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Comment bien choisir ses verres progressifs ?
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Les verres progressifs ont pour but principal de corriger les troubles de la vision de près. Ce défaut oculaire que l’on appelle presbytie est la conséquence d’un vieillissement naturel de l’œil qui apparait à l’approche de la quarantaine et touche en France plus de 20 millions de personnes. Quel est le fonctionnement des verres progressifs et comment s’assurer de bien les choisir ? Voici les indispensables à connaître.
Quelle mission remplit un verre progressif ? Un verre progressif pallie la dégradation de la capacité d’adaptation de nos yeux et permet d’assurer une vision nette de près comme de loin ainsi que dans la zone intermédiaire que l’on appelle le couloir de progression. Lorsque la presbytie est cumulée à d’autres troubles oculaires (astigmatisme, myopie), plusieurs technologies doivent se combiner en un seul et même verre progressif pour assurer à l’utilisateur une vision parfaite, comme s’il n’avait pas de problèmes.
Les critères de performance pour bien choisir ses verres progressifs Pour obtenir un confort de vision optimal, il convient de ne pas faire l’impasse sur la qualité de vos verres progressifs qui seront vos compagnons du quotidien. 
Assurez-vous qu’ils remplissent ces 3 objectifs :
- offrir une largeur et profondeur du champ de vision maximales
- garantir la douceur de progression entre vision de près et de loin
- stabiliser votre vision pour limiter les effets de tangage ou de déformation de l’environnement
Votre ordonnance en main, c’est avec votre opticien que vous abordez ces premiers points de base.
Les critères de personnalisation des verres progressifs Vous êtes un individu unique tant sur le plan physique que sur celui de vos habitudes de vie. 
Pour optimiser la personnalisation de vos verres, voici une liste de sujets complémentaires à discuter avec votre opticien pour être assuré de vivre en totale harmonie avec vos lunettes progressives :
- vos activités professionnelles et vos loisirs - votre consommation d’outils numériques : tablette, ordinateur, pc… - la distance à laquelle vous vous êtes habitué pour tenir un livre ou un journal
Votre opticien pourra également tenir compte d’autres facteurs afin de choisir le verre le mieux adapté :
- vos postures naturelles, votre port de tête par exemple - la morphologie de votre visage - les caractéristiques de vos yeux comme votre écart pupillaire notamment
Choisir une jolie monture même avec des verres progressifs, est-ce possible ? De nos jours, grâce aux avancées permanentes en matière de technologie optique, nous sommes bien loin des verres double-foyer de nos grands-parents. Malgré tout, bon nombre d’entre vous imaginent encore que les presbytes sont condamnés à porter des lunettes lourdes et pas du tout à la mode.
Heureusement, tout ceci fait partie du passé ! Les fabricants de verres optiques conçoivent maintenant des verres progressifs amincis et personnalisés qui s’adaptent à toutes les montures. Plus besoin de rogner sur la performance de votre correction pour pouvoir être vous-même !
Pour en savoir plus sur les verres progressifs, rendez-vous sur le site de Zeiss
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Lecture sur écran, les astuces pour protéger sa vue au quotidien
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Que ce soit pour le travail ou les loisirs, plus aucune paire d’yeux en France (ni dans le monde) n’échappe aux écrans lumineux. Fatigue numérique, comment reconnaître les symptômes et adopter les bonnes attitudes pour protéger sa vue ? Voici nos 6 astuces.
Sur écran, notre œil traite de  nombreuses informations et doit s’adapter en fonction d’une forte luminosité, de reflets ou d’un manque de netteté. Les muscles oculaires sont soumis à rude épreuve et au bout de quatre heures, les premiers signes de fatigue numérique commencent à apparaître : - picotements - vision trouble - maux de tête - déconcentration - syndrome de l’œil sec
Rassurez-vous, la fatigue numérique n’est pas une fatalité ! En changeant simplement quelques-unes de vos habitudes et en choisissant un bon équipement optique, vous pourrez chasser ces petites contrariétés oculaires de votre quotidien !
