#Belle Vue Aces
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acesspeedway · 9 months ago
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Congratulations to the Belle Vue Aces - British speeedway Premiership League Champions for 2024
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racingcomics · 2 years ago
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Scoop #133 - August 2nd, 1980 - (D. C. Thompson - UK)
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praveenroshmi-blog · 2 years ago
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Extreme E: How all-electric racing series combats the climate crisis through education, innovation and action | Motor Sport News
Rosberg X Racing team owner Nico Rosberg is a vocal advocate for Extreme E Motorsport has long been a breeding ground of technological innovation, motivated by an overriding purpose, speed. Now its on-track advancements, alongside the sport’s global platform, can be used for something greater. Formula 1 technology can be found across the world, from it’s overt innovation of hybrid cars, to more

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if-you-fan-a-fire · 2 years ago
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"Le lac des Castors," La Patrie. July 25, 1943. Cover. ---- Des foules nombreuses se rendent tous les dimanches au lac des Castors, au mont Royal. Ce ac constitue un attrait pour toute la population. Au peint de vue paysagiste, c'est une perle.
Pour fournir l'eau courante au lac des Castors, on a foré un puits artésien. L'eau est amenee au lac par une pompe actionnee par l'electricite. Ici des enfants s'amusent prés de la cascade qui tombe dans le lac.
Les parents, qui vont passer de belles heures au lac des Castors, ne manquent pas d'y amener leurs enfants. MĂȘme les plus petits s'y amusent et s’intĂ©ressent aux petits voiliers et aux canards blancs.
Photos E. Stucker, la "Patrie"
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stephaneparede · 5 months ago
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Beau poĂšme sur sa ville natale :
ALGER, ma ville
AprĂšs ce dur exil, c'est Ă  peine si j'ose
Te dire, Alger ma Ville, nous sommes en osmose...
Pardon, pardon ma " Blanche " de t'avoir investie,
Architecte un peu fou de rives et d'inepties!
Les vaisseaux de mon corps, à l'ancre de ma jetée,
Sont les navires de ton port face à l'Amirauté.
Mes veines et mes veinules sont tes rues, tes ruelles,
je les sens battre, sourdre, vivantes, perpétuelles :
Arago, Berthelot, Chartres, Pasteur, Batandier...
Des centaines à coup sûr désormais répudiées !
Mes artĂšres sont Isly, Baudin, Lyon, Carnot,
D'autres et d'autres encore... Le sang de mes canaux
Irriguent banlieues, quartiers : La Marine, Champ de manƓuvre,
Ben Aknoun et Kouba, Bassùta Le chef d'Ɠuvre
Le cƓur de Bab-el-oued Ă©tonnĂ© m'interroge...
Le temps a-t-il cessé à l'heure des 3 horloges ?
Tes jardins sont présents en tatouages internes,
Je m'y promĂšne souvent, nostalgique, l'Ăąme en berne...
Pourtant le Frais Vallon, Nelson, LaferriĂšre
Resplendissent toujours, écrasés de lumiÚre.
Le sable de tes plages granule sous ma peau
Et je l'entends crisser quand je suis en repos...
La Pérouse, Matifou, Zéralda, Pointe Pescade !
Le bain étant prétexte. à la moindre escapade
Pour un peuple joyeux, coloré, animé,
Doré par ce soleil qu'il a tant et tant aimé...
Mes cÎtes sont les tiennes, est-ce une métempsycose ?
La mer est mon humeur, j'y perçois toutes choses...
Sereine, alanguie, caressant tes rivages,
Ému au souvenir de ces douces images...
Violente et déchaßnée, ivre, blasphématoire,
Battant mes flancs pour flageller l'Histoire !
J'ai gardé tes senteurs, de la menthe l'anis,
Elles s'exhalent par mes pores que nulle effluve dénie...
Et puis, il y a les sons dont mes oreilles bourdonnent,
Les rires, les pataquĂšs, les surnoms que l'on donne !
" Se taper la kĂšmia ac' les escargots ",
" Descendre en bas le port ", " Va de lĂ , falampo "
Folklore d'un peuple ! Original lexique
Enfoui dans ma mémoire comme une pieuse relique !
Des clichés infinis de la vie d'autrefois
Tapissent mes arcades, mon subconscient fait foi :
" L'Harrach et son marché ", " Fort de l'Eau, ses brochettes ",
" La Casbah, ses bordels ", " rue Michelet, la cafĂšte ",
" La PĂȘcherie, ses poissons ", " Rovigo, ses tournants ",
" Bab-el-oued, ses nuits chaudes ", "La loubbia chez Fernand "!
" Mingasson ", " TĂšlemly ", " Le stade et la piscine ",
" Le Duc d'Aumale et Bugeaud ", " El-biar, les Glycines ",
" Saint-EugĂšne, le cimetiĂšre ", " Belcourt ", " L'Arsenal ",
" BaĂŻnem, la forĂȘt ", " Mustapha, l'hĂŽpital ",
" Les chalutiers ", " Les barques ", " les yoles du Sport nautique ",
" L'Esplanade " et bien sûr, notre " Dame d'Afrique ".....
Elevé par tes soins dans une foi idolùtre,
Je suis comme toi, bùti sur un amphithéùtre...
Tu cernes par mes bras, la plus belle des baies,
Vision du " Grand Départ ", sur ma rétine gravée...
Excuse-moi, lecteur, mon ùme s'est engagée
Dans les rues de mon cƓur pour me parler d'ALGER...
Etienne MUVIEN
L'Ɠuvre est de :
Simonsen, Niels
(1807-1885, Copenhague)
Vue d'Alger devant les remparts de la ville 1840
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mysteriis-moon666 · 8 months ago
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SOUTHSIDE OF HELL
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Report de concert de Phil Campbell and the Bastard Sons et Accept, le 28/10/2024 Ă  la salle du Bikini Ă  Toulouse.
Nous arrivons Ă  la capitale d’Occitanie avec un casting digne d'OcĂ©an Eleven et expendable rĂ©uni, mais de la montagne noire, le 81 possee crew Panteroaw sheuuuuuuuu !
Au programme du soir du rock’n’heavy metAl ! Pour le lever de rideau c’est Phil Campbell and the Bastard Sons, groupe de rock gallois fondĂ© en 2016 par Phil Campbell aprĂšs le dĂ©cĂšs en 2015 de Lemmy (leader de Motörhead) dont il en fut le guitariste.
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Rompre avec une figure tutĂ©laire c’est ainsi que Sigmund Freud affirmait que chacun doit "tuer leur pĂšre" pour entrer dans le processus de croissance et d'autonomisation. Est-ce bien nĂ©cessaire ? Car pour Phil Campbell and the Bastard Sons le constat premier est que les fils Campbell n’ont toujours pas tuĂ© le pĂšre (Phil) et force est de constater que le pĂšre n’a toujours pas tuĂ© le dieu (Lemmy), et que cela convient et arrange tout le monde dans le public.
J’avais vraiment bien apprĂ©ciĂ© l’opus « We're the Bastards » de 2020 et le chant de Neil Starr (2016–2021) tout en granulomĂ©trie rock US. C’est par ce titre que le concert dĂ©bute dans un feu de lancement de fusĂ©e Ariane. Il fallait bien tenir ce fil parce que les Gallois n’étaient pas venus Ă©cosser des haricots verts et le public bouffer un potage au poireau. Avec son mĂ©lange de fioul rouge façon stoner, de vidange rock graisseux et lustrage glam, le concert fluidifie une diversitĂ© musicale et propre aux fondamentaux du rock’n’roll. Clairement dans l’axe bluesy rawk’n’roll pur-sang, Phil Campbell ferraille avec doigtĂ© des solos Ă  la wha-wha que Kirk Hammet ne parvient toujours pas Ă  maintenir avec la mĂȘme efficience et qualitĂ© d’exĂ©cution. Il est clair que les fistons du clan Campbell bĂątissent l’ossature du tonneau pour le vieux chĂȘne Phil. La rythmique cercle le tonneau et l’arrosage des riffs Ă©vite la fissuration et une bonne Ă©tanchĂ©itĂ©. Le pĂšre est mis en valeur mĂȘme si l’on sent la passation et la mise en orbite de la fratrie pour le legs auprĂšs du public, notamment du guitariste Todd pour des solis endiablĂ©s.
Le chant c’est un peu la partie commerciale pour vendre le clan Campbell, et le chanteur Joel Peters depuis 2021 dans le groupe a davantage de punch, de cool que son prĂ©dĂ©cesseur, ses nombreuses qualitĂ©s vocales apportent une variation aux plaisirs qu’offre l'album "Kings of the Asylum » (2023) tout en Ă©clectisme rĂ€wk’n’roll, et avec les anciens titres il offre une belle dĂ©gustation de son panel. On sent un chanteur serein, pas le genre Ă  vĂ©rifier trois fois qu’il a bien Ă©teint la gaziniĂšre. Visuellement il a le cool du Dude du film The Big Lebowski.
Les dragons rouges nous balanceront 2 titres « Schizophrenia” et « Strike the Match” du dernier album “Kings Of The Asylum” de 2023, et "Freak Show” et “ High Rule” comme titre de leur premier long format en 2018 « The Age of Absurdity ». CĂŽtĂ© covers de Motörhead, nous aurons droit Ă  « Going to Brazil », « Born to Raise Hell », « Ace of Spades », et le concert se terminera dans ce baiser de braise qu’est « Killed by Death ».
Dans un grand craquement bleu ocĂ©anique les Gallois nous filent leur fish&chips, et Phil connaĂźt les ficelles du mĂ©tier, il nous force Ă  regarder lĂ  oĂč le magicien le souhaite. Car Ă  premiĂšre vue c’est un concert basique de rock’n’roll, mais le spectacle est noyĂ© dans une mise en scĂšne faisant la part belle Ă  l’interaction avec le public. Par exemple en coupant la salle en deux moitiĂ© pour lui faire reprendre « Born to Raise Hell » Ă  qui le gueulera le plus fort, si l’atmosphĂšre est rock’n’roll, l’état d’esprit est punk aussi, le chanteur nous fait dire au bassiste (Tyla Campbell) d’aller se faire enculer en anglais pour la ligne de basse d’intro de « Ace of Spades » comme rampe de lancement, ahahah !
Un concert bien cool au final, tel un mirage dans l’opulence des groupes et des mĂ©langes de styles contemporain, oĂč Phil Campbell and the Bastard Sons nous a aspirĂ© dans ses cavernes sombres et l'ondulation de son rock’n’roll invincible.
« Tout ce qui est néo-quelque chose, c'est forcément de la merde. » Lemmy Kilmister
SET LIST
We're the Bastards de “We're the Bastards”
Freak Show de “The Age Of Absurdity”
Going to Brazil (Motörhead cover)
Schizophrenia de “Kings Of The Asylum”
High Rule de “The Age Of Absurdity”
Born to Raise Hell (Motörhead cover)
Straight Up (Phil Campbell song)
Ace of Spades (Motörhead cover)
Strike the Match de “Kings Of The Asylum”
Killed by Death (Motörhead cover)
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Laisser une trace discographique est une chose, laisser son empreinte dans le temps en est une autre.
Accept a poussĂ© dans le fer des 80’s, avancĂ© dans les dĂ©combres fumants des 90’s en pataugeant dans le grunge/metal alternatif/ FM, puis est revenu par la porte de la nostalgie en 2005 dans les grands festivals. Il a trouvĂ© avec le chanteur Mark Tornillo de quoi refaire battre Ă  nouveau le ‘’cƓur de metal’’(Metal Heart). Parce que l'on ne peut pas rebrousser chemin, et qu'il est impossible de revenir en arriĂšre, jamais, Accept avance depuis avec de nouveaux albums, et comme tous les groupes il sait enlever des couches d’histoires jusqu’à atteindre l’histoire qui nous concerne tous, et que l’on ne peut plus rĂ©duire sans l’endommager. Ce groupe est passĂ© du statut culte Ă  ringard, en Ă©tant moulĂ© comme un skieur en monoski Ă  pantalon Ă  fuseau des 80’s tout de cuir vĂȘtu.
((Ndlr : Le gars en monoski c’était un gars qui Ă©coutait Dream Theater, QueensrĂżche, King Crimson, Rush, Yes, Genesis, Pink Floyd, Soft Machine, Jethro Tull, Tangerine Dream, Camel, Gong, Triangle, Magma, Univers ZĂ©ro, Art Zoyd, et du heavy metAl.))
Nous sommes un minĂ©ral dans un monde de pierre, et Accept fait avec le fer de sa musique incisive de l’acier trempĂ©. Nous attendions les grands cris de la bestialitĂ© vĂ©ritable rugir dans l’anathĂšme des noirs secrets
que dĂšs le premier titre extrait de leur dernier album mon voisin s’époumonait le larynx avec dans le sang de quoi remplir une cuve de picrate de 500L.
