#cloue
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grandboute · 1 month ago
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Le Cloue du spectacle !
Festival proposé par l'école des arts du cirque de la Loue (CLOUE) pour fêter ses 5 ans - du 29 au 31 mai à Quingey - site de la Malunée
Spectacles pro et restitutions d'élèves, concerts, buvette, restauration.
Plein de pestacle ! Viendez nombreux !
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snowshinefivez5 · 2 years ago
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lopmon1234 · 11 months ago
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badaceattorney · 9 months ago
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Case Idea: The culprit tries to poison the victim but accidentally poisons themselves instead, but then they survive and use the opportunity to frame their victim for the poisoning
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lolochaponnay · 4 months ago
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Un canard entre dans un bar. D'un air hébété, il va voir le barman et demande : - Vous avez des cacahuètes? Le barman secoue la tète (il dit non quoi). Donc le canard part, mais revient le lendemain et redemande : - Vous avez des cacahuètes? Le barman lui répète que non et lui signale qu'il lui à déjà dis le jour d'avant. Le canard repart donc et revient le jour suivant : - Vous avez des cacahuètes? - Ecoute sale piaf, si tu reviens demain pour me demander des cacahuètes, j'te cloue le bec! Compris? Le canard repart, toujours avec son air hébété et revient le lendemain en demandant : - Vous avez des clous? - Non. - Et vous avez des cacahuètes?
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literaryvein-reblogs · 6 months ago
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Archaic Words: Food
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for your next poem/story
Asch cake - bread baked under ashes
Black spice - blackberry
Bubble and squeak - a dish composed of fried beef and cabbage
Carbonado - a steak cut crossways for broiling
Cloudberry - the ground mulberry
Cloue - a fruit or berry
Comfortable bread - spiced gingerbread
Dore apple - a firm winter apple of a bright yellow colour
Drore - a dish in old cookery, composed chiefly of almonds and small birds
Fenberry - the cranberry
Flampoyntes - pork pies, seasoned with cheese and sugar
Fygey - a dish composed of almonds, figs, raisins, ginger, and honey
Gofer - a species of tea cake of an oblong form, made of flour, milk, eggs, and currants
Golden drop - a kind of plum
Oble - a kind of wafer cake, often sweetened with honey, and generally made of the fines wheaten bread
Pikelet - a kind of crumpet; a thin circular tea cake
Pomice - the residue of apples after the juice has been extracted
Scrabbed eggs - a Lenten dish, composed of eggs boiled hard, copped and mixed with a seasoning of butter, salt, and pepper
Simlin - a kind of fine cake intended for toasts
Stone honey - honey hardened and candied white like sugar; also called corn honey
Toad in a hole - beefsteaks baked in batter; or a piece of beef placed in the middle of a dish of batter, and then baked
Vaunt - a dish made in a frying pan with marrow, plums, and eggs
Violet plum - a dark purple plum of a very sweet taste, shaped like a pear
Walking supper - a supper where one dish is sent round the table every person being his own carver
Whiting - white pudding
Source ⚜ More: Writing Notes & References ⚜ Word Lists
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vietenfers · 4 months ago
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Ce matin, j'ai vraiment cru que j'allais mourir pour de bon – comme à chaque aurore où l’endométriose me cloue au sol. Foutue maladie qui gangrène mon corps. J’ai mis deux heures avant d’oser poser un pied sur le carrelage glacé, avec l’impression que mon cœur allait exploser sous ma cage thoracique. Et je ne sais pas pourquoi, mais j’ai eu une envie irrépressible d’écouter Adrianne Lenker, histoire de m’ouvrir un peu plus la plaie et d’éparpiller les lambeaux d’émotions corrosives que ce joyeux syndrome prémenstruel me balance à la gueule. J’ai dû pleurer une heure, peut-être plus, étouffant des sanglots qui ne veulent plus se taire. J’exècre cette vulnérabilité, cette carcasse déjà saturée de Dafalgan et d’Antadys, cette tête lourde d’angoisses. Je me suis laissée dépérir sur mon bureau, incapable de penser à autre chose qu’à la douleur, quand mon chien est venu se blottir contre mes jambes. Il s’est dressé sur ses pattes arrière et m’a fixé, ses grands yeux ronds brillant d’une intensité presque irréelle. Puis il s’est couché à mes pieds, me regardant en silence, patient, immuable, comme s’il savait. Comme s’il portait en lui une vérité ancestrale que moi seule pouvais comprendre. À cet instant, il avait des allures de messager céleste, un gardien sage que l’univers aurait déposé sur mon chemin pour que je ne sombre pas entièrement. Ce chien sans mots, c’est mon refuge dans le chaos, l’ancre qui me maintient au bord du précipice. Il incarne ce qu’il reste encore d’intact dans ce monde fissuré. Même avec l’écran d’ordinateur qui clignote dans le vide, même avec ce téléphone déserté de notifications, tout semble supportable tant qu’il est là. C’est peut-être ça, la solitude qui ronge les hommes – ce désert qui grandit même au milieu des autres, ce sentiment d’étrangeté qui ne disparaît jamais tout à fait. Mais en sa présence, l’absence d’un langage commun devient une bénédiction. Dans son calme fulgurant, il parvient à me rappeler que l’existence peut encore contenir un soupçon de beauté, une bribe de douceur, une promesse ténue d’un jour moins lancinant.
