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betuncastillo · 4 years
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Psicoanalista. Presencial o en línea #psicoanálisis #psic #sanluispotosi
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betuncastillo · 4 years
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“No vamos a los baños a evacuar sino a hacer nuestras necesidades de género. No vamos a mear sino a reafirmar los códigos de la masculinidad y la feminidad en el espacio público. Por eso, escapar al régimen de género de los baños públicos es desafiar la segregación sexual que la moderna arquitectura urinaria nos impone desde hace al menos dos siglos: público/privado, visible/invisible, decente/obsceno, hombre/mujer, pene/vagina, de-pie/sentado, ocupado/libre. Una arquitectura que fabrica los géneros mientras, bajo pretexto de higiene pública, dice ocuparse simplemente de la gestión de nuestras basuras orgánicas.”
— Basura y género, Paul B. Preciado
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betuncastillo · 5 years
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¿Qué sucede cuando un Psicoanalista tiene un Despertar de Consciencia?
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“El fin del análisis es cuando se ha girado dos veces en círculo, es decir, que se ha reencontrado eso de lo que se está cautivo. El análisis no consiste en que uno esté liberado de su síntoma, el análisis consiste en que se sepa por qué está enredado en eso”
Jacques-Marie Émile Lacan
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betuncastillo · 7 years
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betuncastillo · 7 years
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Dans les années 90, alors que le sida fait des ravages, Simone Veil doit s’entretenir en direct avec un malade. Rien ne se passe comme prévu. 
Le 1er décembre 1994, Simone Veil, alors ministre des Affaires sociales, de la Santé et de la Ville, doit apparaître à la télévision pour la journée mondiale de lutte contre le sida. Tout est organisé pour le tournage. L’hôpital Broussais. Service d’immunologie. Elle doit sortir de la chambre d’un malade, faire son discours. Et ce discours lancera en direct le JT du 20 heures sur TF1.
1994, les gens crevaient du VIH. Non ! Ils ne mouraient pas du VIH, mais des effets du virus sur la capacité du corps à se défendre, à se gérer. Avec lui, les gens attrapaient tout, n’importe quoi. Puis ils maigrissaient, maigrissaient. Puis ils claquaient. Hôpital Broussais donc, dans le XIVe arrondissement, service d’immunologie du professeur Kazatchkine, un personnel engagé dans la course contre la montre et contre la mort qui déferle, soutenu par la présence de volontaires de l’association Aides. L’équipe de télévision arrive, se met en place. Puis Mme Veil. Mais, celle-ci joue la difficile. Elle a des exigences. Elle ne veut pas que sa présence soit juste symbolique. Elle refuse de jouer le jeu et de sortir de la chambre vide aménagée pour les besoins du tournage et pour sa tranquillité. Elle exige de parler avec un malade avant le tournage. Elle veut être - au moins pour vingt minutes, le temps d’une conversation - dans le vrai. Un vrai malade dans une vraie chambre. En tant que responsable des volontaires, on me demande d’identifier un patient hospitalisé qui serait prêt à jouer le jeu. A parler avec la ministre. A l’aider à se mettre en condition, pour ensuite quitter la chambre d’hôpital devant les caméras et être interviewée, en direct, par les journalistes. Il faut trouver vite. Qui est hospitalisé ce soir-là ? Je regarde la liste des personnes. Beaucoup en fin de vie. Pas possible de leur imposer ça sans qu’ils puissent donner un consentement réel. D’autres, moins malades, sans doute capables de jouer le jeu. Mais qui acceptera ?
Puis un nom ressort du lot. De prénom, David. La trentaine. Alité avec plusieurs infections graves. 50 kilos au lieu de ses 70 kilos d’avant la maladie. Mais la tête OK. Quelqu’un avec du caractère. De l’est de la France. David a de l’humour, de la conversation, un point de vue. Il saura jouer le jeu.
