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utopiamydri · 3 years ago
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Esclave de ses fantasmes, elle n’avait pas d’autre choix.
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utopiamydri · 4 years ago
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Depuis son plus jeune âge, Mia avait entendu parler de ces rebelles, ces gens exclus de la société. mais jamais à cet âge si jeune, elle aurait pu imaginer qu'elle en ferait partis dès ses 18 ans. C'était une petit fille unique, drôle et passionnée par ce qui l'entourait, ses parents étaient tout les deux dans l'éducation. un métier bien modeste qui permettait tout de même à la famille de subvenir à ses besoin. Mia avait en soit toutes les choses nécessaire pour s'épanouir dans un cadre sain et agréable, sans manquer de rien. Mais rapidement, l'idylle enfance laisse place aux tumultes de l'adolescence ; les début de la liberté et de l'indépendance. Dès ses 16 ans, Mia rencontra des gens qui restèrent pendant plusieurs années ses meilleurs amis. A cette époque, tous voyait leur groupe d'ami comme une seule et même entité indestructible, et c'est avec elle qu'elle eu ses premières expériences avec ce qui deviendrait plus tard sont plus grand combat : la drogue. Elle commença par un ou deux pétard par ci par là, à cet âge noble, le joint est banaliser aux yeux de tous, c'était d'ailleurs devenu un acte des plus naturel pour chacun, un véritable partenaire de vie. Subtilement, l'amour pour cette façon incroyable de se déconnecter du monde vient se conjuguer à cette réalité qu'ils voulaient tous fuir : la vie d'adulte et les responsabilités arrivaient à grand pas. Mais personne ne voulait le croire ni le voir, le paradis artificiel les maintenait tous dans une bulle où ils se sentaient à l'aise et où il pensaient naïvement avoir le contrôle sur la situation. Ce n'est un secret pour personne, la drogue éveil l'esprit, la réflexion, et l'esprit critique, pour ne citer que les côtés avantageux. Il y avait quelque chose qui arrivait dans la vie de Mia et cela n'avait pas le luxe de lui plaire. Malheureusement, il semblait impossible d'y échapper. Bientôt, il sera l'heure de grandir, la peau de l'adolescence se fait trop petite, comme ses compères plus vieux qu'elle, il va bientôt falloir entamer sa mue, suivre des codes et des règles, choisir une voie pour construire son futur, mettre le nez dans l'administratif, faire des choix pour suivre les attentes de ses parents qui pour Mia, avaient déjà échafauder tout un plan de vie et de carrière bien ficelé pour leur progéniture. Un avenir radieux se dessinait à l'horizon dans l'esprit de ses parents. Cependant, la première intéressée ne l'entendait pas de cette oreille. Avec le temps, la réflexions et les idées se construisent et se solidifient ; pourquoi devrait elle suivre un schéma qui ne l'intéresse pas ? Pourquoi quelqu'un d'autre qu'elle devrait décider de son avenir ? La flamme de la rébellion c'était allumé au fond de son cœur. Plus le temps passait, plus le schéma traditionnel qui s'offrait à Mia l'insupportait. A l'aube de son dix septième anniversaire, tout était clair pour elle : elle ne choisira pas ce chemin. Entre temps, ses fréquentation avaient elles aussi évoluées, son groupe d'amis avait grandit, lui aussi. La soif de découverte, de liberté et se besoin de faire la fête lui aussi, avait grandit et prit une place toute particulière dans le cœur et l'esprit de Mia. Ses envies étaient clairs : elle voulait profiter, expérimenter, rire, se sentir libre. Ses amis et la drogues étaient devenus son refuge, elle avait cette impression d'être elle même avec eux, se détachant petit à petit de ses proches et de sa famille, qui voient d'un très mauvais oeil cette déchéance dans laquelle Mia prend plaisirs à participer. Malgré les tentatives des ses parents, Mia s'éloigne de la vie de famille, qu'elle juge trop fade à son goût. Ses parents deviennent à ses yeux des pantins complètement absorbés par un système et