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beam2017-blog · 8 years ago
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[ UN JOUR UN BEAMER ] L’ambition de Diane c’est que tout le monde dans son équipe puisse avoir la parole, donner son avis librement et ne jamais se sentir mis de côté ou censuré. Dans son entreprise, elle propose des temps de dialogue sur des sujets professionnels ou non, où les idées fusent.
#beam #BornToBeam #BeamYourself #ToBeamOrNotToBeam
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beam2017-blog · 8 years ago
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Peut-on s’épanouir au travail en étant stressé ?
Quand on tape le terme "stress" dans la barre de recherche google, le premier résultat concerne le stress au travail. Un mal contemporain me diriez-vous ? Ce stress est-il vraiment symptomatique de notre époque ?
La souffrance au travail se décline sous différentes formes plus ou moins graves allant du mal-être psychologique dans l’exercice de sa profession, à l’épuisement professionnel (burn-out) mettant en danger la santé physique et mentale. Le stress au travail en fait partie.
La compétitivité toujours croissante, la précarité du travail, les injonctions parfois paradoxales augmentent les tensions dans l'exercice professionnel. Selon l’Organisation Mondiale de la santé ce problème s’est accentué depuis les années 90 dans les pays industrialisés.
Bon stress ? Mauvais stress ? J’ai voulu me demander si un travail stressant était toujours un travail pénible, ou s'il était possible de s’épanouir au travail en étant stressé.
Le bon stress permettrait aux salariés de donner le meilleur d’eux-mêmes et de les motiver au quotidien; avant une présentation en comité de direction, lors d’une négociation houleuse avec un client, quand un patron rajoute une tâche dans un délai très très serré… Pourtant dans ces moments là, d’un point de vue physiologique, tout dans le corps est en état de stress : rythme cardiaque, tension artérielle et musculaire, moiteur et transpiration, adrénaline aussi. Ce qui distinguerait un bon stress d’un mauvais stress ne serait pas tant les flux d’hormones et le rythme cardiaque que les facteurs psychologiques de la situation. Sans stress, pas de stimulation. Les compétences, les capacités resteraient alors sous-utilisées. Le mauvais stress lui, rendrait malade, et s’installerait de manière chronique, c’est-à-dire  dans la durée.
Il n’y a pourtant scientifiquement ni bon, ni mauvais stress mais un phénomène d’adaptation de chacun.
Le stress, tabou français ? En 1991, la Suède votait un amendement à la Loi sur l'environnement de travail pour que les entreprises favorisent un environnement de travail sécuritaire, tant sur le plan psychologique que physiologique. Le stress est alors diagnostiqué comme étant une maladie professionnelle. En France, on n'aborde pas trop le sujet... Ce mal est pourtant présent puisqu’il touche presque un Français sur deux (44 %) et en menace 18 %, compromettant leur santé. Selon l’OMS, la France arrive au 3° rang des pays recensant le plus grand nombre de dépressions liées au travail.
Le stress touche 4 salariés sur 10, plus particulièrement les catégories supérieures (47%) et les cadres supérieurs (57%) et les femmes en sont les premières victimes : 26 % sont à des niveaux de stress très élevés « 2,5 fois plus de femmes que d'hommes sont concernées par des niveaux de stress dangereux pour leur santé », analyse le psychiatre Patrick Légeron.
D’un point de vue plus global, l’Union Européenne estime à environ 20 Milliards d’euros par an le coût du stress au travail (European Agency for Safety and Health at Work). En effet, le stress serait à l’origine de 50 à 60% de l’ensemble des journées de travail perdues.
Les risques psychosociaux et le stress occasionné par le travail font encore partie des principaux défis à relever dans le domaine de la santé et de la sécurité au travail. Ils ont une incidence considérable sur la santé des personnes, des économies nationales mais aussi sur leur capacité à voir le travail comme un facteur d’épanouissement.
Et vous, êtes-vous stressés ? Un article écrit par Anissa Mebrouk-Schmidt
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beam2017-blog · 8 years ago
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La réunionite, un mal français?
