Tumgik
gabssama · 6 years
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[OST] God of War
#OST God of War - des vinyles à l'image de la musique et du jeu : sublimes!
Que serait God of War sans son OST ? Aussi belle que la plastique du jeu, parfaitement orchestrée, indispensable à ma collection de vinyles.
God of War a été annoncé la première fois en musique à l’E3 2016, on s’en souvient encore… Noir salle, orchestre qui débute à jouer, frissons garantis. Quel souvenir !
L’attente fut longue et le jeu en valait la chandelle, quoique un peu déçucomme je le…
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gabssama · 6 years
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Spider-Man : La haute-voltige au rendez-vous
Découvrez ma critique de #SpiderManPS4 : La haute-voltige au rendez-vous !
Fan du super héros mais pas spécialement hypé par le jeu vidéo, c’est en toute innocence que j’ai commencé les aventures new-yorkaises de Spider Man. Attendu par beaucoup, l’homme-araignée a affolé la toile avec ses très bonnes notes et critiques reçues. Mais que vaut vraiment cette nouvelle exclusivité Sony signée par le studio Insomniac Games responsable du sous-côté mais très bon Sunset…
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gabssama · 6 years
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[OST] No Man's Sky
#OST #NoMansSky un album post-rock signé @65dos ! A écouter sans modération !
No Man’s Sky renait de ses cendres grâce à une grosse mise à jour intitulée Next. Incluant le jeu en coop ainsi qu’une refonte graphique du plus bel effet, le jeu semble enfin connaître le succès qui l’attendait à sa sortie. Et rien de tel qu’une OST digne de ce nom pour explorer les confins de l’univers.
Le studio Hello Games a fait confiance au groupe 65daysofstaticpour créer une bande son vous…
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gabssama · 6 years
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[OST] Zelda : Breath of the Wild
#OST Zelda : Breath of the Wild, l'incroyable coffret 5 CDs!
Le meilleur de la franchise pour beaucoup, Zelda Breath of the Wild nous transporte dans les plaines d’Hyrule en toute liberté. Sans être prédominante, la musique est pourtant indispensable à ce voyage. Elle s’adapte parfaitement à chaque scène et se comporte comme un personnage principal omnipotent.
Pas de vinyles pour cette énorme OST de Zelda Breath of the Wildmais un coffret 5 CD collector du…
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gabssama · 6 years
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[OST] Far Cry 5
#OST Far Cry 5 : la BO meilleure que le jeu tout simplement.
Far Cry 5, le dernier né de la franchise, qui commence sérieusement à s’essoufler, jouit d’une superbe OST à dominante gospel. Un univers musical qui colle parfaitement au monde sectaire sur lequel règne Joseph Seed et ses frères.
Si vous faites une recherche de l’OST de Far Cry 5, vous verrez qu’il y a en vérité quatre albums distincts. L’original, surement le plus sympa, ainsi que l’album de la…
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gabssama · 6 years
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[OST] Little Nightmares
Little Nightmares, un petit jeu édité par Bandai Namco à la direction artistique Tim Burtonesque qui aurait mérité une meilleure bande originale
Comme je le disais dans mon article dédié à Little Nightmares, ce jeu souffre d’une durée de vie trop courte et d’un manque de difficulté flagrant. Quant à la bande originale, elle n’est pas du tout immersive si ce n’est sur quelques passages angoissants.
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gabssama · 6 years
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L’attente fut longue depuis son annonce en fanfare à l’E3 2016 mais God of War est bel et bien sorti. Changement de d’univers, de décors et de gameplay, Kratos s’oppose aux dieux nordiques en compagnie de son fils Atreus. Une aventure exaltante dont je livre ici mon verdict.
A l’époque de son annonce, je ne connaissais pas la licence. Faute avouée à moitié pardonnée. Ceci dit, j’ai un petit peu rattraper mon retard en finissant le 3e opus remastérisé ainsi que le Chains of Olympus sur Ps Vita. Adorant la mythologie grecque, je suis littéralement tombé amoureux de l’univers et des personnages. L’annonce du retour de Kratos sur PlayStation 4 m’a beaucoup émoustillé et c’est avec grand plaisir et honneur que j’écris ici mon avis sur God Of War.