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Sur scĂšne ils sont 6, avec un batteur, un bassiste, un chanteur et 3 fines lames de guitaristes, et la premiĂšre sensation qui se confirme ardemment tout le long du concert c’est que les guitaristes sont en premiĂšre ligne, sous les feux de la rampe. Accept Ă©tait muni d’un son de mammouth, hypra mĂ©tallique, venu Ă©tendre sa percussion mordante comme un vent nu cogne d’un bras solide et poilu. Seul le heavy metal est capable de sortir du fourrĂ©e une telle dĂ©bauche de riff, dans ce rite de caverne, de chĂąteau-fort...Heeeey mec sur scĂšne il y a 3 guitaristes dans une ostentation de dĂ©cibels digne de la pochette de l'opus « Restless and wild » de 1982 oĂč les flying V brĂ»lent, c’est cela que le public attend Ă  couille serrĂ©e dans une poigne de fer au « Balls to the Wall » de 1983, et il va en avoir pour son deutschemark. Les guitares hurlent et le chanteur racle son chant avec une disqueuse. Le public est aussi ĂągĂ© que le groupe, l'impression d'ĂȘtre un auxiliaire de vie avec les poches pleines de viagra. C'Ă©tait un concert parfait pour les auditeurs de Nostalgie (section heavy metal) pour revivre ces grandes chevauchĂ©es de panzer avec la puissance de feu de la grosse Bertha (en allemand : Dicke Bertha). Notre feu intĂ©rieur brĂ»lait Ă  vif dont les flammes nous bousculaient, il y avait dans l’air des espaces dĂ©funts avec des voix et des gestes qui jadis existaient lĂ , que nos mains ne pouvaient saisir mais qui pĂ©nĂ©traient nos corps nostalgiques.
Accept confectionne une musique à l'obsolescence programmée autour d'une large décennie comme beaucoup de mouvement, aprÚs elle devient ringarde dÚs la nouveauté qui lui pique sa place. Elle existe et persiste uniquement dans un milieu underground, qui est un lieu de culte, une religion nostalgique. Cela paraßt fou, tenant du fanatisme, mais ce public a eu une loyauté que peu d'autres styles musicaux bénéficient. Quand survient le revival comme beaucoup de mouvement les anciens se souviennent et par un effet de procuration les jeunes veulent vivre le legs. Accept est ringard si l'on cherche uniquement à s'émoustiller avec la passion comme dans une relation amoureuse, c'est à dire que l'on s'attache au préliminaire ensorcelant de la découverte d'un groupe, de son univers, sans aller plus loin dans la relation dans le temps avec toutes les changements, variations que rencontre un groupe, et les personnes qui le composent , le représentent de maniÚre générale.
Êtes-vous le mĂȘme qu'il y a 20 ans en arriĂšre ? Pourquoi voulez-vous que les autres stagnent alors ?
Accept a saisi avec le temps l'usufruit de son identitĂ© sonique dans la niche qu'elle reprĂ©sente, depuis il abreuve son public avec, et son entreprise a encore pignon sur rue aujourd'hui. Son heavy metal est incisif, avec cette partie d'intĂ©grer de nombreuses rĂ©fĂ©rences Ă  la musique classique et de faire chanter leurs mĂ©lodies en concert, avec pour la controverse (et c'est vendeur) des thĂ©matiques qui prĂȘtent Ă  l'amalgame gay-friendly, sympathisant soviĂ©tique, nazi, etc...Le groupe a posĂ© les germes avec son dernier excellent opus « Humanoid » de l’intelligence artificielle, mais pensez-vous que nous arriverons Ă  voir des groupes composĂ©s d’un alliage d’humains et d’entitĂ©s virtuelles balancer des compositions d’une IA avec de la biĂšre fraĂźche ?
Accept a sorti en 1985 un album qui s'intitulait “Metal Heart”, il Ă©tait visionnaire avec l'IA finalement...
Pour cette tournĂ©e, le batteur Ă©tait bien visible, aurĂ©olĂ© sur un piĂ©destal en fond de scĂšne Ă  quatre mĂštres de hauteur, et telle une machine rĂ©glĂ©e avec la prĂ©cision d’une horlogerie Suisse et l’acier de la Ruhr : La panzer Rhythmisch, il a dynamitĂ© le set. Le bassiste secouait les murs de la salle du Bikini, dont le son sculptural permettait Ă  Accept de mugir avec brio, avec qui ?
Ce fut un set de monsieur propre (Wolf Hoffmann compositeur/guitariste et unique rescapĂ© de l’épopĂ©e de la Mannschaft Accept, since 1971), donc rien qui dĂ©passe de la ligne, il a bien rebouchĂ© les feutres en partant et mis en pratique toutes les consignes de dynamisme, mĂ©lodicitĂ© et expressivitĂ©. Le valeureux public a hurlĂ© Ă  plein poumon tous les refrains de l'opulente discographie truffĂ©e de mines de hit, dans le bikini transformĂ© en stadium du FC Bayern Munich, avec le groupe marchant au pas d’un show aussi carrĂ© que rigoureux.
Devant moi une troupe de chauve quadra/quinqua jubilait en ayant passĂ© le plus clair de leur dĂ©but de soirĂ©e Ă  s’enquiller du houblon, rĂ©sultat au show des schleus : Entre le lancer de tongs et les blagues de Tex les gars s’enfilaient des piles alcalines dans l’urĂštre avec les pupilles dilatĂ©es et l’iris bloquant Ă  droite et l’autre plutĂŽt vers le haut et Ă  gauche, traçant sur le sol un pentagramme avec leur salive. Faut dire qu'Accept a comme Ă  son habitude fourni un concert puissant, d'une prĂ©cision chirurgicale pendant 2h00 d'aciĂ©rie heAvy Metal. CarrĂ©, prĂ©cis, rigoureux, impeccable ! Tu en prends plein la gueule, est-ce le mĂȘme show que le prĂ©cĂ©dent ? Non la set list n'est pas la mĂȘme. En festival le groupe ne bĂ©nĂ©ficie pas d'une durĂ©e suffisante pour bien ĂȘtre imprĂ©gnĂ©e par leur rendement sur scĂšne, de leur puissance de feu , la prĂ©pondĂ©rance de leur professionnalisme et l'ascendance qu'Acccept a sur la scĂšne heavy par sa qualitĂ© musicale. Accept est restĂ© ce groupe humble et efficace, et sur scĂšne c'est Ă  chaque fois la branlĂ©e (= la bataille de la somme dans l'Aisne pour nous les froggies).
Selon Zayn Malik « Il arrive un jour oĂč vous rĂ©alisez que tourner la page est la meilleure sensation au monde, parce que vous rĂ©alisez qu'il y a bien plus dans le livre que la page sur laquelle vous Ă©tiez coincĂ©. » c'est pas faux, mais heeeeey Zaynie, je n’ai jamais ressenti une seule couille ĂȘtre coincĂ©e quelque-part, j’aime cette musique au-delĂ  de l’acceptable, et vous pouvez crever en enfer ! Moi j’y retourne direct dĂšs qu'Accept revient en Occitanie.
Set List
The ReckoningPlay Video
HumanoidPlay Video
Restless and WildPlay Video
London LeatherboysPlay Video
Straight Up JackPlay Video
Midnight MoverPlay Video
BreakerPlay Video
Dying BreedPlay Video
Demon's Night / Starlight / Losers and Winners / Flash Rockin' ManPlay Video
Southside of HellPlay Video
Shadow SoldiersPlay Video
Princess of the DawnPlay Video
Metal HeartPlay Video
Teutonic TerrorPlay Video
PandemicPlay Video
Encore:
Fast as a SharkPlay Video
Balls to the WallPlay Video
I'm a Rebel
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jpbjazz · 1 year ago
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LÉGENDES DU JAZZ
CHARLES LLOYD, LE HIPPIE DU JAZZ
“With wildly bushy hair, military jacket, and garishly striped bell bottoms, he looks like a kind of show-biz hippie. He usually sounds like a kind of show-biz John Coltrane.”
- Martin Williams
NĂ© le 15 mars 1938 Ă  Memphis, au Tennessee, Charles Lloyd avait toujours baignĂ© dans plusieurs cultures. Ses ancĂȘtres sont Ă  la fois d’origine africaine, choctaw (ou cherokee, selon les sources), mongole et irlandaise. ExposĂ© dĂšs son plus jeune Ăąge au blues, au gospel et au jazz, Lloyd avait reçu son premier saxophone en cadeau Ă  l’ñge de neuf ans. À partir de ce moment, Lloyd Ă©tait devenu un assidu des Ă©missions de radio mettant en vedette Charlie Parker, Coleman Hawkins, Lester Young, Billie Holiday et Duke Ellington. Parmi les premiers professeurs de Lloyd, on remarquait le pianiste Phineas Newborn Jr. et le saxophoniste Irvin Reason. Il avait aussi Ă©tudiĂ© la composition avec le trompettiste Willie Mitchell. Le meilleur ami de Lloyd durant son enfance Ă©tait le trompettiste Booker Little.
Durant son adolescence, Lloyd avait jouĂ© du jazz avec le pianiste Harold Mabern et les saxophonistes George Coleman et Frank Strozier. Il avait aussi accompagnĂ© les musiciens de blues Bobby "Blue" Bland, Howlin' Wolf et B.B. King, ainsi que le chanteur de rhythm & blues Johnny Ace. Durant son adolescence, un jeune camionneur nommĂ© Elvis Presley Ă©tait mĂȘme venu le voir jouer. Lloyd expliquait: “Every night, to watch Calvin Newborn, Phineas’s younger brother, because he would be playing guitar and he jumped way up in the air, shaking his legs. Well, Elvis couldn’t do that guitar stuff that Calvin could do, but he could shake his leg, so he watched and got some stuff from those gigs.”
Évoquant son enfance dans le Sud, Lloyd avait commentĂ©: “That world of man’s inhumanity to man – racism, segregation – was a game somebody had set up, a botheration”. DĂ©crivant sa jeunesse Ă  Memphis, Lloyd avait ajoutĂ©:
“We were in Mecca, you know? The music was just so powerful. We were bit by the cobra of Bird [Charlie Parker] and Prez [Lester Young], so it was no turning back, but the blues is part of our ethos and those were the gigs that were available to us. Howlin’ Wolf would come to town and say: ‘You play with me, you eat pork chops – you play in other bands, you eat neck bones!’ He could pay about $5 more, $10 more, than the other bands. Naturally, you wanted to play with Wolf. Plus the fact he would shake those buildings when he played. And the ladies, throwing their panties up on the stage and pulling on his pants!”
En 1956, Lloyd avait quittĂ© Memphis afin de poursuivre des Ă©tudes de maĂźtrise en musique classique Ă  l’University of Southern California (USC) Ă  Los Angeles, oĂč il avait Ă©tudiĂ© avec Halsey Stevens, un spĂ©cialiste de Bela BartĂłk. Lloyd expliquait ainsi ce qui l’avait tellement fascinĂ© dans la musique de BartĂłk: “I think because of his work with his folk themes and folk melodies, it touched us, there was some some kind of simpatico.”
AprĂšs ses cours à l’universitĂ©, Lloyd s’était produit dans les clubs avec des sommitĂ©s du jazz comme Ornette Coleman (qui Ă©tait devenu son mentor), Billy Higgins, Scott LaFaro, Don Cherry, Charlie Haden, Eric Dolphy, Bobby Hutcherson et d’autres musiciens bien en vue de la CĂŽte ouest. Se rappelant une jam session qui avait eu lieu en 1966, Lloyd avait prĂ©cisĂ©: “Billy Higgins, Ornette, Dexter Gordon, a lot of guys were there. I got up to play and, afterwards, Ornette came up and said: ‘Man, you sure can play the saxophone but that don’t have a lot to do with music.’ He was about eight years older than me and, essentially, was saying that I could play but I didn’t have it together yet. We became friends, played and practised a lot together. It was a rich community in California, so I got blessed again.”
Durant son sĂ©jour Ă  l’universitĂ©, Lloyd avait aussi Ă©tĂ© membre du big band du compositeur et trompettiste Gerald Wilson. Lloyd Ă©tait Ă©galement trĂšs proche de Miles Davis, John Coltrane, Charles Mingus, Thelonious Monk et Coleman Hawkins. James Rozzi Ă©crivait dans le magazine Wired: "Nary a review is written about saxophonist Charles Lloyd without mentioning his kinship to John Coltrane, both sonic and spiritual. But while Coltrane's sound became more strident with time, Lloyd's has grown lush and haunting." Lloyd dĂ©tient Ă©galement un baccalaurĂ©at en Ă©ducation musicale de Norfolk State University et une maĂźtrise en piano de l’UniversitĂ© du Michigan. La devise de Lloyd est ‘’Goin’ Ahead’ (toujours devant).
