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Exploration IRM
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Exploration IRM
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 Exploration IRM 
1. Accueil Du Patient D’Un Examen IRM
IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE 
Comme d’autres explorations d’imagerie, l’examen d’IRM est souvent impressionnant pour le patient, d’autant plus que ce dernier sera positionné dans un tunnel dans une langueur non négligeable (même si les tunnels actuels sont de plus en plus courts). 
Pour que l’exploration se déroule dans de bonnes conditions,  quelques précautions s’imposent.
Tout d’abord informer rassurer : des explications concernant le déroulement de l’examen et le fonctionnement de l’appareil faciliterons la coopération ultérieur du patient durant les séquences et donc son immobilité cette aspect psychologique de la prise en charge du patient n’est jamais à négliger, surtout chez ceux qui sont anxieux ou chez les patients se disant claustrophobes.
Une affiche installée en salle d’attente, ou éventuellement une vidéo fonctionnant en boucle permet de lui fournir les explications concernant le déroulement de l’examen d’IRM 
Les personnes qui le désire peuvent se faire accompagner durant l’examen ‘ en particulier les enfants), à condition de respecter pour elles memes précaution d’usage.
Faire retirer au patient préjudiciables à la qualité de l’exploration ou pouvant etre attirés par l’aimant (effet missile des objets ferromagnétiques :clés, pièce de monnaie, pinces à cheveux…).   
Faire retirer les objets risquant d’etre endommagés (montres, carte magnétique….).
Le déshabillage complet du patient n’est pas une nécessité absolue si tous les objets précités ont été retirés.
Cas des personnes hospitalisées, elles nécessitent quelques précautions supplémentaires : éliminent les chemises d’hopitale avec des boutons pressions, les électrodes ECG non spécifique à l’IRM, les seringues électriques, les paniers à perfusion métalliques.
2. Contre Indications D’IRM 
Contre indications absolue 
Le stimulateur cardiaque : son fonctionnement peut en effet etre perturbé par un champ magnétique.
Contre indications relatives
Les implantes métalliques plus ou moins ferromagnétique 
Certains types de clipes  chirurgicaux peuvent se déplacer lorsqu’ils sont situés dans les structures molles 
Les corps étragers métalliques (balles, éclats métalliques)
Les trois premiers mois de la grossesse : les effets des divers éléments physiques mise en œuvre en IRM n’étant pas encore bien connus
Autres  
La claustrophobie (rare) contre-indique l’exploration.
Les agents de contrastes (gadolinium) nécessitent les mêmes précautions que les produits iodés.
3. Instalation Et Centrage D’Un Examen IRM
l’installation du patient se fait selon des protocoles préétablis :
Positionnement  Et Choix De L’Antenne 
Selon la région ou l’organe exploré. Le décubitus dorsal est la position la plus  fréquente .pour les explorations abdominales ou pelviennes, le decubitus ventral peut etre tenté chez les patients claustrophobes
Pour l’étude des membres inférieures, le patient peut etreplcé les pieds vers le tunnel.
Le choix de l’antenne répond à des protocoles précis, en tenant compte de la morphologie du patient et de la région à visualiser.
D’une manière générale, on choisira l’antenne en fonction  du volume étudié en essayant d’obtenir un bon facteur de remplissage ; il s’agit du rapport entre le volume totale de l’antenne et le volume placé dans l’antenne. 
En effet le signale utile ne provient que de la région explorée mais le bruit provient de l’ensemble de volume placé dans l’antenne.
Exemple : un genou exploré dans l’antenne corps conduira à un mauvais facteur de remplissage (ou d’une baisse du rapport s/b).
4. Confort Et Contention 
Le respect de ces deux éléments permet d’assurer l’immobilité du patient et par conséquent la réduction des artéfacts de mouvement.
Le confort peut etre assuré à l’aide de coussins adaptés (sous le genoux) ou de cales en mousse.
Les antennes peuvent etre placé dans des coussins adaptés.
On peut proposer des protecteurs contre le bruit, voire des  écouteurs pour diffuser de la musique.
La contention est assuré à l’aide de sangles, bandes de velcro… dans certains cas la contention permet de maintenir  une position indispensable à l’exploration (membre inférieurs en rotation interne pour l’exploration des hanches par exemple. 
5. IRM Du Genou
IRM est : imagerie par résonance magnétique du genou est l'IRM articulaire la plus demandée, la fréquence de la pathologie traumatique, sa performance de près de 95% de sensibilité et sa spécificité pour l'étude de la pathologie méniscoligamentaire par un examen non invasif explique son succès 
    Indications
Les pathologies des ménisques comme les déchirures.
Les pathologies des tendons (tendon quadricipital, rotulien) comme les inflammations (tendinites) ou les ruptures.
Des lésions osseuses comme des lésions ostéo-sous-chondrales ou des nécroses.
Les pathologies des muscles
Recherche/évaluation des tumeurs et d'autres masses de tissus mous. 
    Limitations et contre-indications
Il n'est pas toujours et parfois  possible d'effectuer et pratiquer une IRM 
Absence de coopération du patient: les mouvements dégradent la qualité de l'examen
Claustrophobie
Présence de contre indications  certains stimulateurs, clips et pompes
La présence de matériel prothétique peut créer des artefacts dans la zone étudiée et réduire la qualité de l'interprétation. 
    Technique 
Il est difficile de proposer un protocole unique, les machines, les séquences et les habitudes de chacun étant extrêmement variées
Nous ne préciserons dans ce cours que les principes fondamentaux et nous proposons de protocoles d’examen le plus couramment utilisé dans les service d’exploration IRM
L’utilisation d’antennes de surface adaptées est indispensables
Les antennes de surface circonférentielles monomembre sont tés performantes permettant de diminuer le champs de vue, d’augmenter le rapport signale/bruit et la résolution spatiale 
    Position du patient
Le patient est allongé en décubitus dorsa
Le genou est placé dans l’antenne, en rotation externe de 5-10° pour le confort du patient ainsi que pour sagittaliser le ligament croisé antérieur,
Des cales évitent les mouvements.
    Paramètres d’acquisitions
les séquences doivent être adaptées à:
 la nature De la lésion recherchée, 
 Aux possibilités de la machines 
 Et la nécessitée de ne pas avoir des temps d’examen trop longs 
Quelques principes peuvent cependant être dégagés 
- Le champ de vue (FOV) est réduit à 14 à 16 cm;
- Les coupes doivent être les plus fines possibles (généralement entre 3et 5 mm), 
- pour éviter les artéfacts de volume partiel avec des distances inter-coupes aussi réduite que possible;
La nécessité d’avoir deux plans de coupes:
-  sagittale et coronale, pour l’étude des ménisques et des ligaments croisés;
- sagittale et axial pour l’étude de l’articulation fémuro-patillaire;
Si l’étude des ligaments croisés antérieur (LCA) par des acquisitions standards est insuffisante, on peut s’aider de coupes fines et obliques dans l’axe du (LCA)
Si l’étude des ligaments croisé postérieur  (LCP) demeure douteuse, on réalisera des coupes sagittales à 30° de flexion position dans laquelle le LCP est est tendu et en présente plus les artéfacts liés à  son angulation fines et obliques dans l’axe du (LCA)
La densité de proton est la séquence qui semble faire  l’unanimité pour l’étude des ménisques, mais certains lui couplent de la supression de graisse.
Par contre, effectuer cette séquence en écho de gradient fait chuter le sensibilité aux alentours de 80 %.
L’injection de gadolinium n’est pas nécessaire pour l’étude de la pathologie traumatique courante:
La séquence pondérées en T2 et effaçant le signal de la graisse sont utiles pour la détection des œdèmes et épanchements ( séquence en inversion-récupéaration STIR ou T2 FAT SAT) et permettant la distinction de la graisse et des liquides notamment à la base des ménisques
 L’arhro-IRM n’a pas de place en routine mais peut être envisagée après réparation méniscale.
L'utilisation de séquences T1 dans la grande majorité des cas ne fournit pas d'information et n'est préférable que dans l'imagerie par résonance arthro-magnétique. 
Dans ce cas, il est possible d'aider à la saturation des graisses pour augmenter le contraste. 
6. IRM DE LA HANCHE
INTRODUCTION
L’IRM est un outil actuellement indispensable pour étudier l’articulation coxo-fémorale et son environnement
INDICATIONS:
L’antenne utilisée:
L’antenne est classiquement de type torso-phasedarry. D’autre antennes plus (dédiées) peuvent être utilisées en fonction  de la morphologie du patient ou de la structure à étudier (labrum, par exemple); elles sont souvent constructeurs dépondant.
TECHNIQUE:
Position et installation du patient:
* Le patient est installé en décubitus dorsal
* Ses membres inferieurs sont en extension et en rotation interne modérée de façon à horizontaliser les cols  fémoraux,
TECHNIQUE 
Le centrage: On se centre
* en hauteur sur la symphyse pubienne dans le plan axial;
* Sur le milieu du coté de la cuisse dans le plan frontal 
* Sur la ligne médiane dans le plan sagittal 
Si une antenne de surface doit être utilisée, une seule hanche est alors étudiée, le patient étant parfois en décubitus latéral le coté à explorer au contact de l’antenne
Paramètres et séquences d’acquisitions:
Pour l’orientation des séquences, c’est le plan coronal qui est le plus fréquemment utilisé. 
Il permet de façon comparative d’étudier à la fois les articulations mais aussi les os (fémur, bassin) et certain parties molles périphériques (muscles, nerfs et bourses).
Les coupes axiales sont utiles pour l’étude anatomique  et nous retiendrons qu’en IRM ostéo-articulaire, il faut toujours avoir une séquence perpendiculaire au grand axe du membre étudié.
Enfin le plan sagittal souvent complémentaire permettra d’apprécier  un volume 
( ostéonécrose, tumeur) 
L’injection de produit de contraste:
L’injection de gadolinium sera réalisée à la recherche d’une synovite, de la quantification d’une tumeur ou d’un fragment d’ostéo-nécrose
Séquences d’acquitions:
Le type de séquence dépond bien sur du type de pathologie envisagée:
Spin Echo (SE) T1 et T2 sont quasi systématiques 
L’injection de gadolinium sera nécessaire dans les cas suivants:
* recherche d’une synovite 
* de la quantification d’une tumeur ou d’un fragment d’ostéonécrose.
Dans les autres cas une séquence sensible à l’inflammation devra systématiquement compléter l’examen (T2 premier ou deuxième écho avec saturation de graisse, séquence en inversion  récupération).
On conseille de réaliser ce dernier type de séquence en début d’examen afin de localiser la zone pathologique et de cibler la suite de l’exploration 
Un champ de vue d’environ 40à 50 cm est utilisé.
Le choix de l’épaisseur, du nombre de coupes, de l’intervalle entre  les coupes, de la matrice et les paramètres d’acquisition dépend des performances de la machine et de la pathologie explorée
Le plus souvent, les coupes ont 4 mm d’épaisseur.
L’espace inter coupe peut être diminué pour une étude plus fine ( par exemple, coupe de 4mm tous les 0,4mm sur le labrum) 
Le développement des techniques d’imagerie rapide autorise aujourd’hui, sur certain appareils, la réalisation d’acquisition en 3 dimensions dont le principe est le recueil des données en un temps pour l’ensemble de volume exploré.
Ces techniques permettent d’obtenir non seulement des coupes tres fines ( jusqu’à 1mm ) mais aussi une reconstruction des images dans tous les plans de l’espace à partir d’une seul acquisition
7. IRM DE L’EPAULE
INTRODUCTION:
L’imagerie de l’épaule à subi de profonds bouleversement depuis quelques années. Si la radiographie standard complètent habituellement l’examen clinque. 
Si l’arthro-scanner et l’échographie garde les indications indiscutables, l’IRM se révèle être un examen de choix pour l’étude de nombreuses  pathologies, par l’apport des coupes multi planaires et sa haute différenciation tissulaire.
TECHNIQUE
L’antenne utilisée:
L’utilisation d’une antenne de surface adaptée permet aujourd’hui l’obtention d’une excellentes résolution spatiale.
Position du patient:
La plus part des exploration s’effectuent sur un patient en décubitus dorsal;
Bras placés le long du corps en rotation intermédiaire ou en léger rotation externe  
Les plans d’acquisition:
Les trois plans habituellement étudiés sont les suivants:
*plan coronal oblique ( coupes parallèles a grand axe du muscle supra-épineux);
* plan sagittal oblique ( coupes perpendiculaire à l’axe principal de muscle supra-épineux);
* plan axial transverse ( coupes étagées de l’acromion jusqu’à la partie inferieure de l’articulation scapulo-humérale). 
* L’épaisseur de coupes est de 3 à 4 mm avec un champ de vue de 12 à 14 cm
Protocole d’examen:
La réalisation d’une IRM de l’épaule nécessite un protocole rigoureux.
Plusieurs types d’acquisition sont réalisés utilisant des séquences en T1 et T2  
* les séquences pondérées T1 permettent une excellente étude anatomique.
* tandis que les séquences pondérées en T2 privilégient la caractérisation des lésions tendineuses et la recherche d’épanchements intra-cavitaire.
Les séquences avec saturation de la graisse (FAT SAT) ou en inversion récupération (STIR) facilitent la détection des lésions tendineuses ou d’autre anomalies car elles renforcent le contraste entre les lésions et les tissus normaux et diminuent aussi les artéfacts de déplacement chimique.
Les séquences en écho de gradient  fournissent une bonne étude anatomique et ceci de façon rapide.
les séquences en écho de spin conventionnelles restent pour de nombreux auteurs les meilleurs mais leur durée excessive peut nuire à la qualité de l’examen, d’où le recoure de plus en plus fréquent à des techniques en écho de spin rapide pour les séquence T2.
De plus de anouvelles séquences d’acquisition ultra rapide permettent d’envisager à courte terme la réalisation d’examen à la fois morphologiques et dynamiques  
Produit de contraste:
L’injection intra veineuse de gadolinium n’est pas la règle mais peut dans certains cas, améliorer de façon notable la visualisation des lésion surtout pour les séquence T1 en suppression de graisse 
Plusieurs études ont mis l’accent sur l’intérêt de l’arthro-IRM avec séquences T2 après l’injection intra-articulaire de sérum physiologique isotonique ou meme de produit de contraste iodé.
L’arthro-IRM directe par injection intra-articulaire de gadolinium dilué.
Plusieurs auteurs proposent même la réalisation systématique d’arthro-IRM directes dans beaucoup d’indications comme par exemple l’exploration des instabilités.
Plusieurs auteurs proposent même la réalisation systématique d’arthro-IRM directes dans beaucoup d’indications comme par exemple l’exploration des instabilités.
8. IRM DE RACHIS
C est une Exploration radiologiue avec un irm  de la moelle épinière ou bien la moelle spinale : IRM
Introduction
Le but de l’IRM de la moelle spinale est d’identifier une lésion compressive, expansive, inflammatoire ou vasculaire devant l’apparition d’un syndrome médullaire d’évolution aiguë
ou chronique.
Technique
Préparation
Voie veineuse périphérique si nécessaire.
S’assurer de l’absence de contre-indication à l’IRM et à l’injection de gadolinium.
Positionnement du patient
Les antennes employées dépondent essentiellement de la longueur du segment exploré  
Antenne rachis en réseau phasé.
Antenne rachis cervical en réseau phasé si IRM cervicale uniquement.
Séquences de base
        Topogramme axial, coronal et sagittal.
T1 SE / SE rapide sagittal : épaisseur de coupe 3 à 4 mm ; 
champ de vue 280 à 420 mm ;
matrice 512. 
Une exploration de bonne qualité de la moelle spinale peut nécessiter une étude en 2 temps, voire en 3 temps en fonction de l’équipement.
T2 SE rapide sagittal : champ de vue, positionnement, épaisseur et intervalle entre les coupes strictement identiques au T1 ; matrice 512 
9. IRM CEREBRALE
Technique
Préparation 
Pas d'injection systématique de gadolinium. 
Veiller à ce qu'il n'y ait pas de contre-indications pour le positionnement du patient par imagerie par résonance magnétique 
Émetteur-récepteur multicanal ou antenne de tête de réseau de phase Séquences basiques 
Topogramme axial, coronal et sagittal.
T1 SE sagittal : 
Epaisseur de coupe 4-5 mm ; 
Champ de vision 220 à 240 mm
T2 SE axial rapide dans le plan CA-CP : 
Epaisseur de coupe 4-5 mm ; 
Champ de vision : 20 à 22 cm 
FLAIR axial : Coupes identiques à T2
→ IRM normale : Stop
→ Quand IRM pathologique : Un examen doit être effectué pour détecter les anomalies. Séquences optionnelles 
FLAIR ou T2 SE rapides coralement perpendiculaires au plan CA-CP (Figure 2) :
* Épaisseur de coupe 4-5 mm ; 
* Champ de vision 200 à 220 mm ; compensation d'écoulement en T2. 
Certains incluent des images de diffusion dans ces séquences de base, en particulier parce que la symptomatologie aiguë est présente. 
Les paramètres suivants peuvent être utilisés : 
Epaisseur de coupe 3-5 mm ; 
Champ de vision de 200 à 220 mm. 
