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L'arbre d'humanité

Représentation du SCP-XXXX fait par un classe D dont le lavage de cerveau a échoué.
Objet n° : SCP-XXXX-FR
Classe : Keter
Procédure de confinement : à l’heure actuelle, la procédure consiste à surveiller, de prévenir et d’anéantir toute intrusion ou attaque provenant de l’extérieur du système de l’anomalie par l’intermédiaire d’une protection composée de vingt bases stellaires. Le département de conception des mesures de confinement cherche actuellement une solution pour dissimuler l’anomalie. En cas d’intrusion dans le système par une quelconque forme de vie ou par une toute autre menace, le niveau d’alerte sera augmenté et une surveillance de l’intrusion sera instaurée. S’il advenait que l’intrusion soit hostile ou mette en danger l’anomalie, le système de défense neutraliserait alors la menace.
Description : SCP-XXXX ou « arbre d’humanité » sont des arbres d’environ cinquante kilomètres de haut et faits d’un agrégat de différents métaux dans un état exotique de la matière. Ces métaux sont à la fois liquides et solides et les feuilles sont, quant à elles, faites majoritairement d’argent et sont dans le même état que le reste de l’arbre. Elles se révèlent par ailleurs être en lien avec les êtres humains et avoir un impact direct sur eux. Au vu de la potentielle menace que représente l’anomalie, bien qu’elle soit indirecte, et l’impossibilité de contenir efficacement celle-ci, l’anomalie est donc classée au niveau Keter.
Annexes :
Transcription écrite du rapport d’équipage du commandant du vaisseau exploreur I. Papanine-Skate le XX.XX.XXXX
-Arrivée dans le système, rien à signaler en premier lieu à part l’anomalie détectée précédemment. Le bond XXXXXXXXXXXXXXXXX, grâce à l’objet SCP-XXX, a donné à l’équipage et à moi-même la nausée mais rien de plus anormal à signaler. Nous nous dirigeons à l’heure actuelle à la source du signal de l’anomalie. Nous avons lancé en parallèle l’analyse du système et de l’anomalie et reprendrons contact quand nous recevrons plus d’informations. Terminé.
Le XX.XX.XXXX
-Arrivée en orbite de la planète après 3 jours de transit. Les premiers relevés montrent que les descriptions initiales qui nous ont été transmises sont fausses. La planète n’est pas recouverte de métal mais est constituée de roche et de terre argileuse constituant un immense désert sur lequel s’est développée l’anomalie. L’anomalie en question est constituée d’arbres de métal gigantesques dont les proportions sont hors-normes. Qui plus est, des particules métalliques sont éparpillées sur le sol de la planète et forment au-dessus de l’atmosphère de grands nuages. Il va être impossible pour le vaisseau de se poser à cause de la canopée des arbres qui recouvre la grande majorité de la planète tel un chapiteau. Nous optons donc pour l’envoi d’un petit groupe d’explorateurs par l’intermédiaire d’une petite navette d’exploration. Sur place, ne connaissant pas les risques, elle sera constituée d’agents de classe D et d’opérateurs des Forces d’Intervention Mobiles au cas où les choses se passeraient mal. Terminé.
-Rapport d’exploration du Sergent-scientifique M. Moussard, opérateur des FIM classe C sur la planète XXX où l’objet SCP-XXXX a été initialement découvert.
La première analyse est celle d’un échantillon d’une fine feuille de métal qui était posée sur le sol de la planète et qui a pu être rapporté à bord du vaisseau d’exploration. D’après les analyses, elle est constituée d’argent semi-liquide, dans un état de la matière encore inconnu mais s’approchant d’un état solide et liquide à la fois. Son poids n’étant jamais fixe entre deux prises de mesure, il est donc impossible de le déterminer avec précision mais il ne dépasse jamais les quelques grammes.
La deuxième analyse est celle du sol lui-même qui se révèle être composé de riches ressources de métal en tout genre parcourant la planète, notamment du fer, du cuivre et de l’argent en très grande quantité qui constituent à eux seuls plus de 60% de la planète.
La troisième analyse est celle d’un classe D qui est mort lors d’un événement. Alors que l’agent de classe D n° 5914335 s’approchait de l’arbre, une branche s’est mise à descendre à grande vitesse de la canopée et s’est figée au-dessus de la tête de l’agent. D’après ses dires, il ressentait une sorte d’extase. Au bout de cette branche, il y avait une de ces nombreuses feuilles reposant sur le sol qui se transforma en un ersatz de poupée vaudou représentant l’agent qu’elle surplombait. L’agent n°8161237 reçut l’ordre de s’approcher pour vérification de l’état du classe D. Par la suite, le sergent-scientifique demanda à l’agent n°8161237 de récupérer la poupée. En l’arrachant de la branche, l’agent n°5914335 fut foudroyé d’une crise cardiaque et mourut sur le coup. Quant à la poupée, elle reprit la forme d’une feuille aussitôt arrachée.
