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GULO GULO
55 posts
Le gulo gulo ? C'est une bestiole qui aime bien manger. Ce blog me sert simplement à rassembler les petits plats que j'aime le plus... et c'est aussi pour les partager avec les ami.e.s ! Vous y trouverez des recettes provenant de mes voyages, de mes rencontres, de ma famille viet' et périgourdine, de ma collection de bouquins. Elles sont toutes testées, parfois ratées puis adaptées ou réinventées. Ces recettes peuvent vous sembler un peu longues, c'est simplement que je m'éforce d'expliquer chaque étape en partageant mes petits trucs. Ici, tout est faisable avec seulement le matos de base, même dans une mini cuisine parisienne.
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adrienrecettes · 1 year ago
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Tarte Bourdaloue
Les ingrédients
4 poires pochées maison (ou 1 bonne boîte de poires au sirop du commerce)
Pour la pâte sablée
250 g de farine
160 g de beurre mou
1 oeuf entier
60 g de sucre en poudre
Pour la crème aux amendes
2 oeufs
90 g de sucre en poudre
120 g de poudre d'amende
120 g de beurre mou
Les étapes de la recette
Préparez la pâte sablée : tamisez la farine au-dessus d'une grande jatte. Coupez le beurre en petits morceaux et travaillez-le du bout des doigts avec la farine jusqu'à ce que la préparation soit sableuse et qu'il ne reste plus de morceaux de beurre.
Creusez un puits dans le sablage obtenu. Cassez-y l'oeuf et versez le sucre en poudre. Mélangez du bout des doigts tous les ingrédients, mais sans trop les malaxer. Renversez la pâte sur un plan de travail. Afin de la rendre bien homogène, écrasez la pâte sous votre paume en poussant devant vous puis roulez-la en boule et aplatissez-la entre vos mains. Enveloppez la pâte d'un film alimentaire et laissez-la reposer au moins 30 minutes au réfrigérateur.
Préchauffez votre four à 190°C.
Préparez la crème : dans une jatte, fouettez les oeufs entiers avec le sucre. Ajoutez la poudre d'amendes et le beure puis mélangez bien.
Etalez la pâte sur 2 mm d'épaisseur.
Recouvrez un moule à tarte de 26 cm de diamètre de papier sulfurisé. Garnissez-le de pâte.
Piquez le fond de pâte avec une fourchette. Enfournez une dizaine de minutes pour pré-cuire la pâte à blanc.
Etalez la crème aux amendes sur le fond de pâte précuit.
Coupez les poires en deux et égouttez-les.
Coupez-les en lamelles sur une planche. Avec la paume de la main, donnez un petit mouvement aux demi-poires pour les coucher légèrement en éventail. Soulevez-les une par une à l'aide d'une spatule et déposez-les délicatement en rosace sur la crème.
Enfournez en bas du four pour 30 à 40 minutes.
Laissez tiédir avant de démouler. Servez tiède ou froid.
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adrienrecettes · 1 year ago
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Poires pochées
Les fruits au sirop maison, c'est tellement meilleur que les produits du commerce et c'est très facile à faire. Les poires pochées peuvent être dégustées avec du chocolat fondu, elles peuvent agrémenter une salade de fruits, être utilisées dans une tarte Bourdaloue, une charlotte...
Les fruits au sirop sont également une astuce anti-gaspillage si on procède au traitement thermique pour réaliser des conserves. Que vous vouliez déguster vos poires pochées immédiatement ou faire des bocaux pour déguster les fruits de votre poirier toute l'année, je vous explique comment faire...
Ingrédients pour 4 poires
4 belles poires
1 litre d'eau
400 g de sucre pour obtenir un sirop moyen (en fonction de vos goûts, vous pouvez diminuer ou augmenter la quantité de sucre pour alléger ou alourdir le sirop)
1 citron biologique
1 gousse de vanille
1 étoile de badiane (anis étoilé)
1 baton de cannelle
1 pincée de noix de muscade fraîchement râpée
1 clou de girofle
2 ou 3 grains de poivre
Les étapes de la recette
Pour déguster immédiatement
Dans une casserole, faites bouillir l'eau avec le sucre, la gousse de vanille fendue, le zeste du citron et les épices.
Après ébullition, laissez frémir le sirop 1/4 d'heure.
Pendant ce temps, pelez et coupez en deux les poires. Frottez-les avec le citron pour éviter qu'elles noircissent. Déposez-les dans la casserole contenant le sirop.
Laissez cuire doucement environ 20 minutes (vérifier la consistance des poires avec la pointe d'un couteau).
Lorsque les poires sont cuites, laissez refroidir dans le sirop.
Pour réaliser vos bocaux
Pour les poires, je recommande des bocaux de 0,25 litre (diamètre 70). Le Parfait est la meilleure marque de bocaux.
Nettoyez correctement vos bocaux. Rincez-les à l'eau bouillante. Vérifiez le bon état des joints.
Dans une casserole, faites bouillir l'eau avec le sucre, la gousse de vanille fendue, le zeste du citron et les épices.
Après ébullition, laissez frémir le sirop 1/4 d'heure.
Pendant ce temps, pelez et coupez en deux les poires. Frottez-les avec le citron pour éviter qu'elles noircissent.
Rangez les poires dans les bocaux puis couvrir avec le sirop préalablement filtré jusqu'à 2 centimètres du rebord.
Fermez les bocaux et procédez immédiatement au traitement thermique : 35 minutes à 100°C.
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adrienrecettes · 1 year ago
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Gratin dauphinois
Ce plat familial est peu couteux, très simple à réaliser et toujours savoureux. C'est un grand classique de la gastronomie française, parfait pour accompagner une belle pièce de viande, un poisson ou simplement une jolie salade verte. Je vous propose la recette traditionnelle, sans fromage !
Les ingrédients pour 6 gourmands
1 kilo de pommes de terre à chair jaune et pas trop ferme (les Charlotte donnent un goût légèrement sucré et doux, les Monalisa ou les Bintje conviennent également très bien)
1 gousse d'ail
30 cl de crème fraîche entière
40 cl de lait entier (j'utilise souvent du lait de chèvre ou de brebis mais un bon lait de vache convient très bien)
1 petite noisette de beurre
Une pincée de sel
Du poivre du moulin
2 pincées de noix de muscade fraichement râpée
Les étapes de la recette
Préchauffez le four à 165°C. Epluchez les pommes de terre, lavez-les et séchez-les soigneusement. Coupez-les en rondelles très fines (vous pouvez utiliser un couteau mais la mandoline est l'ustensile idéal pour réussir cette recette).
Pelez la gousse d'ail et frottez généreusement un plat à gratin. Mélangez le lait et la crème.
Disposez les rondelles de pommes de terre en couches successives, peu épaisses, en assaisonnant de sel, de poivre et d'un peu de muscade.