Il est recommandé d'effectuer des poids FLAIR et T2 dans le même plan. 
L'IRM cérébrale ne doit jamais être basée sur l'utilisation exclusive de T2 ou FLAIR. 
Le contraste du tissu diminue avec l'étendue de l'écho. 
Évaluation d'une tumeur cérébrale : IRM
Le but de l'IRM est de confirmer la présence d'un processus tumoral, inflammatoire, vasculaire ou malformatif avant des anomalies endocriniennes, visuelles, oculomotrices ou des signes d'hypertension intracrânienne. 
TECHNIQUE
Voie veineuse périphérique. 
Veiller à ce qu'il n'y ait pas de contre-indications pour l'IRM et les paramètres d'injection de gadolinium 
Injection généralement lente de 0,1 mmol/kg (possibilité d'utiliser la demi-dose pour les macroadénomes) positionnement du patient 
Réseau de phase multicanale ou antenne de tête d'émetteur-récepteur. Les séquences varient en fonction de la pathologie prévue. Microadénome hypophysaire de base 
 Topogramme axial, coronaire et sagittal.
T1 SE sagittal haute résolution : 
Epaisseur de coupe 2-3 mm ; 
Champ de vision 220-250 mm ; 
Matrice 512. 
T1 SE coronale : 
Epaisseur de coupe 2-3 mm ; 
Champ de vision de 200 à 220 mm ; 
Filière 512. Etude du microadénome des séquences de base de l'hypophyse 
T2 SE résolution coronale rapide : 
Identique à T1 ; 
Compensation d'écoulement ; 
Matrice 512.
Sagitalité T1 SE à haute résolution après injection de gadolinium, avec saturation des graisses avec Sagittal T1 sans injection exactement identique (Fig. 1). 
Séquences de recherche fondamentale du microadénome hypophysaire à haute résolution coronaire 
T1 SE après injection de gadolinium, où la saturation des graisses est exactement identique à la T1 coronale sans injection. 
10. IRM MAMMAIRE
PRÉPARATION 
Absence de contre-indications à l'imagerie par résonance magnétique (fabricant Pace, corps étranger intraoculaire, 3 premiers mois de grossesse) et injection de gadolinium 
Idéalement diplômé dans la première partie du cycle, 
Post-traitement : 
*6 mois après opération* délai 1 an après 1 an de rayonnement thérapie, 
Communication de traitement clinique et chirurgical. 
Dossiers radiologiques complets ++++ 
PROTOCOL
* T1 EC Tracing séquence
* Sections axiales comparées ≤ 4 mm d'épaisseur dans SPT1 EG tous les 0,4 mm avant gadolinium* Séquences sans épaisseur d'injection GADO ≤ 4 mm T1 
Séquence pondérée T2 
Séquence pondérée 416* 416 
Épaisseur de coupe 03 mm 
* Séquence avec GADO injection : 
Epaisseur de coupe : 02 mm
Iinjecter gadolinium (0,2 ml/kg = 0,1 mmol/kg) Andrealisation : 
* 3D série dynamique T1 Fat-Sat écho gradient (séquence de détection longue, répétée 6 fois, matrice élevée, durée 10-11 minutes) 
* Retard prend 6 minutes après l'injection. réduit la saturation des graisses SPT2 si elle est nécessaire intérêt pour la séquence pondérée T1 
Recherche d'anomalies qui se produisent dans l'hypersignalt1 
Contingent gras (cystéatonécrose) -contenu sanguin (hématome) -riche en protéines (certains kystes et ectasie galactopique)
Recherche de masse 
Hypossignal T1 
Visualisé par l'interface avec la graisse +++ 
Cette séquence ne doit pas à première vue avec suppression du signal adipeux (cystéonécrose, mesure) valeur de la séquence pondérée T2 
Recherche d'anomalies dans l'hypersignalt2 
Kystes -certains fibroadénomes
Recherche de masse 
Hyposignal T2 -Visualisé grâce au contraste grais/tissu de la glande conjonctive 
+++ Cette séquence ne doit pas être effectuée au début coup d'œil avec suppression de la graisse (masse) IN RSUME 
Les séquences pondérées T1 et T2 permettent ፦examen morphologique du sein. Caractérisation tissulaire d'une lésion. 
+++ Ils sont effectués de préférence sans suppression du signal adipeux. En résumé, les séquences injectées (dynamiques) permettent 
Recherche d'un contraste 
Dont l'analyse (morphologique et dynamique) permet d'obtenir des arguments en faveur de la gentillesse ou de la malignité de la lésion. 
+++ matrice élevée, épaisseur de coupe ≤ 4 mm, pixel
Recherche d'implant mammaire 
Séquence T2 « silicone spécial » 
Aucune injection de gadolinium pour la recherche de rupture prothétique 
11. BILI-IRM
INDICATIONS
1.Détection et/ou caractérisation d’une lesion hépatique unique ou multiples :
* nodule indéterminé, 
* Carcinome Hépato Cellulaire (CHC),
* kyste, 
* angiome,  
* Hyperplasie Nodulaire focale (HNF) etc
Completer la lecture dans le pdf ...
12. IRM FŒTALES
Depuis l'apparition de l'IRM fœtale dans les années 1980, l'IRM est devenue la technique complémentaire à l'échographie anténatale en apportant des renseignements morphologiques importants du fœtus. 
Jusqu'à ce jour, aucun effet nocif pour le fœtus n'a été démontré, mais, par prudence, on évite de réaliser cet examen au cours du premier trimestre de la grossesse ; d'ailleurs, la mobilité excessive et la petite taille du fœtus ne permettraient pas d'obtenir des images interprétables.
L'IRM fœtale exploration de première intention. 
Elle est pratiquement toujours orientée et décidée suite à une exploration échographique anténatale anormale, douteuse, voire difficile. ... --> LE PDF
13. IRM cérébro-spinale fœtale 
Quand une anomalie cérébrale est détectée à l'échographie, il est souhaitable de réaliser une IRM cérébrale du fœtus en recherchant d'autres anomalies associées qui ne seraient pas visibles à l'échographie. 
Il en est de même lorsqu'il existe un risque d'atteinte cérébrale du fœtus et que l'échographie est normale. ... VOIRE LE PDF 
14. IRM urinaire
Parmi les malformations fœtales, les anomalies de l'appareil urinaire sont les plus fréquentes (entre 14 à 50% de l'ensemble des malformations anténatales détectées). 
Si l'échographie est un excellent moyen de dépistage, l'IRM peut aider à la compréhension des cas compliqués. ... VOIRE LE PDF
15. IRM du tube digestif
Les diagnostics échographiques des pathologies du tube digestif sont limités, 
les dilatations des anses intestinales peuvent être le témoin de diverses affections que l'échographie ne peut guère préciser. ... VOIRE LE PDF
16. ANGIO- IRM
Définition:
L’angiographie par résonnance magnétique est une technique non invasive des vaisseaux tel que le tronc supra aortique, l’aorte thoraco-abdominal, et les vaisseaux des membres inférieures, en injectant de gadolinium.
ANGIO-IRM CEREBRALE
TECHNIQUE:
ARM sans injection de produit de contraste:
La technique de temps de vol est une technique fiable qui à l’avantage de procurer une imagerie vasculaire  intracrânienne,
     - Bonne résolution spatiale 
        - Donnes des artéfacts pour les réduire en utilisant la technique MOSTA qui permet d’étudier en fraction les vaisseaux en changeant le plan de coupe en fonction de l’axe du segment choisi  .... VOIRE LE PDF
17. IRM  CORPS ENTIER
Tous nos examens sont réalisés sur une IRM Signa Twin Speed 1,5 Tesla avec un gradient de 33 mT/m. 
Le patient est positionné en décubitus dorsal, les pieds devant. 
L’antenne corps intégrée est utilisée pour couvrir le corps du vertex jusqu’aux mollets. 
Nous utilisons l’antenne torso-pelvis 8 éléments pour les acquisitions au niveau thoracique et abomino-pelvien. 
Voire Aussi :
| Dosimetres : Dosimetrie
| RI :Explication Des Experts
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Imagerie Nasosinusienne PDF
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 Imagerie Nasosinusienne
Imagerie Nasosinusienne Radiologie PDF
Livre : En PDFDisponible ici : Un Lien Pour le telecharger Gratuitement 17.5 mbLe Contenue De Ce Livre 💥👇👇 :
Radiologie Conventionnelle
Trois  clichés  standard  étaient  habituellement effectués  :  une  face  haute  (front- nez),  un  Blon- deau (nez- menton) et une orthopantomographie (OTP).
Ces  trois  clichés  permettaient  d’objectiver une  éventuelle  anomalie  sinusienne,  d’en  dé-
crire  la  topographie  (atteinte  unilatérale  orien-tant vers un éventuel traitement chirurgical ou bilatéral orientant vers un traitement médical), de  rechercher  un  corps  étranger  dans  le  sinus maxillaire et un foyer apicodentaire.
À l'heure actuelle, l'utilisation standard des rayons X n'est plus indiquée et devrait être utilisée en faveur du CT à faisceau conique (CBCT)  permet  une  étude  dentaire  et  nasosinusienne complète  pour  une  bien  meilleure  efficacité diagn  ostique  avec  des  doses  d’irradiation  à peine supérieures. 
Il est facile de retenir que la dose d’irradiation d’un CBCT est équivalente à la réalisation de quatre clichés d’orthopantomo- graphie.  
D’autre  part,  une  tomodensitométrie du massif facial est en moyenne 9 à 10 fois plus irra diante qu’un CBCT 
Tomographie volumique  numérisée à  faisceau  conique
La  tomographie  volumique  par  faisceau  co- nique,  ou cone  beam  CT (CBCT),  se  distingue de  la  tomodensitométrie  par  son  principe  :  le faisceau  de  rayons  X  est  ouvert,  de  géométrie conique et annonce une imagerie de projection.
La  source  effectue  une  seule  rotation  autour des  structures  dentomaxillaires.  Les  données ainsi acquises nécessitent une station de visua- lisation adaptée pour la filtration des images et leur  lecture  en  mode  multiplanaire.  Cette  mé- thode  est  définie  par  les  études  dosimétriques
Les principales indications pour le CBCT sont l'étude de la sinusite aiguë dans certains cas et la sinusite chronique  que la localisation d’éventuels granulomes api- codentaires à l’origine des sinusites.
En  revanche,  le  CBCT  est  insuffisant  pour l’étude des parties molles, ce qui explique qu’il ne  soit  pas  indiqué  dans  l’exploration  des  lésions tumorales ou pseudo-tumorales des cavi- tés  nasales  et  des  sinus  qu’il  faut  explorer  par tomodensitométrie ou IRM.
Tomodensitométrie
La tomodensitométrie (TDM) sans injection est un examen de référence dans le traitement de la pathologie chronique du rhinosinusiker. 
L’étude  de  l’arcade  dentaire  maxillaire  supé- rieure  doit  toujours  être  associée  à  celle  des sinus,  les  foyers  apicodentaires  devant  être recherchés  systématiquement  devant  toute  pa- thologie inflammatoire sinusienne.
Techniquement, l'examen de tomodensitométrie est effectué en mode spirale sur un plan horizontal avec un filtre osseux  de  coupes  de  0,6 mm  d’épaisseur,  des  refor- mations millimétriques parallèles au palais osseux et des reconstructions dans les trois plans
(axial, coronal et sagittal).
Les paramètres  d’acquisition (Tableaux  1- II  à 1- IV)  utilisés  chez  l’adulte  dans  notre  service d’imagerie, utilisant un scanner multidétecteur.
 ..... Et d autre explication sur 
Le Contenue De Ce Livre 💥👇👇 :
1. Techniques d’imagerie nasosinusienne
        Radiologie conventionnelle
        Tomographie volumique numérisée à faisceau conique
        Tomodensitométrie
        IRM
        Tomographie par émission de positons au 18F-fluorodésoxyglucose
        Scintigraphie au citrate de gallium 67
2.  Radio-anatomie des cavités nasosinusiennes
        Imagerie des cavités nasosinusiennes normales et zones d’intérêt 
        Variantes anatomiques
        Principales voies d’abord des cavités et structures nasosinusiennes et interventions chirurgicales
        Principales voies d’abord et interventions chirurgicales endoscopiques
        Principales voies d’abord externes et interventions chirurgicales
        Principales complications et séquelles radiologiques post-opératoires
3.  Sinusites et rhinosinusites
        Sinusites et rhinosinusites aiguës
        Sinusites et rhinosinusites chroniques
        Généralités
        Collaboration nécessaire avec l’ORL pour le diagnostic étiologique
        Diagnostic radiologique de sinusite chronique
        Diagnostic étiologique et imagerie
        Nécessité de distinguer les différents types de sinusites fongiques
        Sinusites chroniques avec contexte ou terrain particulier 
        Erreurs diagnostiques
        Prise en charge des sinusites
        Complications des sinusites
        Cas radiocliniques (1-115) 
4.  Pseudo-tumeurs nasosinusiennes
        Polyposes nasosinusiennes
        Polypes isolés des cavités nasales et des sinus
        Hamartome épithélial respiratoire adénomatoïde nasal
        Mucocèles (pyocèles)
        Kystes lacrymonasaux
        Dysplasies fibreuses
        Kystes et malformations odontogènes
        Kyste périradiculaire
        Kyste péricoronaire
        Odontomes
        Dents surnuméraires ou ectopiques
        Kystes cholestéroliniques des sinus
        Méningocèles et méningo-encéphalocèles nasosinusiennes 
        Maladies systémiques et maladies générales
        Sarcoïdose nasosinusienne
        Granulomatose de Wegener
        Syndrome de Churg et Strauss (angéite granulomateuse allergique)
        Maladie de Carrington (pneumonie à éosinophiles idiopathique chronique)
        Maladie de Kimura
        Cryoglobulinémie essentielle (mixte, primaire)
        Pemphigoïde cicatricielle
        Maladie de Behçet
        Syndrome de de Morsier-Kallmann et autres troubles olfactifs complexes
        Autres pseudo-tumeurs
        Cas radiocliniques (116-202)
5. Tumeurs nasosinusiennes
        Tumeurs épithéliales
        Papillome inversé
        Adénocarcinome
        Carcinome épidermoïde
        Carcinome indifférencié (anaplasique ou SNUC)
        Carcinome adénoïde kystique (cylindrome)
        Tumeurs neuro-ectodermiques
        Méningiome
        Adénome hypophysaire
        Mélanome 
        Esthésioneuroblastome olfactif (neuroblastome olfactif)
        Carcinome neuro-endocrine
        Tumeurs musculaires et fibreuses
        Tumeurs d’origine vasculaire
        Angiomes et polypes angiomateux
        Maladie de Rendu-Osler
        Fibrome nasopharyngé
        Angiosarcome nasosinusien
        Tumeurs hématologiques
        Lymphomes
        Myélomes et plasmacytomes
        Histiocytose
        Lipomes
        Tumeurs osseuses et cartilagineuses
        Ostéome
        Fibrome ossifiant
        Tumeur brune
        Ostéosarcomes et chondrosarcomes
        Sarcome d’Ewing
        Métastases 
        Cas radiocliniques (203-280)
        Liste des principales abréviations
        Index des cas
        Index général
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1. Guide pour les tables d'ossification 
2. Introdictiont
3. Tete, Cou Et Encéphale 
4. Colonne Vertébrale Et Moelle Epinière 
5. Membre Supérieur 
6. Thorax 
7. Abdomen 
8. Bassin
9. Membre inferieur 
10. Index
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Partie I - Foie
01 - Anatomie Du Foie
02 - Tumeurs Bénignes Du Foie
03 - Tumeurs Malignes Du Foie
04 - Lésions Kystiques Du Foie
05 - Maladies Infectieuses Du Foie 
06 - Maladies Diffuses Du Foie
    A - Maladies Diffuses Du Foie
    B - Imagerie De Diffusion Hépatique
07 - La Cirrhose Et Ses Complications
08 - Hypertension Portale
09 - Maladies Vasculaires Du Foie
10 - Traumatismes Du Foie
11 - IRM Du Foie
12 - Traitements Radiologiques Des Tumeurs Du Foie
13 - Embolisation Portale Préopératoire
14 - Syndrome De Budd-Chiari
15 - Transplantation Hépatique
16 - Imagerie Interventionnelle Des Traumatismes Fermés De L’Abdomen Supérieur
Partie II - Voies Biliaires
17 - Anatomie Des Voies Biliaire
18 - Imagerie Des Tumeurs Bénignes Des Voies Biliaires
19 - Imagerie Des Tumeurs Malignes Des Voies Biliaires
20 - Lithiase Biliaire
21 - Cholangiopathies
    A - Cholélithiase
    B - Angiocholite
    C - Cholestase Anicterique
    D - Cholangiopathie Eosinophiles
22 - Imagerie Du Carrefour Biliopancréatique
23 - Imagerie Interventionnelle Des Voies Biliaires 
24 - Imagerie Post-Opératoire Des Voies Biliaires
Partie III - Pancréas
25 - Anatomie Du Pancréas
26 - Tumeurs Malignes Du Pancréas
27 - Cancers Du Pancréas Exocrine
