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Venceremos !
F. Gaudichaud, Expériences chiliennes du pouvoir populaire, Syllepse éd.
#chili#gaudichaud#auteur#syllepse#editeur#venceremos#popular power#peuple chilien#chilian people#pablo abufom silva#franck gaudichaud
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Deux fils de l'ancien leader mapuche du CAM Víctor Ancalaf condamnés à la prison à vie pour le meurtre présumé d'un policier chilien
Dans l'après-midi du jeudi 2 janvier 2025, le Tribunal Pénal d'Angol a rendu un verdict de culpabilité contre les frères Matías et Heriberto Ancalaf, ainsi que contre Rodrigo Calabrano, comme auteurs du meurtre des Carabineros. Sergent Francisco Benavides. Le verdict sera annoncé le 21 janvier.
Les événements remontent à mai 2021 lors d'un incident confus à Collipulli. Il convient de noter que ce procès était entaché d'irrégularités dès le départ, le défenseur public n'ayant pas voulu fournir de nouvelles preuves juridiques pour assurer une défense optimale contre une accusation aussi grave.
De même, le témoin clé de cette accusation ne s’est pas présenté personnellement au tribunal et le procureur a seulement soumis une déclaration écrite, qui a été lue par lui et acceptée comme telle par le tribunal. l'un des éléments de preuve essentiels pour rendre un verdict de culpabilité, ce qui n'est manifestement pas conforme à la loi, violant le droit à une procédure régulière de l'accusé face à une accusation aussi grave. Poursuivant avec les vices, ils ont été reconnus coupables de tir injustifié et de possession illégale d'une arme à feu, mais la procédure du parquet n'a pu prouver qu'une arme artisanale non adaptée au tir dans la maison de l'un des accusés, n'ayant pas été prouvée par un expert ou preuves scientifiques. ce crime. Les trois accusés Peñi ont donc été condamnés, car aucun type d'arme n'a été trouvé au cours du processus judiciaire qui soit lié au calibre de l'impact que le policier a reçu, causant sa mort.
Les trois peñi ont également été reconnus coupables de trouble à l'ordre public. Pour Matías Ancalaf, le ministère public a requis la réclusion criminelle à perpétuité pour le délit d'homicide contre un policier en service actif ; trois ans et un jour pour tir injustifié ; trois ans et un jour pour possession illégale d'une arme à feu et 300 jours pour trouble à l'ordre public.
Pour Heriberto Ancalaf, le parquet a requis 20 ans de prison pour le meurtre d'un policier dans l'exercice de ses fonctions ; 3 ans et un jour pour possession illégale d'une arme à feu et 300 jours pour trouble à l'ordre public.
Pour Rodrigo Calabrano, le parquet a requis 20 ans de prison pour le meurtre d'un policier dans l'exercice de ses fonctions ; 3 ans et un jour pour tir injustifié ; 3 ans et un jour pour possession illégale d'une arme à feu et 300 jours pour trouble à l'ordre public.
Concernant la sentence, Lonko Víctor Queipul a remis en question le rôle joué par le témoin clé du Procureur et a souligné l'innocence du condamné Peñi. Interrogée sur cette sentence, la défense a déclaré qu'elle ferait appel devant des tribunaux supérieurs pour faire annuler ce procès en raison des graves défauts présentés par le parquet et du manque de preuves pour prouver la participation des trois accusés.
Il ne fait aucun doute que la loi pénale de l’ennemi intervient une fois de plus dans les affaires contre le peuple Mapuche.
Pour les prisonniers politiques mapuches d'Angol.
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Il n'est pas d'usage au Chili d'enlever ses chaussures en entrant dans une maison, même si l'extérieur est humide et sale
Les Chiliens n'attachent pas d'importance à l'endroit où s'asseoir, même sur une chaise, même par terre. Ils sont probablement paresseux pour attendre et attendre, il est donc plus facile de s'asseoir sur l'asphalte.
Environ les deux tiers des Chiliens sont catholiques. Les autres sont des adeptes des religions indiennes traditionnelles.
Le sport le plus populaire au Chili est le football. Cependant, les rassemblements et les manifestations ne sont pas moins populaires ici.
La tribu indienne mapuche, qui vit sur le territoire chilien, maintient toujours son indépendance vis-à-vis de tous, y compris du gouvernement chilien.
Il fait très froid dans le sud du Chili. Même les phoques et les pingouins vivent ici.
Le Chili comprend la mystérieuse île de Pâques, où se trouvent des idoles de pierre connues du monde entier, dont l'origine est encore à l'étude. La population indigène de l'île, le peuple Rapanui, vit exclusivement grâce au tourisme.
Au Chili, il y a l'endroit le plus écologiquement propre sur terre - la Patagonie.
Le Chili est le seul pays d'Amérique du Sud où les serpents venimeux ne vivent pas.
Les Chiliens aiment beaucoup s'embrasser. Ils s'embrassent toujours sur la joue pour se saluer et se dire au revoir, même si la conversation dure plusieurs minutes.
Les Chiliens considèrent leur patrie comme le pays des poètes. Parmi leurs auteurs préférés figurent Pablo Neruda, Nicanor Parra, Gabriela Mistral.