Versez par dessus la crème et le lait. Les pommes de terre doivent être recouvertes à fleur, pas davantage. Parsemez de quelques noisettes de beurre à la surface et enfournez à 165°C pendant 1 heure environ. La surface du gratin doit être bien dorée et très légèrement desséchée.
Servez bien chaud.
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adrienrecettes · 3 years ago
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Bánh mì nhân thịt
La première boulangerie vietnamienne a ouvert ses portes à Hô Chi Minh City en à la fin des années 1950, durant l’Indochine française. Le bánh mì, ce délicieux sandwich vietnamien préparé dans une baguette de pain, fut inventé peu de temps après. Il est vendu dans les rues, traditionnellement garni de pâté de porc, de porc grillé, de beaucoup d’herbes aromatiques, de carottes vinaigrées, de petits légumes... C’est trop bon !!! 
Les ingrédients pour 4 personnes 
2 cuillères à café de sauce nuoc-mâm
2 cuillères à café de sauce soja 
Environ 10 cl de vinaigre de riz 
Des tranches de porc laqué, les restes d’un poulet ou des crevettes 
Eventuellement quelques tranches de giò lụa (mortadelle vietnamienne)
Un peu de mayonnaise ou de la sauce au piment doux, selon vos goûts 
Un peu de sel 
1 cuillère à soupe de sucre
4 grosses feuilles de salade verte 
2 bonnes baguettes de pain 
1 concombre 
1 beau bouquet de coriandre, lavé et égoutté  
2 carottes taillées en julienne 
1 oignon rouge 
1 gousse d’ail 
1 petit piment 
Les étapes de la recette
Avec ou sans viande 
Cette recette de sandwichs est idéale pour utiliser vos restes de viande : porc laqué, boeuf, poulet... Vous pouvez également préparer un bánh mì à base de crevettes ou opter pour une version végétarienne.
Les légumes
Coupez le concombre en petits bâtonnets ou en rondelles. Mélangez-le dans un grand bol avec le sel. Laissez dégorger au moins 20 minutes. Rincez et égouttez. 
Pelez et taillez les carottes en julienne. Epluchez et coupez l’oignon en fine lamelles. Hachez l’ail et le piment. 
Dans un saladier, mélangez tous les légumes avec le sucre et le vinaigre. Laissez macérer pendant environ 1 heure. 
Après avoir retiré les tiges, ciselez les feuilles de coriandre.  
La réalisation des sandwichs
Coupez les baguettes en 2 puis ouvrez chaque morceau dans la longueur. 
Tartinez chaque morceau de pain avec de la mayonnaise et/ou de la sauce au piment doux. 
Dans chaque sandwich, disposez les feuilles de salade verte, la viande (ou les crevettes), les légumes, la coriandre. Tassez bien. 
Juste avant de servir, ajoutez quelques gouttes de nuoc-mâm et/ou de sauce soja. 
Fermez les sandwichs et dégustez immédiatement ! 
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adrienrecettes · 3 years ago
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Bò xào xả
Voici une recette vietnamienne de boeuf à la citronnelle, très facile et rapide. C’est délicieux avec un riz gluant. 
Les ingrédients
2 bâtons de citronelle
2 cuillères à soupe de nuoc-mâm
1 cuillère à soupe de sauce soja
500 de boeuf (il faut choisir un bon morceau, une pièce tendre et qui a du goût : aiguillette, gîte à la noix, rond de gîte, tende de tranche) 
1 oignon
4 branches de coriandre 
2 cuillères à soupe d’huile de tournesol 
poivre du moulin  
Les étapes de la recette
Découpez la viande en tranches très fines. Si vous n’êtes pas le roi ou la reine de la découpe, n’hésitez pas à demander de l’aide à votre boucher ! 
Epluchez et coupez l’oignon finement. Coupez les bâtons de citronnelle en fines lamelles. 
La cuisson est très rapide ! Chauffez l’huile dans une grande poêle ou un wok. Faites revenir l’oignon avec la viande, la sauce nuoc-mâm, la sauce soja et du poivre. Laissez cuire la viande à feu vif pendant environ 5 minutes. 
1 minutes avant la fin de la cuisson, ajoutez la citronnelle. 
Servez dans de petits bols, parsemez de coriandre. Dégustez avec un panier de riz gluant. 
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adrienrecettes · 3 years ago
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Poulet au curry vert
Je vous propose de vous régaler avec un grand classique de la gastronomie thaïlandaise : le poulet curry vert. J’adapte parfois la recette pour une version végétarienne, en remplaçant la viande par davantage de légumes. 
Les ingrédients
2 cuillères à soupe d’huile de coco (vous pouvez également utiliser une autre huile végétale : arachide ou tournesol)
1 petit pot de pâte de curry vert (je l’achète déjà préparé dans les épiceries asiatiques mais il est également possible de le préparer soi-même, je vous communiquerai la recette prochainement) 
1 beau poulet fermier coupé en morceaux (voici quelques conseils pour bien découper votre poulet) 
500 ml de lait de coco (ou davantage si votre poulet est très gros, ou si vous mettez un peu plus de légumes) 
Quelques oignons nouveaux émincés (ou des oignons jaunes) 
Quelques aubergines thaïlandaises coupées en gros morceaux (si vous n’en trouvez pas, vous pouvez les remplacer par des courgettes)
En fonction de la saison et de vos envies, vous pouvez ajouter d’autres petits légumes : pois mange-tout, carottes, mini épis de maïs... 
2 ou 3 petits piments selon vos goûts (je choisis des piments parfumés mais pas trop piquants, le curry vert est déjà assez puissant)
Quelques feuilles de basilic thaïlandais (facultatif) 
1 cuillère à soupe de sucre roux
1 cuillère à soupe de nuoc-mâm (cette célèbre sauce vietnamienne à base de poisson)  
1 citron vert
1 bouquet de coriandre
Un peu de sauce soja (facultatif) 
Les étapes de la recette
Chauffez l’huile dans une cocotte puis faites revenir les oignons émincés avec les morceaux de poulet. Remuez régulièrement.
Lorsque le poulet et les oignons sont bien dorés, ajoutez la pâte de curry vert et mélangez bien. Continuez de faire cuire à feu moyen-vif. 
Versez le lait de coco et portez à ébullition. 
Baissez le feu (moyen) et ajoutez les légumes. Laissez mijoter le temps nécessaire jusqu’à que le poulet et les légumes soient bien cuits (il faut surveiller la cuisson régulièrement et ajuster la puissance du feu si besoin). Si vous mettez des légumes qui nécessitent un temps de cuisson moins important, ajoutez-les plus tard pour qu’ils soient “al dente”. C’est meilleur quand les légumes sont encore un peu croquants. 
