A French boy who will live in USA for like six month et qui improvise un tumblr à son arrivée c'est super
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Facing America
J’étais prêt à écrire mon article en anglais avant de me rendre compte qu’il fallait que je le fasse en français pour que certain d’entre vous comprennent sans passer par Google Translation. Lecteur : Putain le mec il se la pête tellement genre “ChuUIs BiLIngUE ToUT çA BlAHblaH”...

Moi : Tais-toi, je suis pas bilingue du tout okay.
Du coup, je suis actuellement à San Francisco (NDLR: j’ai écris ce texte à San Francisco en mai mais je décide de le publier en France en août parce que fuck the logique) mais je ne parlerais pas de ça aujourd’hui. Pour le moment sur ce Tumblr, vous avez à peu près les deux premi��res semaines de mon épopée. Nous allons donc reprendre en janvier. Le truc assez amusant étant que ma mémoire faisant défaut, ceci est un pari risqué que de vouloir tout raconter en différé. Baltringue.
Mes cours américains : cinéma, cinéma, cinéma, cinéma et cinéma. Rien de bien étonnant pour quelqu’un faisant un Master cinéma. Le problème étant que le premier jour, on me dit que j’ai le droit de tout abandonner et prendre ce que je veux à la place de ce qui m’a été assigné. Ils n’auraient jamais dû.
J’ai donc décidé d’abandonner la plupart de mes cours théoriques parce que la théorie ça me gave et j’ai donc choisi que les cours pratiques. On part donc sur.
1) Scénario Le ton est lancé dès le premier cours, le professeur nous promet que chaque élève repartira avec son propre scénario de long-métrage à la fin du semestre. J’y crois moyen mais d’accord.
2) 3D avec Maya Là, on parle surtout de modélisation 3D sur ordinateur. Et on commence avec un truc hideux. J’ai peur qu’on fasse que des trucs datant des années 90 donc obsolètes (mais hyper classe (mais obsolètes)).
3) Ballet Tu vois Billy Elliott? Bah en gros c’est ça.
4) Photographie C’est facile, il suffit juste d’appuyer sur le bouton et voilà (spoiler alert: non, c’est pas juste ça).
5) Hitchcock J’ai gardé un cours théorique quand même mais juste parce que le prof a promis que chaque semaine on allait regarder un film de Hitchcock différent. Comme j’ai des grosses lacunes en Hitch (n’ayant vu que Birds, Pyscho et un épisode de Alfred Hitchcock Presents), je reste! (PS: Julien Lepers n’est plus le présentateur de l’émission, c’est triste)
6) Ingé son pour une station de radio Bon là clairement c’est le cours que j’ai pris par défaut car il fallait que j’atteigne minimum 12 crédits et que j’ai essayé de trouver des cours pour apprendre le piano ou des cours d’acting mais il n’y avait plus de place. On verra.
Bon, du coup c’est pas non plus HYPER éloigné du cinéma au final, tout ça se retrouve dans ce merveilleux art qui rassemble tous les arts en vrai. Et c’est ça, la beauté du 7em art. L’effet grisant de ce medium hors du commun et qui pourtant est devenu l’industrie populaire que nous connaissons aujourd’hui.
Je ne le sais pas encore, mais je vais bientôt périr.
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SOUS LES HOMEWORK! Les américains sont tarés putain (ou nous sommes peut-être des grosses feignasses, à débattre).

(ça c’est un mur dans la rivière qui passe à côté de l’université)
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Cleveland, Ohio (ouais y’en a d’autres ailleurs que l’Ohio)
$5.50
Prix d’un ticket de transports publics pour 24h.
Nous avons payé.

(Le mec qui dort c���est un étudiant américain qui s’occupe des internationaux)
Mais c’était pour avoir cette visite guidée de Cleveland par l’une des mamies-guides pour touristes les plus chou du monde.
Dans le bus de guide pour touristes le plus chou du monde.

