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Promenade elbeuvienne le 28 juillet 2012.
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C’est une petite promenade d’environ deux heures que j’ai faite seule, le mercredi 9 avril 2014. La saison était idéale : c’est le moment où la nature renaît. Les verts sont superbes, mis en valeur par la lumière printanière.Les chemins sont moins boueux qu’en plein hiver (bien que quelques passages le long de la rivière nécessitent d’être bien équipé), les journées assez longues et les températures idéales pour profiter de la promenade sans pour autant avoir trop chaud. Le point de départ se fait du village d’Eurville (qui fait partie de la commune du Val-de-Sâane). C’est d’ailleurs ici que j’ai rencontré la seule difficulté du parcours : en effet, le chemin annoncé avait été entièrement retourné avec le champ qu’il bordait… J’ai donc perdu un peu de temps à le chercher avant de finalement passer par le village lui-même en contournant la petite église Saint-Gilles (cela ne change pas grand-chose au final au temps du parcours).
On part par la route qui quitte le village, s’enfonçant vers la vallée. On la quitte pour rejoindre la rivière qu’on va suivre une partie de la promenade. Au bout de quelques minutes de marche, on découvre le château d’Imbleville et ses jardins.
Focus patrimoine :
Les jardins de ce château privé, surnommé à juste titre, la perle de la Sâane, se visitent de la mi-juin au dernier dimanche d’août ainsi qu’à l’occasion des journées du patrimoine. Mais à défaut de pouvoir le voir de plus près en ce mois d’avril, on profite des différentes vues que le parcours de la promenade nous offre.
Fondé en 1491 par Zanon de Dampierre, certainement dans un but défensif (le seul accès à la cour intérieur se faisait alors par le pont-levis au nord), l’édifice est typique de la région.Sur son assise de grès et de silex, il est entièrement élevé en briques et présente une belle architecture dont l’aspect actuel date de 1872. Ses jardins à la française bordés par la Sâane ne sont pas moins dénués de charmes et c’est avec plaisir qu’on les longe quelques minutes.
Plus loin, ce sont des prés où paissent des moutons qui nous attendent, devant des bâtiments ruraux entièrement en briques. Un élevage typique du Pays de Caux ! En effet, ici, les bovins n’ont pas une présence aussi ancienne que les ovins. Ceux-ci font partie intégrante de l’écosystème cauchois.
Le chemin bifurque ensuite sur la gauche pour quitter la vallée de la Sâane. Nous remontons vers le village par une allée bordée de hêtres majestueux. Quelques détours de plus finissent de nous faire découvrir la campagne environnante avant de nous ramener vers notre véhicule.
Le parcours ne présente pas de difficultés particulières et peut se faire en famille. Je travaillais à temps partiel à cette époque et j’avais pu faire la promenade en semaine hors vacances scolaires. Je n’ai aucune idée de l’affluence qu’il peut y avoir en week-end ou lors des vacances mais nous sommes vraiment en plein milieu de la campagne cauchoise donc plutôt au calme. Vous trouverez le détail du parcours dans le livre Les sentiers d’Émilie en Seine-Maritime (pour ma part, je l’avais emprunté en bibliothèque).
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07/04/2015 - 65 km de vélo entre Rouen, Duclair et la Bouille.
65 km, l’immense côte de Canteleu, sous un beau soleil. En récompense, au sommet, un immense arbre en fleurs. Depuis le plateau, nous descendons 3 km de pente vers une autre boucle de la Seine. La route serpente dans la forêt et notre groupe s’enfonce à toute vitesse dans la brume. La route d’en bas longe le fleuve. Je sens l’humidité de l’eau, que je ne vois pas : seule la silhouette des arbres émerge du brouillard. A Duclair, le soleil brille, la brume s’est dissipée. 
