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Ton membre là je l’ai voulu C’est toi toi seul oui que j’aspire À m’enfiler tu es l’élu Pour le meilleur et pour le pire Cet oiseau-là je l’ai cherché Dans tant de nids sur tant de branches Où je me voyais nue percher Chatte éplorée qui miaule et penche Ne sachant plus par quel chemin L’on redescend buvant la voie Lactée là de ce rêve humain Pourvu qu’enfin son œil me voie Car ta verge je le savais Suivait aussi sa propre quête D’un vagin la faisant baver Chacun de nous menait l’enquête À présent mets là ta quéquette Le jour de foutre est arrivé
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Jésus, c’était pas le mauvais bougre, je me tue à vous le répéter.
C’est après qu’ils ont fait n’importe quoi, ses soi-disant « fidèles », mais ils sont pas les seuls : à l’exception des raëliens (bénis soient-ils), toutes les grandes religions affichent, hélas ! un mépris ostentatoire, voire une haine à l’endroit du corps. Et que je te le cache jusqu’aux sourcils, et que je te le nie, renie, ternit, bannit, honnit, excommunie, et que je te le flagelle et mortifie à mort pour lui faire expier ses petits besoins immondes !
Tsss tsss...
Bref, vous l’aurez compris, dans mon tout nouveau récit comicochon en lecture libre ici, ma position sera celle du missionnaire. Je l’ai d’ailleurs envoyé au Pape en avril, histoire d’avoir son avis là-dessus....
On a su de quoi il est mort, au fait ?
🙏
#nouvelle érotique#amour#baise#religion#jésus christ#charité#gourmandise#lesbiennes#couvent#jocelyn witz
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Voici l’histoire d’une nonne Si mignonne, si mignonne Que trente sœurs l’aimaient d’amour Et le lui prouvaient tous les jours Elle avait la peau qui frissonne Cette accorte et douce nonne Dès qu’on prononçait le mot trou Elle tremblait d’un peu partout Les sœurs Yvonne et Anémone Deux friponnes, gaies luronnes La coinçaient dans les cabinets Du couvent pour la lutiner Quant à Simone et Desdémone Ces garçonnes fanfaronnes Lui enfilaient dans les conduits De longs cierges de miel enduit Bref ces garces de Babylone Tribades au cœur de lionne N’avaient pas la moindre pitié Pour la nonne et son bénitier La supérieure, une Bretonne Sale, vicieuse et gloutonne N’y voyant rien d’irréligieux Se branlait en roulant des yeux Malheureuse comme Antigone Notre pieuse et chaste nonne Couvrait de larmes ses beaux seins En implorant saintes et saints Un jour tandis qu’on la ramone Sonne au loin le téléphone Elle y courut le cul en feu Et passa de suite aux aveux Or c’était le pape en personne Qui s’étonne, qui questionne Veut des détails (qui ? quoi ? souvent ?) Sur la règle de ce couvent Puis dit, rieur : Petite conne Sois une bonne larronne Je viendrai te piner mardi Et tu iras au paradis Cela changeait toute la donne Pour notre humble et jolie nonne Que le Saint Père eut mis son zob En elle la rendit moins snob Désormais toutes la tamponnent Sitôt que la belle ânonne Quelque pater le fessier nu Pour le pape et pour son salut
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Que voulez-vous j’ai des principes Jamais de pipe Avant la messe et le repas Ensuite oh Dieu je participe N’en doutez pas À mainte autre forme d’ébats Puisque vous me tendez la bite Je ferai vite Bâclant s’il faut la communion Car votre œil de démon m’habite Soyez mignon Ah le dilemme où nous baignons Pour un instant je vous l’effleure Quand sonne l’heure À l’église où Jésus m’attend Telle est mon envie que j’en pleure Mais pas le temps De vous branler le cœur battant Rien qu’un baiser et son bout lisse Déjà se glisse Entre mes lèvres sans retard Quel goût divin c’est du réglisse Onze heures un quart Mon curé va être en pétard Tant pis je prends cette autre idole Sans nulle étole Pour diriger mon âme aux cieux Toi me l’enfournant tu rigoles Ô malicieux J’aime tant sucer les messieurs Jésus d’ailleurs est un chic type Pour une pipe Il ne dira trop rien je crois Sachant combien j’ai des principes Et de surcroît Je me finirai sous sa croix
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Ô poignet de la veuve Gentil coéquipier Qui m’engrosse les fleuves Au point que je perds pied Va ! jamais ne m’évite Pogne pogne plus vite Depuis l’âge d’ado Quand je t’ai découverte Main de soie doux cadeau Je suis restée offerte À tes câlins ardents Pogne et m’entre dedans Sillonne ma mimine Ces vallons engloutis Sape ce puits de mine Qui au ciel aboutit Quand tu m’as bien baisée Pogne pogne avisée Combien de doigts as-tu Dans ton jeu de la mourre Combien de socs pointus Desquels tu me laboures Creuse aux velours profonds Pogne ainsi fond fond fond Marionnette chérie Marotte sans grelots Ébranleuse en série Qui me fait sourdre l’eau Travaille-moi sans cesse Pogne avec allégresse Toi que n’égaleront Aucune autre paluche Ni le triste bout rond Des hommes qui m’épluchent Toi qui sais me soigner Pogne ô veuve poignet
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Jamais je ne fais volte-face Pour entre mes seins retenir Ceux qui m’ont entendue gémir Avant le matin je m’efface Fuyant l’amour et les licous Il faut me prendre d’un seul coup Sitôt mortes les étincelles Je fume et puis je disparais Chevauchée d’hommes sans arrêt Vite au retour mon cœur ficelle Ferme la porte et se recoud Il faut me prendre d’un seul coup Un jour pourtant peut-être grise D’alcool de rêve ou de serments J’ai voulu revoir un amant Qui jamais ne vint à l’église Alors oui j’ai pigé beaucoup Il m’avait baisée d’un seul coup
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Octobre 2053.
