#objectified documentaire
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memorylane-png · 2 years ago
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Top 7 des documentaires sur le design à voir
Top documentaires design – Le design est un domaine passionnant et créatif qui touche à de nombreux aspects de notre vie quotidienne. Que ce soit le graphisme, l’architecture, la mode, le web ou le produit, le design nous inspire, nous émerveille et nous fait réfléchir. Mais comment les designers travaillent-ils ? Quelles sont leurs sources d’inspiration, leurs méthodes, leurs défis ? Quelle est leur vision du monde et de leur métier ?
Pour répondre à ces questions, rien de mieux que de plonger dans l’univers des documentaires sur le design. Ces films nous font découvrir les coulisses du processus créatif, les personnalités et les projets des designers les plus célèbres ou les plus innovants. Ils nous font aussi réfléchir sur le rôle du design dans la société, son impact environnemental, social et culturel.
Si vous êtes curieux de découvrir le monde du design sous un angle différent, voici une sélection de 7 documentaires que vous devez absolument regarder. Et si vous cherchez une agence de design qui saura vous accompagner dans vos projets, n’hésitez pas à contacter 307 Studio, une équipe de professionnels passionnés et expérimentés.
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pauline-lewis · 4 years ago
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I've stopped my dreaming, I won't do too much scheming these days
Au moins une fois par semaine, je me demande ce que je ferais sans le cinéma. Pas la salle de cinéma, qui devient un lointain concept, mais cet espace dans ma télé où se dessinent les imaginaires des autres. J'aime les films sur le moment mais surtout sur le temps long pendant lequel ils infusent et font germer en moi de nouvelles idées. Je réfléchis beaucoup en ce moment à l'idée d'être journaliste-culture, à ce que j'ai mis dans cette notion, à pourquoi je me suis sentie aussi déçue par ce métier, à pourquoi je n'ai jamais voulu "pivoter" pour d'autres sujets plus “rentables” (tout est relatif en 2021), à ce que j'ai fait de ce métier toutes ces années, aux raisons qui font que je veux le laisser derrière moi comme une peau qui se détacherait au fur et à mesure — et dans mes bons moments je vois la caméra de Brian De Palma filmer le corps d'une femme par la lorgnette d’un télescope et tout ce que ce plan fait éclater en moi d’enthousiasmant répond peut-être à ma question. Le travail n'a pas (plus)(de moins en moins) d'importance mais avoir construit une forteresse intérieure faite de films, de disques et de livres m'a donné une raison d'être pendant 15 ans. (j'écrirai plus longuement sur le sujet si le cœur m'en dit, donc rien n'est moins sûr)
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Body Double de Brian De Palma (1984)
La semaine dernière donc, j'ai découvert Body Double de Brian De Palma. Ce que j'ai aimé dans ce film, c'est cette impression que De Palma me menait à la fois exactement où il voulait et que je retournais moi-même complètement son intention en y mettant ma propre lecture, mon propre vécu. J'ai eu l'impression qu'à chaque plan nous discutions, que je lui demandais pourquoi il avait choisi tel ou tel plan et qu'il me répondait en me posant à son tour une question. Avec entre nous deux, un point commun qui nous a mis d'accord tout au long du film : un amour infini et indiscutable pour l'œuvre d'Hitchcock et particulièrement pour Vertigo, dont Body Double est une relecture passionnante. (et bien plus que ça à mes yeux)
Si vous regardez le film avec un regard féministe, il vous fera certainement un peu peur. Voyez le pitch : un acteur qui vient d'être viré d'un film de vampire à cause de sa claustrophobie (l'équivalent du vertige de Vertigo, donc) découvre que sa petite amie le trompe. Il est au fond du trou à boire sa tristesse quand un nouvel ami lui propose de garder la maison d'un homme riche qui a juste besoin qu'on arrose ses plantes. La maison a tout d'un bachelor pad hyper luxueux, avec ses meubles noirs et sa vue plongeante sur la skyline. Et il n'y a pas que ça. L'ami du héros lui montre le véritable avantage de ce logement : une longue vue qui lui permet d'observer une voisine qui chaque soir se lance dans une danse lascive. Chaque soir, à la même heure.
