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Fiche réflexive
Est-ce que ce travail a changé certaines choses dans mon rapport à l’écrit?
Ce travail n’a pas beaucoup changé mon rapport à l’écrit. Je pense que j’avais déjà un rapport à l’écrit très positif avant ce travail. Il serait difficile de la rendre meilleure. Cependant, je pense qu’il y a tout de même une petite amélioration. Au départ, j’ai nommé que j’aimais beaucoup écrire, mais que je n’aimais pas avoir trop de consignes lorsque j’écrivais. Je trouvais que cela enlevait du plaisir à écrire. Avec ce travail, j’ai réalisée que les consignes pouvaient être vues de manière positive. Je pense qu’il s’agit du seul élément qui a changé quant à mon rapport à l’écrit. Heureusement, ce travail ne m’a pas fait avoir un moins bon rapport avec l’écrit.
Le travail d’écriture créative m’a permis de... m’a fait réfléchir à...
La partie créative du cahier de l’écrivain, a été ma partie préférée. Elle m’a permis de découvrir de nouveau style d’écriture. En effet, avant, j’écrivais soit des textes personnels sans structure soit des travaux scolaires. J’ai découvert des concepts comme la twittérature et « invente-moi une histoire » qui m’ont grandement plus. J’ai découvert que je pouvais écrire, pour le plaisir, des textes ayant une structure particulière. Ça m’a fait réfléchir à l’intérêt pour l’écriture que je souhaite faire développer chez mes élèves. Cela m’a donc donnée des idées sur les différentes manières que je pourrais utiliser ce travail dans ma oû les élèves pourront écrire des textes de toute sorte. Aussi, cette partie du travail m’a perdu de développer mes compétences en tant qu’écrivaine. Par là, je veux dire que j’ai grandement réfléchie à ma structure de phrase et à la manière de dire les choses afin de rendre mes textes plus agréable à lire.
Le travail de réécriture m’a permis de ... m’a fait réfléchir à...
On m’a souvent dit que j’écrivais bien. Les gens qui lisaient mes textes disaient que j’avais une belle plume. J’étais donc assez confiante. Heureusement, ce travail m’a permis de voir ce que j’ai des choses à travailler afin d’écrire encore mieux. Les commentaires de mes paires étaient fait par des personnes que je ne connaissais pas alors ils étaient plus objectifs. Ainsi, la réécriture m’a permis travailler sur la manière dont j’emmène mes idées. J’ai compris que je devais utiliser un peu plus le sens figurer afin de rendre plus harmonieux mes textes. Aussi, ce travaille m’a permis de me remettre un peu dans la peau de mes élèves. En tant qu’enseignante, je devrai dire des commentaires à mes élèves sur la qualité de leur texte. Je devrai leur donner des conseils afin qu’ils puissent devenir de meilleurs écrivains. Ça m’a fait réfléchir à la manière d’amener ces commentaires afin qu’ils les perçoivent de manière constructives et non comme des attaques personnelles.
Qu’est-ce que ce travail a changé dans votre posture d’enseignant, particulièrement au regard des élèves en difficulté?
Ce travail a un peu changé ma posture d’enseignant. J’avais une certaine rancoeur envers l’écriture et je pense que j’aurais facilement pu transmettre cela aux élèves. Ce travail m’a permis de comprendre que l’un de choses les plus importantes pour un enseignant en écriture devrait être de transmettre le goût d’écrire. Plus tu aimes écrire et que tu es fière de ce que tu fais et plus tu risques de mettre du temps pour améliorer tes textes et les corriger. Ainsi, les élèves deviendront meilleurs. C’est d’autant plus important pour les élèves en difficulté qui peuvent vivre beaucoup d’échecs. Peu importe si l’élève a une dyslexie, un trouble du déficit de l’attention ou un trouble du spectre de l’autisme, l’élève a un outil qui lui est indispensable : son imagination. Il faut utiliser cela comme levier afin de l’amener à évoluer.
