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Podcast

Notre podcast va etre de type documentaire et informative.

On va parler de la neurologie et de la psychologie qui implique la musique.

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Podcast: Un Petit Speakeasy

Avant qu’il puisse avoir de la musique, il nous faut du son

Et le son doit passer par beaucoup pour devenir de la musique.

Mais, aujourd'hui, nous allons plus nous attarder à ce qui se passe au niveau humain.

Nous avons déjà établi que le son est essentiellement de l’air qui danse.

Pour entendre ce son, il faut que la motion de l’air arrive a notre cerveau.

Ceci est la principale raison que nous avons des oreilles.

Ils agissent comme des entonnoirs pour que le son passe dans le cerveau plus facilement.

Pour que le son arrive à cet organe vital, il faut passer par 3 niveaux de l’oreille; l'oreille externe, moyenne et interne.

L’oreille externe est la partie qui va récupérer le son et le diriger dans un corridor de 3 cm de long, appelé le canal auriculaire.

Ceci l’apporte jusqu’à l’oreille moyenne, où ça devient un peu plus compliqué.

Dans l’oreille moyenne, les vibrations de l’air vont se rendre tympan, qui va lui aussi vibrer à la même fréquence.

Le tympan est attaché à 3 petits os; le marteau, l’enclume et l’étrier. Ceux-ci sont les 3 plus petits os dans le corps humain.

Ce petit système d’os vont aussi osciller et vont amplifier la vague et l’envoyer dans l’oreille interne par la fenêtre ovale. Ceci est une autre membrane qui va relier à un liquide.

Ceci veut dire qui le son va devenir littéralement une vague, comme ceux qu’on voit dans l’océan.

Nous pouvons maintenant dire avec confiance qui le son est entré dans l’oreille interne.

Cet étape est où le son va d’une onde mécanique à un signal électrique.

Pour faire ceci la vague passe par un organe appelé la cochlée.

À l’intérieur de cet organe, il il y a plus de 30000 petits cheveux qui sont reliés à des nerfs auditoire qui sont joint au cerveau.

Comme vous l’avez probablement deviné, le liquide fait onduler les cheveux aussi, qui à son tour produit des signaux électriques. Ces cheveux sont aussi responsable de la hauteur et du volume du son que nous entendons.

Pour le volume, c’est assez simple.

Le volume est associé à l’intensité, qui est la force de l’onde.

Ceci étant dit, le plus grand l’amplitude de la vague, le plus puissant le signal produit par les cheveux va être.

Ceci est quand même assez simple, mais ce n’est pas le cas pour la hauteur.

Tous les objets dans la nature vibrent naturellement, mais chaque objet va avoir sa fréquence favorite a vibrer

Nous appellons ceci la fréquence naturelle.

Le même principe ce passe avec les 30000 cheveux dans ta cochlée.

Donc dans ton oreille, seulement les cheveux correspondant aux fréquences du son vont vibrer et envoyer le signal a ton cerveau.

La partie du cerveau recevant le signal électrique et appellé le cortex auditif

Ce qui est si intéressant avec cette partie du cerveau est qu’il est placé comme un piano.

Différentes hauteurs vont exciter différentes parties du cortex.

Même si nous avons maintenant 2 différents aspects du son dans notre cerveau, il faut se rappeler que le son à une vitesse.

Les propriétés des ondes vont changer avec le temps.

Pour créer de la musique, l’évolution et la progression des son que nous entendons sont extrêmement importants.

Ceci est quand nous ajoutant l’aspect du temps. Notre cerveau va faire le reste du travaille et ca va nous donner… de la musique!!!

Le rythme est un des ingrédients principales de la musique, de même que l’harmony, on va en parler plus tard.

Le rythme, c’est le pouls, le battement du coeur de la musique, et sa fréquence cardiaque serait le tempo.

Ça, c’est la vitesse de la musique.

...

Le rythme, c’est la magie qui nous fait danser, qui nous fait taper des pieds.

“I’ve Got Rhythm” est rempli de cette magie.

Cette pièce était initialement écrit par le grand George Gershwin pour le piano, mais je suis sûr que cette interprétation par the Rosenberg Trio sera un peu plus impressionnant.

Vous allez savoir pourquoi plus tard.

C’est impressionnant comment le rythme nous entraîne à jouer un petit jeu de prédiction

Ça t’attrapes, te rends confortable, mais c’est aussi la mêm chose qui va te prendre par surprise.

Les neurologues appellent ce phénomène: l’entrainement.

Et cette fonction est lié à la partie la plus primitive de ton cerveau, le cervelet.

Mais, il y en a plus sur ce phénomène...

En écoutant de la musique,

ne vous demandez-vous pas constamment ce qui va arriver de manière imminente?