Bientôt la Toussaint. Les morts se relèveront-ils pour une dernière danse macabre ?
Dix ans après la guerre atomique qui a dévasté l’Europe et causé l’effondrement de la civilisation, la mort rôde encore partout. Jusque dans ce village à l’agonie, peuplé de vieillards de plus en plus vieux, de plus en plus seuls.
Marc Deshoulières n’en a cure. Le passé et ses fantômes, il veut en faire table rase, effacer les ruines afin de bâtir la société future. Et qu’importe si, au beau milieu du cimetière, quelqu’un a creusé un trou flanqué d’une croix qui porte son nom. Il ne peut s’agir que d’une erreur...
Première publication dans mon recueil de nouvelles intitulé Évolution(s), N’co éditions, 2021. Prix Bob Morane 2022.
En lecture libre ici : https://www.atramenta.net/lire/la-vie-continue/100094
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#nouvelle#histoire#récit#science fiction#fantastique#jocelyn witz#guerre#reconstruction#village#vieillesse#mort
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Là mon sexe facile Ma bouche sans souci Mes soupirs qu’ont grossis Les rois du droit d’asile Là mes lèvres sans voix Et mes seins sans mémoire Les espérances noires Qui me bercent parfois Là-bas ceux qui me fendent Loin celui qui me fuit Ici mes mots la nuit En dérisoire offrande Là mon ventre blessé Mais rêveux l’imbécile Hors un sexe docile On ne m’a rien laissé
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Verse en moi les blancs sentiments Qui nous habitent Pour qu’à la fin l’eau de ta bite Fasse ciment Ivres mes envies se referment Autour du doigt Que tu durcis et qui me doit Plus que le sperme Je sais nos noms prêts à perler Dans le silence À chaque fois que tu t’élances Pour en parler Au chaud des lèvres de ta pine À l’air charmant De ton respir ces sentiments Je les devine
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youtube
Brian Wilson (1942-2025)
💔
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Trois coquins se secouent la queue Pensant chacun à sa coquine Nostalgiques OK mais pas que Taquiner l’épée damasquine Lorsqu’on a le cul qui s’asseoit Sur un divan de moleskine Constitue un délice en soi Rendant la joue rose et poupine Bien sot qui par suite y surseoit Ainsi tant pis pour les copines Si nos trois gars en bons copains L’un l’autre se pognent la pine
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J’ai d’autres chattes à fouetter D’autres chauds lapins sur la planche Dans le viseur d’autres étés D’autres orgies d’autres nuits blanches Il est trop tard pour m’arrêter Il est trop tôt pour qu’on calanche C’est pas demain même on dirait Jour et nuit des machins s’enclenchent Je suis charrette allons tirer Encore un coup Jamais je flanche
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Beau démon sodomise L’abyme qui t’attend Troussé de sa chemise Voici la fin des temps Et des parties remises Mon chaudron si content Que je te sois soumise Te conjure en pétant À cette table mise Aux fumets entêtants Quand tu m’auras démise Rongée détruite autant Que la chose est permise Je te dirai va-t’en Remporterai la mise Soit la moindre goutte en Mes entrailles émise Par ta corne foutant D’où je filtre et tamise Des philtres envoûtants
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Qu’il me retourne sur mes gonds, Creusant la rive insoupçonnée Jusqu’alors, me laissa sonnée, Foutue, dans un état second, Telle une fille à nouveau née. Pour lui je fis le grand écart, M’ouvris entière et tus mes craintes Afin qu’il mît droit son empreinte Sans prendre de gants, sans égards, Comme à ces filles qu’on éreinte. Qu’importe les sangs et le bas- Ventre brûlant, pleurant à l’aide, Quand tant de silences là plaident ; De rares fois je me débats, Telle une fille un peu trop laide.
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Pour pas la mettre enceinte Jack a trouvé le joint C’est ses reins qu’il éreinte Et soudain dans l’étreinte Leur désir se rejoint Car elle aussi le force Sans pitié sans éjac Dès qu’il a joui son Jack L’exercice se corse Elle le branche et... tchac !
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