wartinet

[wartinet]

Des mots traversant dans des salles ouvertes, me font vibrer les tympans si mélodieusement. Des langues jamais nouées, toujours courantes.

Il est facile de voyager dans ces endroits sans se sédentariser. Une étape sur le chemin du nomade qui souvent se perd par peur de rester.

Il aime quand il apparait mais aussi quand il disparait ; Recommencer avec la capacité d'oublier, en terminer par l'incapacité à se dévoiler.

Ainsi sous ses airs de vaillant qui navigue à vue, il lui arrive souvent, que de la détresse naisse et qu'il n'ose des SOS.

Son coeur, pourtant omnipotent ; Son entourage, valorisant ses courages ; Il n'y croit pas. Alors il reste seul, le soi en soucis, se pardonnant dans son émoi mal aimant.

En fait il aime ça ; se retrouver dans ces endroits - afin d'écrire le débat - entre son lui mort, et son lui d'aujourd'hui ; Dans l'espoir que celui du futur comprenne la vacuité de chacune de ses pensées.

Peut être pourrait il faire comme ceux, qui dans ce restaurant, sont heureux d'être, et en parle sans l'évoquer, dans l'expression la plus simple en soi, celle de la foi.

La foi libère du poids de l'existence et en ce moment, je cherche encore une fois, la mienne.

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C'est ici le mont Blanc ?

Enfaite c'est juste une image ?

Je me représente une légende ancienne !

L'ascension vers les cieux, tant cité dans les romans.

Aujourd'hui, j'y suis. Insolite soit ma présence ici.

Comme une vérité observé, sans même savoir qu'elle existe.

J'ai déjà gravit beaucoup de cols dans cette vie.

Mais celui ci est spécialement joli.

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La fleur est un de ces délices.

Qu'offre un coeur qui n'a plus de malice.

Comme un calice sans corolle,

c'est autant réel qu'un corps sans tête.

Où la séparation entre l'âme et l'être se perd ; dans la conviction facile, de celui qui se fossoie pour se fuir.

Avide il foisonne avec des terrassements... Cupide il moissonne et impétueusement se vend. Grains et sons, jusqu'à en perdre la raison. Dans sa maison, il tourne en rond, se dit non. Il s'arrête à la mi saison, se fait le dos rond.

La fin est un de ces débuts,

Qu'offre un moeurs tenté à corps perdu.

Comme se mettre nu, sans s'être vu le faire.

C'est d'autant plus vrai au moment survenu.

Redouté car révélateur ; Attendu car libérateur.

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Hériter d'une action, donner le change ; sans mâcher ses maux.

Maitriser les estompes et diffusant des senteurs. Un imaginaire à proximité, une porte à ouvrir et la suite est à venir avant demain.

Titubant, funambule des pentes, il arrive de glisser.

Mais en plongeant dans le connu, sans surprise - ce bêtisier est mal connu. Conçu pour nous, il nous consume en nous déterminant.

Un multivers dans ce bar géant, pour une danse avec les génies. Vivant de la terre en ironie ; ni plus ni moins tyrannisante d'amour.

Ils et Elles transcendent les esprits et se parlent dans les écrits.

Il faut lire pour être aimé.

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Des gens anodins ; Aux destins communs.

Pourquoi eux ; Pourquoi deux.

Loin de chez eux. Pour ceux qui ont de l'électricité chez eux.

Chacun à sa place pour le bien de tous et oui ; Utile chacun l'est ; Mais l'on se souvient de qui à la fin. De peu et pourtant ils ont été tant à faire que ce monde soit grand.

Tous ces gens trop gentils qui ont vendu leur vie en espérant la rendre meilleure ; Restent sur la digue à regarder ceux qui, libres sont parti, et ne reviendront guerre.

L'aliénation est l'allié de la nation.

Qu'elle aille se faire foutre.

Nihilisme

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Evidence de la signature des hasards ; Quand je me rapproche de la loi général. Une approche de moins en moins brève les années passant.

On se balade, dans le monde malade. On trouve moult façon de quérir ses dernières beautés. Seuls et téméraires, le chemin n'est pas sans embuches. On fraie les vieux chemins pour rencontrer les anciennes jouissances.

Farouche, on recherche et l'on s'approche des dernières couches de la peau du temps perdu. Celui que l'on rattrape.

Tout chouss

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Entré dans la sphère de ceux qui sont exclus ; Je me repère grâce à mon sens ex nihilo...

J'entends les cloches et je sais qu'à présent les gens rencontrés sont prisés.