28 - Lésions Kystiques Du Pancréas
    A - Tumeurs Kystiques Du Pancréas
    B - Aspect En IRM Des Lésions Kystiques Du Pancréas
    C - Imagerie En Coupes Des Tumeurs Kystiques Du Pancréas
29 - Tumeur Intracanalaire Papillaire Et Mucineuse Du Pancréas
30 - Tumeurs Endocrines Du Pancréas
31 - Pancréatites Aiguës
32 - Pancréatites Chroniques
    A - Pancréatites Chroniques
    B - Pancréatites Inflammatoires
33 - Imagerie Post-Opératoire Du Pancréas Et Du Duodénum 
34 - Transplantation Pancréatique
Partie IV - Rate
35 - Imagerie De La Rate Normale
36 - Tumeurs De La Rate
    A - Tumeurs De La Rate
    B - Les Lésions Focales
37 - Les Traumatismes Spléniques
38 - Pathologie Infectieuse De La Rate 
39 - Affections Diverses De La Rate
Partie V - Péritoine
40 - Anatomie Radiologique Du Péritoine
41 - Imagerie Du Péritoine Normal Et Pathologique
42 - Tumeurs Primitives Et Carcinomatoses Péritonéales
    A - Pathologie Tumorale Du Mésentère Et Du Péritoine 
    B - Imagerie Des Carcinomatoses Péritonéales
43 - Hernies Internes
Partie VI - Paroi
44 - Pathologies De La Paroi Abdominale Antérieure
    A - Imagerie De La Paroi Abdominale Antérieure 
    B - Place De L’Echographie
45 - Imagerie Du Diaphragme
46 - Rétro-Péritoine
Partie VII - Tube Digestif
47 - Œsophage Et Troubles De La Déglutition
    A - Méthodes D’Imagerie De L’Oesophage
    B - Tumeurs Bénignes De L’Oesophage
    C - Pathologie De L’Oesophage Chez L’Enfant
    D - Troubles De La Déglutition
    E - Echographie Des Troubles De La Déglutition
48 - Imagerie De L’Estomac Et Du Duodénum 
49 - Intestin Grêle
    A - Méthodes D’Imagerie De L’Intestin Grêle 
    B - Tumeurs Du Grêle
50 - Imagerie Du Côlon
    A - Imagerie Du Côlon
    B - Imagerie En Coupes Du Côlon
51 - Coloscopie Virtuelle
    A - Le Coloscanner
    B - Colonoscopie
52 - Rectum
��   A - Imagerie Des Cancers Du Rectum Et Du Canal Anal 
    B - Imagerie Du Rectum Opéré
53 - Troubles De La Statique Pelvienne
54 - Imagerie Dans La Chirurgie Bariatrique
Partie VIII - Urgences
55 - Techniques D’Imagerie De L’Abdomen Aigu Non Traumatique
    A - Imagerie Des Urgences Abdominales Non Traumatiques De L’Enfant 
    B - Imagerie Des Urgences Abdominales Non Traumatiques De L’Adulte
56 - Perforation Digestive
57 - Syndromes Occlusifs
58 - Ischémies Aiguës Intestino-Mésentériques De L’Adulte
59 - Syndromes Douloureux Et Fébriles De L’Abdomen D’Origine Intestinomésentérique 
60 - Aspect Post-Opératoire
    A - Imagerie Du Foie Opéré
    B - Imagerie Post-Opératoire De La Chirurgie Colorectale
    C - Imagerie Post-Opératoire Du Cardia Et De L’Estomac
    D - Imagerie Post-Opératoire Du Péritoine Et De La Paroi abdominale
61 - Hémorragies Digestives De L’Adulte 
62 - Urgences Abdominales Traumatiques
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TECHNIQUES D'IMAGERIE DIAGNOSTIQUE 
1. Chapitre 1: Radiographie du thorax : techniques d'acquisition et résultats normaux 
Techniques d'acquisition
Principes d'acquisition
Incidences
Résultats normaux
Paroi thoracique 
Diaphragme
Médiastin
Hiles
Plèvre
Parenchyme pulmonaire
2. Chapitre 2: Tomodensitométrie Aspects techniques de la tomodensitométrie mono-énergie 
Technique
Généralités
Les différentes techniques utilisées
Paramètres d'acquisition et de reconstruction
Particularités de la TDM a acquisition volumique
Dose
Protocoles d'exploration
Artefacts
Résultats normaux 
Médiastin
Hiles et systématisation bronchovasculaire
Parenchyme pulmonaire
Plèvre
Paroi thoracique et diaphragme  Tomodensitométrie à double énergie ou spectrale (Emmanuel Coche)  
Principes de base 
Techniques  
Post-traitement  
Applications cliniques  
Tomodensitométrie à compteurs de photons (Salim Aymeric Si-Mohamed et Emmanuel Coche)  
Une technologie innovante  
Potentiel clinique et résultats préliminaires pour l'imagerie thoracique 
3. Chapitre 3: Contrôle de la dose d'Irradiation en radiologie thoracique 
Quantification de l'irradiation   
En radiographie  
En tomodensitométrie  
Taille de l'échantillon pour une enquête dosimétdque locale  
Paramètres tomodensitométriques d'acquisition  
Acquisitions en tomodensitométrie haute résolution   
Acquisitions en angioscanographie  
Optimisation de l'irradiation en tomodensitométrie thoracique  
Choix de l'épaisseur de coupe  
Choix de l'algorithme  
Choix du potentiel  
Réglage de la modulation du courant SEC)
Pas do l'hélice  
Méthode par étapes  
Travail d'équipe 
Évaluation de l'optimisation  
Protection des seins  
Objectifs dosimétriques en tomodensitométrie thoracique   
Réduction de la dose en fonction de quelques indications  
Détection précoce du cancer bronctepulmonaire  
Emphysème pulmonaire  
Bronchiolite oblitérante  
Embolie pulmonaire  
4. Chapitre 4: Tomographie par émission de positons et scintigraphie   
Comment qualifier la dose délivrée en tomodensitométrie ?
Tomographie par émission de positonsPrincipe de le tomographie par émission de positons (TEP)  
Apport de la TEP-7DM en oncologie thoracique  
TEP-IRM  
Scintigraphie pulmonaire
Technique  
Diagnostic d'embolie pulmonaire  
Diagnostics différenties, piéges de l'interprétation  
Autres indications  
Autres applications et perspectives 
5. Chapitre 5: Imagerie par résonance magnétique (IRM)
Séquences morphologiques  
Séquences de contraste  
Séquence pondérée TI  
Séquences pondérées
Séquences è pondération complexe 72/T1  
Séquences fonctionnelles   
Angiographie et perfusion  
Ventilation  
Double transformée de Fourier  
Diffusion  
Applications cliniques  
Tumeurs pulmonaires et nodules  
Plèvre  
Pathologie du médiastin  
Pathologies des voies aériennes  
Pneumopathies infiltrantes diffuses  
Pathologie vasculaire pulmonaire  
Perspectives
6. Chapitre 6: Biopsies radio-guidées à l'étage thoracique 
Généralités  
Préparation du patient  
Matériel  
Procédure  
Conditionnement des échantillons  
Biopsies pulmonaires  
Suspicion de tumeur primitive  
Suspicion de lésion secondaire  
Suspicion de lésion infectieuse  
Complications  
Biopsies mécliaslinales  
SÉMIOLOGIE RADIOLOGIQUE ET TOMODENSITOMÉTRIQUE 
7. Chapitre 7: Sémiologie radiographique 
Syndrome de condensation alvéolaire  
Répartition systématisée des opacités alvéolaires  
Répartition bilatérale en ailes de papillon  
Répartition en ailes de papillon inversées  
Autres aspects des opacités alvéolaires  
Évolution  
Syndrome interseliel  
Atteinte du secteur périphérique  
Épaississement du secteur axial péribronchovesculains  
Atteinte intralobulaire et images composites  
Image en rayon de miel ou nid-d'abeilles  
Remarques  
Syndrome nodulaire  
Taille des nodules  
Répartition des nodules  
Syndrome bronchique  
Signes directs  
Signes indirects  
Syndrome vasculaire  
Hypovascularlsation ou oligémie  
Hypervascularisation pulmonaire  
Augmentation du calibre des artères pulmonaires centrales avec diminution du calibre des vaisseaux 
Périphériques  
Anomalies localisées de calibre ou do trajet vasculaire  
Syndrome cavitaire  
Mécanismes de formation  
Aspects radiologiques  
Syndrome pleural   
Épanchements pleuraux liquidiens de la grande cavité  
Épanchement pleural liquidien sous-pulmonaire  
Épanchement pleural liquidien interlobeire ou scissure!  
Épanchement pleural liquidien en décubitus dorsal   
Épanchement liquidien cloisonné dans la plèvre médias finale et paracardiaque  
Syndrome de masse pleurale  
Épanchement pleural gazeux (pneumothorax)  
Épanchements pleuraux mixtes  
Épaississements pleuraux  
Plaques pleurales  
Syndrome médiastinal  
Syndrome pariétal  
Calcifications  
Calcifications de la paroi  
Calcifications pleurales  
Calcifications cardiovasculaires  
Calcifications ganglionnaires  
Calcifications trachéales et bronchiques  
Calcifications au sein de masses médiastinales  
Calcifications pulmonaires
8. Chapitre 8: Sémiologie tomodensitométrique 
Signes d'atteinte parenchymateuse pulmonaire  
Opacités linéaires  
Syndromes nodulaires  
Syndrome kystktue  
Condensation parenchymateuse  
Verre dépoli  
Hypodensité et perfusion en mosaïque pulmonaire  
Approche diagnostique d'un aspect en mosaïque des densités pulmonaires  
Signes d'atteinte vasculaire pulmonaire  
Hypovascuiarisation pulmonaire (Mende)  
Hypervasculadsation pulmonaire  
Hypertension veineuse pulmonaire  
Hypertension artérielle pulmonaire précapillalre  
Anomalie focale de la lumière vasculaire pulmonaire  
Signes d'atteinte trachéale ou bronchique  
Opacité endoluminale trachéale ou bronchique  
Aspect multinodulaire de la surface Interne de la lumière trachéale et/ou bronchique  
Rétrécissements focaux de la lumière trachéale ou bronchique (sténose)  
Épaississement pariétal diffus de la trachée et/ou des bronches  
Dilatation de la lumière trachéale et/ou bronchique 
Accumulation anormale des sécrétions bronchiques   
Signes d'atteinte pleurale  
Épanchement liquidien  
Plaques pleurales et épaississements pleuraux  
Masse pleurale  
Calcifications pleurales  
Signes d'atteinte mêdlastinale  
Analyse topographique des masses médiastinales  
Critères sémiologiques permettant d'approcher la composition d'une masse médiastinale  
Atteinte vasculaire médiastinale  
Pneumomédiastin  
Signes d'atteinte pariétale  
9. Chapitre 9: Sémiologie radiologique des troubles de ventilation pulmonaire 
Collapsus (atélectasies) pulmonaires  
Collapsus lobaires  
Signes communs  
Collapsus lobaire supérieur droit  
Collapsus lobaire supérieur gauche  
Collapsus lobaires inférieurs  
Collapsus du lobe moyen  
Collapsus plureobaires  
Collapsus segmentaires  
Particularités propres au mécanisme et orientation étiologique  
Collapsus par obstruction  
Collapsus passifs  
Collapsus cicatriciels  
Collapsus adhésifs  
Piégeages  
Piégeages systématisés  
Piégeages bilatéraux et diffus  
PATHOLOGIE  
10. Chapitre 10: Infections pulmonaires  
Grands syndromes et modes évolutifs 
Grands syndromes  
Modes évolutifs et complications  
Classement des pneumonies en fonction des groupes de patients   
Infections bactériennes
Germes à Gram positif  Bactéries aérobies à Gram négatif  
Germes atypiques  
Germes anaérobies  
Germes inhabituels   
Infections virales
Infections à mycobactéries
Tuberculose  
Mycobactéries atypiques  
Mycoses cosmopolites
Aspergillose  
Mucormycose (zygomycose)  
Cryptococcose ou tg:aldose  
Candidose  
Géotrlchose et sporotrichose  
Prieumocystose  
Mycoses d'importation (Louise Samson et Marie-Pierre Cordeau)  
Histoplasmose  
Histoplasmose africaine  
Coccidioidomycose  
Blastomycose  
Infections parasitaires (Philippe Grenier et Montasser Mouette) 
Nématodes  
Cestodes  
Trématodes 
Protozoaires  
Arthropodes  
Infections pulmonaires chez rimmunodéprimé (Anne-Laure Brun)  
Différents types d'immunodépresslon  
Approche par germe  
Approche par modale radiologique  
11. Chapitre 11: Tumeurs trachéobronchiques et pulmonaires   
Tumeurs de la trachée
Résultats de l'imagerie  
Particularités propres à chaque tumeur  
Diagnostic  
Tumeurs bronchopulmonaires
Tumeurs malignes primitives  
Tumeurs bénignes  
Tumeurs pulmonaires secondaires (Stéphane Lenoir)  
Voies de dissémination tumorale  
Cinq chemins empruntés par le matériel cellulaire néoplasique pour le développement des métastases pulmonaires  
Aspects radiologiques des métastases pulmonaires   
Métastases pulmonaires selon les principales localisations primitives  
Valeur diagnostique de l'imagerie  
Impacts de l'imagerie sur le traitement des métastases pulmonaires   
Classification TNM des cancers bronchopulmonaires 
Recommandations de l'Institut national du cancer INCa et aspects techniques 
Nouvelle classification TNM des cancers non à petites cellules   
Nouvelle classification TNM des cancers petites cellules  
Conduite à tenir devant un nodule pulmonaire de découverte fortuite  
Connaître les différentes causes des nodules pulmonaires isolés en fonction de leur typologie scanographique  
Évaluation de la probabilité a priori de malignité d'un nodule pulmonaire  
Critères d'analyse scanogrephique d'un nodule pulmonaire  
Conduites à tenir devant un nodule pulmonaire indéterminé  
Principes qui régissent les modes de prise en charge d'un nodule hautement suspect de malignité discutés au sein de la RCP  
12. Chapitre 12: Lymphomes et autres syndromes prolifératifs   
Manifestations ihoradques des syndromes lymphoprolifératils
Syndromes lymphoprolifératifs non matins  
Lymphomes non hodgkiniens  
Maladie de Hodgkin  
Lymphomes : imagerie multimodale pour l'évaluation de l'étendue et de ta réponse au traitement   
Évaluation du stade du lymphome 
Role de l'imagerie moléculaire
TEP-TDM dans le lymphome  
Imagerie radiologique du lymphome par radiographie standard, ultrasons, TDM et IRM  
Diagnostic percutané des lymphomes  
Évaluation du stade et de la réponse  
Évaluation métabolique du stade fondée sur la TEP-TDM au FDG  
Évaluation de la réponse métabolique fondée sur la TEP-TDM au FDG   
TEP-TOM intermédiaire OTEP)  
Évaluation quantitative de la réponse métabolique la TEP-TOM au PDG  TEP-TDM de fin de traitement  
Évaluation de la réponse morphologique fondée sur la tomodensitométrie avec produit de contraste intraveineux  
Discussion sur les nouveaux critères de réponse  
13. Chapitre 13 Maladies des voles aériennes   
Maladies de la trachée et des bronches souches
Sténoses post-traumatiques  
Infections trachéales  
Maladies inflammatoires de la trachée et des bronches souches  
Amylose trachéobronchique  
Trachéobronchopathie ostéochondroplastlque  
Trachée en fourreau de sabre  
Tracheobronchomégalie ou maladie de Mounier-Kuhn  
Tracheobronchomalacie  
Étroitesse de l'orifice supérieur du thorax  
Kyste paratrachéal  
Fistule oasotrachéobronchique  
Bronchectasies
Définition  
Mécanismes  
Diagnostic positif des bronchectesies  
Imagerie  
Diagnostic étiologique des bronchectasies  
Bronchiolites ou maladies des petites voies aériennes 
Anatomie des petites voies aériennes  
Anatomopathologie  
Signes radiographiques  
Signes tomodensitomehiques  
Différentes formes cliniques de bronchiolites  
Bronchopneumopattlie chronique obstructive 
Radiographies standard du thorax  
Tomodensitométrie  
Asthme
Indications de l'imagerie de l'asthme en pratique clinique  
Anomalies observées dans l'asthme  
Diagnostics différentiels  
Formes associées  
Imagerie quantitative de l'asthme  
Fistules et déhiscences bronchiques
Broncholithiase 
14. Chapitre 14: Embolie et hypertension pulmonaires 
Diagnostic de l'embolie pulmonaire
Démarche diagnostique  
Diagnostic en imagerie  
Diagnostic de l'hypertensiOn pulmonaire
Définition de l'hypertension pulmonaire et modalités d'exploration  
Classification  
Signes tornodensitométriques non spécifiques  
Signes tomodensitométriques spécifiques  
Modalités et précautions de réalisation de la tomodensitométrie  
15. Chapitre 15: OEdèmes pulmonaires   
OEdème pulmonaire hémodynamique 
Manifestations cliniques  
Manifestations radiologiques  
Diagnostic différentiel  
Syndrome de détresse respiratoire aiguë de l'adulte 
Radiographie standard  
Tomodensitométrie  
Complications et évolution à long terme  Analyse quantitative  
16. Chapitre 16: Bronchopneumopathies d'Inhalation   
Pneumoconioses 
Silicose et pneumoconioses des mineurs de charbon  
Asbestose  
Autres pneumoconioses fibrogènes  
Pneumoconioses de surcharge non sclérogènes 
Pneumopathie d'hypersensibilité 
Données cliniques  
Données tomodensitométfiques  
Données évolutives  
Situations particulières  
Bronchopneumopathies par inhalation de gaz, de vapeurs ou de fumées toxiques
Gaz Irritants  
Intoxication à l'oxyde de carbone (CO)  
Toxicité de l'oxygéna et de l'ozone  
Vapeurs métalliques  
Pneumonies Interstitielles idiopathiques. 