La quatrième analyse révèle que l’arbre est constitué de divers métaux. Il fait approximativement 49 km de haut et touche l’extrémité de la mésosphère de la planète. Par ailleurs, l’arbre semble exercer une importante influence sur son environnement encore impossible à comprendre entièrement à l’heure actuelle. Mais de ce que nous pouvons observer, un épais nuage de feuilles flotte au-dessus de la canopée. Les expériences menées n’ont montré aucune anomalie gravitationnelle. La théorie actuelle la plus acceptée au sein de l’organisation serait que les feuilles se seraient agglutinées en nuage grâce à un champ électrostatique émis par l’arbre. Une autre influence marquante est que les racines de l’arbre plongent jusqu’à plusieurs kilomètres sous la surface de la planète et assimilent les différents minerais qui s’y trouvent. Nous ignorons ce qui se passera lorsque les arbres n’auront plus de minerais à disposition mais deux grandes lignes de pensée spéculent que :
1) Les arbres mourront ce qui pourrait signifier la mort d’innombrable personnes, voire de la totalité de l’humanité.
2) D’une manière encore indéterminée, les arbres trouveront d’autres ressources en métaux possiblement sur une autre planète.
Conclusion du rapport d’expédition et de recherche : il est très probable que chaque personne soit reliée à l’une de ces feuilles par un lien encore inexpliqué et qu’à leur mort la feuille qui leur est attribuée se détache, ce qui expliquerait la quantité de feuilles « mortes » retrouvées sur le sol de la planète ainsi qu’au-dessus de la canopée. Par ailleurs, il serait aussi possible que les différentes branches retracent l’arbre généalogique des personnes auxquelles les feuilles sont associées. Par conséquent, nous déconseillons de tenter d’abattre ou de déraciner ces arbres compte tenu de ce lien. Au vu de la taille et des caractéristiques de l’anomalie, il est donc pour l’instant impossible de la confiner efficacement, c’est pourquoi nous proposons d’établir une série de défense autour de la planète ainsi que dans l’ensemble du système. En conséquence, le niveau d’alerte des bases stellaires sera échelonné en fonction de la dangerosité de la situation dans le système. Il n’est pas nécessaire d’interdire la recherche astronomique dans cette région au vu des technologies d’observation grand public de l’espace que possède pour l’instant l’humanité mais il faudra, à un moment ou à un autre, trouver une solution concrète pour dissimuler l’anomalie.
Événement EV-XXXX-FR-α : En cas d’intrusion dans le système par une quelconque forme de vie ou par une toute autre menace, le niveau d’alerte seras augmenté et une surveillance constante de la menace seras menée et si besoin une intervention pour neutraliser la menace pourra être demandée.
EV-XXXX-FR-01 : intrusion signalée par le nœud de défense 12 d’une forme de vie extraterrestre le XX.XX.XXXX à H23 : M17 : S56 niveau d’alerte augmenté. Surveillance de ladite menace pendant toute la traversée du système et alerte levée 43 jours terrestres plus tard le XX.XX.XXXX à H10 : M54 : S13 dû à la sortie de la forme de vie du périmètre de sûreté.
EV-XXXX-FR-02 : détection et neutralisation d’un XXXX non identifié fonçant sur l’anomalie le XX.XX.XXXX à HXX : MXX : S37. Les quelques débris restants s’écrasèrent sur l’anomalie, l’organisation put faire un lien avec le crash d’un avion survenu le même jour au-dessus de l’océan Indien.
EV-XXXX-FR-03 : détection de l’entrée d’un astéroïde dans le périmètre du système au point 563.230.899. Après calcul de sa trajectoire, il a été montré que sa course risquait de percuter l’anomalie. La décision fut prise de modifier sa trajectoire.