Endroits insolite, loin de la masse insolente. Ils génèrent l'absolue et permettent la dissolution de solides habitudes.

Des fois il y aura feu et véhémence lors des tempêtes ; mais les dieux sont bons même quand il s'emporte.

Oui,

Seul ou soul j'écris des idées et des conneries ; des conneries d'idées ou l'inverse en rire.

Amour pour les enchainement de mots assemblés naïvement pour en connaitre le raisonnement.

Comme celui ci d'ailleurs ; et celui la d'ici.

Parole en l'air pour de l'écriture en vers...

L'inverse n'est pas versatile.

L'inverse est Aveyronnais / La bas un roi est né.

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Passage obstrué dans impasse rétrécissante.

Ouverture de la brèche mais où s’immiscer.

Choisir entre les clapiers, les trous à rats.

Se repentir sera toujours le choix oui jour venu.

Liberté n’est plus commode dans les menus nouveaux :

On la commande, elle t’emmerde, pauvre d’eux, riche de nous. Evite les deux ; que pense Richelieu. Le risque à ne pas prendre est de le prendre au risque de prendre prou ou tout perdre. Comme tous les mous à genoux il y a en ce moment peu de goût autour. Sorte de constat de mous sur des visages à roues de carrosse sans parallélismes.

Et ceux qui joignent les deux bouts en tirant sur la corde du réel s’épuisent à la tache et ne réalise même plus avoir perdu leur combat.

Reste au milieu.

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La transpiration est cependant indispensable à la plante. Le déficit d'eau qui se crée au niveau des feuilles est en effet le moteur de la circulation de l'eau dans la plante. L'eau perdue par transpiration au niveau des feuilles engendre une dépression jusque dans les racines qui pompent alors l'eau dans le sol : cette eau monte par aspiration, via les vaisseaux, des racines jusqu'aux feuilles, entraînant avec elle des nutriments dissous puisés dans le sol. 

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Du brouillard et de la fumée,                                                                               

Du fond se diffuse l’amour,                                                                                     

La senteur se fabrique et se hume,                                                                               

C’est la sensation des premiers jours.

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Avoir se que l’on souhaite est une question d’état. Atteindre la contrainte et feindre le positif. Souffler fort à autrui la solution et là, aménager les paysages, traverser les gros nuages et se ménager les gymnastiques névralgiques. S’affranchir les changements, partager généreusement les avantages même en temps de foutage de gueule. Murir ou mourir, sourire ou souffrir.

[wartinet]

(via https://open.spotify.com/track/50QT2lfZzutDHZl5pBmGc0?si=XyED_EZgTD6V2qSH5eFajQ)

Feel life with this song ! 

Feel love with charity ! Love human being even when human being do not love himself. Keep the power of love and the love of power will disappear. All come with humility when things are heavy. 

 All is possible when positivity is the answer. 

[wartinet]

Fraicheur au matin, clarifie mon esprit. 

Sors de la dimension onirique comme un avion qui atterrit sans problème technique.

La journée sera à sens unique. 

L’important n’est pas la direction mais le sens donné à l’impulsion.

[wartinet]

Nous sommes au départ de quelque chose qui nous dépasse. Notre planète se meurt. Quand les écosystèmes s’effondrent, certains s’occupent à définir des objectifs de relance économique à la con.

[wartinet]

Objectivement les choses vont comme elles sont, instables et imprévisibles, minable ou respectable, futile et docile ou utile et mobile. c’est un flux, un mix, mélange d’évènement vainement arrivé.

Subjectivement les choses vont comme elles doivent aller, démontrable et vraisemblable, méprisable ou reconnaissable, inutile et débile ou belle et modèle.

C’est une nature complexe pleine de connexion, une pluralité surement riche, une humilité, dans la simplicité.

C’est une assise visant l’ascèse, une unité, une singularité non sans vanité, non sans médiocrité.

[wartinet]

Je convulse de vie quand elle est généreuse, même malheureuse. 

Chaque journée est un nouveau départ, une nouvelle chance pour mener à bien ce pour quoi nous sommes réveillés chaque matin.

La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible qu’il faut réussir à transcender afin d’en percer le mystère et voir en son travers un nouveau monde disponible comme décrit dans la bible ou non.

[wartinet]

Le paysage de ma vie,

Me montre des envies de couleur vive et vivante, 

De musique douce et envoutante, de forme belle et amusante. 

Une vue imprenable sur un océan calme et pacifique, 

une vie impeccable sur une terre tragique et magique.