Retirez du feu et incorporez le basilic thaï ciselé et les petits piments émincés. Ajoutez le sucre et la sauce nuoc-mâm. Remuez. 
Servez ce plat bien chaud avec quelques feuilles de coriandre, des rondelles de citron vert et de la sauce soja (chaque convive pourra ainsi assaisonner son assiette selon ses envies). Vous pouvez l’accompagner de riz blanc. 
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adrienrecettes · 3 years ago
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Soufflé au fromage
La France est le pays des fromages, cela ne fait aucun doute ! Il existe donc une multitude de recettes de soufflés. Je partage ici une recette facile et rapide à base de fromage à pâte pressée cuite. Selon vos goûts, vous pouvez utiliser le Comté, le Gruyère, l’Emmental, le Beaufort, l’Abondance... 
Liste des ingrédients pour 4 personnes 
50 g de beurre coupé en petits morceaux + un peu pour le moule 
60 g de farine + un peu pour le moule 
150 g de fromage à pâte pressée cuite : Comté, Gruyère, Beaufort, tomme... (on peut éventuellement mélanger les fromages) 
4 oeufs
300 g de de lait tiède (de vache, de chèvre ou de brebis) 
1 pincée de noix de muscade fraichement moulue
2 pincées de sel (il faut ajuster la quantité en fonction des goûts et du fromage choisi) 
2 ou 3 pincées de poivre fraichement moulu 
100 g de crème fraîche   
Les étapes de la recette
Préchauffez le four à 180°C. Beurrez et farinez un grand moule à soufflé (d’environ 20 cm de diamètre) ou 4 petits moules individuels. 
Râpez le fromage puis réservez-le. 
Cassez les oeufs en séparant les blancs des jaunes.
Dans une casserole, faites fondre le beurre à feu doux. Ajoutez la farine et remuez rapidement. Versez le lait tiède petit à petit, en fouettant pour éviter les grumeaux. Lorsque le mélange est homogène, retirez la casserole du feu. 
Hors du feu, versez les jaunes d’oeufs dans la casserole. Ajoutez le fromage râpé, la crème, le sel, le poivre et la muscade. Mélangez vigoureusement. 
À l’aide d’un batteur ou d’un fouet, montez les blancs d’oeufs en neige.
À l’aide d’une maryse, incorporez délicatement les blancs d’oeufs battus au mélange. Versez dans le moule à soufflé préalablement beurré et fariné. 
Enfournez 35 à 40 minutes. Servez bien chaud. 
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adrienrecettes · 3 years ago
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Chili con/sin carne
Contrairement à ce que nous pouvons penser, le chili con carne n’est pas une recette mexicaine. C’est un ragoût épicé originaire du sud des Etats-Unis... mais peu importe si ce plat nous régale ! Je vous propose une recette à base de viande de boeuf, ainsi qu’une délicieuse variante végétarienne. 
Les ingrédients 
Pour les tortillas J’aime bien servir le chili avec ces galettes souples que l’on peut garnir de viande, de haricots rouges, de guacamole, de crème fraîche, de coriandre... On peut éventuellement remplacer ces galettes par du riz blanc. 
100 g de farine de blé
100 g de farine de maïs
100 ml d’eau
1 cuillère à soupe d’huile de tournesol 
1 pincée de sel
Pour le guacamole
Quelques brins de coriandre fraîche
100 g d’oignons rouges 
1 petit piment rouge (ou quelques gouttes de Tabasco) 
1 gousse d’ail 
100 g de tomates coupées en petits dés 
450 g de chair d’avocat 
30 g d’huile d’olive 
Le jus d’un petit citron vert 
1 pincée de sel 
1 pincée de paprika 
1 pincée de graines de coriandre en poudre
1 pincée de cumin
Pour le chili 
300 g d’oignons 
5 gousses d’ail 
30 g d’huile de tournesol 
750 g de viande de boeuf hachée (vous pouvez remplacer la viande par ma recette de haché végétal) 
400 g de tomates concassées (si ce n’est pas la saison, on peut acheter une bonne conserve)
30 g de concentré de tomate 
1 cuillère à café de sucre roux 
2 pincées de sel 
1 pincée de curcuma 
2 ou 3 pincées de paprika 
1 cuillère à soupe d’origan séché 
1 pincée de cumin en poudre 
1 pincée de graines de coriandre en poudre
1 petit piment rouge 
1 ou 2 carrés de chocolat noir 
540 g de haricots rouges cuits et égouttés 
1 petite boite de maïs doux (140 g) 
Pour accompagner le chili 
1 petit bouquet de coriandre 
250 g de crème fraîche 
250 g de cheddar fermier râpé 
Du Tabasco 
1 citron vert coupé en quartiers  
La recette 
Les tortillas
Dans une grande jatte, mélangez la farine de blé, la farine de maïs et la pincée de sel. 
Ajoutez progressivement l’eau et l’huile. Pétrissez la pâte pendant 5 minutes. Laissez reposer 30 minutes. 
Séparez la pâte en 6 ou 8 portions égales. Sur un plan de travail bien fariné, étalez finement les petits pâtons en cercles d’un diamètre adapté à la taille de votre poêle. N’hésitez pas à rajoutez un peu de farine si la pâte est trop collante. 
Faites cuire les tortillas dans une poêle à crêpe (environ 1 minute 30 de chaque côté). Vous pouvez huiler légèrement votre poêle si nécessaire.
Les tortillas sont bien meilleures chaudes. Si besoin, vous pouvez les réchauffer quelques minutes dans un four traditionnel ou dans un four à micro-ondes en les enveloppant dans du papier sulfurisé. 
Le guacamole
Ciselez les feuilles de coriandre. Hachez finement les oignons, le piment et l’ail. Coupez les tomates en petits dés. 
Dans une jatte, mettez la chair d’avocat, l’huile d’olive, le jus de citron vert, le sel et les épices. Ecrasez à l’aide d’une fourchette (vous pouvez également utiliser un robot mais il ne faut pas trop mixer, la texture doit rester grumeleuse). 
Ajoutez la coriandre, l’oignon, le piment, l’ail et les tomates. Mélangez avec la chair d’avocat. Goûtez et rectifiez l’assaisonnement si besoin. 
Placez au frigo jusqu’au moment de servir. 
Le chili 
Hachez l’ail et émincez l’oignon finement.
Faites chauffer l’huile dans une cocotte puis rissolez l’oignon et l’ail. 
Ajoutez la viande (ou le haché végétal).
Laissez mijotez 10 minutes en remuant régulièrement (vous pouvez ignorer cette étape si vous utilisez le haché végétal). 
Baissez le feu et ajoutez les tomates concassées, le concentré de tomate, le sucre, le piment émincé, le sel, les épices et le chocolat haché finement. Remuez et laissez mijoter encore 30 minutes.
