#cachant
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lolochaponnay · 1 year ago
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basilepessoart · 11 months ago
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Bravo Silvia,
T'as RIEN compris. RIEN. Dégoût.
Anne me dit que c'est ton débile d'ex qui te force sous la menace à retomber dans ce que j'ai enfin réussi à te faire arrêter.
Tu demandes, Dieu agit, c'est compliqué ?
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pas-de-la-kaamelott · 2 years ago
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forever salé que ce personnage avec un énorme potentiel symbolique n’ai eu presque aucun développement durant la série et ait été rangé du côté des méchants alors qu’à la fuite finale du livre 6 on le voit clairement se barrer avec merlin
je suis tjr absolument deg que le père blaise se soit retrouvé chez les méchants sans explication de pk dans kv1 alors qu'il devait être dans les résistants. genre peut-être que si on avait eu kaamelott résistance il aurait fini par changer de camp mais en attendant on a zéro contexte et je trouve que ça colle pas du tout avec son caractère de la série.
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chic-a-gigot · 1 year ago
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La Mode nationale, no. 22, 5 juin 1897, Paris. No. 19. — Toilette de visite. No. 20. — Toilette de jeune femme. Bibliothèque nationale de France
No. 19. — Toilette de visite en taffetas changeant indéplissable, chemisette de tulle noir indéplissable sur laquelle est posée une draperie de taffetas plissée sur les épaules; dans le bas corselet drapé arrêté par un chou sur le côté; manches avec petit ballon double dans le haut; col rabattu sous une ruche. Jupe toute plissée soleil. Chapeau rond en paille de riz blanche, orné devant par un groupe de roses, le mêmes fleurs retombent derrière en cache-peigne. Derrière hautes coques de ruban mélangées à une aigrette.
No. 19. — Visiting ensemble in non-wrinkle changing taffeta, shirt in non-wrinkle black tulle on which is placed a drapery of pleated taffeta on the shoulders; in the draped corselet bottom stopped by a cabbage on the side; sleeves with small double balloon at the top; collar turned down under a ruffle. Fully pleated sun skirt. Round hat in white rice straw, decorated on the front with a group of roses, the same flowers fall behind as a comb cover. Behind tall ribbon shells mixed with an egret.
Métrage: 20 mètres taffetas changeant.
No. 20. — Toilette de jeune femme en lainage bleu pervenche. Robe princesse à ouverture invisible. Corsage très collant, recouvert par un croisement de galon en laine et d'un ruban de satin bleu saphir noué sur un côté et retombent en un long pan; manches plate en satin bleu, recouvertes du haut par un jockey ondulé semblable au corsage, ruche autour du cou; jupe princesse, faisant suite au corsage, ouverte sur le côté sur un créneau de satin bleu saphir. Petite toque faite avec un froufroutage de tulle noir, avec chou de ruban bleu sur le côté, cachant le pied de deux plumes princesse de Galles, en aigrette.
No. 20. — Young woman's ensemble in periwinkle blue wool. Princess dress with invisible opening. Very tight bodice, covered by a crossing of wool braid and a sapphire blue satin ribbon tied on one side and falling in a long section; flat sleeves in blue satin, covered at the top by a wavy jockey similar to the bodice, ruffle around the neck; princess skirt, following the bodice, open on the side on a sapphire blue satin niche. Small hat made with a frill of black tulle, with a blue ribbon on the side, hiding the base of two Princess of Wales feathers, in an egret.
Métrage: 5 mètres 50 lainage très grande largeur.
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ernestinee · 3 months ago
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On a travaillé au jardin touuuuute la journée et ce matin j'ai été réveillée à 7h30 et je disais noooooon s'il te plaaaaaaiiiit c'est samediiiii pourquoi tu me réveilles si toooooot en me cachant dans la couverture et il me dit qu'il a réservé un motoculteur et un rouleau à louer parce que maintenant qu'il y a de l'ordre dans le jardin on refait la pelouse et il me dit tu préférerais un plateau avec des pains au chocolat et du jus d'orange à 9h du matin hein ouais et du coup il sait EXACTEMENT ce que je veux et il ne le fait JAMAIS.
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valentinfougeray · 9 months ago
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https://www.instagram.com/valentinfougeray/
L’été s’en allait Sans crier gare, Comme il était venu, Cachant son cœur, Ses yeux, son âme, Recouvert D’un long manteau Blanc, autrefois bleu. Se délaissant parfois De quelques larmes, Attirant le regard, Éveillant la mémoire De ceux qui Ne voyaient qu’à travers Les souvenirs, Oubliant quelquefois Ce que deviendraient Ses jours À l’avenir _Valentin Fougeray_
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perduedansmatete · 1 year ago
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vous aussi vous allez sur votre compte en banque en cachant le montant avec votre main quand il s'ouvre ou c'est que moi?
