#aux. verbs
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#trolleng#trolledu#speaking#reading#czy doesn't exist in English#czy doesn't exist#czy#auxiliary do#auxiliary did#short answer#aux. verb#aux. verbs#auxiliary#auxiliary verb#auxiliary verbs#short answers
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:( rapidly becoming a sijenism is my dislike for thorny verb conjugation. this isn't in paradigm size: untitled dwarf lang's default conjugation pattern has 100-150+ forms, depending on how you count (ir)regularities.
no, my dislike is around number of conjugation classes. even my most synthetic monsters have had at most two, and even then i often end up collapsing it into a regular conjugation and a dozen or two irregular verbs. and that's if i go for verb inflection at all; the entire point of gavellian was going as isolating as possible.
maybe it's because the paradigm has so many parts? i do noun declensions "fine," which is to say spend several hours carefully managing and pruning the multiplying-like-rabbits noun declensions that pop up at the slightest sound shift.
but 3 noun classes * 4 states * 2 numbers is still only 48 forms, except no actually number is defective for a state so that's actually only 42 of them. even at their worst, the nouns aren't even half as unruly as the verbs are.
#this is my fault. polypersonal agreement sounded fun#as a result these verbs don't even inflect for TAM lmao. that's all periphrastic#the only things that they natively conjugate for are (poly)person; number; and negation#else aux verbs and other fun constructions carry the day#ugh. sorry fusional gang but inflection paradigms are my bane#they're necessary ig but when it comes to conlanging i'd prefer to do literally anything else
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Du bon usage de la langue française - Jacqueline Fischer - Autopsie d’une erreur : sujet et verbes aux temps composés
ex : Il a eut largement le temps Non, erreur ! Il a eu auxiliaire avoir + participe passé. Verbe au passé composé. Pourquoi on se trompe Parce qu’on le confond avec le passé simple il eut . À retenir et contrôler : quand un verbe est en deux formes son temps est dit composé. Ce mot n’est pas du jargon grammatical : simple c’est d’un seul tenant, composé c’est en plusieurs « morceaux ». Dans…
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Undefined pronouns idk
... que ce soit - whatever (noun + verb...); Sous quelque gouvernement que ce soit, la nature a posé des limites au malheur des peuples. Au delà de ces limites, c'est ou la mort, ou la fuite, ou la révolte - Denis Diderot
N'importe où - anywhere; Combien il doit être difficile de mourir n'importe où sauf dans son lieu de naissance - Chopin
N'importe qui - anyone, no one (neutral to negative); Ce qui est fâcheux dans les malheurs publics, c'est que n'importe qui s'estime assez compétent pour en parler - Emil Cioran
N'importe quoi - anything; On peut acheter n'importe quoi avec de l'argent, sauf la moralité - Jean-Jacques Rousseau
N'importe quoi ! - nonsense!
Nulle part - nowhere; Le ridicule ne tue plus, nulle part, mais aux U.S.A. il enrichit drôlement - Boris Vian
Où que ce soit - wherever it is; J’ai juré de ne jamais me taire quand des être humains endurent la souffrance et l’humiliation, où que ce soit. Nous devons toujours prendre parti - Elie Wiesel
Partout - everywhere; Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne - Victor Hugo
Personne - no one; Personne n'est jeune après quarante ans, mais on peut être irrésistible à tout âge - Coco Chanel
Quelque chose - something; Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c'est la présence des absents, dans la mémoire des vivants - Jean D'Ormesson
Quelque part - somewhere; Ce qui embellit le désert c'est qu'il cache un puits quelque part - Antoine de Saint-Exupéry
Quelqu'un - someone; Si quelqu'un vous dit : Je suis joyeux à l'idée que tu existes , vous prendrez cela pour une déclaration d'amour, et vous aurez évidemment raison - André Comte-Sponville
Quiconque - any person who (formal, may be demanding); Quiconque ne sait pas souffrir n'a point un grand coeur - Fénélon
Qui que ce soit - anyone at all; Avant d'être effectivement mort (et dans ce cas, la chose devient impossible), il est difficile de considérer qui que ce soit comme le grand amour de sa vie - Alain De Botton
Quoique - although; L'imagination est la première qualité de l'artiste. Or, quoique cela paraisse étrange, le plus grand nombre des hommes en est dépourvu - Eugène Delacroix
Quoi que - whatever (+ subject/verb); Quoi que vous fassiez, faites-le avec passion. Vivez avec passion - Christian Dior
Quoi que ce soit - anything at all; C'est ça l'amour, tout donner, tout sacrifier, sans le moindre désir d'obtenir quoi que ce soit en retour - Albert Camus
Tout le monde - everyone; Avoir des ennemis et des envieux, c'est un bonheur qui n'est pas donné à tout le monde - Théophile Gautier
Fanmail - masterlist (2016-) - archives - hire me - reviews (2020-) - Drive
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J'aime bien ce verbe “ résister ” . Résister à ce qui nous emprisonne, aux préjugés, aux jugements hâtifs. À l'envie de juger, à tout ce qui est mauvais en nous et ne demande qu'à s'exprimer. À l'envie d'abandonner, au besoin de se faire plaindre, au besoin de parler de soi aux détriment de l'autre. Aux modes, aux ambitions malsaines, au désarroi ambiant. Résister, et sourire …
Emma Dancourt
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Diptyque de printemps :
Dessin aux crayons de couleur d'un bouquet en déclin ;
Peinture acrylique pour un autoportrait sans visage.