J’aime prendre le petit bac, et sa fumée blanche qui rebondit sur l’eau plate comme un miroir. En s’éloignant du quai, je remarque cet hôtel au style art nouveau. Henri et Denise, seraient-ils un couple romantique ? Pas du tout : Henri Denise, propriétaire de l’hôtel est l’inventeur du canard au sang, plat typiquement normand. Gloups. 
Sur l’autre rive, la route est plate, les champs inondables : j’ai appris dernièrement la topographie des fleuves, mais j’ai oublié le nom que l’on donne à cette alternance entre rive plate et rive escarpée. 
Dans un hameau, une maison en travaux : un couvreur refait le toit de chaume : c’est très intéressant à regarder, comme un écorché. 
Nous avons repris le bac à la Bouille. Affamés, nous n’avons pas pris le temps de faner dans les ruelles de ce village pourtant charmant. Nous remontons le fleuve et voici déjà Rouen qui s’annonce avec sa ribambelle d’usines, ponctué de jolies maisons, qui résistent à la vue peu ragoutante des cheminées crasses. 
Je ne peux m’empêcher d’admirer ces architectures de métal et de béton, ces usines grises et marrons, monumentales, monstrueuses. Certaines, probablement mes préférées, se déploient de part et d’autres de la route : c’est comme si elles déployaient leurs longues jambes au dessus de nos têtes. 
On passe le pont Flaubert, c’est la fin des hideuses constructions, notre belle ville nous sourit, baignée de soleil. Encore une fois, je ne me suis pas arrêtée prendre des photos : mes jambes ne me portaient plus.  
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LE HAVRE
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QUIBERVILLE SUR MER
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Une Vierge à l’Enfant du @MuMaLeHavre révèle des repeints : #Restauration du #C2RMF #peinture #secretsMW #MuseumWeek 
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A Virgin and child of the @MuMaLeHavre reveals a repainted: #Restauration of#C2RMF #secretsMW at @MuMaLeHavrepic.twitter.com/cwQdxtyG4C
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Promenade au Pays de Madame Bovary, le 7 janvier 2014. La série complète
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La zone portuaire de Grand-Couronne
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Balade hivernale aux Petites-Dalles, le mardi 25 février 2014.
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CAMPAGNE CAUCHOISE
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La ville du Petit-Quevilly, commune limitrophe de Rouen située sur la rive gauche de la Seine, abrite un trésor. Il s’agit de la chapelle Saint-Julien. Et c’est à plus d’un titre que nous pouvons la qualifier de trésor. D’une part, cet édifice du XIIe siècle est le seul dans l’agglomération rouennais a être parvenu jusqu’à nous dans son intégralité. Son intégralité, cela inclus les peintures murales datées du XIIe et du XIIIe siècle qui comptent parmi les plus belles de Normandie.
Son histoire commence aux alentours de 1160. Henri II de Plantagenet, duc de Normandie et roi d’Angleterre, décide de faire aménager un manoir dans son vaste domaine de chasse dans la forêt du Rouvray, à Quevilly. La chapelle seigneuriale fait partie de cet ensemble et elle est placée sous le vocable de Notre-Dame de la Vierge et est réservée à l’usage de Henri II et de son épouse Aliénor d’Aquitaine.
Le bâtiment est long de vingt-quatre mètres pour une largeur de neuf à sept mètres trente. Il se compose d’une nef unique terminée par un chœur construit en pierres calcaires provenant des carrières de Caumont. L’architecture de la chapelle est influencée par le style anglo-normand où se mêlent harmonieusement le style roman (arcatures en plein-cintres ornés de zigzag) et le style gothique (voûte d’ogives dans le chœur). L’ensemble des murs et des plafonds intérieurs sont peints d’un riche décor où se mêlent motifs géométriques et végétaux aux couleurs éclatantes ainsi que des scènes de la vie du Christ. Ces œuvres seraient vraisemblablement dues à des artistes venus d’Angleterre. La chapelle possédait un clocher mais il a disparu au cours du temps.