Fibrose pulmonaire Idiopathique  
Pneumonie interstitielle non spécifique  
Pneumonie organisée cryptogénique  
Pneumonie interstitielle aigué  
Fibro-élastose pleuroparenchymateuse  
Pneumonies interstitielles diffuses inclassables  
Bases du raisonnement devant une pneunornie interstitielle diffuse idiopathique ',brasante  
Atteinte thoracique au cours des connectivites (collagénoses)  
Pneumonie interstitielle des collagénoses  
Hypertension artérielle pulmonaire  
Autres manifestations thoraciques  
Polyarthrite rhumatoide  
Sclérodermie ou sclérose systémique progressive   
Lupus érythémateux systémique  
Polymyosite/derrnatopolymyosite et myosite de chevauchement  
Connoctivites mixtes  
Syndrome de Gougerot-Segren  
Pechondrite chronique atrophiante  
17. Chapitre 17: Atteinte thoracique au cours dos vascularites systémiques primitives
Symptômes et signes cliniques  
Signes radiologiques  
Granulomatose avec polyangeite 
Granulomatose éosinophilique avec polyangéite
Polyangéite microscopique  
Maladie à anticorps antimembrane basale glomérulaire (ang-MBG)  
Maladie de Behçet  Artérite de Takayasu  
Pneumonies Interstitielles liées au tabac 
Histiocytose pulmonaire à cellules de Langerhans   
Bronchiotite respiratoire associée à une pneumonie interstitielle et une pneumonie Interstitielle desquamative  
Fibrose interstitielle liée au tabac  
Maladies pour lesquelles le tabagisme peut être un facteur de risque  
Pneumonies médicamenteuses
Grands tableaux histopatologlques  
Manifestations radiologiques  
Lymphangioléiomyomatose pulmonaire et sclérose tubéreuse de Boumeville
Présentation clinique  
Lésions histopathologiques  
Manifestations radiographiques  
Signes tomodensitométdques  
Diagnostic différentiel  
Histiocytoses non langerhansiennes 
Maladie d'Erdheim-Chester  
Maladie de Rosai-Dorfman  
Pneumonies à éosinophiles idiopathiques 
Forme bénigne des pneumonies à éosinophiles 
Pneumonie aiguë à éosinophiles  
Pneumonie chronique è éosinophiles
Syndrome hyperéosinophilique  
Diagnostic différentiel des pneumonies à éosinophiles  
Maladies métaboliques
Protéinose alvéolaire  
Microlithiase alvéolaire  
Amylose  
Calcifications pulmonaires métastatiques  
Maladies de surcharge lipidique
Maladie de Gaucher  
Maladie de Nlemann-Pick  
Syndrome de Hermansky-Pudlak  
Maladies de cause Inconnue difficilement classables 
Granulome é plasmocytes  Granulome pulmonaire hyalin
Ossification pulmonaire idiopathique  
18. Chapitre 18: Pathologie congénitale   
Malformations congénitales pulmonaires   
Embryologie et physiopathologie  interruption du développement trachéobronchique Anomalies de systématisation ou de branchement des bronches  
Malformations bronchopulmonaires  
Anomalies vasculaires thoraciques congénitales  
Malformations artéroveineuses pulmonaires
Anatomie   
Conséquences (symptômes) et complications  
Diagnostic  
Étiologie et caractéristiques en fonction de l'étiologie  
Traitement  
19. Chapitre 19: Pneumothorax   
Physiopathologie  
Collapsus passif  
Réduction de la vascularisation fonctionnelle du poumon collabé  
Distension de la paroi thoracique  
Signes radiologiques  
Position debout ou assise, rayon horizontal  
Position couchée  
Position couchée  
Pneumothorax antérieurs  
Pneumothorax latéraux  
Pneumothorax apicaux  
Pneumothorax posteneurs  
Cas particuliers  
Épanchements mixtes  
Pneumothorax sous tension  
Pneumothorax et condensation parenchymateuse rétractile  
Localisation particulière  
Quantification des pneumothorax  
Évolution et traitement  
20. Chapitre 20: Tumeurs pleurales
Tumeurs pleurales malignes  
Mésothéllome malin  
Extension pleurale du cancer bronchopulmonalre 
Métastases pleurales  
Localisations pleurales des hémopathies 
Autres tumeurs malignes  
Tumeurs fibreuses localisées de la plèvre  
Tumeurs pleurales bénignes  
Lipome pleural  
Autres tumeurs bénignes  
Lésions pseudo-tumorales  
Endométriose pleurale  
Splénose intrathoracique  
Hydalidose pleurale  
Textilorne pleural  
21. Chapitre 21: Pathologie médiastinale   
Tumeurs du médiastin de l'adulte
Généralités  
Masses du médiastin antérieur prévasculalre  
Tumeurs du médiastin viscéral ou médiastin moyen  
Tumeurs du médiastin para vertébral ou postérieur  
Tumeurs de siège ubiquiste  
Adénopathies
Chaînes ganglionnaires du médiastin : rappel anatomique  
Signes radiologiques  
Signes tomodensitométriques  
Classification des ganglions médiastinaux  Imagerie par résonance magnétique  
Diagnostic étiologique  
Médiastinites (Sangs Boussouar)  
Médiastinite aiguë  
Médiastinite chronique  
Pneumomédiastin (Philippe Grenier)  
Causes de pneumomédiastin  
Signes radiologiques  
Signes tomodensitométriques  
Diagnostic différentiel  
Pathologie du péricarde
Épanchements péricardiques  
Tamponnades péricardiques  
Péricardites  
Masses péricardiques  
Pneurnopédcarde  
Agénésie du péricarde  
Nécrose de graisse épipérlcardigue 
Étiologie et physiopathologie  
Clinique    
Imagerie  
Diagnostics différentiels  
Traitement  
22. Chapitre 22: Pathologie de la paroi et du diaphragme
Pathologie du diaphragme  
Variantes anatomiques des attaches diaphragmatiques  
Malformations  
Hernies diaphragmatiques  
Tumeurs diaphragmatiques  
Pathologie non tumorale transdiaphregmatique ou régionale  
Imagerie fonctionnelle du diaphragme  
Paroi thoracique  
Malformations congénitales  
Pathologie tumorale  
Pathologie infectieuse  
Pathologie dégénérative et inflammatoire  
23. Chapitre 23: Pathologie traumatique et iatrogène  
Thorax opéré
Pneumonectomies  
Lobectomies et résections segmentalres  
Complications des résections pulmonaires  
Complications précoces post-thoracotomie  
Complications tardives post-thoracotomie  
Transplantation pulmonaire 
Complications vasculaires et complications anastomotiques  
Complications pleurales  
Complications parenchymateuses qui se manifestent per un remplissage des lumières alvéolaires  
Complication qui se manifestent par une maladie interstitielle  
Complications qui se manifestent par un piégeage expiratoire  
Complications qui se manifestent par des nodules  
Autres complications  
Thorax Irradié 
Étiologie, prévalante et physiopathologie  
Symptomatologie clinique  Manifestations radiologiques  
Tomographie par émission de positons-tomodensitométrie  
Diagnostic différentiel  
Complications liées â l'intubation trachéale et â la mise en place des cathéters veineux, médiastinaux et pleuraux    
Intubation trachéale  
Sondes nasogastriques  
Cathéters vasculaires  
Cathéters de drainages pleuraux  
Cathéters de drainage médiastinaux  
Embolies artérielles pulmonaires de matériel thérapeutique  
Traumatismes fermés du thorax 
Lésions de la paroi thoracique  
Traumatismes pleuraux  
Traumatismes pulmonaires  
Traumatisme de la trachée et des bronches  
Traumatisme de l'oesophage  
Traumatismes du diaphragme  
Rupture des vaisseaux intrathoraciques  
Lésions cardiaques traumatiques  
Index  
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Fetal Echocardiography PDF
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 Fetal Echocardiography
1. Basics of Fetal Echocardiography
A. Embryology of fetal heart 1-13
B. Physiology of fetal heart 13-17
C. Pathogenesis of congenital heart disease 
2. General Guidelines for Performing Fetal Echocardiogram 
A. Equipment and fine-tuning
B. Image optimization 20-22
C. Right-left orientation 22-24
D. How to aim for comprehensive cardiac evaluation 24-31
3. Indications and Timing of Fetal Echocardiography
A. Risk factors for congenital heart disease 34-37
B. Timing of fetal echocardiography 37-38
4. How to Perform a Normal Fetal Echocardiogram: A Practical Guide
A. Steps in fetal heart screening 40-47
B. Color Doppler imaging 48
C. Heart rate and rhythm 48
D. Cardiac biometry 48-49
E. Cardiac function assessment 49
5. Fetal Cardiac Defects 
A. Situs 52-54
B. Cardiac size, axis, position 55
C. Four chamber view 55-71
D. Outflow tracts 71-80
E. Three vessel view 80-83
6. Pitfalls in Fetal Echocardiography 
A. Technical limitations 86-88
B. Commonly missed/incorrect diagnosis 88-90
C. Progression of lesions in utero 91-92
D. Conditions evident after birth 92
7. Fetal Arrhythmias: Evaluation and Management
A. Diagnosis and monitoring 96-102
B. Types of arrhythmia: Evaluation and basic management 103-116
8. Fetal Heart Failure 
A. Pathophysiology 121-122
B. Diagnosis 122-133
C. Management and prognosis 133-135
9. Fetal Cardiac Interventions
A. Procedure 140-144
B. Complications 144-145
10. Genetics and Congenital Heart Disease
A. Approach: To evaluate for extracardiac malformations and chromosome
anomalies after diagnosis of fetal congenital heart disease 147-179
B. Genetic contribution to the origin of congenital heart disease 180-190
C. Genetic counseling after diagnosis of fetal congenital heart disease 191-199
11. Management of Pregnancy after Prenatal Diagnosis of Congenital Heart Disease 
A. Mother and baby 200-201
B. Family counseling 201-203
12. Does Prenatal Detection of Heart Disease Improve the Outcome?
A. Counseling 205-206
B. Perinatal interventions 206-210
Index 211
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le 3eme livre
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Imagerie Thoracique De L’Adulte Et De L’Enfant PDF
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Dosimetrie Explication Des Experts
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  Dosimetrie Explication Des Experts
Dosimetrie Explication Des Experts
La dosimétrie est la détermination quantitative de la dose absorbée par un organisme ou un objet, c'est-à-dire par unité de masse à la suite d'une exposition à des rayonnements ionisants. Ces mesures peuvent être effectuées avec un dosimètre passif ou avec un dosimètre de fonctionnement. 
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| Dosimetres 
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  TDM En Traumatologie 
TDM En Traumatologie
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Introduction : (dans ce livre ! )
Troisième cause de décès dans la population géné- rale après les cancers et les affections cardiovascu- laires et première cause de décès chez les jeunes qui sont une population âgée de 15 à 24 ans.
Le traumatisme est un problème de santé publique dans les pays d'Europe occidentale et cause une partie importante des conditions qui se produisent dans les médias de contrôle des situations d'urgence (SAMU) .  
Les  cir- constances de survenue sont multiples : accident de la voie publique (AVP), pratique sportive, défe- nestration, accident de travail ou agression arme à feu ou arme blanche…
Sa gravité varie d'une simple entorse de la cheville à des routes multi-traumatisées potentiellement mortelles. 
Quoi qu’il en soit, la quasi-totalité de ces patients nécessitera la réa- lisation  d’un  bilan  d’imagerie  pour  confirmer  le diagnostic, faire un bilan lésionnel précis et ainsi guider la prise en charge thérapeutique.
Les avancées techniques spectaculaires réalisées au cours des cinq dernières années, avec l'avènement des scanners multibarres vous permettent de capturer un grand nombre d'images en très peu de temps, à l'aide de voxels isotropes infraamilimétriques qui permettent des reconstructions de haute qualité dans les trois niveaux d'espace et peuvent être utilisées pour nos propres collègues parler.
Il est rapidement apparu que cet outil diagnostique prendrait toute son importance en  imagerie  d’urgence  traumatique,  permettant en un temps très court de faire un bilan lésionnel exhaustif et ainsi de supplanter les multiples bilans radiographiques. 
Ces scanners étaient réservés ini- tialement au patient polytraumatisé qui correspond
à « une personne gravement blessée qui est victime de plusieurs blessures, dont au moins une met sa vie en danger à court terme ». 
Mais l'utilisation de scanners se propagent rapidement, plusieurs études ont montré qu'un examen a été effectué sur les organes pelviens cérébraux et cervicothoraco-abdominaux 
(body  scan),  a  prouvé  son  efficacité  diagnostique
chez les patients cliniquement stables sans point focal clinique ou radiographique pour une lésion ciblée, ce qui permet des changements dans la prise en charge thérapeutique dans près de 20% des cas. 
En 2002, les médecins de la SAMU ont établi des critères (critères Vittel, tableau 1) pour évaluer la gravité individuelle des patients. 
La présence d'un seul critère, à l'exception des variables liées au terrain, définit le traumatisme  potentiellement graves et justifie la réalisation d'un scanner complet en cas d'urgence. 
La  rapidité  et  la  précision  diagnostique  ainsi obtenues  améliorent  le  choix  et  la  rapidité  de  la thérapeutique qui, à son tour, améliore la morbi- mortalité. 
De cette façon, la stratégie globale réduit les coûts socio-économiques générés, ce qui constitue actuellement une grande satisfaction nationale. 
De fait, le recours au scanner dans un bilan trau- matique est devenu un fait quotidien, les plateaux techniques  d’imagerie  devant  être  disponibles 24 h/24  pour  optimiser  le  parcours  de soin. 
Cela impose un besoin accru en radiologues qualifiés…  or  toute  qualification  ne  se  conçoit qu’à la suite d’une formation spécifique et s’entre- tient par des formations continues.
Cet  ouvrage  tente  de  répondre  à  cette  néces- sité  de  formation.  Il  s’agit  de  guider  le  radio- logue  à  optimiser  ses  protocoles  d’acquisition, à formater sa lecture diagnostique pour ne rien « loupe » et diriger votre rapport, qui devrait être clair, concis et précis pour aider nos médecins dans le choix de la stratégie thérapeutique. 
Par conséquent, tout traumatisme est abordé par un organe avec une approche de lésion formatée : 
• image typique en TDM 
• pièges et difficultés diagnostiques 
• impact thérapeutique.
Ainsi,  le  radiologue  pourra  trouver  rapidement la réponse à sa question sans retarder la commu- nication  du  bilan  lésionnel. 
Des souvenirs anatomiques ont également été pris sous la forme de diagrammes et physiopathologiques pour faciliter la compréhension des mécanismes de la lésion. 
À l'heure actuelle, compte tenu de l'utilisation généralisée des scanners, les principes de radioprotection ne devraient plus être ignorés. L'irradiation (dose efficace) au cours d'un « scanner du corps entier » est d'environ 12 à 16 millisievert ou équivalent à environ 4 à 5 ans d'irradiation naturelle .  
La  technique  doit  donc  être  optimale,  les manipulateurs  formés  et  les  éventuelles  sources d’artéfacts liés au matériel de réanimation, bien connues  pour  potentialiser  la  qualité  du  Déversement de tomodensitométrie pour éviter les erreurs techniques ou les défaillances . 
C’est pour répondre à ce problème  de  radioprotection  qu’un  paragraphe est réservé à la fin de chaque chapitre aux para- mètres  d’acquisition.  
Le rapport signal/bruit doit être ajusté au cas par cas pour obtenir une image de haute qualité tout en tentant de limiter l'irradiation .  
Il  est  évident  que  ce  problème  de dose  délivrée  se  pose  moins  dans  les  polytrau- matismes graves en détresse vitale chez lesquels l’erreur technique n’est pas envisageable, source de retard diagnostique. 
Les doses délivrées sont donc  automatiquement  très  élevées  (car  tête impossible  à  placer  dans  la  têtière,  TDM  réali- sée  avec  le  matelas  de  réanimation  qui  absorbe beaucoup  de  rayonnement,  matériel  métallique de  réanimation  extrinsèque…).  
Nous  rappelons que  la  DLP  (=  produit  dose  longueur,  exprimé en milligrays-centimètres) doit être consignée sur chaque compte rendu, principe médico-légal.