Ajoutez les haricots rouges et remuez délicatement. Laissez mijoter à feu doux encore 5 petites minutes, jusqu’à ce que le mélange soit bien chaud. 
Pour servir le chili 
Placez tous les ingrédients sur la table dans différents plats. Chaque convive pourra ainsi se servir et garnir les tortillas selon ses envies :  - les galettes (ou du riz) - le guacamole  - le chili  - du cheddar râpé  - de la crème fraîche - de la coriandre ciselée - du citron vert  - du Tabasco 
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adrienrecettes · 3 years ago
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Haché végétal et gourmand
Principalement pour des raisons écologiques, je limite de plus en plus ma consommation de viande (même si je n’y renonce pas totalement). Je reste cependant gourmand ! Pour les burgers ou les spaghetti aux boulettes, je vous propose une alternative végétarienne. 
Les ingrédients 
300 g de blé complet cuit (ou de quinoa) 
1 petit oignon émincé
15 g de champignons de Paris émincés
Huile de cuisson (olive vierge, pépin de raisin, coco, tournesol ou avocat)
2 pincées de paprika 
2 blancs d’oeuf
175 g de haricots rouges cuits et égouttés (on peut également utiliser des pois chiches ou des lentilles corail) 
3 dattes, pruneaux ou abricots secs dénoyautés 
1 cuillère à soupe de Maïzena
1 petite poignée de betterave crue, pelée et coupée en cubes
1 cuillère à soupe de sauce soja
2 pincées de sucre brun
2 cuillères à soupe de persil plat
1 cuillère à café de sel
1 peu de farine pour vos mains et le plan de travail 
Préparation
Faites cuire le blé en suivant les instructions inscrites sur le paquet afin d’obtenir 300 g de blé cuit. 
Dans une sauteuse, faites revenir les champignons et les oignons émincés dans un peu d’huile. Ajoutez le paprika. 
À l’aide d’un robot ou d’une fourchette, mixer le blé cuit et les légumes sautés avec tous les autres ingrédients. Si vous utilisez un robot, il ne faut pas mixer trop finement. Le but est d’obtenir une texture similaire à celle d’un steak haché.
À l’aide de vos mains bien farinées, vous pouvez former des galettes ou des boulettes. Faites cuire dans l’huile jusqu’à l’obtention d’une belle couleur dorée. 
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adrienrecettes · 3 years ago
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La couronne des rois
Il n’y a pas que la frangipane, vous pouvez célébrer l’épiphanie autrement ! Dans le sud de la France, on déguste la couronne des rois. J’ai déjà partagé ma recette de brioche dans un précédent billet. Il s’agit ici d’une variante gourmande, parfumée à la fleur d’oranger et garnie de délicieux fruits confits.
Les ingrédients
2 cl de lait
20 g de levure boulangère fraîche émiettée (ou 10 g de levure boulangère sèche)
350 g farine pas trop fine (idéalement de la farine à pain au levain, d’une mouture spécifique pour maintenir la richesse naturelle du blé)
4 oeufs frais à température ambiante
60 g de sucre
Une pincée de sel fin
170 g de beurre coupé en petits morceaux
1 peu de crème fleurette pour la dorure (c’est bien mieux que le jaune d’oeuf)
2 cuillères à café d’eau de fleur d’oranger
1 cuillère à café de rhum
Le zeste d’un citron jaune
Le zeste d’une orange
50 g de bons fruits confits coupés en petits dés (les meilleurs se trouvent en Provence ou chez Hédonie, une épicerie bio dans le sixième arrondissement de Paris)
Quelques fruits confits entiers
Quelques grains de sucre perlé
Préparation
Faites légèrement tiédir le lait.
Mettez la levure dans le fond d’un bol puis versez doucement le lait tiède. Remuez pour bien dissoudre la levure dans le lait.
Battez le lait avec les oeufs à température ambiante. Ajoutez l’eau de fleur d’oranger, le rhum et les zestes d’agrumes.
Mettez la farine dans une grande jatte avec le sucre et le sel, creusez un puit au centre. Versez y doucement le mélange lait-oeufs en remuant pour éviter les grumeaux.
À l’aide d’un robot pétrin (vitesse minimale) ou avec vos mains, travaillez la pâte durant une bonne dizaine de minutes. Lors du pétrissage, ajoutez peu à peu les noisettes de beurre. Veillez à ce que chaque noisette de beurre soit bien incorporée avant d’en rajouter. La pâte doit être souple et élastique, elle doit former une boule qui se détache des parois de la jatte.
Ajoutez les fruits confits coupés en petits dés et pétrissez encore un peu afin de bien les incorporer à la pâte.
Avec un torchon humide et tiède, couvrez la grande jatte contenant la pâte. Laissez pousser dans un endroit chaud jusqu’à ce que la pâte ait doublé de volume (il faut compter environ 3 heures).
Déposez la pâte sur un plan de travail fariné. Formez une boule avec vos mains farinées, sans oublier d’y placer une fève à l’intérieur !
Mettez la boule de pâte au centre d’une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Enfoncez deux doigts au coeur de la boule pour y faire un trou. Afin d’obtenir une couronne, élargissez progressivement le trou en faisant tourner la pâte. Graissez un emporte-pièce circulaire de 10 cm de diamètre et placez-le au milieu de la couronne pour éviter que le trou ne se referme durant la cuisson.
Laissez de nouveau pousser dans un endroit chaud, jusqu’à ce que le volume de la pâte double (environ 1 heure). Pendant ce temps, préchauffer votre four à 180°.
Quand la pâte a bien poussé, badigeonnez le dessus d’un peu de crème liquide (à l’aide d’un pinceau ou de vos doigts).
Parsemez de perles de sucre. Enfournez environ 30 minutes jusqu’à l’obtention d’une jolie couleur doré (adaptez la température de votre four si besoin, il ne faut pas que la brioche brunisse trop rapidement).
À la sortie du four, retirez délicatement l’emporte-pièce et laissez refroidir la brioche sur une grille.
Décorez avec les fruits confits entiers.
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adrienrecettes · 3 years ago
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La galette à la crème frangipane
Je vous souhaite une bonne année ! Les festivités continuent puisque c’est le jour de l’épiphanie. Pour tirer les rois, voici comment préparer une bonne galette garnie de cette fameuse crème aux amendes. 
Les ingrédients 
Dans mes précédents billets, j’ai déjà partagé avec vous tout ce que vous devez savoir pour réaliser une bonne galette des rois :
une recette très simple de pâte feuilletée (bien meilleure que celle qu’on peut acheter au supermarché) ; 
la recette de la crème d’amende ; 
la recette de la crème pâtissière ;   
il vous faudra également un peu de crème liquide et une fève ! 
La préparation de la galette 
Afin d’obtenir une crème frangipane, incorporez petit à petit 350 g de crème pâtissière à 300 g de crème d’amende. Couvrez d’un film alimentaire et réservez au réfrigérateur. 