Bien se positionner derrière un écran Au repos un œil a plutôt tendance à regarder vers le bas et au loin. Placez votre écran légèrement en dessous de vos yeux et à 50 ou 70 cm de votre buste (une longueur de bras environ).
Supprimer les reflets et éviter un éclairage direct Positionnez votre ordinateur perpendiculairement aux fenêtres et à environ 1m50 de distance. Sachez qu’il existe des écrans ou des filtres antireflets si vous ne pouvez pas changer de place au bureau.  Eclairez votre pièce de manière homogène et positionnez vos luminaires sur les côtés pour éviter qu’une lumière éblouissante ne soit directement placée dans votre champ de vision.
Faire des pauses régulières Parce que nos yeux peuvent effectuer 10 000 mouvements par heure, les ophtalmologistes conseillent de prendre 15 minutes de pause toutes les 2 heures pour leur permettre de recharger leurs batteries.  
Pallier la fixité du regard et éviter la sécheresse oculaire Regardez de temps à autre des objets qui sont loin de vous, de l’autre côté de la rue par exemple, et faites l’effort de cligner des yeux toutes les 10 à 15 secondes. Ouvrez également votre fenêtre pour restaurer un bon équilibre de l’air ambiant et éviter son assèchement.
Vérifier sa vue Faites surveiller votre vision régulièrement car une fatigue numérique peut être révélatrice d’un trouble oculaire ou suggérer que vos lunettes ne sont plus adaptées. C’est pour cela que des maux de tête et une fatigue numérique quasi permanente peuvent apparaitre.
Choisir des verres adaptés au travail sur écran L’utilisation intense d’appareils numériques (tablette, ordinateur, smartphone) n’est pas sans conséquence pour vos yeux. Fatigue oculaire, presbytie précoce, pour vous en protéger et améliorer votre confort visuel derrière un écran, les fabricants de verres ont conçu des équipements optiques capables de : - gérer les mises au point entre vision de près et vision de loin - faciliter la vision de près et réduire les tensions oculaires. - filtrer les effets néfastes de la lumière bleue grâce à un traitement filtrant
En adoptant les bonnes attitudes derrière un écran et en portant des lunettes adaptées, votre fatigue numérique ne sera plus qu’un lointain souci !
Pour en savoir plus sur les verres qui limitent la fatigue visuelle, rendez-vous sur le site de ZEISS
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Sécurité au volant, les indispensables à connaître pour préserver vos yeux
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La conduite automobile est de loin l’environnement dans lequel vos yeux sont le plus sollicités. Quels sont les bons gestes à adopter pour diminuer la fatigue visuelle et prévenir les risques derrière le volant grâce à une vision confortable, voici nos 6 conseils.
- Avant de prendre la route Surtout pour les longs trajets, faites vérifier votre correction et changez vos verres au besoin. Si vous optez pour une nouvelle paire de lunettes, choisissez une monture avec des branches fines qui ne gêneront pas votre vision latérale.
- Des lunettes pour la conduite Vous conduisez beaucoup ? Sachez qu’il existe des verres correcteurs spécialement conçus pour la conduite. Ils limitent les effets néfastes d’une faible luminosité ou des éblouissements, tout en améliorant notre champ de vision et notre appréciation des distances.
- Des solaires adaptées à votre vue Equipez-vous également d’une paire de lunettes de soleil parfaitement ajustée à votre vue. Au volant, c’est indispensable pour vous protéger d’une forte luminosité en journée. Notez que leurs teintes ne doivent pas être trop foncées pour vous permettre de bien distinguer les couleurs (les verres de catégorie 4 sont déconseillés pour la route).
- Un coup de ménage Pour une vision optimale, nettoyez tout ! Pare-brise, rétroviseurs, lunette arrière et bien-sûr, vos propres lunettes !
- Soyez conscient des moments où votre vue est limitée Plus la vitesse augmente plus votre champ de vision se réduit. A 130 Km par exemple, il est diminué de 70%. A la sortie d’un tunnel également, le passage de l’ombre à la lumière perturbe votre vue totalement. Restez concentré sans paniquer.