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Livre : En PDFDisponible ici : Un Lien Pour le telecharger Gratuitement 19 mbLe Contenue De Ce Livre 💥👇👇 :
Préface
Après son remarquable travail didactique dédié au scanner des urgences abdominales, Éric Delabrousse et son équipe proposent également des travaux tout aussi précieux dédiés à l'exploration des tumeurs abdominales. 
Comme le développement conceptuel actuel, ce livre comprend non seulement la pathologie du tube digestif et de ses glandes auxiliaires, mais aussi la pathologie des organes rétropéritonéaux, ce qui est parfaitement logique à la fois du point de vue clinique et en termes de recherche en imagerie transversale.
Les problèmes généraux de l'examen canographique abdominal, en particulier avec des éléments pathologiques précis et précieux pour la classification histologique des tumeurs abdominales, décrivent des techniques de balayage qui mettent l'accent sur la relation entre la dose et les facteurs de qualité d'image fournis. 
L'anatomie radiophonique et, en particulier, la cartographie exacte du système de drainage lymphatique de l'abdomen et du rétropéritoine sont examinées analytiquement et méticuleusement. 
Le chapitre sur la sémiologie scanographique générale des tumeurs abdominales nous permet d'examiner les critères précis pour définir les éléments sémantiques qui sont utilisés quotidiennement dans les rapports. 
Pour toute variété de tumeurs, les données épidémiologiques les plus importantes, les éléments pathologiques macroscopiques et microscopiques, sont systématiquement considérées comme bénignes ou malignes, avec des contributions chaque fois que nécessaire de l'immunohistochimie et de la biologie moléculaire. 
Ces données « de base » sont devenues extrêmement précieuses et indispensables pour déterminer le raisonnement et l'orientation diagnostique du radiologue, en plus de la lecture analytique des images. 
Nous discutons des principaux éléments de la divulgation clinique, de la sémiologie scanographique, de la hiérarchisation et de la localisation relative du scanner en comparaison avec d'autres techniques d'imagerie, du diagnostic principal de la différence, de l'évolution naturelle, du pronostic et des lignes générales de la prise en charge thérapeutique.
Par conséquent, le livre est présenté comme un ensemble de fiches techniques très complètes qui permettent de connaître tous les aspects d'une pathologie tumorale particulière dans un minimum de temps et avec une précision maximale. 
Le livre d'Éric Delabrousse, comme le livre dédié au scanner d'urgence avec Mindominals, est un outil pratique, compagnon de travail quotidien, qui n'a pas la voix pour enrichir les étagères d'une bibliothèque plus ou moins prétentieusement, mais très rapidement dans le voisinage immédiat de Screens pour lire des photos, qui nous voyons des rapports et la rétention témoignent rapidement de toute l'attractivité qui a attiré les utilisateurs par des indignations irréparables d'usage intensif. 
C'est pourquoi nous remercions une fois de plus Éric Delabrousse pour son esprit analytique et méthodologique, qui préside la rédaction d'une œuvre didactique. 
Rendre les choses plus claires, plus compréhensibles et plus accessibles est un service formidable qui confirmera sans aucun doute le succès de ce travail auprès des radiologues jeunes et vieux. 
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Livre : En PDFDisponible ici : Un Lien Pour le telecharger Gratuitement 18.4 mbLe Contenue De Ce Livre 💥👇👇 :
Chapitre I : Place de la TDM dans la prise en charge des urgences abdominales 
1. Abdomen urgent infecté 
2. Abdomen urgent occlus 
3. Abdomen urgent ischémique 
4. Abdomen urgent hémorragique 
5. Abdomen urgent traumatique 
Chapitre 2 : Technique TDM pour les urgences abdominales 
6. Rappels physiques 
7. Prise en charge du patient
Accueil du patient 
Interrogatoire
Voie veineuse
Installation du patient
8. Technique d'acquisition
Champ de vue et matrice
Constantes 
Épaisseur de coupe
9. Opacifications digestives
Opacifications digestives par voie basse
Opacifications par voie haute
10. Injection IV de produits de contraste iodés 
Produits de contraste iodés
Allergie aux produits de contraste iodés
Préparation antiallergique
Matériel d'injection
11. Étude de la cinétique de rehaussement
12. Protocoles d'acquisition
Acquisition réalisée sans injection de produit de contraste
Acquisition réalisée au temps artériel
Acquisition réalisée au temps parenchymateux
Acquisition réalisée au temps tardif
13. Fenêtrage
Étude des parenchymes
Étude osseuse et étude ou recherche de calculs et de calcifications
Étude ou recherche d'air extra-digestif
Étude des reliefs muqueux et du contenu intraluminal du tube digestif
14. Topogramme
15. Mode Cineview
16. Reconstructions multiplanaires
17. Notions de radioprotection
Effets néfastes de l'irradiation
Législation
Grandeurs dosimétriques
Principe d'acceptabilité
Chapitre 3 : Radioanatomie TDM de l'abdomen normal 
Chapitre 4 : Sémiologie TDM élémentaires des urgences abdominales
Accordéon (signe de I') 
Aérobilie
Aéroportie
Aéromésentérie
Bec (signe du)
Caillot sentinelle
Collier de perles (signe du)
Épaississement de fascia
Extravasation de produit de contraste
Fat notch (signe du)
Feces (signe du)
Halo (signe du)
Hémopéritoine
Hémorétropéritoine
Hypodensités périportales
Mésentère flou
Niveau hydroaérique
Niveau liquide-liquide
Paroi virtuelle (signe de la)
Peigne (signe du)
Perte de transparence de la graisse
Pneumatose intestinale
Pneumopéritoine
Rétropneumopéritoine
Stercolithe
Tourbillon (signe du) 
Chapitre 5 : Fois 
18. Pathologie infectieuse du fois
Hépatite virale aigue
Abcès hépatique à pyogènes
Abcès hépatique amibien
Abcès hépatiques fungiques
Distomatose à Fasciola hepatica
Périhépatite vénérienne
19. Pathologie ischémique du fois
Foie cardiaque aigu
Syndrome de Budd-Chiari aigu
Infarctus hépatique
Pyléphlébite
20. Pathologie hémorragique du fois
Hémorragie intrahépatique
Hall syndrome
21. Pathologie traumatique du fois
Traumatisme hépatique
Chapitre 6 : Voies biliaires
22. Pathologie obstructive des voies biliaires
Hydrocholécyste aigu
Volvulus de la vésicule biliaire
23. Pathologie infectieuse des voies biliaires
Cholécystite aiguë lithiasique
Cholécystite aiguë alithiasique
Cholécystite aiguë gangréneuse
Cholécystite aiguë emphysémateuse
Abcès périvésiculaire
Syndrome de Mirizzi
Angiocholite aigue
24. Pathologie traumatique des voies biliaires
Traumatisme de la vésicule biliaire
Chapitre 7 : Rate 
25. Pathologie infectieuse du rate
Abcès splénique à pyogènes
Abcès spléniques fungiques
26. Pathologie ischémique du rate 
Infarctus splénique
27. Pathologie hémorragique du rate
Rupture spontanée de la rate
Rupture d'un anévrisme de l'artère splénique
28. Pathologie traumatique du rate
Traumatisme splénique
Chapitre 8 : Pancréas
29. Pathologie inflammatoire du pancréas
Pancréatite aiguë
Pancréatite aiguë du sillon
Pseudokyste du pancréas
30. Pathologie traumatique du pancréas
Traumatisme pancréatique 
Chapitre 9 : Reins, voies urinaires et surrénales
31. Pathologie obstructive des reins, voies urinaires et surrénales
Colique néphrétique
32. Pathologie infectieuse des reins, voies urinaires et surrénales
Pyélonéphrite aiguë
Pyélonéphrite aiguë emphysémateuse
Néphrite bactérienne focale aiguë
Abcès rénal
Pyélonéphrite xanthogranulomateuse
Cystite emphysémateuse
33. Pathologie ischémique des reins, voies urinaires et surrénales
Infarctus rénal
34. Pathologie hémorragique des reins, voies urinaires et surrénales
Hématome spontané du rein
Hématome spontané de la surrénale
35. Pathologie traumatique des reins, voies urinaires et surrénales
Traumatisme rénal
Traumatisme urétéral
Traumatisme vésical
Traumatisme surrénalien
Chapitre 10 : Tube digesif 
36. Pathologie occlusive du tube digesif 
Occlusion du gréle
Occlusion colique
37. Pathologie inflammatoire du tube digesif 
Ulcère gastroduodénal
Maladie de Crohn
Rectocolite ulcérohémorragique
Mégacôlon toxique
Maladie du greffon contre l'hôte
Mucocèle appendiculaire
38. Pathologie infectieuse du tube digesif 
Appendicite aiguë
Phlegmon périappendiculaire
Abcès périappendiculaire
Diverticulite de Meckel
Sigmoïdite aiguë diverticulaire
Phlegmon périsigmoïdien
Abcès périsigmoïdie
Diverticulite aiguë du côlon droit 
Colite infectieuse aiguë
Colite pseudomembraneuse
Typhlite
39. Pathologie ischémique du tube digesif 
Ischémie intestinale aiguë (SIAM) 
Colite ischémique
40. Pathologie hémorragique du tube digesif 
Hémorragie digestive
Hémorragie intrapariétalc intestinale
41. Pathologie traumatique du tube digesif 
Traumatisme intestinotnésentérique 
Chapitre 11 : Péritoine et mésentère
42. Pathologie inflammatoire du péritoine et mésentère
Panniculite mésentérique
43. Pathologie infectieuse du péritoine et mésentère
Péritonite aiguë
44. Pathologie ischémique du péritoine et mésentère
Appcndagite épiploique
Infarctus segmentaire du grand omentum
Volvulus du grand omentum
Volvulus du mésentère
Chapitre 12 : Aorte abdominale
45. Pathologie ischémique de l'aorte abdominale
Dissection aortique
Pathologie hémorragique
Rupture d'un anévrisme de l'aorte abdominale
Chapitre 13 : Paroi abdominale et muscles
46. Pathologie infectieuse des parois abdominale et muscles
Abcès du muscle iliopsoas
47. Pathologie hémorragique  des parois abdominale et muscles
Hématome du muscle droit de l'abdomen
Hématome du muscle iliopsoas
48. Pathologie traumatique des parois abdominale et muscles
Rupture diaphragmatique
Chapitre 14 : Organes génitaux internes
49. Pathologie infectieuse des organes génitaux internes
Pyosalpinx
Abcès tubo-ovarien
50. Pathologie ischémique des organes génitaux internes
Torsion d'annexe
Nécrobiose aseptique de fibrome utérin
Torsion de fibrome utérin
Thrombose aigus de la veine ovarienne
51. Pathologie hémorragique des organes génitaux internes
Grossesse extra-utérine
Hémorragie de l'ovaire kystique
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Radiologie interventionnelle des artères rénales
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Imagerie De L'oreille Et Des Voies Cochléo-vestibulaires PDF
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 IMAGERIE DE L'OREILLE ET DES VOIES COCHLÉO-VESTIBULAIRES
IMAGERIE DE L'OREILLE ET DES VOIES COCHLÉO-VESTIBULAIRES 
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Table des matières 
1. Anatomie de I'os temporal et de son contenu  
2. Les anomalies malfomtatives de I'oreille interne
3. Fondements et pratique des explorations neurophysiologiques du nerf VIII et des cellules cilliées  4. Investigations neurofonctionnelles des voles auditives en Imagerie 
5. Susceptibilite magnetique et diffusion : nouvelles techniques pour investiguer le rocher en IRM de diffusion 
6. Maladie de Maniere 
7. La question des acouphénes, diagnostic causal et conflit de I'angle pontocerebelleux
8. Actualisation des techniques neurochirurgicales de l'angle pontocérébelleux 
9. Atlas radio-anatomique de rappareil audltif et de son environnement 
10. TDM ou Cone Beam CT (CBCT): nouvelle approche pour l'imagerie en ORL
11. Ouand, comment, pourquoi faut-II explorer par Imagerie une hypoacousie ou un trouble de l'équilibre ? 
12. Imagerie des surdités de transmission à tympan fermé 
13. Les visages du cholestéatome
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Réseau De Communication Et Archivage D’imagerie Médicale
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 Réseau De Communication Et Archivage D’imagerie Médicale
1. Introduction 
Le passage du dossier médical sous forme papier au dossier médical informatisé doit être un gain tant pour les professionnels de santé que pour les patients. 
Bénéfice en termes de service rendu au patient 
De coordination 
Pour les professionnels de santé.de confort d’exercice
Le bénéfice du « système d’information (SI) » par rapport au « papier » tient avant tout dans la possibilité. 
De structurer, 
Organiser, 
De trier, 
De synthétiser, 
Ajouter automatiquement des données médicales et des paramètres biologiques, mais aussi de les diviser facilement. 
Empêche également la double entrée. Et ces opportunités offertes par l'IP sont encore plus nécessaires aujourd'hui, comme il l'était il y a une quinzaine d'années, compte tenu du développement de pathologies chroniques associées au progrès thérapeutique et au vieillissement de la population. 
Par exemple, les décès dus à un infarctus aigu du myocarde ont considérablement diminué, mais les patients ont vécu avec une insuffisance cardiaque pendant des années, y compris une prise en charge régulière, à long terme et coordonnée entre divers professionnels de la santé. 
2. Systems D’information Medicales
    2.1. Système d’Information Hospitalier (SIH)
Définition 1 :
Un système informatique conçu pour faciliter la gestion de toutes les informations médicales et administratives dans un hôpital. 
Définition 2 :
Un ensemble d'éléments interactifs conçus pour recueillir, traiter et fournir les informations nécessaires à votre activité. 
    2.2. Système d'Information de Santé (SIS) 
Définition
Un système d'information complet qui rassemble tous les types d'agents et de ressources en soins de santé.
3. Objectifs De Système D’information Médicale 
Les systèmes d'information médicale visent à consolider toutes les données des patients pour permettre leur échange et leur communication et connecter les différents professionnels impliqués dans les soins et le suivi des patients. 
Principe 1 
Amélioration de la qualité des soins
    Amélioration des communications
    Réduction des délais d'attente
    Dossier patient intégré
    Aide à la prise de décisions
Principe 2 
Maîtrise des coûts
    Réduction de la durée des séjours
    Réduction des tâches administratives
    Diminution des frais de personnel 
    Optimisation des ressources
4.  Réseaux D’imagerie Médicale 
La simplicité et la facilité de déploiement caractérisent l'infrastructure développée. Il est basé sur un serveur primaire haute capacité qui fournit toutes les fonctions d'acquisition, d'indexation dans une base de données, de stockage et de distribution d'images sur des consoles interprétatives et cliniques.
    Mode de fonctionnement
Envoi automatisé d'images à un premier serveur à leur arrivée. 
Ce serveur principal reçoit les données saisies et envoie les images. 
Indexation dans une base de données Oracle. 
Premier stockage sur un espace court terme d’accès très rapide qui contient 2 années d’examens en ligne. 
Archivage sur un second dispositif de plus grosse capacité qui sert également de stockage secondaire et permet d’avoir l’intégralité des examens en ligne avec des temps d’accès légèrement moins performants. 
 Envoi des images vers un second serveur qui va piloter un robot de sauvegarde sur bandes pour une sauvegarde externalisée en cas d’incident technique majeur.
    Objectifs des réseaux d’imagerie 
Les réseaux d'imagerie ont plusieurs objectifs. Connectez plusieurs appareils d'imagerie médicale pour réduire le fonctionnement manuel et optimiser la circulation des images de la production à l'interprétation. 
Les méthodes diagnostiques et thérapeutiques améliorent la qualité des soins et assurent un meilleur suivi des patients. 
Partagez des photos avec les différents médecins responsables tout au long de leur maladie et de leurs maladies chroniques, en fonction de leur mobilité sociale, biologique ou thérapeutique. 
Pour s'en débarrasser rapidement à la demande des équipes responsables du patient. 
5. Les éléments De Structure D’un Réseau D’imagerie 
Deux éléments sont utilisés pour structurer un réseau d'images : RIS et PACS. 
    5.1. Qu'est-ce qu'un RIS ? (Radiology Information System ou Système d’Information en Radiologie)
Le RIS  qui est Abreviation du :  Radiology Information System ou Système d’Information en Radiologie est un système réseautique de gestion des activités d’un service radiologique. 
L'optimisation de ce système nécessite l'utilisation d'un système d'archivage et de communication d'images (PACS) qui permet la propagation de problèmes médicaux, d'images et de rapports 
C’est un logiciel qui est un outil de production du service d’imagerie médicale qui gère et fiabilise l’ensemble des données du dossier du patient, de la prise de rendez-vous jusqu’aux statistiques d’activité.
Multifonctionnel et multioptionnel sont les modules techniques qui vous permettent de définir et de gérer différents profils d'utilisateurs (prescripteurs, radiologues, manipulateurs, secrétaires) d'une certaine manière. 