Sur un plan de travail fariné, déposez 2 boules de pâte feuilletée d’environ 225 g chacune. Les pâtons doivent être bien froids.
Etalez les boules en deux grands disques de 24 ou 25 cm de diamètre (vous pouvez vous aider d’un moule à manqué pour obtenir des formes bien circulaires).
Placez un premier disque de pâte sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé. Sur 1 cm de large environ, badigeonnez le contour de ce disque avec de la crème liquide.
Etalez la crème frangipane en partant du centre et en s’arrêtant à environ 3 cm du bord. N’oubliez pas de mettre la fève ! 
Couvrez avec le second disque en appuyant sur le contour pour souder la pâte feuilletée (vous pouvez utiliser les dents d’une fourchette). 
Afin d’obtenir une jolie dorure durant la cuisson, étalez de la crème liquide sur le dessus de la galette à l’aide d’un pinceau ou de vos doigts. 
Très délicatement, à l’aide de la lame d’un couteau, crantez le contour et striez le dessus de la galette (vous pouvez dessiner une rosace ou des losanges). Percez également quelques petits trous (dont un plus gros au centre) pour laisser l’air s’échapper.
Réservez au frais durant 30 minutes. Préchauffez votre four à 240°. 
Enfournez la galette et surveillez attentivement la cuisson. Quand elle a bien gonflé (après 15 minutes environ), baissez la température de votre four à 200°. Il faut obtenir une jolie dorure, retirez la galette avant qu’elle ne brunisse trop. La cuisson dure environ 35 minutes au total.
Dégustez la galette tiède, c’est bien meilleur !  
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adrienrecettes · 4 years ago
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Kanelbulle
Ces petites brioches à la cannelle sont absolument délicieuses. C’est une véritable institution en Suède, où l’on déguste la kanelbulle avec un bon café au cours de l’incontournable fika. Il existe même une fête suédoise dédiée à la kanelbulle : le 4 octobre. 
Ingrédients
Pâte à brioche (vous pouvez cliquer ici pour trouver ma recette)
100 g de beurre pomade 
60 g de sucre en poudre
1,5 cuillère à soupe de cannelle en poudre
Un peu de crème liquide
Quelques perles de sucre
Préparation
Suivez ma recette de brioche jusqu’à l’étape n°6.
Sur une surface farinée, abaissez la pâte en rectangle. Etalez dessus le beurre mou et saupoudrez du mélange sucre-cannelle.
Roulez la pâte et découpez une dizaine de rouleaux. 
Placez les rouleaux sur une plaque recouverte de papier sulfurisé. Couvrez de film alimentaire ou d’un torchon propre légèrement humide. Laissez lever pendant environ 1 heure dans un endroit tiède, les rouleaux doivent être bien gonflés. 
Préchauffez votre four à 190°.
À l’aide l’un pinceau ou de vos doigts, badigeonnez les rouleaux avec un peu de crème liquide. Parsemez de perles de sucre. 
Enfournez et laissez cuire jusqu’à ce que les roulés soient bien dorés (le temps de cuisson est compris entre 15 et 20 minutes, en fonction de la taille de vos rouleaux et de la puissance de votre four). 
Servez chaud ! 
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adrienrecettes · 5 years ago
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American muffins
Les muffins américains sont les plus connus chez nous, il s’agit de petits gateaux pouvant être déclinés en différentes saveurs : chocolat, myrtilles, banane... Contrairement aux cup cakes, il n’y a pas de glaçage.
Il existe une tout autre recette : les muffins anglais. Ils n’ont rien à voir avec la version américaine. Il s’agit de petits pains à la farine complète, salés, servant de base aux œufs Bénédicte (je vous donnerai ma recette bientôt).
Ingredients pour 6 muffins aux myrtilles
30 g de beurre
1 œuf
70 g de sucre
150 g de crème fraîche épaisse
120 g de farine
1 pincée de sel
1 sachet de levure chimique
70 g de myrtilles (fraîches ou surgelées)
Le recette
La recette
Si vos myrtilles sont fraîches, placez-les au congélateur (afin qu’elles ne s’écrasent pas en les mélangeant à la pâte). Préchauffez le four à 180°C et beurrez 6 moules à muffins.
Dans une petite casserole, faites fondre le beurre puis retirez-le du feu.
Dans un bol, mélangez l’œuf et le sucre jusqu’à ce que la texture devienne crémeuse. En continuant à fouetter, ajouter le beurre et la crème fraîche petit à petit.
Dans une jatte, mélangez la farine, le sel et la levure. Ajoutez les myrtilles congelées à la farine puis mélangez.
Versez les ingrédients liquides dans la jatte avec la farine et les myrtilles, mélangez rapidement. Il ne faut pas trop travailler la pâte, il n’est pas utile d’obtenir un mélange parfaitement homogène (vos muffins risqueraient d’être durs).
Remplissez aussitôt les moules aux deux tiers (pour que la pâte ait la place de gonfler en formant un joli dôme). Faites vite pour éviter que les myrtilles ne décongèlent.
Tapotez les moules sur votre plan de travail afin de chasser les bulles d’air. Enfournez entre 15 et 20 minutes en fonction de la taille de vos moules (il faut surveiller). Vous pouvez planter une lame au cœur d’un gateau, elle doit ressortir sèche.
Sortez les moules du four. Pour démouler facilement vos muffins, passer la lame d’un couteau autour des parois des moules. Laissez-les refroidir sur une grille à pâtisserie.
Servez vos muffins au petit-déjeuner ou au goûter, avec du thé ou du café.
Les variantes
Il existe de nombreuses variantes, mais la recette de base est toujours la même.
Pour les muffins au chocolat, mélangez 90 g de farine, 20 g de cacao tamisé et 2 g de levure chimique. Dans un autre récipient, fouettez 80 g de sucre avec 2 œufs. Ajoutez 90 g de beurre fondu puis 75 g de lait. Versez le mélange liquide sur la farine, incorporez 50 g de chocolat noir haché grossièrement (ou des pépites) puis mélangez.
Pour les muffins à la banane, il faut préchauffer le four à 210°C. Mélangez 135 g de farine, 2 g de bicarbonate, 2 g de levure chimique, 2 g de cannelle et une pincée de sel. Dans un autre récipient, fouettez 1 œuf avec 155 g de sucre. Ajoutez 40 g de beurre fondu, 2 petites bananes écrasées et 30 g de lait entier. Versez le mélange liquide sur la farine et remuez.