Eh bien, c’est notre lobe frontal qui joue ce jeu de prédiction avec la musique.

Et c’est ici que les humains se différencient avec le reste des espèces vivants avec leur expérience avec la musique.

Le lobe frontal est unique à l’homme, donc aucune autre espèce peut anticiper la musique comme nous.

Le contraire de l’anticipation joue aussi un rôle important dans la musique, on appelle ça la syncope.

C’est l'emphase sur les notes

C’est l’accent mis sur les notes sur lesquelles nous ne nous attendions pas.

Personnellement, je pense que c’est cruciale à la musique.

Imaginez comme ce serait ennuyeux si la musique était confortable.

Juste la même chaîne de notes, aucun risque du tout.

Ça ne sonne aucunement le fun, et c’est ça de la musique, le fun.

Si la musique n’était pas agréable à écrire ou à jouer, ça ne va probablement pas être agréable à écouter.

La musique va avec le temps, et la musique c’est comme un véhicule dans lequel nous explorons le temps.

Et, nos sentiments pendant tout le voyage sont déterminés par comment vous pouvez vous rappeler de ce qui vient de se passer musicalement et comment vous pensez que la musique va progresser.

l s’agit d’un jeu d’attente et de réalité dans lequel vous êtes surpris et ravi tout le temps, ça c’est si la musique est bonne.

Harmony

La musique, c’est pas juste un seul instrument qui ne fait que défiler à travers différentes notes et rythmes.

Ces notes doivent bien s’entremêler.

Ils doivent être en harmonie.

Il va presque toujours avoir une autre notes qui va être joué en même temps qu’un autre, et c’est là qu’on trouve l’harmonie musical.

L’harmonie, c’est quand plusieurs notes sont joué en même temps.

Et, si vous écoutez bien, Giant Steps par John Coltrane, une pièce qui a défini la culture du jazz pour des raisons que je ne vais pas expliquer ici, vous remarquerez que le piano passe très rapidement à travers différents accords.

Un accord, c’est comment on identifie la combinaison de différentes notes.

En plus, un accord peut sonner agréable et désagréable à notre oreille.

C’est parce que l’harmonie peut être consonant ou dissonant.

La dissonance et la dissonance ont leur propre but dans une chanson.

La dissonance est désagréable, ça transmet le suspense, le stress ou la tension.

La consonance, elle, est agréable à l’oreille, elle veut faire le contraire de la dissonance, elle veut dissoudre la tension.

Et ça, c’est comment un artiste va jouer avec nos émotions.

Rien ne peut faire faire à notre cerveau tellement de chose en même temps, sauf la musique.

Si on observe le cerveau de quelqu’un en train de pratique de la musique, il se passe beaucoup de choses.

Il y a des décharges neuronales partout.

C’est presque aussi impressionnant quand on écoute simplement une chanson.

Le cerveau sépare le son en différentes parties et les envoient dans différentes régions cér��brales pour traiter l’information.

Par exemple, nous savons qu’il y a une région neuronale qui est dédié à la hauteur du son, mais il y en a une autre qui dédié au volume, et un autre dédié au timbre.

Après que tous ces informations soient traité séparément, l’information qui a été tiré revient ensemble à une vitesse spectaculair: 30 millièmes de secondes.

C’est tellement vite qu’on se rend même pas compte que notre cerveau était en train de réfléchir à tant de chose en même temps.

Mais qu’est-ce qu’on fait avec tant d’information?

Eh bien, instinctivement, notre cerveau va chercher un sens à tout ça.

Le cerveau va essayer de relier ce qu’il est en train d’entendre aux signaux qu’on retrouve habituellement dans le comportement humain.

La surprise et la déception sont les plus important signaux, ils sont le plus souvent la base de toute émotion humaine.

Généralement, on ressent quelque chose dans notre coeur quand quelque chose se passe comme prévu, ou l’inverse.

Alors, ceci est le dernier sous-produit de la musique, l’émotion.

C’est parce que la musique est fortement patronné et est contrainte à plusieurs règles.

Mais, l’artiste, généralement, ne va pas aimer ces règles, il ou elle va essayer de briser ces règles à l’aide de son art.

Et c’est lorsqu’on entend comment l’artiste a brisé ces règles et nos attentes qu’on ressent de l’émotion.

Ca ne va pas toujours être de la peur ou de la surprise, ça peut être une bonne surprise, ça peut être rassurant.

Des neurologues ont aussi découvert que d'écouter de la musique plaisante à l’oreille fait travailler les régions du cerveau qui ajuste le flux de dopamine dans le corps.

Ceci est comment la musique peut nous mettre dans une certaine humeur, soit content, triste, fier ou faché.