Est-ce que notre héros trouve cela bizarre ? Pas du tout ! Il note le rendez-vous dans son petit agenda et le soir venu il s'installe au télescope pour observer sa voisine, tandis que résonne dans nos oreilles la sublime bande-son de Pino Donaggio. Un vrai soft porn à portée de regard. Sauf qu'un soir (c'est là que Body Double rejoint un autre film d'Hitchcock, Rear Window), il est témoin d'une scène troublante. Il va se mettre à suivre sa voisine, et les frontières entre la réalité et la fiction vont devenir très fines.
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Body Double joue sans cesse avec ce que nous croyons voir. Qui est cette femme qui danse ? Qui est le pervers dans ce film ? Pourquoi le héros se croit au-delà de tout soupçon alors même qu'il était prêt à épier une femme chaque soir ? De Palma réfléchit à chaque scène à son regard de réalisateur, à sa façon de filmer le corps des femmes, anonyme, simple objet de désir (lorsqu'il se montre objectifiant le corps dansant de la jeune femme, avec ces plans qui alternent le point de vue du voyeur et le point de vue de la longue vue, comme une deuxième caméra). À quel point la fiction peut-elle se jouer de nous ? Dans une scène brillante, il filme un baiser tout en musique lyrique et en caméra tournoyante pour nous montrer qu'il n'y a rien de plus simple que d'enrober une agression sexuelle en une superbe scène de cinéma. La figure du monstre traverse d'ailleurs le film : que ce soit le vampire (que le héros réussira finalement à incarner) ou l'"indien". Qui est le monstre et qui est l'homme ? Qui est le prédateur et qui est le chevalier servant ?
En cela, j'ai vraiment lu Body Double comme un film sur le male gaze. Une réflexion profonde qui nous emmène parfois dans des recoins qui nous mettent mal à l'aise en faisant jouer notre propre désir de spectateur·trice.
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Grace and Frankie
Dans ma série "les histoires d'amitié" (c'est comme si je travaillais sur ce sujet, c'est fou), j'ai commencé à regarder Grace and Frankie, qui m'intéressait d'autant plus que je m'étais entichée de Jane Fonda après avoir vu récemment Nine to Five et Barefoot in the Park.
La série raconte l'histoire de deux femmes qui se retrouvent coincées ensemble malgré elles dans leur luxueuse résidence secondaire (désormais ma maison de rêve) après avoir appris que leurs maris les quittaient pour vivre leur amour au grand jour. Les deux femmes sont très différentes : Grace est plutôt réservée, très bourgeoise, elle accorde une importance capitale à la bienséance et aux apparences. Et elle est plutôt de droite, on ne va pas se mentir. Frankie à l'inverse est un esprit libre (de gauche), une artiste dans l'âme qui n'hésite pas à étaler ses sentiments, à s'habiller comme une étudiante en L1 de Socio à la fac Segalen de Brest circa 2007 et à exprimer toute son excentricité. Ensemble, elles vont apprendre à s'apprivoiser et vont se faire évoluer. Grace va aider Frankie à surmonter ses angoisses et son attachement à son ex-mari et Frankie va aider Grace à se libérer des carcans de sa classe sociale et à exprimer ses émotions et sa créativité.
La série, co-créée par Marta Kauffman, fonctionne surtout pour le duo formé par Lily Tomlin et Jane Fonda. Le hasard du calendrier fait que j'avais vu très récemment Nine to Five, un film de 1980 (réalisé par Colin Higgins) dont elles partagent l'affiche avec la formidable Dolly Parton et qui raconte l'histoire de trois collègues de bureau qui imaginent comment se débarrasser de leur patron misogyne. Malgré elles, elles se retrouvent à le séquestrer et prennent, en son nom, plein de décisions qui vont améliorer la vie des employé·es de son entreprise. (j'aurais mieux aimé qu'elles lancent une révolution et fassent cramer leur boîte mais que voulez-vous on fait avec ce qu’on nous donne)
Bref, un peu comme Parks and Recreation, Grace and Frankie est mon petit moment de bonheur du moment, parce que voir deux femmes de plus de soixante-dix ans parler de masturbation et d'amitié, c'est rare et, il faut le dire, assez jubilatoire. Bonus pour la vue sur la mer et la petite terrasse sur le sable.