Henri II aura cependant peu le loisir de profiter de ce domaine. Accaparer par l’administration de son royaume anglais, il renonce à fréquenter sa propriété . Pour assurer le salut de son âme, il en fait don en 1183 à une communauté religieuse qui a pour vocation de recueillir les jeunes femmes lépreuses. C’est à ce moment-là que la chapelle prend le nom de Saint-Julien l’Hospitalier, martyr chrétien mort en 304 et canonisé pour avoir guéri un lépreux de sa maladie.
En 1366, la lèpre a fortement reculé dans la région. La léproserie est alors fermée et ses biens sont réunis à l’Hôtel Dieu de Rouen. Épisodiquement, des malades de la peste seront accueillis avant qu’en 1600, un accord soit passé avec les religieux de l’Hôtel Dieu : le domaine est donné aux moines bénédictins de l’abbaye Sainte-Catherine de Rouen dans le couvent venait d’être détruit. Soixante-sept ans plus tard, les bénédictins laissent leur place à une communauté de chartreux originaires de Gaillon. En 1682, de nouveaux moines provenant de la Chartreuse Notre-Dame de la Roses à Rouen arrivent à leur tour. Cependant, cet ancien bâtiment n’étant pas conforme aux normes de vie de cet ordre religieux, ils entreprirent la construction d’une nouvelle chartreuse plus à l’est. La chapelle Saint-Julien sera désaffectée à partir de 1698.
En 1791, la chapelle est vendue comme bien national. Cependant, elle échappe aux pioches des récupérateurs de matériaux et, appartenant à un certain BILLARD en 1793, elle sera transformée en écurie et en grenier à foin avec la pose d’un plancher sous la voûte du chœur. Elle change de propriétaire en 1822. L’ancien domaine des chartreux est racheté par Guillaume LECOINTE qui y installe une colonie horticole pénitentiaire pour jeune détenus qui sera ouverte en 1843. La chapelle est alors rendue au culte pour y donner la messe aux prisonniers. Ce nouveau changement de destination oblige à quelques travaux dont l’enlèvement du plancher posé dans le chœur et un rafraîchissement des murs à la chaux. Cependant, le pénitencier fermera ses portes sur ordre du ministère de l’intérieur en 1865 et le domaine sera à nouveau revendu deux ans plus tard. C’est à ce moment-là que le destin de la chapelle se désolidarise de l’ensemble du domaine des chartreux. Conscient de son intérêt patrimonial, LECOINTE en fait gracieusement don à la municipalité pour en faire la chapelle de l’hôpital qu’on s’apprête alors à ouvrir dans le bâtiment principal de l’ancien pénitencier acquis par la ville. D’abord réservée aux malades et aux cérémonies d’enterrement des indigents, elle sera ensuite ouverte plus largement aux habitants du quartier et retrouvera une fonction cultuelle jusqu’en 1960. En 1984, elle est transformée en espace pour l’organisation d’expositions artistiques et de concerts, ce qui permet un meilleur contrôle sur la conservation des peintures murales et sur l’ensemble du bâtiment, le tout étant classé depuis 1869 au titre des Monuments Historiques.
En 1870, l’état de délabrement de la chapelle est particulièrement avancé. Ses murs sont lézardés, troués, ses vitraux ont disparu ainsi qu’une partie de son décor sculpté. Certains de ses contreforts menacent ruine, l’absence de gouttières entrainent de gros problèmes d’infiltrations d’eau. Le ministère de l’instruction publique et des beaux-arts envoie Louis SAUVAGEOT étudier sa restauration en 1893. Membre de la commission des Monuments Historiques et élève de VIOLLET-LE-DUC, il s’est déjà fait connaître par la restauration de nombreux bâtiments religieux dans le département de la Seine-Inférieure.