DÉBUTS DE CARRIÈRE
AprĂšs s’ĂȘtre installĂ© Ă  New York au dĂ©but des annĂ©es 1960, Lloyd s’était produit dans des clubs de jazz rĂ©putĂ©s comme le Birdland,  le Village Vanguard, le Half-Note, la Jazz Gallery et le Five-Spot.
Lloyd travaillait comme professeur lorsqu’il avait reçu une offre pour devenir directeur musical du groupe du batteur Chico Hamilton. À l’époque, Eric Dolphy venait de quitter la formation pour se joindre au groupe de Charles Mingus. Le guitariste hongrois GĂĄbor SzabĂł, le contrebassiste Albert "Sparky" Stinson et le joueur de trombone Charles Bohanan avaient bientĂŽt rejoint Lloyd dans le groupe d’Hamilton. Les albums d’Hamilton sur Ă©tiquette Impulse !, ‘’Passin' Thru’’ et ‘’Man from Two Worlds’’, comprenaient de la musique Ă©crite et arrangĂ©e presque entiĂšrement par Lloyd. Ce dernier avait aussi collaborĂ© avec le batteur nigĂ©rien Babatunde Olatunji durant les pĂ©riodes oĂč il n’était pas en tournĂ©e avec Hamilton.
En 1964, Lloyd s’était joint au sextet de Cannonball Adderley, qui Ă©tait aussi composĂ© Ă  l’époque de Nat Adderley, Joe Zawinul, Sam Jones et Louis Hayes. Lloyd Ă©tait demeurĂ© dans le groupe d’Adderley durant deux ans. Lloyd avait toujours Ă©tĂ© reconnaissant envers Adderley pour l’avoir incitĂ© Ă  diriger ses propres formations.
AprĂšs avoir signĂ© un contrat avec les disques Columbia en 1964, Lloyd avait commencĂ© Ă  enregistrer sous son propre nom. Ses deux premiers enregistrements pour Columbia, ‘’Discovery!’’ (1964), et ‘’Of Course, Of Course’’ (1965), rĂ©alisĂ©s avec une formation composĂ©e de  Gabor Szabo Ă  la guitare, de Don Friedman et Herbie Hancock au piano, de Richard Davis et Ron Carter Ă  la contrebasse, et de Roy Haynes et Tony Williams Ă  la batterie, lui avaient valu d’ĂȘtre Ă©lu artiste de la relĂšve par le magazine Downbeat.
AprĂšs avoir quitté le groupe d’Adderley en 1965, Lloyd avait formĂ© son ‘’quartet classique’’ avec le batteur Jack DeJohnette, le pianiste Keith Jarrett et le contrebassiste Cecil McBee (qui avai plus tard Ă©tĂ© remplacĂ© par Ron McClure). C’est avec ce groupe que Lloyd avait enregistrĂ© un premier album sous son nom intitulĂ© ‘’Dream Weaver’’ en 1966. La musique du groupe Ă©tait un amalgame de post-bop, de free jazz et de soul jazz. L’album live du quartet, intitulĂ© ‘’Forest Flower’’, a Ă©tĂ© enregistrĂ© en 1966 au Festival de jazz de Monterey, et est devenu un des premiers albums de jazz de l’histoire Ă  se vendre Ă  plus d’un million de copies.
TrĂšs populaire dans le milieu de la contre-culture, le quartet de Lloyd attirait une clientĂšle hydride composĂ©e tant d’amateurs de rock que de jazz. Premier groupe de jazz Ă  se produire au cĂ©lĂšbre Fillmore Auditorium de San Francisco, le quartet de Lloyd pratiquait une musique de fusion qui incorporait des Ă©lĂ©ments de free jazz, de musique non occidentale, d’harmonies impressionnistes et de rock psychĂ©dĂ©lique. Ironiquement, le nouveau jazz-rock en Ă©mergence avait fait son apparition Ă  la suite de performances qui Ă©taient essentiellement acoustiques. Au Filmore, le quartet de Lloyd avait partagĂ© la vedette avec des artistes et des groupes aussi renommĂ©s que Jimi Hendrix, Janis Joplin, Cream, the Grateful Dead et Jefferson Airplane. Lloyd avait d’ailleurs projetĂ© d’enregistrer avec Hendrix, mais la mort prĂ©maturĂ©e du guitariste en septembre 1970 avait empĂȘchĂ© le projet de se concrĂ©tiser. Lloyd avait Ă©galement envisagĂ© d’enregistrer avec le groupe les Byrds, mais la compagnie de disques avait refusĂ© de soutenir le projet. Attribuant la dĂ©cision Ă  des considĂ©rations raciales, Lloyd avait commentĂ©: “They said no, it’s not going to happen – they were still doing racial polarities.”
ParallÚlement à ses performances au Filmore, Lloyd avait continué de se produire sur la scÚne des meilleurs festivals de jazz de la planÚte, dont ceux de Montreux, Antibes, Molde, Newport et Monterey.
DĂ©crivant l’apparence de Lloyd Ă  l’époque, le critique Martin Williams du New York Times Ă©crivait:  “With wildly bushy hair, military jacket, and garishly striped bell bottoms, he looks like a kind of show-biz hippie. He usually sounds like a kind of show-biz John Coltrane.”
Lloyd avait également joué comme artiste invité sur les enregistrements de groupes comme les Doors, The Birds, The Grateful Dead, Ashish and Pranesh Khan, ainsi que les Beach Boys. Loin de se limiter au monde de la musique rock, les explorations de Lloyd avaient inspiré des musiciens de jazz comme Miles Davis qui avaient suivi son exemple en se produisant à leur tour au Filmore aux cÎtés de vedettes de la musique rock.
AprĂšs avoir Ă©tĂ© Ă©lu artiste jazz de l’annĂ©e en 1967 par le magazine Down Beat, Lloyd avait fait une premiĂšre tournĂ©e mondiale. Accueilli chaleureusement en Europe, notamment dans des festivals comme ceux de Montreux, Antibes et Molde en NorvĂšge, le quartet de Lloyd Ă©tait aussi devenu le premier groupe de jazz amĂ©ricain Ă  se produire en URSS. Lorsque les spectateurs de Talinn, en Estonie, avaient appris que le KGB avait l’intention de ne pas laisser le groupe monter sur scĂšne, ils avaient commencĂ© Ă  crier: "Lloyd jazz! Lloyd jazz!" Lorsque Lloyd Ă©tait retournĂ© en Estonie en 1997, Marju Kuut (qui avait assistĂ© Ă  la premiĂšre performance du groupe trente ans auparavant) avait dĂ©clarĂ© Ă  Thomas Conrad du magazine Down Beat: "Europeans played in jazz, but something was missing. Lloyd was real, real American jazz. They didn't play for ... show. They played for themselves."
Le groupe avait Ă©galement jouĂ© au Moyen-Orient, en Chine et dans les pays du Bloc de l’Est. Lloyd Ă©tait aussi devenu le premier musicien de jazz Ă  se produire au festival de musique classique de Bergen, en NorvĂšge. Le quartet de Lloyd avait finalement Ă©tĂ© dĂ©mantelĂ© aprĂšs que Miles Davis ait recrutĂ© DeJohnette et Jarrett dans le cadre de ses premiers groupes de jazz-fusion. Davis, qui avait toujours Ă©tĂ© un peu jaloux du succĂšs de Lloyd, Ă©tait un personnage trĂšs particulier selon les propres dires du saxophoniste. Lloyd expliquait: “Miles is very creative, a very special guy – he changed music a bunch of times.’’ TrĂšs lucide envers la personnalitĂ© trĂšs complexe de Davis, Lloyd Ă©tait conscient que la situation ne pouvait durer. Lloyd avait prĂ©cisĂ©: “We can’t get along. He’s extremely talented but he wants all the girls and all the money.” 
Mais malgrĂ© toute sa cĂ©lĂ©britĂ©, Lloyd ne se sentait plus trĂšs heureux. Il poursuivait: “You must understand, fame and fortune, it’s like a hog plum – looks real juicy and you bite into it and you break your teeth off because it’s all pit and skin. So, I came to realise the fame and fortune were why I was miserable. They weren’t what they seem. You know, I got all these demands on me: ‘Sign this, do that, be over here 
’ Around ’68 things started getting bad: my marriage and the tragic magic.”
À l’époque, Lloyd avait Ă©galement commencĂ© Ă  dĂ©velopper une dĂ©pendance envers les narcotiques, ce qui n’avait guĂšre contribuĂ© Ă  amĂ©liorer la situation. Il poursuivait: ‘’Some powder that you take in you. You do things with it. And you don’t have any problems, you just need to get your tragic magic each day. I’d go play with the Grateful Dead and theyïżœïżœïżœd put Peru on the table, you know, a big mountain of coke and stuff 
 When you’re medicating yourself like that, you’re in another zone. At first it was stimulating but, after a while, it was impeding the creative.’’ 
Lloyd avait donc dĂ©cidĂ© de quitter New York pour la Californie afin de tenter de se reconstruire. Lloyd Ă©tait aussi insatisfait de son contrat avec Atlantic, qu’il avait comparé au systĂšme des plantations Ă  l’époque de l’esclavage. Se rappelant de son arrivĂ©e en Californie, Lloyd avait expliquĂ©:
“I remember when I came back to California, Herbie, Wayne, Miles, Zawinul, Horace-none of those cats were out here then. I remember everybody said I was doing a dumb thing coming back to California. I was up at [Bob] Dylan’s place in [Woodstock, N.Y.]. We were standing around and his manager, Albert Grossman, had a pool, with cracks in it, and Dylan said, ‘Man, why are you going out there?’ I said, ‘I gotta go back to heal a little bit. I went to college out there and I’m gonna go be by the sea and not wear any clothes and become a fruitarian.’’’
Depuis la fin des annĂ©es 1950, un peu comme Don Cherry, Yusef Lateef, l’Art Ensemble of Chicago et John Tchicai, Lloyd Ă©tait aussi reconnu pour avoir incorporĂ© la musique d’autres cultures dans le cadre de ses compositions.
MĂȘme si Lloyd avait enregistrĂ© plusieurs albums dans les annĂ©es 1970 et avait collaborĂ© aux enregistrements de plusieurs autres artistes, il Ă©tait pratiquement disparu de la scĂšne du jazz par la suite. Devenu un adepte de la mĂ©ditation transcendentale, Lloyd avait commencĂ© Ă  collaborer massivement avec des groupes et des artistes du Big Sur, comme Robinson Jeffers, Langston Hughes, Henry Miller, Lawrence Ferlinghetti, Jean Varda et Jamie DeAngulo.
Mais Lloyd Ă©tait surtout connu pour sa collaboration avec les Beach Boys, tant sur leurs enregistrements en studio que comme membre de leur groupe de tournĂ©e. De nombreux membres des Beach Boys partageaient la fascination de Lloyd pour la technique. Lloyd, qui avait enregistrĂ© au studio-maison de Brian Wilson pour son propre compte durant cette pĂ©riode, avait rappelĂ© plus tard que plusieurs membres du groupe l’avaient accompagnĂ© sur ces enregistrements. Certaines des piĂšces enregistrĂ©es Ă  cette occasion avaient Ă©tĂ© incluses sur l’album de 1971 ‘'Warm Waters'', qui mettait Ă©galement en vedette le guitariste soliste du groupe Quicksilver Messenger Service, John Cipollina. Évoquant sa collaboration avec les Beach Boys, Lloyd avait commentĂ©:
“I didn’t know who the Beach Boys were but, it turned out, they were fans of mine. Mike Love started inviting me up to Brian Wilson’s place – Brian had a house in Bel Air with a studio in it and an engineer, there all the time. Atlantic had blackballed me and I’d run out of bread so they said: ‘You can use this studio.’ Brian would come down from his sandpit upstairs and sit in on the sessions and the band started singing on my records and stuff. It was an enlightened situation.”
À la mĂȘme Ă©poque, Lloyd avait Ă©galement fondĂ© le groupe Celebration, une formation qui comprenait certains membres du groupe de tournĂ©e des Beach Boys, ainsi que Mike Love et Al Jardine. Le groupe Celebration avait enregistrĂ© deux albums.
Lloyd était briÚvement retourné vers le jazz en 1981 afin de faire connaßtre le jeune pianiste français de dix-huit ans Michel Petrucciani. Faisaient aussi partie de la formation Son Ship Theus à la batterie et Palle Danielsson à la contrebasse.