Il se compose d'une section de gestion et d'imagerie et permet aux patients et aux professionnels de :
Gérer les antécédents médicaux du patient et leurs antécédents
Vérifier les antécédents courants du patient depuis n'importe où dans le réseau 
Enregistrer tous les événements dans le dossier patient pendant plusieurs années. avec Efficiency Dicta numériser le rapport 
Créer, archiver et diffuser des rapports Indexer les images dans les dossiers médicaux et gérer l'histoire entière sur une période de plusieurs années
Diffusion de l'imagerie produite par le département à l'hôpital 
Enregistrer scanner, imagerie par résonance magnétique et autres modalités d'imagerie au format DICOM. 
    5.2. Le PACS (Picture Archiving and Communication System):
C'est un système électronique de gestion de l'éducation médicale avec des fonctionnalités pour l'archivage, le stockage et la communication rapide. 
Ses capacités sont de loin supérieures à tous les appareils existants et offrent des perspectives pour le développement d'un réseau d'images à grande échelle et à long terme. 
Optimise RIS, qui est un complément indispensable à la gestion des images. 
    5.3. Qu'est ce qu'un PACS ?
C’est un système informatique qui permet de stocker au format DICOM les images issues des modalités d’imageurs. 
Il repose sur quatre composants informatiques très puissants qui autorisent des utilisations de systèmes de plus en plus rapides afin de mieux répondre aux besoins de l’hôpital.
    5.4. COMPOSANTES D’UN PACS 
A -> Les serveurs de base de données qui s’appuient sur les standards d’exploitations confirmés pour ce type d’activité tels que : UNIX, NT, 2000 ou XP, plus récemment LINUX, et des plusieurs systèmes de gestion et organisation  de base de données robustes  telque (Oracle, Sybase, orientés objets…) de plus en plus tournés vers le web.
B -> Les supports d’archivages qui allient les technologies RAID pour l’archivage à court et moyen terme, celles à long terme sur support magnétique ou optique.
 Pour un fonctionnement efficace, il est essentiel de gérer le bon archivage, y compris les taux de réduction, afin d'optimiser la prise en charge des sauvegardes. 
C -> Les consoles diagnostiques qui utilisent pour la plupart des systèmes d’exploitation Microsoft et confirment l’utilisation d’écrans plats LCD de haute résolution (3 ou 5 Méga pixels). 
Il introduit maintenant une approche volumétrique avec des logiciels de post-traitement tels que MIP, MPR, reconstruction 3D. 
Ils sont proposés par certains fournisseurs comme alternative à la deuxième console modale. 
D -> Les consoles de visualisation : les technologies de l’Internet permettent, pour les postes de travail distants des correspondants, la visualisation, la présentation et la communication par messagerie électronique des images qui ont lui pratiquer un Cryptage sécurisé pour transmission à l'extérieur de l'hôpital.  
PACS est un système informatisé qui centralise et gère la capture numérique de toutes les enquêtes radiologiques, visualise ces images sur des consoles d'affichage, imprime et envoie des images à l'intérieur et à l'extérieur de l'hôpital, et échange des informations de gestion avec les systèmes. (RIS) et les hôpitaux (SIH). 
Le PACS représente l’évolution naturelle des nouvelles technologies numériques vers un environnement global numérique où les activités basées sur le film sont progressivement remplacées par leur équivalent numérique pour aboutir à une pratique sans film. 
Il s'agit du sous-ensemble du système d'information hospitalier (SIH) pour collecter, stocker et archiver des images dans une base de données à laquelle tous les professionnels intéressés sont accessibles depuis n'importe où dans l'hôpital, permettant ainsi un échange optimisé de ces informations. 
    5.5. Fonctions du PACA 
Les principales fonctions du PACA sont 
Stockage de toute la recherche radiologique 
Gestion et mise en réseau de toute production d'images numérisées avec accès simultané à la même image depuis n'importe quel lieu de travail.
Archivage, préservation des images numériques sans risque de perte
Conseils sur examens radiologiques dans les stations d'observation ou les consoles Diagnostic permettant la manipulation et le traitement d'images locales
Partager et envoyer des images vers et depuis le département ou l'hôpital pour faciliter et accéder rapidement à toutes les images pour tous
Échanger des informations de gestion avec les systèmes informatiques de radiologie ( RIS) et les systèmes hospitaliers (SIH). 
6. Conditions Du Développement De Ces Réseaux 
Le transfert d'images sur un réseau nécessite la normalisation du format des messages et la conformité aux normes et protocoles de l'industrie afin d'assurer la cohérence et l'intercompatibilité du système. Ces normes sont les suivantes : 
    6.1. DICOM (Digital Medical Imaging Transmission). 
Digital Imaging and Communications in Medicine, communément abrégé DICOM, est une norme pour la gestion informatique des données d'imagerie médicale. 
Le format DICOM STANDARD 
     DICOM 
Est la norme utilisée dans l'environnement médical. Grâce à sa structure, il permet la communication d'images médicales numériques à travers un réseau. 
Ce format inclut des protocoles Exchange et une interface de communication réseau, soit Open Systems Interconnect (OSI) ou Transmission Control Protocol (TCP/IP). D'une part, 
    Le format DICOM 
Fournit l'image numérique et le texte pour le test effectué. L'image est encodée dans plus de 4000 nuances de gris par pixel. Il est possible de mettre en évidence les domaines que le spécialiste veut analyser, qui ne contiennent qu'une partie des informations à haute résolution. 
    DICOM 
Se compose de plusieurs parties pour développer et redessiner chacune d'elles (par exemple, en ajoutant la définition d'un nouvel objet d'information) sans avoir à remettre en question l'ensemble du modèle. 
Pour chaque partie, les sections qui peuvent être ajoutées ou modifiées sont jointes, ce qui facilite la mise à jour 
    6.2. Objectifs et avantages
Il a été créé en 1985 par l'American College of Radiology (ACR) et la National Electric Manufacers Association (NEMA) pour normaliser les données transférées entre les différents dispositifs de radiologie transférés. 
Cette norme définit un format de fichier, mais aussi un protocole de transfert de données (basé sur TCP/IP). 
Le HL7 (HealthLevel 7) 
HealthLevel 7 (HL7)
Le IHE (Integrating the Healthcare Enterprise) 
7. Avantages Du PACS 
    7.1. Pour les patients,
    7.2. Pour les radiologues et médecins cliniciens, 
    7.3. Les manipulateurs
    7.4. Les secrétaires 
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Voire Aussi :
| Dosimetres : Dosimetrie
| RI :Explication Des Experts
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Dosimetres : Dosimetrie
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Dosimetres : Dosimetrie
DOSIMETRES  Dosimetrie
 1. Introduction
Plusieurs personnes sont directement affectés au travail sous rayonnements ionisants dans différents domaines:
Production d’énergie d’origine nucléaire :fabrication du combustible, centrales nucléaires, recherche
Domaine médical :en radiothérapie, radioscopie, médecine nucléaire
Dans l’industrie :stérilisation, polymérisation, radiographie de pièces et de soudures, etc
Dans l’armée :navires nucléaires, armes
ces travailleurs doivent être soumis à une surveillance 
Cette surveillance a pour but de contrôler qu’ils ne soient pas exposés à des doses de rayonnement supérieures à certaines valeurs correspondant à un risque considéré suffisamment faible pour être acceptable.
Ce contrôle est effectué avec des dosemimètres individuels. 
Cette dosimétrie est obligatoire pour les travailleurs susceptibles d’être exposés à une dose de rayonnement de la catégorie A.
On Va expliquer les points suivantes
Présentation générale
Principes généraux de la dosimétrie individuelle
Dosimétres passifs
           Dosimétres photographiques
           Dosimétres thermoluminescents
           4-3Dosimétres radiophotoluminescents
           Stylodosimétres
Dosimètres actifs
            Généralités
            Compteurs à gaz
            Dosimètres à semi conducteurs
Dosimétres a neutrons
            Détection des neutrons
            Spécifité des champs neutroniques
            Détecteurs passifs
            Détecteurs solides de traces
            Détecteurs à bulles
Conculsion
Introduction ( Suite )
Ces dosimètres sont divisés en deux catégories : actif et passif. 
Alors que les dosimètres passifs ne peuvent être utilisés qu'après, les dosimètres électroniques à lecture directe sont de plus en plus associés à des systèmes centralisés d'enregistrement diurne et permettent une action efficace dans le sens de l'optimisation. 
En cas d'accident, les dosimètres vous permettent de spécifier les doses reçues par l'employé et de fournir un soutien médical diagnostique. 
Un dosimètre n'est généralement pas conçu pour satisfaire parfaitement tous les types ou énergies de rayonnement. L'utilisateur doit choisir un dosimètre approprié pour les champs de rayonnement auxquels le travailleur est (principalement) exposé. 
2. Présentation générale
Le rayonnement que les doomètres individuels sont destinés à mesurer est principalement le rayonnement photonique, mais aussi le rayonnement β (e-) et les rayonnements neutrons.
Son énergie varie de quelques dizaines de keV à plusieurs dizaines de MeV pour γ, de quelques eV à quelques MeV pour les neutrons, de 500 keV pour β. 
Le domaine médical traite des rayons X (
L'interaction de ce rayonnement avec la matière varie selon le type et l'énergie 
Pour un bon choix de dosimètre il faut tenir compte de tous ces éléments:
connaître les types et les énergies des rayonnements sur le lieu de travail 
Il faudra aussi savoir si des niveaux de débit de dose faibles et peu variables permettent une dosimétrie passive  ou s’il existe des risques de variations importantes, 
parfois à des débits de dose élevés, auquel cas il est recommandé d’utiliser un dosimètre actif
3. Principes généraux de la dosimétrie individuelle
Un seul dosimètre est un dispositif qui détecte et enregistre le rayonnement reçu par une personne et le transpose en une dose équivalente unique pendant une période de temps.
Dans le domaine médical, le risque d'exposition devrait être estimé dans un large éventail de sources : en radiothérapie avec des accélérateurs linéaires produisant des photons et/ou des électrons jusqu'à 30 MeV, et dans certaines applications à faible énergie avec des rayons X de 50 à 250 keV  
en cobaltothérapie (γ d’énergie moyenne 1,25 MeV)
en curiethérapie (γ de 296 à 468 keV pour 192Ir ; γ de 662 keV pour le 137Cs) 
l’utilisation de rayons X en radiologie peut exposer le personnel à des rayons X jusqu’à 25-30 keV en mammographie, jusqu’à 30 à 50 keV en dentaire, jusqu’à 140-150 keV pour les examens conventionnels et la scanographie
 la médecine nucléaire et les laboratoires utilisent des sources non scellées de rayonnements γ de 140 keV, du 99mTc, et émetteurs β d’énergie moyenne 695 keV du 32P.
4. Dosimètres passifs
    4.1. Les dosimétres photographiques 
Le dosimètre photographique unique est constitué d'un ou de plusieurs films photographiques logés dans un boîtier équipé d'un ou plusieurs écrans. KODAK, Film de surveillance personnelle sensible aux radiations β, X et γ-. 
Un tel dispositif permet d'évaluer une quantité dosimétrique à partir de la mesure de la densité optique des émulsions photographiques placées sous les différents écrans 
La base du film est recouverte de deux émulsions (gélatine avec une suspension de cristaux aux halogénures d'argent se vante) : une émulsion rapide et une émulsion lente, dont chacune est sur l'un des côtés du support. 
Un tel film permet de mesurer des boîtes de moins de 0,1 mSv à 18 Sv, selon le type d'émulsion utilisé 
Voire la Figure 2 dans le petit pdf 
Caractéristiques du boîtier (porte film-badge)          
Voire aussi le pdf
1. Fenêtre
2. 50 mg/cm2 plastique
3. 300 mg/cm2 plastique
4. 0,1 mm Dural 
5. 0,2 mm de Cu
6. 1mm de Pb
7. 0,3 mm Pb (écran d'angle)
Ecrans utilisés dans le Dosi-film
Voire aussi le pdf
- β purs : aluminium
-X et γ : d'énergie basse ou élevée : cuivre
- γ et neutrons thermiques : étain et cadmium (ce dernier provoquant une réaction n - γ, permet par la mesure des rayons gammas de doser les neutrons),
Les écrans métalliques (Dural, Cu-Pb) permettent de différencier qualitativement et quantitativement les divers rayonnements β, X, et γ et neutrons thermiques
Les deux faces du boîtier sont symétriques.
Les écrans de différentes épaisseurs sont faits de matériaux sélectionnés pour leurs propriétés d'absorption ou la conversion du rayonnement à l'énergie considérée. 
Selon les laboratoires, deux à sept écrans sont placés sur le film, délimitant autant de zones avec une réactivité énergétique propre. sera. 
Dosage avec une précision de l'ordre de ± 20% entre 15 keV et 3 MeV. 
Réponse des films photographiques
Les films photographiques sont constitués de microcristaux de sels d'argent, qui sont distribués dans une gélatine.
Sous l'influence du rayonnement, les ions Ag+ donnent naissance à des perles d'argent sous forme métallique, qui forment une image latente invisible. 
Le traitement correct du film montre l'image finale sous la forme d'un noircissement, qui est visible à l'œil nu. 
Il existe différents films (Kodak, Agfa, etc.) et émulsions avec une sensibilité différente pour couvrir des doses allant d'environ 0,1 mGy à 5 Gy 
Port du Dosimètre film
Il est utilisé au niveau de la poitrine (par exemple, sur la gauche). Cet endroit a été choisi car il correspond généralement à la valeur moyenne de l'exposition globale du corps. 
Il est important que tous les employés adhèrent à cette règle. Le dosimètre de film est envoyé tous les 15 jours après 3 mois pour lire en fonction de la position pour estimer la dose absorbée. 
Cette dose doit être indiquée dans un protocole spécial pour chaque employé afin d'estimer la dose absorbée pendant toute la période de travail du rayonnement 
En cas de port d’un écran le dosimètre doit être au dessous de l’écran de protection
Le dosimètre ne doit dans aucun cas rester dans un endroit ou il ya des rayonnements si son propriétaire n’est pas exposé à ces rayonnements
En sortant du service le dosimètre doit être dans une armoire spéciale là ou il ya un dosimètre témoin pour estimer la dose de l’exposition de cet endroit et la soustraire de la dose finale lue sur les dosimétres
    4.2. Dosimétres Thermoluminescents
La thermoluminescence (TL) est un phénomène physique qui se traduit par la propriété qu’ont certains cristaux, qui ont été soumis à une irradiation, d’émettre de la lumière lorsqu’on les chauffe. 
Une petite part de l’énergie déposée dans les matériaux thermoluminescents par les rayonnements ionisants y est emmagasinée et peut être restituée sous forme lumineuse lorsque ceux-ci sont chauffés.
La quantité de lumière émise dans certaines conditions de chauffage est proportionnelle à la dose reçue. 
Les dosimètres thermoluminescents (TLD), apparus à la fin des années 1960, étaient largement utilisés pour la surveillance des individus, mais aussi pour la surveillance de l'environnement.
Ils existent sous forme de pastilles extrudées, de frittés ou de poudre (celle-ci étant mise dans un conteneur plastique).
On trouve toute une variété de matériaux qui peuvent être choisis au mieux selon leur application: LiF, Li2B4O7 , CaF2 ou CaSO4 dopés de divers éléments
L’énergie reçue par les électrons au cours de l’irradiation modifie leurs niveaux énergétiques. 
En augmentant la température du cristal, les électrons sont libérés et ont la possibilité de revenir à leur position d'origine en perdant de l'énergie sous forme de photons (luminescence) 
Le phénomène est souvent décrit par un schéma de bandes (figure 4).
La limite de détection des TLD varie selon les matériaux, de quelques µSv pour les plus courants (CaSO4 dopé au Dy) à environ 10 µSv (LiF dopé au Mg, Ti). 
La réponse est linéaire jusqu’à des doses intégrées relativement élevées : par exemple 1 Gy pour le LiF : Mg, Ti.
Les TLD sont plus sensibles que les dosimètres photographiques. 
Ils sont réutilisables plusieurs centaines de fois (sauf cassures).
Chaque dosimètre peut être étalonné individuellement, ce qui permet de s’affranchir des problèmes de reproductibilité qui se posent à l’intérieur d’un même lot. 
Certains matériaux sont affectés par la lumière ou l’humidité mais, placé dans son conditionnement, le dosimètre TLD est une technique « robuste », pratiquement insensible aux conditions environnementales courantes.
Il existe de nombreux lecteurs automatiques dans le commerce (Panasonic, Rados, Harshaw, etc.) offrant une reproductibilité de 5 % à 30 % suivant la sélection faite sur les produits. 
Peut aller de 100 à 500 dosimètres par heure de la capacité de lecture
Le système informatique de tels lecteurs permet le stockage des coefficients de sensibilité de chaque détecteur, le stockage de tous les paramètres d’étalonnage du lecteur.
    4.3. Dosimètre radiophotoluminescent 
L'étude des lentilles de phosphate radioofoluminescent (LPR) a acquis une certaine importance depuis le début des années 1950. 
Cependant, ce type de dosimétrie ne sera pas immédiatement prêt à être utilisé en dosimétrie personnelle mensuelle. 
la prédose (ou dose en l’absence de toute irradiation) étant trop élevée : plusieurs mSv. 