- Limitez les risques de fatigue visuelle Ne prenez pas le volant si vous êtes déjà fatigué et faite des pauses régulières toutes les 2 heures ou dès qu’un symptôme de picotement se fait sentir.
Pour en savoir plus sur les verresDriveSafe, rendez-vous sur le site de ZEISS
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Les bons réflexes pour éviter l'éblouissement au volant
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Les situations d’éblouissement, génératrices de stress et de fatigue visuelle, sont très courantes lorsque vous vous trouvez derrière un volant. Comprendre pour anticiper les risques et améliorer son confort visuel sur la route, nous vous expliquons tout sur le phénomène des éblouissements et les réflexes à adopter pour les éviter.
• Les différents types d’éblouissements derrière le volant - Les éblouissements indirects Les éblouissements naissent d’une mécanique de « polarisation ». Les ondes de lumière qui se réfléchissent sur une surface plane se mettent à vibrer à l’horizontale et provoquent un éblouissement. C’est ce genre de réverbérations nocives que nous constatons sur une chaussée lisse, une flaque d’eau ou encore sur les couches de neige en hiver amassées des deux côtés de la route.
- Les éblouissements directs Parmi les autres types d’éblouissements, on trouve le flash de lumière à la sortie d’un tunnel. Il est généralement suivi d’une sensation de voile noir qui apparait instantanément après et qui peut mettre jusqu’à 10 secondes pour disparaitre.  N’oublions pas non plus dans cette catégorie, les éblouissements nocturnes lorsque nos yeux croisent les phares d’un automobiliste arrivant en sens inverse.
• Comment limiter le risque d’être ébloui ? - Les bons réflexes à adopter La nuit, lorsque que vous croisez un autre automobiliste, détournez le regard vers la chaussée droite. Portez des lunettes de soleil lorsque vous conduisez de jour par temps ensoleillé. Nettoyez bien votre pare-brise et assurez-vous d’avoir des essuie-glaces en parfait état de marche.
- Vérifiez votre correction Nous ne sommes pas tous égaux devant les éblouissements. La couleur des yeux, l’âge et même certains troubles oculaires comme l’astigmatisme captent beaucoup plus la lumière et vous rendent plus sujets à l’éblouissement. Faites vérifier régulièrement votre vue et assurez-vous de toujours porter des verres correcteurs lorsque vous conduisez.
- Portez des verres anti-éblouissement Pour limiter les nuisances causées par les éblouissements et les reflets sur la route, adoptez des verres spécialement conçus pour la conduite. Ils intègrent un traitement antireflet et offrent à la fois au conducteur une nette amélioration de son acuité visuelle et de sa perception des contrastes.
Si vous êtes presbyte, vous pourrez profiter du même genre de technologie anti-éblouissement avec des verres progressifs qui vous garantiront également un confort visuel identique lorsque que vous regardez votre tableau de bord, vos rétroviseurs ou au loin sur la route.
Côté solaires, choisissez des verres polarisants dont la structure micro maillée verticalement élimine les ondes de lumière éblouissantes et améliore les contours.
Avec tous ces bons conseils, vous limiterez considérablement les risques de fatigue oculaire et augmenterez votre confort sur la route !
Pour en savoir plus sur les verresDriveSafe, rendez-vous sur le site de ZEISS
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Comment votre smartphone et votre tablette affectent la santé de vos yeux ?
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Une enquête du bureau Tecmark révèle que nous pouvons consulter notre smartphone 220 fois par jour, soit 10 fois par heure et, la plupart du temps, sans nous en apercevoir. Cette nouvelle intensité d’activité oculaire n’est pas sans répercussion, nous vous expliquons les risques de ce phénomène pour la santé de nos yeux et les solutions pour y remédier.
Quelles sont les nuisances visuelles sur écran ? Parmi les nombreuses qualités de notre système oculaire, il y a la capacité d’accommodation rapide de notre œil lorsque nous devons passer d’une vision de loin puis de près et inversement. A son apogée lors de l’adolescence, cette faculté ne fait ensuite que diminuer naturellement avec le temps. Personne n’y échappe.