une société à laquelle elle n'a jamais aspiré. La fracture familial se fait de plus en plus ressentir et durant le cour de sa dix septième année, Mia devient le fantôme de sa famille. Ses amis, souvent plus vieux qu'elle, lui offre l'hébergement gratuit, alors elle vagabonde d'appartements en appartement, revient parfois chez maman, mais jamais bien longtemps. Sa vie se déstructure petit à petit. L'école touche à sa fin et ne lui offre plus d'emplois du temps pour rythmer ses semaines, les prises de drogues d'un autre calibre chamboule son horloge interne, la notion de nuit et de jour devient un simple détail. Sa vie prend un tournant radical, mais quitter son ancienne vie et sa famille est loin d'être une chose aisée. Ce nouveau chemin de vie ne lui occulte pas ses émotions, bien au contraire. Alors, elle attendra ses dix huit ans pour faire un nouveaux choix qui va finaliser ce changement. Un matin, elle disparait une énième fois de la maison familiale, mais cette fois ci, en laissant une lettre derrière elle. Une voiture l'attend sur le trottoir d'en face, et Mia disparait pour la dernière fois aux côté de son amoureux de l'époque, un jeune homme quelques années plus vieux qu'elle, avec comme unique carrière le deal de toutes sortes de drogue. Depuis ce jours, Mia à bien grandit. Ses choix de vie l'ont conduit à devenir une femme forte et sournoise. La peur n'a depuis longtemps plus sa place. La confiance est une notion très subtile qu'elle manie avec autant de finesse que son humour cinglant et cynique. Elle a finit par trouver refuge dans un appartement en collocation avec des vielles amies, en périphérie d'une grande ville, et pour gagner de l'argent et survivre dans le nouveau monde dans lequel elle a fait le choix de s'embarquer, elle décida de devenir tatoueuse. D'abord de manière officieuse, dans ses conditions assez bancales voir dangereuses, avant de prendre le temps de se professionnaliser et passer par un cursus de formation officiel. Mais les profits n'étaient pas assez conséquents. Mia avait beau avoir grandit, son train de vie n'était qu'un boulet qu'elle trainait au quotidien. Désormais, ses addictions ne se limitait plus qu'au pétard, et ça depuis longtemps. Son visage en avait déjà commencer à faire les frais d'ailleurs, tout comme son compte en banque. Alors elle décida de s'allier à son ex petit ami, le même avec qui elle s'était enfuis quelques années auparavant, pour devenir à son tour une des branches du réseaux de drogue dans lequel elle avait mit le nez dedans depuis des années. Ce qui est sûr, c'est que devenir la seule femme dans un tel réseaux n'a fait qu'endurcir sa personnalité déjà bien trempée. Malheureusement, tout ceci n'est pas sans conséquences. Mia à perdu le goût de l'aventure et se méfie des choses qui l'entoure. Sa vie à retrouver un cadre, mais le maintenir l'épuise jour après jour. Ses démons ne la quitte plus, elle a apprit à vivre avec jour et nuit. Mia n'a jamais eu de nouvelles de sa famille depuis son départ précipité et inattendu. La fracture et le déshonneur était trop profond, les blessures engendrée surement irréversibles. Parfois, elle regrette. Mais il a très peu de place pour le regret dans un monde enfumé et distordu. Elle songe souvent à la vie qu'elle aurait mené si ses choix de vies auraient été différents, si elle avait suivi le schéma dicté par ses parents. Silencieusement, ses pensées la ronge de l'intérieur. - RP - Encore une fois, je me réveille en pleine nuit à cause de ce cauchemar. Ce cauchemar qui revient toujours, avec le même début et la même fin, celui où je vois mes parents me dire au revoir à travers un vitre qui se fissure petit à petit, leur visage suinte la tristesse et la déception. Ils ne disent pas un mot, le silence est assourdissant. Il est quatre heure, les fenêtre sont entre ouvertes et le silence qui traîne dans la rue est presque morbide. Je me sens vide de sens et d'intérêts. Après plusieurs tentatives infructueuses, impossible de me rendormir. Je me lève donc brusquement, faisant voler la