Financés par l’État, le département, la commune et l’industriel Xavier KNIEDER, les travaux débutent en 1895 sous la conduite de SAUVAGEOT. Inspiré par son maître, celui-ci tente de redonner au bâtiment son aspect supposé d’origine. LA partie maçonnerie du chantier est confiée à l’entrepreneur Armand REQUIER et la sculpture au rouennais Edmond BONET. Malgré ces travaux, quelques décennies plus tard, la dépose des peintures de la voûte entre 1962 et 1965 sera l’occasion de mener une autre campagne de restauration de grande ampleur. La restauration complète de la chapelle va s’étaler sur une vingtaine d’années.
Liens : La chapelle Saint-Julien sur le site de la ville
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Construction of the Pont de Normandie, Le Havre, France, 1993
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À Villequier, sur les bords de Seine, le musée Victor HUGO fut inauguré en 1959 grâce aux multiples dons des héritiers de la famille VACQUERIE à qui cette demeure datant de la première moitié du XIXe siècle appartenait. Ils ont été intimement liés de longues années à l'écrivain. Elle fut le théâtre des amours de la fille aînée de l'auteur de Notre-Dame de Paris, Léopoldine HUGO, et de son mari Charles VACQUERIE. C'est aussi le lieu où ils disparurent tragiquement le 4 septembre 1843, emportés par un retour de tourbillon de vent qui a fait chavirer leur canot alors qu'ils s'étaient embarqués à destination de Caudebec-en-Caux avec l'oncle du jeune époux et son neveu Arthur VACQUERIE. Charles tenta de sauver sa femme, mais en vain. Il se laissa alors couler de désespoir.
Ce n'est que cinq jours plus tard que le poète apprit leur décès par la presse. Cette nouvelle l'affecta terriblement et il évoque cette perte dans Les Contemplations :
« N'ayant pu la sauver, il a voulu mourir.
[…]
Leurs âmes se parlaient sous les vagues rumeurs.
– Que fais-tu ? Disait-elle. – Et lui, disait : – Tu meurs ;
Il faut bien aussi que je meure ! –
Et, les bras enlacés, doux couple frissonnant,
Ils se sont en allés dans l'ombre ; et, maintenant,
On entend le fleuve qui pleure.
[…]
Villequier, Caudebec, et tous ces frais vallons,
Ne vous entendront plus vous écrier : "Allons,
Le vent est bon, la Seine est belle !"
Comme ces lieux charmants vont être plein d'ennui !
Les hardis goélands ne diront plus : C'est lui !
Les fleurs ne diront plus : C'est elle ! ».
 C'est Charles Isidore VACQUERIE (1779-1843), armateur prospère domicilié au Havre, qui fit construire cette demeure qui devint la résidence secondaire de sa famille, mais c'est à son fils, Auguste, que l'on doit de très nombreux documents. Ce musée évoque la vie de cette époque. Chaque pièce est consacrée à un thème et remémore un aspect de la vie des familles HUGO et VACQUERIE.  
La visite débute par le salon VACQUERIE, consacré à Auguste (1819 – 1895), ami des HUGO qui a mené une carrière de journaliste et d'écrivain. On y trouve des témoignages de sa carrière politique et littéraire ainsi que des sculptures et des tableaux (dont des tableaux italiens du XVIIIe siècle rapportés par son héritier Pierre VACQUERIE). Nous poursuivons par la salle du billard, indispensable au XIXe siècle et qui est aujourd'hui consacrée aux expositions temporaires. Actuellement, et jusqu'au …, elle accueille des œuvres du FRAC sous le thème « L'artiste bibliophile ».
Un petit escalier nous mène à l'étage et la chambre suivante est consacrée à l'univers de l'enfance et la présentation de la double famille HUGO-VACQUERIE. Le combat de Victor HUGO pour la protection de l'enfance y est aussi mentionné. Logiquement, la visite continue par la chambre de Madame HUGO, Adèle, que l'écrivain épousa en 1822, puis par le bow-window attenant consacré à sa maîtresse, Juliette DROUET.