Annexe de recherche récente et en cours
Plusieurs recherches ont été menées depuis la première expédition sur place. Voici celles effectuées depuis lors :
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Recherche basée sur les hypothèses « d’arbre généalogique » (terminé) :
L’axiome de base est que chaque feuille représente un être humain. Il apparaissait alors probable de retrouver les descendants et les parents de la personne ciblée en fonction du positionnement de la feuille sur la branche. Pour cette raison, nous avons sollicité l’aide des archives gouvernementales pour pouvoir retracer des familles entières. Nous avons commencé les recherches par le classe D mort lors de la première mission d’exploration de l’anomalie. Nous avons pu retrouver la mère de ce dernier encore vivante et le positionnement de la feuille rattachée à la mère était bien derrière celle du fils qui avait été arrachée. Nous avons pu reproduire l’expérience avec plusieurs familles, notamment celles de chercheurs venus sur place. Une autre découverte qui a été faite est qu’il n’est pas nécessaire que la personne vienne sur place auprès de l’anomalie pour que la feuille qui lui corresponde descende de la canopée. Il est effectivement possible de ne ramener qu’un élément de cette personne, comme des cheveux ou un échantillon de sang. Par cet intermédiaire-là, nous avons pu prouver que certaines personnes portées disparues étaient en réalité encore en vie. Pour ce test, nous avons procédé comme suit :
Nous avons récupéré des cheveux d’une personne dont le fils avait disparu. Nous les avons alors apportés sous l’anomalie, qui a réagi automatiquement et fait descendre la feuille de ladite personne. En suivant la branche, nous avons découvert qu’une feuille était bien accrochée à la suite de celle de la personne dont nous avons récupéré les cheveux, preuve que son fils était toujours vivant. Par la suite, grâce aux efforts de divers services, nous avons retrouvé le fils de cette personne.
Analyse des sols de la planète (en cours) : Nous collectons actuellement des données sur le terrain pour comprendre comment est utilisé le minerai dans les sols par les arbres d’humanité ainsi que pour établir une carte des différentes ressources présentes dans la planète.
Recherche sur les effets des feuilles et les arbres (en cours) : À la suite de l’incident comprenant l’agent de classe D mentionné dans le premier rapport d’expédition, des recherches ont été récemment lancées et sont actuellement menées conjointement par plusieurs équipes de chercheurs pour déterminer les effets qu’ont les feuilles ainsi que les arbres sur les personnes. Pour plus de sureté, nous avons limité ces recherches uniquement sur les feuilles liées à des agents de la fondation qui se sont eux-mêmes portés volontaires pour intégrer les divers tests que mènent les scientifiques.
Recherche sur la ligne du temps et de la causalité avec l’appui des travaux de J. v. Neumann (terminé) : niveau d’accréditation insuffisant – niveau d’accréditation nécessaire : (Thaumiel)
Recherche sur les récentes découvertes des capacités de stockage de la mémoire des feuilles (en cours) : à la suite de récentes découvertes par les équipes de recherche en charge d’identifier et de mesurer les effets qu’ont les feuilles sur les humains, il a été découvert qu’elles auraient une capacité de mémorisation de certains évènements qui auraient eu lieu dans la vie d’une personne. Cette capacité serait liée aux perturbations électro-magnétiques. Un codage complexe sous forme d’ondes électro-magnétiques leur permettrait de stocker ces données mais nous ignorons encore comment ces ondes sont produites, ni comment nous pouvons exploiter les données. Les recherches sont encore en cours pour le moment.
Recherche sur les capacités électrostatiques (en cours) : ces recherches ont débuté très tôt et ont vu nombre de spéculations qui expliqueraient les capacités électro-magnétiques des feuilles ainsi que des arbres. Pour l’instant, il n’est pas encore possible d’expliquer ces capacités même s’il a été mis en lumière que des ondes électro-magnétiques servent de stockage pour les souvenirs des personnes. Par conséquent, ces recherches sont menées en étroite collaboration avec celles menées pour le stockage de l’information des feuilles.
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Hommage à Todd Matshikiza

Aujourd'hui, 25 septembre 2023, je vais vous parler de Todd Matshikiza. C'était un pianiste, compositeur et un journaliste de jazz sud-africain.
Todd est né en 1921 (jour et mois de naissance non précisés) à Komani, en Afrique du Sud. Il est issu d'une famille de musiciens, était le fils de Samuel Bokwe (père) et Grace Ngqoyi Matshikiza (mère). Il est le dernier de sept enfants.
Diplômé en musique à Adams College à Natal et professeur à l'institut Lovedale à Alice, il enseigne l'anglais et les mathématiques aux étudiants, jusqu'en 1947.
Il enseigne pendant un certain temps et fonde la Todd Matshikiza School of Music, une école de musique privée, où il enseigne le piano.
En 1952, Matshikiza est invité à rejoindre le magazine Drum qui, sous une nouvelle direction éditoriale, s'adresse à un lectorat plus critique. Matshikiza, avec plusieurs journalistes d’investigation, est devenu l'un de ses premiers écrivains.
