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cinephage-blog1 · 10 years
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Il était temps
    Synopsis : Alors que Tim vient d'avoir 21 ans, il apprend par son père qu'il peut voyager dans le temps, ce qui est pour lui enfin une chance de trouver une petite-amie.
Réalisateur : Richard Curtis
Avec : Domhnall Gleeson, Rachel McAdams, Bill Nighy
  Agréable surprise.
Personnellement, j’ai remarqué un grand décalage entre la bande annonce et le film, ce dernier va au delà de nos attente
Cette comédie de Richard Curtis est plus qu'une comédie potache sur un mec usant de sa capacité à voyager dans le temps pour séduire une fille.
En réalité, l’histoire est étalée sur plusieurs années et questionne vraiment notre rapport au temps.
Si le thème du voyage dans le temps est toujours un peu délicat, il faut reconnaître qu’il est utilisé dans ce film car ses limites sont assez claires.
On reconnait la patte du réalisateur de Love actually : au delà de la comédie romantique, vraie réflexion sur l'amour (qu'il soit romantique ou familiale) et sur ce qui est important dans la vie.
Bon casting (VO délectable avec l'accent british), petit faible pour Bill Nighy même si l'acteur principal est aussi très attachant (Domhnall Gleeson qui joue notamment Bill Weasley dans la saga Harry Potter et qui est au casting du prochain Star Wars).
Rachel McAdams a un rôle un peu différent de celui qu'elle peut avoir d'habitude, loin de la femme fatale ou superficielle qu’elle a tendance à incarner, son personnage est plutôt discret et attachant, le genre de personnage féminin auquel on peut facilement s'identifier.
Des comédies comme ça, j’en redemande !
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cinephage-blog1 · 10 years
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Une promesse (2014)
Synopsis :L'action débute dans la Ruhr en Allemagne en 1912, se prolonge au début de la Première Guerre mondiale et se termine dans les années suivantes. Un jeune secrétaire tombe amoureux de la jeune femme de son patron, un industriel âgé.
Réalisateur : Patrice Leconte
Avec : Richard Madden, Rebecca Hall et Alan Rickman
Leconte a su préserver et transmettre toute la sensibilité de Zweig.
Si l’issue du film est délibérement « moins pessimiste » que celle de l’auteur, le sentiment de mélancolie qui apparaît après le générique de fin est le même qu’au moment de la fermeture du livre.
Le choix de l’anglais pouvait être discutable mais le résultat est à la hauteur de la controverse,
Rebecca Hall, Alan Rickman et Richard Madden sont parfait et remplissent parfaitement leur rôle.
Chacun des personnages est torturé par ses sentiments à sa façon, à une époque où le changement est répréhensible.
On voit la lente évolution de chacun des personnages, d’abord Alan Rickman qui décline au profit de Richard Madden, ce dernier prenant petit à petit la place du maître alors qu’il la refusait à la base.
Rebecca Hall, quant à elle, est tout en retenue et en nuances.
Difficile de rester insensible à la beauté de ce film, de sa musique et de cette histoire.
On retrouve le style d’un Joe Wright ou d’un Lasse Hallström qui sied parfaitement à cette histoire. Il est presque trop facile d’oublier que ce petit bijou est français.
A vrai dire le choix de l’anglais, qui au premier abord ne semble pas tellement justifié trouve parfaitement sa place avec un rôle à part entière pour la langue. Tout d’abord, le simple fait d’une langue étrangère renforce le contexte et permet de situer l’action sinon il aurait été trop facile de transposer l’histoire en France où elle n’aurait pas eu sa place. Il m’est en fait impossible d’imaginer le même film avec des acteurs français, personnellement, je trouve que la langue anglaise apporte souvent un plus à l’histoire et une certaine musicalité même si c’est peut être restrictif.
Peut-être le film manque-t-il un peu de l’esprit allemand, mais n’étant pas une experte du sujet, je ne suis pas sûre d’être capable d’en saisir toutes les nuances.
Le rythme correspond au livre et on ne peut qu’apprécier de pouvoir déguster toute la retenue dans le jeu de séduction. Lorsque l’on connait l’histoire, on ne peut que redouter l’arrivée toujours plus imminente de l’élément perturbateur et savourer au maximum la première partie du film.