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histoiresduninstant · 9 months ago
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𝑵𝒆𝒖𝒗𝒊𝒍𝒍𝒆𝒕𝒕𝒆 | Valse
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*↷◌ Info:
||Personnage : Neuvillette ||Origine : Genshin Impact ||Nombre de mots : 2 600 ||Inspiration musicale : Gramophone waltz de Eugen Doga et C'est ça l'amour de Cendrillon ||Synopsis : [T/P] et Neuvillette sont des amis de longue date. Alors qu'un passe ses journées à son bureau, l'autre est une aventurière aguerrie qui ne rêve que de nouveaux paysages et de nouvelles contrées à explorer cachant en leur sein de nombreux contes et histoires. Mais que ce cache-t-il derrière ce visage toujours impassible? 
⁎↣♡↢⁎
     3 mois. 
     3 mois d'attente. 
     3 mois de silence. 
     3 mois était la duration du voyage de sa chère amie, [T/P]. 3 mois durant lesquelles Neuvillette ne pourrait avoir de nouvelle de cette dernière, ni du dérouler de ses péripéties. 3 long mois à exercer sa fonction de juge; L'iudex infaillible de Fontaine. À passer cas après cas, à analyser crime après crime, jour après jour. Il s'agit là de sa fonction et de son rôle au sein de la société fontainoise, alors pourquoi, pourquoi durant ces 3 mois la tâche lui paraissait plus longue et laborieuse, plus lente et ennuyeuse? Ne remplissait-il pas cette fonction depuis bientôt trop longtemps pour qu'un changement de sentiment face à sa position ne soit visible? 
     Pour un être de son envergure, 3 mois ne représentait qu'un bref instant, et pourtant, l'absence de sa chère amie lui était douloureuse. L'enthousiasme que son doux visage arborait lui manquait, ses récit interminables détaillant le moindre instant de ses péripéties lui manquait terriblement. Ce silence qui régnait autour de lui, attabler derrière son large bureau, devenait assourdissant et oppressant. N'entendre que le simple bruit des pages tourner et la plume de son stylo écrire lui rappelait constamment cette solitude qui le suivait à longueur de journée. 
     Voyant la grandissante solitude du juge, son entourage le convia à plusieurs reprise à des après-midi thé où le but étant de le faire sortir de cette macabre solitude qui couvrait son visage et ternissait ses traits. Mais ce dernier rejetait l'invitation prétextant qu'un homme de la justice tel que lui ne pouvait laisser son jugement être influencer par quelconque activité futile. Et cette après-midi encore, Neuvillette avait décider de ce retirer afin de rester seul derrière sa paperasse administrative. 
     Néanmoins, il pouvait peut-être réussir à convaincre son entourage, lui-même était conscient que cette excuse était plutôt un bien nécessaire quant à cacher cette mélancholie et inquiétude qu'il ne cessait de nourrir à l'égard de son amie [T/P], partie bien trop longtemps en voyage. Et  aujourd'hui encore, son esprit ne pouvait se concentrer correctement, divaguant constamment. 
     Assis derrière son bureau, Neuvillette poussa un soupir, voyant très clairement qu'il n'arriverait pas à terminer le dossier sur son bureau. Fermant les yeux, il soupirant de nouveau, se leva et se plaça face à la grande fenêtre derrière son large pupitre. Dehors, le ciel était gris et nuageux, annonçant très certainement une pluie prochaine. Le fait de savoir que le temps se joignait à ses complaintes silencieuses le fit sourire tristement. Le vide qu'installait votre absence le rongeait de l'intérieur. Pour personne auparavant n'avait-il eu de telles pensées ou sentiments, ce qui les rendaient d'autant plus proéminant et de plus en plus difficile à contenir à votre égard, mais il le devait. Son jugement ce devait de rester neutre et impassible face à toute éventualité; la justice n'admettait point les sentiments humains. Et pourtant, il ne pouvait nier cette tendresse qui grandissait en lui envers votre personne. Il pouvait tant bien que mal essayer de se convaincre qu'il n'en était rien, son cœur en avait décidé autrement. 
     Ses yeux violets parcoururent la cité qui se dévoilait sous lui, ombrager par les nuages. Observant le quotidien des fontainois comme il en avait pris l'habitue récemment, un sentiment de mélancholie l'envahit alors, assombrissant ses yeux. Cette tendresse qu'il éprouvait devait-elle rester interdite de tous? Devait-il se taire et garder à tout jamais ce doux penchant pour vous sceller de ses lèvres? Mais, cette option lui paraissait douloureuse, mais le prix d'avouer son doux pêché lui laisserait probablement un goût d'amertume en bouche. Pour rien au monde il voulait se résoudre à s'éloigner de votre tendre personne. 
« Ma chère amie, voyez dans quel état vous me rendez à disparaitre durant 3 mois. Moi qui ne doit être qu'impassible, me voilà à laisser mon cœur dicter mes actes vous concernant. » 
     Il soupira de nouveau, décidemment, votre absence le tracassait plus qu'il ne voulait l'admettre. De sa main gauche, à l'aide de l'élément hydro, il représenta dans le creux de sa main une petite statue de vous, le sourire aux lèvres. Il regarda avec amour et bienveillance cette représentation de vous, avant de ne refermer sa main dans un point, faisant disparaître cette petite illusion de vous. Neuvillette ne savait pas s'il pourrait garder ce fardeau plus longtemps avant qu'il n'en devienne fou. 