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Réécriture : Changements apportés
J’ai choisi de présenter le texte « invente-moi une histoire » à mes collègues puisque je n’étais pas certaine qu’un lecteur externe allait comprendre l’histoire en raison des nombreux sous-entendus et puisque j’avais l’impression que les mots que j’avais utilisés était « trop voyants ». Elles m’ont dit comprendre l’importance de certains mots en anglais, mais que d’autres n’étaient pas nécessaires.
À la suite de la lecture, les étudiantes m’ont dit comprendre l’histoire et la fin qui laisse présager une suite. Cependant, elles m’ont confirmé que plusieurs mots ne faisaient pas « naturels ». Elles pouvaient identifier aisément certains mots comme étant les images que j’avais. Elles m’ont conseillé d’utiliser le sens figurée de celle-ci. J’ai donc essayé d’appliquer ces modifications afin de rendre mon texte plus fluide. J’ai utilisé l’action que faisait les objets ou un sens figurée de certaines images. Aussi, j’ai francisé l’un des mots et tenté d’ajouter des détails (description de la coutellerie, etc.).
Les modifications apportées rende mon texte plus fluide et les détails que j’ai ajoutée permet au lecteur de mieux comprendre la réalité de mon personnage.
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Invente-moi une histoire... (Version réécrite)
« Hello Honey, are you coming? » fait l’homme en me proposant d’entrer dans sa Audi de l’année. Je regarde derrière moi pour avoir l’approbation de Sam. D’un petit coup de menton, il m’autorise à y aller. J’embarque. L’homme fait vrombir le moteur pour m’impressionner et, tout à coup, il décolle aussi rapidement qu’une fusée. J’ai cru pendant un instant que nous étions des participants du Grand Prix de Montréal, mais non, nous étions que spectateur. Une fois la course terminée, l’homme me propose d’aller souper. Il m’amène dans un grand restaurant ; assiette en porcelaine, coutellerie en argent. Dans mon assiette, je ne saurais dire ce que c’est… Chez moi, ce n’est pas ce genre de bouffe qu’on mange. Nous mangions lorsque son téléphone sonne. L’homme quitte la table. Ça semble être un appel important, la discussion dure plusieurs minutes. Lorsqu’il a terminé son appel et qu’il passe à côté de moi, il me touche le dos. Je ne passe aucun commentaire même si ça me donne des frissons dans le dos. « Amy, occupe toi de tes affaires » ; c’est ça que Sam me dit toujours. Une fois qu’il a payé la facture, nous nous mettons en route vers l’hôtel, mais pas n’importe laquelle. L’hôtel où j’ai toujours rêvé d’aller. Celle où les jumelles Olsen sont venues. Celle que Sam m’a promis qu’il m’amènera un jour… Il me l’a promis. Sam à un plan. Il me l’a dit. Un jour, nous serons riches, mais, pour l’instant, je dois aider Sam a payé ses dettes pour pouvoir partir à neuf. C’est pour ça que je suis là ce soir… C’est parce que Sam à besoin de moi. Ces pensées me donnent l’énergie d’avancer. Elles sont comme mon carburant, mes batteries.
Une fois dans la chambre de l’homme, je demande d’aller à sa salle de bain. Un petit coup de peigne, un petit nettoyage ici et là, je refais mon maquillage. « Plus tes chix, plus tu vas avoir du cash. Oublie pas, bébé, c’est pour moi que tu fais ça. C’est parce que tu m’aimes » : je me répète ça s’en cesse dans ma tête. Je dois le faire, je suis capable, ça ne va pas être si pire que ça. Allez, j’y vais. Je sors de la pièce et puis… je pense que je ne suis pas obligée de vous dire ce qui s’est passé par la suite… Vous l’avez deviné, j’en suis certaine…
Après que cette partie soit fini, Sam est arrivée. Sam a réclamé son dû. Moi, j’étais assiste là par terre… je me sentais sale. Tellement sale. J’avais mal. Tellement mal. Sam m’a prise le bras et m’a sorti de la chambre. Le tapis « Bienvenue » à l’entrée de l’hôtel me semblait si absurde au moment de quitter. On marche dans la rue. La police s’arrête. Sam me dit de continuer de marche, mais j’ai tellement mal. J’ai de la difficulté à marcher. La police dit : « Amy? Amy Tremblay ? ». Je me retourne. Comment ils connaissent mon nom ? Sam lâche mon bras et se met à courir. Puis les policiers continuent « Amy, tes parents te cherchent. Tout le monde est inquiet pour toi. Suis-moi, je vais t’amener en sécurité ».