19 h 40. Tout est prêt pour le tournage en direct. Elle entre dans la chambre. Je les présente l’un à l’autre. Je quitte la chambre pour attendre à l’extérieur, les laisser faire leur conversation. Puis je dois attendre les quinze minutes de conversation. Puis taper à la porte vers 19 h 55 pour faire signe à Mme Veil qu’elle devait sortir de la chambre devant les caméras.
J’attends. Les journalistes attendent. Les techniciens attendent. 19 h 55, je tape à la porte. Rien. 19 h 58, les journalistes commencent à s’énerver. Je tape de nouveau. J’entrouvre la porte. Madame Veil est là. Debout juste à l’autre côté de la porte. Elle me regarde rapidement, puis retourne la tête. Elle pleure. Elle essuie les yeux. Puis elle me regarde de nouveau. D’une voix secouée, mais claire, avec une fermeté qui ne permet aucune discussion, elle me dit, en faisant référence aux équipes et aux journalistes : «Faites que ces gens s’en aillent. Faites que ces gens s’en aillent.» Elle referme la porte. Je me retourne. J’annonce aux équipes de tournage que c’est raté pour ce soir. Elle ne sortira pas de la chambre devant les caméras. Elle ne parlera pas aux journalistes ! Scandale ! Ils remballent leurs affaires, énervés. Le journal de 20 heures s’est débrouillé sans le tournage prévu.
A l’hôpital, Mme Veil est restée encore une demi-heure dans la chambre en question. En sortant, elle s’excuse auprès de moi. Elle me dit : «C’était trop dur. Ça me faisait penser aux camps. Aux camps de concentration. On parlait de choses si graves. Il est si maigre, si maigre. C’était trop dur.» Ensuite, elle est partie. Puis l’étonnant. Madame Veil n’a pas tout simplement disparu. Elle est revenue à l’hôpital. L’Association Aides était présente à l’hôpital Broussais les mercredis soirs. Telle une volontaire de base, elle est revenue le mercredi soir. Pour rencontrer les malades. Pour faire ce que nous faisions aussi, donner de notre temps, écouter, réconforter, discuter, apporter de la vie. Pas tous les mercredis mais régulièrement. Une heure, deux heures. Parfois, si c’était en fin de soirée, son chauffeur la ramenait chez elle, puis me déposait chez moi après. On parlait du réel. Du vécu réel des gens dans les hôpitaux, dans les soins, de l’hôpital, de celles et ceux qui y travaillent. Mais tout cela, c’était hors champ, pas devant les caméras.
David est mort dans les semaines qui suivirent. C’était une époque si dure. Avant l’arrivée des traitements efficaces. Tout le monde crevait. Toutes les semaines, la première question en arrivant : qui est mort cette semaine ? Mais on avait une ministre de la Santé. On avait une ministre de la Santé.
Bon voyage, David. Bon voyage, Simone. Je suis fier d’avoir fait votre connaissance.
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betuncastillo · 7 years
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betuncastillo · 7 years
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Gay-related immune deficiency
Gay-related immune deficiency (GRID, traducido libremente al español como inmunodeficiencia asociada a la homosexualidad) es uno de los nombres con que se conoció el síndrome de inmunodeficiencia adquirida (sida) antes de adquirir este nombre oficialmente en 1981 tras el descubrimiento, por parte de científicos del sistema público de salud de EE.UU. de grupos de sarcoma de Kaposi y neumonía neumocística entre hombres homosexuales en el sur de California y Nueva York.
Durante la historia temprana del sida, se fundó una organización creada ad hoc llamada Gay Men’s Health Crisis para combatir lo que parecía ser una enfermedad que afectaba solamente a homosexuales producida por la promiscuidad sexual, el uso de drogas intravenosas y/o el uso de poppers. Poco después, se informó de grupos de sarcoma de Kaposi y neumonía neumocística entre haitianos recién llegados a los USA y hombres con hemofilia entre las parejas sexuales femeninas de pacientes de GRID y entre receptores de transfusiones de sangre sin factores de riesgo obvios.