Parmi ses proches collaborateurs, son style d'écriture innovant est devenu connu sous le nom de « Matshikese » et se caractérise par une utilisation créative et ludique de la syntaxe et du style musical.
Todd s’est exilé en Angleterre avec sa femme et ses enfants pour fuir l’apartheid qui sévissait en Afrique du Sud. L’apartheid a été utilisé pour désigner le régime politique de l’Afrique du Sud de 1948 à 1991. À l’époque, le pays imposait explicitement la ségrégation raciale, instituant à travers tout un système de lois et de pratiques la domination et l’oppression d’un groupe racial par un autre, en l’occurrence celle des noirs par les blancs.
Matshikiza a composé de nombreux titres dont le plus connu, Uxolo, qui veut dire « paix » et qui a été créé pour le 70e anniversaire de Johannesburg, capitale de l’Afrique du Sud. Ce morceau-hommage a d’ailleurs été commémoré par un Google Doodle le 25 septembre 2023.
L’un de ses morceaux – intitulé Hamba Kahle – a notamment été joué pour l’arrivée de la princesse Elizabeth à Bulawayo (ville du Zimbabwe) en 1946 et pour le Festival de musique de Johannesburg en 1950.
En 1958, il est également à l’origine de la bande originale de la comédie musicale King Kong qui sortira un an plus tard.
Nadia Branco
Sources : Wikipédia et Amnesty
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Le Patio
En vue de la planification du PAV, l’association Topos a voulu utiliser le carré / Espace 14 une dernière fois avant qu’il ne soit détruit.
Topos a proposé des projets artistiques et culturels, imaginés par et pour les habitants.
Un endroit pour se réunir l’été avec des animations tel que des ateliers de percussions, de dessin, des démonstrations de danses culturelles et des cafés discussions.
Pour habiller le bâtiment de plus de couleur et de vie Topos a fait appel à des associations tel que Walls’street et Filinea.
Avec Filinea plusieurs projets ont été proposés :
Décorer les bancs avec des motifs d’inspiration grec coloré pour pouvoir rêver d’une vie à la Mamma Mia.
Une marelle pour pouvoir jouer aux échelles et aux serpents en grandeur nature.

Et si les personnage Minecraft existait vraiment ? un villajoha ;)

Pokémon Fili-Nea. Faites attention à vous, car Linaise, Punaiclair et Punaisatant & Gang sont dans vos villes.
Ps : a ceux qui ont arraché les affiches le karma vous attend …

SourisLand, les souris elles aussi ont besoin d’un logement coloré sur un énorme bloque de fromage




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Bénévolat au Centre Ornithologique de Genthod (vendredi 3 février 2023)





Photos : JP
Quand nous sommes arrivés au COR, les employés du centre nous ont expliqué le programme du jour. Nous avons commencé par faire le tour des volières pour vérifier l’état de santé des différents oiseaux. Ma mission spéciale était de plier les serviettes propres et de les ranger dans le placard pour qu’elles puissent être utilisées pour nettoyer ou sécher les oiseaux.
Ensuite, nous nous sommes attelés à la préparation des cages de transport pour relâcher les oiseaux guéris et en état de retourner dans la nature. Tout d’abord, on doit mettre de la paille dans le fond des cages pour éviter que les oiseaux ne glissent ou ne se blessent, mais aussi pour que ce soit plus confortable pour eux. Puis on va chercher les oiseaux qui doivent être relâchés. Pour pouvoir attraper les oiseaux, il faut mettre des gants et un tablier pour des raisons d’hygiène et de sécurité. On attrape les oiseaux directement avec les mains et on les place immédiatement dans des cages de transport individuelles pour ne pas que les oiseaux se battent entre eux comme ils sont de différentes espèces.
Ce jour-là nous avons relâché deux pigeons, une pie et un pic épeiche. Une fois que les oiseaux sont tous dans leur cage de transport, nous transférons les cages dans le véhicule du centre et nous nous rendons à la forêt de Versoix. En arrivant sur place, nous vérifions qu’il n’y a pas de corneilles qui rodent dans les environs car elles s’attaquent aux autres oiseaux. Ensuite, nous sortons les cages du véhicule et nous les posons dans un endroit calme et sécurisé. Nous ouvrons la cage et attendons de voir si l’oiseau s’envole de lui-même. S’il ne s’envole pas de lui-même, c’est à nous de le prendre dans les mains et de l’aider à prendre son envol.