Qui n’a pas vécu cette situation : vous avez cinq réunions programmées cette semaine et chacune d’elle devra faire l’objet d’un compte-rendu, voire d’une autre réunion de débriefing. A chaque fois, vous attendez votre temps de parole tandis que chacun essaye d’avoir l’avis le plus original, le plus audacieux ou se contente d’un morne résumé de ses sujets en cours. Enfin, votre manager semble conclure la réunion qui a déjà dépassé l’horaire prévu de trente minutes. Mais un collègue décide de partager un “sujet sensible” et vous séquestre pendant encore vingt longues minutes. Vous regagnez alors votre poste de travail et vous retrouvez avec une foule de travaux à produire sans en avoir le temps : une réunion de service est prévue dans deux heures. Il vous faudra travailler chez vous ou faire des horaires à rallonge.
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Ce mal porte un nom : la réunionite. Sur une semaine, les salariés français passeraient 4,5 heures en réunion selon un sondage réalisé par OpinionWay* publié le 6 juin. Rapporté sur une année complète, ce temps de réunion s'élève à plus de trois semaines. Les cadres, eux, y passent le double. Or, la moitié des salariés interrogés estime que ces réunions sont inutiles et déclarent même les consacrer à d’autres activités : envoyer des mails, travailler sur leurs dossier ou consulter internet.
S’agirait-il d’un mal français ? Nos voisins allemands estiment qu’une réunion ne doit pas dépasser une heure et définissent un ordre du jour strict. Certaines startups françaises, elles, préfèrent des rendez-vous réguliers au cours de la journée qui durent 15 minutes au plus. Chacun reste debout afin d’éviter que ces rencontres ne se prolongent inutilement.
Comment combattre ce mal qui consomme les collaborateurs et réformer la réunion ? Voici 5 pistes pour y parvenir :
1 . Supprimer les réunions reporting
Osez désacraliser la réunion du lundi ou les rendez-vous automatiques qui jalonnent un projet. En quoi sont-ils indispensables ? Quand bien même ces moments seraient les seuls où l'équipe peut se voir, il faut alors les contenir à 15 ou 20 minutes et les orienter vers l'avenir. Pour tout message factuel (annonces, indications, synthèses...), privilégiez les mails, intranet et réseaux sociaux. Vous diminuerez de 80% le nombre d'assemblées improductives.
2 . Attribuez un nom à la réunion
Toute rencontre utile doit chercher à résoudre un problème. Il faut donc lui trouver un titre signifiant. Car lire " lundi à 10h : réunion de service, " n'est pas excitant mais découvrir "réunion en vue de donner satisfaction au client Z" est mobilisateur. Vous gagnerez un temps fou, car les intéressés seront présents, à l'heure et préparés au sujet du jour.
3 . S’autoriser à écourter le timing
Vous avez fixé un délai de deux heures pour dénouer tel imbroglio ? Deux scénarios sont possibles. Soit la question a été tranchée rapidement, auquel cas vous pouvez lever la séance plus tôt. Soit les discussions s'embourbent et vous devez couper court aux débats en programmant un rendez-vous plus tard. Les participants vous en sauront gré.
4 . S’exprimer par le jeu
Délaissez le Powerpoint ou le paper-board. Vous pouvez utiliser le dessin, le portraits chinois ou même des lego, afin tout le monde puisse clarifier ses idées avant d'échanger. Un langage commun se créera vite autour de la table. Chez un fabricant de cosmétiques qui cherchait à déterminer les caractéristiques d’un bon commercial, un workshop créatif a été monté. Chacun a pris des lego pour représenter les critères puis les a ensuite partagés avec le groupe. En deux heures émergea un profil idéal. Sans cet exercice, il aurait fallu 10 réunions sur 2 mois pour parvenir au même résultat.
5 . Accueillir l’imprévu
Les contributeurs d'une problématique à résoudre empruntent parfois des chemins de traverse pour trouver une solution. Même si ces échappées sont hors sujet, elles conduisent souvent à des améliorations inattendues sur un processus, une méthode, une organisation. Du coup, vous faites deux réunions en une, et c'est tout bénéfice!
Un article écrit par Justine Fortuny
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beam2017-blog · 8 years ago
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[ UN JOUR UN BEAMER ]
Alexane aime les moments de détente. Très impliquée dans ses missions, elle a besoin, dans la journée, de se détacher quelques instants du stress de l’entreprise. Elle propose donc de mettre en place des espaces de détente avec du wifi, des canapés et des jeux de société. #beam #BornToBeam #BeamYourself #ToBeamOrNotToBeam
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beam2017-blog · 8 years ago
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Et voici la belle équipe des beamers !