Dado que el sida era un cuadro nuevo, en los medios de comunicación durante los primeros años de la pandemia de VIH-sida, el cuadro de síntomas fue denominado de varias maneras, casi siempre peyorativas. Algunos de estos nombres son cáncer o peste rosa o lila, peste gay o síndrome homosexual.
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betuncastillo · 8 years
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El amor es la fuerza que nos une a todas las personas.
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betuncastillo · 8 years
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Ferry Point The Bronx Punta Catracha Papa. #honduras #punta #garifuna #catracho #catracha #bronx #ny #nyc #bronxny #bx #culture #drums @lipstickfables @dbay_
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betuncastillo · 8 years
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betuncastillo · 8 years
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“El burdel de las parafilias.
Leonel había escuchado rumores acerca de un burdel clandestino en el centro de la ciudad, decían que en ese lugar se llevaban a cabo toda clase de perversiones, desde BDSM hasta canibalismo, zoofilia, coprofilia, incluso necrofilia, claro que el costo variaba de acuerdo a la perversión deseada.
Él siempre había sido un pedófilo en secreto, se paseaba constantemente fuera de las primarias observando con lascivia a las pequeñas niñas en sus uniformes escolares imaginando sus poco desarrollados cuerpos bajo ellos, deseaba tanto poseerlas como matarlas a golpes, pero por supuesto aquello era ilegal. La Deep Web era un paraíso para él, miles de fotos de pequeñas niñas desnudas realizando actos sexuales y algunas incluso siendo maltratadas, todas clasificadas por edades, sus preferidas eran las de siete años pues consideraba que dejaban de parecer bebés para empezar a tener un poco de femineidad.
Así pasaba sus solitarias tardes, masturbándose con aquellas pequeñas sin nombre, deseando poder realizar su fantasía pero controlándose al saber que terminaría en prisión. Por ello, en cuanto escuchó sobre aquél burdel sus ojos se iluminaron, ahorraría hasta el cansancio, no le importaba cual fuera el precio, quería poseer una de esas lolitas.
Cuando por fin juntó una suma considerable de dinero acudió a la dirección que le había sido indicada, era un viejo edificio que lucía abandonado, en la entrada estaba una anciana pidiendo limosna con una niña de aproximadamente cuatro años, sucia y harapienta, “Espero que esa no sea la clase de niñas que hay dentro”, pensó él. Le habían dicho que le preguntara a la señora por “Liss” y así lo hizo.
-Le puedo decir dónde encontrarla pero…¿Está seguro de querer verla?
Leonel respondió afirmativamente y tras darle un par de billetes a la anciana, ésta le señaló una puerta en el interior del edificio, él percibió un extraño aroma que le recordó su visita a alguna mina pero lo ignoró y siguió caminando hasta la puerta, detrás de ella había unas escaleras descendentes
de las que provenía música y luces danzantes, tal parecía que estaba en el lugar indicado.
Al final de las escaleras había una larga estancia en la que se estaba realizando una orgía, eran al menos 20 personas teniendo sexo simultáneamente, todos poseían cuerpos hermosos y tentadores, observó en particular a las mujeres de piel que parecía cincelada por Miguel Ángel, de largas cabelleras rubias, castañas, pelirrojas, delgadas y con curvas pero todas ellas de una excepcional belleza, sin embargo dentro de toda la bacanal no había una sola niña y esto le decepcionó bastante.
-¿Quieres unirte? – le preguntó una mujer de largo cabello castaño y ropa formal pero provocativa. Leonel rechazó la propuesta y averiguó que aquella mujer era “Liss”, le dijo lo que deseaba y ella le pidió que la siguiera hasta su oficina. Ahí ella rebuscó entre una larga biblioteca y extrajo una carpeta azul que le entregó.