La poétesse chilienne Gabriela Mistral a remporté le prix Nobel en 1945. Elle est représentée sur le billet de 5 000 pesos.
#voyage#lesvues#pays#apprendlemonde#temps#bonjourvoyage#repos#joie#plaisir#environnementinconnu#faitsintéressants#finaguide
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★ 25 août 2023 > bit.ly/hobo-25aout2023

★ Les nouveautés de nos éditrices et éditeurs sorties le 25 août 2023 > bit.ly/hobo-25aout2023
ANONYMES, Appel, Divergences
Juan CHINGO, La victoire était possible, Communard.e.s
Tom THOMAS, En finir avec les nationalismes, Éditions Critiques
Robert KURZ, La Montée aux cieux de l’argent, Crise & Critique
Claire RICHARD, La Santé communautaire : une autre politique du soin, 369 éditions
Henry MINTZBERG, Gestion des soins de santé, Somme toute
Stéphane BOYER, Des quartiers sans voitures, Somme toute
Jean-Marc RAYNAUD, Faits d’hiver et crises de foi, Éditions libertaires
Pierre KROPOTKINE, Paroles d'un révolté, Nada
Eugénia PALIERAKI, Naissance d'une révolution, Terres de Feu
Jean-François FAYET, Karl Radek, Smolny
Namdeo DHASAL, Un flot de sang, L’Asymétrie
Minnie Bruce PRATT, il/le, Blast
Maria CAMPBELL, Métisse, Dépaysage
George Bernard SHAW, Cashel Byron, Lapidaires
Lucien JEAN, L’Homme tombé dans un fossé, Lapidaires
Christian DU BREUIL, Melancolia, Ravin bleu
Jackie WANG, Le Tournesol, Éditions du commun
Monica JORNET, Feuilles volantes, Éditions libertaires
Siegfried WÜRTZ, V comme Vertigo, Le Murmure
Monica CORRADO, La Fondation suisse à la Cité universitaire, L’Oeil d’Or
Nathalie SIMONSSON, Le livre le plus important du monde, Goater
Jean-Pierre DUCRET, La Révolution russe en Ukraine, tome 2, Éditions libertaires
Collectif, N'autre école N°21, Questions de classe(s)
« Peuple, conscience, fusil, MIR ! MIR ! MIR ! » Avant son anéantissement par le coup d’État de Pinochet le 11 septembre 1973, le Chili a vécu une révolution sociale hors du commun. L’histoire d’une génération militante se dessine… ancrage dans les quartiers, recours à la violence ou rapport aux institutions : autant de questions stratégiques clés qui demeurent pertinentes, un demi-siècle plus tard, alors que le Chili connaît de nouveaux soulèvements populaires. Eugénia Palieraki, Naissance d'une révolution - Histoire critique du MIR chilien, terres de Feu.
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C’est aujourd’hui le retour à Santiago. Après le petit déjeuner nous finissons de faire nos sacs, rendons les clefs de la chambre, faisons le plein et direction l’aéroport. L’atmosphère est spéciale sur le trajet. Nous sommes impatients de rentrer, de tous vous retrouver, de retrouver notre chez nous avec nos animaux, mais nous sommes déjà nostalgiques de cet endroit, de ce pays, de cette culture. Malgré qu’il nous restera encore un jour à Santiago c’est comme si les vacances étaient déjà terminée. Nous arrivons à l’aéroport, déposons la voiture et nous rendons au guichet d’enregistrement . Une fois nos bagages déposés, nous attentons dans le hall de l’aéroport. La salle d’embarquement étant très petite, nous passerons la sécurité quelques minutes avant d’embarquer dans l’avion. Nous décollons à l’heure et sommes partis pour 1h30 de vol. Le service commence et soulagement pour Stefano… il peut enfin avoir son thé à bord, contrairement aux deux vols précédents 😂☕️14h40 nous atterrissons. Nous débarquons à la même porte que lorsque nous sommes arrivés de Calama, une des plus éloignées des tapis à bagages. Après une bonne petite marche nous récupérons nos affaires et allons prendre le bus pour le centre ville. Nous n’avons toujours pas de chambre pour la nuit. Nous avons checké les hôtels proches du terminal de bus et irons voir à notre arrivée s’ils leur restent des chambres. Premier hôtel une chambre est dispo et la réceptionniste est très correcte, elle nous indique le prix puis nous propose de passer par Booking car se sera meilleur marché 👍🏼 nous récupérons notre chambre et filons à la “estación central”, quand même voir à quoi ressemble les trains chiliens 🚂 ! Il n’y a vraiment pas beaucoup de lignes de chemin de fer au Chili…les trains au départ de Santiago ne desservent que quelques ville dans les alentours. Mais plutôt bonne surprise ils ont l’air assez moderne et il y a l’air d’en avoir pas mal. De plus la gare est pleine à craquer, il y a un de ces peuples ! Après le calme des petites villes du sud ça en est presque anxiogène. On ne s’attarde pas trop, de toute façon nous ne pouvons pas accéder aux quais sans billet. Nous prenons le métro est nous rendons dans le premier hôtel où nous avons séjourner il y a deux semaines et demi. Nous devons récupérer une veste que Dan a oublié 😅 ensuite nous trouvons un chouette resto et rentrons gentiment à l’hôtel 😴