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De mon plein gré de Mathilde Forget (Grasset)
Je me souviens très bien de la découverte de À la demande d'un tiers de Mathilde Forget, de l'impression très forte que son écriture m'avait laissée et des émotions fortes qui s’en dégageaient. C'était un livre plein de sentiments, de phrases profondes, de questionnements, un livre qui (comme le nouveau) travaillait avec lea lecteur·trice. C'était aussi un texte plein de zones d'ombres, qui explorait parfois des pistes qu'il abandonnait, qui ne forçait jamais d’interprétation ou de réponse. Un livre comme je les aime.
Quand j'ai écouté la série documentaire de Clémence Allezard sur le viol (disponible par ici), j'ai été très émue d'entendre Mathilde Forget témoigner. À un moment elle y lit cet extrait de Léonora Miano, et la force et l’émotion de sa voix me reviennent souvent en mémoire : "On ne se fait pas violer On ne se fait pas On ne se fait pas On ne se fait pas violer on est violée on est on est on est violée on ne se fait rien on est C’est l’autre qui fait Le viol c’est l’autre qui le fait".
Et puis j'ai reçu ce livre, De mon plein gré, paru aux éditions Grasset à la fin du mois de mars. C'est un texte écrit à la première personne qui raconte l'histoire d'une femme qui se rend au commissariat parce qu'elle vient d'être violée. Le récit entremêle les questions intrusives des policiers, les pensées de la narratrice qui se rattache à tous les détails qui lui permettent de survivre (ses ongles, son jean) et les souvenirs d’un passé qu’elle essaie de reconstituer comme un puzzle. C'est un roman policier qui ne connaît jamais de fin, c'est l'histoire d'une histoire qui veut être racontée mais qui est empêchée par des questions déplacées, c'est l'histoire d'une société qui ne sait pas, qui ne pense pas, qui ne montre pas le viol. Et d'une femme qui doit faire récit malgré tout. À tout prix. C’est un livre qu’il faut lire parce qu’il est important, qu’il est parfois bizarrement drôle, parfois dérangeant, parfois difficile mais qu’il est toujours nécessaire, à chaque mot, à chaque phrase, à chaque espace, à chaque silence qu’il fait naître en nous à la lecture.
(Sans transition, j’écoute beaucoup cette chanson en ce moment. Thank God for Stephen Sondheim)
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paullofeodo · 6 years ago
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Araki, le regard masculin et l’expérience vicaire de la sexualité
Je pense que j’ai enfin compris pourquoi j’aime Araki.
Araki Nobuyoshi fait toujours des images qui flottent entre, ou peut-être pardessus, les deux mondes de l’art et la pornographie. Il fait des images flagrantes dans leur sexualité, des images qui objectifient les femmes, qui porte un regard masculin presque féroce dans sa gourmandise.
Mais il a aussi fait des images tout à fait douces dans leur ardeur, quand il photographiait sa femme par exemple.
Je me suis toujours senti un peu mal d’aimer ce qu’il fait, je me sentait sal par association honnêtement, comme si moi aussi j’appliquait un regard masculin que je n’applique jamais en vrai vie.
Et à le voir fair un shooting, de voir la façon q’il touche les femmes, qu’il est si enthousiaste de les faire se dévoiler, c’est malaisant de voir à quel point il pousse la note.
J’ai regarder un documentaire sur lui aujourd’hui, Arakimentari, qui m’a fait voir son processus malaisant, mais aussi son intelligence, sa vulnérabilité, son immaturité.
Araki parle souvent au femmes comme si il y avait de la pression de coucher ensemble, mais, je vois aussi un certain ton jovial. Il y avait une fille qui a dit qu’Araki lui avait demandé de dire qu’ils avait couché ensemble, même si ce n’était pas le cas. Je vois que son appétit visuel n’est pas équivalent à sa capacité d’action. J’ai l’ai aussi entendu dire, Araki, qu’un homme devrait garder les sentiments des tristesse à l’intérieure.
Considérant ceci et son amour pour sa femme, je commence à voir la photo comme une expérience vicaire pour lui. En fait, il cherche une façon d’exprimer (en action) de l’affection et de la sexualité, comme il le pouvait avec sa femme.