« Ma tendre [T/P], à tournoyer dans mes pensées, vous aller me faire perdre l'équilibre. »
     Neuvillette murmura cette dernière parole avant de ce décider à revenir derrière son bureau, se remettant au travail. 
     Alors qu'il approchait de la fin de son dossier, il put entendre les pas décisifs d'une personne se dirigeant vers son bureau. Cela l'ennuyait légèrement, lui qui avait spécifier au garde qui se trouvait de l'autre côté de la porte de ne laisser entrer personne, à part en cas d'extrême urgence. De ce fait, il espérait ne pas être déranger. Seulement, un léger vacarme se fit entendre de l'autre côté de la porte et les voix montèrent en puissance. Depuis son pupitre, Neuvillette ne pouvait que distinguer des bribe de conversation ça et là sans trop comprendre la raison de ce qui semblait être une dispute. L'irritation monta tranquillement lorsque soudain, la porte s'ouvrit brusquement avant de ne se refermer dans un même vacarme sonore. Levant les yeux afin de savoir de qui il s'agissait, son cœur se serra automatiquement à la vue de sa tendre amie [T/P]. Il aurait voulu se lever afin de pouvoir vous serrer dans ses bras, mais le simple fait d'enfin revoir ce visage au trait si familier le rassura tout autan, faisant disparaître cette inquiétude qui le rongeait depuis trop longtemps. 
PDV [T/P]:
« Quelle tête de mule celui-là! Plus têtu serait difficile à trouver, franchement! AH, Neuvillette, mon cher ami, comme vous m'avez manquer durant ce voyage! Mais ne vous inquiété pas, cette petite aventure est riche en rebondissement, vous ne serez pas déçu!  »
- Je suis ravi d'apprendre que votre voyage c'est bien passé ma chère amie.  »
Neuvillette répondit tout en gardant les yeux rivés sur ses dossiers, ne m'adressant que de très bref regards ça et là. 
- Et vous toujours impassible à ce que je vois. Mon cher ami, à quand aurons-nous droit à un sourire de votre part? C'est à croire si les rumeur ne disent pas juste à votre sujet mon ami. dis-je en m'appuyant contre son bureau, lui tournant le dos. 
- Et que disent les rumeurs à mon sujets? 
- Aaaaahhh, soupirais-je, si vous saviez le nombre de petits ragots que l'on raconte sur votre personne afin d'animer nos petits après-midi thé, vous n'en reviendriez pas. Les gens se demandent même parfois si vous êtes bien un humain tant vos émotions sont indéchiffrables! Même moi qui vous connaît depuis maintenant assez longtemps, j'ai toujours un certain mal à vous cerner mon ami. Mais, je dois admettre que cela fait partie de votre charme. 
- Hmmm, et bien soit, si ces divers récits amusent les gens, alors il en est ainsi. répondit-il, le nez toujours plongé dans ses documents. 
- N'y a-t-il donc rien qui ne puisse ébranler cette impassible et stoïque façade qu'est la votre, monsieur Neuvillette? »
     En posant cette question, le ton de ma voix se fit plus doux et curieux, presque taquin. Me retournant pour maintenant lui faire face, je remarquai qu'il fit une pause, d'un bref instant, certes, mais assez visible pour casser la fluidité de ses mouvements. Cette question l'avait-elle déstabilisé? Et ce pourquoi? 
     De son côté, le cœur de Neuvillette se serra, ne connaissant que trop  bien la réponse à cette question. Toutefois, il préféra rester interdit, de peur qu'émettre une réponse ne révèle son amour interdit. 
     Face à lui, son regard toujours plongé dans ses écrits, je pris un instant pour observer son visage. Ses cheveux blancs parsemés de teintes bleu, ce visage composée de traits fins, et pourtant, prononcés, arborant une certaine austérité. Cette peau blanche comme de la porcelaine, ses yeux couleur améthyste qui vous dévisageait aux moindre regard. Je pourrais m'y noyer si je m'aventurais à y plonger mon regard trop longtemps. Et puis, il y avait cette bouche. Ah, le nombre de fois où mon esprit s'était égarer à imaginer la baiser tendrement! Hélas, je ne pouvais souhaiter une telle chose, un soupir s'échappant de ma bouche face à cette triste réalité qu'est la mienne. Aurais-je un jour le droit de lui avouer mon doux amour?
     Ne voulant continuer à ruminer ces pensées noires, je décidais qu'il s'agissait du bon moment pour me changer les idées. Je m'éloignais du bureau afin d'aller chercher dans mon sac un objet que j'avais trouver lors de mon voyage. Je sortis la pochette d'un vieux vinyle dont le titre avait complètement disparu, ne donnant aucun indication sur le contenu de ce dernier. 
« Neuvillette, regardez donc ce que j'ai trouvé lors de mon voyage: un vieux vinyle! Voudriez-vous bien en découvrir son contenu avec moi? » 
     Alors que je sortais le vinyle afin de le placer sur la platine du gramophone, je lançais quelques regards en direction de mon ami qui, à mon désarroi, n'avait pas bouger d'un poil ni énoncer une quelconque réponse. Plaçant la pointe sur le bord du vinyle, la mélodie commença alors à raisonner à travers toute la pièce. L'air y était doux et calme, comme un secret que l'on vous murmure à l'oreille à l'abris des regards. D'un pas léger, je me dirigeais vers Neuvillette, m'imprégnant du rythme de la valse que jouait le gramophone. Puis, me plaçant à son côté, je fis une révérence, lui présentant ma main droite, plongeant mes yeux dans les siens. 
