Bonjour ou bonsoir cher lecteur, ce blog sera dédié à l'histoire, je publierai (aussi souvent que je peux) des billets sur un thème en particulier. Bien à Vous. Cher Lecteur
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Frontevraut, un bout d'Angleterre.
Si vous vivez dans le sud ouest et que vous vous arrêtez à Frontevraut, une ancienne abbaye dirigée par des femmes vous pourrez vous arrêtez sur trois tombes étranges. Parmi les personne qui y reposent on peut trouver Aliénor d'Aquitaine ancienne reine des francs, duchesse d'Aquitaine et reine d'Angleterre, mais également Henri II de plantagennet, roi d'Angleterre comte d'Anjou et de Normandie et Richard cœur de lion. En effet nous avons deux rois d'Angleterre enterrés en France ! Incroyable me direz vous, mais que diable viennent ils faire ici ? Hé bien il faut savoir que les plantagennets sont aussi anglais que moi je ne suis espagnol. Henri II, même si sa mère était descendante de Guillaume le conquérant, est né au Mans dans le comté de Blois, et Richard, malgré le fait qu'il soir né en Angleterre, passera plus de temps en Aquitaine qu'il héritera de sa mère, dont il était le fils préféré. C'est donc en toute logique qu'ils choisissent de reposé en France.
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Cuba! Une nouvelle année, une révolution !
1953, les frères Castro et Ernesto Guevara dit le Che tente un coup d'état raté afin de renverser le régime de Batista, soutenu par les les États-Unis. Cependant ils échoueront lamentablement et pendant près de trois ans les trois chefs de la révolte cubaine mèneront une guérilla jusqu'au 1e janvier 1959 ou les rebelles de Castro entre à la Havanne et destitue le dictateur Batista qui se réfugie en République dominicaine. Ce dernier passera le restant de ces jours en exil et mourra en 1973 à Marbella en Espagne.
Raul et Fidel prendront le contrôle de l'île de Cuba et y instauront un régime Communiste proche de l'URSS, ce nouveau régime sera farouchement opposé aux États-Unis. Cette rivalité entre les deux pays va se concrétisé lors de la crise des missiles et l'embargo qui menera presque à une guerre nucléaire entre l'URSS et les États-Unis. Aujourd'hui Cuba est le dernier bastion du communisme dans les caraïbes et restera très opposé à son voisin américain. Cependant dans les années 2010 le président Obama engagera des rapprochements diplomatiques et sera le premier président américain depuis le coup d'état de 1959 a se rendre sur l'île. Fidel décédera en novembre 2016, son frère Raul prendra le relais jusqu'en 2018 à la tête du pays.
Le "Che" lui tentera de répendre les idées révolutionnaires dans un premier temps au Congo sans succès et plus tard en Bolivie. C'est en 1965 qu'il sera capturé par l'armée bolivienne, alliée des américains, et exécuté.
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On peste à Buda et on boude à Pest
Dans un mois et demi je m'envole pour la Hongrie ! Mon premier voyage en Europe de l'est. Je vais passer quatre jours dans la ville jumelle de Budapest. Jumelle ? Oui car Budapest n'est pas une seule ville mais deux. Elle naquit après la fusion de la ville de Buda, situé sur la colline du même nom se trouvant sur la rive ouest du Danube, et la ville de Pest, se trouvant sur les plaines de la rive est du Danube. Cette fusion eût lieu en 1873 après un soulèvement nationaliste dûment écrasé par l'empereur François Joseph Ie. Après cette fusion la nouvelle ville devient la capitale du royaume de Hongrie.
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Outlaw king. The historically accurate braveheart
We follow the tale of Robert the Bruce, king of scots, in his struggle to gain power and overthrow the English overlords. Contrary to Braveheart, directed by Mel Gibson, this is a fair representation of medieval scotland and the first war of independance. If you like that period of history I would suggest you go for it! But be warned it's a bit violent... If you liked Game Of Thrones this movie is for you!
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Le centenaire de la mémoire
Le clairon sonne et les combats cessent, en ce matin du 11 novembre 1918, cent ans jours pour jours, l'armistice qui met fin au conflit le plus brutal du siècle est signé.
Je vais vous raconter l'histoire d'un jeune soldat. Mobilisé à ces dix huit ans comme beaucoup d'homme, retiré à sa Sarthe natale et envoyé au front en 1915. L'année suivante il participe à la bataille de Verdun, mais la bataille qui changera sa vie sera celle du chemin des dames, un si jolie nom pour une bataille aussi sanglante. Nous sommes en 1917, il a vingt ans. Un assaut est lancé par l'armée française, il court vers la tranchée allemande, il s'abrite dans un trou d'obus. Il faut savoir qu'à l'époque on disait "un obus ne tombe jamais deux fois au même endroit". Se pensant à l'abris lui et ses camarades ne bougent plus de ce trou. Et vint un sifflement, le sifflement de la mort: un obus arrive, mais il est trop tard pour se sortir de là. Une explosion et noir... Le soldat se réveille, il est sous le choc et est évacué par deux brancardiers dans la tranchée française. Quelque chose ne va pas... Son bras gauche...une douleur le touche un comme un pic !