Je vois aussi ça dans son habitude de peindre sur ses images. Il disait que c’était une façon d’auto-censurer ses images avant que le gouvernement le fasse, donc une façon de s’offrir une marge de contrôle. Mais il donne aussi l’impression qu’une fois qu’il l’a fait, il a tout de suite vu l’analogie du sperm, et il fallait poursuivre ça.
Et je vois ça dans son travail.
Je vois le regard photographique comme une expérience vicaire d’un sexualité de tendresse ardente, pour empêcher de sentir la douleur.
Et je crois que c’est une des raison, ou peut-être la raison, pourquoi j’aime son travail. En fait, je me vois là dedans. Un peu.
J’ai réalisé récemment que j’ai quand même des problèmes d’intimité autant que d’acceptation de ma sexualité. De plus, mon expérience de la sexualité est complètement vicaire. Donc son imagerie, correspond à mon expérience. Je me vois dans son regard en fait.
Ayant dit tout cela, il faut que je dise que c’est aussi immature de confondre absolument la tendresse de l’amour et faire l’amour. Cette expérience vicaire ne doit pas absolument centré la sexualité. De plus, en centrant la sexualité comme ça, il néglige un engagement avec la modèle autre en tant qu’objet sexuel, une sorte de crime à mon avis. Donc, il est super problématique, mais je sens une certaine affinité avec son expérience vicaire, je ressent une possibilité d’y recevoir quelque chose d’important en rapport avec mon expérience.
Cet aspect problématique provient surement du fait qu’il photographie de la porno aussi. Ses images désintègre les distinctions entre art et pornographie. C’est super bien d’une part, parce qu’il défait les distinctions. Mais c’est aussi un peu dégueu le regard pornographique…
C’est une erreur d’utiliser le regard sexuel pour exprimer l’affection.
Something being ‘empowering’ isn’t the same as empowerment.
Le travail d’Araki agit de façon double. Pour les modèles que j’ai vue dans le documentaire, il y en avait une par example, qui voulais vraiment vraiment être sexy, et Araki lui donnait ça. Pour elle, c’était empowering. Elle en à gagner quelque chose. Mais le travail objectifis aussi.
De façon personnelle les modèles peuvent en gagner quelque chose, mais aussi, de façon publique, elles perdent leur personne à la fantaisie d’Araki.
J’aimerait bien avoir un regard aussi libre que le sien, aussi monstrueux… Mais je ressent le mal qu’un tel plaisir peux causer, non seulement à une personne mais dans un ordre symbolique…
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societeaffaires · 7 years ago
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Le documentaire Design Canada, du réalisateur Greg Durrell, présenté jusqu'au 4 juillet prochain, porte sur ce qui définit une identité nationale. 
Qu'est-ce qui définit le Canada? Un hymne, un drapeau, un emblème? Comment ces éléments façonnent-ils ce que nous sommes? En utilisant le design pour unifier le pays, un groupe de concepteurs canadiens s'est intéressé à ces questions dans les années 60 et 70.
Produit par Gary Hustwit à qui l’on doit les films Helvetica, Objectified  et Urbanized, Design Canada réunit les témoignages des créateurs Burton Kramer (logo de Radio-Canada/CBC), Heather Cooper (logo de la marque Roots), Stuart Ash (emblème du pays lors des célébrations du centenaire en 1967), Fritz Gottschalk (logo de la Banque Royale), Hans Kleefeld (logos de la marque Tim Horton’s, d’Air Canada et de la Banque de Montréal) et Rolf Hader (logo du Grand Prix de F1 Montréal à sa naissance).
Le documentaire débute avec l'adoption du nouveau design du drapeau canadien en 1965, puis présente l'historique des grands logos inspirés de ce dernier.
Le réalisateur Greg Durrell, de Vancouver, a pris plusieurs années à mettre sur pied ce projet, possible notamment grâce au sociofinancement de Kickstarter. 
Selon Julie Royer, designer indépendante et chargée de cours au baccalauréat en design graphique de l’École de design de l’Université Laval, qui a vu le film en avant-première, la prémisse de celui-ci est fascinante en soi et permet de découvrir les concepteurs des logos ayant marqué l'histoire du design de logos canadiens. «Ce que le réalisateur a constaté, c'est que les Canadiens parlent beaucoup de design graphique, mais que peu connaissent les créateurs derrière tout le mouvement de conception de logos, souligne-t-elle. Ces gens vieillissent et il trouvait important qu'ils ne sombrent pas dans l'oubli avant d'avoir pu nous léguer leur histoire.»
