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07.03.2021
Temps de réalisation : 5h
Gouache
Illustration et synopsis pour le projet de court-métrage Nostalgie.
Synopsis
Par un bel après-midi de printemps, Ariane se repose accoudée à sa fenêtre quand soudain, un coup de vent entre dans sa chambre et la fait basculer dans un portail temporel. Elle se retrouve dans son jardin sous un globe lumineux sur lequel se dessine alors le visage de Nostalgie. Elle accueille Ariane et l’entraîne dans une aventure, lui remémorant des événements passés. Face à son insistance, Ariane se laisse aller aux regrets. Mais quand, après s’être épanchée, elle demande à Nostalgie de la renvoyer dans le présent, l’entité s’énerve et intime à Ariane de rester avec elle, la mettant en garde contre les dangers et l’incertitude du futur, resserrant l’écran autour de la jeune fille. Paniquée, celle-ci plonge ses mains dans la surface lumineuse et entreprend de la déchirer, créant un trou assez large pour y passer et, s’y jetant, retourne enfin chez elle, dans le présent, prête désormais à aller de l’avant.
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07.03.2021
Temps de réalisation : 10h
Crayon à papier
Suite et fin du storyboard pour le projet de court-métrage Nostalgie.
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07.03.2021
Temps de réalisation : 10h
Crayon à papier
Début de storyboard pour le projet de court-métrage Nostalgie.
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02.03.2021
Temps de réalisation : 5h
Autoportrait à la gouache
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07.03.2021
Temps de réalisation : 3h et 2h
Pastel sec, crayons graphite
La vue de ma fenêtre
J’habite au 12 passage du théâtre, dans la petite ville de Malakoff, en banlieue parisienne. La première chose que l’on remarque, en arrivant ici, c’est le calme. Bien sûr, on entend occasionnellement un moteur lointain ou une voix étouffée, mais de manière générale, le silence y règne.
Cependant, en y restant quelques temps, ces lieux dévoilent une certaine agitation, changeant au fil des jours et des saisons. Lorsqu’il fait beau, je suis aux premières loges pour profiter du martèlement de mon père poinçonnant le cuir ou ponçant le bois et les enfants sortent jouer dans la rue pendant que leurs parents discutent. D’ailleurs, si le confinement m’a appris quelque chose, c’est bien que les enfants du quartier sont bien plus bruyants que je ne le croyais. Mais tandis que les enfants vont de nouveau à l’école et que les parents travaillent, le pigeon et le merle restent les seules sources de son du passage.
Si, incité par le chant des oiseaux, on s’accoude à la fenêtre quelques minutes pour observer la ville, on a tôt fait de délimiter certains espaces. En contrebas de la fenêtre, à gauche, on peut voir un petit enchevêtrement de toits laissant deviner la cour de mes voisins dont le mur d’enceinte se prolonge vers la droite pour délimiter le mien. Séparant les deux espaces, le toit de mon garage est recouvert d’ardoises tranchant avec les murs crème. La vue de ma fenêtre est bloquée à droite et à gauche par les maisons voisines, dont on ne voit que des murs aveugles mais qui encadrent parfaitement le champ de vision et le concentrent sur les deux maisons nous faisant face. Celle de gauche, le 11 passage du théâtre, une maison des plus classiques, est habitée par un couple de retraités. Murs blancs, toit de tuiles rouges, fins rideaux blancs et balustrades métalliques. Au contraire, au numéro 13, une maison moderne a remplacé la bicoque chancelante qui s’y dressait encore cinq ans plus tôt. Je me souviens que de longues fissures lézardaient les murs de cette maison et qu’en la regardant sous un certain angle, on pouvait constater que sa façade penchait dangereusement vers la rue. La bâtisse qui a pris sa place ressemble à ces maisons neuves que l’on trouve en Bretagne et qui semblent fabriquées à la cha��ne. Murs blancs, toit noir, premier étage tapissé de briques beiges subtiles, volets roulants et alarme : tout dans cette maison semble crier modernité. Ces deux habitations sages semblent s’écarter pour permettre au portail du 11 bis de se faufiler dans cet étroit couloir. Celui-ci mène à une petite maison en retrait, cachée derrière une verdure foisonnante. En aménageant ici il y a quelques années, mes voisins ont entrepris le projet de rénover le terrain seuls, et aujourd’hui encore des monticules de terre et de pavés y entrent et sortent quotidiennement. Ici, le muret de briques est monté à la main et le portail commandé à un ami artisan, le chemin tracé et pavé à la force des bras et le mimosa gracieusement arqué à l’entrée planté à la sueur du front. On ne peut malheureusement pas observer l’avancée des travaux depuis notre perchoir.