couette au pied de mon lit, et me dirige jusqu'au salon, laissant le parquet grincer sous mes pieds. Mes mains frotte vigoureusement mon visage alors que mes cheveux démontre la nuit agitée que je viens de passer. Personne n'est réveillé, ou du moins le salon est libre. J'allume au passage l'interrupteur et me laisse tomber sur le canapé, mon regard se vide et je fixe le plafond face à moi. Je suis encore bouleversée par ce rêve, mes jambes tremblent, je me sens fragile et épuisée, mon cœur bat contre ma cage thoracique et une goutte de sueur perle sur mon front. Pourtant ce n'est pas la première fois que je fais ce rêve. Je n'ai pas le temps de me laisser abattre. Je me redresse donc et me frotte à nouveau le visage avant d'attraper une petit sachet d'herbe qui traîne sur ma table, je ne pourrais pas affirmer qu'il m'appartient, mais ça m'est égale j'ai besoin de fumer un joint pour me calmer et reprendre mes esprits. Je prépare donc rapidement ma longue cigarette magique et allume la télévision, persuadée que ces deux élément réussiront à me faire oublier la raison de ma présence sur ce canapé. Foutaises. une fois mon stick écrasé dans le cendrier posé sur l'accoudoir du canapé et au bout d'une heure et demi de télévision, les images de mon rêve me hantent encore. Je dirais même que ça n'a fait qu'accroitre mes ressentis. Je me sens coupable, une culpabilité lourde et indigeste. J'ai du mal à l'admettre, mais je ressent le manque de leur présence, et mes rêves en sont une belle illustration. Mon auto persuasion n'est pas assez forte pour ça et je me sens envahir par mes craintes, mes doutes, mes remords et mes regrets. Ma respiration s'accélère et mes tremblements reprennent subitement, j'ai beau fermer les yeux, le visage de mes parents est incrusté sous mes paupières et dans ma mémoire. Il ont surement dû changer, vieillir, mais comment savoir ? Mes mains se glisse dans mes cheveux pour les empoigner tandis que mon visage fait face au sol. J'ai l'impression que je vais imploser de tristesse, me faire engloutir par le trou que j'ai dans la poitrine. Je n'entend plus qu'un bruit sourd, la solitude m'enlace. Peut être fraudait il que j'en parle à quelqu'un ? Non. Je dois porter mes choix jusqu'à la ligne d'arriver. Alors je prend un grande inspiration et me redresse. Je reste assise sur ce canapé à m'abrutir devant cette télévision jusqu'à ce que le soleil ce lève, l'appétit n'est même pas au rendez vous. Le soleil glisse entre les volets et la fenêtre, les filles vont finir par se réveiller elles aussi. Je finis par quitter ce canapé pour passer ma tête à travers la fenêtre. Le froid de dehors glisse doucement contre la peau de mon visage et de mes bras découverts,  j'observe les quelques rares personnes déjà réveillée qui traînent dans la rue. Ceux qui rentrent en titubant, ceux qui sont déjà prêt pour une journée de 10h de travail. Je commence à penser à tout et rien à la fois, ça y est je me sens mieux, les tumultes sont passés. Je ferme les yeux et soupire légèrement afin de profiter de ces quelques instant de sérénité jusqu'à ce que je sois coupée par le bruit de mon interphone qui sonne. Je soupire, excédée, puis lève les yeux au ciel. À croire que le destin joue avec moi et aime se foutre de ma gueule. Je me dirige donc vers l'interphone, non sans être blasée, et décroche. Mon premier client et matinal aujourd'hui. je pars chercher sa commande et enfiler un pantalon le temps pour lui de monter les escaliers. J'entre ouvre prudemment ma porte d'entrée pour faire la transaction, encore débraillé de mes péripéties de cette nuit. Je laisse mon client au dents rongées repartir avec son gramme de bonheur artificiel, et je retourne à la fenêtre, pour reprendre là où j'en étais dans ma réflexion.
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utopiamydri · 6 years ago
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premier décembre
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Si nous avions été dans un de mes rêves, sais tu ce qu’il se serait passer ?