Les médecins n'ont pas le choix il faut amputé... Sans anesthésie, on soûle le pauvre jeune homme qui hurle de douleur pendant l'opération ... Maintenant pour lui la guerre est finie, et sa vie comme celles de millions d'hommes est bousculée.
Ce jeune soldat mourra de vieillesse en 1997. Cette histoire est celle de Louis Berthelot, et ce n'est autre que mon arrière grand père. Une histoire personnelle parmi tant d'autres mais qui aide à préserver la mémoire de ces hommes ordinaires envoyé en enfer.
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Ô Canada !
Often the forgotten ally of the war the Canadian contributed a lot of man power and material during WWII. And it was the first time, as an independant nation, that the Canadian government declared war to other countries (Germany, Japan and Italy) on the 10th of September 1939, nine days after the invasion of Poland and one week after the UK and France declared war.
The Canadians were particularly present in the Atlantic to protect many of the convoys coming from north America and going to Europe. And deployed a lot of man during the second half of the war from 1942 in north Africa and famously in Normandy where they landed on Juno Beach, which I visited a few years ago.
In total the Canadian contributed 1.1 million men in the war and forty four thousand lost their lives in the conflict. So let's give a shout-out to our friendly cousins from across the pond!
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Pink Floyd's Wish you were is a rock ballad written and composed by Roger Waters and David Gilmour. It pays hommage to the ex singer Syd Barrett who left the group in 1968 and was struggling with mental health issues and drug addictions in the late sixties early seventies. One of the most renouned rock songs of the group it came out in 1975 and was registered in the abbey road studios.
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Moi roi D'Irlande ! Ça t'étonnes ?
Dans quelques jours j'irai changer d'air en Eire. Et comme ici on parle d'histoire voulez vous une histoire marrante sur les rois irlandais ? Hé bien il s'avère que dans le royaume D'Irlande au moyen âge pour prouver sa loyauté il fallait embrasser les tétons du souverain. De ce fait il était commun de couper les tétons de ses ennemis pour qu'ils ne puissent pas usurper le trône.
Voilà j'espère que cette histoire de poitrine vous a plu et je vous la souhaite bien bonne chers lecteurs.
Scott
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Pleins de projets à venir
Bonsoir à vous chers lecteurs, étant pas mal occupé récemment (que ce soit dans ma vie personnelle comme professionnelle) je n'ai pas été très actif en ce moment sur mon tumblr. Mais n'ayez crainte, je ne vous laisse pas choir (tomber). Je suis en pleine discussion avec des amis pour monter un projet qui, je suis sûre, en ravira plus d'un. Je n'en dévoilerai pas plus mais j'espère que ce sera concluant ! Cependant je vous laisse une indice sous forme d'énigme: capitale et plus tard ville libre, par trois fois mon allégeance changea au cours du siècle dernier, si vous souhaitez m'appeler rien de plus simple: mon nom n'est qu'une syllabe !
Bien à vous !
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En route vers la papauté !
Chef de la religion Catholique, on a tendance à oublier son rôle politique. Oui le pape n’est pas juste un chef spirituel, c’est un chef d’état, au même titre qu’un président. Et son pays n’est autre que le plus petit état du monde : le Vatican, petite enclave située à Rome. Mais dans ce cas imaginons que vous souhaitiez devenir pape, quels sont les prérequis ?
Dans un premier temps il faut être un homme. Oui, alors que la majorité du monde civilisé s’accorde à dire qu’une femme peut accéder au pouvoir, le Vatican lui persiste et n’accepte que les hommes. Ensuite il faut être catholique, donc si vous êtes baptisés et que vous avez suivi assidument les cours de catéchisme pour célébrer votre communion, félicitation ! Vous êtes éligible. Cependant ne criez pas victoire tout de suite car la route jusqu’au Saint Siège est encore longue.
Bah tiens, maintenant que j’y suis parlons en du Saint Siège. Car vous en avez déjà entendu parler, sans doute, sans trop savoir de quoi il s’agit. Le Saint Siège est en fait un terme diplomatique pour parler du pouvoir central du Vatican, représenté par le Pape. D’ailleurs à l’ONU le Vatican est représenté par le Saint Siège. Le système politique du Vatican est une monarchie absolue élective. En résumé, le pape a un pouvoir total mais doit se faire élire, non pas par le peuple chrétien, bien entendu mais par une assemblée élective constituées uniquement de cardinaux. Le Vatican est aujourd’hui la seule monarchie absolue restant en Europe.