Trois heures plus tard, on m’amène dans ce qu’il appelle un centre de réadaptation. Une éducatrice me propose d’aller prendre une douche avant de tout m’expliquer. Elle a lu dans mes pensées. C’est exactement ce dont j’avais besoin. Je vais dans la douche, je frotte, je frotte, je frotte. Je suis tellement sale. Ma peau devient rouge, mais je continue de frotter. J’ai l’impression de m’avoir baigné dans une marre de poisson pourri. Et puis... je m’effondre. assise au fond de la douche, je pleurs, je cris. J’ai mal. J’ai tellement mal, mais cette fois-ci, ce n’est pas la douleur physique qui prend le dessus. Cette fois-ci j’ai mal au coeur. J’ai l’impression qu’on m’a percé le coeur… Sam est parti. Sam m’a abandonnée…
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Invente-moi une histoire... (version originale)
« Hello Honey, are you coming? » fait l’homme en me proposant d’entrer dans sa Audi de l’année. Je regarde derrière moi pour avoir l’approbation de Sam. D’un petit coup de menton, il m’autorise à y aller. J’embarque. L’homme fait vrombir le moteur pour m’impressionner et, tout à coup, il décolle aussi rapidement qu’une fusée. J’ai cru pendant un instant que nous étions des participants du Grand Prix de Montréal, mais non, nous étions que spectateur. Une fois la course terminée, l’homme me propose d’aller souper. Il m’amène dans un grand restaurant. Dans mon assiette, je ne saurais dire ce que c’est... Chez moi, ce n’est pas ce genre de bouffe qu’on mange. Puis son téléphone sonne, l’homme quitte la table. Ça semble être un appel important, la discussion dure plusieurs minutes. Ça semble interminable. L’homme revient, lorsqu’il passe à côté de moi, il me touche le dos. Je ne pose aucune question, aucun commentaire. « Amy, occupe toi de tes affaires » c’est ça que Sam me dit toujours. Une fois qu’il a payé la facture, nous retournons en route vers l’hôtel, mais pas n’importe laquelle. L’hôtel où j’ai toujours rêvé d’aller. Celle où les jumelles Olsen sont venues. Celle que Sam m’a promis qu’il m’amènera un jour... Il me l’a promis. Sam à un plan. Il me l’a dit. Un jour, nous serons riches, mais, pour l’instant, je dois aider Sam à payer la dette qu’il a pour pouvoir partir à neuf. C’est pour ça que je suis là ce soir... C’est parce que Sam à besoin de moi. Ces pensées sont comme une batterie. Ils m’aident à fonctionner.
Une fois dans la chambre de l’homme, je demande d’aller à sa salle de bain. Un petit coup de peigne, un petit nettoyage ici et là, je refais mon maquillage. « Plus tes chix, plus tu vas avoir du cash. Oublie pas, bébé, c’est pour moi que tu fais ça. C’est parce que tu m’aimes » . Je me répète ça s’en cesse dans ma tête. Je dois le faire, je suis capable, ça ne va pas être si pire que ça. Allez, j’y vais. Je sors de la pièce et puis... je pense que je ne suis pas obligée de vous dire ce qui s’est passé par la suite... Vous l’avez deviné j’en suis certaine...