L’héritier au sang neuf
La grosse nouveauté c’est bien entendu l’alliance entre Kratos et Atreus. Combattre à deux donne un vent de fraîcheur  au gameplay de la licence mais pas que… L’évolution des personnages au fil du jeu reste remarquable à travers cette relation père/fils. Les mystères entourant les deux protagonistes se dissiperont tout au long de l’aventure qui commence, au demeurant, dramatiquement, avec l’incinération de la mère d’Atreus. Et afin de respecter les vœux de cette dernière, le spartiate et son fils devront répandre ses cendres au plus sommet du royaume des géants. Et nous voilà partis armés d’une hache léviathan surpuissante au pouvoir givrant et un arc, qui se révélera plus utile que dangereux. Malheureusement, le choix se limitera à deux armes pour Kratos, un bouclier et ses poings (qui se bat à mains nues dans GoW sérieux ?). Dommage qu’il n’y ait pas un arsenal plus conséquent.
  Premières impressions, c’est beau, c’est grandiose, la réalisation fait mal et j’ai encore mal aux rétines. Santa Monica Studio a vraiment bien bossé et chaque cinématique est une pure merveille. L’univers enneigé du royaume de Midgard confère une ambiance plus apaisée que les flammes d’une Grèce à feu et à sang. Mais ceci est sans compter sur des dieux toujours aussi belliqueux, peu importe leur région d’origine. A croire que la guerre est leur seule occupation… A commencer par la première rencontre avec un étranger qui vient clôturer le tutoriel. Un combat aussi épique que dynamique !
Un héritage remis au gout du jour
Le gameplay ne change pas foncièrement malgré l’ajout d’Atreus qui décoche des flèches sorties de nulle part (mais toujours en plein dans le mille), le maniement de la Hache se fait facilement en martelant R1 et/ou R2 (idem à mains nues). On notera aussi le retrait des QTE laissant la place à de belles animations renforçant l’action en plein combat et permettant au joueur de savourer tranquillement sa victoire.  Bien entendu, on retrouve l’arbre de compétences et tous les coups et combos déblocables grâce à l’xp durement gagnée. Ceci dit, les pouvoirs des dieux sont différenciés de l’arbre de compétences. Bonne idée de pouvoir choisir celui qu’on préfère en s’équipant de la rune associée. D’autant plus que ces dernières peuvent être améliorées jusqu’à trois niveaux renforçant ainsi ledit pouvoir. Jusque là rien de bien nouveau… J’aurais d’ailleurs bien aimé pouvoir jouer quelques passages avec Atreus.
La nouveauté se trouve du côté équipement avec un côté RPG où farm et craft vont de pair. En effet, il est possible d’équiper notre bon vieux fantôme de sparte avec des brassards ou un plastron, ou encore de modifier le manche de sa hache. Chaque pièce dispose d’attributs spécifiques faisant évoluer Kratos : Force, Vitalité, Chance, Runes, etc. A vous de vous forger le Kratos de vos rêves moyennant quelques pièces aux ateliers des nains. Pour Atreus, le choix se résume à sa tenue et son arc. Ce penchant RPG ne plaira surement pas à tout le monde mais il est très bien pensé et simplifié pour ne pas prendre la tête aux joueurs réticents. Personnellement, je ne me suis pas vraiment penché sur les ressources qu’il fallait pour crafter tel ou tel objet mais j’ai pu obtenir du stuff de qualité et up mes armes facilement au cours de ma progression.
Midgard et autres contrées à explorer
Autre nouveauté, le monde semi-ouvert. Si God Of War reste un jeu type “couloir”, il est possible d’explorer toutes les régions du jeu librement. Encore une fois, l’exploration est très bien pensée avec des portes de téléportation ici et là ou encore le passage d’un royaume à l’autre via Yggdrasil. Pour y faire quoi me direz-vous ? Des quêtes annexes intéressantes, ramasser des collectibles pour le platine, affronter des adversaires coriaces, obtenir des ressources rares ou encore écouter des histoires passionnantes. Un nouvel aspect qui permet de rallonger la durée de vie et de renforcer la méta de ce nouvel univers. J’adore la mythologie et découvrir les contes sur Odin et ses compères me ravit. Surtout avec ce que nous réserve la fin du jeu…
Cependant, je trouve que cet aspect dénature un peu l’essence même de la licence. Comme si tous les jeux d’aujourd’hui devaient avoir un aspect RPG avec des quêtes annexes dans un monde ouvert. Imaginez si Naughty Dog faisait la même chose pour The Last Of Us II… Honnêtement, j’aurais préféré que la quête principale soit un peu plus longue et encore plus épique plutôt que de pouvoir explorer les royaumes librement. On y retrouve même des vagues d’ennemis à Muspelheim ou encore des ressources à farmer à Niflheim, deux mondes qui proposent un défi à la difficulté divine. Bref, je trouve ça un peu dommage que Santa Monica a fait le choix de rentrer dans cet espèce de moule commun à beaucoup de jeux actuels.