Bref, comme l’a fait Abraham au lieu de sacrifier son fils Ismael, revenons à nos moutons. Pour continuer votre voyage jusqu’au pontificat rejoignez les rangs de l’Eglise afin d’y monter les différents échelons : abbé, curé, évêque et cardinal (un évêque avec un rang spécial). Pendant ce temps là bien entendu il faut respecter des règles de chasteté et de célibat, une obligation pour devenir pape. Une fois à ce poste il vous suffira tout simplement d’attendre que le pape actuel meure ou démissionne, ce qui arrive rarement. Alors, les cardinaux se réunissent et se retirent du monde jusqu’à ce qu’ils aient élu le pape. Alors bien entendu pendant que les cardinaux prient et papotent (sans mauvais jeux de mots) le reste du monde attend que la fumée blanche sorte de la cheminée de la Basilique St Pierre de Rome. Si vous briguez le poste, vous devrez bien entendu faire campagne auprès de vos collègues et de prier le bon Dieu pour qu’ils vous choisissent. Si vous obtenez 2/3 des voix : félicitations! Es Papam et nous, habemus Papam!! Bon je préfère vous prévenir la route vers la papauté est longue, c’est d’ailleurs la raison pour laquelle les papes ont une moyenne d’âge de 70 ans à leur arrivée au pouvoir. Mais avec de la patience, de la bonne volonté et la force que le Seigneur vous prodiguera, je sais, Monsieur, que vous y parviendrez ! AMEN !
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Gettysburg
Nous sommes en juillet 1863, cela fait deux ans maintenant que les Etats-Unis sont plongés dans le conflit le plus terrible de leur histoire depuis leur indépendance : la guerre de sécession.
Ce conflit naît des différences économiques entre les états fédéraux du nord (l’Union), loyaux au gouvernement de Washington - Californie, Connecticut, Delaware, Illinois, Indiana, Iowa, Kansas, Kentucky, Maine, Maryland, Massachussetts, Michigan, Minnesota, Missouri, Nevada, New Hampshire, New Jersey, New York, Ohio, Oregon, Pennsylvanie, Rhode Island, Vermont, Virginie Occidentale et Wisconsin – Et les états « Confédérés » sudistes et sécessionnistes – Alabama, Arkansas, Floride, Géorgie, Louisiane, Mississipi, Caroline du nord et du sud, Tennessee, Texas et la Virginie.
A la suite de l’élection d’Abraham Lincoln en 1860 et à l’annonce du gouvernement fédéral de Washington de vouloir réformer l’esclavage les états « Confédérés » déclarent la sécession. L’année suivante plusieurs des états du Sud déclarent leur indépendance et désignent Jefferson Davies comme président. Il occupera ce poste durant toute la guerre civile et jusqu’à la dissolution des Etats Confédérés. Petit à petit de nombreux états rejoignent la cause des confédérés.
En 1863 la guerre est dans une impasse, les deux camps savent qu’il faut absolument frapper un grand coup pour que la victoire leur revienne. Dans le sud le général unioniste Ulysse S Grant mène le siège de la ville de Vicksburg situé aux bords du Mississipi, le but est d’obtenir le contrôle du fleuve ce qui aura comme conséquence de séparer les états confédérés et ainsi de les affaiblir. Dans le même temps en Virginie le général Robert E Lee prépare ses troupes pour une invasion du nord en passant par la Pennsylvanie avec un but ultime: atteindre Washington DC. Lee espère rencontrer l’armée du général George Meade sur le terrain, dernière défense de l’Union avant la capitale. Cette invasion du nord par l’armée sudiste est un énorme coup pour Robert E Lee et son armée. Si la campagne réussit le sud aurait un avantage indéniable sur le nord et cela déboucherait sur une victoire des confédérés.
Lee a un énorme désavantage en arrivant en Pennsylvanie : le terrain. En effet le succès des armées confédérées au sud est surtout dû à leur connaissance du territoire. Lee tente d’anticiper les mouvements de l’armée de l’Union grâce à sa connaissance militaire. Le 1er juillet 1863 à Gettysburg, Lee est mis au courant d’une escarmouche entre une brigade confédérée et une unité de cavalerie unioniste, menée par le Général John Bufford. Ce dernier tente de contenir les confédérés, en attendant des renforts. Lee pensant que l’Union déploient plus de troupes ordonne que son armée avance vers la petite ville.
Ce qui débute comme une simple escarmouche devient la bataille la plus terrible de la guerre de sécession. La première journée de bataille tourne à l’avantage des confédérés, les forces de Bufford sont retranchées dans les collines qui entourent la ville de Gettysburg. Cependant une erreur de communication entre Lee et un de ses généraux profite aux forces de l’Union. En effet Lee ordonne que les collines deviennent territoire confédéré afin d’obtenir l’avantage du terrain, mais son ordre est mal compris et les forces de l’Union restent retranchées dans les collines et se préparent à une contre offensive.