Malgré nos efforts, l’un des pigeons restait au sol et refusait de s’envoler. D’après l’employée du centre, il n’y avait aucune raison qui nécessitait de le ramener au centre car l’oiseau n’était pas blessé. Selon elle, le pigeon avait besoin de temps et d’un élément extérieur qui le stimule suffisamment pour qu’il s’envole (par exemple la peur d’un autre animal qui suscite son instinct de fuite). Les autres oiseaux ont pu retrouver leur liberté. Personnellement, je trouve ça beau de les voir reprendre leur envol dans leur environnement naturel, car mine de rien une volière ce n’est pas un lieu de vie idéal pour eux. Et cela signifie aussi qu’ils sont guéris et qu’ils ne sont plus en danger.
J’ai aussi pu voir la partie intérieure du centre réservée aux oiseaux plus exotiques, notamment plusieurs variétés de perruches : perruches ondulées, perruches calopsittes, perruches Catherine aussi appelées Toui Catherine, ou encore perruches de Sparrman aussi connues sous le nom de Kakariki à front rouge.
J’ai eu le coup de cœur pour une perruche Catherine de couleur bleue, elle venait me picorer la main à travers la cage. Cet oiseau a un handicap à l’une de ses pattes, je ne sais pas si c’est une malformation de naissance ou un accident. Son handicap m’a touchée car il m’a fait penser à la situation de ma maman qui a aussi un handicap à la jambe. Cette rencontre m’a donné envie d’adopter un oiseau pour ramener de la vie chez moi car j’adore entendre le chant des oiseaux.
Compte-rendu coécrit par Morgane et Emmy pour l'équipe FiliBlog.
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Mon avis sur l'expo "Chrysalide, le rêve du papillon"
L’exposition "Chrysalide, le rêve du papillon" est visible au Centre d'Art Contemporain de Genève jusqu'au 4 juin 2023. C’était une exposition assez bizarre. Je me rappelle qu’il y avait des tableaux, des sculptures, des vidéos qui montraient des personnages avec des formes parfois malaisantes : des silhouettes disproportionnées ou des corps qui exposaient leur nudité de manière très crue. Il y avait un film expérimental qui montrait un homme en train de se faire piercer et tatouer pour évaluer son seuil de tolérance au niveau de la douleur. En fait, dans le film on comprend que cet homme a perdu sa petite soeur quand elle avait 4 ans car elle souffrait d’une maladie. Du coup il a décidé de faire des expériences corporelles liées à la douleur pour essayer de ressentir ce que sa soeur a pu traverser durant l’épreuve de sa maladie. En gros c’est un acte d’amour même si personnellement je trouve ça bizarre. En conclusion, si vous n’êtes pas quelqu’un de sensible et que vous avez l’esprit ouvert et le coeur bien accroché, je vous conseille d’aller voir cette exposition qui nous sort de notre zone de confort.
Compte-rendu coécrit par RZK et Emmy.











Photos : Kevin
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Mes résolutions et moi.
Nous y sommes enfin ! Après 364 jours d’attente, le jour de l’an arrive. Alors que les horloges s’apprêtent à sonner le douzième coup de minuit, nous n’avons qu’une seule chose en tête ; les résolutions pour la nouvelle année bien sûr ! Eh oui, nouvelle année veut dire nouvelles résolutions. Enfin, pas pour tout le monde.
Pour mener à bien ce sondage, j’ai interviewé onze personnes d’horizons divers. Sur ces personnes, quatre n’ont pris aucune résolution pour la nouvelle année. Cela se convertit en un pourcentage approximatif de 37%. Ce résultat étant conséquent, je me suis intéressée aux causes de cette abstention. Si vous pensiez que ces personnes avaient une longueur d’avance sur vous, détrompez-vous. Elles n’y ont tout simplement pas pensé. Selon les résultats du sondage, les quatre personnes ayant omis de prendre des résolutions ont tout juste oublié. Cela représente 100% des participants ayant répondu non.
Je me suis ensuite penchée sur les personnes ayant pris des résolutions, bonnes ou mauvaises, pour le nouvel an. Les 63% restants des participants ont chacun énuméré trois de leurs nouvelles habitudes à prendre. Bien que les résolutions les plus fréquentes telles que la diminution de consommation d’alcool, de tabac et même de nourriture ont réussi à se hisser en tête de classement, j’ai tout de même réussi à dénicher trois volontés de changement qui se démarquent des autres. Et non, je ne parle pas de retourner à la salle de sport…
Première résolution : Prendre le temps pour soi
Dans un monde où la demande de productivité ne cesse de croître, rares sont les gens qui s’octroient un moment de répit au détriment de tout le reste. Cette personne, elle, a décidé qu’en 2023, sa priorité sera sa propre personne. « Cette année, je veux prendre du temps pour moi. Apprendre à être plus patiente et prendre soin de moi » me disait-elle.