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Parce que la culture du mensonge intellectuel et la pratique systématique de la dissimulation des faits les ont corrompus jusqu’à la moelle, les Français vont imparablement disparaître à brève échéance. Et vous savez quoi ? Je m’en réjouis. Je m’en réjouis car ils méritent de boire le lait de chameau jusqu’à la lie, ce peuple de chroniqueurs orgueilleux et de moralistes cathodiques. Ah, elle est belle leur philosophie des Lumières qui condamne le bon sens à l’obscurité éternelle, qui intronise ces droits de l’Homme qui ne sont que les droits de l’Autre, qui cultive un consensus républicain qui n’est que le cache-magouilles d’une corruption et d’un népotisme endémiques. Je crois les Français suffisamment sots et imbus de leur patriotisme de bazar – Tour de France, industrie du luxe, fusée Ariane et francophonie post-coloniale – pour les prédire en burnous, le dos courbé, le cul ouvert, prêt à tout accepter pour garder leur tête sur les épaules. Les Gaulois, les vrais, sont comme les tigres de Tasmanie : agréables à regarder, intéressants à étudier, mais notoirement disparus de la surface de l’Hexagone. Ce qui reste aujourd’hui ? L’engeance issue des testicules des auto-mutilés de 17, des bras levés de juin 40, des pro-FLN, des pacifistes du Viet-Nâm... toute cette merdasserie tout juste bonne à regrouper dans un stade chilien. Et voilà que ces résidus de fond de capote se balancent députés, se proclament gardiens des Beaux Principes, se disent Grand Maître de ceci ou Archevêque de cela. Mettent des légions d’honneur, se donnent des airs. Exigent la parité pour leurs maîtresses redevables. Ils sont les récipiendaires de la somme de toutes les lâchetés, bulle de chiasse qui permet à un activiste pakistanais de “faire France” à la CAF au profit de ses trois épouses, de leurs parents, de quelques cousins et de 9 chiards tous placés en école coranique. Je ne vois plus qu’un aréopage d’ordures manipulant des veaux. Pathétique et triste. (…) Tiens, je vais me resservir un verre de Moulis bientôt chinois.
J.-M. M.
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Cinquante ans après sa sortie, il est temps de (re)lire «Dune»
Etienne Augé — 30 juillet 2015 à 17h54

Détail de l'affiche de «Dune» de David Lynch
Le roman de Frank Herbert reste important pour comprendre notre époque.
Dune, le livre mythique de Frank Herbert, célèbre cette année ses 50 ans. L’occasion de revenir sur un roman visionnaire, qui a engendré de nombreuses adaptations et tentatives cinématographiques, des jeux, des suites plus ou moins réussies, mais surtout dont l’influence a marqué plusieurs générations de lecteurs. S’il est peut-être moins connu que d’autres univers de science fiction comme Star Wars ou Star Trek, Dune est pourtant tout aussi riche et peut-être même encore plus important pour comprendre notre époque.
Frank Herbert, créateur de mondes
Né dans l’Etat de Washington en 1920, Herbert est un libre penseur qui s’intéresse à beaucoup de choses mais assez peu à ses études. Il ne finira pas l’université et deviendra journaliste free-lance, son épouse qui travaille dans la publicité lui permettant d’avoir du temps pour réfléchir à ses projets.
Inspiré par le travail de Carl Jung sur la mythologie, mais aussi par le zen bouddhiste et les romans de science fiction de H.G. Wells, Robert Heinlein ou Jack Vance, Herbert s’inspire d’un reportage sur les dunes de l’Oregon pour commencer son grand œuvre, Dune, l’histoire d’une planète qui produit l’Epice, matière la plus précieuse de l’univers, nécessaire à la navigation interstellaire mais aussi à la transe spirituelle. Il faudra six ans à Herbert pour achever son livre, qui engendrera plusieurs suites d’abord écrites par lui, puis par son fils Brian. Dune recevra en 1966 les deux prix les plus prestigieux de la science-fiction, le Hugo et le Nebula. Ses ventes ont dépassé les 12 millions d’exemplaires, ce qui en fait le best-seller le plus vendu de la science fiction.
Une saga des étoiles
Créer des mondes est fréquent en science-fiction, mais Herbert a imaginé une cosmogonie qui n’a peut-être d’égal que, dans le genre de la fantasy, Tolkien et son Seigneur des anneaux. Dans Dune, plusieurs maisons aristocratiques, certaines remontant à la Grèce antique, se disputent l’Epice, et Herbert décrit ces querelles militaires et diplomatiques complexes en y rajoutant de nombreuses organisations aux intérêts divers comme la CHOM, Compagnie des Honnêtes Ober Marchands, désireuse de contrôler le marché de l’Epice, la Guilde spatiale, qui possède le privilège du transport interstellaire, et surtout le Bene Gesserit, un ordre religieux qui travaille depuis des générations à l’avènement du Kwisatz Haderach, le sauveur-prophète qui dirigera l’univers.