D'autre part, en plus du film, le verre RPL sera également utilisé en dosimétrie par accident 
Les dosimètres RPL sont réalisés à partir de verres commerciaux activés à l’argent et contenant des phosphates de différents éléments (Al, Li, K et Ba). 
Ils se présentent sous forme de disques ou de petits cylindres. 
Un lecteur traditionnel de verres RPL correspond à un simple fluorimètre UV - visible. TOSHIBA est le seul fabricant actuel commercialisant le système 
Selon le principe, le rayonnement ionisant arrache, à la structure du verre, des électrons qui sont ensuite piégés par certains défauts ponctuels. 
Inspirés par le rayonnement UV continu, ils changent d'énergie émettant une luminescence orange. L'intensité de luminescence est proportionnelle à la dose. 
Le verre n’étant pas parfait, les électrons piégés lors de sa fabrication lui donnent une « prédose » qui varie, selon la qualité de fabrication, d'une fraction de mSv à plusieurs mSv pour les pires verres. 
Comme le verre n'est pas parfait, les électrons piégés lors de sa fabrication lui donnent une « prédose », qui varie d'une fraction de mSv à plusieurs mSv pour les pires verres, selon la qualité de la production. 
La lecture est non destructive et un dosimètre irradié peut être lu n'importe quel nombre de fois. 
Le dosimètre peut être réutilisé cent fois après « Reset » (la dose est éliminée en changeant à environ 400 oC pendant 10 minutes). 
Veuillez noter qu'après lecture, le dosimètre continue de contenir des canettes. La seule façon de classer un dosimètre de lecture est de le placer dans une serrure principale. 
    4.4. Stylodosimètre 
Le stylodosimètre est utilisé en plus des dosimètres individuels, tels que le dosimètre de plaque de film ou le dosimètre thermoluminescent, qui fournissent une dose posteriori prise.
En fait, il est possible à tout moment pendant le travail des rayonnements ionisants de connaître la valeur de la dose absorbée obtenue. 
La simple lecture de l'appareil assure une surveillance continue des conditions de travail et empêche les expositions dangereuses. 
Le 2 mGy est le stylodosimètre le plus couramment utilisé. Assure une surveillance continue des conditions de travail simplement en lisant l'appareil, évitant ainsi les charges dangereuses. 
La simple lecture de l'appareil assure une surveillance continue des conditions de travail et empêche les expositions dangereuses. 
Le stylodosimètre le plus couramment utilisé est 2 mGg. Il a un mouvement propre, c'est-à-dire l'auto-décharge, allant de 0,05 à 0,10 mGy par semaine pour les appareils en excellent état. 
Ce mouvement propre est dû aux rayons cosmiques (1/3) et aux fuites (2/3) du support isolant de l'électroscope. 
Le stylodosimètre comporte une chambre d’ionisation cylindrique dont l’anode axiale est reliée à un électromètre à fibre de quartz. 
Cette chambre est alimentée en tension par un condensateur.
L’ionisation du gaz de la chambre, produite par les particules chargées, provoque la décharge progressive du condensateur.
. Le déplacement de l’électromètre associé aux électrodes de la chambre peut être lu directement à travers un microscope optique et mesuré à l’aide du micromètre inclus dans l’oculaire. La remise à zéro est réalisée en rechargeant la capacité du système.
Inconvénients 
La précision des mesures n'est pas excellente en cas d'intégration de dose au cours du mois. Il n'est pas rare de voir une différence significative entre la dose enregistrée par l'insigne du film et la dose enregistrée par le stylodosimètre. 
Ce changement peut résulter፦ du mouvement correct du styldosimètre à lecture directe, variable d'un instrument à l'autre, - de la différence dans la réponse énergétique des dosimètres ou le traitement mécanique du stylodosimètre. 
Le stylodosimètre doit avoir une réponse énergétique compatible avec le type de rayonnement X ou γ utilisé. 
Un choc sévère peut décharger complètement ou partiellement la flèche si nécessaire. 
5. Dosimétres actifs (dosimétres opérationnels)
    5.1. Généralités
    5.2. Compteurs à gaz
    5.3. Dosimètres à semi conducteurs
6. Dosimétres a neutrons
            6.1. Détection des neutrons
            6.2. Spécifité des champs neutroniques
            6.3. Détecteurs passifs
            6.4. Détecteurs solides de traces
            6.5. Détecteurs à bulles
7. Conculsion
Aujourd'hui, deux principaux types de dosimétrie coexistent. D'une part, la dosimétrie dite passive utilise généralement du film ou de la thermoluminescence, la dosimétrie dite active utilise l'électronique et l'informatique. 
La dosimétrie passive est incluse dans un système qui fonctionne bien, et le dosimètre renouvelé mensuel ou trimestriel reste modeste. 
Il fournit des informations sur la dose accumulée seulement après le posteriori, mais il est approprié lorsque les risques d'exposition sont faibles ou en cas d'exposition accidentelle à des doses élevées, où il a l'avantage d'être moins sensible aux effets de la saturation du détecteur qu'avec la dosimétrie active. 
Aujourd'hui, deux principaux types de dosimétrie coexistent. D'une part, la dosimétrie dite passive utilise généralement du film ou de la thermoluminescence, la dosimétrie dite active utilise l'électronique et l'informatique. 
La dosimétrie passive est incluse dans un système qui fonctionne bien, et le dosimètre renouvelé mensuel ou trimestriel reste modeste. 
Et voila une petite video pour vous imaginer ce dosimetres
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Ponction Ascitique Radiologie Interventionnelle
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 Ponction Ascitique Radiologie Interventionnelle
1. Définition d'une ponction ascitique 
Petite Video pour  imaginer la ponction ascitique  
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Une ponction ascitique est une procédure médicale au cours de laquelle une aiguille est utilisée pour drainer le liquide piégé dans une cavité interne du corps, le plus souvent l'abdomen (ventre). 
Il peut être nécessaire de drainer le liquide de l'abdomen pour différentes raisons, par exemple si le liquide étire l'abdomen et provoque des douleurs, s'il est infecté ou si un médecin doit analyser le liquide en laboratoire pour détecter la présence d'une maladie.
Un radiologue (médecin spécialiste) utilise des ultrasons pour montrer des images ou des photos de l'intérieur de l'abdomen sur un écran afin de guider l'aiguille vers l'endroit où se trouve le liquide.
La ponction ascitique est également appelée "abdominocentèse", "paracentèse de l'abdomen" ou "drainage ascitique".
2. Avantages d'une ponction ascitique 
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Avantages d'une ponction ascitique 
La ponction ascitique permet de retirer le liquide présent dans l'abdomen s'il est infecté, s'il provoque des douleurs ou s'il doit être analysé en laboratoire pour diagnostiquer une maladie. 
La ponction ascitique est plus rapide, plus facile et plus sûre que les autres méthodes qui peuvent être utilisées pour retirer le liquide de l'abdomen. Elle laisse également une cicatrice plus petite et permet une récupération plus rapide par la suite.
Parfois, si le liquide est trop profond pour être atteint à travers la peau ou s'il y a trop de poches de liquide distinctes, il peut être décidé de ne pas effectuer de ponction ascitique.
 Cela ne peut être déterminé qu'au moment de l'intervention, lorsque le médecin utilise des images échographiques pour localiser le liquide et est en mesure d'évaluer la meilleure méthode à utiliser pour le drainage.
3. Indications de la ponction d'ascite (paracentèse)
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Indications de la ponction d'ascite (paracentèse)
Pour aider au diagnostic de la cause de l'ascite ou au diagnostic ou à l'exclusion de la PBS.
Une paracentèse diagnostique doit être effectuée chez tous les patients présentant une ascite nouvelle de grade 2 ou 3, et chez tous les patients hospitalisés pour une aggravation de l'ascite ou toute complication de la cirrhose.
Ascite de grade 1
Définition
Ascite légère uniquement détectable par échographie
Traitement
Pas de traitement
Ascite de grade 2
Définition
Ascite modérée mise en évidence par une distension symétrique modérée de l'abdomen
Traitement
Restriction du sodium et diurétiques
Ascite de grade 3
Définition
Ascite importante avec distension abdominale marquée
Traitement
Paracentèse de grand volume suivie d'un traitement comme pour (2)
4. Équipement de la ponction ascitique (paracentèse)
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Équipement de la ponction ascitique (paracentèse)
Échographie (idéalement)
Chariot à pansements et poubelle pour objets tranchants
Champ stérile
Paquet de pansements stériles
Gants stériles
Tampons de chlorhexadine à 2 %.
Analgésie
10 ml de lidocaïne à 1% ou 2%.
Aiguille orange (25G) (x1)
Aiguille verte (19G) (x1)
Seringue de 10ml (x1)
Seringue 20ml (x1)
avec aiguille verte (19G) (x1)
Récipients pour échantillons
Flacons d'hémoculture
Pansements
5. Contre-indications à la ponction ascitique 
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Contre-indications à la ponction ascitique
Infection sous-jacente
Choix d'un autre site
Précautions - mais pas de contre-indications
Coagulopathie (INR>2,0)
Essayez de corriger l'INR à
Plaquettes
La thrombocytopénie et la coagulopathie sont souvent présentes dans les maladies du foie et, bien qu'il s'agisse d'une mise en garde, elles ne constituent pas une contre-indication à la paracentèse ou au drainage.
L'incidence des hémorragies cliniquement significatives est faible ; l'administration systématique de PFC ou de plaquettes n'est pas indiquée.
Grossesse
Organomégalie
Obstruction/iléus
Vessie distendue
Adhérences abdominales
6. Préparation Avant la ponction ascitique
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 Préparation Avant la ponction ascitique
Consentement du patient et explication de la procédure
Consentement en cas d'infection, de saignement, de douleur, d'échec, de dommages aux structures environnantes (en particulier la perforation intestinale - rare), de fuite.
Allongez le patient à plat et faites un examen clinique pour confirmer la présence d'ascite.
Échographie de la zone d'insertion
Définir les points de repère
Visez 1/3 à ½ de la distance entre l'épine iliaque antéro-supérieure et l'ombilic en évitant les vaisseaux et les cicatrices.
Petite resumée
Il est possible que l'on vous demande de rester à jeun (sans manger ni boire pendant un certain temps) avant l'intervention. 
C'est très important car vos intestins (ou intestin) bougent involontairement après avoir mangé, ce qui peut rendre la ponction ascitique plus difficile à réaliser.
Si vous prenez de la warfarine (Coumadin ou Marevan) ou d'autres médicaments pour fluidifier le sang, vous devrez arrêter de les prendre pendant plusieurs jours avant de subir la ponction ascitique. 
Cette période peut aller de 5 à 10 jours si vous prenez du Clopidogrel/Asasantin. Votre médecin référent vous conseillera à ce sujet. Si les risques liés à l'absence de ces médicaments sont jugés trop élevés, par exemple si vous avez récemment subi la pose d'un stent ou d'autres interventions cardiaques, 
il convient d'en discuter avec votre médecin traitant et le radiologue chargé de l'intervention avant de procéder à celle-ci. Il peut être nécessaire de prendre d'autres médicaments pour fluidifier le sang. 
Si vous prenez de la warfarine, un INR (c'est le test sanguin que vous faites régulièrement pour vérifier que votre dose de warfarine est appropriée) est nécessaire avant l'intervention, de préférence le jour même. Il n'est pas nécessaire d'arrêter de prendre de l'aspirine avant l'intervention.
Des analyses de sang spéciales sont recommandées pour tous les patients souffrant d'une maladie du foie. Votre médecin référent s'en chargera avant la ponction ascitique.
7. Protocole et procédure de la ponction ascitique 
On vous demandera de vous allonger sur le dos sur un lit et on essuiera votre abdomen avec un liquide antiseptique.
Le médecin localisera le liquide dans votre abdomen et déterminera le moyen le plus facile de l'atteindre en utilisant des images échographiques qui montrent l'intérieur de votre abdomen sur un écran.
Vous serez totalement éveillé pendant toute la procédure, mais le médecin engourdira une petite zone de peau avec un anesthésique local pour votre confort. 
À travers la zone de peau engourdie, une aiguille est utilisée pour insérer un tube de drainage en plastique fin dans la zone de liquide. 
Cela permet au liquide de s'écouler hors du corps dans un sac en plastique fermé. Une fois qu'une quantité suffisante de liquide a été retirée, le tube est soigneusement retiré par une infirmière ou un médecin. 
Cela ne prend que quelques secondes et aucun point de suture n'est nécessaire. Vous serez alors autorisé à partir
Placez le patient en décubitus dorsal dans le lit, la tête reposant sur un oreiller.
Choisissez un point approprié sur la paroi abdominale dans le quadrant inférieur droit ou gauche, latéralement à la gaine des droits. Si la palpation et la percussion ne permettent pas de trouver un site approprié, envisagez d'utiliser les ultrasons pour marquer un point.
Nettoyez le site et la zone environnante avec de la chlorhexadine à 2% et appliquez un drap stérile.
Anesthésiez la peau avec de la lidocaïne en utilisant l'aiguille orange.
Anesthésiez les tissus plus profonds à l'aide de l'aiguille verte, en aspirant lorsque vous insérez l'aiguille pour vous assurer que vous n'êtes pas dans un vaisseau avant d'infiltrer la lidocaïne. Utilisez un maximum de 10 ml de lidocaïne.
Prenez une aiguille verte propre et une seringue de 20 ml et insérez-les à travers la peau en avançant et en aspirant jusqu'à ce que le liquide soit retiré.
Aspirer 20ml
Retirez l'aiguille et appliquez un pansement stérile
8. Séquelles de la ponction ascitique
En général, vous vous sentirez comme avant la ponction ascitique, sans effets secondaires. S'il y avait beaucoup de liquide dans votre abdomen et qu'il a été retiré, vous pouvez vous sentir beaucoup plus à l'aise qu'avant.
Si l'on a drainé beaucoup de liquide, cela peut faire baisser votre tension artérielle et vous donner des vertiges ou des étourdissements. 
Parfois, le m��decin peut administrer des liquides de remplacement dans vos veines pour réduire cet effet secondaire.
Une fois que la majeure partie du liquide a été drainée de votre abdomen, la tubulure peut être inconfortable, voire douloureuse. Ce problème est généralement résolu lorsque le tube de drainage est retiré.
La plupart des patients auront une très petite cicatrice (3 mm) sur la peau à l'endroit où le tube de drainage a été inséré. 
Une fois l'intervention terminée, le site d'entrée sera recouvert d'un pansement imperméable afin que vous puissiez prendre une douche. 
Vous devez éviter de nager ou de faire des activités intenses pendant au moins 5 jours, le temps que la plaie guérisse complètement.
Parfois, du liquide peut continuer à s'écouler de la plaie sous le pansement. Il est important de garder la plaie propre et de la recouvrir d'un pansement jusqu'à ce qu'elle soit sèche et ne suinte plus de liquide.
9. Durée d'une ponction ascitique 
L'ensemble de la procédure, y compris l'échographie pour localiser le liquide, l'installation des instruments et la mise en place du tube, peut prendre entre 15 et 30 minutes.
Une fois le tube de drainage en place, vous devrez attendre que le liquide s'écoule. Cela peut prendre de 5 minutes à plusieurs heures, selon la quantité de liquide et la vitesse à laquelle il s'écoule.
Vous serez autorisé à rentrer chez vous une fois que le liquide aura été évacué et que le tube de drainage aura été retiré.
10. Les risques d'une ponction ascitique 
Cette procédure présente peu de risques.
Le risque d'introduire une infection dans votre abdomen ou dans la plaie cutanée est également très faible. De nombreuses mesures sont prises par le médecin pour minimiser ce risque.
Il existe un faible risque que vous continuiez à drainer du liquide à partir du site de ponction pendant plusieurs jours après l'intervention.
Les saignements sont une complication rare
Les dommages aux organes adjacents sont très rares en raison de l'utilisation d'un appareil à ultrasons pour guider l'intervention.
Si une grande quantité de liquide est retirée, vous pouvez avoir des vertiges en raison d'une pression artérielle basse. Cela peut parfois nécessiter l'administration de fluides par voie intraveineuse.
Informez immédiatement votre médecin si vous avez de la fièvre, une douleur intense, une rougeur au niveau de la plaie, du sang dans les urines ou un saignement au niveau du site.
11. Résultats d'une ponction ascitique
Le temps nécessaire pour que votre médecin reçoive un rapport écrit sur le test ou l'intervention que vous avez subi variera selon :
De l'urgence avec laquelle le résultat est nécessaire ;
Type de tests de laboratoire qui doivent être effectués sur un échantillon du liquide ;
Si votre médecin doit fournir des informations supplémentaires avant que le radiologue puisse interpréter l'examen ;
comment le rapport est communiqué à votre médecin (par téléphone, courriel, télécopie ou courrier).
N'hésitez pas à demander au personnel de l'établissement où vous passez votre examen ou votre intervention quand votre médecin aura probablement le rapport écrit.
Il est important de discutier les résultats avec le médecin qui vous a adressé, soit en personne, soit par téléphone, afin qu'il doit vous expliquer ce que les résultats signifient pour vous.