En effet, alors que prendre soin de soi devrait être considéré comme un acquis, les résultats de notre sondage montrent que seule une personne sur onze a listé l’indulgence envers sa personne dans ses résolutions du nouvel an.
Deuxième résolution : Travailler sur ses problématiques et viser l’autonomie
Soyons honnête, cette résolution, bien que courageuse, n’a rien d’exceptionnel. Aspirer à être une meilleure version de soi-même est une chose que nous, les êtres humains, cherchons à faire depuis la nuit des temps. Être plus beau, plus fort, plus riche ou encore plus influent sont pour beaucoup des objectifs communs.
Cependant, admettre que l’on a un problème n’est pas chose courante. Dans une société où tout le monde veut paraître sous son meilleur jour, rares seront les gens qui admettront être en difficulté, mais cette personne, elle, l’a fait. Ainsi, je ne peux qu’être admirative.
Troisième résolution : Être heureux, même si cela signifie de ne pas avoir de résolutions
Pour cette dernière résolution, la personne interrogée a tout simplement décidé d’être heureuse. Aussi vague que cela puisse paraître, le courage que cette décision nécessite ne peut qu'être admiré. Laisser faire et admettre que nous n’avons pas de contrôle sur une situation par exemple. Cela semblerait appartenir à la logique, mais peu d’entre nous avons la force de caractère qu’un tel raisonnement demande.
Alors si vous n’avez pas pris de résolutions pour la nouvelle année, pas de panique ; vous contribuez tout simplement à votre bonheur.
Dee.
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Poème d'hiver
Il fait si froid
Froid comme une nuit d’hiver
L’air est aussi froid que de la glace
Quelles sont ces formes ?
Aussi noir que la nuit
Aussi clair que le soleil
Qui sentent comme la rose
Rose qui se fana.
Aspiré par sa senteur
Mon heure sonna
Allégé je fus
Ultérieur je disparus.
Bastien
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Chronique du quotidien aux Acacias
Le bruit des voitures, le soleil qui tape fort, les travaux, le bruit des travaux, les cris des gens, le chant des oiseaux, l’eau de la fontaine, de la merde d’oiseau, des Albanais, le bruit bizarre, les bancs sont sales, le chien du monsieur est beau, une dame en vélo.
Dani
Montage sur MidJourney + Photoshop : Joha' avec Dani
( Photos : Guilhem Vellut / Joha' )
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Dialogue avec Adèle
Les deux textes suivants fonctionnent en miroir. Le premier exprime le point de vue de la chanteuse Adèle et le deuxième symbolise la réponse de la jeune auteure à Adèle
Salut, c’est moi.
Tu me connais pour ma voix.
Tu chantes mon désarroi.
Et quand j’approche,
Tu tends les bras.
Mais qu’en est-il de moi ?
Non, pas moi.
Je te parle de moi.
Celle qui ne chantes pas.
Celle qui, quand elle a peur, perd sa voix.
Oui, elle.
La connais-tu ?
Il me semble l’avoir aperçu.
Mais elle se fait rare.
Et quand tu chantes,
Elle part.
Mais ne craint pas.
Elle reviendra.
En temps voulu,
Quand tu la penseras inconnue.
La connais-tu ?
Salut, C’est moi.
Dis-moi,
Comment tu vas ?
Je me questionne sur toi.
Quad tu chantes ces mots durs,
Cela te coûte-il tant ?
Tant que tu disparais pour un temps ?
Et quand tu t’éloignes comme le vent,
Est-ce que l’inspiration te prend ?
Ou est-ce qu’elle te fait subir,
Les peines que tu aimes écrire ?
Oui, je me questionne.
Car en voyant ta personne,
Rien ne semble t’atteindre.
Et cette image que tu as dû peindre,
Devrais-je la craindre ?
N’est-elle pas si belle,
Qu’elle risquerait de s’éteindre ?
Oui, je me questionne.
D.
Images générées par Joha' and Dee sur MidJourney
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Conte de noël
Un élan dit aux rennes du père noël qu’il veut aussi pousser le traineau pour contribuer à la distribution des cadeaux,
Ils lui répondent que c’est impossible car il est trop différent. La nuit de noël venue, il se déguise en renne et part pour le périple mais se fait vite démasquer et abattre.