De par la digitalisation des activités professionnelles et les habitudes de consommation de smartphones et de tablettes qui ne cessent de se développer, notre nouvel environnement demande beaucoup d’efforts d’adaptation à nos yeux : - tailles de caractères différentes entre emails, sms, documents, … - luminosité et rétroéclairage plus ou moins faibles d’un appareil à l’autre - surabondance de reflets sur les écrans - racourcissement de la distance de lecture
En réponse, notre activité oculaire augmente pour corriger toutes ces nuisances et les symptômes de fatigue numérique s’intensifient (yeux qui piquent, maux de tête, douleurs cervicales).
Quels sont les dangers de l’utilisation excessive des smartphones et tablettes ? • Vieillissement accéléré Avec l’âge, la combinaison de ces 2 facteurs, ralentissement de nos réflexes d’accommodation et accroissement des situations de fatigue numérique sur écran, provoque une accélération du vieillissement de notre système oculaire. • Presbytie précoce Parce que lire sur écran de manière intensive nous oblige à sur-solliciter notre vision de près, une presbytie précoce peut aussi se déclarer. • Dégradation de la rétine Autre effet nocif dont il faut tenir compte au quotidien, cette lumière bleue générée par nos écrans qui détériore la qualité de notre rétine plus rapidement.
Quelles sont les solutions à mettre en place ? Vous avez bien-sûr la possibilité de diminuer le temps que vous passez sur smartphone ou tablette mais sachez qu’il existe de nouveaux verres de lunettes spécialement conçus pour le travail sur écran, que vous ayez besoin de correction optique ou non.
Capables de vous offrir une excellente acuité numérique quelle que soit la configuration,  vision de près ou à mi-distance, ces technologies optiques de pointe tiennent également compte : - des nouvelles postures que nous adoptons devant un écran - de la distance entre nos yeux et l'écran - et même des allers / retours permanents que nous faisons en jonglant d'un appareil à l’autre
Enfin, nous vous conseillons également de rajouter un traitement filtrant spécifique sur vos verres pour vous protéger de la lumière bleue diffusée par nos écrans et ampoules LED.
Pour en savoir plus sur les verres de lunettes sur ordinateur, rendez-vous sur le site de ZEISS
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Conduite de nuit, les bonnes attitudes à adopter
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Saviez-vous que 70% des accidents de la route surviennent la nuit et que 40% d’entre eux sont mortels ? Comprendre le fonctionnement de notre œil dans l’obscurité et adopter les bonnes attitudes derrière un volant sont essentiels pour votre sécurité et celle de ceux que vous transportez.
3 facteurs rendent la conduite de nuit pénible et stressante pour nous et pour nos yeux.
• Le manque de lumière La lumière est l’élément indispensable au fonctionnement de l’œil. La nuit entraîne mécaniquement une vision altérée : mauvaise perception des couleurs, des contrastes et des reliefs.   Notons également qu’en voiture, avec des phares qui n’éclairent qu’un étroit faisceau sur 50 mètres, notre champ visuel est aussi totalement réduit.
• La myopie nocturne L’œil humain jauge les distances grâce à la dilatation de sa pupille. A la lumière du jour, lorsqu’elle est toute petite, nous apprécions normalement la profondeur du champ. La nuit, à l’inverse, notre pupille dilatée annihile complètement cette capacité. Quand la luminosité est faible, comme sur une route la nuit, la taille de notre pupille est intermédiaire. Notre vision de loin est alors floutée et nous n’apprécions plus les distances normalement.
• Les éblouissements Egalement dû à la dilatation de notre pupille, la nuit, notre œil est sujet aux éblouissements. Les phares des autres véhicules génèrent subitement un gros flot de lumière aveuglant et il faut à nos yeux quelques microsecondes pour refaire le point. Pendant ce temps, un voile noir nous obstrue la vue.