La suite est plus émouvante : elle concerne Léopoldine HUGO-VACQUERIE et son jeune époux Charles. Si la seconde chambre reproduite celle qu'ils occupaient au Havre, l'ombre de la tragédie du 4 septembre plane dans ces pièces. Un fac-similé du journal dans lequel ont été relatés les évènements nous laisse imaginer ce que Victor HUGO a pu ressentir en y apprenant la nouvelle. Si le récit donne dans le spectaculaire, il n'en reste pas moins émouvant. Quelques lignes suffisent à s'en rendre compte : « Des paysans, sur la rive opposée, ont vu Charles Vacquerie reparaître sur l'eau et crier encore, puis plonger et reparaître, puis plonger et disparaître, puis monter et crier encore, et replonger et disparaître... six fois ! Ils ont cru qu'il s'amusait ! Il plongeait et tentait d'arracher sa femme qui, sous l'eau, se tenait au canot renversé, mais qui se tenait comme se tiennent les noyés ; ses pauvres petites mains étaient plus fortes que des crampons de fer. Les efforts de Charles, ses efforts désespérés, ont été sans succès. Alors il a plongé une dernière fois et il est resté avec elle. »
Les dernières pièces sont entièrement consacrées à Victor HUGO. Tout d'abord, l'atelier photographique où de nombreuses prises de vues datent de son exil à Jersey (1852 – 1855) puis à Guernesey (1855 – 1870). Une petite pièce relate ses funérailles nationales et enfin, la toute dernière relate ses principales œuvres. À noter, la présence du tableau Esmeralda et sa chèvre Djali, récemment acquis grâce à une souscription lancée par les amis des musées départementaux et à laquelle a pris part, entre autres, l'association P'tit Pat' Rouennais. Le tableau exposé est une copie du XIXe siècle.    
Malgré le cadre particulièrement agréable (Villequier est un charmant village en bord de Seine et qui a su rester dans son jus), j'ai été un peu déçue par la visite de ce musée. Non pas en raison du contenu, la visite est courte, les documents – à mon goût – intéressant, mais par la muséographie elle-même. On nous promet une maison du XIXe siècle, dans son jus, mais les aménagements ne sont pas toujours heureux. Il manque un éclairage pour la première vitrine de la chambre consacrée à l'enfance. Les fenêtres étant occultées pour permettre la protection des œuvres, on se retrouve à ne pas y voir grand chose, ce qui s'avère quelque peu frustrant. Et outre la tapisserie abimée dans la chambre photographique, le pire sont sans doute ces gros spots vieillissants installés sur des rampes aux plafonds ! Côté immersion, on fait mieux. Ce sont les gros points noirs de cette visite. Certes, le tarif pour l'entrée n'est pas très élevé et je ne connais pas le budget consacré au musée, mais je ne peux qu'espérer que dans les années à venir il fasse l'objet d'une restauration plus respectueuse.
Et si vous passez par là, ne manquez pas d'aller visiter l'église Saint-Martin située à quelques centaines de mètres seulement. Outre l'édifice qui vaut à lui seul ce petit détour, c'est dans le cimetière qui l'entoure que repose la famille VACQUERIE- HUGO.  
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L'heure du bilan...
Ce projet est achevé, il est l'heure d'en faire le bilan. 365 jours, c'est à la fois long et court. Long, car il faut tenir le rythme et la qualité des publications (et je suis consciente d'avoir fait quelques fautes de ce côté-là, pour avoir voulu parfois privilégier la diversité des sujets et des lieux, quand je n'avais pas assez de choix).
Quand j'ai eu envie de me lancer ce nouveau défi en décembre 2013, j'ignorai si j'allais réussir à le mener à bien car j'ignorai alors si j'allais pouvoir rester seinomarine jusqu'à la fin de l'année 2014. Cela dépendait de la réussite ou de l'échec de ma recherche d'emploi (et au final, cela s'est révélé finalement fructueux de ce côté-là).