Voire Aussi :
| Artériographie Des Membres Inférieurs
| Angioplastie Coronaire
| Coronarographie
| Artériographie Rénale
| RI :Explication Des Experts
| Angiographie Cérébrale
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Artériographie Des Membres Inférieurs
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 Artériographie Des Membres Inférieurs
Artériographie Des Membres Inférieurs 
Les artères des membres inférieurs jouent un rôle vital en fournissant du sang aux os, aux muscles, aux tendons et aux nerfs des extrémités pour maintenir la mobilité du corps. 
Ces artères peuvent être impliquées dans un certain nombre de processus pathologiques qui limitent le fonctionnement optimal du membre. 
La connaissance des différentes maladies, de leur présentation clinique, de leur aspect sur les différentes modalités d'imagerie et des segments touchés aide à établir le diagnostic. 
Il est primordial pour le clinicien d'appliquer le bon outil d'imagerie en fonction de la question clinique, ce qui est facilité par la connaissance des avantages et des limites de chacune de ces modalités d'imagerie. 
Cet article se concentre sur les artères des membres inférieurs, leur anatomie, les différentes modalités d'imagerie et les maladies courantes affectant les artères des membres inférieurs.
Mots clés : Artères des membres inférieurs, échographie, doppler, tomographie par ordinateur, imagerie par résonance magnétique, angiographie par soustraction numérique.
On va expliquer dans le petit pdf et aussi sous le pdf afficher essayer de lire le plus que possible des informations
1. Introduction
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artères des membres inférieurs
Les membres inférieurs font partie intégrante du corps humain et leur fonction première est de permettre la mobilité. 
Le système artériel fournit du sang aux muscles et aux os des membres inférieurs. La connaissance de l'anatomie et des différentes modalités d'imagerie disponibles est importante pour l'identification et la gestion de diverses maladies. L'échographie et le doppler sont rapides, non invasifs et sans effets indésirables connus. 
L'échographie est dépendante de l'opérateur, de l'équipement et a une courbe d'apprentissage pour son utilisation et son interprétation. 
L'angiographie par tomodensitométrie est rapide, fournit une vue d'ensemble des artères des extrémités et est largement utilisée, notamment dans les situations d'urgence comme l'ischémie aiguë des membres. 
L'inconvénient du CT est l'utilisation de produits de contraste iodés et le risque potentiel de néphropathie induite par les produits de contraste. L'IRM peut fournir des informations essentielles sans utiliser de produit de contraste. 
Elle peut également évaluer la paroi des vaisseaux et les processus pathologiques dynamiques. 
L'étude par IRM est limitée par sa disponibilité et le temps de balayage prolongé.L'angiographie par cathéter est la référence pour l'évaluation des maladies artérielles périphériques et a un rôle thérapeutique.
Cependant, elle est invasive et nécessite un opérateur qualifié pour être réalisée en toute sécurité.
2. Anatomie des artères des membres inférieurs
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Anatomie des artères des membres inférieurs
Les artères des membres inférieurs partent de l'artère iliaque commune, issue de la trifurcation de l'aorte abdominale en iliaque commune et en artère sacrée médiane, vers l'avant et la gauche du quatrième corps vertébral lombaire. 
L'artère iliaque commune se divise en artères iliaques interne et externe. L'artère iliaque externe se poursuit dans les membres inférieurs sous forme d'artère fémorale commune.
L'artère située au-dessus du ligament inguinal est appelée artère iliaque externe et celle située au-dessous est l'artère fémorale commune. 
L'artère fémorale commune donne de petites branches, à savoir l'artère épigastrique superficielle, l'artère pudendale externe et l'artère circonflexe superficielle avant sa bifurcation. 
L'artère fémorale commune se divise en artère fémorale superficielle et profonde, également appelée artère fémorale profonde. 
L'artère fémorale profonde donne naissance aux artères fémorales circonflexes médiale et latérale et à des branches perforantes vers le muscle de la cuisse. 
L'artère fémorale superficielle continue le long de la face médiale de la cuisse à travers le canal adducteur également appelé canal de Hunter. 
L'artère fémorale superficielle sort du canal de l'adducteur, se dirige vers la partie postérieure de l'extrémité inférieure du fémur où elle est appelée artère poplitée après avoir franchi le hiatus de l'adducteur dans la région du creux poplité. 
L'artère fémorale superficielle donne la branche géniculaire descendante avant l'existence du hiatus des adducteurs qui alimente le genou et peut également s'anastomoser avec d'autres branches de l'artère poplitée. 
L'artère poplitée fournit de riches collatérales à l'articulation du genou sous la forme d'artères géniculées supérieures et inférieures de chaque côté de l'articulation, en plus de la branche géniculaire moyenne et des branches musculaires. 
À des fins interventionnelles, l'artère poplitée est divisée en trois segments comme suit : Le segment P1, de la fosse intercondylienne au bord proximal de la rotule. 
Segment P2, de la partie proximale de la rotule au centre de l'articulation du genou. Le segment P3 (sous l'artère poplitée du genou), du centre de l'espace articulaire du genou à l'origine de l'artère tibiale antérieure .
L'artère poplitée se divise en artère tibiale antérieure et en tronc tibiopéronier approximativement au niveau de l'articulation tibiofibulaire proximale. 
L'artère tibiale antérieure parcourt le compartiment latéral de la jambe après avoir percé la membrane interosseuse près du tibia et longe la surface antérieure de la membrane interosseuse . 
L'artère tibiale antérieure se poursuit dans le pied en tant qu'artère pédieuse dorsale. Au niveau des malléoles, l'artère se trouve à côté du tendon de l'extenseur de l'hallucis longus qui sert de repère anatomique pour la palpation du pouls clinique. 
Le tronc tibiopéronéal se divise ensuite en artère péronière et en artère tibiale postérieure qui court le long de la face postéro-interne de la jambe. 
L'artère tibiale postérieure forme les arcs plantaires médial et latéral. L'arcade plantaire donne naissance aux artères métatarsiennes et à l'artère digitale plantaire. 
Des branches communiquent entre les arcs et l'artère pédieuse dorsale, qui s'hypertrophient dans les états pathologiques et contribuent à maintenir l'irrigation sanguine des orteils.
L'artère péronière se termine en branches calcanéennes médiale et latérale au-dessus de l'articulation de la cheville. 
Ces branches communiquent librement avec l'artère pédieuse dorsale et l'artère tibiale postérieure et contribuent à la collatéralisation du pied en cas de maladie.
3. Définition d'une artériographie des membres inférieurs 
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Définition d'une artériographie des membres inférieurs
Une artériographie aide votre médecin à comprendre le fonctionnement de vos artères et à déterminer s'il y a des problèmes, comme des caillots sanguins, des vaisseaux sanguins blessés ou une maladie artérielle. 
Arterio fait référence aux artères, et graphie fait référence au processus d'enregistrement de quelque chose.
Au cours d'une artériographie, votre médecin injecte un colorant dans vos artères. Il prend ensuite des clichés radiographiques. 
Le colorant apparaît sur les images, ce qui permet à votre médecin de voir tout blocage ou rétrécissement de vos artères.
Dans l'artériographie des extrémités, votre médecin examine les artères de vos extrémités. Il s'agit des mains, des pieds, des bras ou des jambes. 
Dans certains cas, vous entendrez peut-être un terme plus spécifique, tel que l'artériographie des membres inférieurs (AME), qui concerne les pieds ou les jambes. 
L'artériographie des extrémités supérieures concerne les mains ou les bras.
4. Indication d'une artériographie des membres inférieurs 
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Indication d'une artériographie des membres inférieurs
Votre médecin peut demander cet examen s'il pense que vous avez un vaisseau sanguin obstrué ou rétréci dans votre main, pied, bras ou jambe. Les symptômes possibles sont les suivants
Des crampes nocturnes
Douleur dans la main, le pied, le bras ou la jambe
Douleur ou gêne lorsque vous utilisez vos bras ou vos jambes
Sensibilité au froid dans la zone affectée
Picotements dans les pieds ou les orteils
Pouls faible ou absent dans la zone affectée
5. Préparation d'une artériographie des membres inférieurs 
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Préparation d'une artériographie des membres inférieurs
Comment dois-je me préparer pour une artériographie des extrémités ?
Prévenez votre médecin si vous êtes enceinte ou si vous pensez l'être. De faibles niveaux de radiation pendant la radiographie peuvent être dangereux pour un fœtus en développement.
Votre médecin vous demandera de ne rien manger ni boire pendant une certaine période avant l'examen. Cette période est généralement de six à huit heures.
Assurez-vous que votre médecin connaît tous les médicaments que vous prenez. Il pourrait vous demander d'arrêter temporairement de prendre certains d'entre eux avant l'intervention.
Informez votre médecin si vous avez des problèmes de saignement ou si vous avez eu des réactions allergiques à.. :
Des médicaments
Les colorants radiologiques (produits de contraste)
Les substances iodées
À l'hôpital, vous devrez signer un formulaire de consentement. Vous devez également enfiler une blouse d'hôpital et retirer les bijoux de la zone examinée.
6. Protocole d'une artériographie des membres inférieurs
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Protocole d'une artériographie des membres inférieurs
Que se passe-t-il pendant une artériographie des extrémités ?
Vous serez allongé sur le dos sur une table de radiologie. Votre médecin va nettoyer une partie de la peau. Il pourra également raser cette zone, qui se trouve souvent dans l'aine.
Vous recevrez une injection de médicament anesthésiant dans la zone nettoyée. Cette injection peut piquer, mais elle vous empêchera de ressentir une douleur plus intense pendant l'intervention.
Votre médecin va ensuite insérer une aiguille dans une artère. Il fera passer un tube fin dans cette aiguille. De là, il guidera le tube (appelé cathéter) dans votre artère jusqu'à la zone à examiner.
Après avoir positionné le cathéter, votre médecin injectera un colorant spécial. Il prendra des radiographies pendant que le colorant circule dans vos artères. 
Le produit de contraste apparaît sur les radiographies, ce qui aide votre médecin à voir les problèmes éventuels dans vos artères.
Au cours de ce test, votre médecin peut être en mesure de résoudre immédiatement le problème. Parmi les traitements que votre médecin pourrait choisir d'effectuer au cours de l'intervention, citons les suivants
L'utilisation d'un médicament pour dissoudre un caillot sanguin
Utiliser un ballon pour ouvrir une artère (angioplastie par ballonnet)
Maintenir une artère ouverte à l'aide d'un stent (petit tube)
7. Complication d'une artériographie des membres inférieurs
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 Complication d'une artériographie des membres inférieurs
Quelles sont les complications associées à une artériographie des extrémités ?
Chaque fois que vous passez une radiographie, vous êtes exposé à un faible niveau de radiation. 
Cependant, ces niveaux de rayonnement ne sont généralement pas dangereux. Si vous êtes enceinte ou si vous allaitez, parlez-en à votre médecin avant de passer une radiographie.
Même de faibles niveaux de rayonnement peuvent être dangereux pour un fœtus en développement ou un bébé qui est en train d'allaiter.
Les autres risques possibles, bien que rares, sont les suivants
Une réaction allergique au colorant (produit de contraste)
Caillot de sang au niveau du site d'insertion
Caillot de sang qui se déplace vers vos poumons
L'endommagement d'un vaisseau sanguin
Saignement excessif au niveau du site d'insertion
Crise cardiaque
Hématome au niveau du site d'insertion
Lésions rénales causées par l'agent de contraste
Accident vasculaire cérébral
Lésion nerveuse au niveau du site d'insertion
8. Après une artériographie des membres inférieurs
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Après une artériographie des membres inférieurs
Que se passe-t-il après une artériographie des extrémités ?
Votre médecin appliquera une pression sur le site d'insertion pendant 10 à 15 minutes après l'intervention. Cela devrait aider à arrêter le saignement.
Gardez la jambe la plus proche du site d'insertion droite pendant six heures après le retrait de l'aiguille. Si l'insertion s'est faite dans un de vos bras au lieu de votre aine, gardez ce bras droit.
Ne soulevez pas d'objets lourds et ne faites pas d'activité intense pendant un ou deux jours complets après l'intervention.
9. Résultats d'une artériographie des membres inférieurs
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Résultats d'une artériographie des membres inférieurs
Cette procédure peut révéler plusieurs problèmes concernant vos artères et vos vaisseaux sanguins. Il s'agit notamment de :
Des maladies telles que la maladie de Buerger
Maladie de Takayasu et les maladies des artères
Anévrismes
Caillots sanguins
Athérosclérose
Vasculite
Vaisseaux sanguins blessés
Rétrécissement des artères
Votre médecin examinera vos radiographies et discutera avec vous des résultats, ainsi que de tout traitement nécessaire.
Petie resume Dans le pdf  donc il faut lire le pdf
Artériographie des membres inférieurs  :Seldinger fémoral 
    A la suite de l'injection aortique, le cathéter est abaissé au-dessus de la bifurcation aortique. 
Produit de contraste : 
    AC 90 ml 15 ml/sec 
Artério - phlébographe 30 x 120 
    Le premier cliché : Début de l'injection (après 3 sec ). 
    Clichés suivants : toutes les 4 ou 5 secondes, en fonction de la sévérité de l'artérite.           Attention au stade IV dont la circulation est souvent accélérée
Ponction fémorale rétrograde 
   Unifémorale 
            AC 40 ml 10 ml/sec 
  Bifémorale 
             AC 80 ml 10 ml/sec 
 Contrôles post- opératoires 
   Pontage fémoral unilatéral : 
            Seldinger par ponction  contro - latérale 
   Pontage f��moral bilatéral : 
            Voie brachiale haute (Seldinger) 
   Pontage axillo -fémoral : 
            Ponction de l'artère humérale avec une aiguille-cathéter et injection rétrograde 
   AC 80 ml 10 ml/sec - Sériographe 30 x 120 
   Contrôle d'une zone localisée en post- opératoire (ex : bifurcation fémorale) : 
            Angiographie numérisée par voie veineuse. 
    Seldinger huméral ou axillaire 
    Angiographie numérisée par voie veineuse (contrôle post- opératoire) 
    Artériographie du membre supérieur et de la main 
    Seldinger fémoral 
 C'est la méthode de choix chez le patient jeune. En fonction de la zone explorée, le cathéter 5 F est mis en place dans le segment initial de l'artère sous-clavière, axillaire ou humérale. 
     AC : sériographe 35 x 35, 1 à 2 clichés/sec ou 30 x 120 1 cliché toutes les 3 sec suivant le segment exploré. 
    AN : 1 image/sec en débutant 6 à 8 sec après le début de l'injection pour l'étude de la main. 
   Bien veiller à une bonne immobilisation de la main placée en supination. 
   Produit de contraste  : 24 ml - 6 à 8 ml/sec
    Ponction directe humérale 
    Méthode utilisée de préférence chez le patient âgé,  hypertendu. 
    Ponction directe axillaire 
    Utilisée chez le patient âgé en l'absence de pouls huméral. 
    Pharmaco-angiographie 
Du fait de la fréquence des spasmes artériels, il peut être utile de s'aider en cas d'opacification insuffisante du réseau artériel de la main, de l'injection d'un vasodilatateur 
(ex : Prostine , une ampoule de 1 ml diluée dans 1000 ml de sérum physiologique dont on injecte lentement 8 ml en intra-artériel.) 
Cette technique plus physiologique a pour avantage de permettre une meilleure opacification du réseau veineux profond et d'étudier .
 On utilise habituellement un seul garrot sus-malléolaire. Après la ponction veineuse réalisée en décubitus dorsal, la table télécommandée est relevée à 60degré. 
Le pied du côté non examiné repose sur une cale pour éviter l'appui du côté étudié, ce qui améliore le remplissage des veines profondes.
Incidences : face, profil, OAG, OAD en fonction de la pathologie 
 Artériographie du pied 
Ponction directe de l'artère fémorale (aiguille-cathéter) ou Seldinger fémoral controlatéral et mise en place d'un cathéter dans l'artère fémorale superficielle du côté à examiner. 
Sériographe 35 x 35 en AC ou mieux : AN 
     Incidences : 
    * Face : patient en décubitus dorsal, genou fléchi à 45degré 
    *Profil : patient en décubitus dorsal en soulevant le côté opposé de 45degré par une cale.
 Le pied repose sur son bord externe. 
    Produit de contraste : 40 ml 8 ml/sec 
    Images : 1/sec à partir de la 4e sec jusqu'à la 25e sec. 
10. PHLÉBOGRAPHIE 
Phlébographie des membres inférieurs 
    Indications : 
   *  thrombo -phlébite des membres inférieurs  
   * incontinence valvulaire 
   * malformations veineuses 
    Phlébographie ascendante 
    C'est la technique classique, réalisée de façon unilatérale ou bilatérale simultanée. 
    Matériel 
    Table d'artério-phlébographie avec sériographe à tambour de 6 cassettes (30 x 120 cm) ou table télécommandée avec cassettes 36 x 43 ou système d'angiographie numérisée. 
    Injecteur de produit de contraste (optionnel). 
    Butterfly ou aiguille-cathéter de 18 ou 20 G. En cas de veines très fragiles, un calibre de 22 G peut être utilisé. 
Voire Aussi :
| Artériographie Rénale
| RI :Explication Des Experts
| Angiographie Cérébrale
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