Le second du Général Lee, le Général Longstreet, a l’idée de redéployer les troupes vers le sud afin de prendre Washington avant que les armées fédérales ne puissent réagir. Mais Lee ne retient pas cette idée, pensant qu’il faut mieux attaquer l’ennemi et le chasser des collines. Lee considère ce redéploiement comme une retraite. Cette décision sera fatale pour les armées du sud, en effet George Meade arrive avec le reste de son armée, donnant un avantage considérable à l’Union qui compte désormais 95 mille hommes sur le champ de bataille contre 75 mille confédérés.
Le 2 juillet, George Meade sait qu’il faut absolument défendre les positions car ses défenses sont éparpillées sur les collines. Une seule brèche seraient un désastre. Longstreet mène un assaut vers le sud des défenses unionistes avec 15 mille hommes. Une brèche est possible quand un des généraux de Meade tente une avancée, laissant vulnérables les défenses de l’armée fédérale. Mais Meade réagit vite et décide de redéployer des troupes postées de l’est vers le sud. Les combats sont particulièrement rudes sur la colline de « Little Roundtop » tenue par l’Union, si elle perd cette colline, l’artillerie sudiste a un point d’attaque en hauteur et domine les lignes unionistes. La 28e Maine Régiment du colonel Chamberlain est chargé de la défense de cette colline et avec 385 hommes il réussit à tenir la colline malgré les agressions incessantes des soldats confédérés. Les hommes se tirent dessus à bout portant. A la troisième attaque Chamberlain sait que ses hommes ne tiendront pas la quatrième. Il donne alors l’un des ordres les plus connus de la guerre : « Nous ne pouvons fuir, alors fixez les baïonnettes. » Chamberlain mène une charge décisive contre les confédérés. Ces derniers, pris par surprise et par leur position en contrebas, sont vite vaincus. Little Roundtop est toujours aux mains de l’Union !
Le 3 juillet, la bataille commence à tourner en faveur de l’union. Lee refuse de s’avouer vaincu pour autant, et pense qu’une attaque totale sur le centre est la clé de la victoire des sudistes. Cependant, il se trompe lourdement : une attaque sur le centre serait du suicide à cause de la présence de l’artillerie nordiste et du manque de terrain couvert. Longstreet le sait et tente de convaincre Lee de ne pas ordonner une telle attaque. Il propose une retraite. Le général Robert E Lee reste sur ses positions et insiste pour qu’on attaque. Le général Pickett est choisi pour mener celle-ci, et malgré un barrage d’artillerie des confédérés, le plus violent de toute l'histoire des États-Unis, Longstreet sait que tout est vain. Au moment de donner l’ordre de charger il ne peut se résigner à le faire. La bataille est un véritable bain de sang pour les forces du général Pickett, qui perd 2/3 de son armée, sur 12 500 hommes confédérés 6500 y perdront la vie, contre 1500 du côté fédéral. Quand le général Lee demande à Pickett de redéployer son régiment vers l'arrière celui-ci lui répond, en pleure « Général Lee… Je n’ai plus de régiment ».
Lee comprend que tout est perdu, le 5 juillet il ordonne une retraite vers la Virginie. Cette bataille aura fait 51 mille morts. Plus jamais après Gettysburg une armée confédérée ne tentera d’envahir le nord. Le même jour Vicksburg tombe aux mains des forces fédérales. En ce juillet 1963, la guerre vire à l’avantage de l’Union.
Deux ans plus tard le 9 avril 1865 les états confédérés signent l’armistice, après la reddition de Robert E Lee au general Ulysses Grant à Appomattox en Virginie, et l'esclavage est définitivement abolie dans tout le pays. Après la guerre le général Lee deviendra président de l'université de Washington, il prônera la reconstruction et la réconciliation, il décède le 12 octobre 1870. George Meade continuera sa carrière militaire, il mourra le 6 novembre 1872. Le général Longstreet après la guerre abandonnera sa carrière militaire pour devenir président d'une compagnie d'assurance à la nouvelle Orléans, il soutiendra la candidature de Ulysses Grant à la présidence des États Unis, il s'éteindra le 2 janvier 1904. Le colonel Chamberlain assistera à la défaite de Lee à Appomattox, après la guerre il sera élu à quatre reprises gouverneur du Maine et obtiendra la Medal Of Honor en 1895 pour ses faits d'armes à Gettysburg, il meurt à Portland le 24 février 1914. George Pickett s'enfuit au Canada après la guerre, il reviendra en 1866 ou il tentera d'obtenir un pardon pour sa participation à la guerre de sécession, pardon qu'il obtiendra un an avant sa mort en 1874. En décembre 1863, John Bufford est atteint de la typhoïde et est alité à Washington, Abraham Lincoln, apprenant que le général est sur son lit de mort le nomme symboliquement major général pour ses services à Gettysburg, mais le 16 décembre il rend l'âme dans les bras de son aide de camps. Jefferson Davies est capturé par les forces de l'union, il sera jugé mais obtiendra un pardon présidentiel en 1868, il s'éteint le 6 décembre 1889. Après la bataille Abraham Lincoln entame un deuxième mandat à la maison blanche en 1864, après la défaite du sud il veut reconstruire et réconcilier le pays, mais le 14 avril 1865 il est assassiné par un partisan Sudiste John Wilkes Booth.
