finalement à faire la paix avec elle même et que le calme évident de cette nuit et un signe qui l’encourage encore plus vers cette triste décision. Peut être qu’elle va le faire aujourd’hui ou peut être qu’elle va encore le repousser à une autre fois, ce réconfortant et se disant à elle même que les jours à venir seront meilleurs ou bien pas cette fois ci et une bonne fois pour toutes elle se laisssera alors engloutir par la fatalité.

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Un dernier essai

Je suis là assise au bord de ce grand bâtiment. Je regarde d'en haut toute ces personnes s'agite, mon estomac est noué j'ai une envie de vomir récalcitrante. Je m'allume une nouvelle cigarette et me demande si je ne ferais pas mieux de retourner dans ma chambre avec les autres. Mais ils n'ont pas encore remarquer ma disparition, en regardant dans le vide je m'entend me dire à moi même que ce ne serait pas une si mauvaise chose de sauter. Que finalement je ne manquerais à personnes et que ce sera même un soulagement pour les autres. Je n'arrive plus à ressentir quoique ce soit dans mon corps à part cette douleur incurable qui ne veux pas me quitter. Ça fais déjà un moment que j'y pense mais je n'arrive pas à m'y résoudre. Combiens de fois la lame est passé à quelques millimètres de ma veine? Combiens de fois j'ai étais tenté de prendre plus de médicaments que ce que je devrais prendre. Mais je n'ai jamais réussi, toujours à penser aux conséquences de cet acte fatidique.

J'ai essayer d'en parler mais personnes ne m'écoute, j'ai déjà lancer des appels à l'aide j'ai déjà clairement dit que je voulais me suicider mais personnes ne m'a pris au sérieux . Ils pensent tous que je rigole que ce n'est que quelques mots en l'air et que ça ne servirait à rien d'y prêté attention.

Est ce que cette disparition est un dernier appel à l'aide? Est ce que je me rallume une nouvelle cigarette pour retarder ce moment? Est ce que je vais vraiment arriver à sauter ou bien je vais encore me dégonfler à la dernière minutes ?

Je ne sais pas, je ne sais pas mais je n'aurait pas la force de remettre ce masque d'insouciance et de joie sur mon visage. Je n'arriverai pas demain matin à répondre à leurs "ça va ? " sans me mettre à pleurer, je n'arriverai pas à coller mon faux sourire sur mon visage une journée de plus.

Je me rallume une nouvelle cigarette. Je sais que je fais ça pour retarder l'acte. À chaque fois que j'en rallume une je me demande si avant que je termine celle-ci ils partirons à ma recherche.

Alors je continue cette action tout en me répétant la même chose. Mais je sais qu'au moment où je terminerai la dernière cigarette de mon paquet j'aurai une décision à prendre.

Vivre ou mourir ?

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Ce n'est que quand je l'écoute que je comprends que je vais vraiment mal..

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Pourtant si entouré je me sens seule. Dans ces moments là seule l'ombre de la mort m'accompagne.

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L'alcool réduit mes pensées à néant lorsque je le consomme alors pourquoi je me sens si misérable lorsque ses effets ce dissipe ?

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“On est en train de se suicider sur cette planète.”

- Mon prof d'anglais

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Je crois que je vais bien trop mal mais que je n'arrive pas à totalement m'en rendre compte.

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Fumer des clopes, afin de ressentir cette brûlure au fond de la gorge, fumer des clopes, afin de ressentir cette fumée destructrice dans les poumons, fumer des clopes, avec l'espoir (?), d'un jour, en mourir.

(via unemultitudedemaux)

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Le grand retour.

J'ai enfin crus aller mieux. Je voyais la lumière au bout du tunnel. Plus rien ne m'atteignais. Je me sentais libre flottant à mon rythme. Heureuse je respirais enfin. Et d'un coups tout c'est arrêté. Je me suis remise à ruminer. À pleurer tard le soir . À vouloir en finir. Et c'est là que j'ai compris. J'ai compris qu'elle était revenue. Qu'elle n'était jamais vraiment partie. Et je me suis remise à me détester. À détester tout ce qui m'entourent. Et à vouloir partir pour ne plus jamais revenir. Je la vois encore devant moi me narguer. Je l'entend encore m'annoncer son retour. ''Je suis encore là, que croyais tu? Que j'allais partir et te laisser vivre. C'est mal me connaître mon enfant .''

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Je me sens toujours de trop, et terriblement seule ; je ne suis pas capable de tenir une conversation, ni même d'aligner deux mots sans bégayer ; je n'ai jamais rien à raconter, et je comprends pourquoi personne n'aime ma compagnie : je ne suis vraiment pas intéressante.

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June.

Cela fait trois mois, Trois mois qu'elle N'arrive plus à fermer les yeux, À passer une nuit complète Sans faire ce cauchemard Où elle ce voit mourir doucement Sans personne, seul Ne pouvant pas les atteindre Ils l'abandonne tous un par un Ce réjouissant de son malheur. Aujourd'hui il ce réalise, Seul elle s'endors partout Seul elle coule et se meurt Sans personne pour l'aider Elle souffre en silence et Accélèrent le procesuce Elle se consume discrètement.

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Est-il possible de détéster l'amour sous toute ses formes ?

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Jvous demande pas de me tuer, poussez-moi accidentellement d'un pont, sous un train ou une voiture, c'est tout..

(via ameliedltr)

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J'ai aucune raison de vivre et pas le courage de crever. Alors j'attends

@insociablementcompliquee (via insociablementcompliquee)

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Je suis fatiguée. Fatiguée de tous ce qui m'entoure. Tous me lasse. Plus rien n'arrive À me procurée de la joie. Je dérive, Je coule , Mais aussi je fuis, La solitude, Mais en même l'accompagnement, Délaissé et blesser ouvertement. Je pars me cacher Dans un coin sombre Là où ou je peut m'évader Sans être déranger Où je peut m'imaginer Autre part Sans que la réalité Ne me rattrape. Cet endroit là Où je veux mourrir Afin de compenser cet vie merdique Ou plus rien ne me retiens Je veux mourrir sereinement Dans ce coin Seul, Sans personne, Mais finalement heureuse.

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Le suicide ! mais c’est là force de ceux qui n’en ont plus, c’est l’espoir de ceux qui ne croient plus, c’est le sublime courage des vaincus ! Oui, il y a au moins une porte à cette vie, nous pouvons toujours l’ouvrir et passer de l’autre côté. La nature a eu un mouvement de pitié ; elle ne nous a pas emprisonnés. Merci pour les désespérés

Maupassant. (via desbleusaucoeur)