« Me ferriez-vous le plaisir de m'accorder cette danse, Monsieur Neuvillette? » 
     Je pus voir le bout de ses oreilles se teinter très légèrement d'un rose pâle avant d'acquiescer à ma requête, se levant avant de ne prendre ma main dans la sienne. Puis, d'un geste vif et remplis de délicatesse, il nous rapprocha à l'aide de son autre main, la posant ainsi délicatement dans mon dos. J'eus le souffle coupé l'espace d'un bref instant face à cette prise de risque soudaine, non pas que cela puisse me déplaire. Ensuite, c'est les corps collés l'un contre l'autre que Neuvillette se mit à mener la valse, suivant le rythme lent de la musique. 
     Pendant ce moment d'intimité, mon cœur battait la chamade contre ma poitrine, et mes joues arboraient probablement désormais une teinte rosée. Nous ne nous quittions pas du regards, oubliant complètement l'environnement qui se trouvait autour de nous. Seule la musique et le mouvement de nos corps était important, tout le reste pouvait bien disparaître. 
     Alors que je savourais cette valse, les traits de Neuvillette s'assombrirent, cachant une peine inconnu. Un sentiment désagréable s'empara alors de moi, une inquiétude, ou peut-être la sensation d'avoir compris, d'avoir enfin eu la réponse que je redoutais le plus. Mes émotions se chamboulèrent dans ma tête, et mon cœur se serra. Malgré cette proximité, j'avais l'impression qu'un gouffre se formait entre nous, une plaie ouverte qui ne se refermerait jamais. Mes pas se firent alors plus hésitants, douteux, ne sachant comment finir cette valse qui plus tôt, avait un goût sucré. 
     Alors que la valse touchait à sa fin, je me retrouvais appuyé dos à son bureau, la respiration légèrement saccadée. Le visage de Neuvillette, à peine à quelques centimètres du mien, je pouvais sentir sa respiration lente et chaude sur mon visage. Le silence avait repris sa place dans la pièce, ajoutant une certaine lourdeur à l'atmosphère qui nos entourait. 
« Pourquoi cette mélancolie sur votre visage, Monsieur Neuvillette? dis-je dans un souffle. Le simple fait de murmurer ces quelques mots me plongeait dans une tristesse profonde, connaissant déjà le dénouement de cet amour interdit. 
- Car je porte un lourd secret. Un secret qui me ronge de l'intérieur tel une gangrène qu'il faut arracher. Hélas, je n'ai pas la force de le faire moi-même, ayant peur des conséquences de cet acte. » 
     Sa voix était plus douce que d'habitude, à peine plus haute qu'un murmure. Elle paraissait assurée, et pourtant, elle était tremblotante et fébrile, remplis d'émotions poignante, lui qui d'ordinaire avait un timbre neutre. Cette humanité nouvelle dans sa voix me fit chavirer tel un bateau pris dans une tempête en haute mer. Je restais muette, ne pouvant émettre aucune parole de peur que ma tristesse ne se fasse entende. Était-ce la fin? La rupture d'une relation qui n'avait même pas eu la chance de fleurir au grand jour? Non, ce n'était pas possible, pas maintenant, pas après avoir partager un moment d'intimité tel que celui-là. 
     Sans m'en rendre compte, le vinyle avait déjà silencieusement entamé la prochaine piste qui avait été graver dessus. Un rythme lent et suave enveloppa alors doucement la pièce, la réchauffant par la même occasion. Pourquoi un tel changement d'ambiance, c'est comme si l'air autour de nous se soumettait aux complaintes de Neuvillette. En effet, se dernier me regardait avec plus de tendresse et de pudeur que jamais, les joues rosées, comme un enfant embarrasser de dévoiler son petit secret. 
« Ma chère amie [T/P], pardonnez mon jugement hâtif, mais mon cœur ne serait en décider autrement. »
     À peine avait-il fini de prononcer cette phrase qu'il prit délicatement mon visage dans ses mains avant de ne poser ses lèvres contre les miennes dans un baiser rempli d'amour et de tendresse. Mes yeux se fermèrent automatiquement au contact, et je sentis une explosion d'émotion dans mon cœur, frémissant de bonheur. Les joues chaudes et le cœur battant, j'enlaçais Neuvillette de tout mon être. Le temps semblait s'être arrêté, et en cet instant, rien ne comptait plus que de sentir nos cœurs vibrer l'un contre l'autre et nos lèvres danser l'une contre l'autre. Puis, après de longues minutes, nous nous séparâmes à contre cœur, la respiration encore chaude et légèrement haletante de ce baiser passionnel. 
« Alors c'est ça, l'amour»
     Il murmura ces quelques mots qui lui étaient encore nouveaux, une excitation nouvelle brillait maintenant dans ses yeux violets. Il esquissa un léger sourire, ses yeux ne quittant jamais les miens. L'émotion nouvelle d'enfin pouvoir vivre cet amour me fit monter les larmes aux yeux, ne pouvant les retenir plus longtemps. Face à ce spectacle, nous ne pûmes nous empêcher de rire avec légèreté de la situation, soulager d'avoir enlever un poids de nos cœurs amoureux. 