Nos deux être n’aurait eu besoin d’aucune compagnie. Seuls et sans impératifs, je t’imagine enfin rien que pour moi. Je nous imagine dans un lieu quelques peu confiné, éclairé et spacieux. Quelques éléments de mobilier classiques et sans prétentions ferait office de garniture, tandis que la chaleur et la vie dans cette endroit serait impulsée par la tension palpable entre ton corps et le miens. Je t’imagine à la fois dans une posture silencieuse et quelque peu troublée, est ce une bonne idée, dois-je vraiment le faire ? Un silence dense dans lequel mon désir se serait déjà confondu. Je ne pourrais expliquer ce qui me motive, ce qui me fait sentir ce que je sens, ces vagues qui apparaissent dès que je me rappelle que toi aussi, tu es dans cette pièce. Les autres, le contexte, les règles, la morale, les codes, ce que je suis, tout nous séparent drastiquement de ce fantasme. Alors je continue de nous imaginer, toujours dans ce silence qui réveille des partie sauvages et profondes de ma personnalité. Avec toi j’aimerais les faire exploser, les faire vivre, les laisser prendre le dessus, j’en meurs d’envie. J’aimerais que tu sois dans le même esprit que moi et que lorsque la prochaine fois que  j’entendrais ta voix ou apercevrais la fumée du pétard s’échapper de ton sourire, les autres disparaissent, nos histoires disparaissent, qu’il ne reste que nos deux être sans contexte près à laisser leurs démons les plus embrasés prendre le dessus. J’aimerais sentir autant de tension en toi, savoir que tu peine à contrôler toutes ces pulsions qui viennent animées tes pensées, j’aimerais te voir en face de moi, frêle face à ce désir si puissant de me plaquer contre n’importe quoi.
Je t’imagine perdre pied comme j’aimerais le faire, agrippe moi les joues, plaque moi contre le mur, agrippe moi les fesses, embrasse moi sans retenue dans un mélange sauvage et langoureux. Je veux sentir mon désir exploser dans chacun de mes membres qui ne demandent qu’à être à ta mercie. Je ne te parlerais pas d’amour, je veux seulement que tu rassasie cet appétit que je m'efforce d’ignorer. Colle tes vêtement contre les miens, laisse moi la chance de pouvoir glisser mes mains froides sous ces derniers. Laisse à mes mains la chance de découvrir ce qu’il se cache derrière ces couleurs et ces matières : c’est ta peau que je veux.  Ne t’arrête jamais d’embrasser mes lèvres ou bien ma peau, adopte un comportement aussi doux que ton visage, fais moi ressentir autant de sensualité de j’en ai à offrir. J’attraperais tes cheveux épais en bataille, je laisserais mon corps à tes désirs : fais ce que tu veux de moi. Il n’y a personne pour nous voir, nous entendre, nous juger. Oublions le contexte, oublions qui nous sommes, faisons face à nos besoin primaire, prend moi sur ce sur meuble ou porte moi ou bon te semble, mais je t’en supplie fais quelque chose de moi. Je t’embrasserais des heures entières juste pour pouvoir étoffer cette panoplie de sentiments, je n’aurais jamais assez envie de toi pour en être satisfaite. Retire moi mon tee shirt, je t’en pris fais ce que tu veux de ce que trouvera en dessous. Laisse moi retirer le tiens et sentir mon bas ventre se mettre à pétiller à la vue de cette silhouette. Caresse moi, découvre moi, désir moi, embrasse moi, joue avec moi. Embrasse moi encore, ne retire jamais tes mains de ma peau qui n’a jamais été aussi chaude. Restons silencieux, je ne veux qu’entendre ton souffle plus bavard que ton corps. Personne ne doit savoir, cela doit rester entre nous. Ecoute mon corps, il se crispe au moindre de tes mouvements, il te veut. Je t’imagine perdre pied comme jamais cela ne t’ai arriver. Le dos contre ce mur j’imagine tes lèvres quitter les miennes et profiter de cette instant pour me regarder dans les yeux. Le consentement est là, nous voulons la même chose. Je serais à toi jusqu’à ce que nous ayons fini de combler nos besoins charnelles. Je t’imagine attraper mes hanches et venir déposer tes lèvres sur mon ventre avec hargne. Les yeux fermer je me laisserais m’évader, il n’y a plus d’avant ni d’après, il n’y a que ce qui se passe maintenant. J’imagine nos désir s’imprégner l’un de l’autre jusqu’à ce que nous arrivions à l’apogée de l'excitation. J’ai envie de toi, j’ai envie que tu prenne ton pied comme jamais auparavant. Alors je t’en supplie retire moi mon pantalon, caresse moi, découvre moi. Et puis embrasse moi, porte moi, serre moi, je veux sentir ta peau contre la mienne, je veux m’enivrer de ton odeur, je veux veux sentir ta libido exploser à l’idée de me prendre sur ce lit ou sur cette commode.
Assise dans mon fauteuil de rĂŞverais de te retirer ce tee shirt.
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