Pour des muffins à l’avoine et aux pommes : faites gonfler 80 g de flocons d’avoine dans 175 g de lait entier. Battez 1 oeuf avec 50 g de beurre fondu et 4 g d’extrait de vanille (ou les graines d’une gousse). Incorporez les flocons d’avoine et le lait. Dans un autre récipient, mélangez 110 g de farine T55, 4 g de levure, 2 bonnes pincées de cannelle et 1 pincée de sel fin. Ajoutez les ingrédients liquides puis 60 g de pomme coupée en petits dés. Mélangez à l’aide d’une maryse.
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adrienrecettes · 5 years ago
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Mon matériel de cuisine
Je me suis amusé à faire l’inventaire de mes ustensiles de cuisine. Cela pourra peut-être vous aider si vous souhaitez vous équiper ou compléter votre équipement. Je n’ai rien de plus que le matériel de base (le tout dans une mini-cuisine parisienne de moins de 5 m2)... mais j’ai absolument tout ce qu’il me faut pour réaliser les recettes que je partage ici.
Mon conseil pour une cuisine bien équipée, sans métériel inutile : achetez ce dont vous avez besoin au fur et à mesure, en repérant les ustensiles nécessaires pour les recettes que vous préparez le plus souvent ou celles que vous souhaitez tester.
Les couteaux
Sans investir dans du matériel hors de prix, il est utile d’avoir différents couteaux :
Le couteau d’office, le plus petit de tous, est absolument indispensable ! Il est très maniable, pointu et léger. On peut le tenir facilement dans le creux de la main pour peler ou épépiner les légumes et les fruits.
Le couteau du chef, contrairement au couteau d’office, s’utilise uniquement sur une planche à découper. Muni d’une grande lame, il est idéal pour émincer.
J’utilise beaucoup moins souvent mon couteau à désosser. Il est muni d’une lame longue et effilé, avec une garde pour protéger la main des éclats d’os.
Le couperet sert à couper les os, le cartilage et les grosses pièces de viande... méfiez-vous de vos doigts ! N’étant pas un gros mangeur de viande, je l’utilise rarement.
Le couteau-scie est très utile pour trancher le pain. Il permet aussi de découper très facilement les légumes ayant une peau glissante, notamment les tomates. Je l’utilise également pour hacher le chocolat.
Le couteau à filet est doté d’une longue lame, fine et légèrement flexible. Il permet de lever les filets de poisson très facilement, ou de couper de fines tranches de jambon.
Affûtez régulièrement vos couteaux. Les plus experts utilisent un fusil ou une pierre, mais je préfère l’aiguiseur (plus simple à manier).
Les ustensiles de cuisine
Avec ses graduations, le bol doseur sert à mesurer les liquides, la farine, le sucre, le riz... mais je préfère utiliser une balance. Au-delà des mesures, son bec verseur peut être très utile.
J’ai une balance électronique car cela prend très peu de place. C’est un premier prix qui me convient parfaitement (les mesures sont beaucoup plus précises qu’avec le verre gradué).
J’utilise un minuteur, mais votre smartphone conviendra tout aussi bien. Je programme toujours une durée inférieure à celle indiquée dans les recettes, afin de vérifier la cuisson en cours de route !
J’ai un thermomètre... que je n’ai jamais utilisé ! Il est cependant indispensable pour tempérer le chocolat (afin qu’il soit bien brillant), ou réussir un caramel à coup sûr. On peut aussi l’utilise pour vérifiez la cuisson d’une viande rôtie.
De robustes ciseaux de cuisine sont indispensables. Il serviront pour le poisson, désarticuler une volaille, ou simplement couper de la ficelle, du papier sulfurisé...
Rien de mieux qu’un économe pour peler les légumes. La corvée de patate devient bien plus simple et rapide qu’avec un petit couteau d’office.
J’utilise tous les jours mes planches à découper (j’en ai une grande et deux plus petites). Choisissez des planches en bois alimentaire : hêtre, olivier, bambou... évitez le plastique.
Une louche pour servir la soupe, mais également arroser, dégraisser...
Un petit assortiment de cuillères et spatules en bois.
J’ai une maryse pour mélanger, napper et bien racler les bols afin de ne pas perdre une goutte de préparation ! C’est un ustensile extrêmement utile pour la patisserie.
L’écumoire me sert à retirer la couche de graisse à la surface d’un liquide (par exemple lorsque je fais un pot-au-feu). Elle permet aussi de piocher des petits aliments dans l’eau ou l’huile (pour ceux qui ont une friteuse) : gnocchi, beignets...
Un zesteur, pour prélever facilement le zeste des agrumes. Je l’utilise pour ma tarte au citron et plein d’autres plats ou gâteux bien parfumés. C’est également sympa pour certains cocktails.
J’adore ma mandoline, achetée dans un vide-grenier. Il n’y a rien de mieux pour obtenir de fine lamelles de légumes ou fruits. C’est le secret de mon gratin dauphinois : des tranches de patate fines, très fines. Ceux qui aiment le carpaccio de boeuf ou de noix de Saint-Jacques devront s’équiper d’une mandoline. Pour être efficace, il faut qu’elle soit dotée d’une lame très fine et extrêment tranchante. Attention à vos doigts, c’est sans pitié !
Un râpe pour le fromage, la noix de muscade... Avec différentes faces, les râpes permettent généralement de raper plus ou moins finement.
Un presse-purée, très pratique pour écraser les patates. On peut aussi prendre une fourchette.
J’ai plusieurs passoires : une classique avec de gros trous (pour égoutter les pâtes ou laver les légumes) et 2 très fines, une petite et une plus grande. La passoire fine me permet de laver les riz comme les vietnamiens, en évitant que les grains ne passent à travers de gros trous. Elle s’utilise aussi pour tamiser (farine, cacao...) ou filtrer un bouillon. Il existe également le chinois, mais je n’en ai pas (je m’en passe très bien).
J’ai un petit tamiseur que j’utilise pour la farine et le sucre glace. Ce n’est absolument pas indispensable si vous avez une passoire avec tamis.
Un mortier et un pilon (choisissez les plus lourds possible).
La cuisson
J’ai uniquement 2 poêles, de 2 tailles différentes. Cela me suffit.
J’ai une sauteuse, à fond épais, assez profonde, munie d’un couvercle.
Il faut au moins 3 ou 4 tailles de casseroles et faitouts (équipés de manches ou poignées), avec les couvercles. J’ai récemment investi dans un très grand faitout (15 litres) que j’utilise notamment pour préparer un gros pot-au-feu.
J’ai 2 cuit-vapeurs qui conviennent au diamètre de ma plus grande casserole et de son couvercle. Je peux les superposer pour plusieurs cuissons à la vapeur simultanées (légumes et poisson par exemple).
J’ai un petit wok, mais une sauteuse peut très bien faire l’affaire. Le wok est parfait pour sauter à vif, si vous avez la possiblité de le faire chauffer à haute température avec un gros feu (mais je n’ai qu’une petite plaque vitro-céramique).