C’est ça, la tendresse. C’est ça, la pureté. Lui, il n’a jamais eu à la rechercher, elle était en lui, immuable, dès le départ. Et moi, je m’efforce d’approcher cette essence, en vain. Je poursuis l’apaisement d’un esprit sain dans une enveloppe pure, par conviction personnelle, par fierté religieuse. J’essaie d’éteindre mes vices, de préserver ce qu’il reste d’innocence en moi, au cas où un jour la romance viendrait frapper à ma porte. Mais peu importent les sacrifices de mes poumons ou les élans de ma volonté, je demeure étrangère à cet environnement. Je ne sais pas comment exister ici. La vingtaine passée, je suis encore une âme inachevée, une conscience en chantier. Respirer ne m’est pas naturel, chaque bouffée d’air est un effort et je peine à comprendre ce que je fais là, pourquoi je suis là. À qui est-ce que j’appartiens ? Où sont les miens ? Je suis née du ventre de ma mère et, quelque part entre le cordon coupé et mes premiers cris, j’ai dû perdre l’amour en chemin. Comme si en quittant cette chambre close et tiède où tout était encore simple, il s’était évaporé, incapable de survivre hors de ce cocon parfait.
On me reproche souvent mon absence, ma réticence, mon détachement. Mon père me dit que je le délaisse, mes amis me soulignent mon indifférence. Pourtant, j’essaie. J’essaie de maintenir cet équilibre, fragile comme un fil de verre. Mais j’ai cette fâcheuse manie de nourrir ma propre détresse, comme si plus je creusais le gouffre, plus je trouvais du réconfort dans son abîme. Peut-être parce qu’il est plus simple de vivre dans la mélancolie que dans l’euphorie. La souffrance, elle, ne demande aucun effort : elle règne, elle persiste, elle s’incruste sans réclamer qu’on la ravive sans cesse. Alors, je ferme les yeux. Pas tant pour fuir l’obscurité que pour éviter la tentation de la lumière. Parce qu’il y a quelque chose de terrifiant dans la splendeur des étoiles : une promesse fragile, un espoir qu’on ne peut qu’échouer à saisir.
J’ai souvent imaginé mon propre organisme s’effondrer. Lentement. Comme une poche vidée, une enveloppe qui se délite sous un poids invisible. Une force insensible, écrasante, qui ne fait pas de différence entre l’inerte et le vivant. Plus de contours. Plus d’identité. Juste un reste, un résidu que le monde oublie en un battement de cil. La peau qui éclate sous le poids d’une puissance écrasante, les os réduits en miettes, broyés comme du verre sous un talon indifférent. Plus rien ne résiste, plus rien ne subsiste. Je pense à cette extinction totale, à ce moment où chaque particule de moi cesserait d’avoir un nom, une place, une histoire. Où il n’y aurait plus ni visage, ni voix, ni empreinte laissée quelque part. Juste un trou béant, un creux, une chose qui a cessé d’être et dont le monde se fout éperdument. Et cette idée me ronge, me brûle les tripes. Je suis une anomalie dans un cosmos qui ne m’a jamais fait de place, un fragment d’existence trop dérisoire pour être compté. Un épiderme qui se débat sans raison contre une disparition déjà écrite.