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cinephage-blog1 · 11 years
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Wolverine: le combat de l'immortel (2013) James Mangold
Ce qui pourrait passer pour un énième blockbuster tirant un peu trop sur la corde des superhéros et autres mutants (sixième apparition du personnage de Wolverine dans un film quand même) apparaît plutôt comme une façon de faire amende honorable des éventuels couacs précédents (phènomène qui devrait être amplifié par le très attendu X-men Days of Future Past) tout en s'affranchissant de la franchise originelle. Ce deuxième opus entièrement consacré au personnage de Hugh Jackman est, en effet, constitué d'une histoire à part entière (si on oublie le caméo de Famke Janssen et le micro bonus à la fin) ce qui lui permet de tirer son épingle du jeu en s'adressant à deux publics différents: les fans de la sage (et des sagas en général) et ceux qui sont juste attiré par une affiche, un synopsis ou une bande annonce. Même s'il faut vivre dans une caverne (ou juste ne pas appartenir à une certaine génération) pour ne pas connaitre Wolverine, on peut très bien regarder ce film sans aucune connaissance préalable sur l'univers Marvel (à part pour le bonus de fin, mais bon c'est justement un bonus). 
Heureusement, ce films est très bien situé temporellement, car entre tous les films de la saga, il y a toujours un risque de s'y perdre (risque qui va probablement s'amplifier à l'avenir mais Dieu merci, il y a toujours l'évolution du design des combinaisons pour nous aider). Donc, contrairement à ce que je pensais initialement, ce deuxième opus n'est pas une suite directe de Wolverine mais celle (au moins au niveau chronologique) de X-men 3. 
Il faut l'avouer, j'ai passé la moitié du film à angoisser à propos de notre protagoniste, comme cela se déroule après le trois, rien n'assure sa survie. Certaines scènes du film sont vraiment trash et le bonus introduisant Days of Future Past est presque ridicule et n'apporte rien de plus que ce que l'on peut déjà trouver sur internet, mis à part le plaisir de retrouver de vieux amis. 
J'avoue que j'étais assez inquiète de savoir que le film était dans un environnement strictement asiatique et j'étais assez mauvaise langue pour croire que ce n'était qu'une manœuvre pour rallier un public asiatique non négligeable! mais au final ça ne dénote pas et ça permet de changer un peu d'univers. 
Faux raccord éventuel: lorsqu'il perd son pouvoir de guérison, pourquoi n'a-t-il aucun problème avec ses griffes alors qu'elles sont sensées, au moins, lui ouvrir la peau à chaque fois ? 
Conclusion: gros blockbuster de l'été bien agréable mais vivement Thor 2 (Loki forever)  et X-men Days of Future Past !
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cinephage-blog1 · 11 years
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Marathon filmique
En vue de suivre une option cinéma l'année prochaine, je me suis fixée une filmographie à voire (des classiques plutôt noirs) et j'ai l'intention de prendre des notes et de vous en faire part. J'espère pouvoir commencer aujourd'hui avec Eyes Wide Shut (1999) de Kubrick à moins que je n'aille voir Wolverine au cinéma ce soir. 
Amis cinéphages, bonsoir. 
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cinephage-blog1 · 11 years
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Eternal Sunshine of the Spotless Mind
Même si j’ai eu du mal à rentrer dedans (la narration peut être un peu déroutante lorsqu’on le regarde pour la première fois), ce film vaut vraiment le coût de s’accrocher ne serait-ce que pour voir Jim Carrey dans un rôle dramatique et pour les cheveux multicolore de Kate Winslet (les cheveux rouges lui vont trop bien).
Ce film est également doté d’un casting trois étoiles avec, en plus des protagonistes, la présence de Elijah Wood, Kirsten Dunst, Tom Wilkinson et Mark Ruffalo (Avenger, The kids are alrights…).
N’oublions pas que ce chef d’œuvre (qui fait parti de mon top 3) est l’œuvre d’un français, Michel Gondry (qui a récemment réalisé L’écume des jours), et même s’il est majoritairement américain, il y a encore des choses dont on peut être fier dans notre beau pays.
Ça reste l’un des plus beaux films d’amour (notez l’absence de l’expression « comédie romantique ») car il est sincère, dramatique mais jamais niais.