Le film relate donc les grands moments canadiens qui ont marqué le pays, dont l'Expo 67 et les Olympiques. Une bonne partie du film s'attarde donc au Québec, sans tomber toutefois dans le patriotisme. «Le réalisateur a présenté les grandes marques qui ont laissé des empreintes et qui sont toujours vivantes aujourd'hui comme la banque TD, la Banque de Montréal, Laurentienne, le CN.»
Julie Royer a été également frappée par l'origine des gens qui sont à la base de l'identité du Canada. «Bon nombre d'entre eux étaient Européens et ont apporté leur savoir à un moment où la société était en développement, précise-t-elle. Ils nous ont légué toute la notion de design international.»
C'est ainsi que le nom des créateurs dans le film sont accompagnés avec leur lieu de naissance. Dans le film, on voit avec  e nom du créateur son lieu de naissance. Par exemple, Fritz Gottschalk, qui a créé le logo de la Banque royale canadienne, est Suisse. 
La question centrale du film était la suivante: Est-ce que les Canadiens ont conçu ces symboles identaires ou est-ce plutôt ces symboles identitaires ont forgé l'identité du Canada? («Did Canadians design those symbols or did these symbols design Canada.») Une question qui reste cependant en suspens.
Une présentation spéciale aura lieu le 29 juin prochain à 19h30 où six acteurs du milieu du design discuteront du film et répondront aux questions du public après la projection:
- Benoit Giguère, président de la Société des designers graphiques du Québec et directeur principal, design, interactivité, expérience usager et directeur création des éditions La Presse; 
- Marc H. Choko, professeur émérite à l’École de design de l’Université du Québec à Montréal, auteur, conférencier et commissaire d’expositions dans le domaine de l’affiche et du design graphique; 
- Ariel Borremans, designer graphique basé à Montréal et délégué avec des groupes impliqués dans la promotion du design comme ICOGRADA et la SDGQ; 
- Julie Royer, designer indépendante et chargée de cours au baccalauréat en design graphique à l’École de design de l’Université Laval; 
- Marc Kandalaft, designer et fondateur de l’agence Rap;
- Sylvain Vicente, un des designers graphiques agréés (DGA) de la toute première cohorte. Il est président et cofondateur de Maître D, une agence de design graphique spécialisée en communication de marque. 
Le film est à l'affiche au Cinéma du parc du 29 juin au 4 juillet.  
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chroniquestherapeutiques · 7 years ago
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"À quoi rêvent les jeunes filles ?", un documentaire d'Ovidie en accès libre
“À quoi rêvent les jeunes filles ?”, un documentaire d’Ovidie en accès libre
Les femmes aussi pensent au sexe, même si le porno mainstream les objectifie et ne leur est pas vraiment destiné. Dans ce documentaire, l’écrivaine, documentariste et ancienne actrice X Ovidie explore le rapport des jeunes femmes à la sexualité.
À quoi rêvent les jeunes filles ?, documentaire 2014, produit par Christophe Nami / Yami…
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colloqueharudem · 8 years ago
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Panel 6
Panel 6 : Violence et images indigestes / Violence and Indigestible Images
Présidente de panel : Marina Merlo
Alexandra Gasbarrino University of Guelph Alexandra Gasbarrino has just completed the graduate program at the University of Guelph in Art History and Visual Culture, and officially received her Master's degree in June. Her thesis explores the work of German artist Anselm Kiefer and is titled "Out of the Darkness: Creating New Contexts of Meaning in Anselm Kiefer's Citation of Nazi History." She analyzes Kiefer's use of performativity, citation, and allegory to examine the efficacy of his art in intervening on the visual and semiotic infrastructure of the Nazi past.