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beam2017-blog · 8 years ago
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Aux origines de beam! 
Forte d’une histoire d’un an et demi, la classe de M1 CEI n’a cessé de resserrer les liens qui unissent ses membres.  C’est en effet le 11 juillet 2016 que s’est officiellement formée notre classe suite à la publication des résultats d’admission. Deux mois plus tard, nous nous découvrions lors de la rentrée.
Malgré une année de cours en amphithéâtres, noyés au milieu des autres filières, nous sommes parvenus à nouer des liens durables et fiables. Durables d’abord, car les liens que nous avons créés lors des différents événements de l’an passé se sont affermis, nous permettant aujourd’hui d’apparaître pour ce que nous sommes : une classe soudée autour de valeurs et d’objectifs communs. Fiables ensuite, dans la mesure où ces liens n’appartiennent pas seulement au passé, mais aussi et peut-être surtout, à l’avenir. En effet, chacun de nous voit en l’autre un potentiel soutien dans sa vie, tant personnelle que professionnelle, à venir.
C’est en premier lieu lors du WEI (week-end d’intégration) 2016 que nous avons eu l’occasion de nous découvrir. Unis sous la couleur de notre filière, le rose, nous nous sommes battus, ensemble, pour faire reconnaître notre classe et l’affirmer auprès de la promotion. Si la ferveur de nos chants ne nous a pas portés à la victoire officielle de ce week-end, c’est sans équivoque une victoire symbolique que nous avons, grâce à notre union et à notre unité, remportée alors. Nous avons réussi à nous distinguer, tant auprès du BDE que des étudiants des autres filières, en raflant notamment le prix de la meilleure filière.
Cette dynamique ne s’est pas essoufflée au cours de l’année. Loin d’être casaniers, nous nous sommes bien entendu rapprochés des autres étudiants, nous intégrant avec dextérité à notre écosystème universitaire. Néanmoins, la cohésion créée lors du WEI s’est affirmée et, nourrie d’événements fédérateurs à l’instar de la soirée chez Camille, s’est développée jusqu’à nous permettre aujourd’hui, de mener un projet de classe commun, nous réunissant tous.
Nous sommes, nous, chacun des 27 étudiants de la classe de M1 CEI, issus de milieux et de parcours tant scolaires que personnels différents. De même, nous n’avons pas tous les mêmes projets et atouts pour l’avenir. Mais plutôt qu’en différence, nous avons pris le parti de traiter cette altérité en complémentarité. Nous utilisons notre diversité comme une force, une richesse et une source d’ouverture sur l’autre. Au quotidien, cette diversité nous sert autant que nous la servons, et nous offre l’opportunité, que nous saisissons avec allant, d’appréhender le monde à travers un regard pluriel.
Aujourd’hui, c’est plus soudée que jamais que notre classe de M1 CEI s’engage pour réinventer le champ des possibles. Menés par une volonté générale qui transcende nos intérêts particuliers, nous incarnons une force de changement qui se cristallise autour d’une ambition : ré-enchanter l’avenir en misant sur l’humain.
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beam2017-blog · 8 years ago
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#balancetonporc ou comment réinventer le management homme – femme
C’est ce que l’on pourrait appeler le grand déballage, alors que certaines femmes sous la contrainte ou la peur n’osaient jusqu’ici rien dire, l’affaire Harvey Weinstein a lancé une vague de dénonciations. Mains aux fesses, baisés volés forcés, voire viols, chacune par le biais d’un #metoo s’associe à la détresse féminine. Les débats soulevés sont on ne peut plus actuels, à l’instar d’une séquence Angot vs Rousseau opposant témoignages et ressentiments différents sur une réalité triste à entendre. Pourtant, il faut trouver une réponse pragmatique à ces problèmes inhérents au monde du travail.
Il existe toujours dans le monde aujourd’hui des wagons de transports en commun pour hommes et pour femmes. Mais croire qu’il faut séparer les sexes n’est pas une solution. C’est pour cette même raison qu’à partir de 1960, nos écoles devenaient mixtes pour limiter les disparités entre les genres et se respecter mutuellement. Nous devons apprendre à vivre ensemble et à se respecter, et ce, particulièrement sur nos lieux de travail. Travailler participe à l’épanouissement de chacun, permet des rencontres tout en s’enrichissant des autres. Néanmoins, le calvaire peut rapidement prendre place : un patron un peu « lourd », des avances récurrentes, des sous-entendus à n’en plus finir… Certains sont pourtant pourvus de bons conseils ou camouflent ces agissements sous le statut de blagues « grivoises » (adjectif qualificatif récemment utilisé par Christine Boutin à propos de ce même sujet). Or, il n’y a pas de mauvais jeux de mots qui tiennent lorsque l’on aborde un sujet comme celui-ci, dès lors où l’arrière pensée, la réserve, la peur, empêche de faire correctement son travail : il un a un problème.