La fonction de ce bus est donc de nous faire découvrir Cleveland et ses spécificités en un temps record car l’emploi du temps est hyper serré (comme...)
Ah oui, c’était gratuit (ce mot reviendra souvent sur ce tumblr, autant vous y habituer tout de suite).
Ce que j’ai retenu de ce tour guidé ?
Réponse: Rien.
Pourquoi ?
Réponse: Parce que les informations défilaient aussi rapidement que le bus dans les rues de Cleveland et que c’est officiel, je déteste les visites guidées de ce genre MAIS (dans cette romantique atmosphère... ♪, Le Roi Lion, 1994) Installé à l’arrière du bus, il a fait office de travelling efficace pour de nombreuses vidéos shootés avec mon téléphone. On verra.
J’ai fais une photo aussi.

Cleveland c’est un mini-New-York en fait et je crois qu’historiquement, le plus grand building des Etats-Unis était de Cleveland avant de se faire dépasser par un de New-York donc GG Ohio!
J’y suis retourné plusieurs fois depuis évidemment, en prenant plus le temps de voir un peu ce qu’il se trame au détour des rues mais vous verrez ça en temps et en heure (c’est à dire dans 18 ans vu mon rythme de publication actuel).
Une fois rentré sur le campus, il faisait nuit et la neige était toujours partout.

D’où cette magnifique photo complètement magnifique dont je suis très fier.

(Mon message accurate laissé sur un mur dédié chez Domino’s Pizza (non je n’ai pas mangé une seconde fois là-bas j’ai juste accompagné des gens))
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Nous étions les rois du campus.
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Les étudiants américains n’étaient pas encore arrivés...
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Berea, Ohio.
Berea en gros c’est Cleveland mais genre un peu comme Boulogne-Billancourt c’est Paris tu vois ou pas ?
Du coup, l’aéroport de Cleveland fut ma première destination après avoir quitté New-York (scroll donc si tu veux voir ce que j’ai fais à New-York, c’était complètement épique (non)).
Première semaine sur le campus de Baldwin-Wallace University. Je pourrais vous en raconter des belles si seulement je me souvenais de tout. Je vais tout de même vous en raconter des potables.

Premier jour sur le campus (3 janvier) les mecs nous mettent bien avec un dîner gratuit en provenance de Boca Loca, restaurant mexicain local en partenariat avec l’université. Je trouve pas ça hyper bon mais les gens sont plutôt fans ici (même les autres étudiants internationaux) et c’était gratuit donc bon.
Deuxième jour, visite du campus (oui la veille je suis arrivé en fin d’aprem donc juste le temps de m’installer dans ma chambre et me faire manger, non je ne me suis pas installé en maison de retraite). Le truc est assez immense et pourtant tout le monde dit que c’est “un petit campus”. Je n’imagine pas la taille de l’Ohio State College du coup (on devrait aller le visiter après Spring Break si tout se passe comme prévu, je vous dirais). Y’a plein de trucs cools comme un club de gym gratuit pour les étudiants (Il faut bien que les sportifs puissent de muscler un peu, et ils sont l’école américaine championne de raquetball depuis genre plusieurs années consécutives donc bon) et après ça déjeuner gratuit (un buffet à volonté pas dégueu). Puis quelques réunions d’information et enfin le dîner gratuit : Domino’s Pizza.
Je vais faire un aparté ici sur Domino’s Pizza. En France, j’adore Domino’s Pizza. Je commande très peu souvent là-bas mais franchement pour des pizzas venant de franchise, c’est vraiment correct. Aux USA, je déteste Domino’s Pizza. Les trucs baignent tellement dans l’huile que c’est juste immangeable. Et ils essayent d’ajouter des saveurs cheloues sur la pâte avec des épices on comprend rien au truc.
Mais c’était gratuit. Et c’était l’occasion de rencontrer les “Internationals Friends of Something something” (je ne me souviens jamais de leur noms. En gros c’est des familles du coin qui se portent volontaires pour faire découvrir des trucs bien américains (et pour certaines familles, faire découvrir des trucs bien religieux)) aux étudiants internationaux de tout Cleveland. Oui, y’a des familles qui semblent creepy as hell mais ils offrent un dîner gratuit tous les mois et des activités funs comme du Toboggan en janvier (j’en parlerais plus tard probablement) et un Escape Game en mars ou avril donc c’est cool.