Merci d’avoir lu ce texte qui m’a pris un peu plus de temps que les autres. Je vais travailler sur des textes un peu plus courts ces prochains mois. Bien à vous, Chers Lecteurs
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Chistophe Colomb, le colonisateur
Nous sommes en 1492, le royaume d’Espagne, qui vient tout juste de reprendre Grenade aux Musulmans, prépare une expédition qui visera à ouvrir une nouvelle route commerciale avec l’Asie et permettre ainsi aux Européens de commercer plus facilement avec l’Orient. Un cartographe d’origine génoise du nom de Christophe Colomb est choisi pour mener à bien cette expédition. En effet, il eut l’idée de naviguer vers l’ouest afin de rejoindre le continent asiatique. Mais comme nous le savons, son voyage le mènera vers un continent ignoré jusqu’alors : l’Amérique.
Christophe Colomb est considéré, encore aujourd’hui, comme le symbole, l’explorateur, l’homme qui a posé le premier pas sur le sol américain… si seulement c’était vrai ! En effet notre cher Colomb (ironie de ma part, car il n’a rien de cher) n’a rien découvert du tout : lorsqu’il débarqua sur les îles d’Hispañola et de San Salvador, les actuels Cuba et Bahamas, Colomb ne savait même pas où il était, il ignorait totalement qu’il s’agissait d’un nouveau continent et l’explorateur était convaincu qu’il était sur le continent asiatique (c’est ballot pour un cartographe…) De plus, ses îles étaient déjà habitées par une tribu indigène: les Arawaks…
Colomb était un bien piètre cartographe, il pensait révolutionner le monde avec ses idées (peut-être se prenait-il pour le Galilée des océans). Cependant, un grand nombre d’experts ont remis en question l’idée de l’explorateur qui rejoignit l’Europe et l’Asie en passant par l’ouest. Contrairement à ce qu’on peut penser il était plus ou moins admis à l’époque que la terre était ronde et les « découvertes » de Colomb n’ont rien changé. Il pensait que la distance qui séparait l’Asie et L’Europe n’était que d’environ trois milles miles alors que, même à cette époque, on savait déjà que c’était beaucoup plus et ce grâce au travail d’Erathostène, un mathématicien grec du IIIe siècle avant notre ère. Celui-ci avait réussi à calculer la circonférence de la terre. Cela n’empêcha notre explorateur d’insister auprès de la cour du roi Ferdinand V pour mener à bien son projet. Le roi, mal informé, finira par accepter pensant aux retombées économiques favorisant la Castille (money, money, money !). Il nommera même Colomb Vice-Roi, Gouverneur Général des terres qu’il pourrait découvrir (et ce, bien sûr, à la demande de C.C., pas fou le loustic)
Bon certes, il n’a pas découvert l’Amérique mais il a eu le courage d’affronter les eaux de l’Atlantique et de se lancer vers l’ouest là où aucun Européen n’était jamais allé ; j’en ai les larmes aux yeux ! Seulement voilà, ce n’est pas vrai non plus, car les Vikings ont été les premiers Européens à avoir vraiment traversé l’Atlantique et à fouler le sol de l’Amérique du nord, notamment dans l’actuel Québec, tabarnak ! Ces barbares ont même établi des colonies au Groenland et au large de Terre Neuve, même s’ils ont dû les abandonner par la suite. Tout cela presque 500 ans avant l’expédition de notre cher Colomb. Bon, d’accord, les contemporains de l’époque n’étaient sans doute pas au courant des expéditions Vikings et il est vrai que ce n’est que très récemment, grâce à des fouilles archéologiques et à de nombreux témoignages écrits que nous avons compris comment ces guerriers du Nord avaient pu se rendre sur ce continent.
Il faut rappeler, également, que l’Amérique était déjà habitée par près de cent millions d’âmes avant l’arrivée des colons Européens (sans compter la fois où Astérix s’est retrouvé chez les indiens, par Toutatis).
Bon d’accord, ils ne sont peut-être pas les premiers Européens à avoir touché le sol Américain, mais il faut reconnaitre que Colomb et ses hommes se sont lancés à bord de la Pinta, de la Niña et de la Santa Maria sur les eaux de l’Atlantique au XVème siècle ce qui passait pour une expédition suicide à l’époque. Ils ont découvert des cultures indigènes, avec qui ils ont échangé et grâce à quoi nous ils nous ont permis de connaitre un mode de vie différent.
Ah, c’est beau ! Mais la réalité est bien autre. Christophe Colomb n’était pas juste un explorateur, il était, en plus, un immonde salopard !