Je rêve d’une belle cocotte en fonte émaillée (mais c’est assez cher) ! La mienne est en acier (ce n’est pas le métal idéal), avec un couvercle en verre. Il est important que votre cocotte ait un fond épais, et qu’elle puisse aller sur le feu et au four avec son couvercle : il ne faut donc aucun élément en plastique !
D’autres plats pour le four (pouvant servir à la cuisine comme à la patisserie) : moule à soufflé, ramequins, plats à gratin, moule à cake...
Matériel pour la pâtisserie
Le bon matériel est nécessaire, surtout lorsqu’on souhaite s’attaquer à des recettes plus sophistiqués. Il est alors difficile de « bricoler ». En pâtisserie, il faut les outils de base de la cuisine avec quelques ustensiles supplémentaires.
Un grand bol pour mélanger, assez évasé et profond pour permettre de battre au fouet ou de pétrir une pâte. Vous pouvez utiliser un saladier.
Un cul-de-poule : c’est une demi-sphère en métal (souvent sans base stable), dans laquelle on monte parfaitement les blancs en neige. Il sert aussi pour chauffer au bain-marie.
Un fouet pour battre les œufs et monter les crèmes.
Un rouleau à pâtisserie. Le mien est en bois mais le marbre est bien mieux (plus lourd et plus froid).
Des emporte-pièces. J’en ai quelques uns de formes et de tailles variées : circulaires, carrés, en forme de petits bonhommes...
J’ai un vide-pomme, non essentiel mais très pratique pour obtenir de belles tranches de pommes.
Un plaque à pâtisserie pouvant aller au four, sans rebords.
Il faudrait que je m’équipe d’une grille à pâtisserie, afin d’y déposer mes gâteaux le temps qu’ils refroidissent (et éviter ainsi qu’ils ne s’affaissent).
Des billes en céramique (ou en métal) pour cuire la pâte à blanc. Vous pouvez aussi utiliser des haricots secs.
Poches et douilles pour fourrer les choux avec le crème, décorer les gâteaux... Les différentes tailles et formes de douilles permettent de varier les décors. Pour remplacer la poche, on peut éventuellement utiliser un sac de congélation en coupant un petit angle pour laisser la crème s’échapper.
Une roulette pour découper la pâte, qui peut être cannelée pour obtenir des tartes au contour dentelé. Cette roulette peut aussi vous servir à couper la pizza !
Un pinceau pour graisser les moules, dorer les pâtes... On peut également utiliser ses doigts !
J’ai toujours un rouleau de papier sulfurisé (resistant à la chaleur, jusqu’à 220°C). On s’en sert pour recouvrir la plaque à pâtisserie ou chemiser les moules, afin d’empêcher la pâte d’attacher. On peut aussi investir dans une feuille multi-cuisson réutilisable.
Lorsqu’on aime les gâteaux, il est sympathique d’avoir plusieurs moules pour varier les plaisirs. Mieux vaut choisir des matériaux de qualité.
J’ai un moule à cake en Pyrex, c’est idéal.
Un moule à charnière, qui assure un démoulage facile. J’ai 2 types de fonds pouvant se fixer à la charnière : un fond plat (afin d’obtenir un moule à manqué, pour les gâteaux de forme classique) et un fond avec un trou central pour les gâteau en forme de couronne (ce moule troué est également très appelé « moule a savarin »). Le moule à charnière est très pratique, mais il ne convient pas aux pâtes trop liquides car il n’est pas parfaitement étanche.
1 moule à soufflé en céramique, avec des bords légèrement plissés.
1 moule à tarte en métal, avec un fond amovible pour faliciter le démoulage. J’ai également un moule à tarte en Pyrex.
Quelques moules pour les petits gâteaux : ramequins, moules à muffins, moules à canelés en cuivre, moules à madeleine, moules à tartelettes...
Un moule à génoise : caisse rectangulaire avec de petits rebords.
Des moules spéciaux (que je m’offrirai si j’avais davantage de place) : moule à kouglof, moule à charlotte...
J’ai également hérité d’un moule à gaufre en fonte et en fer forgé, datant de la fin du 19e siècle. Son grand manche permet de la tenir sur les flames de la cheminée. Il fait des gaufres fines, pouvant être roulées. Vous pouvez trouver ce type de gaufrier chez les brocanteurs, je partagerai donc ma recette si vous souhaitez essayer ces gaufres d’autant !
Électroménager
Ma maman m’a offert un Thermomix... mais toutes les recettes que je donne ici peuvent être réalisé sans, sans aucune difficulté. Je n’ai pas attendu d’avoir ce robot-cuiseur pour me mettre en cuisine ! Si vous n’avez pas ce type de robot multifonction, voici le minimum pour bien équiper votre cuisine :
Un blender
Un fouet électrique
Un mixeur plongeur
Un robot avec un crochet pétrisseur peut être utile (vos main et de l’huile de coude peuvent aussi faire l’affaire)
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adrienrecettes · 5 years ago
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La pasta
Le terme “pasta” n’est pas suffisant pour designer l’extrême diversité des pâtes italiennes. Il existe 2 grandes familles de pâtes : les pâtes fraîches et les pâtes sèches.
Il n’y a pas qu’en Alsace qu’on trouve des pâtes aux œufs... Les pâtes dites “fraîches” sont faites avec de la farine italienne (type 00) et des œufs ! Les lasagnes, fine couche de pâte, sont certainement les plus connues. Les cannelloni s’obtiennent en roulant de la pâte en tube. Les fettuccine, plus larges et épaisses que les tagliatelles, sont succulentes avec les sauces à la viande ou aux champignons. Les orecchiette, originaires des Pouilles, sont préparées avec un mélange de farine et de semoule de blé dur, sont un délice avec les sauces aux légumes. Les tortelli, tortellini ou tortelloni (en fonction de la taille), ainsi que les ravioli, se farcissent avec de la viande, des légumes ou du fromage, et se dégustent avec de simples sauces au beurre et à la sauge ou des sauces choisies spécialement pour réhausser la saveur de la farce. C’est dans le nord de l’Italie qu’on trouve le plus de pâtes fraîches : on cuisine même les spätzle à la frontière autrichienne (cousines des pâtes alsaciennes).
La composition des pâtes sèches est plus simple : de la farine de blé et de l’eau. Cependant, on s’amuse avec les formes. Les célèbres spaghetti à la sauce tomate, ou encore aux fruits de mer. Les longs tubes, appelés bucatini, pour préparer des pâtes all’amatriciana. Les Linguine de Ligurie : plates, larges de 3 milimètres et longues de 26 centimètres. Les macaroni et toutes leurs variantes : tortiglioni, rigatoni... sont, avec les penne, des cylindres retenant merveilleusement la sauce ! Les farfalle, petits papillons, sont irrésistibles avec les sauces à la crème, aux petits pois ou à la tomate. Le fusilli, en forme de tire-bouchon, sont parfaits avec les sauces méditérannéennes aux légumes.