Je suis heureuse d'avoir pu partager ces images avec vous. Je vous suis reconnaissante de tous les "j'aime", des partages, et surtout, de vos commentaires et de vos anecdotes qu'on pu évoquer certaines photographies. Certains m'ont demandé si je continuai le projet en 2015. La réponse est négative, non pas faute de matière mais si j'ai commencé l'année 2014 à temps partiel, ce qui m'a laissé du temps pour arpenter le Département (quand je n'étais pas le nez dans les candidatures), je la finis à temps plein, ce qui me laisse mes week-ends pour continuer mes visites.
Ce qui n'est pas de trop, car si j'ai fait énormément de découvertes cette année, que je suis allée visiter des sites dont je n'avais jamais entendu parler auparavant ou que j'ai enfin pris le temps d'aller en visiter d'autres que je ne connaissais que de réputation, il me reste sans aucun doute encore bien plus à découvrir. Nombre de lieux que j'avais listés pour cette année ne sont finalement pas apparu car je n'ai pas eu le temps d'y aller (entres autres, le pont de Normandie, le manoir d'Ango, le jardin des Moutiers, la maison du parc des Boucles de la Seine normande, les champs de lin fleuris, les chaumières au faitage planté d'iris...). Tant de jardins, de villages, de monuments à visiter... Tant de randonnées à faire... La découverte ne s'arrête jamais, et c'est tant mieux ! Il y a encore de grandes zones sans photographies sur la carte ci-dessous, imaginez tout ce qu'il y a à y découvrir.
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Je n'ai pas non plus compté les kilomètres avalés et la frustration de passer parfois trop rapidement sur certains lieux (particulièrement sur la fin : n'ayant plus que mes week-ends, j'ai tenté de couvrir le maximum d'endroits en une seule journée, peu importe la météo). L'amoureuse du patrimoine que je suis va pouvoir reprendre plus assidument ses autres projets mis de côté par manque de temps. Le voyage continu, et plus seulement en Seine-Maritime (bien que, vivant à Rouen actuellement, il est évident que la proximité tiendra une grande place encore quelques temps).
2015 s'annonce riche en projets divers. Je compte notamment reprendre plus assidument mon blog dédié au patrimoine (une façon de mettre en valeur mes photos accumulées depuis quelques années : Elisa's Pictures ). Et la Seine-Maritime n'est pas oubliée, loin de là. D'autres projets sont en cours de montage, je vous en reparlerai en temps voulu.
En attendant, je ne vais pas abandonner ce blog. Je vais le faire vivre autrement.
Je vous souhaite à tous une excellente année 2015 et à très bientôt !
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L'abbaye Saint-Georges de Boscherville sous la neige en janvier 2013
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365 - Lumières de fêtes au cœur du Havre.
Et j'ai la joie d'arriver au bout de ce projet. Je vais sans doute vous laisser quelques jours, le temps de vous remettre des fêtes, avant de publier un article bien plus fourni. Un bilan et plus encore...
En attendant cela, merci à tous, du fond du cœur, d'avoir suivi ce projet (qui prend fin seulement sous cette forme).
Profitez de cette dernière journée de 2014 pour fêter dignement le passage à la nouvelle année et moi, je vous dis à très vite pour la suite.
Merci encore à tous... Tous mes vœux pour cette nouvelle année qui s'annonce... sous les meilleurs auspices, je l'espère :)
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I enjoy to see the end of this beautiful project. In a few day, I'll publish a report about this project (and I have so much things to write about it and you, which have follow it).
Have a nice last day for these 2014's year and I wrote to you very soon.
Best wishes,..
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364 - L'abbaye Notre-Dame-du-Pré à Valmont.
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363 - L'église Saint-Martin à Bec-de-Mortagne.
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