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Être une femme aimante et entière est une malédiction dans cet environnement où tout tourne autour de la consommation des relations humaines et du charnel, où tu es réduite à être un swipe de plus parmi un répertoire sans fin de femmes plus belles les unes que les autres.
Je suis épuisée, lessivée, je sais pas ce qui me répugne le plus entre le vice des êtres humains, leurs ruses afin de tirer le maximum de bénéfices des uns et des autres, leur manque de considération général ou cette affreuse indifférence pour des âmes qu’ils ont pourtant brisées.
Certains choisissent de voir la beauté de ce monde, moi j’ai choisi d’en voir la laideur
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Il y a deux choses que j’apprécie dans la vie : m’autodétruire, ou trouver quelqu’un qui le fasse à ma place. Je suis constamment à la recherche de ce qui troublera un tant soit peu ce qu’il reste de ma stabilité mentale; ce qui est malsain, absent, dangereux, toxique, inaccessible, imprévisible …
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Le problème c’est que je crois que j’aime profondément les âmes brisées par la vie qui n’ont trouvé que l’écriture et les passions pour combler leur ennui
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J’aurai pu t’aimer. Mais je ne voulais pas me risquer à aimer quelqu’un qui ne m’aurait pas aimée en retour
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Et je mens, pour ne pas avoir à dévoiler le chaos immense qui se trame au fond de moi
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These years of suffering softened my heart so deeply, to the point I can’t even think about seriously hurting a soul
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J’oublie de me nourrir tellement ce dont je manque est affectif, je ne ressens plus la faim
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Et je me laisserai presque mourir de faim comme le petit singe en cage qui préférait câliner sa peluche que se nourrir par manque d’affection
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01/05/2024
La poupée
Aujourd’hui, j’ai évité de briser à nouveau mon propre cœur en allant vers des choses qui sont mauvaises pour moi. Je sais très bien ce qu’ils veulent. Mon corps les intéresse et ils feignent d’en avoir quelque chose à faire de moi, mais je le sais, ce n’est pas le cas. C’est purement charnel, purement physique, ils ne voient rien d’autre en moi. Je suis assez bonne pour être baisée, pas assez belle et intéressante pour être aimée. Et c’est le cycle qui se répète avec tous les hommes qui me plaisent réellement. A croire que je ne suis que ça, un joli corps, une belle poupée, un objet sans considération ; ils ne me considèrent que par rapport à ce qu’ils pensent pouvoir tirer de moi, ils veulent seulement me bousiller, aucun ne me traite comme je mérite d’être traitée, et quand c’est le cas pendant un moment, ça finit toujours mal. Alors je passe d’hommes en hommes, “j’attends” la bonne personne, je veux ouvrir mon coeur et aimer profondément, pas servir de jouet et être utilisée jusqu’à épuisement. J’ai beaucoup d’amour à donner, mais le donner à la mauvaise personne, ça non. Alors j’apprends de mes expériences passées, je détecte avant l’heure les signes que je vais être brisée, et je coupe court, mais une seule chose reste de ces échanges, c’est à quel point je me sens lessivée. Finalement je retourne à la solitude, cette solitude qui m’accueille tous les soirs depuis plusieurs années maintenant, et j’exècre celle-ci autant que ma personne, peut-être que c’est moi le problème, peut-être ne serai-je jamais assez bien pour quiconque finalement.
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D’autant que je me souvienne, j’ai toujours aimé écrire, je rêvais d’être écrivain, j’ai trouvé mon échappatoire en tweetant des bouts de vie pour des inconnus qui en apprécient la simplicité
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17/04/2024
J’ai choisi ce chemin, j’ai choisi de ne pas les laisser m’avoir, j’ai choisi cette vie d’indépendance et de liberté, de ne compter que sur moi-même. Mais la liberté est un lourd tribut, et son goût est plus amer encore. J’apprend à rester seule, je n’ai pas le choix finalement, la solitude est le seul prix que me coûte cette vie sans contraintes, sans soumission, sans subir les désirs égoïstes et les caprices d’un autre être humain.
Elle s’est installée dans les plus coins les plus reclus de mon corps et de mon esprit, elle en a tordu la réalité, elle m’a fait sentir misérable pour le douloureux choix que j’ai fait.
Et lorsque j’observe de loin le passé, j’en viens à me demander qu’aurait été ma vie si j’avais décidé de subir un peu plus, de rester silencieuse, de me forcer encore, de me laisser violer.
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