J'ai l'esprit indisponible pour parler de quoi que ce soit. Ou plutôt : mes pensées sont si désordonnées que je ne saurais exprimer quoi que ce soit avec vigueur, et application. Et pourtant, cela démange le bout de mes doigts. Cette obstination à vouloir communiquer. Pour dire quoi ? Ça, je l'ignore tout à fait.
Je me pointe là, devant l'écran de l'ordinateur, solennelle, comme si j'allais entamer un nocturne sérieux sur un piano. Virtuosité de mise. À la place, les touches de ce clavier lettré. Caractères alphabétiques, et symboles en tous genres. Je blinde mes oreilles d'une musique aléatoire, comme cherchant l'appel d'une grâce céleste (il n'en est rien).
On pourrait dire que ces images se suffisent à elles-mêmes, qu'elles ne demandent en rien mes piaillements élucubrés. Mais j'aime. J'aime les mots, et peut-être m'aiment-ils aussi ? D'un amour profond. Intime. Souterrain.
Je descends.
Tâte le pouls de mon verbe – régressif.
Je tape.
Je tâte, le fond du moral – rien. Un grand vide. Une quiétude presque empêchante. Un silence.
C'est délicat. Comme le son de ma voix projetée à l'intérieur se camoufle, se fond, se déforme dans les mots.
J'ai cette fois la peau violette, amas froid d'une chair figurée en peinture. Le bouquet recourbe ses pétales, se laisse aller à un déclin nécessaire : il ne croît plus au soleil.
Il ne croit plus au soleil.
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Fragment #13 - Un Monde parfait
Dans ce monde-là, les puissants ont cédé la place aux fragiles, et c’est une bénédiction.
Fini les costards-cravates enfoncés dans leurs fauteuils de cuir, le verbe lisse et les mains froides.
Place aux cœurs battants, aux âmes pleines, aux rires sans retenue. Ici, l’or ne brille pas, il se murmure, il se serre dans les bras, il se donne sans compter.
Au sommet de l’État, le Ministère de la Tendresse régit les relations humaines.
Plus d’e-mails impersonnels, plus d’échanges creux.
Chaque décision se prend dans la sincérité du regard, et chaque loi doit prouver qu’elle rend le monde plus doux.
Le ministre, un ancien résident d’un foyer de vie, connaît le poids du silence et la puissance d’un sourire.
À ses côtés, le Ministère de la Solidarité Humaine, tenu par une personne avec une déficience mentale légère, qui sait mieux que quiconque ce que signifie tendre la main.
Ici, pas de paperasse, pas de procédures absurdes. On agit. Une personne isolée ? On l’accompagne. Un besoin criant ?
On y répond. Sans filtres, sans conditions.
Le Ministère de l’Handicap Productif, lui, est dirigé par des autistes de haut niveau, ces génies de la logique et de l’ordre, qui réorganisent le travail non plus pour le rendement, mais pour l’épanouissement.
On ne travaille pas pour produire, on produit pour s’épanouir.
Ceux qui n’ont pas de compétences techniques se chargent des tâches essentielles : égayer les rues, raconter des histoires, prendre soin des âmes.
Le Ministère des Rêves et de l’Imaginaire, confié aux schizophrènes, ceux qui entendent et voient ce que nous n’osons même pas imaginer.
Ce sont eux qui inspirent la cité, qui soufflent aux artistes, qui réenchantent le quotidien.
Chaque décision politique doit passer entre leurs mains : est-ce que ça rend le monde plus poétique ?
Sinon, on jette.
Le Ministère des Rythmes et des Silences, confié aux autistes non-verbaux et aux musiciens hypersensibles.
Eux seuls savent que le silence est parfois plus fort que les mots, que les battements du cœur sont une mélodie, que la vie est une partition où chaque être joue sa propre note.
Ils organisent les villes, les espaces de vie, en fonction de l’harmonie, bannissant le bruit inutile et favorisant les symphonies naturelles du vent, des rires d’enfants et du clapotis de l’eau.
Le Ministère du Temps Perdu, dirigé par ceux qu’on qualifiait autrefois de “rêveurs”, ceux qui passaient trop de temps à contempler un coucher de soleil, à suivre des nuages, à s’égarer dans des pensées sans utilité immédiate.
Leur mission : réhabiliter la flânerie, la sieste, le droit à ne rien faire, pour que personne ne soit jamais jugé pour avoir perdu du temps à simplement exister.
Le Ministère de la Parole Vraie, où siègent les trisomiques et ceux qui ne savent pas mentir. Ici, pas de langue de bois, pas de demi-mots.
On parle avec le cœur, on ne cache rien sous des phrases creuses.
On préfère un silence gêné à une parole fausse.
Les décisions politiques passent toutes par eux : si ça ne sonne pas juste, c’est refusé.
Le Ministère des Gestes et des Émotions, dirigé par ceux qui n’ont jamais su expliquer ce qu’ils ressentaient avec des mots mais qui, par une caresse sur l’épaule, un froncement de sourcils ou un regard mouillé, disent tout.
Ici, on enseigne la communication au-delà des phrases, on apprend aux citoyens à écouter avec leurs tripes, à comprendre ce qui se cache derrière une main tremblante ou un rire trop forcé.
Le Ministère du Courage Fragile, où siègent ceux qui ont traversé l’enfer et en sont revenus.
Anciens dépressifs, anciens suicidaires, ceux qui ont connu le fond et qui ont appris que la lumière, parfois, vient du plus obscur.
Ils sont chargés de rappeler à tous que la force ne se mesure pas en domination, mais en capacité à se relever.
Et puis, il y a le Ministère des Vies Minuscules, inspiré par les personnes les plus discrètes : ceux qui n’ont jamais fait de bruit, qui ont vécu sans éclat, sans grand destin, mais qui, par une main posée sur l’épaule au bon moment, par une parole dite avec justesse, ont sauvé des vies sans le savoir.
Ce sont eux qui veillent sur ceux qu’on ne remarque pas, sur les solitaires, sur les effacés.
Le naufrage des anciens puissants
Dans cette société, l’argent n’existe plus.
La monnaie, c’est la tendresse.
Un café s’achète avec un éclat de rire, un plein d’essence avec une chanson, un repas chaud avec une étreinte sincère.
———-
Ceux qui ne savent plus donner de la tendresse – ces anciens hommes de pouvoir, ces prédateurs froids et calculateurs – errent dans les rues, pauvres de leur vide intérieur.
Ils traînent leurs silhouettes défraîchies le long des avenues où personne ne les regarde plus.
Le soir, on les retrouve dans les soupes populaires, là où, autrefois, ils auraient détourné le regard.
———-
Mais ici, il n’y a plus de misère financière, seulement la misère humaine.
Et la leur est abyssale. Ils tendent la main, maladroitement, cherchant à troquer quelques miettes de chaleur contre des souvenirs de leur gloire passée.
Mais personne ne veut de leur ancien monde. Il est révolu.
———-
Et quand la nuit tombe sur cette République nouvelle, les ministres dansent. Ils dansent, ils rient, ils pleurent aussi parfois, mais surtout, ils vivent. Enfin, ils vivent.
#monde#parfait#tendresse#amour#france#francais#Spotify#SoundCloud#Youtube#fragment13#johnotaku1977.com#blog#tumblr français#unmondeparfait
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J’aime bien ce verbe « résister ». Résister, à ce qui nous emprisonne, aux préjugés, aux jugements hâtifs, à l’envie de juger, à tout ce qui est mauvais en nous et ne demande qu’à s’exprimer, à l’envie d’abandonner, au besoin de se faire plaindre, au besoin de parler de soi au détriment de l’autre, aux modes, aux ambitions malsaines, au désarroi ambiant. Résister, et… sourire.
Marc Lévy- (Les Enfants de la liberté)

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#trolleng#trolledu#present simple#aux. do#aux. be#present simple aux verbs#aux verbs#aux.#auxiliary#auxiliary verbs#do#be#have#do be have
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Merci à Christophe Clavé pour cette éclairage sur l’appauvrissement de la langue et la ruine de la pensée 🙌
"La disparition progressive des temps (subjonctif, passé simple, imparfait, formes composées du futur, participe passé…) donne lieu à une pensée au présent, limitée à l’instant, incapable de projections dans le temps.
La généralisation du tutoiement, la disparition des majuscules et de la ponctuation sont autant de coups mortels portés à la subtilité de l’expression.
Supprimer le mot «mademoiselle» est non seulement renoncer à l’esthétique d’un mot, mais également promouvoir l’idée qu’entre une petite fille et une femme il n’y a rien.
Moins de mots et moins de verbes conjugués c’est moins de capacités à exprimer les émotions et moins de possibilité d’élaborer une pensée.
Des études ont montré qu’une partie de la violence dans la sphère publique et privée provient directement de l’incapacité à mettre des mots sur les émotions.
Sans mot pour construire un raisonnement, la pensée complexe chère à Edgar Morin est entravée, rendue impossible.
Plus le langage est pauvre, moins la pensée existe.
L’histoire est riche d’exemples et les écrits sont nombreux de Georges Orwell dans « 1984 » à Ray Bradbury dans « Fahrenheit 451 » qui ont relaté comment les dictatures de toutes obédiences entravaient la pensée en réduisant et tordant le nombre et le sens des mots.
Il n’y a pas de pensée critique sans pensée. Et il n’y a pas de pensée sans mots.
Comment construire une pensée hypothético-déductive sans maîtrise du conditionnel ? Comment envisager l’avenir sans conjugaison au futur ? Comment appréhender une temporalité, une succession d’éléments dans le temps, qu’ils soient passés ou à venir, ainsi que leur durée relative, sans une langue qui fait la différence entre ce qui aurait pu être, ce qui a été, ce qui est, ce qui pourrait advenir, et ce qui sera après que ce qui pourrait advenir soit advenu ? Si un cri de ralliement devait se faire entendre aujourd’hui, ce serait celui, adressé aux parents et aux enseignants : faites parler, lire et écrire vos enfants, vos élèves, vos étudiants.
Enseignez et pratiquez la langue dans ses formes les plus variées, même si elle semble compliquée, surtout si elle est compliquée. Parce que dans cet effort se trouve la liberté. Ceux qui expliquent à longueur de temps qu’il faut simplifier l’orthographe, purger la langue de ses «défauts», abolir les genres, les temps, les nuances, tout ce qui crée de la complexité sont les fossoyeurs de l’esprit humain. Il n’est pas de liberté sans exigences. Il n’est pas de beauté sans la pensée de la beauté."
Christophe Clavé
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Enseignements de la psychanalyse et responsabilité dans la perspective d’un nouveau "procès de Nuremberg"…
Revenons encore sur le cas Eichmann: souvenons-nous qu’à la cour de justice de Tel-Aviv, derrière des vitres pare-balles, sur le banc des accusés, il semblait se demander pourquoi il faisait l’objet d’un tel procès, pourquoi le monde entier avait les yeux braqués sur lui. «J’étais un simple technicien, dira-t-il, et j’avais trouvé la réponse la plus adéquate à la question qu’on m’avait demandé de traiter. C’est exactement ce que font les fonctionnaires consciencieux du monde entier. Pourquoi suis-je le seul à être accusé ainsi?» Responsable, cela veut dire répondre de ma position de sujet, dont je suis, que je le veuille ou non, responsable. Le mot répondre appartient à la même famille étymologique que le verbe épouser. Ce dernier vient en effet du latin sponsare, «promettre, spécialement en mariage». Répondre comporte l’idée d’un engagement en retour...
