#Comment Te Dire Adieu
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purplerider · 10 months ago
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love when woman
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seinesedge · 6 months ago
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margaretcruzemark · 1 year ago
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David Galstyan
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philoursmars · 2 months ago
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Au Louvre-Lens, une nouvelle expo : “S'habiller en Artiste. L'Artiste et le Vêtement” :
Yves Saint-Laurent - robes de cocktail ''Hommage à Piet Mondrian'' 1965
'"L'Elégance" - film, 1925
2 hanten (manteaux japonais); 2 chemises de poissonniers japonais
Jean-Pierre Spiero - Françoise Hardy chantant "Comment te dire Adieu" dans une robe de Sonia Delaunay - émission TV "4 Temps", 1968
photo de Léonard Foujita
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nemuioji · 1 year ago
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rottencorpse0 · 9 months ago
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Françoise Hardy photographed by Jack Garofalo ( 1965 )
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kuriarty · 2 years ago
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Are YOU or somebody you know MENTALLY UNWELL? Well do I have the acrylic keychain FOR YOU!!!!! pre0rders are up ty
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tempestades · 1 year ago
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reckonslepoisson · 5 months ago
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Tous les garçons et les filles (1962), Le Premier Bonheur du jour (1963), Mon amie la rose (1964), L'amitié (1965), La maison où j'ai grandi (1966), Ma jeunesse fout le camp… (1967), Comment te dire adieu (1968), Françoise Hardy
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There’s a tendency to assume all French music (and all French people, for that matter), are elegant and sophisticated, an assumption which is of course severely mistaken and rather silly, though several cultural figures have, over the years, fed it. Françoise Hardy is one of those cool Frenchies, with her classic sort of presented Frenchness – but she was also atypical. Hardy’s opening decade shows her distinction from the start, the extent to which her style was not just classier and less coquettish than most yé-yé girls but also unforcedly refined. How could one listen to this and not be seduced by a sense of sophistication? Perhaps I’ll be made a Francophile yet.
Pick(s): ‘Le temps de l’amour’, ‘Nous tous’, ‘Je veux qu’il revienne’, ‘Ce n’est pas un rêve’, ‘Je changerais d’avis (se telefonado)’, ‘Voilá’, ‘Comment te dire adieu’
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onmyowntwohands · 1 year ago
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Francoise Hardy - Comment te dire adieu
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letsbeartists · 2 years ago
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「頑張れ」とは何ですか?~que veut dire "bonne chance" ?~
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margaretcruzemark · 1 year ago
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Running, city life.
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jolaunay · 2 years ago
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Et quand bien même...
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This blog will celebrate its 9th year soon, and if you have been following me long enough, you must be aware that I'm a huge fan of Serge Gainsbourg & Jane Birkin. I found out about her death yesterday morning, I was way too sad to even post about it. And now I'm too tired to find the correct things to say 😐 Her art & style has been a great inspiration for me, and I'm thankful for everything she did to make the world a sexier place. This one above will always be one of my favorite photos of hers...
Derrière un kleenex
Je saurais mieux
Comment te dire adieu...
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grrlmusic · 1 month ago
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Françoise Hardy - Comment te dire adieu
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marie-bradshaw · 11 months ago
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Derniers mots
Chers lecteurs, en cette chaude soirée d'été, un cycle vient de s'achever pour nombre d'entre nous.
Pour moi il a pris la forme d'un SMS de mon père à mes frères et moi il y'a tout juste une heure, nous informant du décès de ma grand-mère: Yvonne, 102 ans.
Je n'ai jamais été proche du côté paternel de ma famille, mais ma grand-mère c'était ma grand-mère.
Il me semblait que c'était hier que je déguisais mon petit frère et que lui dictais des chorégraphies endiablées pleines d'acrobaties pour l'épater quand elle nous rendait visite aux repas de famille.
Je la revois me dire d'une voix grondeuse: "c'est ça que tu appelles faire la poussière jeune fille?" alors que je n'avais pas bien plus de dix ans.
Yvonne était femme au foyer, dévouée, toujours occupée, mais elle n'avait pas sa langue dans sa poche.
Un coeur en or qui cachait une grande douceur derrière ses remontrances.
Peu loquace, elle parlait peu, mais ses yeux disaient avec une étrange perplexité ce qu'elle n'avait pas exprimé par des mots.
"J'aurais aimé pouvoir lui dire adieu, pouvoir lui dire que je l'aimais et qu'elle a compté" me confessais-je à l'un de mes meilleurs amis au téléphone en apprenant la nouvelle, encore sous le choc, la voix entrecoupée de sanglots.
"N'ai pas de regrets" me répondit-il
C'est là que l'idée m'est venue de les lui dire ici, par écrit, intimement persuadée que de là haut elle m'entendrait.
Son heure était arrivée, comme nous attend chacun de nous, pauvres mortels.
Créatures fragiles et fugaces.
Elle n'a pas souffert.
La Mort est venue la chercher avec sa grande faucheuse, la libérant de ses chaînes et entraves terrestres pour lui permettre de s'élever.
C'est ce que je me dis, le coeur serré.
Alors Mamie, saches que nous ne t'oublierons pas ici bas.
Matriarche, épouse, mère, tu étais notre repère en grandissant.
Saches qu'en fermant les yeux je te revois me sourire comme si tu étais en face de moi, au meilleur de ta forme, me demandant de te passer les assiettes pour mettre la table.