Le retour de Lloyd avait Ă©tĂ© qualifiĂ© par le critique de jazz britannique Brian Case ‘’d’un des Ă©vĂ©nements majeurs des annĂ©es 1980.’’ La collaboration de Lloyd avec Petrucciani avait conduit Ă  des tournĂ©es en Europe et au Japon en 1982 et 1983. Avec Petrucciani, Lloyd avait enregistrĂ© deux lbums en concert, ‘’Montreux 82’’ et ‘’A Night in Copenhagen’’, qui mettaient Ă©galement en vedette le chanteur Bobby McFerrin.
AprĂšs s’ĂȘtre assurĂ© que Petrucciani avai obtenu la reconnaissance qu’il mĂ©ritait, Lloyd Ă©tait retournĂ© sur le Big Sur oĂč il Ă©tait restĂ© en dehors de la scĂšne du jazz durant une dizaine d’annĂ©es.
ÉVOLUTION RÉCENTE
En 1986, aprĂšs ĂȘtre contractĂ© une maladie intestinale et avoir Ă©chappĂ© de peu Ă  la mort, Lloyd Ă©tait retournĂ© vers le jazz. AprĂšs avoir recouvrĂ© la santĂ© en 1988, Lloyd avait formĂ© un nouveau quartet avec le pianiste suĂ©dois Bobo Stenson. Lorsque Lloyd Ă©tait retournĂ© au Festival de jazz de Montreux la mĂȘme annĂ©e, le critique suisse Yvan Ischer avait Ă©crit: "To see and hear Charles Lloyd in concert is always an event, not only because this saxophonist has been at quite a few crossroads, but also because he seems to hold an impalpable truth which makes him a thoroughly original musician...This is what we call grace."
En juillet 1989, Lloyd avait inauguĂ© une longue collaboration avec les son premier album disques ECM, avec lesquels il avait enregistrĂ© un premier album intitulĂ© ‘’Fish Out of Water.’’ Participaient Ă©galement Ă  l’enregistrement Bobo Stenson au piano, Palle Danielsson à la contrebasse et Jon Christensen à la batterie. Lors de la publication de l’album, le fondateur et producteur des disques ECM, Manfred Eicher, avait comparĂ© l’enregistrement Ă  une peinture de l’artiste suisse Alberto Giacometti en dĂ©clarant: "I really believe this is the refined essence of what music should be. All the meat is gone, only the bones remain." Les autres albums de Lloyd pour ECM comprenaient ‘’Notes From Big Sur’’ (1991), ‘’The Call’’ (1993), ‘’All My Relations’’ (1994), ‘’Canto’’ (1997), ’’Voice in the Night’’ (1998), ’’The Water Is Wide’’ (1999) (mettant en vedette le pianiste Brad Mehldau, le guitariste John Abercrombie, le contrebassiste Larry Grenadier et le batteur Billy Higgins), l’album live ’’Rabo de Nube’’ (2008, avec Jason Moran, Reuben Rogers et Eric Harland) et ’’Lift Every Voice’’ (2013).
Les albums de Lloyd pour ECM qui comprenaient des Ă©lĂ©ments d’expĂ©rimentation, Ă©taient Ă©normĂ©ment influencĂ©s par les musiques du monde, comme sur son album en duo ‘’Which Way Is East’’ avec son ami et partenaire de longue date Billy Higgins. EnregistrĂ© en 2001, peu avant la mort du batteur, l’album a Ă©tĂ© publiĂ© en 2012. Le critique Linton Chiswick du magazine Gramophone avait Ă©crit au sujet de l’album ‘’Canto’’ sur lequel Lloyd avait joué du hautbois tibĂ©tain: "Canto has the most exquisite opening of any jazz record made in a very long time.... Canto is a masterpiece. Resonant with the fragile, ethereal concentration that forms the life-force of Lloyd's music, it is the sound of a group that hasactually managed to create its own language."
En dĂ©cembre 1999, Lloyd avait rĂ©uni le mĂȘme personnel (John Abercrombie, Dave Holland et Billy Higgins) que sur son album acclamĂ© ‘’Voice in the Night’’ pour enregistrer l’album ‘’Wide Waters: The 1999 Charles Lloyd Sessions’’. EnregistrĂ© Ă  Los Angeles, l’album n’avait Ă©tĂ© publiĂ© qu’en juin 2013. Sur cet album, Lloyd avait rendu hommage Ă  des compositeurs qui l’avaient particuliĂšrement marquĂ© au cours de sa carriĂšre, comme Duke Ellington (“Black Butterfly’’ et ‘’“Heaven”), Billy Strayhorn (“Lotus Blossom”), et Cecil McBee (“Song Of Her”). La piĂšce-titre Ă©tait une reprise d’une chanson traditionnelle Ă©cossaise.
Le 11 septembre 2001, Lloyd devait se produire au cabaret Blue Note de New York. La tragĂ©die du World Trade Center avait obligĂ© Lloyd Ă  remettre le concert. Conscient que la terreur Ă©tait un important levier de solidaritĂ©, Lloyd avait rĂ©agi Ă  sa façon en enregistrant l’album ‘’Lift Every Voice’’. EnregistrĂ© en fĂ©vrier 2002, l’album mettait Ă  contribution Geri Allen au piano, John Abercrombie Ă  la guitare, Marc Johnson et Larry Grenadier Ă  la contrebasse et Billy Hart Ă  la batterie. L’album n’a cependant Ă©tĂ© publiĂ© qu’en juin 2013. Sur le disque, Lloyd interprĂ©tait ses propres compositions ainsi que des classiques comme ‘’Amazing Grace’’, ‘’I’m Afraid’’ de Duke Ellington et “Blood Count’’ de Billy Strayhorn.
En mai 2004, Lloyd avait aussi enregistrĂ© ‘’Sangam’’, un album en trio avec Zakir Hussain (tabla, voix et percussion) et Eric Harland (batterie, percussion, piano). Le mois suivant, Lloyd Ă©tait retournĂ© en studio pour enregistrer l’album ‘’Jumping the Creek’’ avec une formation composĂ©e de Geri Allen au piano, de Robert Hurst Ă  la contrebasse et d’Eric Harland Ă  la batterie. L’album a Ă©tĂ© publiĂ© en juin 2013.
L’album ‘’Mirror’’ (2010), le second enregistrement de Lloyd avec son New Quartet, avait Ă©tĂ© qualifiĂ© de ‘’classique’’ par la critique. L’album live ‘’Rabo de Nube’’ (2008) a Ă©tĂ© proclamĂ© album de l’annĂ©e dans le cadre des sondages des lecteurs et des critiques du magazine Jazz Times. L’album avait étĂ© enregistrĂ© avec un quartet composĂ© de Jason Moran au piano, de Reuben Rogers Ă  la contrebasse et d’Eric Harland Ă  la batterie.
À la mĂȘme Ă©poque, Lloyd avait Ă©galement collaborĂ© avec la chanteuse classique grecque Maria Farantouri dans le cadre d’un concert prĂ©sentĂ© Ă  l’Herodion Theater de l’Acropole, Ă  AthĂšnes. Ta Nea, un journal d’AthĂšnes, avait commentĂ©: "Music has no borders...The audience was filled with a Dionysian ecstasy. While the music had reminiscences of a Hypiros fair, at the same time it took you to the heart of New York City." Le concert a Ă©tĂ© enregistrĂ© et a Ă©tĂ© publiĂ© par les disques ECM sous le titre d’’’Athens Concert’’ en 2011.
En 2013, Lloyd a cĂ©lĂ©brĂ© son 75e anniversaire de naissance dans le cadre de concerts prĂ©sentĂ©s au Metropolitan Museum of Art de New York City et au Kennedy Center Concert Hall de Washington, D.C. La mĂȘme annĂ©e, Lloyd a Ă©galement Ă©tĂ© honorĂ© par l’UniversitĂ© du Texas Ă  l’occasion d’un concert de ses oeuvres mettant en vedette la Huston-Tillotson University Concert Choir, la University of Texas Concert Chorale et la Prairie View Texas A&M University Concert Choir.
En janvier 2015, on avait annoncĂ© que Lloyd avait signĂ© un contrat avec les disques Blue Note. ‘’Wild Man Dance’’, un album en concert sur lequel Lloyd interprĂ©tait une longue suite pour quartet de piano, contrebasse, batterie et saxophone qui lui avait Ă©tĂ© commandĂ©e par le Jazztopad Festival de Wroclaw, en Pologne, a Ă©tĂ© publiĂ© en avril 2015. Deux ans plus tard, le festival Jazztopad avait commandĂ© Ă  Lloyd une oeuvre multimĂ©dia intitulĂ©e “Red Waters, Black Sky.”
En 2016, Lloyd avait fondĂ© le groupe The Marvels avec qui il avait publiĂ© l’album “Charles Lloyd & the Marvels, I Long To See You” sur Ă©tiquette Blue Note. Le groupe Ă©tait composĂ© des guitaristes Bill Frisell et Greg Leisz, du contrebassiste Reuben Rogers et du batteur Eric Harland. L’album mettait aussi en vedette Norah Jones et Willie Nelson comme artistes invitĂ©s. Lloyd retraçait ainsi les origines du groupe:
“I used to play at this club in Memphis, where a country band was always finishing up as we came in. Their pedal steel guitar player, Al Vescovo, fell in love with my playing, and I with his. He and I became friends, which wasn’t easy on account of the color lines. But the warmth of our friendship was pure. I eventually left for California, and we never saw each other again. Years later, I started performing with Bill Frisell—a seeker whose music, like mine, dances on many shores. On the road, between concerts, I was always reminiscing with him about this young musician from my teens. One night, he invited a pedal steel guitar player to sit in on a concert we played at UCLA’s Royce Hall. That turned out to be Greg Leisz. Hearing him brought full circle a childhood feeling of that instrument and its sonority. Thus, The Marvels were born, because what had happened was a marvel.”
En 2018, le groupe avait publiĂ© un second album intitulĂ© “Vanished Gardens” avec Lucinda Williams comme artiste invitĂ©e. Ce disque avait Ă©tĂ© suivi en mars 2021 de ‘’Tone Poem’’, le troisiĂšme album du groupe Charles Lloyd & the Marvels. En plus de trois compositions originales de Lloyd, l’album comprenait des oeuvres de Leonard Cohen (‘’Anthem’’), Ornette Coleman (“Peace” et “Ramblin’”) et Thelonious Monk (‘’Monk’s Mood’’).
TrĂšs apprĂ©ciĂ© comme compositeur et arrangeur, Lloyd a obtenu d’autres commandes au cours de sa longue carriĂšre. Son opĂ©ra ‘’Song of Solomon’’ a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© en premiĂšre Ă  Detroit, au Michigan, en 1988. Les compositions et les arrangements de Lloyd Ă©taient aussi en vedette sur l’album ‘’Great Day in the Morning and Spirituals’’, de Jessye Norman. Lloyd a Ă©galement Ă©crit les arrangements de l’album ‘’The Passion of Christ in Spirituals’’ de la soprano Veronica Tyler, de l’album ‘’Let it Shine’’ de la soprano Laura-English Robinson, et du premier album de la mezzo soprano Carolyn Sebron. Compositeur prolifique, Lloyd a Ă©galement Ă©crit plus de soixante arrangements choraux de spirituals et d’hymnes sous le titre de ‘’The Invisible Church.’’ En 1990, Kathleen Battle et Jessye Norman ont interprĂ©tĂ© deux compositions de Lloyd dans le cadre de l’album ‘’Spirituals in Concert’’, enregistrĂ© sur Ă©tiquette Deutsche Grammophon. En 2000, les Warner Bros. Publications ont publiĂ© une compilation des spirituals de Lloyd sous le titre de The Spiritual Art Song Collection.
Le 2 aoĂ»t 2008, l’opĂ©ra de Lloyd ‘’Emmett Till’’ a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© en grande premiĂšre au Science High School de Newark, au New Jersey. L’oeuvre avait Ă©tĂ© commandĂ©e par la Trilogy Opera Company. Lloyd a aussi Ă©tĂ© en vedette dans le cadre de la Hamilton Fairfield Symphony Orchestra American Masters Concert Series. Les piĂšces ‘’Ballad of the Black Mother” et “Amazing Grace”, composĂ©es et arrangĂ©es par Lloyd, figurent sur l’album  ‘’Songs of America’’ du baryton-basse Oral Moses. Lloyd a Ă©galement Ă©tĂ© un des compositeurs invitĂ©s sur ‘’The Sisyphus Syndrome’’, un concert thĂ©matique dans la plus pure des tradition du poĂšte Amiri Baraka, qui a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© au Schomburg Center for Research in Black Culture. En 2011, la cantate de Lloyd intitulĂ©e “Spirit Song” pour soprano, baryton, choeur et piano a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e en premiĂšre dans le cadre du 200e anniversaire de la rĂ©volte des esclaves de 1811 en Louisiane.