Vous vous souvenez, un peu plus haut, je vous ai parlé des Arawaks. Il s’avère que notre cher cartographe a, non seulement réduit en esclavage une bonne partie de la population de cette tribu en les faisant travailler dans des mines à la recherche d’or, ils étaient d’ailleurs exécutés en cas de rébellion (il faut savoir se faire obéir, non ?), mais Colomb livrait les femmes et les jeunes filles à ses hommes pour assouvir leurs plaisirs, il a pillé leur terre, et commis des actes de tortures abjectes. Ce fut un bain de sang devant lequel, même Le roi Ferdinand et la reine Isabelle se sont indignés. CC (pour les intimes) ira même en taule pour cela.
Ne vous en faites pas, notre cher cartographe reviendra vite dans les petits papiers du souverain, et la cour lui versera même un don de 2000 ducats (allez cadeau !)
Pour la petite histoire, la tribu des Arawaks disparaîtra en 1650 près de 2 siècles après le passage de Colomb qui, certes, n’est pas le seul à blâmer, les appétits colonialistes des Européens et les nombreuses maladies léguées par les colons ont eu raison de ce peuple poussé jusqu’à l’extinction.
Alors pour récapituler, un cartographe, décida de rejoindre l’Asie en passant par l’Atlantique, atterrit à Cuba et aux Bahamas (oups !), commit des crimes plus terribles les uns que les autres, et cela est oublié aujourd’hui. Pourquoi ces œillères, pourquoi ignorer qui était cet homme ? C’est très simple, au début du XXe les Etats-Unis d’Amérique connaissent un énorme flux migratoire venant d’Italie, ces derniers n’étaient pas accueillis à bras ouverts. La communauté italienne eut donc l’idée de mettre en avant C.C., un italien, grâce à qui le continent américain est ce qu’il est.
La vérité : Colomb ne savait pas qu’il arrivait sur un nouveau continent et le nom « Amérique » vient d’un autre cartographe qui s’appelle Amerigo Vespucci (qui, comme son nom l’indique, n’est pas Suédois mais Italien).
Même si son expédition était plus que courageuse et qu’il s’agit d’un moment fondamental de l’histoire de l’Amérique moderne, je voulais montrer qui était l’homme, Colomb.
Alors, faut-il toujours le glorifier ? J’en doute mais il ne doit pas être remisé dans les oubliettes de l’histoire. En continuant d’évoquer son parcours, le vrai, peut-être parviendrons-nous à ne plus considérer d’autres personnages similaires comme des héros et reconnaitrons qu’ils ont sacrifié des milliers d’âmes pour leurs ambitions et fortunes personnelles plutôt que de penser au progrès de l’humanité.
Bien à Vous, chers lecteurs,
S.K. ��
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BREXIT : une histoire et des unions.
En juin 2016 les Britanniques répondent au référendum proposé par David Cameron et son gouvernement : 52% des votants ont choisi de quitter l’Union Européenne contre 48%, avec un taux de participation de 72%. Cela fait maintenant presque deux ans que ce vote a eu lieu, et on peut encore aujourd’hui se demander : comment en sommes-nous arrivés là ? Et quelles sont les conséquences ?
En 1973 Le Royaumes Uni, le Royaume du Danemark et la République d’Irlande rejoignent la CEE qui deviendra plus tard Union Européenne. Depuis ce moment les différents gouvernements britanniques qui se succédèrent montrèrent une certaine distance avec leurs partenaires européens. Non seulement en ne signant pas, en 1995, le traité de Shengen visant à supprimer les frontières entre les états membres, mais en se désolidarisant des autres pays de la communauté face à la crise des réfugiés en 2015.
David Cameron, Premier Ministre au moment du vote, voulait profiter de cet euro scepticisme pour asseoir le pouvoir du parti conservateur dans le pays. Il décide donc de lancer le débat du Brexit en proposant un référendum, en prenant le temps d’affirmer qu’il fera campagne pour le maintien du Royaume Uni dans l’union européenne. Si les pro européens gagnent le vote, Cameron aura su jouer sa carte, mais comme on le sait aujourd’hui, le Premier Ministre va vite déchanter au moment du résultat.
Deux camps s’opposent donc : les europhiles et les eurosceptiques. Dans les deux camps on retrouve des politiciens et personnalités publiques de tout bord. David Cameron et la majorité des conservateurs sont pro Europe comme le sont les libéraux. Cependant Boris Johnson, ancien maire conservateur de Londres, est pro Brexit comme l’est le parti d’extrême droite UKIP (United Kingdom Independance Party) dont le chef Nigel Farage base ses arguments sur l’anti immigrations, et enfin le parti Travailliste est également pour une sortie du Royaume Uni.
A l’issue du vote, on remarque plusieurs choses, déjà le score est extrêmement serré et certaines parties du pays sont en profond désaccord avec le résultat du vote. David Cameron, devant cet échec cuisant, démissionne de son poste de Premier Ministre laissant la place à Theresa May qui promet de mettre en avant les intérêts du Royaume-Uni. La tâche se montre très rude.