Dans l’espace laissé par les numéros 11 et 13, au-dessus du 11 bis, s’étend une mare de toits, bien trop petite pour être appelée mer. On peut apercevoir quelques immeubles parisiens, de ceux en briques beige décorés de briques rouges et vertes, le clocher de l’église et même, depuis un point très spécifique et particulièrement inconfortable, le dernier étage de la tour Eiffel, dont il est plus facile de remarquer la présence la nuit, quand son faisceau éclaire brièvement le ciel.
Enfin, parfaitement situé pour être aperçu au premier coup d’œil, se dresse un immeuble qui, dans la lumière de l’après-midi, paraît d’un blanc immaculé, et au crépuscule se teinte de toutes les nuances de rose. Sa structure ressemblant à un escalier en colimaçon m’a toujours fascinée car elle permet d’aménager des jardins à des dizaines de mètres du sol. Plus en retrait se tient un bâtiment, plus petit que le précédent mais néanmoins plus haut que les maisons environnantes, à la couleur marron-sale. Il est lui aussi moderne et ressemble à un simple cube, triste et morne. Quand j’étais petite, j’imaginais que la tour blanche et verdoyante habitait des justiciers combattant les méchants qui avaient élu domicile dans l’immeuble sombre et lugubre.
On se rendra vite compte, accoudé à la fenêtre, que l’on ne pourra pas rester beaucoup plus longtemps, que bientôt on aura tout vu. Alors on attendra, juste le temps du coucher de soleil qui colorera les nuages de milles teintes d’orange, de rose et de pourpre, puis on fermera la fenêtre et on lui tournera le dos. On lui préfèrera d’autres activités plus ludiques, mais rien ne nous procurera la même sérénité que ce simple instant suspendu au-dessus des toits.
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tumblr
21.02.2021
Temps de réalisation : 2 jours
Encre de chine, feutre, Krita
Pour réaliser cette animation, je me suis inspirée de la peinture à l’encre chinoise, où les nuages représentent un espace de transition et de transformation. J’ai d’abord dessiné toutes les images au crayon à l’aide d’une tablette lumineuse puis je les ai encrées. J’ai ensuite monté le tout sur le logiciel Krita avant de faire quelques modifications, en rajoutant des in between, notamment.
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17.02.2021
Temps de réalisation : 6h
Blender
J’ai suivi le tutoriel de Keelan Jon sur YouTube pour apprendre à créer des personnages sur Blender.
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18.02.2021
Temps de réalisation : 1h
Crayon graphite, feutre
Posing pour un projet de court-métrage.
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02.2021
Temps de réalisation : 1h30
Crayon à papier, feutres, stylo plume
Double page de mon carnet d’imagination.
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22.02.2021
Crayon à papier, feutre
Croquis sur le vif réalisés dans Paris.
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06.02.2021
Temps de réalisation : 20h
Papier calque, papier noir, feutres à alcool, gouache, papier aluminium, crayon à papier
Pour ce projet, j'ai dessiné sept figures dansantes sur du papier calque et fabriqué une boule à facettes avec du papier mâché et du papier aluminium. J'ai représenté une scène qui pourrait se dérouler dans une boîte de nuit avec pour but de mettre en avant le rôle des lumières fortes et celui de capturer un instant, d'arrêter le temps. J'ai utilisé du papier calque pour étendre encore le rôle de la lumière qui le transperce et donne aux couleurs un aspect différent. Le vide entourant les figures ainsi que leur séparation visent à donner une impression de tranquillité et d'isolement que l'on peut ressentir lorsque l'on danse.
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13.02.2021
Temps de réalisation : 1h, 20min, 1h, 30min
Crayon graphite, bâton graphite
Copies de La Liseuse de Jean-Honoré Fragonard, Autoportrait aux deux cercles de Rembrandt et Autoportrait au chapeau d’Auguste Macke effectuées au cours Arts Plastiques - Préparation aux écoles d’art de la mairie de Paris.
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15.02.2021
Temps de réalisation : 1h en tout
Photographie
Dans ce projet de photographie, j’ai voulu jouer avec la lumière, les couleurs, la fenêtre et la notion d’intérieur et d’extérieur. J’ai voulu transmettre l’atmosphère de la vue depuis ma fenêtre la nuit grâce à des jeux de couleur.
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01.2021
Temps de réalisation, 10min, 3min, 5min
Crayon marron, crayon à papier
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23.01.2021
Temps de réalisation : 5h en tout
Craies grasses rouge, bleue, jaune et noire
Effectué d’après modèle au cours Arts Plastiques - Préparation aux écoles d’art de la mairie de Paris.
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08.01.2021
Temps de réalisation : 1h
Feutres à alcool, feutre noir
Bande-dessinée issue d’une série de petites histoires tirées de pensées qui me sont venues ou de situations vécues.
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05.01.2021
Feutre pinceau
Croquis sur le vif chez le médecin et au lycée.
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