En 2019, Lloyd avait aussi Ă©tĂ© chargĂ© par le Alonzo King’s Lines Ballet  de composer un ballet intitulĂ© “Azoth”. L’oeuvre a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e en premiĂšre mondiale le 1er octobre 2019. Lloyd a aussi Ă©tĂ© mandatĂ© pour Ă©crire deux chansons pour le chanteur basse Kevin Maynor sur un texte du Sud-Africain Don Matera. L’oeuvre peut ĂȘtre entendue sur l’album ‘’The Black Art Song.’’ Plusieurs des spirituals de Lloyd ont Ă©tĂ© publiĂ©s.
En 2020, les disques Blue Note ont publiĂ© un coffret en Ă©dition limitĂ©e intitulĂ© “Charles Lloyd, 8, Kindred Spirits”, qui comprenait un livre de photographies de 96 pages, quatre microsillons et un DVD d’une de ses performances en concert. Lloyd a aussi jouĂ© le rĂŽle d’accompagnateur officiel dans le cadre de plusieurs compĂ©titions internationales dont l’International Voice Competition de Rio de Janeiro, l’International Gaudeamus Competition of 20th Century Music de Rotterdam, la Munich Voice Competition, et la 6e compĂ©tition Internationale de chant Tchaikovsky Ă  Moscou.
VĂ©ritable force de la nature, Lloyd a enregistrĂ© une vingtaine d’albums depuis qu’il a signĂ© un contrat avec ECM en 1989. Lorsqu’on parlait Ă  Lloyd de sa remarquable productivitĂ©, il rĂ©pondait: “I’m a seeker and I’m trying to change the world, right? And I’m doing it with sound.” Depuis le dĂ©but de son association avec les disques Blue Note en 2015, Lloyd avait continuĂ© de travailler avec des musiciens d’un peu partout sur la planĂšte (provenant notamment de l’Inde, de Hongrie et de GrĂšce), tout en collaborant avec des vedettes de la musique pop comme Norah Jones, Willie Nelson et Lucinda Williams, ce qui lui avait permis de conquĂ©rir un nouveau public. Lloyd expliquait: “Back in Memphis I used to jam with a country band who had a hot pedal steel guitar player so, by playing with Bill Frisell [guitar] and Greg Leisz [pedal steel], I’ve managed to reach after that. I like weird connections because I don’t like to play with one hand behind my back. I got to have a full deck of cards: no restrictions.”
Refusant toute Ă©tiquette, Lloyd a toujours des goĂ»ts aussi Ă©clectiques: il interprĂȘte mĂȘme ses propres versions de chansons de Bob Dylan et de Brian Wilson. MĂȘme si le style de Lloyd n’avait pas vraiment changĂ© depuis les annĂ©es 1960, il avait commencĂ© Ă  se faire connaĂźtre comme interprĂšte de ballades, notamment depuis la parution de l’album ‘’The Water is Wide’’ en 2000, avec une formation composĂ©e de Brad Mehldau, John Abercrombie, Larry Grenadier et Billy Higgins.
Multi-instrumentiste, Lloyd joue du saxophone tĂ©nor et du saxophone alto, de la flĂ»te et de divers instruments Ă  anche. Lorsqu’on demandait Ă  Lloyd quelle Ă©tait sa dĂ©finition du jazz, il rĂ©pondait:
"This is a music of freedom and wonder. It uplifts, it inspires, it touches the heart, and it heals. It is transformational. Jazz is our indigenous art form and is constantly evolving while remaining deeply rooted in tradition and nourished by the American terroir. I have been drunk with the pursuit of ‘the sound’ all my life – and have been blessed to stand on the shoulders of those who came before me and gave encouragement – this is also part of the tradition." 
Se dĂ©crivant lui-mĂȘme comme une sorte d’archĂ©ologue ou d’astronome, Lloyd avait ajoutĂ©: “I’m an archeologist and astronomer, trying to make a breakthrough. I have this dream that I’m going to melt into the music and I’ll become what it is. It’s such a beautiful gift that I’ve been given of being able to continue to explore. I pick up the instrument and I play and I can’t put it down. It takes me. I go out in nature and come home with these quantum mechanics in my heart.”
Charles Lloyd a remportĂ© plusieurs prix au cours de sa carriĂšre. En 2013, le Festival international de jazz de MontrĂ©al a dĂ©cernĂ© Ă  Lloyd le prestigieux Miles Davis Award. Le 25 juin 2014, la National Endowment for the Arts avait annoncĂ© qu’elle avait dĂ©cernĂ© Ă  Lloyd un Jazz Master Awards, le plus important honneur pouvant ĂȘtre remis Ă  un musicien de jazz aux États-Unis. La mĂȘme annĂ©e, Lloyd avait Ă©tĂ© honorĂ© dans le cadre du Jazz Legends Gala du Festival de Jazz de Monterey. Le gala Ă©tait animĂ© par le pianiste Herbie Hancock. Toujours en 2014, Lloyd avait remportĂ© le Alfa Jazz Fest International Music Award. En 2015, le Berklee College of Music a dĂ©cernĂ© Ă  Lloyd un doctorat honorifique en musique. Lloyd a reçu son doctorat au cours d’une cĂ©rĂ©monie tenue dans le cadre du Umbria Jazz Festival en juillet 2015. Lloyd a Ă©galement Ă©tĂ© intronisĂ© au sein du Memphis Music Hall of Fame en 2016. L’annĂ©e suivante, le Festival de jazz de San Sebastian lui a attribuĂ© un Lifetime Achievement Award. En aoĂ»t 2019, Lloyd a aussi Ă©tĂ© nommĂ© Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres par le ministre de la Culture de France.
Toujours actif sur la scĂšne du jazz Ă  l’ñge de plus de quatre-vingt ans, Charles Lloyd vit Ă  Santa Monica en Californie avec son Ă©pouse, l’architecte et gĂ©rante Dorothy Darr. Le couple avait vĂ©cu la majoritĂ© des annĂ©es 1970 dans le Big Sur, dans une modeste maison de campagne d’inspiration japonaise qui avait Ă©tĂ© le premier projet architectural de la carriĂšre de Darr. Lorsqu’il Lloyd Ă©tait tombĂ© gravement malade en 1986, Lloyd avait dĂ©cidĂ© de se rapprocher des mĂ©decins. Darr expliquait: “When Charles had a health crisis, when he nearly died in ’86, we realized that we needed to be closer to doctors. We actually were here when that happened. Had he been up there, he would not be here now. So that was how we shifted permanently down here.” La nouvelle maison du couple, Ă©galement conçue par Darr, a Ă©tĂ© Ă©rigĂ©e en 1998 sur une propriĂ©tĂ© que le couple possĂ©dait depuis 1982. Commentant le travail de son Ă©pouse, Lloyd avait dĂ©clarĂ©: “She has had architects want to come and see her house. These guys are supposed to be doing this for a living. She’s a renaissance woman.’’ Lloyd avait ajoutĂ©: “After we lived in New York in lofts, I still want to live in a loft, you know? [Darr] lived in Florence. From Florence, she says, ‘OK, he needs a loft and I need the gentility of an Italian, Moorish house.’ We had this land and she built this space. The beautiful thing is that you don’t hear any sounds and you don’t have people bothering you. I think it helps me to aerate, to go for hikes in the mountains and go swimming in the water. All of that stuff is still important to me.”
Compositeur, pianiste, arrangeur et accompagnateur, Charles Lloyd est aussi professeur de musique et directeur de chorale Ă  l’UniversitĂ© Southern et au College A & M, Ă  Baton Rouge, en Louisiane.
La carriĂšre et les compositions de Lloyd ont fait l’objet de deux thĂšses de doctorat: ‘’The Vocal Works of Charles Lloyd, Jr.: The Dramatic Works, Art Songs and Spiritual Art Song’’ de Charis Kelly Hudson (Louisiana State University, dĂ©cembre 2011) et ‘’The Contributions of Twentieth Century African American Composers to the Solo Trumpet Repertoire: A Discussion and Analysis of Selected works by: Ulysses s. Kat, Adolphus C. Hailstork, Regina Harris Baiocchi, and Charles Lloyd, Jr.’’ d’Orrin Wilson (University of Nebraska, juin 2011).
Le violoniste classique Yehudi Menuhin avait Ă©crit au sujet de Lloyd dans son autobiographie intitulĂ©e ‘’Unfinished Journey’’ publiĂ©e en 1976: “He was a special guy. He had this universal love for music. I like the guys with the universal thing.” Lecteur insatiable, Lloyd recommandait particuliĂšrement l’ouvrage ‘’Indian Tales’’ de l’ethnomusicologue français d’origine espagnole Jaime de Angulo. Il expliquait: “It’s about the indigenous people who lived in our area in Big Sur, the Esalen tribe. Down here, it’s the Chumash, but up there, it’s the Esalen. Marvelous stories about them. And on our property, there grew this plant, this datura. It’s like a trumpet flower and a vine. It had medicinal purposes. They could brew a tea with it. It was a hallucinogen. They would have ceremonies up on this part of our land. I got the hit from it.”
ConsidĂ©rĂ© comme le plus hippie des musiciens de jazz, Charles Lloyd a inspirĂ© le commentaire suivant au critique Peter Watrous du New York Times: “Mr. Lloyd has come up with a strange and beautiful distillation of the American experience, part abandoned and wild, part immensely controlled and sophisticated.”
©-2023, tous droits rĂ©servĂ©s, Les Productions de l’Imaginaire historique
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brn1029 · 2 years ago
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On this date in music history

August 9th
1995 - Jerry Garcia
Jerry Garcia guitarist and singer from the Grateful Dead died from a heart attack at the Serenity Knolls rehabilitation clinic in San Francisco aged 53. Garcia co-founded the New Riders of the Purple Sage and also released several solo albums. He was well known for his distinctive guitar playing and was ranked 13th in Rolling Stone's "100 Greatest Guitarist's of All Time"
1986 - Gary Numan
250 Gary Numan fans picketed BBC Radio 1 in London, demanding more airtime for their favourite pop star.
1986 - Queen
Queen ended their Magic European tour at Knebworth Park, Stevenage, England, with over 120,000 fans witnessing what would be Queen's last ever live performance. On this, their final tour, Queen played to legions of established fans, plus many new ones gained as a result of their show-stealing performance at Live Aid the previous year. The support acts were Belouis Some, Big Country and Status Quo.
1980 - Abba
ABBA scored their eighth UK No.1 single with 'The Winner Takes It All'. Taken from their 'Super Trouper' album. By this time, both couples were divorced.
1980 - AC/DC
AC/DC scored their first UK No.1 album with Back In Black. It was the first AC/DC album recorded without former lead singer Bon Scott (who died on 19 February 1980 at the age of 33), and was dedicated to him. The album has sold an estimated 49 million copies worldwide to date, making it the second highest selling album of all time, and the best selling hard rock or heavy metal album, as well as the best selling album ever released by a band.
1980 - Pink Floyd
Ten original Gerald Scarfe drawings for Pink Floyd's album The Wall were stolen from the foyer of Earls Court, London, England where they were being exhibited.
1967 - Scott McKenzie
Scott McKenzie was at No.1 on the UK singles chart with 'San Francisco (Be Sure To Wear Some Flowers In Your Hair).' The singers only UK Top 40 hit was written by John Philips of Mamas & Papas.
1967 - Small Faces
The Small Faces entered the singles chart with 'Itchycoo Park', the single peaked at No.3 in the UK chart. The song was one of the first pop singles to use flanging, an effect that can be heard in the bridge section after each chorus. Most sources credit the use of the effect to Olympic Studios engineer George Chkiantz who showed it to the Small Faces regular engineer Glyn Johns.
1964 - The Rolling Stones
The Rolling Stones appeared at the New Elizabeth Ballroom in Belle Vue, Manchester. Two policemen fainted and another was taken to hospital with broken ribs after trying to control over 3,000 screaming teenagers.
1958 - Cliff Richard
Britain's answer to Elvis, 17 year old Cliff Richard, signed a record deal with EMI records. Also on this day Cliff Richard started a four-week residency at Butlins Holiday Camp in Clacton-On-Sea, Essex as Cliff Richard and the Drifters.
1953 - Mantovani
Mantovani and his Orchestra were at No.1 on the UK singles chart with 'Song From The Moulin Rouge', (from the film of the same name). The first ever instrumental No.1 on the UK chart.