Le scénario est littéralement renversant sans toutefois que le film soit surfait ou rempli d’effets spéciaux. Et s’ils sont parfois rudimentaires (notamment les retours en enfance), ça fait parti de l’histoire et ça permet de mieux se focaliser sur le scénario (qui demande un peu de concentration ne serait-ce que pour la première vision) ou sur le jeu des acteurs.
Plusieurs niveaux de relations sont abordés dans ce film à travers des intrigues plus ou moins secondaires.
  Attention : spoiler éventuel
Seul problème, je n’arrive toujours pas à comprendre comment ils se retrouvent alors que le rendez-vous n’était fixé que dans sa tête. Car, même si l’entreprise Lacuna peut correspondre à de la science fiction, tout le reste est parfaitement réaliste donc une connexion spéciale entre les deux personnages est assez difficile à envisager.
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cinephage-blog1 · 11 years
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Le Chocolat
Petit bijou du cinéma à déguster sans modération.
Non seulement ce film vous donnera faim (au moins pour les amateurs de chocolat) mais en plus il saura vous enchanter les autres sens. La vue sera ravie par le charme de Johnny Depp (et peut-être par celui de Juliette Binoche pour les messieurs). L’ouïe se délectera de la musique enchanteresse de Rachel Portman. Par contre le toucher, l’odorat et surtout le goût seront profondément frustrés à la vue de tels délices et regretteront de ne pas faire parti de ce monde ne serait-ce que pour y goûter.
Vous l’aurez compris, ce film tourne autour du chocolat, mets par excellence, mais pas que.
Cela décrit (de façon fidèle ? pas sûr) la France des années 1960’s dans un petit village assez conservateur voire rigide.
La vision suédois/britanno-américaine de Lasse Hallström exagère peut-être un peu cet aspect mais je n’en suis pas sûre (je n’ai pas vécu cette époque après tout). Dans tous les cas, cela reste plausible même si ça ne donne pas forcément une image réjouissante de la France.
Mais ce film est poétique, on retrouve le style du réalisateur (assez épuré mais en même temps coloré et qui ne manque pas d’humour) comme dans Casanova.
Alfred Molina est magistral lorsqu’il joue un maire conservateur et extrêmement rigide prêt à tout pour sauver les apparences et ce en quoi il croit.
Carie-Anne Moss (Matrix, Memento) casse sont rôle de sex symbol (Trinity) par son personnage de mère un peu trop protectrice et secrètement amoureuse du maire.
Bref, ce film est plaisant, et même si ce n’est pas forcément un chef d’œuvre cinématographique connu, il mérite d’être vu (et revu) et son visionnage reste toujours un plaisir. 
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cinephage-blog1 · 11 years
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Pirates des Caraïbes et la malédiction du Black Pearl (Gore Verbinski 2003) 
Bon d’accord, un blockbuster comme ça ça fait peut-être tâche dans une filmographie mais j’assume complètement car Pirates des Caraïbes et la malédiction du Black Pearl est probablement le film qui m’a rendu amoureuse de Johnny Depp et, à travers lui, du cinéma et de la langue anglais (ce qui n’est pas rien !). Je lui en suis, d’ailleurs, très reconnaissante pour cela.
J’étais jeune et innocente direz-vous, c’est vrai mais il n’empêche que pour une pub pour un parc d’attraction c’est plutôt réussi !
La recette ? Des pirates, des acteurs bankable et sexy, des fantômes, une histoire d’amour et surtout beaucoup d’humour !
Et même si la recette ne fonctionne pas à tout les coups (cf PdC 3 et 4), on ne peut nier que Johnny Depp est majoritairement responsable de ce succès. Il faut dire que ce personnage, inspiré (entre autres) de Pépé le Putois et de Keith Richards, a de quoi surprendre et faire rire. N’oublions pas que c’est le premier grand rôle commercial de Johnny Depp, depuis 21 Jump Street, et il lui a permis d’atteindre cette notoriété, et ce, malgré l’eyeliner. Même si on aurait aimé qu’il s’arrête à temps (au bout de deux films ça aurait été parfait) même si retrouver Jack Sparrow est toujours un régal peu importe la qualité du film qui l’accueille.