-Éste es nuestro catálogo de niñas de entre 6 y 9 años, están ordenadas por fecha de nacimiento, avíseme cuando encuentre alguna de su agrado.
Leonel pasó aquellas hojas, tenían varias fotografías de cuerpo completo y debajo de ellas su nombre y algunos datos: “Le gusta morder, buena para trabajos manuales, muda, sin dientes…” ninguna le llamaba del todo la atención hasta que vio una fotografía que resaltaba entre las demás, una hermosa pelirroja de ojos color miel “Halley R.: tímida, recién llegada, sin usar”, rozó ligeramente la fotografía con el dedo índice, supo que era la correcta y así se lo dijo a la mujer.
-Perfecto, ¿y será desechable?
-¿Disculpe?
-Me refiero a que sí no podremos ocuparla después, ¿piensa cercenarla o comerla?
-Ah, claro, será desechable.
-En eso caso ¿quiere algunas herramientas en la habitación?
-Sí, eso estaría bien.
-Perfecto y ¿gusta algún escenario en especial? ¿Un confesionario, un manicomio, un salón de clases?
-El salón de clases – dijo él inmediatamente.
-Entonces supongo que le gustaría que la niña llevara un uniforme escolar.
-Sería excelente.
-Es usted demasiado predecible, pero me parece bien, la habitación estará lista en una hora, mientras puede unirse a la orgía en la estancia.
Leonel regresó a contemplar la maraña de cuerpos, eran diferentes participantes pero igual de bellos que los primeros, se sentó en una sillón a observar aquella actividad, supuso que se le cobraría más si participaba así que se contuvo, aunque en realidad aún no había preguntado cuál sería el precio pero no le importó, tenía suficiente dinero como para pagar una casa.
Una hermosa joven desnuda se acercó a él con una charola repleta de rollos de sushi y unas cuantas copas de lo que parecía vino.
-Son…¿humanos? – preguntó nervioso creyendo que aquella chica se reiría de él.
-Sólo la mitad de la derecha, tenemos algunos clientes quisquillosos.
-¿Y exactamente de qué son?
-Los california tienen pezón, los filadelfia tienen vagina y los tampico corazón, de beber tengo sangre A+, O+ y vino espumoso, ¿gusta algo? – Leonel pidió un poco de todo y le preguntó a la mujer si unirse a la orgía tendría un costo adicional.
-Oh no se preocupe, ya es demasiado lo que cobramos por su fantasía como para cobrar extras.
-¿Y si no me alcanza para pagarles?
-Siempre se cumplen los pagos – dijo ella apenas conteniendo una sonrisa perversa.
Él mordisqueó su sushi de pezón y jugueteó con él en su lengua, eso le excitó bastante, miró hacia la masa de cuerpos frente a él, una bella mujer pelirrosa con una perforación en la lengua le realizaba un cunnilingus a una chica tatuada y lo miraba incitadoramente, él no pudo contenerse más y se quitó los pantalones exponiendo una gran erección que de inmediato la introdujo en la vagina de la mujer perforada, ella gimió de placer y comenzó a lamer más rápidamente a su compañera que comenzó a gritar histéricamente que quería ser devorada, un hombre se acercó a ella pero Leonel estaba muy distraído como para notarlo, escuchó algunos gritos pero no le importó hasta que fue salpicado de un líquido, abrió los ojos y se dio cuenta de que entre la pelirrosa y un hombre se habían comido la vagina y el rostro de la tatuada, esto le sorprendió un poco pero lo excitó más y terminó eyaculando dentro de la pelirrosa, así que se retiró de la orgía mientras los demás continuaban aún con aquel cadáver entre ellos.
Tras unos 15 minutos apareció de nuevo Liss.
-Su habitación está lista, es la 302 – dijo ella y le entregó su llave.
-Disculpe…aún no hemos hablado de cuanto me costará esto.
-Lo trataremos después de que termine, usted sólo disfrute la experiencia.