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sportscri · 4 years ago
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Mercedes make more history with Formula E titles in second season as Nyck De Vries becomes champion
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Mercedes claim double world championship success in just their second Formula E season as Nyck De Vries takes drivers’ title while Stoffel Vandoorne helps Silver Arrows to team crown Last Updated: 16/08/21 11:51am Nyck De Vries and Mercedes team boss Ian James celebrate after the Berlin E-Prix Nyck De Vries and Mercedes claimed the driver and team Formula E titles following a dramatic final

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acesspeedway · 1 year ago
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Another excellent result for The Aces at the NSS with a 48-42 win over Kings Lynn to continue their 2024 league campaign.
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dezaia · 5 years ago
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6persoschallenge n°3 ▬ Olympe De Briant (personnage que je joue en ce moment, que je rejoue à l’identique)
fc. sarah gadon  || sorciÚre || grande sorciÚre de rome || univers shadowhunters & tmi  || 2018 to 2019 puis 2020 et encore en jeu
En tout cas, merci @mysterious-corvidae​  @corvidae-challenge pour le challenge, je me permets de vous prĂ©senter Tenebris Bellum aussi, qui est le perso oĂč je joue Olympe, aka Blondie en mĂȘme temps /mur 
âžș https://sh-tenebrisbellum.forumactif.com/
âžș the frenchie warlock
Fillette bretonne de Saint-Malo, Olympe est une demoiselle qui est nĂ©e sous le rĂšgne de François 1er. Son pĂšre Charles est le Duc et intendant de la ville fortifiĂ©e, ce qui place la demoiselle — son unique enfant — en hĂ©ritiĂšre et duchesse Ă  la mort d’Henriette De Briant, la mĂšre de la petite.
Mais Olympe est avant tout une sorciĂšre, fille de Lucifer lui-mĂȘme ! Petite gamine aux grands yeux vairons et aux Ă©cailles vertes sur le dos des mains et dans le creux des reins, elle n’a jamais Ă©tĂ© acceptĂ©e par sa mĂšre ultra catholique aux vues de l’époque. Subissant les mauvais traitements, la visite rĂ©guliĂšre de membres de l’église. Rien n’y a jamais fait, elle Ă©tait condamnĂ©e Ă  vivre dans l’ombre, loin des Malouins et de cette ville qu’elle aime tant. Jusqu’à l’arrivĂ©e d’Onyx, un enfant aux mĂȘmes capacitĂ©s et Ă  la marque diffĂ©rente de la sienne. Olympe avait huit ans quand il est arrivĂ©, Onyx treize. Les deux Bretons ont donc tout fait pour s’entre aider jusqu’à la mort de Madame De Briant. Tout. C’est justement Ă  treize ans qu’Olympe a pu, en compagnie d’Onyx, en apprendre plus sur sa nature et sur sa magie. Recevoir la visite d’autres sorciers pour au moins maĂźtriser sa magie et cacher ses marques afin d’avoir, enfin, une vie normale aux yeux des habitants. On rĂ©clamait Mademoiselle la Duchesse et Olympe s’est trĂšs vite prise au jeu.
Elle a suivi Onyx sur le tard Ă  la Cour de France. Blois, Saint-Germain, Fontainebleau, elle a Ă©tĂ© dans les petits papiers de l’Histoire de France durant des annĂ©es. C’est sans doute lĂ -bas qu’est nĂ©e cette passion pour la politique et son envie de changer le monde pour les personnes qu’elle aime. Mais la Cour de France, c’est aussi rencontrer des gens. Hadrian et Elena De Lacroix-Choiseul, de jeunes Ă©poux du royaume de Lorraine. C’est rapidement qu’ils se sont pris d’affection
 Le quatuor, mais Ă©galement Hadrian et Olympe. Passion platonique, muette, silencieuse, le but Ă©tait de ne pas entacher la rĂ©putation d’Elena. Il n’y a jamais eu que des baisers entre la Bretonne et le lorrain, rien de plus. Mais c’était assez pour faire naĂźtre les rumeurs et prĂ©cipiter un mariage arrangĂ© pour Olympe. Sans doute Onyx s’est-il sacrifiĂ© en se proposant lui-mĂȘme, Ă  Charles De Briant, pour devenir l’époux de son unique fille. Des fiançailles qui ont traĂźnĂ© en longueur, au moins quatre ans et un mariage qui ne sera jamais cĂ©lĂ©brĂ©, car Olympe disparait, se faisant passer pour morte.
La raison ? Blondie est bien trop prĂ©sente dans les affaires, potions, sorts, malĂ©dictions, elle gagne son argent en plus de rentes. Les actions de la De Briant ne passant pas inaperçu pour un clan de vampires : Les De RougĂ©. En guise de vengeance, ils prennent la vie d’Hadrian pour montrer l’exemple. Vie qui sera plus ou moins sauvĂ©e en faisant du lorrain un enfant de la nuit Ă  son tour. Mais cette culpabilitĂ©, cette honte Ă©galement, d’ĂȘtre l’origine du problĂšme, d’ĂȘtre l’origine de la mort de son Ăąme sƓur
 Tout ça Ă©tait trop dur Ă  porter. Olympe est donc partie, couverte pas Onyx et Elena. Hadrian ne devait pas la retrouver pour ne plus se mettre en danger jusqu’à Ă©carter totalement De RougĂ© et son clan.
Cette fuite qui la mĂšne Ă  Madrid, aux cĂŽtĂ©s de Ruben, son Grand Sorcier. Qui deviendra son ami, son amant, puis son mari pendant une centaine d’annĂ©es. Mais aussi Ă  Londres oĂč elle rencontre les Lancaster et Nocturne, une vampire. Avant de retourner Ă  Saint-Malo, indĂ©pendant du Royaume de France. Puis un autre passage aux cĂŽtĂ©s de Ruben Ă  Madrid, avant de filer Ă  Brussels, puis Ă  La Nouvelle-OrlĂ©ans et enfin Ă  Rome en 1871. Rome, la vielle Ă©ternelle oĂč elle rencontre CaĂŻus Rivoli, le Grand Sorcier local. Elle sera son assistante, mais aussi sa fiancĂ©e. Elle le perd d’ailleurs en 1939 lors de la seconde Grande Guerre Ă  six mois de leur mariage. Et la vĂ©ritĂ© Ă©clate enfin, si Olympe fuyait De RougĂ©, cela faisait 80 ans qu’elle Ă©tait en couple avec l’un de ses protĂ©gĂ©s. À dĂ©faut de l’éliminer, CaĂŻus en a payĂ© le prix et il est mort Ă  son tour.
Rome, Olympe n’en voulait pas sa charge, mais c’est un ami : Arthur. Qui a proposĂ© son nom afin qu’elle soit Grande SorciĂšre. Charge qu’elle obtiendra un mois aprĂšs la mort de CaĂŻus. Depuis, elle est Ă  la tĂȘte de la ville aux sept collines et tente tant bien que mal de gĂ©rer l’un des plus grands coven sorcier d’Italie.
âžș la seconde oc & plus...
La suite de l’histoire d’Olympe ? Il y a deux possibilitĂ©s, deux jeux dont je vous parle juste lĂ  dessous !
Olympe, ma jolie blonde et le perso qui me surprend encore au fur et Ă  mesure que je la joue.
Il faut sans doute dĂ©jĂ  faire un clin d’Ɠil aux amoureux de l’Histoire qui verront un peu d’Anne de Bretagne lĂ -dedans, mais aussi aux amoureux de la littĂ©rature qui auront vu les prĂ©noms Hadrian, Onyx et Elena leur rappelant Les Chevaliers d’Émeraude d’Anne Robillard ! Car c’est bien de lĂ  que vient Olympe, d’une histoire bien Ă  moi, jamais Ă©crite, juste imaginĂ©, dans l’univers des Chevaliers. Alors quand j’ai dĂ» la transposer dans l’univers de Shadowhunters, j’ai juste gardĂ© ces prĂ©noms que j’aimais beaucoup et que j’adore encore aujourd’hui ! ♄
Olympe est avant tout la transposition de mon propre caractĂšre dans un personnage. C’est trĂšs intuitif d’écrire avec elle, car ce sont des rĂ©actions que moi-mĂȘme j’aurais en jeu. TrĂšs loyale, trĂšs indĂ©cise. On la pense souvent Ă  Serpentard, car elle aime le pouvoir, mais c’est une grosse Poufsouffle qui irait sacrifier sa vie pour ses proches.
Et Olympe a eu deux versions ! La premiĂšre sur le forum Die Ac Nocte pour ceux qui l’ont connue. (Si jamais des gens, anciens membres lisent ceci, merci encore Ă  vous ♄) C’est d’ailleurs de lĂ -bas qu’elle tient son titre de Grande SorciĂšre de Rome et pas d’une autre ville. (La logique aurait peut-ĂȘtre voulu qu’elle soit celle d’une grande ville bretonne comme Rennes ou Brest ? Lorient peut-ĂȘtre ? Quoi que Concarneau. J’adore cette ville.) Mais sur DAN, les crĂ©atures obscures avaient pris le pouvoir et Olympe faisait sans doute figure de grande mĂ©chante, car elle Ă©tait une crĂ©ature elle-mĂȘme. Cependant, j’y ai rencontrĂ© des personnes formidables. Certaines que j’ai perdues de vue. En vrai, je suis si mauvaise Ă  garder le contact !
Mais l’opportunitĂ© de jouer Olympe, aprĂšs la fermeture de DAN en septembre 2019, m’a Ă©tĂ© donnĂ© par une petite dame sur PRD. Ce forum SH qu’on cherchait de tout cƓur avec des joueurs de DAN pour y rejouer nos bĂ©bĂ©s. Cette dame qui n’a pas dit non Ă  nos personnes quand on lui a prĂ©sentĂ© comme ils Ă©taient, cette dame qui a pris le temps de lire quatre fiches d’au moins 10K mots chacune :') (DĂ©solĂ© maman Clary sĂ©rieux dĂ©solĂ©.) Blondie, elle a repris vie alors en mai 2020, sur SHTB. Avec ses copains hein, Onyx, Nathan, Idunn pour commencer et la petite famille s’est agrandie.
Sur SHTB, on peut jouer les personnages de la sĂ©rie et des OC (original character) et elle a dĂ» migrer de Rome Ă  New York, tout en gardant son statut de Grande SorciĂšre. Elle s’est alors liĂ©e autant Ă  Clarissa qu’à Magnus ou qu’à Lorenzo tout en nouant des liens avec d’autres membres comme Jun, FĂ«anor ou encore Tobias, sans oublier Charlie et Ruben (qui a trouvĂ© un joueur omg.) Elle est mĂȘme devenue l’amante du dĂ©mon AsmodĂ©e (par la force du Drama et des membres qui ont poussĂ© au point que j’en fasse mon nanowrimo de cette annĂ©e les sales sales !) Mais SHTB, c’est un forum qu’on a dĂ» reprendre avec la copine pour le sauver, car la fondatrice ne pouvait plus supporter sa charge avec son IRL. J’avais pu admin depuis DAN et autant dire que jme suis flippĂ©e, mais que ça va dĂ©sormais. Il y a cette belle commu, cette belle famille. Mais je m’éloigne d’Olympe MDRRR.
Donc, Olympe, le perso que j’ai pu rejouer Ă  l’identique grĂące Ă  Clary, que j’ai pu former une premiĂšre fois grĂące Ă  Ezekiel (je ne donne pas les pseudos mais je vous aime ptin.) Et qui est sans doute mon personnage le plus dĂ©veloppĂ© avec un FC que j’aime plus que tout et qui a Ă©tĂ© le soin Ă  la perte de mon personnage chouchou (qui fera l’objet d’un post.) Et Olympe, j’espĂšre encore la jouer trĂšs longtemps sur forum ou mĂȘme en privĂ© sur des fictions. Bref, j’adoooore ce perso qui peut sembler un peu clicher. Mais qui regroupe :
mon caractĂšre
mon passif dans le combat pour avoir un bébé
quelques peines de cƓur aussi
Olympe est vraiment une extension de moi-mĂȘme et je me fais une joie de vous la prĂ©senter aujourd’hui ♄ Merci de m’avoir lu si vous l’avez fait et si vous l’avez pas fait merci aussi !
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christophe76460 · 2 years ago
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A quelle espérance est liée votre foi ?
Or la foi est une ferme assurance des choses qu'on espÚre, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. (Hé 11 : 1)
Il faut s'interroger si la foi que nous professons cherche ses intĂ©rĂȘts dans les choses d'en bas, de ce monde. Bien que Dieu prenne soin de nous ici-bas et qu'il connaisse nos besoins, la foi a pour objet les choses Ă  venir. La foi rend les promesses de Dieu rĂ©elle pour le croyant. Elle est efficace Ă  notre marche dans ce monde en ce qu'elle garde les yeux fixĂ©s sur la destination finale.