Les solutions pour une conduite nocturne sûre et confortable
- Faire des pauses Comme au travail, limitez votre fatigue visuelle en faisant des pauses toutes les deux heures ou dès qu’un symptôme de picotements ou de paupières lourdes apparait.
- Porter des verres spéciaux pour la conduite Des fabricants se sont penchés sur la question d’améliorer le confort visuel des conducteurs. Ainsi, certains verres peuvent non seulement diminuer les éblouissements et les effets halo autour des éclairages grâce à leur traitement antireflet mais ils sont également capables d’améliorer les contrastes lorsque la luminosité est faible. Avec ou sans correction, ces verres sont un véritable atout pour une conduite confortable et sans stress.
Pour en savoir plus sur les verresDriveSafe, rendez-vous sur le site de ZEISS
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La lumière bleue est-elle nocive pour nos yeux ?
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Depuis quelques temps, les effets de la lumière bleue sur nos yeux et, plus précisément les dommages qu’elle pourrait causer sur notre rétine, font débat. Qu’en est-il exactement ? Nous faisons le point sur la réelle dangerosité de la lumière bleue pour nos yeux.
La lumière bleue qu’est-ce que c’est ? La lumière bleue est émise par le soleil mais également par nos éclairages artificiels comme les ampoules LED ou nos écrans lumineux (ordinateur, smartphone, tablette, télé). Une partie de ces lumières bleues dont le spectre d’ondes s’étend de 380 à 500 nanomètres ne sont pas si mauvaises, en revanche, la bande de couleurs tirant vers le bleu-violet diffuse une énergie capable d’atteindre et détériorer notre rétine plus fortement. Et c’est le cas de la lumière bleue diffusée par nos écrans.
Quels sont les risques de la lumière bleue ? Des tests d’exposition menés sur des rétines de porc (rétine la plus proche de celle de l’œil humain) ont démontré que les longueurs d’ondes entre 415 et 455 nanomètres peuvent détruire des cellules. Ces études conduites en laboratoire ne sont cependant pas le reflet exact de notre quotidien car nous ne sommes pas en permanence exposés à cette bande de lumière nocive. Néanmoins, les effets néfastes démontrés conjugués à nos nouvelles habitudes de consommation en matière de technologie numérique nous invitent à la plus grande prudence. Selon le Dr Vincent Gualino, ophtalmologue : « il ne faut pas avoir peur des écrans, c'est surtout la surconsommation qui pose problème.»
Ces dernières années, les écrans lumineux se sont imposés dans nos vies professionnelles et personnelles. En France, nous passons en moyenne de 6 à 7 heures par jour sur nos écrans. Même les enfants sont maintenant soumis dès leur plus jeune âge à des expositions prolongées. Et, avant 14 ans, il faut savoir que le cristallin n’est pas encore au maximum de sa capacité de filtration. Pensez à diversifier les activités de vos bambins.
Quelle stratégie adopter lorsqu’on travaille sur écran ? Votre travail implique de passer plusieurs heures devant votre ordinateur ? Sachez qu’il existe des verres qui diminuent les effets de la lumière bleue. Ils bénéficient d’une technologie de traitement filtrant qui bloque la lumière bleu-violet et laisse passer la lumière bleue-turquoise, qui, elle, a des effets plutôt bénéfiques sur notre moral.
Si, en plus, vous avez dans votre famille des antécédents de cataracte ou DMLA, optez vraiment pour ce genre de verre et en complément, à partir de 40 ans, faites des cures à base de vitamine E, de zinc et d’antioxydants pour réparer ces photo-traumatismes du quotidien.
Pour en savoir plus sur les verres qui protègent contre la lumière bleu-violet, rendez-vous sur le site de ZEISS
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Les maux de tête peuvent-ils être liés à une fatigue visuelle ?
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Lorsqu’on est sujet à des maux de tête réguliers, on ne pense pas forcément que ces douleurs puissent être liées à nos yeux. Et pourtant, si vous travaillez sur ordinateur, il est fort possible que vos migraines soient dues à une fatigue visuelle. Mais, attention, pas seulement... Nous vous expliquons tout.