Quelques années plus tard, un autre élan fit ses preuves dans l’art du tirage de traineaux et fut pris pour la distribution. Après cela, il se rendit sur une tombe et dit : « j’ai réalisé ton rêve maman, j’ai réussi là où tu as échoué. » Morale de l’histoire : Restez vous-même quoiqu’il en soit car il vaut mieux souffrir jusqu’à ce que mort s’en suive en restant soi-même que vivre en jouant un rôle.
Jolan
Illustration prompt art créée sur MidJourney par Morgane et Joha'
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Sortie au centre de réhabilitation ornithologique de Genthod
Le Centre Ornithologique de Réadaptation fut créé le 1er juin 1975. Il est le résultat de l’initiative de quelques passionnés (des biologistes, vétérinaires, des ornithologues) qui furent touchés par les problèmes de l’avifaune[1] de la région. Leur objectif est de sauver et de soigner les oiseaux blessés, et de leur fournir un environnement de réhabilitation afin qu’ils puissent retourner dans la nature au plus vite, ainsi que d’informer le public sur les dangers auxquels sont confrontés les oiseaux locaux. Le centre se trouve dans la commune de Genthod et remplit le rôle de la station officielle de soins des oiseaux sauvages du canton de Genève. Chaque année, plus de deux mille oiseaux sont recueillis et sauvés par le centre.
Le vendredi 11 novembre, Filinea a offert la possibilité à ses jeunes d’aller visiter le Centre Ornithologique de Réadaptation. Ce dernier étant assez loin, un trajet en train s’est montré nécessaire. Le centre est perdu dans la campagne dans un endroit assez paisible. A la suite de pluies récentes, tous les chemins de terre étaient plutôt boueux (pour notre plus grand plaisir bien sûr). Le centre n’est pas très grand et vit principalement grâce aux donations qu’il reçoit, ce qui explique sa taille, et ses effectifs qui sont principalement constitués de bénévoles. Une multitude d’espèces est présente dans le centre : les pigeons, en passant par les cygnes et les faucons, ainsi que beaucoup d’autres.
G.B.S.
[1] Ensemble des oiseaux d'un lieu, d'une région ou d’une période déterminée. (Dictionnaire Le Robert)






Photos des jeunes dans le feu de l'action au centre ornithologique.
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Le Vide
Si je devais choisir un mot pour décrire comment je me sens ces derniers temps, je choisirais le mot vide. On accorde souvent une connotation négative à ce mot mais je le considère comme étant un mot neutre. Ce sentiment de vide m’a accompagné pendant une grande partie de ma vie. Aujourd’hui, je peux dire qu’il m’habite. Toutefois, je ne le crains pas. A vrai dire, je ne ressens aucune émotion négative à son égard. Je l’ai accepté.
Pourrais-je aller plus loin et dire que je l’aime ? Non. Je ne l’aime pas. Je ne l’aime pas mais je le comprends. Je comprends que parfois, il peut être difficile de dire oui ou de dire non. Parfois, il peut être difficile de choisir entre la droite et la gauche ou encore le vrai et le faux ; donc je ne me positionne pas. Mais alors, peut-on avancer sans direction ? Peut-on évoluer sans décision ? Ne sommes-nous pas voués à une vie sans reliefs qui nous mène jusqu’à un point de chute sur lequel nous n’avons aucune emprise ? Non, je ne pense pas. Je pense qu’au contraire, accepter que l’on ne sache pas et laisser place à l’inconnu me révélera ma finalité. Et un esprit en paix ne peut qu’arriver à bonne destination.
Illustration prompt art créée sur MidJourney par Morgane et Joha'
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Sortie au centre d'art contemporain de Genève le 07 Octobre 2022. Création d'affiches et constructions de systèmes d'accrochage.
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L'histoire sans fin
Au fond de cette pièce, bien installé au fond de son siège, un homme lisait un livre accompagné d’un café. L’endroit prenait des allures de château hanté car seule la lueur de la lumière des bougies posées sur les tables de ce coffee shop éclairait les reliefs de la peinture des murs déjà noircis par la fumée de milliers de joints. Cet homme, d’une soixantaine d’années, s’appelait Jon. Il avait pour habitude de prendre un café au bout de cette rue car il ne trouvait nulle part ailleurs une telle paisibilité.
Soudainement, une dame vint rompre sa tranquillité et lui demanda pourquoi il ne prenait pas une de ses cigarettes parfumées aux herbes provençales pour accompagner son café.