C'est pourquoi Dieu, voulant montrer avec plus d'Ă©vidence aux hĂ©ritiers de la promesse l'immutabilitĂ© de sa rĂ©solution, intervint par un serment, afin que, par deux choses immuables, dans lesquelles il est impossible que Dieu mente, nous trouvions un puissant encouragement, nous dont le seul refuge a Ă©tĂ© de saisir l'espĂ©rance qui nous Ă©tait proposĂ©e. Cette espĂ©rance, nous la possĂ©dons comme une ancre de l'Ăąme, sĂ»re et solide; elle pĂ©nĂštre au delĂ  du voile, lĂ  oĂč JĂ©sus est entrĂ© pour nous comme prĂ©curseur... (He 6 : 16-20)
L'espĂ©rance de chrĂ©tien ne consiste pas une belle vie de rĂ©ussite mondaine sur la terre mais en une prĂ©paration efficace pour les choses Ă  venir. La rĂ©ussite du croyant consiste en l'accomplissement de l'oeuvre de Dieu dans sa vie : notre transformation Ă  l'image du Fils, le dĂ©veloppement du fruit de l'Esprit ainsi que l'achĂšvement de l'oeuvre que Dieu nous confie Ă  travers notre service pour lui, la pratique des Ɠuvres prĂ©parĂ©es d'avance ainsi que l'achĂšvement de notre course dans la sanctification.
Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prĂ©destinĂ©s Ă  ĂȘtre semblables Ă  l'image de son Fils ... (Rm 8 : 29)
Si vous portez beaucoup de fruit, c'est ainsi que mon PÚre sera glorifié, et que vous serez mes disciples. ( Jn 15 : 8 )
Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions. (Ep 2 : 10)
Mais je ne fais pour moi-mĂȘme aucun cas de ma vie, comme si elle m'Ă©tait prĂ©cieuse, pourvu que j'accomplisse ma course avec joie, et le ministĂšre que j'ai reçu du Seigneur JĂ©sus, d'annoncer la bonne nouvelle de la grĂące de Dieu. (Ac 20 : 24)
Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu'un seul remporte le prix? Courez de maniĂšre Ă  le remporter. Tous ceux qui combattent s'imposent toute espĂšce d'abstinences, et ils le font pour obtenir une couronne corruptible; mais nous, faisons-le pour une couronne incorruptible.
(1Co 9 : 24-25)
Pour nous, frÚres bien-aimés du Seigneur, nous devons à votre sujet rendre continuellement grùces à Dieu, parce que Dieu vous a choisis dÚs le commencement pour le salut, par la sanctification de l'Esprit et par la foi en la vérité. (2Thes 2 : 13)
Retenons la conclusion des héros de la foi :
Tous ceux-là, à la foi desquels il a été rendu témoignage, n'ont pas obtenu ce qui leur était promis, Dieu ayant en vue quelque chose de meilleur pour nous... (He 11 : 39-40)
Et puissions-nous dire comme le MaĂźtre comme conclusion de notre vie :
Je t'ai glorifié sur la terre, j'ai achevé l'oeuvre que tu m'as donnée à faire. (Jn 17 : 4)
(Alain A.)
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notregrandevadrouille · 7 years ago
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Melbourne City (VIC) - Nouvelle arrivée, nouvelle année
Nous voilĂ  de retour en Australie 🇩đŸ‡ș aprĂšs une annĂ©e complĂšte en France, et cette fois, nous avons dĂ©cidĂ© d’arriver Ă  Melbourne 🏙.
De grands buildings, des belles lumiĂšres, des cafĂ©s, du street art, des pingouins, des plages ... Mais surtout - et malheureusement pour nous - de la pluie 🌩 et beaucoup, BEAUCOUP de ventđŸŒȘ.
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Vue du Queen Victoria Night Market
Mardi 16 Octobre - 7h35 heure locale
AprĂšs 27h de voyage, 2 escales (Ă  Londres et Ă  Singapour), 4 films, 6 repas et 2 grosses longues siestes, nous arrivons tels des zombies đŸ§Ÿâ€â™‚ïžđŸ§Ÿâ€â™€ïž dans le terminal de Melbourne. On rĂ©cupĂšre, non sans stress, nos bagages et hop on file rejoindre notre chauffeur devant l’aĂ©roport ! 
Une fois sur la route, et tout en discutant avec notre chauffeur, on se rend compte, petit Ă  petit, que nous sommes de retour dans une grande ville: des bouchons en Australie comme on en avait jamais vu ! J’étais choquĂ©e đŸ˜« ! Pourtant je n’avais pas le souvenir d’avoir eu autant de circulation il y a deux ans ! 😩
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Bref... Nous voilĂ  arrivĂ© dans notre AirBnb et une douche s’impose. Dehors il ne fait vraiment pas beau, de quoi nous encourager Ă  rester dedans (le piĂšge ! #jetlag 😂)
The City of Melbourne
Visiter la ville ne nous aura pas prit énormément de temps. DÚs que le soleil pointait le bout de son nez, on sortait se promener dans les environs.
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On a donc fait quelques incontournables de la City (du CBD) de jour, comme de nuit histoire de s’en mettre plein la vue 😊
Queen Victoria Market by night
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Lors de notre prĂ©cĂ©dent passage nous n’avions pu aller Ă  ce marchĂ©. Une fois par semaine, le mercredi, il ouvre ses portes le soir essentiellement pour manger diffĂ©rents mets asiatiques 🍜🍘🍱.
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Et pour la modique somme de 12$ vous pouvez mĂȘme vous offrir une barbe Ă  papa en Licorne 🩄. Oh non, ne vous en fait pas, j’ai juste pris la photo Ă  une petite de 2 ans 😂
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Il faut tout de mĂȘme s’armer de patience: nous ne sommes pas les seuls a avoir eu cette idĂ©e ! 
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Mais au moins on a une belle vue sur la ville en lumiĂšre et le retour Ă  FĂ©dĂ©ration Square de nuit c’est quand mĂȘme quelque chose ! đŸŒƒđŸ›€
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Hosier lane & AC/DC lane
Le street art détient une place trÚs importante dans Melbourne. Dans des rues un peu cachées, les lanes, (souvent perpendiculaires aux axes principaux) on retrouve des tags de toutes sortes.
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On se rĂ©gale a chercher le plus rigolo ou mĂȘme le plus spectaculaire.
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Notre coup de cƓur, quand mĂȘme reste la AC/DC lane 😎 avec un bel hommage Ă  Bon Scott đŸŽ€ et Malcolm Young 🎾.
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Mais aussi des tags petits comme immense d’une sacrĂ© beautĂ© !
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Coucher de soleil et balade sur les Docklands 🌇
Quartier un peu richou, certes, mais une petite balade au coucher de soleil pour voir les lumiĂšres changer sur les buildings, c’est assez plaisant tout de mĂȘme.
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Avec la roue en arriùre plan, c’est toujours un plus ! 🎡
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St Kilda - plages, ambiance, parcs et pingouins 🐧
St Kilda on connait bien maintenant: c’est le quartier oĂč on a visitĂ© 90% des 4x4 que l’on voulait acheter ! 😆
Mais c’est surtout un quartier pleins de charme avec des petits restaurants, cafĂ©s, parcs, magasins ouverts 7 jours sur 7! Et c’est aussi la plage oĂč les Melbourinois (?) viennent chiller dĂšs que l’occasion se prĂ©sente.
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Nous nous avons surtout profiter du grand parc qui longe la plage un dimanche aprĂšs avoir fait le petit marchĂ© le long de l’Esplanade de St Kilda.
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Bon personnellement, la plage, elle ne casse pas 3 pattes Ă  un canard. On ne l’a pas trouvĂ© oufissime... Mais par contre, en continuant sur la jetĂ©e, on a pu rencontrer nos premiers pingouins trop mignon le soir !
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Brighton Beach et ses boxing bath
Au sud, bien plus au sud, les plages sont de plus en plus jolies ! Et celle de Brighton est trĂšs connue pour ses Boxing bath (surtout celle avec le drapeau de l’Australie), on a bien sĂ»r fait un peu nos touristes et avons posĂ© devant.
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On y a passĂ© une bonne partie de la matinĂ©e: surtout qu’il faisait enfin beau temps ! (Youhouuuu ☀).
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Dandenong National Park
En transport en commun, Ă  1h du centre de Melbourne, on dĂ©cide d’aller Ă  la dĂ©couverte de ce National Parc et de ses cĂ©lĂšbres 1000 marches construites comme mĂ©morial de guerre.
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Certaines walking track étant fermées, on a profité du parc en faisant les 1000 marches et en redescendant par un chemin différent. De quoi nous réchauffer et nous satisfaire pour la journée.
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Mornington Peninsula
Toujours dans les environs de Melbourne, mais encore plus au sud, on décide de faire notre premiÚre escapade avec notre nouveau 4x4 direction la péninsule de Mornington.
A environ 1h30 de St Kilda, on découvre un lieu pleins de charme avec des plages toute mignonne, des randonnées ou balade au milieu des kangourous et des points de vues sur les vagues impressionnantes !
MalgrĂ© le froid, on prend notre temps de faire un maximum de choses tout en commençant Ă  s’installer dans notre nouvelle maison ambulante 😊
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nix-bishop · 7 years ago
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NME - Interview Murdoc Gorillaz en français
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Crédit: Gorillaz
Les partisans de « Free Murdoc », voici celui que vous attendiez, la réfutation de la grande interview de 2D sur NME : L'interview de Murdoc derriÚre les barreaux. Vous venez avec nous sur ce coup-là, hein ?
La page Wikipedia de la prison Wormwood Scrubs est un enfer a lire. La brÚve histoire de la prison la plus infùme du pays est truffée d'anecdotes terrifiantes, de détails salissants et d'un grand nombre de méchants. Lorsque vous arriverez à la section 'Anciens détenus notables, vous verrez que le bassiste des Gorillaz Murdoc Niccals est inscrit aux cÎtés de Charles Bronson, Ian Brady, et Pete Doherty de Libs man.
Le nouvel album des membres non incarcĂ©rĂ©s des Gorillaz, intitulĂ© 'The Now Now', a vu 2D arracher le contrĂŽle du groupe aux pattes de Murdoc, et quand nous avons parlĂ© Ă  2D il y a quelques semaines, il semblait plutĂŽt content que Murdoc soit incarcĂ©rĂ© au Plaisir de Sa MajestĂ©. "Cela a Ă©tĂ© comme une attaque massive de mĂ©tĂ©orites, mais au lieu d'anĂ©antir toute vie, cela a fait exploser un dinosaure vraiment ennuyeux ", a expliquĂ© 2D. AprĂšs la visite de 2D Ă  NME Towers, nous avons pensĂ© qu'il Ă©tait juste d'accorder Ă  Murdoc un droit de rĂ©ponse. Évidemment, il ne pouvait pas venir Ă  nous, alors on nous a accordĂ© des droits de visite et nous avons obtenu la version de Murdoc de l'histoire. Disons que nous sommes heureux qu'il y avait un gros morceau de verre entre nous....
Bonjour Murdoc, merci de nous avoir contacté. Comment vous traitent-ils dans Wormwood Scrubs ? 
Murdoc : Bonjour NME, c'est toujours un plaisir de vous parler. Ils me traitent Ă  merveille, comme il se doit. Le directeur est heureux de m'avoir, bien sĂ»r - il y a dĂ©jĂ  eu un pic massif d'escrocs et de meurtriers qui veulent ĂȘtre transfĂ©rĂ©s ici. Je suis comme le DalaĂŻ Lama dans cet endroit, chaque jour il y a une file de fidĂšles Ă  l'extĂ©rieur de ma cellule qui attendent quelques secondes avec moi. Nous sommes trĂšs semblables, en fait, moi et le Lama, et pas seulement parce que je porte maintenant aussi un onesie orange.
Comment est la nourriture ?
Murdoc : De la saleté absolue - pour les autres bouffons ici. Mais quand tu es trÚs en vue comme moi, tu as tous les privilÚges. Steak, caviar, Coco Pops. Et ce que je n'arrive pas à obtenir, je l'ai fait passer par-dessus les murs. Par exemple, j'ai dit à 2D de me  faire parvenir (via un drone ) dans un gùteau roulé avec un fichier caché à l'intérieur. Un tour classique. Mais ce crétin met une lime à ongles dans un mini rouleau.  Putain de merde. Les mains manucurées sont la derniÚre chose que vous voulez ici, ça donne des signaux trÚs dangereux.