« Je vous aime [T/P]. Voudriez-vous bien rester à mes côté encore quelques temps?
- J'avais peur que jamais vous ne me le demandiez. Moi aussi je vous aime Neuvillette. » 
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓬̧𝓪 𝓵'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓛𝓮 𝓰𝓻𝓪𝓷𝓭 𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻!
𝓛'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻 𝓺𝓾𝓲 𝓯𝓪𝓲𝓽 𝓬𝓱𝓪𝓷𝓽𝓮𝓻 𝓵𝓪 𝓿𝓲𝓮. 𝓛𝓪̀ 𝓭𝓪𝓷𝓼 𝓽𝓮𝓼 𝓫𝓻𝓪𝓼, 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓙𝓮 𝓼𝓪𝓲𝓼 𝓭𝓮́𝓳𝓪̀... 𝓠𝓾𝓮 𝓶𝓸𝓷 𝓫𝓸𝓷𝓱𝓮𝓾𝓻 𝓮𝓼𝓽 𝓲𝓷𝓯𝓲𝓷𝓲!
𝓜𝓸𝓷 𝓬𝓸𝓮𝓾𝓻 𝓼'𝓪𝓯𝓯𝓸𝓵𝓮, 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶...
𝓔𝓽 𝓳𝓮 𝓶'𝓮𝓷𝓿𝓸𝓵𝓮.
𝓙𝓮 𝓭𝓪𝓷𝓼𝓮 𝓼𝓸𝓾𝓼 𝓾𝓷𝓮 𝓹𝓵𝓾𝓲𝓮 𝓭'𝓮̨𝓽𝓸𝓲𝓵𝓮. 𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓬𝓮 𝓺𝓾𝓮 𝓳'𝓪𝓽𝓽𝓮𝓷𝓭𝓪𝓲𝓼, 𝓣𝓾 𝓮𝓼 𝓶𝓸𝓷 𝓻𝓮̂𝓿𝓮 𝓯𝓸𝓾!
𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓗𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶 𝓱𝓾𝓶... 𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓬̧𝓪, 𝓵'𝓐𝓶𝓸𝓾𝓻!
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skeyde · 5 months ago
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Projet "Mimbulus Mimbletonia" FORUM HP SUR L'ACADEMIE D'ILVERMORNY
Après des mois de préparation, de réflexions intenses (et un soupçon de fumée cérébrale magique), j’ai le plaisir de vous présenter un projet RPG qui me tient particulièrement à cœur : un forum inspiré de l’univers d’Harry Potter, plongé au cœur de l’académie magique d’Ilvermorny.
Au menu : 🔮 Système de Dragots : Chaque RP posté vous rapportera des Dragots, notre monnaie magique. Dépensez-les pour débloquer des avantages, des comptes supplémentaires ou d’autres surprises pour enrichir votre expérience de jeu.
🔮 Un univers inédit : Ici, pas de Harry, Ron ou Hermione ! Les personnages originaux ne sont pas jouables, et certains éléments ont été réinventés pour offrir une vision fraîche et immersive de l’univers magique.
🔮 Bienvenue en Amérique : Oubliez Poudlard, direction l'école d’Ilvermorny et son ambiance unique. Explorez les couloirs enchantés de l’académie, le MACUSA, l’Hôpital Magique, et bien d’autres lieux imaginés pour vous plonger dans ce monde ensorcelant.
Le forum est presque prêt à ouvrir ses portes, et j’ai hâte de partager cette aventure avec vous. Mais avant de sortir vos plumes et vos balais (oui, c’est une expression bancale mais pardonnez-moi 🤭), vos avis, suggestions et idées seraient d’une grande aide pour peaufiner cette expérience magique.
Envie d’être informé dès l’ouverture ? Laissez un hibou (ou un mot magique) en réponse à ce message, et je vous tiendrai au courant dès que les inscriptions seront ouvertes.
La magie d’Ilvermorny n’attend plus que vous ! 🕯 Une peu de contexte :
✨ I. L'Exode des Mangemorts : Après la guerre qui opposa le monde magique à Voldemort et ses disciples, une véritable chasse aux traîtres fut lancée. Tous ceux qui avaient soutenu, de près ou de loin, le Seigneur des Ténèbres furent pourchassés, qu’ils l’aient fait par conviction ou simplement pour survivre. Ce climat de panique donna naissance à ce que les livres d’histoire appellent désormais « la Grande Purge », une tâche indélébile marquant le plus grand fiasco de l’histoire de la magie.
Les procès arbitraires et les arrestations injustifiées devinrent monnaie courante, divisant profondément la communauté magique. Certaines grandes familles furent anéanties, tandis que d’autres, plus chanceuses, réussirent à fuir vers des contrées offrant un asile, comme les États-Unis. Le ministre de la magie américain de l’époque, opportuniste, y vit une occasion de recruter des sorciers de sang pur pour servir ses intérêts politiques et personnels.