Dans son exposé sur la "banalité du mal", Hannah Arendt avance qu'Eichmann n'était pas un "pervers sadique", or cette considération fait référence à une notion encore pré-théorique, une représentation de sens commun où le sadique est quelqu'un qui inflige et jouit des souffrances qu'il fait subir aux autres.
Or Lacan insiste: la position subjective du pervers est une radicale attitude d'auto-instrumentalisation, le pervers se faisant lui-même le pur objet-instrument de la jouissance de l'Autre avec un grand A, le grand Autre...
Le véritable pervers sadique est donc tout le contraire de la figure passionnée sous l’emprise d'un "mal diabolique", c'est plutôt un exécutant dépersonnalisé, un "bureaucrate du mal", sans profondeur psychologique, sans complexe spécifique, sans motivation d'ordre traumatique.
Loin d’un esprit extravagant à la Milton ou du Méphistophélès gœthéen, le bureaucrate qui s'abrite derrière son "devoir", voilà la vraie figure contemporaine du Mal.
Nul invocation de ton "devoir" ne pourra jamais dispenser ton sujet de ta responsabilité pour chacun de tes actes, chacune de tes paroles, chacune de tes pensées.
Le fait qu'il y ait un inconscient nous interdit en effet de nous prévaloir de notre bonne foi, notre bonne intention, notre belle âme… "Je n'ai pas voulu cela" ne vaudra jamais absolution. Oui, ce que j’ai fait, ou qui résulte de ce que j’ai fait, je l'ai désiré, car ce que j’ai désiré, je ne le sais pas. Ce sont les conséquences qui me l'apprennent. Ce qu'il a désiré, l'homme est condamné à ne le savoir qu'après-coup. Le sujet de l’inconscient ne saurait se tenir pour quitte des suites involontaires de sa bêtise, de son "je ne veux pas savoir", son "je sais bien mais quand même", ni même son "je ne peux pas savoir"…
L'inconscient cela veut dire: tes intentions mignonnes, tes "idées" derrière lesquelles tu t’abrites, tout cela est un trompe-l'œil, une façade, dit Freud (en français dans le texte). Ce sont les conséquences qui font poids, et dont tu es responsable. Déchiffre ton inconscient — impératif éthique — , car ce que tu n'as pas voulu, ce que tu ne sais pas, sera retenu contre toi. C'est la dure loi de Freud, la terrible lex Freudiana.
Dura lex, sed lex... Une question de logique avant d’être une question de droit.
Freud avait raison: l’homme est moins moral qu’il ne le croit et plus moral qu’il ne le pense.
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EXPRESSION | Avoir ses lettres de Cracovie ➽ https://bit.ly/Expression-Lettres-Cracovie Être reconnu et proclamé menteur. Les lettres de Cracovie, ainsi nommées par allusion au verbe « craquer » (mentir), sont des brevets qu’on expédie aux grands hâbleurs
#expression#lettres#Cracovie#menteur#étymologie#racines#langue#française#français#linguistes#lexicologie#lexicologues#usage
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Chaque lettre a une odeur, chaque verbe, un parfum...✨
Chaque mot diffuse dans la mémoire un lieu et ses effluves....✨
Et le texte qui peu à peu se tisse, aux hasards conjugués de l'alphabet et de la remembrance, devient alors le fleuve merveilleux, mille fois ramifié et odorant, de notre vie rêvée, de notre vie vécue, de notre vie à venir, qui tour à tour nous emporte et nous dévoile..............💞✨🪶
Claudel
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Je t’aimais Dans l’impatience solaire Je t’aime Dans la clémence du soir
Je t’aimais Dans l’éclair du verbe Je t’aime Dans l’estuaire des mots
Je t’aimais Dans les foucades du printemps Je t’aime Dans l’escapade des saisons
Je t’aimais Aux entrailles de la vie Je t’aime Aux portails du temps.
Andrée Chedid
Ph. walnutwax
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J'aime bien ce verbe " résister " . Résister à ce qui nous emprisonne, aux préjugés, aux jugements hâtifs. À l'envie de juger, à tout ce qui est mauvais en nous et ne demande qu'à s'exprimer. À l'envie d'abandonner, au besoin de se faire plaindre, au besoin de parler de soi aux détriment de l'autre. Aux modes, aux ambitions malsaines, au désarroi ambiant. Résister, et sourire ...
Emma Dancourt
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