Il faut reconnaitre que ce film regorge de perles notamment grâce à ses nombreux couples hilarants tel que Jack et Barbossa (Geoffrey Rush à voir dans Le Discours d’un roi), mais aussi Pintel (Lee Arenberg à voir dans Once upon a time) et Ragetti (Mackenzie Crook à voir actuellement dans Game of Thrones), ou encore Mullroy et Murtogg (les deux soldats).
Il y a donc un casting parfait avec également la présence de Keira Knightley (Anna Karenine, Reviens-moi ou encore Orgueil et Préjugé), Orlando Bloom (Le Seigneur des Anneaux), Jonathan Pryce (Brazil) ou encore Jack Davenport (Smash), dans lequel on peut se délecter de l’accent anglais et qui sera complété dans le second opus par Bill Nighy (Davy Jones, Love Actually) ou encore Tom Hollander (qui fait également parti du casting de Orgueil et Préjugé).
Il ne faut pas oublier la musique qui est magistralement composée par Hans Zimmer et Klaus Badelt et qui est aussi entêtante qu’impressionnante.
Une seul question continue de flotter (je sais, ça fait parti du deuxième film mais c’est pour voir si vous suivez), quelle marque Jack a-t-il laissé sur Lord Cutler Beckett ? 
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cinephage-blog1 · 11 years
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Le Seigneur des Anneaux.
Ok, faire un article (d’une taille raisonnable) sur cette saga est une mission impossible. Donc je vais juste essayer de retranscrire mon indicible amour envers cette franchise.  
Le Seigneur des Anneaux ce n’est pas simplement un Harry Potter pour garçon (comme j’ai pu le croire pendant très (trop) longtemps). Ce n’est pas qu'un blockbuster avec du beau monde et des beaux paysages.
C’est surtout une alchimie qui rend ces films parfaits, et probablement l’une des meilleurs adaptations de livre qui soit faite (de vrais livres, pas de simples nouvelles trop courtes pour que leur adaptation soit réellement problématique).
J’avoue j’ai regardé pour la première fois cette saga il y a environ 6 mois alors que j’avais 18 ans. Peut-être suis-je une fan illégitime pour certains mais quel fan ne m’envie pas d’avoir eut l’occasion de découvrir cette saga avec un regard neuf ?
Sincèrement je ne fait que regretter de n’avoir pas pu participer à cette extraordinaire aventure et donnerais n’importe quoi pour en avoir l’occasion.
Le génie de Tolkien est grand (qui peut se targuer d’avoir inventé nombre de langues et un monde à partir de rien ? parce que soyons honnête, c’est le premier l’avoir fait) mais celui de Peter Jackson est également présent.
Le casting est parfait, d’Elijah Wood à Viggo Mortensen en passant par Ian McKellen, chacun des rôles semble avoir été pensé sur mesure. Et comment ne pas rendre hommage à Andy Serkis ? sa performance en tant que Gollum est à couper le souffle (littéralement).Même la musique est formidable !
Bien plus que l’histoire, c’est la complicité et l’alchimie entre les acteurs (sans oublier les visuels magnifiques) qui font réellement tout le film parce qu’objectivement, l’histoire n’est pas joyeuse et personnellement je ne pourrais pas les regarder en boucle s’il n’y avait que ça.
Aussi tragique que l’histoire soit, on ne peut pas regarder cette franchise sans frissonner, rire et déprimer de ne pas y participer (même si soyons clair, je ne vivrais pas 5 min dans un monde pareil).
J’ai probablement oublié la moitié des aspects de cette trilogie mais ne vous contentez pas de mon avis et allez la contempler vous-même et si c’est déjà fait,alors vous me comprenez.
Conseil : à consommer sans modération et surtout ne PAS passer à côté, c’est loin d’être aussi sombre que ça peut paraitre initialement (surtout quand on n’a vu que la scène dans les mines de la Moria) et même les filles peuvent en tomber amoureuse (j’en suis la preuve vivante même si Viggo Mortensen et Elijah Wood n’y sont pas pour rien). 
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cinephage-blog1 · 11 years
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Ella Enchanted (Ella au pays enchanté)
Encore un conte de fée me direz-vous ?
Ella Enchanted, c’est bien plus que cela. C’est une parodie de conte de fée (qui en garde quand même les ingrédients essentiels) qui est vraiment très drôle. Avec des petites phrases lancinantes, des scènes burlesques et des reprises de chansons classiques qui sont assez cool.