Herbert est précis dans ses descriptions mais jamais pesant. Il introduit également de nombreux personnages féminins forts, dans un genre souvent macho, et invente une science-fiction plus spirituelle qu’attachée au progrès technologique, ce qui le différencie de manière spectaculaire des poids lourds du genre comme Isaac Asimov et ouvre la voie à des auteurs comme Philip K. Dick. Frank Herbert rafraîchit la science fiction en rappelant que le plus important dans le genre reste l’imaginaire, et souligne que «science sans conscience n’est que ruine de l’âme». Il remet l’homme au centre du récit de science-fiction au détriment de la machine, qui reprend sa place accessoire.
Le meilleur film de l’univers

Un flyer pour le Dune de Jodorowsky, signé Mœbius. (Via Wikimedia Commons).
Cet aspect hautement spirituel n’a pas échappé au chilien Alejandro Jodorowsky. Réalisateur surréaliste, «Jodo» décide d’adapter Dune en 1975 alors même qu’il ne l’a jamais lu. Le récit de la production d’un film qui ne sera hélas jamais produit est relaté dans un documentaire captivant sorti en 2013, Jodorowsky's Dune. Selon le documentaire, Jodorowsky avait réuni le casting le plus impressionnant qui soit, rassemblant tous les «guerriers» dont le réalisateur iconoclaste avait besoin pour concrétiser sa vision.
L’Empereur aurait été joué par Salvador Dali, poussé à accepter le rôle par sa muse de l’époque, Amanda Lear, qui aurait incarné la fille de l’Empereur, la Princesse Irulan. Le Baron Harkonnen aurait eu les traits d’Orson Welles, charmé par la promesse d’avoir son cuisinier attitré pendant le tournage. La musique aurait été conçue par Pink Floyd et le groupe français Magma. Enfin, le storyboard aurait été dessiné par le génial dessinateur Moebius/Jean Giraud, épaulé par l’artiste suisse Giger. Une telle combinaison de talents ne pouvait que convaincre les producteurs, dont le français Michel Seydoux, enthousiasmé par le génie tourbillonnant de Jodorowsky. Malheureusement, le film ne se fera pas, les quelques millions manquants étant refusés par des studios hollywoodiens convaincus du casting «all stars», mais effrayé par la personnalité du réalisateur chilien d’El Topo ou de La Montagne sacrée.
Le documentaire s’achève sur une extraordinaire impression de gâchis devant cette ambition de réaliser un film qui aurait «surpassé même 2001: l’odyssée de l’espace». Star Wars, en 1977, donnera tort à ceux qui pensaient que la science-fiction n’était pas rentable, et le film de George Lucas emprunte nombre d’éléments au film maudit de Jodorowsky.
Dune se fait lyncher
Dune continue de fasciner en tant que projet cinématographique. Le producteur italien Dino De Laurentiis en acquiert les droits en 1976 et charge le britannique Ridley Scott de diriger le film en se basant sur un scénario écrit par Frank Herbert lui-même. Scott ne réalisera pas le film pour raisons personnelles et préférera diriger son propre film de science fiction en 1982, Blade Runner, son chef-d’œuvre, considéré par beaucoup comme le plus grand film de science-fiction avec 2001 de Kubrick, sorti en 1968.
Dune est un univers riche, et le livre regorge de trésors qui passent mal à l’écran
Dune se fera finalement sous la direction de David Lynch en 1984. Le résultat n’est pas à la hauteur des attentes des fans de Dune ou même de Lynch, mais l’atmosphère baroque et très datée eighties n’est pas le désastre que Jodorowsky a décrit dans le documentaire consacré au récit de son échec. Le chanteur Sting y joue un Harkonnen roux et arrogant, Kyle MacLachlan commence sa carrière en campant un Paul Atréides convaincant et on trouve même Patrick Stewart en Gurney Halleck, alors même que l’homme de théâtre britannique commence à se faire connaître du grand public par son personnage de Jean-Luc Picard dans Star Trek: The Next Generation. L’acteur suédois Max von Sydow est le seul véritable poids lourd de cette production, bien qu’il joue le rôle secondaire du planétologiste impérial Liet Kynes.
Le groupe Toto fournit une bande originale honnête, les décors et les costumes sont audacieux mais la critique ne suit pas, tout comme le public. Le Dune de Lynch est un échec et le réalisateur américain ne dirigera pas ses nombreuses suites prévues initialement. Dune est un univers riche, et le livre regorge de trésors qui passent mal à l’écran.
Revoir le Jihad
Si on peut faire l’économie de revoir le Dune de Lynch, il est passionnant de relire Dune en 2015. L’histoire d’hommes du désert qui partent à la conquête de l’univers au nom du Jihad possède une connotation différente de nos jours par rapport à l’époque où Frank Herbert a décrit leur expansion depuis leur planète d’origine. Herbert utilise de nombreux mots empruntés à l’arabe et l’on devine sans peine qu’il s’est inspiré de plusieurs pays moyen-orientaux et des touaregs pour imaginer ses «fremens», les hommes des sables conquérants de l’univers sous la houlette de leur messie.