Bruno Le Maire, actuel Ministre de l’Economie a d’abord déclaré sur Franceinfo le lundi 16 octobre 2017 que « la dénonciation ne fait pas partie de {son} identité politique » il a affirmé à ce même micro que s’il était au fait d’un quelconque harcèlement, il ne le dénoncerait pas. Après quelques vives réactions sur les réseaux sociaux, Bruno Le Maire revient sur ses paroles et « regrette » puisqu’il affirme avoir surtout réagi au mot de « dénonciation » et non à la problématique du harcèlement sexuel, et assure dans une seconde prise de parole qu’on ne peut fermer les yeux face à de tels agissements. Alors coup de com, sincères excuses, ou peur d’un tollé général ? Qu’importe ! Ces différentes séquences, nous montrent que nous sommes tous responsables face au harcèlement sexuel au travail et qu’il faut communiquer dessus. Il en est de la responsabilité de chacun d’être vigilant et de pendre soins de ses collègues.
Allons-nous vers une nouvelle forme de management entre hommes et femmes ? Ou bien, faut-il imposer de nouvelles règles au travail ?
La question n’est pas de savoir si les femmes doivent aller travailler en tailleur jupe ou pantalon, mais plutôt d’être à l’écoute de ses collègues. Le management agile ou dit 2.0 fait du manager non plus un supérieur lambda mais plutôt un gestionnaire, un organisateur voire un animateur d’équipe. Et c’est parce que l’on est plus productif lorsque l’on se sent bien que le manager doit garder un œil averti sur ses troupes et être garant d’une ambiance de travail appréciée de tous.
C’est ensemble, femmes et hommes réunis, que nous réussirons à construire un avenir optimiste et ambitieux où chacun trouvera sa place pour s’épanouir chaque jour durant.
Un article écrit par Olivia Noury
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beam2017-blog · 8 years ago
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La mise Ă  mort du travail : perdre sa vie pour la gagner ?
En trois volets : destruction – aliénation – dépossession, Jean-Robert Viallet mène une enquête inquiétante et bouleversante sur le mal être des salariés au travail. Ce documentaire répond à la nécessité de rendre visible des phénomènes récurrents mais invisibles, que nous ne pouvons suspecter sans en être averties, ou la victime directe. Durant deux heures d’échanges, il réfléchit sur les dysfonctionnements des modes managériaux qui rendent le travail pathogène. Dans ce monde du travail en pleine transition et capitaliste où l’économie ne semble plus vraiment être au service de l’homme mais l’homme à son service, les méthodes de management poussent les salariés jusqu’au bout de leurs limites. Cela peut même se traduire par des troubles psychiques qui ont des conséquences sur le corps : douleurs, paralysies, maux de têtes. Pour ces gens, il leur a fallu attendre qu’ils consultent pour comprendre l’origine de leur mal.
C’est en suivant le quotidien des consultations de Marie Pezé, psychologue et psychanalyste, qui a ouvert la première consultation hospitalière en 1996, intitulée « souffrance et travail », de l’hôpital de Nanterre, que ce documentaire interroge ces pratiques de management qui abîment les salariés.
« Une caissière soulève en moyenne une tonne par heure », « le cumul des contraintes de productivités commerciales finissent souvent par casser l’individu », « 10% des hommes sont dépendants à l’alcool pour des raisons liées au travail ». Ce sont des mots qui ressortent de ce documentaire. Des questions se posent alors, qui méritent d’être posées et surtout étudiées en vue de trouver des solutions durables, ce à quoi beam ! veut prétendre. Est-ce le prix à payer pour ne pas perdre la compétition mondiale ? Cela semble communément su et accepté, alors est-ce le prix à accepter pour que des hommes perdent leur vie à la gagner ? Mais surtout, est-ce dans cet environnement et dans cette acceptation morose de ce qui semble être une fatalité, que nous, les jeunes, souhaitons évoluer ? Est-ce la seule promesse d’avenir à laquelle nous devons nous tenir ?
