Il y a un an, je prenais mon billet d'avion, je déposais ma lettre de congé sabbatique, je partais en Argentine. Aujourd'hui c'est le cœur serré que je repars mais riche d'une expérience, de rencontres et de découvertes incroyables. Merci à tous de m'avoir suivie et de m'avoir soutenue dans ce projet. Hâte de vous retrouver!
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Quand je suis arrivée à Ezeiza, l’aéroport international de Buenos Aires, je me suis revue huit mois en arrière, atterrissant, face à l’inconnu et me demandant si j’avais pris la bonne décision en venant, seule, ici. Aujourd’hui, Buenos Aires n’est plus cette grande inconnue mais une ville où j’ai déjà mes petites habitudes, au Havanna ou à Palermo.
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Le Brésil, ce sont aussi les favelas. On en compte plus de 700 à Rio, regroupant environ 1,5 millions d’habitants, soit environ 20% de la population. Accueillant les classes populaires mais aussi les classes moyennes aujourd’hui, les favelas sont de vraies villes dans la ville. Construites de manière anarchique, à flanc de montagne, on y peine à recevoir l’eau comme la lumière.
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Quand on évoque Rio de Janeiro, on pense au soleil, à la samba et aux plages idylliques. Eh bien, c’est exactement ça ! Du soleil, des plages de sable blanc au pied des immeubles, de la verdure, de la musique et des endroits où sortir tous les soirs, des petits bars au bord de l’océan, une joie de vivre et une coolitude ambiante. Que demander de plus? Pour moi, rien, si ce n’est peut-être rester un peu plus longtemps ? ;-)
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L’Amazonie, rien que de prononcer son nom je rêve déjà. Ses fleuves rouges de terre, sa jungle à la végétation abondante et aux animaux en tout genre, ses communautés indigènes. Recouvrant plus de quatre pays (Equateur, Pérou, Bolivie et Brésil), c’est en Bolivie, et plus particulièrement dans le parc Madidi, près de Rurrenabaque (Rurre pour les intimes), que je vais découvrir animaux en tout genre, plantes médicinales et une autre façon de vivre, en harmonie avec la nature. Car dans la jungle, c’est bien elle la reine.
Chaleur humide, quand on pénètre en Amazonie, le ciel n’est bientôt qu’un doux souvenir sous les arbres de plusieurs dizaines de mètres de haut. S’il est difficile de voir les animaux, en revanche on les entend tout le temps, partout. Du singe hurleur qui te réveille à 5 heures du matin aux multiples insectes qui rodent toute la nuit, en passant par toutes sortes d’oiseaux chanteurs, l’Amazonie est un vrai concert. C’est aussi le paradis des moustiques, fourmis et araignées qui se sont faits une joie de me dévorer les jambes... le prix à payer de l’aventure!
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L’Isla del Sol, au milieu du lac Titicaca est peuplée de différentes communautés qui ont leurs propres langues et lois. Du haut de l’île, on aperçoit les côtes du Pérou tout proche.
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Posé sur les berges du lac Titicaca, Copacabana est un petit village qui a su préserver son âme paisible malgré le flux touristique. Par beau temps, on aperçoit le Pérou de l’autre côté.
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La Paz compte de nombreux marchés, vêtements, légumes, viandes, repas, jus de fruits, produits cosmétiques, artisanat, on y trouve de tout. D’ailleurs, ici on dit qu’on n’a pas besoin de Mc Donald’s, le fast food c’est le marché. Pas besoin non plus de supermarché. Mais le plus insolite reste le “mercado de las brujas” (le marché des sorcières) où l’on peut trouver, outre les offrandes à la Pachamama, des élixirs de toutes sortes pour trouver l’amour, punir son copain, ou raviver la flamme dans son couple, sans oublier les foetus de lamas, utilisés dans de nombreux rituels.
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Plus que Sucre, La Paz a des allures de capitales avec ses rues bondées, ses immeubles et son trafic infernal. C’est d’ailleurs la capitale administrative et économique de la ville, même si Sucre tient à son statut... Nichée sur les montagnes, La Paz est la capitale la plus haute du monde, à près de 4000 mètres. Depuis quelques années, à défaut de métro, ici on prend le téléphérique.
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Dès 8h du matin, pétards et slogans lancés dans les hauts-parleurs résonnent en ce 1er mai à La Paz. Les hommes et les femmes sont réunis par emploi, en tenue de travail. Notez comment les manifestants sont bien ordonnés et organisés, marchant en file indienne.
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Capitale constitutionnelle du pays, Sucre est surnommée la ville blanche. Mais de capitale, elle en a plus le nom que l’atmosphère. L’ambiance y est paisible et on se sent vite à l’aise dans cette petite ville avec ses maisons coloniales, ses musées ethnographiques, ses cafés. On y croise aussi un joyeux mélange entre les femmes aux tenues traditionnelles et celles qui ont adopté un style plus occidental.
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L’envers du décor de Potosi, cette belle ville perchée sur la montagne, c’est la mine. 70 % de la population y travaille encore dans des conditions difficiles et parfois dès l’âge de 12 ans. S’il n’y a plus d’argent depuis longtemps, on y cherche encore de l’étain, du zinc ou du cuivre. Les mineurs se sont regroupés par équipes, toujours les mêmes, soudées, et sont payés au rendement. On y travaille 7/7j., dans la poussière, parfois la chaleur et le manque d’oxygène même si des conduites d’air sont installées, et on s’y désaltère avec de l’alcool pur, à 26°. Alors la question d’aller visiter ou pas la mine se pose : voyeurisme ? curiosité déplacée ? J’ai longtemps hésité avant de décider d’y aller. Mais plus qu’une “visite”, j’ai choisi de rencontrer ces hommes, en prenant le temps de discuter avec eux, pour tenter de mieux comprendre leur quotidien et leurs motivations.
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