A l’heure où parler de djihad fait peur, alors que l’Etat islamique menace la civilisation, la fable de Herbert apparaît comme prophétique ou blasphématoire. Il faut surtout se concentrer sur la formidable analyse de la religion que Herbert fournit, notamment avec la Missionaria Protectiva, le bras armé du Bene Gesserit, chargé d’implanter des superstitions qui se transformeront en prophéties autoréalisatrices. Herbert démontre comment la religion peut être exploitée à des fins politiques, et son propos n’est une fois encore pas de prôner la domination des «peuples du désert» sur le reste de l’univers, mais bien d’avertir des dangers de se laisser aller sans aller de l’avant.
La science-fiction possède cette capacité de faire réfléchir en avertissant des dangers qui menacent notre monde à court et long terme. Les Fremens triomphent et dominent l’univers, non pas parce qu’ils sont menés par un messie, mais parce qu’ils rejettent toute facilité liée à un monde pseudo-moderne. Ce sont les barbares, au sens grec du terme, réjuvénant la civilisation, devenue trop molle en restant sur ses acquis et où les relations dominant-dominé sont acceptées depuis des siècles comme des conventions inaltérables.
La fin programmée des machines pensantes?
Frank Herbert évoque également dans Dune un «Jihad Butlérien» qui a anéanti les machines pensantes. Les commandements de la Bible Catholique Orange, religion dominante de Dune, indiquent clairement que «Tu ne feras point de machine à l’esprit de l’Homme semblable», et les tâches réservées aux ordinateurs de nos jours sont effectuées par des humains spécialement choisis et entraînés afin de devenir des «mentats». On n’apprend véritablement les raisons du Jihad Butlérien que dans les livres publiés par le fils de Frank Herbert, Brian: l’assassinat de Manion Butler par le robot pensant Erasme, qui conduit à la rébellion des humains réduits jusque-là en esclavage.
Frank Herbert a repris un thème cher à la science fiction, où les machines dépassent l’homme et deviennent son adversaire, que ce soit dans Colossus: The Forbin Project, WarGames, Terminator ou Matrix. On peut également émettre l’hypothèse qu’un homme comme Herbert, sensible à l’écologie et à la place de l’homme dans l’environnement, se soit méfié de machines qui éloigneraient l’humanité de sa nature. Herbert rejoint ainsi de nombreux experts actuels, comme Elon Musk ou Stephen Hawkins, qui estiment que l’intelligence artificielle est une menace pour l’humanité.
Selon Ashlee Vance, biographe d’Elon Musk, le génial entrepreneur, que l’on compare souvent au fictionnel Tony Stark, était un fervent lecteur de science fiction, y compris Dune. Musk développe aujourd’hui toute une série de projets extrêmement audacieux, de la colonisation de Mars aux voitures électriques en passant par les lanceurs spatiaux et les trains à très haute vitesse. Pourtant, le milliardaire se méfie des machines pensantes et a récemment donné 7 millions de dollars à 37 équipes de recherches afin de parer aux dangers potentiels de l’intelligence artificielle. Elon Musk n’est qu’un des nombreux lecteurs des œuvres de Frank Herbert, mais il prouve avec brio que la science-fiction est un genre qui peut sauver le monde. Ou tout du moins, contribuer à le remettre en question et à le transformer.
Dune mérite un film à sa hauteur, qui le placerait dans les étoiles, au même niveau que Star Wars, Blade Runner ou 2001. En regardant Jodorowsky’s Dune, on se prend à espérer que cette version reprendra vie un jour. Nicholas Winding Refn, pr��sent dans le documentaire, consacre en ce moment un documentaire à Jodorowsky, qui lui aurait expliqué en détail son projet pour l’adaptation au cinéma de Dune. Peut-être, devant l’enthousiasme débordant de Refn, Dune sera porté à l’écran dans le futur par le génial réalisateur danois? Et pourquoi pas produit par Elon Musk? Lui saura trouver les millions manquants pour permettra l'aboutissement du «plus grand film jamais réalisé».
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Mercredi 11 septembre 1974.
Toujours les cérémonies du premier l’anniversaire du coup d’état au Chili contre Salvatore Allende.
Mes films sont envoyés en France non développés. Je ne verrai les planches contact que plusieurs mois plus tard. Le temps nous fait oublier les détails de ce que l’on a photographié, mais la planche contact nous le rappellera un jour, même bien plus tard.
La foule est contrôlée par l’armée. Mais dans la foule il y a des mouchards. Je ne suis pas certain de l’avoir perçu exactement au moment où j’ai pris cette photo, c’est bien plus tard lorsque j’ai pu la décrypter.
À gauche de l’image, un homme au costume rayé se cache la figure, au centre un autre, cigarette à la bouche à la Humphrey Bogart dans Casablanca, la classe en moins, me dévisage avec méchanceté, à sa gauche un jeune fait semblant de fumer comme son ainé, il force son geste comme pour intimider le témoin que je suis. Il joue un rôle, mais le vrai méchant c’est celui qui me dévisage. Ces trois hommes se sont mêlés à la foule pour la contrôler, mais leur attention s’est portée sur moi, le témoin photographe, l’homme dangereux mais à qui on a donné un laissez passer pour qu’il puisse montrer au monde la joie du peuple chilien célébrant le retour de la liberté. Liberté surveillée, liberté assassinée par des militaires à la solde de la CIA, grande organisatrice de ce coup de poignard à la démocratie.