En Europe Donald Tusk, Président du Comité Européen, et plusieurs hauts dignitaires ne vont pas minimiser cette affaire de Brexit et vont même en faire un exemple. Les négociations s’endurcissent, plus de traitement de faveur envers la Grande-Bretagne. En quelque sorte, on a là une politique pour décourager d’autres mouvements eurosceptiques au sein de l’Union. Pour citer Donald Tusk: “Il n’y aura plus de gateau à se partager, mais seulement du sel et du vinaigre”
La Grande Bretagne est plus que jamais divisée, à Londres, une ville cosmopolite avec une grande partie de sa population d’origine étrangère, on a voté le maintien du Royaume dans l’Union. Beaucoup de ressortissants européens ignorent de quoi leur avenir sera fait, de même pour les ressortissants britanniques vivant hors du Royaume-Uni.
En Irlande du nord, ou le maintien l’a remporté, plusieurs personnalités politiques montrent des signes de contestation face au gouvernement britannique et plusieurs voix se sont élevées pour prôner une union avec la République d’Irlande. Le problème de la frontière a été soulevé et les irlandais du nord comme du sud ne souhaitent pas voir se créer une frontière physique de peur de rallumer la flamme des tensions entre les deux pays.
L’Ecosse, la nation constituante où le maintien l’a plus largement emporté, veut revoir sa place dans le Royaume Uni et souhaite réorganiser un référendum pour son indépendance. Pour rappel, les Ecossais ont voté contre l’indépendance en 2014, de peur notamment de perdre leur statut dans l’union européenne. Le Brexit a, bien naturellement tout changer pour la nation écossaise, le SNP (scottish national party) insiste pour organiser un second référendum, sachant qu’il est très probable que l’indépendance l’emporterait dans le cas d’un nouveau référendum. En Ecosse, toujours, on pointe aussi du doigt son manque de représentation lors des négociations avec les leaders européens.
Par ailleurs, au pays de Galles et en Angleterre, favorables au Brexit, on observe une baisse notoire de la confiance envers le gouvernement Britannique. Theresa May ne jouit pas d’une position de force face au 26 dirigeants européens et le parti travailliste, en la personne de Jeremy Corbryn, commence à s’opposer au Brexit.
Dans d’autres pays l’effet Brexit s’est fait ressentir. En France Marine Le Pen, dont les idées sont très proches de celles des pro Brexit, est arrivée au second tour de l’élection présidentielle avec 30% des voix. En Italie récemment le mouvement 5 étoiles un parti eurosceptique, bien que n’ayant pas la majorité nécessaire pour créer un gouvernement, est arrivé en tête des élections. Et ce ne sont pas des cas isolés on remarque une montée du populisme et de l’euroscepticisme dans plusieurs pays membres, comme en Pologne ou encore en Autriche. On a vu des fissures dans la fondation européenne ces trois dernières années et des solutions doivent être trouvées pour ne pas tomber dans le piège du populisme et des conséquences désastreuses que cela pourrait entrainer, non seulement en Europe, mais dans le monde.
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Pfiou... Ça va être un gros morceau ! Souhaitez moi bonne chance ! Je ferais sans doute un point dessus une fois terminé. Mon prochain texte arrivera prochainement !
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La guerre de cent ans, Plus qu’une guerre de nations, une guerre de dynasties.
La guerre de cent ans, qui dura de 1337 à 1453, est un conflit qui opposa la couronne de France à la couronne d’Angleterre. Cette guerre va au-delà des ambitions de pouvoir de deux dynasties, elle est la première guerre européenne de grande ampleur.
On a d’un côté les Valois une branche cousine des capétiens, et les Plantagenets descendants de Guillaume le bâtard.
Ces deux familles royales vont se disputer le trône et le territoire de France pendant cette grande période trouble, je vais revenir sur le contexte qui a mené ces deux dynasties à se battre pour le pouvoir.
Charles IV dit le Bel meurt en février 1328 sans laisser d’héritier, et met un terme à la dynastie des Capétiens. Deux prétendants au trône émergent :
Philippe Comte de Valois, neveu du roi Philippe IV et petit fils du roi Philippe III. Proche du pouvoir, il devient régent du royaume à la mort de Charles, et les pairs du royaume le nomment roi de France. Il Sera nommé Philippe VI et couronné à Reims en mai 1328. (Vous remarquerez que l’originalité des prénoms chez les familles royales n’était pas de mise)
Edouard III d’Angleterre est l’arrière petit fils du roi Philippe IV par sa mère Isabelle de France, ce qui fait de lui un cousin au deuxième degré de Philippe VI. A cette époque le roi d’Angleterre est aussi Comte de Guyenne, un territoire situé en France (dans l’actuelle Aquitaine) qui appartient aux rois anglais depuis 1152 grâce au mariage de Henri II Plantagenet avec Aliénor d’Aquitaine. Ce duché est le point de départ de cette guerre mais on y reviendra plus tard. Henri II n’est pas considéré comme un prétendant légitime par les pairs du royaume car il descend des rois de France par sa mère, et dans les lois féodales françaises les femmes ne peuvent hériter les titres de leur père.