Mais avant d’être ce corps de femme trop conscient de son tourment, j’ai été l’enfant, le bébé de quelqu’un. Et si je ne me souviens plus de la plupart de ces jours lumineux, je garde en moi le murmure d’une joie ancienne, d’une vitalité que j’ai égarée en route. Peut-être qu’un jour, j’arriverai à la retrouver. Peut-être qu’un jour, je m’accorderai le droit de la retrouver. Peut-être que ce ne sont que des pensées dictées par la fièvre de mon propre sang, ce tumulte chimique qui, chaque mois, me rend plus vulnérable, plus sensible aux fissures que d’ordinaire j’ignore. Chaque vague de douleur, chaque contraction sourde, c’est comme si mes membres essayaient de me rappeler à l’ordre, de me forcer à ressentir ce que j’ai trop longtemps tenu à distance. Ces jours-là, tout me semble plus brut. Je ne peux plus me mentir, ni prétendre que la dépression ne me ronge pas. Mais parfois, dans cet état second, entre l’épuisement et la lucidité, je crois apercevoir une faille dans l’ombre. Une infime lueur, un reste de chaleur enfoui quelque part sous les décombres. Et si ce n’était pas qu’une illusion ? Si, à la frontière de cette désolation intime, quelque chose pouvait renaître ?
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the-dose-makes-the-poison · 9 months ago
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Song of Autumn
Charles Baudelaire
I
Soon, we shall plunge into the shades of cold;
Farewell, bright summers too quickly passed!
I hear, falling already with funereal shocks,
The wood resounding on cobbled yards.
All of winter will enter my being anew: anger,
Hatred, shivers, horror, to hard work compelled,
And my heart will be, like the sun in its polar hell,
No more than a block of crimson ice.
I hear in trembling each crashing log;
Building a scaffold has no sound more dull.
My spirit is like the tower that falls
To the battering ram and its tireless blows.
It seems to me, lulled by these monotonous shocks,
That one nails in great haste some part of a coffin.
For whom? - Yesterday was summer; now it is autumn!
This mysterious noise announces departure.
II
I love the verdant light of your long, wide eyes,
Sweet beauty, but all today is bitter to me
And nothing, neither your love, nor your room, nor hearth,
Is worth more than the sun streaming over the sea.
And yet, love me, my tender heart. Be mother to me
Even though ungrateful, even unworthy;
Lover or sister, be the ephemeral sweetness
Of a glorious autumn or the setting sun.
Short shift! The gaping tomb awaits!
Ah! Let me rest my head upon your knee
As I deplore the loss of white, hot summers
And taste these final rays of yellow gold.
Translation: © David Paley
Chant d'automne
Charles Baudelaire
I
Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres;
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts!
J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres
Le bois retentissant sur le pavé des cours.
Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère,
Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé,
Et, comme le soleil dans son enfer polaire,
Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé.
J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe
L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd.
Mon esprit est pareil à la tour qui succombe
Sous les coups du bélier infatigable et lourd.
II me semble, bercé par ce choc monotone,
Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part.
Pour qui? - C'était hier l'été; voici l'automne!
Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.
II
J'aime de vos longs yeux la lumière verdâtre,
Douce beauté, mais tout aujourd'hui m'est amer,
Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l'âtre,
Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer.
Et pourtant aimez-moi, tendre cœur! soyez mère,
Même pour un ingrat, même pour un méchant;
Amante ou sœur, soyez la douceur éphémère
D'un glorieux automne ou d'un soleil couchant.
Courte tâche! La tombe attend; elle est avide!
Ah! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,
Goûter, en regrettant l'été blanc et torride,
De l'arrière-saison le rayon jaune et doux!
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selidren · 8 months ago
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Eté 1928 - Champs-les-Sims
1/2
Cher Lucien,
Je suis ravie d'apprendre que tu as un projet. Je ne sais pas vraiment pourquoi, mais je m'étais toujours imaginé Hylewood avec un petit ponton comme il y en a à l'étang près de chez moi. Mais c'est vrai qu'avec en plus un sanatorium qui affiche complet à la belle saison, il semble plus correct que les malades n'aient pas en plus à subir un voyage en barque et de se retrouver avec la moitié de leurs affaires humides ou trempées. C'est une belle idée que tu as eu, et j'espère que tu pourra m'envoyer un cliché une fois que le projet sera réalisé. J'ai bien entendu respecté tes voeux et personne ici n'est au courant à part moi. Je n'en ai même pas parlé à Antoine ni à Ange.
Le voici d'ailleurs sur la photographie jointe. Il est avec Elisabeth, dont on voit bien les tâches de rousseurs. Pardonne moi pour la lumière, mais quand il s'agit de photographier, je ne suis pas aussi douée que ma mère. Le cliché a été pris à peine quelques jours avant que je n'envoie cette lettre, donc il est très fidèle à ce qu'est ma cadette encore aujourd'hui, au moment où tu la découvre. Pour répondre à ta question, elle babille plus qu'elle ne parle, mais Grand-Mère dit qu'elle a rarement connu une petite fille si bavarde.