Il lui répondit que son livre lui prenait déjà trop l‘esprit. « Quel est donc ce livre ? » lui demanda donc la dame. Jon répondit qu’il s’agissait d’un livre aux pages entièrement blanches et qu’il s’apprêtait à écrire une histoire.
Cette histoire devait être celle de sa vie mais elle n’était en rien celle qu’il voulait raconter car Jon changeait toujours de discours et racontait toujours une nouvelle histoire à chaque fois que quelqu’un lui demandait de lire. « Si vous ne trouvez pas d’histoire à votre livre commencez donc par écrire le titre » lui dit donc la dame. Jon se résolut par écrire un titre mais n’arrêtait jamais de réécrire quelque chose de nouveau.
Tout comme l’auteur de ce texte, Jon ne se résoudra jamais à trouver un titre et une intrigue à son livre. C’est pourquoi cette histoire prend fin sur ces quelques lignes laissant le choix au lecteur d’imaginer la suite…

L'échoppe à café
Il était l’histoire d’un élève de l’école filinéa allant dans un musée dans le cadre scolaire. Son nom est Ruben, il était tant fatigué que la seule chose lui venant à l’esprit durant la visite était un bon café alors qu’il devait clairement se concentrer sur l’exposition et la qualité de l’art proposé dans ce musée était exceptionnelle : cela n’avait rien à voir avec de l’art abstrait faussement engagé qui n’avait qu’un but mercantile, cet art était réalisé par de vrais artiste dans l’âme qui n’avaient que faire de l’argent et qui mettaient tout dans leur art. N’ayant pas pu voir cet art de mes yeux, vous allez dire que mon point de vue est biaisé mais pas du tout, je peux ressentir la pureté de leur art à travers mon âme quand bien même ce musée se situe à plusieurs kilomètres de mon corps. Revenons à Ruben. Les intervenant du musée d’abord là pour faire la visite aux élèves et profs de filinéa leur proposèrent de créer des affiches pour le musée. Cependant, Ruben, très fatigué, ne pensait qu’au moment où il pourrait déguster un délicieux café dans son coffee shop préféré. Il n’avait aucune inspiration et il faut dire que la fatigue n’aidait pas. Alors, tellement obnubilé par l’idée d’un café bien chaud, il dessina une œuvre autour du thème du coffee shop. Il commença par dessiner des ronds verts de forme irrégulière. Puis des graines de café naturellement de couleur brune. Ensuite il écrit un grand C, puis un grand O, puis un grand F, puis un grand F, puis un grand E, puis un grand E, puis un espace (espace), puis un grand S, puis un grand H, puis un grand O, et enfin un grand P.
Les plus vifs l’ont remarqué : il était écrit Coffee Shop sur cette affiche. Quelle idée incongrue pourtant géniale - ou pas - à vous d’en décider. L’œuvre de Ruben fut alors exposée dans le musée par erreur et vendue en physique et NFT à un riche investisseur moscovite pour la somme de 10'000'000 de roubles. Trois ans plus tard, l’investisseur revendait cette œuvre pour la somme de 30 roubles à un intermittent du spectacle de rue.
Jeune enjailleur de café
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Comment créer son propre « Monsieur Patate » ?
Les « Monsieur Patate » se créent en famille, entre amis ou encore en groupe de thérapie. Cette activité de tout âge amène de la créativité, un moment de partage, mais surtout un grand rayon de sourire.
Pour créer ce très cher « Monsieur Patate » il vous faut :
Un grand pot de terre fraîche sortie du potager
Des collants sortis du tiroir de Madame
Des graines (de votre choix) pour que votre bonhomme puisse grandir et s’épanouir
Un pot de fleurs (pas trop grand pour pouvoir y poser votre « Monsieur Patate »)
Un bol d’eau
Maintenant, pour pouvoir mettre au monde votre « Monsieur Patate », voici les différentes étapes à suivre :
1ère étape :
Prenez votre pot et le collant
Mettez le collant de manière à ce qu’il épouse les bords du pot
2ème étape :
Mettez une poignée de graines au fond du collant
Ajoutez la terre et recouvrez le tout à rebord
3ème étape :
Dès que votre pot est rempli à rebord, détachez soigneusement le collant du pot et faites-y un nœud bien serré
4ème étape :
Trempez ensuite votre collant fermé cinq bonnes minutes dans un bol d’eau
Puis sortez le tout de l’eau, retournez la boule à l’envers et remettez-la dans son pot en veillant à laisser un fond d’eau
5ème étape :
Maintenant, plus qu’à attendre que votre « Monsieur Patate » prenne miraculeusement vie !
Chiara Lou
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