Dans un premier temps Edouard III ne revendique pas le trône de France et reconnaît la légitimité du pouvoir de Philippe de Valois. Cependant des tensions subsistent entre les deux souverains. La question de l’Ecosse est soulevée, en guerre contre l’Angleterre et alliée de la France. Edouard III souhaite que Philippe VI retire son soutien à David II d’Ecosse. Le Valois refuse et continue de soutenir le souverain écossais au nom de la « vieille alliance ». Un traité entre le royaume d’Ecosse et de France qui font d’eux des alliés depuis 1295. De plus, comme je l’ai précisé auparavant, la Guyenne est un duché situé en France qui appartenant aux rois anglais ce qui fait de Philippe VI le suzerain d’Edouard III. De nombreux conflits entre les rois de France et d’Angleterre ont fait de cette partie du territoire un véritable sac de nœuds diplomatique, avec d’un côté les anglais qui souhaitent détacher la Guyenne de la couronne de France et de l’autre les français qui tente d’asseoir leur influence dans cette région.
C’est ainsi qu’Edouard III mettra en avant sa prétention au trône de France : s’il devient roi de France c’est la fin de la « vieille alliance », l’Ecosse se retrouve isolée et sans alliée et la Guyenne ne sera plus sous l’influence des français. La réaction de Philippe ne s’est pas fait attendre puisqu’il confisque la Guyenne en mai 1337. En octobre de la même année Edouard III déclare la guerre à la France. C’est le début du conflit qui dura plus de 100 ans !
Voilà j’espère que ce petit texte vous a bien plu ! Alors plusieurs points à savoir, c’est une version extrêmement simplifiée du contexte géopolitique de l’Europe féodale. Je n’ai pas par exemple parlé de la révolte flamande contre la couronne de France soutenue par Edouard III. Cependant je vous invite à vous documenter sur cette période, vous verrez c’est passionnant ! Sur ce, je vous souhaite plein de bonnes choses et à plus !!!
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Une petite parenthèse ! “les bérets verts”-Commandant Kieffer
Bonjour à vous amis, amateurs d'histoire ! Je suis entrain de lire un bouquin, écrit par le commandant Kieffer, relatant l'histoire des bérets verts. Ce régiment français vit le jour sous le commandement allié lors de la deuxième guerre mondiale. Ce commando d'élite a participé au débarquement en Normandie et à la campagne de la libération de la France. Je ne peux pas encore aller dans les détails puisque je n'ai pas fini le bouquin. Je vous conseille néanmoins de vous le procurer. Vous aurez une vision réelle et non romancéede ce qu'était la vie au sein de ce commando. Par ailleurs, j'écris en ce moment quelques textes sur des sujets divers que je posterai rapidement ... enfin ... si la procrastination n'a pas eu raison de moi! Bien à vous les amis, à plus
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Un Whisky? Une maladie?
Avant toutes choses un message d’intérêt général : l’alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération. Ne pas consommer pendant la grossesse.
Le whisky est la boisson écossaise par excellence, le pays est le plus gros exportateur de la boisson au monde et c’est aussi la plus grosse exportation agro-alimentaire du pays. En ce qui me concerne je ne me vois pas comme un expert du whisky, mais plutôt comme un enthousiaste. Cependant voici un petit récit sur l’un de ces nombreux whiskys venant de cette nation du nord.
Le Monkey Shoulder est ce qu’on appelle un Blended, c’est-à-dire un mélange de différents whiskys single malt issus d’une où plusieurs distilleries. Le whisky est produit dans la distillerie de Kininvie dans les Highlands, au nord-ouest du pays, et appartient à la famille Grant. C’est la plus récente de toutes les distilleries écossaises, elle a ouvert ses portes en juillet 1990. Kininvie est spécialisée dans la production de blended, cependant elle a aussi embouteillé le single malt Hazelwood 105 de 15 ans d’âge, une édition limitée.
En 2005 la distillerie commence la production du Monkey Shoulder, pour se faire elle procède au mélange de plusieurs single malts venant des distilleries de Glenfiddich, Balvenie et Kininvie. Monkey Shoulder rend hommage aux travailleurs des distilleries, en effet avant d’être le nom d’un blended, c’était le nom d’une maladie qui causait une déformation de l’épaule et qui donnait l’allure d’un singe, ceci était dû aux mouvements répétés que devait faire les maltmens quand ils remuaient l’orge avec une pelle. Outre la déformation physique la maladie causait de sérieux rhumatismes. Aujourd’hui la maladie a disparu car des machines ont repris ce processus.
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