A ce sujet, non elle ne va pas très bien. Elle est encore assez fatiguée, et le moindre petit refroidissement la cloue au lit pendant des jours. Cependant, ses problèmes de mémoire ne se sont pas aggravés. Mais nous la connaissons tous, elle revient toujours en forme et même au seuil de l'épuisement, elle parvient toujours à se trainer jusqu'à la nursery par la seule force de sa volonté pour me dire que je lange très mal.
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grandboute · 28 days ago
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C'était le Cloue du spectacle à Quingey !
Le festival se poursuit encore demain 31 mai : spectacles, concert, buvette, restauration...
https://www.instagram.com/p/DKSr6vLM_LM/?igsh=Z2x5NzM5OXp4MDJo
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flowgninthgil · 1 year ago
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Tu parles de moi quand je suis pas là
Bébé tu fais comme tout Paname
Les ch'veux blonds, la gueule en bataille
Cramée comme Hannah Montana
Dans la rue personne me cala
Les yeux rouges et le teint blafard
J'ai foutu l'bordel dans Paname
J'ai tout foutu par terre
J'te connaissais par cœur
T'es plus rien qu'un larsen
Au loin dans mon Master
Est-ce que j'en vaut la peine
Au milieu des acteurs
J'ai la rage dans l'artère
Et la classe qui tape l'œil
Tu vois
Moi je brise tout ce que je tiens
Attrape l'air avec tes mains
Il s'envolera au matin
Et c'est pas si grave que ça
Fais des doigts aux corbillards
À la nuit, à nos histoires
Même si il nous reste plus qu'ça
Moi je m'en tape, tape, tape, tape
De tous les rêves qu'on enterre
De tous les rêves qu'on enterre
Tant que tu gardes, gardes, gardes, gardes
Un sourire au coin des lèvres
Un sourire au coin des lèvres
S'il est trop tard, tard, tard, tard
Oh bébé rempli mon verre
Oh bébé rempli mon verre
Moi je m'en tape, tape, tape, tape
De tous les rêves qu'on enterre
De tous les rêves qu'on enterre
Ma gueule en grand sur une affiche
Tout mes copains ils sont partis
Fuck un taf fuck une vie d'artiste
J'me paye ta tête, tu payes ma tise
Putain mais pourquoi t'es parti
Putain mais pourquoi ça m'attire
J'ai dis fuck la thune dans mes sons
J'ai louché devant les tarifs
Ces bails ça monte à la tête
J'suis comme tout le monde j'suis contradictoire
Guette sur scène je cloue des becs
Pendant qu'je fais tomber des mâchoires
J'te promets qu'j'en vaut la peine
J'suis comme tout le monde j'me suis faite avoir
Guette sur scène je cloue des becs
Pendant qu'je fais tomber des mâchoires
Comme Hannah Montana
J'ouvre un magasin de larmes
Des paroles à code barre
De l'amour à feedback
Des tas de traces et du tabac
Les cheveux tâchés d'états d'âmes
Si demain j'me taya
Dis moi qui va lâcher sa larme
Moi je m'en tape, tape, tape, tape
De tous les rêves qu'on enterre
De tous les rêves qu'on enterre
Tant que tu gardes, gardes, gardes, gardes
Un sourire au coin des lèvres
Un sourire au coin des lèvres
S'il est trop tard, tard, tard, tard
Oh bébé rempli mon verre
Oh bébé rempli mon verre
Moi je m'en tape, tape, tape, tape
De tous les rêves qu'on enterre
De tous les rêves qu'on enterre
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papillondusublime · 8 months ago
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I Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres ; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts ! J’entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours. Tout l’hiver va rentrer dans mon être : colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon coeur ne sera plus qu’un bloc rouge et glacé. J’écoute en frémissant chaque bûche qui tombe ; L’échafaud qu’on bâtit n’a pas d’écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du bélier infatigable et lourd. Il me semble, bercé par ce choc monotone, Qu’on cloue en grande hâte un cercueil quelque part. Pour qui ? – C’était hier l’été ; voici l’automne ! Ce bruit mystérieux sonne comme un départ. II J’aime de vos longs yeux la lumière verdâtre, Douce beauté, mais tout aujourd’hui m’est amer, Et rien, ni votre amour, ni le boudoir, ni l’âtre, Ne me vaut le soleil rayonnant sur la mer. Et pourtant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère, Même pour un ingrat, même pour un méchant ; Amante ou soeur, soyez la douceur éphémère D’un glorieux automne ou d’un soleil couchant. Courte tâche ! La tombe attend ; elle est avide ! Ah ! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux, Goûter, en regrettant l’été blanc et torride, De l’arrière-saison le rayon jaune et doux ! -"Chant d'automne", Charles Baudelaire
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badaceattorney · 9 months ago
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Cross Examination themes!