Ce phénomène est tellement puissant que nous sommes capable de décider de notre humeur nous même.

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Ma première expérience avec l’incrustation. Il fallait m’assurer que la vidéo incrusté reste où je voulait, dans le miroir.

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le même principe que l’animation des éclairs et l’animation des balles de fusil, mais ce n’est pas aussi aléatoire. Je travail avec la même seule image. Beaucoup de mouvements à très courte durée.

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Prochaine étape, je voulait continuer avec mon idée de ridiculiser les super-héros.

J’ai décidé de remplacer les balles du fusil, avec des Nerf Darts. Il fallait que je ralentisse la vitesse des balles pour qu’on puisse les voir de façon clair.

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Voici la deuxième étape de l’animation des éclairs. Maintenant il me reste à les placer et leur donner une durée qui donne un mouvement. Ensuite je doit faire en sorte que les éclairs suivent les bras.

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J’ai vraiment aimé l’animation dans la vidéo que j’ai analysé précédemment, j’ai essayé d’imiter ce qu’elle a fait.

J’ai décidé de le faire de façon très simple, j’ai décidé de faire un cycle d’images à haute vitesse, à peu près 15 trames par seconde.

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Je suis nouveau à Final Cut Pro, mais j’ai confiance dans me habiletés d’apprendre.

J’ai simplement fait bouger un png que j’ai isolé sur Photoshop et j’ai utilisé la fonction Transformation pour déplacer l’image.

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J’ai décidé d’analyser cette vidéo pour ce projet.

Je voit qu’elle a utilisé des images pour créer du dynamisme en les animant probablement trame par trame, car l’animation était très fluide, mais visiblement pas fait à partir des fonctions de transformation sur Final Cut Pro (excepté pour certains éléments). J’aime beaucoup ce concept.

Même avec cette méthode, elle s’est assuré qu’il y ait plusieurs choses en mouvement pour garder notre oeil intéressé à la vidéo.

Passons à la trame sonore. Elle est simple, mais elle est synchronisé à ce qui se passe dans le vidéo. Elle a ajouté du bruit et elle a descendu le pitch d’une trame probablement préexistante (une supposition). Tout ça pour donner une allure nostalgique, mais sadique aussi. C’est rien de compliqué, mais ça fait le travail.

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Évaulation d’un pair:

J’aime bien le dynamisme de couleur. La mise en évidence du sujet est très claire et est fait de façon de unique (sauf le fait qu’il est au centre, la composition de l’image est peu intéressante). J’aime comment il utilise la technique de transparence dans cet image. 

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Voici une autoévaluation de mon travail:

On peut vite constater que la première page est la meilleure, on dirait qu’il y avait peut d’effort mit dans la création du deuxième, ce qui était le cas. Sinon, j’aime bien le dynamise de couleurs dans le fond des pages. Mais, je pense que j’aurais pu jouer avec les couleurs de mes photographies un peu plus pour que ça soit conforme avec les couleurs du reste. Par exemple, j’aurais pu faire en sorte que la couleur des feuilles de laurier correspond le plus que possible avec celle des motifs de feuilles qui accompagnent le titre. Parlant de ces feuilles, ils disparaissent dans la deuxième page, je ne sais pas pourquoi, c’est probablement un oubli. Cet oubli fait en sorte qu’il y a de l’incohérence entre mes deux pages. La composition de la première page est aussi peu intéressante et peu dynamique. De plus, j’aurais du prendre les photos à un angle qui ferait plus de sens dans la disposition de celles-ci dans mes pages. Par exemple, prendre les photos plus proche du sujet et un peu moins en hauteur. On peut voir comment l’angle des photos a affecter la qualité de ma page en prenant par exemple le chili, on dirait qu’il pend dans les airs.

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Voici les photographies finales que j’ai choisie pour intégrer dans mes pages de magazine.

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Malheureusement, il nous manquait 2 photos pour que je puisse appliquer la règle des tiers comme je voulais. Ça m’a pris beaucoup plus de temps que prévu à découper et isoler les photos que j’ai pris, principalement à cause de la très grande résolution et de la grande taille. J’ai aussi rencontré des problèmes lorsque je voulais rendre les verres transparents, je ne savais pas comment le faire.

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Voici notre tempête d’idée pour notre magazine

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Voici mes pages dans la maquette de notre magazine «Délices»

Je veux placer mes photographies en appliquant la règle des tiers.

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Ici mon premier projet multimédia en 2019. J’ai utilisé la techniques des lignes droites horizontales en utilisant la partition de musique comme fond. J’ai aussi utilisé la techniques des tiers en plaçant mon personnage en haut à gauche. J’ai aussi fait en sorte que le turban était le seul élément en couleurs sur l’image. #imagepersonelle