Troisième jour. Déjeuner gratuit. Sandwichs américains à confectionner soi-même (le mien en photo juste au dessus). J’ai fais un trois étages, the american way quoi, je pensais bien représenter la culture américaine en faisant un Super Size Me et bien non, j’étais le seul à faire ça, même les américains n’ont pas osé mais que voulez vous. FREE FOOD FOR GOD’S SAKE!
Ensuite, encore des réunions d’information. On en a tous les jours et par milliers. Mais c’est plutôt cool car ils te disent vraiment tout et t’aident vraiment pour tout. Genre t’as presque pas à te soucier des papiers car ils font tout pour toi et ils répondent à toutes tes questions sans fillonner (remplacement de sourciller pour deux raisons évidentes). Pour dîner, une première, ce n’était pas gratuit (smiley triste) Nous avons donc suivi cinq étudiants venus d’Inde dans un resto indien qu’ils connaissaient déjà car depuis trois jours ils ont déjà testé tous les restos indiens du coin pour trouver leur préféré et ont manqué beaucoup de free food pour ça. Les gars ils sont partis d’Inde depuis 3 jours et ils loupent de la bouffe gratuite pour bouffer ce qu’ils bouffent depuis leur naissance: like what the fuck?

(Photo de nous au resto. Ya du swag de compete ouais)
Je pourrais finir la semaine (car c’était vendredi soir) mais je parlerais du weekend dans un autre article PARCE QUE C’EST NOTRE PROJET! (pardon)
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Oh oui au fait...
... Je suis bien arrivé dans l’Ohio. Il fait beau (mais froid (mais beau) et parfois moins froid).
Bye!

PSs: - La photo, c’est ma vue quand je sors du dortoir - Après ça, je vais écrire tous mes articles en retard car j’ai enfin trouvé un peu de temps donc des choses plus complètes arrivent tkt
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La La Land dans le Queens
Premier film au cinéma que je me devais de voir arrivé sur le sol américain : La La Land de Damien Chazelle évidemment. Pour des raisons évidentes :
- Sorti aux USA largement avant la France (25 janvier pour l’hexagone baby gone) - Emma Stone (et un peu Ryan Gosling même si il était un peu OSEF pour moi avant La La Land. Plus maintenant) - Musical qui semblait assez parfaitement parfait (je l’ai vu avant l’ovation aux Goldens Globes mais il avait déjà une très bonne réputation)