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kiki-de-la-petite-flaque · 9 months ago
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Chant d'automne Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres; Adieu, vive clarté de nos étés trop courts! J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres Le bois retentissant sur le pavé des cours. Tout l'hiver va rentrer dans mon être: colère, Haine, frissons, horreur, labeur dur et forcé, Et, comme le soleil dans son enfer polaire, Mon cœur ne sera plus qu'un bloc rouge et glacé. J'écoute en frémissant chaque bûche qui tombe L'échafaud qu'on bâtit n'a pas d'écho plus sourd. Mon esprit est pareil à la tour qui succombe Sous les coups du bélier infatigable et lourd. II me semble, bercé par ce choc monotone, Qu'on cloue en grande hâte un cercueil quelque part. Pour qui? - C'était hier l'été; voici l'automne! Ce bruit mystérieux sonne comme un départ.
- Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal
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lumashoes · 10 months ago
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straight up detecting it. and by it i mean. the cloues
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timetraveltasting · 1 year ago
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FARTS OF PORTINGALE (c. 1597)
Yes, farts. No, not that kind. I cooked another historical dish from Tasting History this weekend: Farts of Portingale, meatballs that were likely eaten during intermissions of Shakespeare's plays in 16th Century England, recipe c. 1597. See Max's video on how to make it here (and to find out why they are called farts!) or see the ingredients and process at the end of this post, sourced from the Youtube description of the video.
My experience making it:
I made a couple changes from the recipe below: I used lamb instead of mutton, I omitted the currants (I worried that using both dates and currants would make the dish too sweet, like Sweet Measure!), and I added some peppercorn gravy, because Max mentions that they may have added sauces to it, but we're not entirely sure, and I think meatballs in general usually go well with a sauce.
The process of making it was a little pain-staking, but only because I couldn't source any minced lamb, and as a result, I had to 'mince' it myself by making fine cuts with my knife (I don't have a food processor or blender). Otherwise, the recipe would probably take only 20 minutes to make, but it took me about 2 hours of mostly mincing! The farts, once balled up, stayed together pretty well while boiling, only losing a couple pieces of dates from their outsides. Despite being boiled, the farts developed a nice outer coating similar to frying, like Max mentioned. I was super happy that they turned out well and looked very similar to Max's, minus the lack of currants.
My experience tasting it:
My husband and I tried one meatball without gravy in order to see how they taste on their own first. Max describes Farts of Portingale as having a slightly Christmas-y taste; mine had only hints of a Christmas-y taste, likely from the cloves. The seasoning was lovely and unlike anything I've tasted before, but reminiscent of a pot-roast-style seasoning. The lamb was a little on the chewy side, but I suppose this could be due to my sub-par mincing skills. I will probably try making this with beef mince next time so that I won't have to mince it myself.
We then poured our peppercorn gravy over the farts. This made all the difference! The farts' seasoning really came alive, the dates inside them balanced out the peppercorn gravy perfectly, and the heat of the mace really came out as we continued eating. This gravy doesn't normal linger with spice, but the mace from the farts definitely did. My husband and I both loved the dish and will definitely make it again - I've added it to my recipe book. Next time, I will definitely use beef mince though, turning this into a nice, quick weeknight dinner option. Definitely our favourite recipe so far. If you end up making it, if you liked it, or if you changed anything from the original recipe, do let me know!
Links to harder-to-find ingredients:
Currants
Mace
Clove
Dates
Farts of Portingale original recipe (c. 1597)
Sourced from The Good Huswife’s Handmaide for the Kitchen by Thomas Dawson
How to Make Farts of Portingale Take a peece of a leg of mutton, mince it smal and season it with cloues, mace pepper and salt, and dates minced with currans: then roll it into round rolles, and so into little balles, and so boyle them in a little beefe broth and so serve them foorth.
Modern Recipe
Based on the adaptation from The Past Is A Foreign Pantry and Max Miller's version in his Tasting History video.
Ingredients:
1 lb (450g) leg of mutton or lamb
⅛ tsp cloves
½ tsp mace
½ tsp black pepper
1 tsp salt
⅓ cup (60g) dates
⅓ cup (60g) currants
1 quart (1 L) unsalted beef stock
Method:
Mince the mutton or lamb as fine as possible (almost ground). Then mix in the spices, dates, and currants and form into balls about the size of a golfball.
Heat the beef stock to boiling and drop in the balls. Boil for 6-7 minutes, then remove with a slotted spoon and allow to cool.
Serve them forth.
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