De nombreuses familles s’établirent ainsi définitivement en Amérique, trouvant refuge sur ce vaste continent. Aujourd’hui, il n’est pas rare de croiser d’anciens partisans de Vous-Savez-Qui en territoire nord-américain. Bien qu’ils soient fichés par les autorités magiques, leur liberté de mouvement reste préoccupante. Leurs enfants, élevés dans ces préceptes sombres, pourraient un jour faire renaître une nouvelle menace.
✨ II - La Naissance des "Veilleurs" : Le choix du Président américain d'accueillir les anciens disciples des ténèbres ne fit pas l’unanimité. Nombreuses furent les voix qui s’élevèrent contre cette décision, invoquant les dangers potentiels pour la communauté magique. Le président, cependant, défendit son choix en se cachant derrière le principe de la présomption d’innocence.
Face à cette situation, des groupes de défense spontanés émergèrent à travers le pays, tentant de protéger le quotidien des sorciers. Toutefois, ces milices disparurent progressivement, la menace tant redoutée ne se matérialisant jamais. Au fil des années, le calme revint, et l’idée que les Mangemorts, privés de Voldemort, n’étaient plus une réelle menace, s’imposa.
Cependant, un petit groupe de sorciers, convaincu que le danger subsiste, continua à agir dans l’ombre. Se faisant appeler les Veilleurs, ils scrutent les moindres faits et gestes de leurs ennemis, persuadés qu’un nouveau complot se trame. Leur organisation, secrète et bien implantée, cherche à influencer des postes clés du monde magique pour garder un contrôle discret mais efficace. Mais une question persiste : le mal provient-il uniquement des Mangemorts ? Et si une autre menace se profilait à l’horizon ?
✨ III - Selena Hawthorne, "la Dame d’Ilvermorny," : Selena Hawthorne, connue comme "la Dame d’Ilvermorny," dirige l’académie avec une autorité et une élégance qui forcent le respect. Mariée à Alarick Hawthorne, un homme politiqueinfluent, le couple incarne aux yeux du monde magique l’image du mariage parfait. Pourtant, derrière les portes closes, leur relation est loin d’être idyllique. Selena et Alarick se livrent une guerre ouverte, chacun utilisant l’autre pour atteindre ses propres objectifs. Malgré tout, ils partagent un point commun : leur opposition à l’idéologie des Mangemorts.
Cependant, leurs visions divergent profondément. Selena prône l’égalité entre sorciers et sorcières, croyant en une société où les talents individuels et les valeurs priment sur les privilèges de naissance. Alarick, en revanche, rêve d’un monde dominé par les sorciers dotés de dons spéciaux, sans considération pour la pureté du sang. Pour lui, la supériorité réside dans les capacités, et non dans les lignées.
Cette dualité alimente les tensions au sein de l’académie. Alors que Selena s’efforce d’instaurer un environnement équilibré pour ses élèves, les ambitions d’Alarick menacent de semer la discorde, même indirectement. Si Selena semble détenir un avantage stratégique grâce à son poste de directrice, les forces en jeu, tant au sein de l’école que dans le monde extérieur, risquent de compliquer sa mission.
Ilvermorny devient ainsi un champ de bataille idéologique. Les Veilleurs, qui soutiennent Selena, tentent de contrer toute influence des Mangemorts, mais l’école elle-même n’est pas à l’abri des idées funestes qui circulent. Selena réussira-t-elle à préserver l’avenir des jeunes sorciers sous sa responsabilité, ou l’école est-elle déjà gangrenée par des forces qu’elle ne peut contrôler ?
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selidren · 2 months ago
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Automne 1940 - Londres
7/9
Jean-François s'est fait mal en sautant, mais ne croyez pas sa lettre si il vous raconte s'être cassé la clavicule. Au plus un gros bleu et quelques écorchures en heurtant le sol. Après cela, il a fallut marcher pendant des heures. Nous étions en fin de journée, et nous avons continué une partie de la nuit, évitant les villages et nous cachant dans des buissons à la moindre alerte, quand un train passait ou que nous entendions des voix. Je mentirais en disant que ce fut une partie de plaisir, mais avec le recul, je trouve que nous avons fait preuve d'une décontraction hors de propos. Sans doute avons nous eu beaucoup de chance.
Aussi étrange que cela puisse paraître, je garde de cette marche un excellent souvenir. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas eu l'occasion de partager quelque chose avec Jean-François. Bien que nous soyons frères et que nous nous voyions souvent, nous évoluons dans des sphères différentes et nos centres d'intérêts ne convergent que peu. S'enfuir d'un convoi de prisonnier et risquer sa vie est une expérience qui a renforcé nos liens comme rien d'autre ne pourrait le faire.