Les images sont fortes, c’est la raison pour laquelle de si nombreux politiques, y-compris chez nous, veulent les contrôler, ou même en interdire la diffusion si des forces de l’ordre sont filmées ou photographiées.
On veut supprimer les traces, comme ont essayé de faire les nazis en dynamitant les chambres à gaz où furent exterminés une grande partie de la population juive d’Europe. Après, il ne restera plus que les négationnistes. Et l’ordre régnera à nouveau.
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Je me demande si les gens qui commencent à s’intéresser à la politique connaissent le livre de la journaliste canadienne Naomi Klein, La Stratégie du choc, publié en 2007 (juste avant la crise des subprimes...) ? Le titre originel étant The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism.
La thèse de Naomi Klein était en substance que les régimes néolibéraux se servaient du traumatisme psychologique généré par des bouleversements historiques tels que catastrophes naturelles, attentats ou coups d’État pour faire passer des lois ultra-libérales visant à privatiser l’économie du pays en l’arrachant au contrôle démocratique, privant ainsi les peuples de leur droit le plus élémentaire à disposer d’eux-mêmes.
Ces « néolibéraux » suivaient la doctrine de « l’école de Chicago », un cercle de pensée réuni autour du professeur Milton Friedman, prônant la mise en retrait de l’État de l’économie de marché comme seule voie vers la liberté politique, l’auto-régulation du marché, ou l’idée d’un taux de chômage naturel.
Parmi les adeptes les plus célèbres de l’École de Chicago, on trouve bien sûr Ronald Reagan aux États-Unis, Margaret Thatcher au Royaume-Uni... et puis, surtout, tristement, le dictateur chilien Augusto Pinochet, responsable du coup d’État du 11 septembre 1973 qui renversa le gouvernement socialiste de Salvador Allende, remplacé jusqu’en 1990 par une dictature libérale appliquant religieusement les thèses de Friedman, grâce aux « Chicago Boys », groupe de jeunes économistes chiliens qui se chargèrent des réformes économiques avec enthousiasme. « Le miracle chilien, » déclara Milton Friedman.
« Au Chili, la démocratie ne s'était guère montrée accueillante envers les Chicago Boys ; la dictature se révélerait plus accommodante », remarque Naomi Klein. Les historiens Stéphane Boisard et Mariana Heredia, auteurs d’un article sur les dictatures argentine et chilienne des années 1970 (Vingtième Siècle n°105, 2010, « Laboratoires de la mondialisation économique »), l’application de ces programmes économiques « antipopulaires », n’a été possible que grâce à une violente répression de l’opposition politique et du mouvement ouvrier dans leur ensemble. Camps d’internement, tortures, assassinats... Margaret Thatcher elle-même notait en 1982 que « certaines des mesures prises au Chili seraient inacceptables en Grande-Bretagne, où il existe des institutions démocratiques ». De fait, l’un des Chicago Boys, Sergio de Castro, reconnaissait que l’opinion publique leur était très défavorable et qu'ils ont eu besoin de la dictature pour appliquer leurs thèses.
Bilan ? Croissance économique fulgurante... à court terme, accroissement critique du taux de chômage, creusement des inégalités de revenus entre les riches, de plus en plus riches, et les pauvres, de plus en plus pauvres... Et résultats identiques dans tous les pays où la doctrine fut appliquée, d’ailleurs. Non seulement la prospérité individuelle ne fut pas au rendez-vous, mais toutes les populations concernées perdirent beaucoup en terme de démocratie.
Toute ressemblance...
#gallomancy#naomi klein#la stratégie du choc#néolibéralisme#globalisation#économie de marché#libre-échange#la dictature c'est quand le tyran vous dit d'aller essayer la dictature#déni de démocratie
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Départ et 1eres rencontres...



Lundi 21 octobre 2019.
Nous voilà partis. Pas peu fiers à bord de notre nouveau compagnon les premiers kilomètres passent, et dans nos pas, comme un air de Révolution. Le Chili tout entier s'enflamme face à l'injustice de son système inégalitaire. Alors que la famille de l'ancien dictateur Pinochet vit dans l'opulence, le peuple se retrouve dans les rues et nous pouvons observer tout au long de notre route les stigmates de leur colère légitime.
Malgré ce contexte social, les chiliens que nous rencontrons sont accueillants. Sur la côte Pacifique, près de la sépulture du poète Pablo Neruda, nous rencontrons Elias, un vieux Monsieur qui craint pour notre sécurité. Il nous invite à passer la nuit chez lui, entourés de sa famille.
Et quel acceuil! Malgré des conditions de vie très précaires, ils nous ont proposé des pizzas cuites sur pierre par Marcello le fils d'Elias, nous avons partager le repas d'anniversaire du 2eme fils Léandro et à notre départs ils nous ont offert deux grands drapeau chiliens !
Alors pour finir ce billet, un immense merci à eux...


