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Stage d’option médiation culturelle du premier semestre chez Lillico
Au premier semestre, j’ai effectué mon stage auprès de la structure Lillico, spécialisée dans le spectacle vivant et le jeune public. J’ai effectué d’une part des actions de bénévolat pour le festival Marmaille (placement en salle, contrôle de billets) au théâtre de la Parcheminerie et à la maison de quartier de la Bellangerais et d’autre part des observations dans le cadre de résidences d’artistes, d’interventions sur le terrain du médiateur culturel Pascal Marzin du théâtre.
Pour la première partie du stage, nous avons accueilli des familles et des centres de loisirs. J’ai été bénévole pour le ciné-concert “Eugenio”, création de “Nerfititi in the kitchen”, pour le court-métrage tchèque “La petite taupe” de Zdenek Miler et enfin “Divina” une création en spectacle vivant avec marionnettes et théâtre d’objet retraçant la vie de Maria Callas par la compagnie “Scopitone et cie”.
Pour la seconde partie du stage, j’ai observé l’action du médiateur culturel dans le cadre du parcours “L’art d’être jeune spectacteur” réservé aux classes de CM1-CM2 sur la découverte du théâtre avec trois spectacles dans l’année. J’ai eu la chance d’observer une visite en classe de CM1 à l’école Volga de Rennes après la pièce de théâtre “Mythologie, le destin de Persée” avec le groupe Anamorphose, mais également une visite de la salle de théâtre Guy Ropartz en compagnie du régisseur avec cette même classe.
De plus, j’ai observé durant une journée une résidence d’artistes à l’école des Gantelles de Rennes concernant le projet de Fanny Bouffort “L’appel du dehors”.

Une trace de mon action de bénévolat ...

Un exemple d’outil de médiation culturelle à destination des élèves dans le cadre du parcours “L’art d’être jeune spectacteur”
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Voici la première exposition du Phakt où nous avons été avec le cours d’option médiation culturelle.
L’intérêt pour ma part a été de me rendre compte que les Fables de la Fontaine ont une origine beaucoup plus lointaine que l’on ne le pense. Ainsi, le travail de cet artiste m’a plu en ce sens qu’elle donne accès à cette connaissance mais également participe à défaire cette vision centrée sur le continent européen en terme de production de culture.


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Durant le second semestre, nous avons pu assister à une exposition au centre culturel du Colombier, le Phakt.
Mes impressions ressenties lors de cette découverte personnelle de cette exposition ont été une imprégnation de plusieurs univers :
- les bâches en plastique noire m’ont fait penser à la présence de toiles d’araignée et mon esprit a fait le lien avec des supers-héros (Batman pour la forme de ces constructions, Spiderman pour l’araignée)
- le paysage formé en polystyrène me faisait penser à la fois à une grotte avec des stalagmites pour les constructions en hauteur, à un univers rocheux, formé de pierres brutes, mais aussi à un décor de grandes plaines américaines tels le grand Canyon, presque un lieu iréel, lointain, formé par son imaginaire... par des dessins animés d’un autre temps, où les créatures inhumaines, venues d’une autre planète ont leur place
Les jeux de lumières, d’ombres et les couleurs m’ont fait penser à une série que j’ai regardé récemment “Stranger Things”
- l’enregistrement des sons m’a confirmé un univers formé de roches, de minéral avec les sons de canalisations
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Cours de médiation culturelle à l’ISFEC



En cours durant le premier semestre, nous avons pu identifier par groupe les différents enjeux de la médiation culturelle après avoir défini ce que ce terme recouvrait. En effet, il s’agissait de savoir qui était concerné par la médiation culturelle, quels publics, les limites spatiales et temporelles, sur quels types d’arts, de spectacles, d’outils elle s’appuie mais également comment elle se met en place (cf première affiche).
Après nos stages du premier semestre effectués dans différentes structures culturelles recevant du public scolaire, nous avons pu rassembler nos vécus et nos expériences pour faire apparaître les compétences du référentiel métier du professeur des écoles de 2013 relatives à l’exercice du métier de médiateur culturel mais aussi se concentrer à nouveau sur les publics et acteurs concernés, les lieux exploités, les outils de médiation... etc observés durant nos stages respectifs (cf 2ème et 3ème affiche).