Indigestible Images. Nazi Aesthetics, Anselm Kiefer, and Representations of the Holocaust I will begin my discussion of Nazi aesthetics and Holocaust art by examining the cultural poaching and theft of various visual elements by the Third Reich. I will then explore the potentially non-existent nature of a Nazi-specific aesthetic, and how this concept is translated in the paintings of German artist Anselm Kiefer and the historical “afterimages” of Jewish artists whose artworks survived the concentration camps. I will be addressing the following questions: Is it possible to reconcile the nuanced satire of Kiefer’s work with the explicit horror depicted by victims of the Holocaust? What is the role of the spectator in the reception and interpretation of such sensitive material? What directs our understanding of such indigestible images, and how do we as viewers ultimately come to terms with Holocaust art and the history that has been transformed before our eyes – not only by the artist, but by our own consumption of the image?
Tamara J. Mason
Temple University The current research of Tamara J. Mason centers on ideas of “blackness” or “otherness” as seen through a seventeenth and eighteenth century European lens. As the height of the slave trade reached its zenith, interactions between Europeans and Sub-Saharan Africans became more frequent which resulted in more thorough documentation of these encounters. Through her research, she explores the interactions as expressed in seventeenth and eighteenth century art and the possible reception it had on its audience.
Between the Lines, Beyond the Image: Subversive Subjectivity of the Black Female Form in Thomas Stothard’s "Sable Venus" In the guise of the classical Greek goddess, Venus, Thomas Stothard’s��Sable Venus (1793) challenges the familiar trope by presenting her as a black figure. Printed alongside the 1763 poem “Voyage of the Sable Venus” by Isaac Teale in the book The History, Civil and Commercial of the British Colonies by Bryan Edwards in 1794, Stothard’s Sable Venus illustrated the transportation of female slaves from Africa to the New World. The realities of the trade are elided, projecting instead a positive image of the trade to mainland Britain.  Despite its context within the pages of Edward’s book, the Sable Venus is more ambiguous in its presentation of objectification. In my essay, I explore depictions of the black female form through the lens of an objectifying European male gaze to investigate how the presumed audiences would have interpreted this fascinating multi-layered consumable good of book, poem, image, and black female body.
Julie Martin Université Toulouse Jean Jaurès Directrice artistique de la Plateforme d’Art de Muret de 2009 à 2015, Julie Martin est doctorante contractuelle depuis 2015. Elle réalise une thèse intitulée « La fabrique et la réception des images artistiques à dimension documentaire à l’ère des flux » sous la direction de Christine Buignet. Elle est également commissaire d’exposition et critique d’art.
Pléthore d’images de guerre et la nécessité de voir le cadre : Embedded (2001) de David Birkin Dans Embedded, l’artiste David Birkin s’approprie des photographies de guerre dont il perturbe le code en y insérant le nom des victimes des événements évoqués. Cette modification du script provoque des glitchs qui altèrent la représentation. Nous examinerons comment l’œuvre vient souligner l’anonymisation des victimes et l’uniformisation des faits, engendrées par la capture et la diffusion photographiques. En effet, si les images sont accessibles par leur nature multipliable, tout déplacement provoque une rupture qui en biaise la compréhension. Birkin pointe alors la nécessité d’explorer ce que Judith Butler nomme « le cadre » des images. Au-delà du cadrage, le terme désigne les contextes successifs qui orientent la compréhension des photographies. Car de sa production à ses diverses réceptions, l’image embarque (embed) des enjeux politiques et sociaux différents, souvent imperceptibles, qu’il convient pourtant d’identifier puisque ceux-ci astreignent son interprétation. La consommation d’images par l’artiste devient ici le moyen de renouveler celle du spectateur.
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ivomennenscmd1d · 8 years ago
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Week 6 DR
Overzicht van theorieën, ideeën en voorbeelden te gebruiken in artikelen:
Bronnen en voorbeelden: - Documentaire objectified - Theorie van Marshall McLuhan - Scriptie Mark van den Heuvel  http://www.egbg.nl/artikelen/Nederlands/Tegenscript/2008-01_scriptie_MarkvandenHeuvel.pdf - Interview met Erik Sleijpen
Ideeën: - Het maken van een design dat aantrekkelijk is en inhoudelijk goed is. Het uiterlijk moet de inhoud versterken. Mensen tot denken zetten. Meningen en discussies oproepen. - Gebruik van social media, vormt gemeenschappen door middel van meningen en discussies. - Het vormen van een eigen visie - Het verbreden van je referentiekader - Onderzoek doen - Richting durven geven en mee durven denken - Feedback vragen
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