Après que cette partie soit finie, Sam est arrivée. Sam a réclamé son dû. Moi, j’étais assiste là par terre... je me sentais sale. Tellement sale. J’avais mal. Tellement mal. Sam m’a prit le bras et m’a sortis de la chambre. Le tapis « Welcome » à l’entrée me semblait si absurde au moment de quitter. On marche dans la rue. La police s’arrête. Sam me dit de continuer de marche, mais j’ai tellement mal. J’ai de la difficulté à marcher. La police dit : « Amy... Amy Tremblay ? ». Je me retourne. Comment ils connaissent mon nom ? Sam lâche mon bras et se met à courir. Puis les policiers continuent « Amy, vos parents vous cherchent. Tout le monde est inquiet pour toi. Suis-moi, je vais t’amener en sécurité. ». Trois heures plus tard, on m’amène dans ce qu’il appelle un centre de réadaptation. Une éducatrice me propose d’aller prendre une douche avant de tout m’expliquer. Elle a lu dans mes pensées. C’est exactement ce dont j’avais besoin. Je vais dans la douche, je frotte, je frotte, je frotte. Je suis tellement sale. Ma peau devient rouge, je continue de frotter. Je me sens tellement sale. J’ai l’impression de m’avoir baignée dans une marre de poisson pourri. Je m’effondre... J’ai mal. J’ai tellement mal, mais cette fois-ci, ce n’est pas la douleur physique qui prend le dessus. Cette fois-ci j’ai mal au coeur. J’ai l’impression qu’on m’a trouée le coeur avec une perceuse... Sam est parti. Sam m’a abandonnée...
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Texte qui dit «comment faire»
Message que ma mère (77 ans) m’envoie :
Ma réponse :
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Twittérature
Déshabillé et fouet paré, elle entra dans le bureau de son mari pour faire une surprise. « Euh, est-ce votre femme ? » fit l'écran du mari.
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Déconfine tes pensées!
À Wuhan, de la toux, de la fièvre. Quelques cas c’est tout. En stage, en apprentissage, sans se douter qu’on était que de passage. L’alerte a été lancée. École fermée a été déclarée. Tout a été arrêté, excepté mon anxiété. Les épiceries se sont bondées, le papier de toilette a été vidée. Mais qu’est-ce que je vais faire ? Il m’en reste que trois sur l’étagère. Rationnement ! Que deux carrés, c’est important!
Travailler, C’est une bonne idée. Pourquoi pas en profiter, plutôt que de s’apitoyer. Facile à dire, difficile à faire. La réalité n’était pas telle qu’envisagée. Plus rapidement que le virus, la panique s’est propagée.
Masque, lunette de protection, unité de suspicion. Beaucoup de mesures pour assurer notre protection. Ce n’est pas facile à vivre pour des jeunes qui ont vécu l’abandon. Provocation, opposition, argumentation. Trois mots avec quoi je répondais par de la compassion. Puis est venu l’interdiction de quitter le pavillon. Pour résultat, l’augmentation des contentions. La compassion n’était plus une solution... Devenir stoïque est devenu héroïque. La moindre faille pouvait faire dérailler la quiétude de l’unité. Eux se sont apaisés, moi je me suis effondrée. La fatigue accumulée, les pensées emprisonnées ont eu raison de ma santé.
Dépersonnalisation, connaissez-vous la définition ? C’est le sentiment de sortir en entrant. Entre deux mondes, tes perceptions sont détachées. J’étais complètement déconnectée de la réalité. Ai-je été drogué, c’est ce que je me suis demandée, la première fois que ça m’est arrivée. Mais non, j’étais seulement en train d’être dépouillé de mon humanité.
Rapidement, j’ai compris que c’était qu’un symptôme de mon anxiété. Je voyais la vie en monochrome. Pas de couleur, pas d’ardeur, mais mon âme-soeur a secoué mon coeur. De retour à la réalité, je me suis retrouvée. Mieux équipée pour affronter les étapes à venir. Puis la seconde vague est arrivée. Plonger me semblait être la bonne idée, mais dans les patates je me suis retrouvée. Les bouillons avalés, je ne me suis pas noyée, mais assommée je me suis retrouvée.
Pause... Réfléchissons
« Évidemment, rien ne peut arrêter la vague qui déferle. Plonger n’était clairement pas la solution appropriée. Me baigner, voudrait dire l’attraper. JE SAIS! Pourquoi pas surfer sur ce monstre enragé? »
Dans 28 jours, nous saurons si cette solution me met en mode avion.
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Ma vie en six mots
Tombes. Tu apprendras. Toutefois, relève-toi!
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Quand vous écrivez, qu’est-ce qui est plus facile? Expliquez.
Lorsque l’écris, ce qui est le plus facile est de trouver des idées. J’ai une opinion sur tout et n’importe quoi. Donnez-moi un sujet, je vous écris un texte de 1000 mots là-dessus. Le syndrome de la page blanche, je ne connais pas ça.
Quelles sont les difficultés les plus importantes quand vous écrivez? Expliquez.
Lorsque j’écris, mes plus grandes difficultés sont mes erreurs d’orthographe. J’écris rapidement et ne porte pas attention à mes fautes d’orthographe ou à ma syntaxe. Ça fait en sorte que mes textes sont remplis d’erreurs. Puisque mes textes sont généralement très longs, la correction l’est également. L’un de mes enseignants m’a déjà dit : « Amélie, écris un minimum de mots. Ça va t’empêcher de faire plein de fautes et tes textes vont être de meilleure qualité. ». Je ne l’ai jamais écouté. Pour moi, un texte de qualité ne se résume pas à l’encre qui a coulé sur le papier, il s’agit surtout de la qualité de la plume.
Pour bien écrire, il faut avoir un talent spécial ou juste travailler? Expliquez.
Dépendamment ce que l’on entend par « bien écrire », ma réponse ne sera pas la même. Si cela signifie ne pas faire d’erreur de français, je vous dirais que la majorité du temps, bien écrire se travaille. Il faut apprendre les règles grammaticales, syntaxiques, etc. Cependant, si par « bien écrire » on considère le contenu du texte, le talent; la passion et l’imagination sont primordiales. Même en élève dyslexique / dysorthographique peut écrire un texte formidable. Savez-vous ce qui est magique dans tout ça? C’est que plus en enfant aime écrire, plus il écrira. Plus un enfant écrit, meilleur il deviendra. Donc, au final, l’important pour « bien écrire », ce n’est pas de travailler ou d’avoir un talent. L’important c’est d’aimer écrire.
Qu’est-ce qui pourrait vous aider à mieux écrire? Expliquez.
Ce qui pourrait m’aider à mieux écrire serait de simplifier le français. Enlevez toutes les exceptions de la langue française, ça pourrait être bien. Ah oui et les verbes... Parlons des verbes! Pourquoi faire 361 verbes qui s’accordent de manière aléatoire? Ce n’est pas extraordinaire comme décision. On va se le dire. Sans faire de blague, ce qui m’aiderait à mieux écrire serait de plus lire. Les règles de français me viendraient plus naturellement et mon vocabulaire serait plus élaboré.
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Aimez-vous écrire en dehors de l’école? Pourquoi?
Je pense qu’il est clair que j’adore écrire en dehors de l’école. Il n’y a aucune contrainte qui s’offre à moi. Mes textes peuvent avoir trois ou 1000 mots, c’est moi qui décide. Le sujet? Que j’en vois un me dire ce que je dois écrire. Le style d’écriture? C’est le mien et celui de personne d’autre ! Je tiens un blogue sur Internet autre que celui-ci depuis des années. Mes joies, les peines, mes peurs y sont transposées. Ça me permet de dire des choses que je n’oserais jamais prononcer. Écrire à la maison = évasion.
En dehors de l’école, dans quelle situation écrivez-vous?
- Écrivez-vous sur du papier? Aimez-vous cela?
J’écris peu sur le papier, mais j’adore ça. Le papier permet de personnaliser encore plus le message que l’on souhaite faire passer. On peut u ajouter des dessins, des écritures spéciales, etc. Mon côté artiste ressort lorsque j’écris sur du papier. Je peux vous dire que je me gâte lorsque j’écris mes notes de cours. Aussi, j’ai l’impression que tout est plus important lorsque c’est écrit sur du papier. Lorsque j’ai un élément important à écrire, je le fais sur papier. Ainsi, j’ai l’impression que le message ne disparaîtra jamais.
- Écrivez-vous sur un support informatique? Aimez-vous cela?
J’écris beaucoup sur mon ordinateur portable. Comme je l’ai dit précédemment, je tiens un blogue. J’ai choisi ce format de journal intime plutôt que sur du papier pour plusieurs raisons. D’abord, j’écris plus rapidement avec un clavier qu’avec un crayon. Lorsque les émotions m’envahissent et que j’ai besoin d’écrire, j’ai l’impression de me transformer en machine. Je tape frénétiquement et avec force sur les touches de mon clavier. C’est satisfaisant. Aussi, j’ai l’impression que d’écrire sur l’ordinateur permet une meilleure confidentialité. Je sais bien qu’il s’agit d’un faux sentiment de sécurité, mais cela m’importe peu.
Écrivez-vous sur les réseaux sociaux? Aimez-vous cela?
J’écris très peu sur les réseaux sociaux. Souvent, lorsque j’écris sur ces plateformes, c’est pour accompagner une photo. Comme vous avez pu voir, pour moi, l’écriture à une dimension très personnelle. Je ne vois pas l’utilité à ce que mes émotions soient exposées au grand public. Être vulnérable; ok, mais il y a des limites tout de même.
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Pour moi, écrire c’est...
Note : 8,5 /10
Est-il important d’écrire (en général et à l’école)? Pourquoi?
D’après moi, écrire c’est important, très important. Écrire dans le présent permet, dans le futur, de comprendre notre passé. Écrire permet de laisser des traces. Des traces de ce qu’on a vécu, de ce qu’on a pensée, de ce qu’on a ressenti, de ce qu’on a rêvé... Écrire pour soi, c’est ça le plus important! Après ça vient d’écriture à l’école. Je vous dirai que c’est aussi important surtout pour une chose : ne pas avoir honte. Ne pas avoir honte dans le futur de la façon que nous écrivions dans le passé. Écrire à l’école permet d’apprendre la norme orthographique, mais aussi de développer notre style d’écriture. C’est important d’écrire à l’école des textes variés, afin que la petite Amélie en devenir puisse trouver qui elle est comme écrivaine.
À quoi sert d’écrire en général?
En général, écrire sert à mettre en mots ce que nous pensons, ce que nous vivons, ce que nous ressentons. Écrire permet d’exprimer nous émotions, nos envies, nos rêves, mais surtout nos peurs. Écrire en général sert à faire comprendre aux autres ce que nous avons de la difficulté à dire à l’oral. Ça permet de structurer sa pensée, certes, mais aussi à mieux de comprendre.
Aimez-cous écrire à l’école ? Ou Quels sentiments éprouvez-vous quand vous devez écrire à l’école? Pourquoi?
À l’école primaire, j’adorais écrire plus particulièrement des histoires. Je laissais libre cours à mon imagination et j’oubliais momentanément mes difficultés et mes peurs. Ce sentiment de liberté m’a poursuivis au secondaire. La rédaction de nouvelles littéraires est devenu un jeu pour moi. Une grande joie ; c’est ça que j’éprouvais en écrivant. Cependant, depuis le Cégep, ce sentiment s’est dissipé petit à petit... Les consignes strictes, beaucoup trop strictes, m’ont arraché l’amour que j’avais pour l’écriture. Times New Roman, caractère 12, texte justifié, interligne 1,5, nombre de mots : entre 100 et 102, sujet : X dans les années Y, d’une manière W, sous l’angle de Z auteur... Je me suis perdue.
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