Tomó el elevador y llegó al cuarto piso, el lugar no se veía distinto de cualquier hotel, buscó el cuarto 302 y abrió la puerta nervioso. Tomó el elevador y llegó al tercer piso, el lugar no se veía distinto de cualquier hotel, buscó el cuarto 302 y abrió la puerta nervioso. La habitación era una réplica exacta de un salón de clases, estaba el pizarrón, el escritorio del profesor y unas diez bancas ordenadas, además de las herramientas que le habían prometido. En la primera fila estaba su ángel uniformado “Halley”, era mucho más bella en persona, su piel parecía de porcelana, cerró la puerta con seguro y se acercó a ella, era tan perfecta y por fin era suya, no podía esperar, su pene reaccionó con tan sólo verla.
Se puso en cuclillas frente a ella y la besó, la boca inexperta de la niña apenas se movía mientras él introducía su lengua por su garganta, su mano se deslizaba por sus delgados muslos y rápidamente la despojó de su ropa interior. Colocó a la niña en el suelo y le abrió las piernas comprobando que aún era virgen, observando su inmaculada y rosácea vagina no pudo evitar lamerla como loco pero sin penetrarla, miró el rostro de la niña que cerraba fuertemente los ojos, la tomó de la cabeza y le ordenó que lo mirara, ella obedeció, entonces él la desvirgó bruscamente, la expresión en su rostro valdría cualquier precio, CUALQUIERA! La pequeña comenzó a sollozar y lágrimas brotaron por sus delicadas mejillas, Leonel se excitaba cada vez más, abofeteó a la niña fuertemente hasta que su rostro tuvo un tono rojizo, luego tomó un martillo y comenzó a clavarle la parte posterior en el rostro y el pecho mientras la penetraba más y más rápidamente hasta que no pudo más y se corrió en el rostro desecho de la niña. Después de eso no le importaba cuanto la cobrarían, podía dar su casa, su auto, se podían llevar hasta a su madre y no le importaría.
Salió de aquella habitación bañado de sangre y con un enorme gesto de satisfacción encontrándose de nuevo con Liss.
-Veo que ha quedado conforme.
-Bastante y estoy listo para pagar, valió totalmente la pena.
-Me alegra oír eso ya que el precio es un poco más elevado de lo que piensa.
-Bueno, he ahorrado suficiente para esto, ¿cuánto será? ¿20,000? ¿30,000?
-No señor, no nos interesa su dinero.
-¿Entonces cómo voy a pagarle?
-Bueno, digamos que será proporcional a su placer…-dijo ella antes de conducirlo a otra habitación sin número.
Le ató los brazos a unas esposas que colgaban del techo y las piernas con otras que estaban en el suelo. Leonel pensó que un negro de dos metros podría violarlo y aún así habría valido la pena pero lo que apareció en aquel cuarto fueron 6 niñas, todas pelirrojas y no mayores de 8 años, pensó que estaba en el paraíso hasta que las niñas comenzaron a rodearlo y de pronto lo mordieron vorazmente arrancándole la piel de brazos, abdomen y piernas, tras lo cual salieron corriendo. Nunca había sentido un dolor similar, el cuerpo le ardía terriblemente y no dejaba de sangrar.
-¡Ya pagué el precio! ¿Contentos? ¡Déjenme salir! – gritó histérico intentando liberarse de las esposas, sin embargo sólo apareció una pequeña niña de nuevo, se parecía demasiado a Halley pero no podía ser, Halley estaba muerta.
Ella presionó un botón y él pudo escuchar un ruido similar a un taladro que provenía de debajo de sus piernas, el sonido se fue acercando hasta que él pudo sentir como en efecto, un taladro comenzaba a empalarlo lentamente.
-¡Detente! ¡Ya lo entendí, no volveré a hacerlo! ¡Me alejaré de las niñas pequeñas! – le gritó a la niña que sonreía maliciosamente sin dejar de presionar el botón.