Transcription :
Jean-François « Je crois que je me suis fait mal. »
Marc-Antoine « Arrête de geindre. Tu n’as pas de vertèbre fêlée. »
Jean-François « C’était dangereux. »
Marc-Antoine « Tu as sauté d’un demi-mètre d’un train qui allait à très faible allure. Non, je rectifie, tu t’es laissé tomber comme un sac sur ton épaule. Et personne ne t’a tiré dessus. »
Jean-François « Je suis un universitaire, pas un aventurier. »
Marc-Antoine « Et moi je suis un conseiller municipal, je n’ai pas plus d’aptitude que toi. Tu aurais du écouter Papa quand il t’a dit « Mens sana in corpore sano ». Tu es un peu jeune pour t’en souvenir, mais c’était un homme plus imposant autrefois. »
Jean-François « Je suis juste maladroit. Je te rappelle que tout ce cirque est ton idée et… pourquoi ris-tu  à la fin ? »
Marc-Antoine « Non… Pardon… Ce n’est pas toi. Enfin, si un peu. Mais… Jean-François, nous avons réussi ! »
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les-portes-du-sud · 3 months ago
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Deux personnes proches se turent dans la nuit, cachant l'insomnie l'une à l'autre. La solitude hurle silencieusement, Le monde tremble de pleurs silencieux. Le monde tremble de larmes invisibles, Ce sel amer ne peut être séché. J'entends un SOS, un SOS frénétique - Les âmes solitaires se précipitent. Et plus nous vivons dans ce monde, Plus nous nous rapprochons de la cruelle vérité : La solitude est terrible ensemble, Il est plus facile d'être simplement seul…
Yu. Drunina
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abridurif · 4 months ago
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« Je me suis toujours sentie coupable de mettre mon œuvre en avant, tant et si bien que chaque fois que j’allais exposer j’avais une sorte de crise de panique. Aussi j’avais décidé qu’il valait tout simplement mieux ne rien tenter. En fait, j’avais l’impression que le milieu de l’art appartenait aux hommes, et que, d’une certaine façon, j’envahissais leur territoire. Donc, je réalisais des œuvres que je cachais. Je me sentais plus à l’aise en les cachant. D’un autre côté, je ne détruisais rien. Je conservais chaque fragment. Mais aujourd’hui je m’efforce de changer. » Louise Bourgeois, Déclarations, 1979
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lisaalmeida · 1 year ago
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Elle a gardé la douceur de cet amour, son éclat et ses silences jusque dans le fauve de sa chevelure, ses lèvres inconnues où dorment encore des baisers volés sont recouvertes de la poudre d'une âme éloignée. Elle est belle de cet amour immobile, si belle, mystérieuse de pensées et de larmes caressant un visage, elle ne montrera rien, comme les anges cachant parfois leurs ailes, à la face du vent elle affrontera les heures et les rêves solitaires, dans ses bras et ses mains elle étreindra le vide et le temps pour l'aimer encore, que la mer et sa vague protègent à jamais la beauté de cet amour caché.
Carole Riquet
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chic-a-gigot · 8 months ago
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La Mode nationale, no. 42, 17 octobre 1896, Paris. No. 10. — Costumes d'automne et d'hiver. Bibliothèque nationale de France
(1) Chapeau Alexandre, en velours vert myrte, orné en dessus par des coques de ruban vieil or retenues par une broche brillant. Devant, longue plume amazone couchée; sur le sommet deux hautes plumes d'autruche.
(1) Alexander hat, in myrtle green velvet, decorated on top with shells of old gold ribbon held by a shiny brooch. In front, long recumbent amazone feather; on the top two tall ostrich feathers.
(2) Petite toque de velours rubis, faisant pouf derrière, ornée devant d'un large nœud alsacien, coupé par un papillon cachant le pied d'une aigrette paradis.
(2) Small ruby ​​velvet hat, pouf-shaped at the back, decorated in front with a large Alsatian bow, cut by a butterfly hiding the foot of a paradise egret.
(3) Collet de chèvre de Mongolie, monté sur empiècement de castor; grand col Médicis roulant en Mongolie. Chapeau Chouberski en feutre noir, avec nœud alsacien retenu par une boucle, orné de quatre grandes plumes d'autruche.
(3) Mongolian goat collar, mounted on a beaver insert; large rolling Medici collar in Mongolia. Chouberski hat in black felt, with Alsatian bow held by a buckle, decorated with four large ostrich feathers.
(4) Chapeau bonne femme, entouré par une ruche de dentelle avec gros pouf de mousseline de soie sur chaque côté.
(4) Bonnet hat, surrounded by a lace ruffle with large chiffon pouf on each side.
(5) Toilette de visite en peau de soie abricot et satin noir. Corsage à pointe, montant et brodé, à col de dentelle montant; suede corsage, draperies en bretelles retenues par un chou de satin noir semblable. Manches papillon en satin noir sur manches peau de soie brodées; dessus de bras et ceinture corselet également en satin. Jupe nouvelle, plissée derrière, brodée dans le bas.
Petit canotier relevé orné de velours en jarretières et de grandes plumes en aigrettes.
(5) Visiting dress in apricot peau de soie and black satin. Pointed bodice, high and embroidered, with high lace collar; suede bodice, draperies in straps held by a similar black satin cabbage. Butterfly sleeves in black satin on embroidered peau de soie sleeves; upper arms and bodice belt also in satin. New skirt, pleated behind, embroidered at the bottom.
Small raised boater decorated with velvet in garters and large feathers in aigrettes.
Métrage: 14 mètres peau de soie, 3 mètres satin noir.