Anne Hathaway est splendide et Hugh Dancy est très crédible en prince charmant même s’il n’est pas forcément ultra charismatique.
Le méchant est joué par le merveilleux Cary Elwes (le prince charmant de Princess Bride) et je vous assure qu’il vaut le détour !
Et même si ce film n’est pas très connu et qu’au premier abord il n’est pas très engageant (il apparait plutôt comme un film pour adolescentes en mal d’amour), je le recommande avec l’assurance de passer un bon moment et de bien rire.
Certes c’est une parodie mais elle ne tombe jamais dans le grotesque et c’est assez appréciable. Il faut même parfois le revoir pour saisir toutes ses subtilités.
Et franchement qui ne craque pas face à une comédie romantique sur fond de conte de fée un peu modernisé ?
  Conseil : Franchement ne pas hésiter. C’est un très bon divertissement qui n’est pas (complètement) niais comme peuvent l’être les contes de fait ou les Disney en général. L’humour y est peut-être plus présent que l’amour. Après avoir joué dans Le journal d’une princesse, Anne Hathaway fait plutôt preuve d’autodérision dans ce film. 
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cinephage-blog1 · 11 years
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X-men First Class (X-men le Commencement) 
Un casting monstrueux pour un blockbuster très très réussi.
Si l'on met à part le fait que je sois totalement amoureuse de Michael Fassbender, de son talent (évidemment) et du fait qu’il parle français dans ce film (si si, regardez le en VO). Il faut reconnaitre que cette introduction aux mutants est vraiment géniale. Le casting est d’enfer, notamment grâce à Jennifer Lawrence, Michael Fassbender (même objectivement) James McAvoy (même s’il n’est pas forcément à son avantage par rapport à Jane (Becoming Jane)) ou encore Kevin Bacon. Et si chronologiquement, il y a quelques petits décalages avec le reste de la saga (Moira apparait relativement jeune dans l’un des films de la trilogie initiale et Alex est supposé être le frère de Cyclope), Matthew Vaughn (Kick-Ass, Stardust) a quand même très très bien rattrapé la franchise initiée par Brian Singer et quelque peu malmenée par Brett Ratner pour The Last Stand (L’affrontement final).
Tout fonctionne parfaitement dans cet opus. L’ancrage historique est très intéressant et globalement cohérent. Les acteurs sont bon, les effets spéciaux aussi et l’histoire se déroule sans fausses notes ni longueurs, ce qui est notable pour un film introductif.
Découvrir de nouvelles mutations est assez cool et nous donnes encore plus envie d’être un mutant pour pouvoir se frotter à Magneto et toute sa clique.
Cet épisode permet également d’approfondir des personnages qu’on ne connaissait pas vraiment ou pas dans cette optique (tels que Mystique, Magneto ou même Charles Xavier jeune), ce qui les rends plus humains donc plus intéressants. Les relations entre les différents personnages complexifient également l’histoire (qui aurait anticipé ce lien entre Raven et Charles ?).
De plus, les divers clins d’œil et blagues (autour des cheveux ou encore le superbe caméo de Hugh Jackman) rajoutent un peu de piment et d’humour à ce film, ce qui le rend totalement délectable.
Tout le monde en avait rêvé, ils l’ont fait. Et le deuxième est également très prometteur avec un croisement des deux castings de la franchise, aucune idée de comment ils vont pouvoir réaliser ça, mais j’ai hâte !
Conseil : vous l’aurez compris, je suis totalement fan de ce film (mais aussi des super héros en général) donc n’hésitez pas une seule seconde. Je ne m’en lasse pas et peux le regarder en boucle sans aucun problème (ce n’est peut-être pas un critère mais c’est déjà ça de pris). 
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cinephage-blog1 · 11 years
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Le fabuleux destin d'Amélie Poulain 
Conte enchanteur qui charme par tous ses aspects. La musique nous embarque à travers un tourbillon d’histoires, comme l’esthétique globale avec notamment le passage introductif qui ne laisse pas de marbre.
Même si la première fois que je l’ai vu, il m’a laissé un peu perplexe (je devais alors avoir 7 ou 8 ans), le charme n’a pas manqué d’opérer la seconde fois (mais aussi toutes celles qui ont suivi).
Au fond l’histoire n’a rien d’extraordinaire mais telle une potion magique, un ensemble de petits éléments mis bout à bout transforment ce film français en un petit bijou.
Audrey Tautou est géniale mais c’est surtout la narration et le cadre qui charment, tout comme cette volonté, peut-être un peu naïve, de tenter d’apporter à chacun ce qui lui manque.
Et si cette naïveté a pu être décriée dans la chanson des Fatals Picards (Moi je vis chez Amélie Poulain), chacun aimerait être la cible de telles attentions et savoir se réjouir des petits plaisirs de la vie comme le fait si bien Amélie.
De nombreuses scènes deviennent cultes et restent facilement en mémoire comme le thème principal du morceau qui est joué et rejoué par n’importe quel, ou presque, pianiste amateur.
C’est le genre de film qu'on adore ou qu'on déteste, personnellement je ne m'en lasse pas. 
Les reproches qui peuvent être fait à ce film concernent l’absence d’une histoire concrète ou encore la singularité de la narration. Peut-être est-il un peu trop romancé pour ces messieurs mais faute d’échos masculins je ne peux pas en attester (ça reste une comédie romantique après tout !).
Conseil : à voir et à revoir à l’infini, film familiale toujours très agréable à voir  et à écouter et ne pas hésiter à retenter l’aventure si le souvenir (lointain) de sa sortie a été mitigé. 
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cinephage-blog1 · 11 years
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Mange Prie Aime (Eat Pray Love)
Réalisateur : Ryan Murphy
Acteurs notables : Julia Roberts 
                            Javier Bardem (Vicky Cristina Barcelona, Skyfall)
                            Billy Crudup (Big Fish ,Public Enemies, Stage Beauty)
Liz décide ,après un divorce inattendu et difficile , de prendre une année sabbatique pour faire un tour du monde culturel . Elle le commencera par l’Italie , et sa cuisine méditerranéenne . Le poursuivra par l’Inde et sa richesse spirituel pour finir en Indonésie où elle trouvera l’amour .
C’est un beau film produit par Brad Pitt (la classe !) qui traine un peu en longueur, mais ce rythme colle bien au sujet .
Les décors sont sublime et apportent un calme porté sur la réflexion et la méditation .On traversera Rome (et ses mets) , l’Inde (et ses coutumes) et enfin Bali (et ses surprises) . 
Seul bémol, le doublage (français) de Javier Bardem (avec un accent brésilien) le vieilli et le fait passer pour un rustre . 
Julia Roberts est magnifique comme toujours mais ce détail ne suffira pas à emmener ces messieurs voir cette comédie romantique sans qu’ils ne s’ennuient . 
Ce film nous permet une mini remise en cause de nous-même . 
Il est plein de poésie qui apportera provisoirement une paix interieure. 
Conseil: à voir (une fois), dans un moment de déprime ou d'ennui, sans en  attendre trop. Comédie romantique agréable et gourmande. 
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cinephage-blog1 · 11 years
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Catch me If you can (‘Arrête moi si tu peux’ pour les anglophobes)
Petit chef d’oeuvre de Steven Spielberg , avec le brillant et non moins magnifique Léonardo Di Caprio en interprète principal .
Le reste du casting n’en n’est pas moins prestigieux avec un Tom Hanks impeccable en policier sans humour et determiné .
Les parents sont interprétés par Christopher Walken (Sleepy Hollow , Batman le Defi) et par la très française Nathalie Baye . 
Ce film raconte l’histoire (vraie ce qui est d’autant plus impressionnant) de Franck Abagnale Jr , un jeune homme fraudeur hors pair . 
Le début ,qui est un peu chaotique chronologiquement ,nous expose les differentes situations dans lesquels se retrouve confronté le jeune homme et nous affiche directement les faits incriminés . 
Ce film époustouflant nous achève par l’épilogue plus qu’incroyable de la vie de Franck Abagnale Jr qu’on ne peut qu’admirer malgré ses fautes .
En savoir plus ? voici les secrets de tournage made inhttp://www.allocine.fr
http://www.allocine.fr/film/anecdote_gen_cfilm=35973.html
Conseil: à consommer sans modération, en une fois de préférence et en étant assez concentré sur le film (difficile de faire quelque chose d'autre en même temps). 
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