Le réalisateur s’installe dans des entreprises, et en choisit notamment une, comme il en existe aujourd’hui des dizaines de milliers dans le monde : Carglass. Mondialisée, standardisée, Carglass prône deux objectifs : une productivité maximale et un client roi totalement satisfait… Deux notions qui, aujourd’hui, dans toutes les entreprises de services du monde, imposent la mise en place de nouvelles formes de management. Finalement, petit à petit, il amène le spectateur à comprendre comment les logiques de rentabilité détruisent les liens sociaux et humains.
Ce documentaire est un travail de qualité qui permet de faire lumière sur des phénomènes infra-ordinaires et récurrents dans le monde du travail qui pourtant restent opaques et invisibles pour beaucoup. Prendre conscience de ces processus et de ces réalités est un passage obligatoire pour amorcer le changement. Il faut également garder en tête que ce documentaire fait un état des lieux en 2009 et que de nombreuses entreprises ont réagi. Elles ont pour beaucoup bien sûr cherchés à se défendre en premier lieu. Mais après-coup, cela a pu également permettre l’émergence d’une prise de conscience efficace. Connaître et savoir sont déjà le début de pouvoir.
Un article écrit par Clotilde Parlos
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beam2017-blog · 8 years ago
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Forte d’une histoire d’un an et demi, la classe de M1 CEI n’a cessé de resserrer les liens qui unissent ses membres.  C’est en effet le 11 juillet 2016 que s’est officiellement formée notre classe suite à la publication des résultats d’admission. Deux mois plus tard, nous nous découvrions lors de la rentrée.
Malgré une année de cours en amphithéâtres, noyés au milieu des autres filières, nous sommes parvenus à nouer des liens durables et fiables. Durables d’abord, car les liens que nous avons créés lors des différents événements de l’an passé se sont affermis, nous permettant aujourd’hui d’apparaître pour ce que nous sommes : une classe soudée autour de valeurs et d’objectifs communs. Fiables ensuite, dans la mesure où ces liens n’appartiennent pas seulement au passé, mais aussi et peut-être surtout, à l’avenir. En effet, chacun de nous voit en l’autre un potentiel soutien dans sa vie, tant personnelle que professionnelle, à venir.
C’est en premier lieu lors du WEI (week-end d’intégration) 2016 que nous avons eu l’occasion de nous découvrir. Unis sous la couleur de notre filière, le rose, nous nous sommes battus, ensemble, pour faire reconnaître notre classe et l’affirmer auprès de la promotion. Si la ferveur de nos chants ne nous a pas portés à la victoire officielle de ce week-end, c’est sans équivoque une victoire symbolique que nous avons, grâce à notre union et à notre unité, remportée alors. Nous avons réussi à nous distinguer, tant auprès du BDE que des étudiants des autres filières, en raflant notamment le prix de la meilleure filière.
Cette dynamique ne s’est pas essoufflée au cours de l��année. Loin d’être casaniers, nous nous sommes bien entendu rapprochés des autres étudiants, nous intégrant avec dextérité à notre écosystème universitaire. Néanmoins, la cohésion créée lors du WEI s’est affirmée et, nourrie d’événements fédérateurs à l’instar de la soirée chez Camille, s’est développée jusqu’à nous permettre aujourd’hui, de mener un projet de classe commun, nous réunissant tous.
Nous sommes, nous, chacun des 27 étudiants de la classe de M1 CEI, issus de milieux et de parcours tant scolaires que personnels différents. De même, nous n’avons pas tous les mêmes projets et atouts pour l’avenir. Mais plutôt qu’en différence, nous avons pris le parti de traiter cette altérité en complémentarité. Nous utilisons notre diversité comme une force, une richesse et une source d’ouverture sur l’autre. Au quotidien, cette diversité nous sert autant que nous la servons, et nous offre l’opportunité, que nous saisissons avec allant, d’appréhender le monde à travers un regard pluriel.
Aujourd’hui, c’est plus soudée que jamais que notre classe de M1 CEI s’engage pour réinventer le champ des possibles. Menés par une volonté générale qui transcende nos intérêts particuliers, nous incarnons une force de changement qui se cristallise autour d’une ambition : ré-enchanter l’avenir en misant sur l’humain.
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