(6) Toilette de promenade, en lainage un vert émeraude. Corsage-plastron uni, boléro orné de boutons et garni tout autour par un galon russe. Jockeys à créneaux sur manches nouvelles à parements de galons; ceinture corselet semblable; ruche crénelée en galon autour du cou. Jupe plate, plissée derrière.
Toque de velours vert, ornée de rangs de perles, avec froufroutage de mousseline de soie et deux plumes princesse de Galles en dessus.
(6) Promenade dress, in emerald green wool. Plain bodice-plastron, bolero decorated with buttons and trimmed all around with Russian braid. Jockeys with crenellations on new sleeves with braid facings; similar corset belt; crenellated braid ruffle around the neck. Flat skirt, pleated behind.
Green velvet toque, decorated with rows of pearls, with silk muslin frills and two Princess of Wales feathers above.
Métrage: 10 mètres lainage grande largeur.
(7) Jaquette sac tout droite, coupée en long par des galons russes et reliée devant par deux pattes boutonnées. Le drap de la jaquette est relevé par de grands revers carrés et un col Médicis roulant en velours noir. Chapeau Louis XVI à bords retournés avec cache peigne en coques de ruban et grandes plumes d'autruche, posées en groupe s'élevant en aigrette au-dessus.
(7) Straight sack jacket, cut lengthwise with Russian braid and connected in front by two buttoned tabs. The fabric of the jacket is raised by large square lapels and a rolling Medici collar in black velvet. Louis XVI hat with turned-up edges with a comb cover in ribbon shells and large ostrich feathers, placed in a group rising in an aigrette above.
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alain-keler · 2 months ago
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Dimanche 4 décembre 1977.
« Plusieurs dizaines de marginaux vivent sous terre dans des tunnels encombrés de tuyauterie, au-dessous de Park Avenue. Trois chemins permettent d’atteindre cet étrange cadre de vie : un trou dans un mur au bout d’un quai de grand Central Station, les sous-sols d’une banque et ceux de l’hôtel Waldorf Astoria. »
C’est dans le New York Times que sort cette incroyable histoire. Sept niveaux en dessous des quais de l’une des deux principales gares de chemin de fer de New York un réseau de tunnels, dans lesquels passent entre autres les canalisations du chauffage de la ville, abrite des dizaines de personnes qui y ont élu domicile.
Il y avait au bureau de l’agence Sygma de New York une très jolie française, Frederika, qui travaillait aux archives de l’agence. Frederika s’était mariée très jeune avec un réalisateur américain très connu qu’elle venait de quitter.  Lorsque je parlais de cette histoire à Éliane Laffont, la directrice de Sygma New York, Frederika me proposa de m’accompagner. J’acceptais avec joie, me disant que si l’endroit était effrayant, j’aurai peut-être la chance de la voir se réfugier dans mes bras. Je reconnais que cette pensée était assez machiste, mais, comme disait une ex avec dédain « tu n’es qu’un homme ».
C’est tard que nous sommes allés à Grand central. En suivant les indications très précises du Times nous nous sommes dirigés jusqu’au au bout d’un quai où nous avons trouvé le chemin qui allait nous mener dans les entrailles de New York. Des flèches et des signes comme « enter », « here », nous montraient la voie à suivre. L’atmosphère, d’abord étrange, est devenue vite assez lourde. Nous descendions les différents niveaux en utilisant des échelles qui permettaient de communiquer avec les étages inférieurs. Il n’y avait personne. Des bruits bizarres raisonnaient tout le long de notre descente. Nous ne parlions plus, de peur de révéler notre présence aux habitants de ces souterrains. Il y avait des énormes canalisations qui transportaient la vapeur du chauffage de la ville. De temps à autre elles évacuaient cette vapeur. La première fois que nous avons été confrontés à ce phénomène, je dois dire que nous avons sursauté tant le bruit était fort et étrange dans ce lieu.
Mes calculs de voir Frederica se précipiter dans mes bras se révélèrent faux, car en fait je crois que j’avais aussi peur qu’elle. J’essayais quand même de sauver les apparences en cachant mon anxiété et en jouant au brave, mais je pense qu’elle n’était pas dupe. C’était quand même bien d’être deux. Soudain un homme. Son arrivée nous fit sursauter. Nous avons parlé un peu avec lui pour cacher notre angoisse et pour savoir où se trouvaient les personnes qui vivaient ici. Un autre dormait dans une espèce de pièce fermée. Nous pouvions le voir au travers d’un trou dans une porte.
Après être remontés et en arrivant sur le bitume, nous décidâmes de retourner un autre jour dans cet endroit, avec du renfort. Mais nous ne le fîmes jamais.
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philoursmars · 8 months ago
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Avec Christine, on a fêté nos 40 ans d'amitié en faisant un voyage de 15 jours en Sicile. Basés à Catane, on fait une virée d'un jour à Taormine (Taormina)
Du Théâtre Antique, la vue est éblouissante...sauf sur l'Etna qui fait sa diva en se cachant derrière les nuages...(Ne devinerait-on pas son sommet perdu dans les nuages, sur la 3ème photo ?)
La petite fleur rouge est une Boerhavia coccinea (nul doute que je le savais avant !) et l'arbres un Caroubier.
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