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Violeta Parra Gracias a la vida - L'incroyable histoire d'une chanson - Nice ... : 2012, Santiago du Chili, les étudiants en grève contre l'augmentation du prix des études manifestent et chantent. Ils chantent quoi, ou plutôt qui? Ils chantent les chansons de Violeta Parra. Ses amis l'appelaient Violetita. Disparue en 1967, elle demeure un mythe vivant dans la mémoire du peuple chilien. Dès 1952, seule, sans soutien financier, elle a parcouru la campagne chilienne pour recueillir les chansons populaires, toute une culture en voie d'extinction. Elle a sauvé de l'oubli plus de 2000 chansons qui figurent désormais au patrimoine de son pays. Violeta Parra était une artiste pluridisciplinaire, elle peignait, sculptait, écrivait des chansons et chantait. Sa chanson "Gracias a la vida" a fait le tour du monde et a été reprise par des artistes de renom dans de nombreuses langues différentes. Gracias a la vida, "merci la vie". On saisit mieux la poignante énergie de ce chant si l'on sait qu'il s'agit d'un texte testament. En effet, peu de temps après l'avoir écrit, Violeta Parra s'est tiré une balle en pleine tête, elle avait 49 ans. Alors, le flambeau passa d'une pasionaria à l'autre. Violetita, la première de lignée du protest song, qui n'a pas eu la patience d'attendre l'explosion culturelle du mouvement de 68 a trouvé rapidement sa postérité. Joan Baez, celle qu'on appelle aujourd'hui la conscience d'une génération chante inlassablement et sans que son enthousiasme faillisse "Gracias a la vida". En 1974, son premier album en espagnol portait d'ailleurs ce titre. Et puis, et puis pour lui faire écho dans cette Amérique latine machiste et vénérant les femmes "qui en ont", s'est élevé la voix inimitable de l'argentine Mercedes Sosa, disparue en 2009. Alors la chanson prit son essor et devint hymne, l'hymne des peuples opprimés, l'hymne des pasionarias qui ne baissent jamais la tête, l'hymne des femmes, un hymne à la liberté. Pour mémoire, le chilien Andrès Wood a réalisé en 2011 un film sur la vie de Violeta Parra, d'après le livre de son fils Angel Parra : "Violeta se fue a los cielos". Ce film est visionnable dans son intégralité sur Youtube...
#Violeta Parra#Gracias a la vida#Joan Baez#Mercedes Sosa#Andrès Wood#Angel Parra#Violeta se fue a los cielos
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Il n'est pas d'usage au Chili d'enlever ses chaussures en entrant dans une maison, même si l'extérieur est humide et sale
Les Chiliens n'attachent pas d'importance à l'endroit où s'asseoir, même sur une chaise, même par terre. Ils sont probablement paresseux pour attendre et attendre, il est donc plus facile de s'asseoir sur l'asphalte.
Environ les deux tiers des Chiliens sont catholiques. Les autres sont des adeptes des religions indiennes traditionnelles.
Le sport le plus populaire au Chili est le football. Cependant, les rassemblements et les manifestations ne sont pas moins populaires ici.
La tribu indienne mapuche, qui vit sur le territoire chilien, maintient toujours son indépendance vis-à-vis de tous, y compris du gouvernement chilien.
Il fait très froid dans le sud du Chili. Même les phoques et les pingouins vivent ici.
Le Chili comprend la mystérieuse île de Pâques, où se trouvent des idoles de pierre connues du monde entier, dont l'origine est encore à l'étude. La population indigène de l'île, le peuple Rapanui, vit exclusivement grâce au tourisme.
Au Chili, il y a l'endroit le plus écologiquement propre sur terre - la Patagonie.
Le Chili est le seul pays d'Amérique du Sud où les serpents venimeux ne vivent pas.
Les Chiliens aiment beaucoup s'embrasser. Ils s'embrassent toujours sur la joue pour se saluer et se dire au revoir, même si la conversation dure plusieurs minutes.
Les Chiliens considèrent leur patrie comme le pays des poètes. Parmi leurs auteurs préférés figurent Pablo Neruda, Nicanor Parra, Gabriela Mistral.
La poétesse chilienne Gabriela Mistral a remporté le prix Nobel en 1945. Elle est représentée sur le billet de 5 000 pesos.