Je vous laisse avec une petite galerie de screenshots avant de conclure :
Alors oui j’ai vraiment aimé ce God Of War malgré sa nouvelle version en “monde ouvert”. La réalisation est parfaite, la plastique tout autant, aucun bug ni ralentissement a signalé, la musique orchestrale au poil, le renouveau du gameplay, tout est superbe. Alors quoi ? Bah… comme d’hab, quand c’est bon on en a jamais assez. Un peu plus de variations dans le gameplay (armes supplémentaires, Atreus jouable) et quelques boss épiques en plus et je défends volontiers le 20/20 de jvc. En l’état, ce reboot marque le début d’une nouvelle ère bienvenue et j’ai déjà hâte de mettre la main sur la suite qui nous réserve plein de surprises !
[AVIS] #GodOfWar : Une aventure épique et prometteuse ! L'attente fut longue depuis son annonce en fanfare à l'E3 2016 mais God of War est bel et bien sorti.
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gabssama · 6 years
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Dragon Ball Super s’est achevé, après avoir visionné tous les épisodes depuis le début de l’année, je vous livre ici ma critique de la suite officielle de Dragon Ball Z.
Avant toute chose : cet article vise l’intégralité des 131 épisodes de l’animé, il comporte donc des spoilers.
Avant de parler un à un des quatre arcs de Dragon Ball Super, commençons par l’aspect technique et général. Faisant suite à Dragon Ball Z et supervisé par Akira Toriyama, nous savions que l’univers DB serait respecté. Puis proposer une suite à DBZ parait logique, encore fut-il trouver un scénario et de bonnes idées pour garder le spectateur en haleine.
Disons le tout de suite, visuellement DBS souffre d’inégalités fragrantes. A croire que les dessins ont été réalisés tantôt par Akira-sensei tantôt par des apprentis. Certains plans sont superbes alors que d’autres ont l’air de sortir d’un atelier dessin d’une école primaire. J’exagère à peine je vous jure et, aujourd’hui, quand on connait la puissance des grosses productions à réaliser des séries animées dignes des longs métrages, nous sommes en droit d’être déçus et ce malgré le rendu HD. Je ne me rappelle pas avoir ressenti cela en regardant Dragon Ball Z Kaï. De plus, j‘ai personnellement apprécié les flashback de quelques scènes mythiques de DBZ, ça fait toujours plaisir et je ne les ai pas trouvés inutiles.
Gros point fort du côté de l’OST. Les nouveaux morceaux sont carrément cool et collent parfaitement à l’action. Ils n’ont rien à envier aux célèbres titres de DBZ. Pour le reste, la bande sonore reste dans la lignée de ce que nous connaissons.
Du côté du scénario, il fallait bien entendu agrandir l’univers DB et pour cela, Akira-sensei a eu la bonne idée d’imaginer 12 univers distincts avec chacun leur Kaio-shin et leur Dieu de la Destruction. Sans oublier les Super Dragon Ball, qui ne sont rien d’autre que des Dragon Ball de la taille d’une planète permettant d’invoquer un espèce de Shenron originel de la taille d’une galaxie. Simple et efficace, cela nous promet de découvrir de nouvelles têtes. Cependant, parmi tous les personnages rencontrés aucune trace de ce bon vieux Oub ou en tout cas de la réincarnation de Buu. Enfin bref, les 131 épisodes se divisent en quatre arcs majeurs que je vais maintenant critiquer.
Arcs Battle of God et Résurrection de Freezer
Le tout premier arc permet de renouer avec les personnages du manga dans un monde en paix. Qui dit paix dit absence de combats et notre vaillant Son Goku se voit dans l’obligation de travailler pour ramener quelques Zenis à la maison. Reprenant certaines bases de DB GT, on y voit Krillin (chevelu) marié avec C-18 et père de Marron, Gohan et Videl vivent en parfaite harmonie avec leur Pan encore bébé, et Vegeta sans moustache (ouf) attendant une petite fille. Bref, rien de sensationnel avant la venue de Beerus et Whis, les deux protagonistes principaux de DBS qui vont apprendre à Goku et Vegeta à se transformer en SSJ God après avoir menacer de détruire la Terre bien entendu. