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Blue tears
Beaucoup de football chaque semaine, et encore plus à venir en juin-juillet. De joie ou de peine, d'Italie, de France ou d'ailleurs, nous verserons des larmes bleues et nous les sécherons en écoutant Legowelt.
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The city never sleeps
En attendant le loup ce soir, une montée en pression signée Gavin Russom, caché sous le masque de Crystal Ark.
The Crystal Ark - The City Never Sleeps from DFA Records on Vimeo.
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Introduction
Mettre l'intro de son live comme morceau dans un EP, ça peut faire flemmard vu de loin. Mais quand il s'agit de Ryan Davis, on se tait et on écoute religieusement.
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Charpenté
La techno a été définie par le passé comme la rencontre de Carpenter et de George Clinton dans un ascenseur avec pour seul compagnie un séquenceur (en fait dans la citation originale de Derrick May, c'est Kraftwerk et pas Carpenter, mais ça m'arrangeait pas).
La question est que se passe-t-il si on oublie d'inviter Clinton ? La réponse est dans le 2e morceau du 4 titres de Scape One, Europa's Secret.
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Velours
Avant d'écouter le morceau Velvet de SCNTST (on imagine qu'il faut le lire à la MGMT ou MSTRKRFT), on peut passer quelques secondes sur sa notice biographique plutôt inquiétante, puisqu'elle contient les termes "jeune prodige" et "écurie BoysNoize". Pourtant au programme point de turbine lassante, mais au contraire un track bien enlevé qui commence par 10 secondes de silence.
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Re-naissance
Pour cette journée d'entre-deux saison, le Born & Left de Joachim Pastor, sur l'indispensable label Parquet, constitue une BO idéale, avec sa ligne de basse qui émerge comme un animal s'ébroue au sortir de l'hiver et hume l'air doux du printemps.
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Soundscape
Depuis toujours, les morceaux pour lesquels j'ai le plus d'attirance sur le long terme sont ceux qui semble durer une éternité en créant un véritable paysage sonores - d'où le concept de soundscape. Rien ne me fascine plus que ces morceaux "monde".
Parmi les spécialistes du genre, outre Gavin Russom, on trouve Minilogue, dont le dernier exemple en date, une pièce de 18 minutes baptisée Atoms with curiosity looks at itself and wonder why it wonders, date de 2013.
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Always like this
Je ne sais pas vous, mais je passerai bien l'après-midi à faire une sieste dans un champ de coquelicot, le visage caressé par un doux vent printanier. Et j'ai une bonne BO pour ça.
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La mer
Prenez un morceau un peu chiant et sirupeux de Röyksopp et confiez aux Pachanga Boys. Le résultat sera absolument sans surprise et pourtant imparable, car qui d'autre mieux qu'eux délivre des tracks de 10 minutes à la fois hypnotiques et faciles, tellement flatteur à l'oreille qu'ils en deviennent un plaisir coupable et addictif.
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Repeat
D'un côté, le Munichois Christian Prommer, surtout connu pour ses drums lessons, de l'autre le Hambourgeois Christian Löffler, l'un des plus fins - et plus tristes - producteurs d'électro actuel. Le second s'attaque à un morceau du premier, et nous propose un des ces tracks qui donnent juste envie d'appuyer sur repeat et de regarder par la fenêtre le temps s'écouler.
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Rimini by snow
Depuis longtemps j'observe le projet italien Margot d'un œil attentif. Car s"ils viennent de Rimini, leur paysage musical est généralement torturé, mélancolique et hypnotique. Et ce trentaseitrenta ne fait pas exception.
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C'est juste une question de temps
Prendre enfin le temps de poster sur Clichey Music un morceau pesant et jubilatoire avec un break à l'ancienne, comme ce On time de In fields, pour démarrer cette semaine avec un peu de volonté.
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Podcast monday
Je ne suis pas nécessairement fan de podcast et autres mix maison, parce que je passe avant tout du temps à écouter inlassablement mes trouvailles récentes jusqu'à ce qu'elles me rentrent bien dans la tête.
Néanmoins, j'essaie de temps en temps d'en écouter, et parfois je m'incline. Comme arrive la saison où l'on commence à vivre dehors et qu'il est pratique de ne pas aller changer un morceau toutes les 8 minutes - oui, c'est la durée moyenne des morceaux que j'écoute, je vous propose non pas un mais quatre mix. Il s'agit de celui de M.A.N.D.Y. au Burning Man, ce qui ne peut être qu'amour et extase, un peu plus de noirceur avec Fairmont et enfin le plein d'élégance germanique avec une vieillerie de Christian Löffler et une nouveauté de Kollektiv Turmstrasse. De quoi tenir l'après-midi.
Kollektiv Turmstrasse pour Meoko
Christian Löffler pour Electronic Beats on Air
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No no no no. No...
Peut-on raisonnablement ne pas aller voir au Loup ce soir si on y est bien en train de passer du Tobar, du Tempelhof, du Voorn, et plein d'autres choses, en buvant des coups et en dévorant des petits cochons à la broche ?
Je crois que the Fields et John Tejada ont une réponse toute prête.
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Springs back
Et soudain, le printemps resurgit. Pour fêter ça, quoi de mieux qu'un morceau doux et frais, souriant, mais avec tout de même la petite pointe de mélancolie réglementaire. En avant vers les beaux jours donc avec ce Ringo de Josh Wink, que vous pourrez aller voir au Rex ce soir après le set de Ricardo Tobar.
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Treillis
Ce n'est pas parce que ce début 2014 est plus enthousiasmant que l'année précédente que je ne dois pas parler d'une des rares choses vibrantes de 2013, l'album Treillis de Ricardo Tobar.
Tout d'abord, Ricardo a toujours été un des favoris de ce blog, passant incidemment par les labels Traum et Border Community qui ont toujours table ouverte chez nous. Il est également le chaînon manquant, celui qui fait le pont entre la vénération de Thurston Moore et Lee Ranaldo de ma jeunesse et mon goût pour les boucles déviantes et vaporisés des années récentes- et si j'en crois ses interviews, nous avons les mêmes goûts musicaux. Après une quantité conséquente de splendides EP, de remix de qualité supérieure, il se devait de faire un album. La gestation fut lente, et complexe, mais finalement Treillis fut enfin à notre portée pendant l'automne dernier.
C'est un vrai album, c'est à dire à écouter en continu et dans l'ordre. Les morceaux du Chilien sont ainsi fait qu'ils commencent avec pas mal de dissonances avant de se mettre en place et de sonner incroyablement puis de se dissoudre (je ferai la même description d'un morceau de Sonic Youth également, CQFD). Sur album c'est pareil. C'est âpre au départ, et du coup ça n'en est que plus réussi quand les ondes se rejoignent. Je ne peux donc que vous inviter à découvrir cet album en prenant vraiment le temps, comme quand on mettait pour la première fois un CD ou un vinyl sur la platine, avec anxiété et excitation.
Notez également que vous pouvez voir Tobar en vrai demain soir, gratuitement, pour un DJ set à l'International dans le 11e à Paris. Pour plus de détails : https://www.facebook.com/events/575926559168147
Même s'il est injuste de sortir un morceau de l'ensemble que compose Treillis, si je devais en choisir un, ce serait Hundreds, que voici.
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Clichey sprints back
2013 a été une morne plaine. Occupé par plein d'autres choses, je n'ai que très rarement eu l'oreille accrochée par du bon son. 2014 part sur des bases très différentes. Du coup il est temps de rouvrir Clichey Music !
Pour reprendre, allons du côté de Tempelhof et de leur morceau Drake (attention, ce n'est pas l'inverse) qui évoque les retours au petit matin à la fois vaseux et guillerets d'un printemps berlinois.
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