C’est donc armé de mon téléphone portable et du wifi fourni par ce cher logement Airbnb que je me devais de trouver une séance dans une salle de cinéma New-yorkaise. Une géolocalisation plus tard HOP je trouve un cinéma à 2-3 blocks de l’appartement et je me rend compte par la même occasion que le quartier est sacrément orienté ciné, voyez mon article précédent.
$12 la place et encore, c’est pas le tarif complet car c’était une “séance du matin” (à 13h45lol). Soit la moitié d’un abonnement illimité UGC ou Gaumont en Francelol2.
Mais une bonne experience dans une excellente salle (fauteuils ultra conforts et putain de place pour les jambes ce qui manque cruellement dans pas mal de cinés parisiens) et le film MONDIEULEFILM bah carrément une experience aussi qui ne m’a pas laissé indemne à tel point que 3 semaines plus tard j’en suis toujours à écouter la B.O. on a daily bases ymyn (You Meme You Know = tmtc Toi Même Tu Sais).
Et j’en ai écris un long article sur le nouveau (et bien frais ma gueule wesh) site de l’Internet mondial Neo Tokyo : http://neotokyo.fr/2017/01/20/article-la-la-land-desole
Donc va voir l’article, ça fait un article dans un article c’est une articleption peut-être mais ça serait dénaturer le sens du second mot utilisé dans ce mot-valise donc non.
See ya!
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(not exactly) 2 days in New-York
Plutôt un et demi en fait mais Julie Delpy, la référence tout ça. Je me suis levé tôt le matin pour commencer la journée avec entrain et... oui bon je vais pas vous faire une morning routine non plus, c’est pas la section beauté du site communautaire à caractère vidéographique dénommé YouTube ici.
J’ai continué à me balader dans Astoria près de mon Airbnb (merde, je crois que mon tumblr se bobo-ise (merde, je crois que “tumblr” et “bobo” dans la même phrase est un pléonasme)) car j’ai découvert la veille en surfant sur le web 2.0 -tel un faux blond australien sous UV waxant sa planche avec de l’huile de jojoba à la noix de coco- que mon tiéquar abritait non seulement un studio de cinéma, mais en plus le Museum of Moving Image (donc le cinéma), une école d’art avec du cinéma et, tenez-vous bien à vos commodes Louis XVI, un fucking cinéma !
Ni une, ni deux (ni même trois), je partais découvrir tout ça (en notant dans le coin de ma tête les horaires pour aller voir le tant attendu par moi La La Land dont je vous parlerais plus tard et qui sort en France le 25 janvier faut aller le voir et je vous dirais peut-être pourquoi mais voilà) accompagné de mon non-parapluie, ce qui fut bien fâcheux étant donné les gouttes tombantes (en vrai, ça va).

Les studios Kaufman. J’ai vu personne de célèbre en sortir ou y rentrer mais en réalité je suis juste passé devant quelques secondes.
A la suite de ma séance, je me prépare pour affronter L’Homme Hattan (plus communément appelé Manhattan).
Le métro New-Yorkais ligne N, bim Time Square direct, on est comme ça les professionnels, prêts en toutes circonstances.
Des buildings à perte de vue par le haut, le capitalisme ambiant, la foule qui entraîne, les vendeurs de saucisses italiennes (?) chaudes dans des pains avec ketchup ou moutarde ou les deux.

C’est ainsi que je passe devant les encarts des shows musicaux de Broadway dont j’aurais voulu acheter les places immédiatement. On verra ça plus tard. Pour le moment, allons donc à pied jusqu’à Central Fucking Park. A pied. Sous la pluie. Dans le froid. A Pied. (Vous ai-je précisé que j’y suis allé à pied ?)
Arrivant à Columbus Circle, je vois Central Park au loin, mais décide de me réchauffer dans le centre commercial, espérant trouver la B.O. de La La Land. (Je vous dirais plus tard pour le film, ne soyez donc pas impatients de la sorte)
Le temps avance (remonter le temps, c’est possible que en avion et en direction de l’Ouest en fait, j’avais pas compris) et je ne suis toujours pas allé manger ma pizza new-yorkaise ni allé au Rockfeller Center, donc je fais un coucou vite fait à Central Park (je n’y suis pas entré finalement car : le froid) et hop subway (pas le fast-food).
Je sors je sais plus quelle station près de Time Square et je décide d’aller “par là” sauf que c’était pas le bon sens. C’est pas grave, je trouve une pizzeria pour manger ma pizza new-yorkaise et je profite d’un wifi gratuit pour me réorienter (pas de façon éducative, juste niveau plan, rues tout ça). Les gens du resto exécrables m’installent à table, je suis de nouveau sec et réorienté et entre temps personne ne m’a ni présenté de menu ni venu prendre ma commande (30 bonnes minutes que “j’attend” en faisant mes trucs et je suis leur deuxième table après une table de trois personnes, et ils sont quatre à faire des aller-retour les mains vides entre le comptoir et la cuisine). Je pars.
J’ai oublié mon bonnet.
J’hésite à y retourner.
J’y retourne.
Un des mecs demande pourquoi je suis parti.
Je dis que j’ai oublié mon bonnet, je le prend et je repars.
BIM Je prend une photo de carte postale de New-York avec mon iPhone et un bâtiment vert juste derrière.