Selon sa page Wikipedia, Wormwood Scrubs a eu un certain nombre de détenus (in)célÚbres : Charles Bronson, Ian Brady, Pete Doherty.... Avec lequel préféreriez-vous dormir si vous deviez choisir ?
Murdoc : PremiĂšrement, pourquoi ne suis-je pas sur cette liste ? Un de mes fans dĂ©vouĂ©s a besoin de mettre Ă  jour Wikipedia pronto. DeuxiĂšmement, Murdoc Niccals ne se couche pas avec qui que ce soit. J'ai ma propre aile. Je suis comme Pablo Escobar quand il s'est fait buter dans son propre manoir Playboy. J'ai une table de billard, une tĂ©lĂ© plasma, une fontaine de chocolat. J'ai mĂȘme un jacuzzi, bien que cela demande un peu de vigilance - il y a ce duo ici connu sous le nom de Soap Sisters, et vous ne voulez pas trouver ces bĂątards qui rĂŽdent sous les bulles, croyez-moi.
Avez-vous travaillé sur de la musique ici ?
Murdoc : J'ai travaillĂ© sur beaucoup de choses. C'est pas parce que je suis enfermĂ© que je suis prisonnier. Mon esprit sera toujours libre. Sauf s'ils font ce lavage de cerveau comme dans A Clockwork Orange pour me purifier de mes dĂ©mons. Bien que cela soit assez amusant, j'ai essayĂ© de rire Ă  une fĂȘte une fois et cela n'a mĂȘme pas touchĂ© la surface.
Votre ami Damon Albarn est-il venu vous rendre visite ?
Murdoc : Je ne reçois pas d'invitĂ©s pour le moment. Jusqu'Ă  ce que je sache qui m'a piĂ©gĂ© et m'a mis lĂ -dedans, tout le monde est suspect. MĂȘme toi. En fait, oĂč Ă©tiez-vous la nuit de mon arrestation, hein ?
Avez-vous entendu ''The Now Now'' ? Qu'en pensez-vous ?
Murdoc : Oh, c'est pratique, changer de sujet. Tu es sur la liste, mon pote.
OĂč le placeriez-vous dans un classement des meilleurs albums de Gorillaz ?
Murdoc : Va te faire foutre, mon pote. Tu sais quoi, cet entretien a bien commencĂ©, mais je commence Ă  ne pas t'aimer. J'ai pensĂ© que ce serait un tĂȘte-Ă -tĂȘte amical, une chance pour vous d'obtenir la vraie histoire, et peut-ĂȘtre mĂȘme une brochure signĂ©e Wormwood Scrubs. Mais vous essayez d'Ă©branler ma cage. Le seul qui peut faire trembler ma cage ici, c'est le directeur, pour attirer mon attention quand il me sert personnellement mon Martini bi-hebdomadaire. Alors gardons ces questions centrĂ©es sur MOI, d'accord ?
Comment avez-vous fini en prison ? Qui est ce El Mierda ?
Murdoc : C'est mieux comme ça. El Mierda, c'est le suspect numéro un uno, le crétin qui m'a probablement fait me faire coffrer ici. El Mierda est le roi cruel et impitoyable d'un empire criminel avec des tordus dans toute l'Amérique centrale, et il est le mal à l'état pur et sans limites. Imaginez qu'Anne Robinson s'accouple avec Krampus et engendre un fils. En fait, non, c'est horrible.
Tu dois combattre Big Balls McGuinness pour t'évader de prison. Quel sera votre plan de bataille ?
Murdoc : On s'est dĂ©jĂ  battu, mon pote. La premiĂšre rĂšgle de l'histoire de la prison, c'est de frapper le plus fort pour montrer aux autres animaux qui se trouve au sommet de la chaĂźne alimentaire. Ce n'Ă©tait pas facile, l'esprit - Ă  part les noix surdimensionnĂ©es de Big Balls, il a des poings comme des caravanes au bord de la mer. Mais il n'avait aucune chance contre mon coup final, ma version du coup de pied d'oiseau tournant de Streetfighter 2. Ce que je fais, c'est sauter en l'air, retourner la tĂȘte en bas, faire les splits, puis le moulin Ă  vent lui donne un coup de pied dans sa face jusqu'Ă  la soumission. Fin de la partie. (Pour lui).
2D n'a pas l'air trÚs contrarié que vous soyez parti.... des commentaires là-dessus ?  
Murdoc : Regarde mon pote. Tout le monde sait que si je n'avais pas été là, Stuart travaillerait toujours à l'Orgue Emporium de l'oncle Norm. Oui, Stuart. C'est son vrai nom. J'ai créé 2D. J'ai eu la gentillesse de le frapper avec ma voiture - deux fois - et le reste est de l'histoire du rock'n'roll. Je lui ai donné la célébrité, le sex-appeal, une allocation hebdomadaire (bien au-dessus du salaire minimum). Et il me rembourse en essayant d'écrire un album tout seul. C'est juste triste. Cherchez 2D dans le dictionnaire et juste aprÚs 'bidimensionnel', il est écrit 'branleur ingrat'.
Que pensez-vous de ce que 2D a dit de vous dans son interview NME ?
Murdoc : Je ne l'ai pas lu, mon pote. J'ai mieux Ă  faire. Je fais une belle table de chevet dans l'atelier de menuiserie. Les joints en queue d'aronde et tout. Et je deviens vraiment bon en tractions.
Il vous a dĂ©crit comme un "dinosaure vraiment ennuyeux" dans notre interview. À quel dinosaure vous compareriez-vous ?
Murdoc : QUOI !? Ce petit..... Dinosaure ? Eh bien, il s'est ridiculisĂ©, parce qu'il est largement reconnu que les dinosaures sont brillants, et en tant que chef de Gorillaz, cela ferait de moi un T-Rex, roi de la jungle primordiale. Comment un T-Rex peut-il ĂȘtre ennuyeux ? C'est un prĂ©dateur au sommet solitaire, pas un DIPLO-FUCKING-DOCUS. En fait, ce n'Ă©tait pas une excroissance de Diplo, c'est un talent rare.
Êtes-vous fĂąchĂ© d'avoir Ă©tĂ© remplacĂ© par ce type, Ace ? Avez-vous un plan pour le virer du groupe quand vous sortirez, ou allez-vous doubler les bassistes ?
Murdoc : En colÚre ? Moi ? Jamais. Ecoute, Ace est un vieil ami, on se connaßt depuis longtemps. Un homme charmant, authentique, et un acteur sous-estimé de son temps. En tant que méchant de la télé, il est là-haut avec Mumm-Ra, à mon avis. Pour ce qui est de l'expulser de Gorillaz, voyons d'abord comment ce bordel va se passer. Mais au moins, je ferai de lui un accompagnateur ou un chauffeur de bus.
Avez-vous un message pour les fans qui soutiennent la campagne Free Murdoc ?
Murdoc : Oui, il se trouve que j'ai travaillé sur un petit quelque chose :
"A tous les millions, si ce n'est des milliards, de mes partisans, dans chaque ville, village, hameau, yourte et tente bĂ©douine. Vos bougies de libertĂ© ont allumĂ© le feu de la libertĂ© dans mon cƓur. Nous n'avons rien d'autre Ă  perdre que ces chaĂźnes. (Mes chaĂźnes). LĂšve-toi en mon nom (Murdoc Niccals), et notre chant de libertĂ© rĂ©sonnera dans les Ă©toiles pour toute l'Ă©ternitĂ©, dans cette vie et la suivante. Hashtag Free Murdoc."
Interview originale: https://www.nme.com/music-interviews/gorillaz-exclusive-murdoc-hits-back-2d-wormwood-scrubs-cell-2354976
Écrit par :  Thomas Smith
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idealgroup · 3 years ago
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Why is buying a 3 bhk flat near Tollygunge metro a good investment?
Tollygunge has always been one of the most sought after locations for homeowners to live in. The area is filled with various modern day amenities and facilities. Some of the most famous shopping malls of the city such as the South City mall are also in close proximity to the area. Many people looking for flats in south Kolkata, opt to stay at Tollygunge. 
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Here are some reasons as why people consider buying a flat near Tollygunge metro station a good investment:
Daily markets: The Tollygunge area has numerous markets making it very convenient for homeowners. Apart from the usual main markets, there are also several small street markets that allow better convenience for homeowners when it comes to shopping. Also, markets such as Tollygunge metro market and Tollygunge market  provide all the basic amenities.
Malls and restaurants: Tollygunge area is filled with one of the best and premium restaurants and malls in the whole of Kolkata. Places such as the Royal Bengal Tiger Cafe, Khan Saheb, The Copper Kitchen, Tolly Tales, Azad Hind Dhaba, Gourmet Hut and The Mango Tree are some of the most noted restaurants in Tollygunge. South City mall, one of the most popular malls in Kolkata is also in very close proximity to the area. 
Transport: Tollygunge serves as a crucial terminal point for several transport services such as trams, buses, metro and rail. The Tollygunge railway station is located at the budge-budge section of the Kolkata suburban railway. Mahanayak Uttam Kumar metro station, formerly known as Tollygunge metro station, is also available as a public transport facility. The area is also connected directly with the Netaji Subhash Chandra Bose international airport via New Town. Tollygunge  is also very well connected to other parts of the city with a large network of roads that facilitate public and private transportation.
Looking for a 3 bhk flat near Tollygunge metro? 
If you are looking for a flat for sale in Tollygunge, you can explore flats in the Tollygunge Metro area. If you are planning to buy a 2 bhk or 3 bhk flat near tollygunge metro, you can explore Ideal Greens.  Situated at 591 A, Motilal Gupta Road, near Tollygunge metro and designed by the renowned architect Hafeez Contractor, Ideal Greens is an ongoing project. Once ready, it will offer over 1000 AC apartments across 10 towers.Once ready it will also have amenities such as:
Cricket field
Children's play area
Jogging track
Basketball court
Water treatment plant
Library
Well-equipped gym
Banquet hall with an attached garden, just to name a few.
Educational institutions: Being one of the most sought after localities in Kolkata, Tollygunge has many good schools and colleges in the area that provide quality education and eliminates the trouble of sending children to study in different parts of the city. Tollygunge is home to educational institutions, such as:
G.D.Birla Centre For Education
Calcutta Institute of Engineering and Management
ITI Tollygunge
Mansur Habibullah Memorial School
2. Culture: Tollygunge is the centre of the Bengali film industry and is also known as Tollywood, and houses some of the famous studios such as Indrapuri studio, Technician studio and NH1 studio. 
3. Healthcare: Tollygunge has a good number of healthcare centres, hospitals and nursing homes. M.R Bangur, one of the major government super speciality hospitals is situated in Tollygunge. Other hospitals and health care centres that are in close proximity to the area are Belle Vue clinic and Peerless Hospital. 
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tonimining · 4 years ago
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The Shoes - Submarine Feat. Blaine Harrison from Karim Huu Do on Vimeo.
Directed by Karim Huu Do Produced by Caviar Paris With the special collaboration of Twentyfour-Seven Spain Commissioner : Pierre Le Ny (Labelgum) Executive Producer : CĂ©line Roubaud Producer : Zico Judge Main caracter : Mireia Oriol & Juan Milan Line Producer : Benjamin Zorilla DOP : Kristof Brandl & Christophe Colette Stylist : Maud Dupuy Wardrobe assistant : Aylen Torres Grader : Daniel de Vue (@Bacon) Post Production : Glassworks London Production manager : Marta Rodriguez Production coordinator : Laia Figuls Location manager : David Bello Location scout : Adria Nebot 1st AD : Anna Capdevilla Steadycam : jose Antonio Santos 1st AC : Alex Benhamou 2nd AC : Julen Mesanza DIT : Christian Poveda Phantom technician : Antonio Urquijo VTR assistant : Miriam Bou VFX Supervisor : Warren Sound engineer : Ivan Roca Gaffer : Kevin Gonzales Key grip : Mirko Claes Unit Manager : Javi Ortega Prod Designer : Jon Blud Props Masters : Marc Garcia Set dresser : Naima Cleuren & Juan Manuel Gavillan Make Up stylist : Miko Gomez Make Up assistant : Gloria Rico SFX & Rigging : Lluis Rivera Jove Rigging crew : Ricardo Casting director : Jessica Gomez Director’s driver : Ruben Bell Local crew : Alex Pujos & Yaiza Navarro Thanks to Zeferino, Camera and Technocrane: Servicevision, Phantom: Sublab, Catering: Lecook, Production equipment: Location Support, Vans: Quadis (p) & © 2015 Green United Music / Rouge et Or Musique / Caviar Paris
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