Come fare
Pour des pâtes “al dente”, il faut une grande casserole et... beaucoup beaucoup beaucoup d’eau ! Pour que vos pâtes ne soient pas molles et collantes, il faut au moins 1 litre d’eau bouillante pour 100 g de pâtes. Ajoutez une petite poignée de gros sel, mais l’huile est inutile (l’eau et l’huile ne se mélangent pas). Respectez le temps de cuisson indiqué sur le paquet. Égouttez les pâtes, mais pas trop (elles doivent rester un peu humide).
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adrienrecettes · 5 years ago
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Gnocchi alla sorrentina
Il existe plusieurs recettes de gnocchi, et plusieurs sauces pour les accompagner. C’est pourquoi, lorsque j’en prépare toujours en bonne quantité (après cuisson, on peut les conserver au congélateur). J’ai déjà partagé avec vous la recette de base (gnocchi di patate), je vous propose ici une variante gratinée !
Les ingrédients
Des gnocchi de pommes de terre (vous trouverez la recette en cliquant ici)
1 kg de tomates pelées en boîte (choisissez les meilleures : San Marzano)
Environ 500 g de tomates fraîches (cerises et/ou datterino)
2 oignons jaunes hachés
3 gousses d’ail
Basilic frais
Du parmesan
Une bonne huile d’olive
Environ 200 g de provola affumicata (on trouve ça chez les bons traiteurs italiens, on peut la remplacer par la mozzarella)
C’est quoi ce fromage ? La provola affumicata est un fromage au lait de vache. C’est une sorte de mozzarella fumée sur de la paille humide brûlée, avec une consistance un peu plus dense.
Les étapes de la recette
Préparerez les gnocchi en suivant ma recette.
Dans un faitout, mettez 3 bonnes cuillères à soupe d’huile d’olive. Afin de parfumer l’huile, ajoutez 4 ou 5 feuilles de basilic.
Ajoutez les oignons hachés puis faites les dorer tout doucement.
Après quelques minutes, ajoutez les tomates fraîches. En remuant avec cuillère en bois, écrasez un peu les tomates afin que le jus se répande.
Mixer les tomates pelées (vous avez un mixeur plongeant, pour pouvez le faire directement dans la boite de conserve). Versez dans le faitout.
Ajoutez l’ail haché, salez, poivrez (vous pouvez éventuellement ajouté un petit piment émincé). Laissez cuire à feu très doux pendant une bonne heure, en remuant de temps en temps. En cours de cuisson, pensez à préchauffer votre four à 200°C.
Lorsque la sauce tomate a suffisamment mijoté, ajoutez les gnocchi avec du parmesan râpé (soyez généreux avec le fromage). Sortez le faitout du feu.
Ajoutez la provola affumicata coupée en morceaux (ou une bonne mozzarella).
Versez le tout dans un plat à gratin. Parsemez généreusement de parmesan râpé.
Faites gratiner au four pensant environ 20 minutes (jusqu’à l’obtention d’une belle couleur dorée). À la sortie du four, parsemez de quelques feuilles de basilic. Servez bien chaud.
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adrienrecettes · 5 years ago
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Les scones
C’est l’un des rares bons souvenirs de mes dernières vacances en Angleterre. Après des heures de vélo sous une pluie battante, nous nous réconfortions avec le traditionnel “cream tea”. Il s’agit de scones, servis avec un thé noir, de la confiture, de la “clotted cream” (une sorte de crème fraîche très épaisse et légèrement grumeleuse, obtenue après avoir chauffé et laissé reposer le lait pendant plusieurs heures). Pour un “cream tea” comme dans le Devon ou les Cornouailles, voici ma recette des scones.
Les ingrédients (pour environ 10 scones)
280 g de farine (+ un peu pour le plan de travail)
60 g de beurre froid
40 g de sucre
50 g de raisins secs (facultatif)
1 œuf
160 g de crème liquide (+ un peu pour le lustrage)
12 g de levure chimique
1 bonne pincée de sel
Pour accompagner vos scones : un thé Earl Grey bien chaud, une bonne confiture, du beurre ou une crème épaisse d’Isigny (car je pense qu’il est impossible de trouver de la “clotted cream” en France)... on peut aussi préparer du beurre à la fraise, je vous donne la recette ici
La recette des scones
Préchauffez votre four à 200°C. Recouvrez une plaque de cuisson de papier sulfurisé.
Dans une grande jatte, mélangez la farine, la levure et le sel. Ajoutez le beure bien froid, coupé en petit dés. Mélangez du bout des doigts (c’est le sablage).
Fouettez l’œuf et le sucre dans un bol, jusqu’à l’obtention d’une texture crémeuse. Ajoutez la crème liquide et mélangez de nouveau.
Versez le mélange œuf-sucre-crème dans la grande jatte avec le beurre et la farine. Ajoutez éventuellement des raisins secs. À l’aide d’une maryse, mélangez jusqu’à former une pâte.
Fleurez votre plan de travail (soupoudrez le de farine) et renversez la pâte dessus. Avec les mains, travaillez la pâte pour qu’elle soit homogène (soyez rapide, pour éviter de trop réchauffer la pâte) puis aplatissez pour obtenir une galette épaisse d’environ 3 à 4 cm. Fleurer le dessus de cette galette et utilisez un rouleau à pâtisserie fariné pour égaliser l’épaisseur.
Farinez un emporte-pièce circulaire (j’en utilise un de 5 cm de diamètre) et découpez autant de scones que possible dans la pâte. Farinez de nouveau l’emporte-pièce entre chaque scone.
Pour déposer le scone sur la plaque, évitez de pousser la pâte. Agitez l’emporte-pièce ou tapoter le sur la plaque. À l’aide d’un pinceau ou de vos doigts, badigeonnez légèrement le dessus des scones avec de la crème liquide.
S’il vous reste de la pâte après avoir découpé vos scones à l’emporte-pièce, reformez une galette et renouvelez l’opération.
Enfournez un petit quart d’heure (on n’utilise jamais la chaleur tournante pour les pâtisseries). Gardez un œil attentif sur votre four.
Le beurre à la fraise (pour environ 20 scones)
C’est mon alternative à la “clotted cream” anglaise (introuvable de ce côté de la Manche). C’est excellent avec des scones, mais aussi sur du pain ou de la brioche !
Fouettez 100 g de beurre pomade jusqu’à ce qu’il palisse (le terme “pomade” décrit un beurre à la texture souple, mais pas totalement molle). Incorporez 70 g de confiture de fraise et fouettez encore, jusqu’à ce que le mélange soit relativement homogène... mais pas trop ! J’aime bien quand il reste des petits morceaux de fraise. Servez avec les scones tièdes.
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