Puis j’arrive au Rockfeller Center où se joue une projection de Noël ma foi fort sympathique tandis que les patineurs patinent dans le même sens (celui des aiguilles TMTC) et je choppe mon hot-dog new-yorkais de gros touriste à défaut de la pizza (que je chopperais le lendemain en fait, dont worry be happy).
Et je rentre chez “moi”... en me gourant dans le subway new-yorkais car mon dieu depuis le début j’avais pas compris en fait j’avais juste eu de la chance de prendre (plus ou moins) toujours les bonnes lignes et tout !
Un million d’années pour poser mon pied sur le parquet de ma chambre airbnb et OMG j’ai oublié de prendre une photo du plaid qu’il y avait dans cette chambre il était vraiment dégueulasse magnifique.
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1st time in Japan
Jet-lag, nom masculin (?) : Truc qui ne m’a rien fait alors que j’étais sensé expérimenter le premier de ma vie, voir aussi à déception. Il faut bien comprendre quelque chose, je suis arrivé un dimanche, après 22h heure locale ET un 1er janvier qui, dois-je réellement vous le rappeler, est un jour férié.
Aussi je me suis baladé dans Astoria (Queens) de nuit pour trouver de quoi me nourrir convenablement. Au détour des blocks divisés ici en numéros d’avenues et de rues (facile pour se retrouver mais également pour se perdre si on fait pas gaffe, dans mon cas, mon sens de l’orientation a fait son boulot), je suis tombé sur une superette ouverte “Family Market” qui, comme son nom l’indiquait pourtant clairement est une épicerie japonaise (duh).

Butin en poche, je ne suis pas en reste puisque je tombe sur le seul resto à emporter (je voulais manger à l’Airbnb qui était par ailleurs génial & génialement placé, j’en reparlerais dans un autre article) ouvert : un japonais. Alors évidemment pour le premier soir de ma vie sur le sol américain, j’embrasse à foison la culture gastronomique locale, vous le constatez autant que moi.

Ce fut une régalade même si je fusse choqué par l’absence non-obstent de sauce soja (non sucrée par définition donc salée oui), je me contentâme de la sucrée à mon désarrois. La concordance des temps n’étant plus son pareil, je m’arrêterais donc ici pour cette fois. Le pays de Jay-Z et Beyonce (Thank you) sera tout de même un peu dans ce repas nippon via ces sucreries qui n’ont pas leur pareil.

Et pour terminer, une review des différents non-fat-less du pays du soleil levant.

Ceux-là c’est des petites boules mignonnes trop bonnes même si je sais pas ce qu’il y a dedans, y’a au moins du chocolat.

Ça c’est mignon aussi mais un peu sale mais c’est hyper bon quand même en mode petit biscuit sympa quoi.

Les burgers ils sont super bons aussi mais pour le côté véracité de la représentation on repassera, c’est le fromage qui est sensé dépasser du bun et non pas le steak !

Ça c’est un peu moins bon, je sais pas pourquoi, mais ça va c’est quand même largement mangeable. Ça doit ressembler à des troncs coupés, je sais pas pourquoi mais pourquoi pas.

Celui-là est clairement le moins bon, c’est un biscuit salé avec du chocolat et ça marche pas du tout dans ce cas là (et je suis pourtant un adepte du sucré/salé). Ça dégage. Itadakimasu (je crois).
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Grand Opening
Je vais la faire courte car j’ai rdv à Manhattan avec Emma Stone et Ryan Gosling sous peu, ça c’est un tumblr dédié à ce que je vais faire et voir aux Etats-Unis d’Amérique pendant 6 mois donc stay tuned. Spoiler alert : le premier vrai article à venir sera à propos de ma toute première nuit sur le sol américain et en l’espace de quelques heures, vous verrez que j’ai vécu l’américanitude de façon intense.
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