Dans ma tête nous serions dans ta cuisine au look un peu kitch des années 60, encore dans son jus, en ce moment même.
Je te serrerais contre moi, la peau frêle et douce de ta joue contre la mienne.
Je te dirais que je t'aime, et je te remercierais pour les centaines de caresses et de baisers que tu aurais aimé me donné sans jamais le faire, toute à ta pudeur que tu étais.
Celle d'un temps que nous autres, jeunes générations, n'avons pas connue.
Je te demanderais comment c'est, de l'autre côté? d'une petite voix naïve, espérant que les nuages sont roses et faits de guimauve, un autre monde où la haine n'existe plus.
Si toi tu sais, maintenant que tu as toutes les réponses, si mes rêves vont se réaliser.
Si cette âme soeur que j'ai tant attendu finira par me retrouver pour ne plus jamais lâcher ma main.
Ou si la solitude de la louve que je suis, trop marquée par la vie, ne fera que continuer de tracer son propre chemin.
Mamie, très chère grand-mère...
J'espère de tout mon coeur que tu es fière de moi de là où tu te trouves.
Que tu me regardes d'en haut, heureuse que je perpétue ta lignée.
Emue par la force et la fragilité qui m'habitent.
Par ce que j'essaye de créer pour le Monde.
Tout en sachant ce que tu aimerais me dire en cet instant.
Que le travail c'est important, que je suis quelqu'un de bien, mais que l'essentiel se trouve ailleurs.
Chez soi, les êtres chers qu'on y retrouve jour après jour.
Ce qu'on y construit, cet amour sans limites qu'on alimente et qui nous remplit.
La Famille.
Ce à quoi, après une minute de silence, les yeux embués de larmes, la tête baissée pour que tu ne me vois pas pleurer, je répondrais:
"Tu as raison, comme toujours mamie.
Et j'essaye, je te jure que j'essaye.
Mais s'ouvrir aux autres quand on a passé sa vie à servir de bouclier, n'est pas chose aisée.
Récemment j'ai rencontré quelqu'un, un homme inattendu, qui portait sur lui tous les signes que le destin avait envoyé dans ma direction. Il ne ressemblait à personne. Il me regardait comme si il me voyait vraiment, pas que la façade pleine de paillettes, et quand ses lèvres se posaient sur mes épaules, il y enjoignait la plus grande déférence en gage de respect. Mon corps a compris avant mon esprit, et c'est instinctivement qu'il s'est tourné vers lui, attiré comme un aimant, en confiance.
Quand mon esprit a compris ce qui se tramait ici, il a vite renforcé le service de sécurité, trop mal en point que j'étais pour me permettre de dissiper mes forces ou mon énergie pour quelqu'un qui ne serait pas sûr de savoir où il allait.
Une louve blessée, à terre.
Sa peur conjuguée à la mienne et à mon système de défense sans nul doute agressif, ont eu raison de ce sentiment de certitude et de destinée jamais éprouvée auparavant.
Mauvais timing.
J'avais trop besoin de toute ma rage de vaincre et de vivre/survivre, pour me remettre des épreuves actuelles, de santé surtout.
Mais je te le promets Mamie, je ferai mieux la prochaine fois.
Je ne m'énerverai pas. Je resterai calme.
Et je n'assommerai pas la première personne qui essaye de se frayer un chemin vers mon coeur suturé.
Peut-être qu'un jour je serai moi aussi, à mon tour, mère puis grand-mère.
Fermant un autre cycle, une boucle où je m'évertuerais de leur transmettre tout qui est essentiel, et ce sentiment de sécurité et d'amour inconditionnel que devraient toujours éprouver un enfant.
Ridée, flétrie, mais toujours rayonnante, peut-être alors leurs taperais-je à mon tour sur les doigts quand ils essayeraient de chiper des gâteaux dans la cuisine en douce.
Je leur raconterai qu'un jour comme celui-ci, il y'a de nombreuses années, j'étais perdue tout comme ils le seront un jour.
Que j'appelais désespérément ce grand amour qui m'était destiné pour qu'il me tienne la main dans toutes ses épreuves.
Contre vents et marées.
Pouvoir déposer une partie de l'armure et affronter demain en équipe, indestructibles ensembles, déjà forts individuellement.
Alors je rirais aux éclats en leur disant que tout vient à point à qui sait attendre... le genre de petites phrases pleines de sagesses que tu pouvais toi aussi nous déclamer lentement dans des moments de doute.
Qu'il a fini par me trouver et changer mon Monde à tout jamais.
Un Monde où vous existez pour à votre tour parcourir cette étrange et captivante aventure que l'on appelle la vie. "
Reposes en paix très chère grand-mère, en sachant que je sais tout ce que tu aurais voulu me dire, tous ces mots que tu n'auras plus l'occasion de prononcer et qu'il fallait libérer à tout prix.
Sois tranquille, je sais où est ma place, et je continuerai à tout donner pour protéger ceux qui me sont chers en attendant qu'il prenne la sienne et me protège à son tour.
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tiptopticketyboo · 1 year ago
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This is one of the songs that reminds me of the Final Fifteen. The lyrics, especially 💧 mon cœur de silex vite prend feu (my heart of flint quickly catches fire) 💧 sous aucun prétexte je ne veux devant toi surexposer mes yeux (under no pretext I want to superexpose my eyes in front of you) 💧 il faut que tu m'expliques un peu mieux comment te dire adieu (you need to explain to me a little bit better how to say goodbye to you) but above all, the mood.
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