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Riki Blanco fait la couverture de la Vanguardia et adresse son soutien au peuple chilien
Riki Blanco makes the cover of la Vanguardia and adresses his support to the Chilean people
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Les partisans de l'ancien président d'extrême droite brésilien Jair Bolsonaro ont envahi dimanche la Cour suprême du pays et son bâtiment du Congrès et encerclé le palais présidentiel à Brasilia. Voici les réactions des dirigeants mondiaux : ANTONY BLINKEN, SECRÉTAIRE D'ÉTAT DES ÉTATS-UNIS "Nous condamnons aujourd'hui les attaques contre la présidence, le Congrès et la Cour suprême du Brésil. Utiliser la violence pour attaquer les institutions démocratiques est toujours inacceptable. Nous nous joignons à @lulaoficial pour demander la fin immédiate de ces actions." LE PRÉSIDENT MEXICAIN ANDRES MANUEL LOPEZ OBRADOR "La tentative de coup d'Etat des conservateurs brésiliens poussés par les dirigeants du pouvoir oligarchique, leurs porte-parole et fanatiques, est répréhensible et antidémocratique. Lula n'est pas seul, il a le soutien des forces progressistes de son pays, le Mexique, le continent américain et le monde." JAKE SULLIVAN, CONSEILLER À LA SÉCURITÉ NATIONALE DE LA MAISON BLANCHE "Les États-Unis condamnent tout effort visant à saper la démocratie au Brésil. Le président Biden suit la situation de près et notre soutien aux institutions démocratiques brésiliennes est inébranlable. La démocratie brésilienne ne sera pas ébranlée par la violence." ORGANISATION DES ÉTATS AMÉRICAINS SECRÉTAIRE GÉNÉRAL LUIS ALMAGRO "Nous condamnons l'attaque contre les institutions de Brasilia, qui constitue une action répréhensible et une attaque directe contre la démocratie. Ces actions sont inexcusables et de nature fasciste." JOSEP BORRELL, CHEF DE LA POLITIQUE ÉTRANGÈRE DE L'UNION EUROPÉENNE "Consterné par les actes de violence et l'occupation illégale du quartier gouvernemental de Brasilia par des extrémistes violents aujourd'hui. Plein soutien à Lula et à son gouvernement, au Congrès et à la Cour suprême fédérale. La démocratie brésilienne l'emportera sur la violence et l'extrémisme." LE MINISTRE PORTUGAL DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES, JOAO GOMES CRAVINHO "Sans aucun doute, l'ancien président Bolsonaro a une responsabilité. Sa voix est entendue par ces manifestants anti-démocratiques. Ce serait très important s'il avait un message de condamnation face au désordre qui sévit actuellement à Brasilia." LE PRÉSIDENT CHILIEN GABRIEL BORIC "Le gouvernement brésilien a tout notre soutien face à cette attaque lâche et vile contre la démocratie." LE PRÉSIDENT COLOMBIEN GUSTAVO PETRO "Toute ma solidarité à @LulaOficial et au peuple du Brésil. Le fascisme a décidé de faire un coup d'État. ... Il est urgent que l'OEA (Organisation des États américains) se réunisse si elle veut continuer à vivre en tant qu'institution." LE PRÉSIDENT ARGENTIN ALBERTO FERNANDEZ "Je veux exprimer mon rejet de ce qui se passe à Brasilia. Le mien et le soutien inconditionnel du peuple argentin à @LulaOficial face à cette tentative de coup d'Etat auquel il est confronté." LE PRESIDENT FRANÇAIS EMMANUEL MACRON « La volonté du peuple brésilien et des institutions démocratiques doit être respectée ! Le président @LulaOficial peut compter sur le soutien indéfectible de la France. AMBASSADEUR DU ROYAUME-UNI AU BRÉSIL STEPHANIE AL-QAQ "Nous condamnons les scènes violentes d'attaques contre des institutions aujourd'hui à Brasilia. Nous réaffirmons notre confiance dans la force de la démocratie brésilienne et dans le bon fonctionnement de son processus démocratique." LE PRÉSIDENT VÉNÉZUÉLIEN NICOLAS MADURO "Nous rejetons catégoriquement la violence générée par les groupes néo-fascistes de Bolsonaro qui ont attaqué les institutions démocratiques du Brésil. Notre soutien à @LulaOficial et au peuple brésilien qui se mobilisera sûrement pour la défense de la paix et de son président." MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE L'URUGUAY "L'Uruguay condamne les épisodes de violence contre les institutions au Brésil et appelle au respect de l'État de droit, de la démocratie et de son gouvernement." MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DU PÉROU
« Le gouvernement du Pérou condamne énergiquement l'assaut contre le siège du congrès, la présidence et la cour suprême du Brésil et toute tentative de mépris de la légitimité des élections d'octobre 2022. Notre solidarité avec le président Lula et la démocratie brésilienne. LE PRÉSIDENT ÉQUATORIEN GUILLERMO LASSO "Je condamne les actes d'irrespect et de vandalisme perpétrés contre les institutions démocratiques à Brasilia, ils attaquent l'ordre démocratique et la sécurité des citoyens. J'exprime mon soutien et celui de mon gouvernement au régime juridique de @LulaOficial." MINISTÈRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES DE LA BOLIVIE "Nous rejetons les actions violentes de ces dernières heures contre les institutions démocratiques de la République fédérale du Brésil et réitérons notre soutien à nos frères du Brésil et à leur président Lula da Silva, élu démocratiquement lors des urnes." LE PREMIER MINISTRE ESPAGNOL PEDRO SANCHEZ "Tout mon soutien au président @LulaOficial et aux institutions libres et démocratiquement élues du peuple brésilien. Nous condamnons catégoriquement l'assaut contre le Congrès brésilien et appelons au retour immédiat à la normalité démocratique." LE PRÉSIDENT CUBA MIGUEL DIAZ-CANEL "Nous condamnons énergiquement les actes violents et antidémocratiques au Brésil visant à créer le chaos et à manquer de respect à la volonté populaire qui ont abouti à l'élection du président Lula."(À l'exception du titre, cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de NDTV et est publiée à partir d'un flux syndiqué.)
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[…] Ce dimanche les Chiliens votent pour dire s’ils approuvent, ou non, le texte de la nouvelle Constitution écrite par une assemblée élue, paritaire -c’est une première mondiale, et avec la participation des peuples indigènes. Le texte a été largement débattu et le débat très polarisé…[…]
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