Au quotidien, 80 % des informations reçues passent par la vue. C’est dire à quel point nos yeux travaillent dur. Sur ordinateur, les difficultés s’accroissent (manque contraste, netteté, forte luminosité) et l’œil déploie d’énormes efforts pour s’ajuster.
Autres causes des maux de tête qui surviennent en fin de journée, une fixité du regard lors de lecture prolongée et une mauvaise position derrière votre écran.
Quelques conseils pour limiter les risques de fatigue numérique :
- Tenez-vous à une distance d’environ 70 cm de votre écran.
- Baissez le niveau de l’écran, vos yeux doivent regarder légèrement vers le bas. Alignez votre regard avec la première ligne d’un document texte par exemple.
- Evitez les reflets sur votre écran et la lumière directe.
- Faites des pauses régulièrement.
Pour en savoir plus sur ce sujet, allez vite découvrir cet article !
Si les maux de tête persistent…
Le travail sur écran et les céphalées qu’il entraîne peuvent être aussi révélateurs d’un défaut visuel mal corrigé.
Hypermétropie
Dans le cas de l’hypermétropie, ce trouble qui altère la vision de près, le travail sur ordinateur demande beaucoup d’efforts. L’hypermétropie peut être très légère et entraîner une fatigue visuelle que l’on qualifiera de supportable, mais, si le trouble est plus fort, il pourra engendrer un strabisme convergent et un risque de mal de tête très important.
Strabisme
Alors que la myopie (vision floue de loin) ne génère quasiment aucune fatigue visuelle en conséquence d’un travail prolongé sur ordinateur, les problèmes de strabisme (défaut de parallélisme de l’axe optique lorsque l’on fixe un point), dus à l’hypermétropie ou à une hérédité, peuvent provoquer une plus grande fatigue visuelle et des céphalées à répétition.
Prenez rendez-vous chez votre ophtalmologiste pour faire contrôler votre vue et ajuster vos corrections de vos verres de lunettes !
Pour en savoir plus sur les verres qui limitent la fatigue visuelle, rendez-vous sur le site de ZEISS
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Confort visuel : prendre soin de ses yeux à la maison
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Que vous soyez assis dans votre salon ou debout derrière les fourneaux à cuisiner, vous vous en doutez, vos yeux ne sont pas sollicités de la même façon. Lumière bleue, forte ou faible luminosité, apprenez à adapter vos luminaires et votre équipement optique en fonction des activités que vous pratiquez dans chaque pièce.
Commençons par définir les règles de base d’un confort visuel optimal à la maison :
• Limitez les éblouissements en privilégiant les sources de lumière indirectes, jamais d’ampoule nue par exemple. • Installez des éclairages suffisants et uniformes. • Evitez de générer des reflets et des ombres pour ne pas fatiguer vos yeux inutilement. • Privilégiez un éclairage teinte chaude pour les pièces dédiées à la détente, une luminosité teinte froide pour les travaux qui requièrent beaucoup de minutie et d’attention, enfin, une lumière de teinte intermédiaire pour les pièces où l’on travaille. • Si vous passez beaucoup de temps à l’intérieur et que vous portez des lunettes, protégez vos yeux de la lumière bleue émise par nos écrans et ampoules LED en choisissant des verres avec traitement filtrant. 
Regardons maintenant votre home sweet home à la loupe :
 -   La cuisine
Ne positionnez pas de luminaire dans votre dos. Préférez plutôt des spots qui éclairent localement, juste au-dessus de votre plan de travail. Au plafond, installez un luminaire qui éclaire toute la pièce. Objectif ? Aucune ombre ne doit vous gêner pendant que vous mitonnez vos petits plats. Dans cette pièce sans doute la plus éclairée, il n’y a pas de danger de fatigue pour vos yeux.