Enfin, nous avons pu définir la médiation culturelle avec nos propres mots, à raison de trois mots chacun dans notre groupe ... en un temps défini, ce qui a donné une longue et belle phrase pleine de positif et d’ouverture d’esprit.
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Les photos suivantes illustrent les principales étapes du projet :
- premièrement, une production d’écrit d’un élève recopiée au propre sur le cahier de poésies avec la grille d’auto-évaluation composé des caractéristiques de l’haïku.
- deuxièmement, la mise en place de l’exposition avec les deux œuvres précédemment citées étudiées.
- enfin un exemple d’une production d’oeuvre d’une élève.
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“L’haïku rangé” stage à Vannes, école Saint-Patern
Avec deux de mes camarades de promotion, Emma et Jade, nous avons effectué notre stage du second semestre d’option médiation culturelle à l’école Saint-Patern à Vannes du 25 au 29 mars.
A partir de la lecture de deux œuvres, « Abécédaires formels » de Richard MARNIER et « Le monde rangé » d’Armelle CARON, un projet mêlant deux disciplines : français et arts plastiques a été élaboré. En effet, les élèves ont découvert une forme de poème de tradition japonaise, l’haïku. Après avoir découvert ses caractéristiques, ils en ont créé un individuellement pour ensuite le recopier au propre à l’encre de Chine et l’illustrer grâce aux ondes sonores correspondantes selon un classement dans l’ordre croissant. Ces ondes ont été découpées et collées après que les élèves aient enregistré leur poème à l’aide du logiciel Audacity.
Pour terminer cette semaine, les élèves ont préparé la présentation de la production de leurs œuvres et une exposition a eu lieu pour une dizaine de classes de l’école. Chaque groupe de deux ou trois élèves avait une classe sous sa responsabilité.
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L’’exposition au Volume à Vern s/ Seiche s’articulait en deux parties. Après avoir observé et analysé une création en volume, les enfants ont contemplé une création plane : des fleurs blanches en papier dont les motifs se confondent avec ceux du mur sur lequel elles sont installées.
Dans le cadre d’un atelier faisant lien avec l’exposition, les enfants ont pu reconstituer des fleurs avec des morceaux de papiers peints ; chaque fleur devait être composée de quatre pétales de différentes couleurs.
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Exposition “Debout !” - Collection François Pinault - Couvent des Jacobins (août 2018)
Une illustration de cette exposition qui m’a énormément apporté personnellement. N’étant pas une spécialiste ni une enthousiaste de l’art contemporain, j’ai pu changer d’avis et comprendre que l’art contemporain engagé est source de questionnement et de réflexion. A l’image de cet Adolf Hitler à la fois enfantin et terrifiant. L’occasion de se questionner sur nos propres représentations : comment réagissent les enfants qui n’ont pas encore derrière ce nom et cette image une représentation négative traduisant l’effroi chez la plupart des visiteurs ? Quelles sensations et émotions peuvent-ils éprouver ? Ce sont les questions que je me suis posée.
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Janvier 2019 - Ciné-concert La la land au Zénith de Nantes
J’ai eu la chance d’assister à un ciné-concert d’un film que j’affectionne particulièrement depuis sa sortie, non sans rappeler l’univers du film “les Demoiselles de Rochefort” du réalisateur Jacques Demy et la célèbre bande originale composée par Michel Legrand, récemment disparu. Le principe est le suivant : la projection du film s’accompagne d’un orchestre qui en joue la musique. Un vrai plaisir de revoir ce film après bientôt les deux ans de sa sortie et une réelle admiration quant à la coordination des membres de l’orchestre avec la musique du film. Impressionnante performance !
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Cette exposition était composée de murs, réalisés avec des boîtes d’archives superposées, comme des tours formées de kaplas. A l’intérieur de cette construction, il y avait des tapisseries à motif collées.
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Exposition photo de Steve McCurry, photographe américain qui a parcouru le monde couvrant les conflits armés ou immortalisant des instants de vie plus heureux, à l’ancien hôtel de ville de Prague - Octobre 2018. Actuellement à la Sucrière à Lyon.
Le portrait de Sharbat Gula dit “La femme afghane”, une jeune réfugiée afghane au Pakistan, prise en 1984 m’a interpellée, notamment par la force de son regard. Sentiment étrange d’être face à une photographie si célèbre.
D’autres photographies m’ont beaucoup plu et ont pu également m’émouvoir comme celle de ce petit garçon d’origine péruvienne brandissant une arme en plastique à la main, le visage en larmes.
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