El taladro seguía avanzando a través de los órganos de Leonel causándole un terrible dolor como el que jamás hubiera imaginado, comenzó a sangrar por la boca y a convulsionarse, el sufrimiento era insoportable y sólo deseaba morir, finalmente el taladro salió por su boca con rastros de intestino deshecho y sólo entonces él quedó inconsciente.
_____________________________________________________
Al día siguiente Leonel despertó en su cama sobresaltado y con un terrible dolor en el abdomen, “todo fue un sueño, un terrible sueño” pensó él hasta que sintió cierta humedad en su cobija, estaba llena de sangre, miró su abdomen y aún conservaba algunas de las mordidas hechas por aquellas niñas y en su buró estaba una tarjeta de presentación:
“El burdel de las parafilias. Vuelva pronto”       
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betuncastillo · 8 years
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betuncastillo · 9 years
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Hola, encontré por casualidad en la red este Pájaro dodo que escribí hace ya un tiempo. No sé quien eres ni dónde lo encontraste, pero gracias por rescatarlo. Saludos. Quetzalli Téllez
Saludos, es parte mi archivo personal del Taller Libre de Literatura Othón.
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betuncastillo · 9 years
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“Estoy orgullosa de ser puta. Como trabajadora, mi objetivo es acabar con la industria del sexo”
Publicado en Playground el 10 de junio de 2014
Pongo la radio mientras desayuno. El presidente del Tribunal Superior de Justicia del País Vasco Juan Luis Ibarra y la monja María Luisa del Pozo hablan sobre la  reinserción (sic) de prostitutas en la SER.  Reinserción. Al parecer, las putas están fuera de la sociedad y hay que facilitarles su re-entrada. Escucho al juez decir que “ la mayoría vienen voluntariamente pero los intereses de la deuda contraída son tan altos que no los pueden pagar y se ven obligadas prostituirse. Eso es trata de mujeres”.
El simplismo del magistrado me crispa. Eso no es trata, pienso mientras apuro el café, eso es capitalismo; es la economía de la deuda de la que habla Silvia Federici. Todas trabajamos para pagar las deudas que nos vemos obligadas a contraer para vivir. Entonces me acuerdo de mi libro de cabecera respecto al trabajo sexual,  Los pasos (in)visibles de la prostitución: estigma, persecución y vulneración de derechos de las trabajadoras sexuales, de la editorial Virus.
Tengo la tentación de escribir un artículo para explicar que, en realidad,  puta es como se califica a cualquier mujer que no se pliega a las imposiciones del patriarcado. La promiscua, la libre, la divorciada, la madre soltera, la lesbiana, la segura de sí misma, la que aborta, la que se apoya más en sus amigas que su marido, la que decide criar a sus hijos según su criterio… Y, por supuesto, la profesional del sexo.
Luego me doy cuenta de que ese artículo es banal; es mucho más interesante que hablen ellas. Así que entrevisto a Sandra, Janet, Verónika y Paula.
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betuncastillo · 9 years
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betuncastillo · 9 years
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Obtén un trabajo de mierda. Trabaja en una bodega, conduciendo palets de soda envueltos en plástico a través de almacenes estrechos. Pasa horas arreglando delicadamente anaqueles que posteriormente verás a clientes destruir en minutos. Esto pagará tus almuerzos en el área de comidas y audífonos, y también grabará en ti la nihilista realidad de la mayoría del trabajo allá afuera. Da un buen, largo, asqueroso vistazo a cuán impersonal e irrelevante puede ser tu papel en la tierra si no tienes cuidado.
David Cain, Una carta abierta a mi yo de 15 años justo antes de comenzar el bachillerato (via alxndro)
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betuncastillo · 9 years
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Rohan Daniel Eason (British, b. Middlesborough, UK) - The Dinner Party   Drawings: Pen + Ink
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