 -   Le bureau
Installez votre bureau loin des fenêtres pour ne pas générer de reflets sur votre ordinateur. Evitez les éblouissements avec une lumière crue directement placée dans votre champ de vision pour préférer un plafonnier et une lumière latérale qui diffuseront une belle lumière d’ambiance. Placez une petite lampe de bureau qui pointe sur la zone où vous écrivez parfois.
Côté optique, utilisez une paire de lunettes avec des verres spéciaux qui vous permettent d’avoir une vision parfaite de près comme à mi-distance et qui évitent de fatiguer vos yeux quand vous avez à jongler entre votre écran d’ordinateur et vos documents papier.
 -   Le salon 
Comme dans le bureau, évitez les éblouissements et les reflets sur l’écran de votre télévision. Choisissez un éclairage chaud et positionnez une lampe avec abat-jour à côté de l’écran. Vous pouvez aussi choisir d’installer derrière votre télé une lampe tournée vers le mur ou bien encore, des appliques murales éclairant vers le haut. Attention cependant à ne pas générer trop d’ombres en multipliant les luminaires.
Si vous passez du temps dans cette pièce où la luminosité est plus faible, vous pouvez améliorer votre confort visuel en adoptant des verres de lunettes spécialement conçus pour optimiser votre perception des contrastes et des couleurs. Si cette pièce est aussi votre coin bibliothèque, choisissez une paire de lunettes de lecture légère et parfaitement adaptée à la vision de près, même avec une faible luminosité. Et pour limiter la fatigue oculaire, faîtes des pauses régulières pour relaxer vos yeux.
Pour en savoir plus sur toute la gamme de verres disponibles, rendez-vous sur le site de ZEISS
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Les lunettes de soleil adaptées à votre vue, un partenaire santé indispensable
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Lorsque le soleil pointe le bout de son nez, il est fortement conseillé de protéger ses yeux derrière une paire de solaires, ça, vous le savez. Pourtant, beaucoup d’entre nous ne s’équipent pas de solaires avec verres correcteurs alors qu’ils ont un défaut visuel. Pourquoi prendre des risques quand on peut se protéger du soleil tout en ayant une bonne correction ?
Rappel sur les dangers du soleil pour nos yeux
Tout comme votre peau, vos yeux possèdent un capital soleil. C’est pourquoi il convient de les protéger, et pas uniquement par beau temps, car même derrière les nuages, le soleil déploie ses rayons UV.
Ultraviolet, lumière bleue, ces rayons ont un effet cumulatif et peuvent entraîner des maladies ophtalmiques. C’est le cas notamment pour la cataracte qui se trouve accélérée sous l’action des rayons UV. Et nous retrouvons le même processus pour la DMLA qui est également favorisée par les rayonnements solaires. Si vos yeux sont déjà fragilisés par certains troubles oculaires ou si vous avez des antécédents familiaux, redoublez donc de prudence.
Pourquoi porter une paire de solaire adaptée à votre vue ?
Si vous étiez myope par exemple, vous viendrait-il à l’idée de prendre la route sans lunettes ou lentilles de contact pour vous aider à voir la route et lire les panneaux correctement ? Non, bien-sûr !
Choisir les solaires avec verres correcteurs, c’est s’assurer de pouvoir faire du sport, jardiner, se balader et conduire en toute sécurité avec une vision claire, au top de sa forme !
Lunettes de soleil corrigées à votre vue et esthétisme
Beaucoup se refusent au port de solaires corrigées parce qu’ils s’imaginent que les montures proposées ne sont pas jolies. Faux ! Demandez conseil à votre opticien vous serez surpris de voir qu’il est même possible d’adapter la forme de vos solaires et leur teintes à vos activités sportives. Petite astuce à ne pas oublier, choisissez des montures fines sur les côtés pour ne pas gêner votre vision latérale si vous conduisez.
Sachez également que vous pouvez avoir les mêmes traitements (antireflets, amélioration des contrastes, filtres polarisants) sur solaires que sur des verres correcteurs normaux.
 Alors pourquoi hésiter ?
Pour en savoir plus sur les verres de protection solaire, rendez-vous sur le site de ZEISS
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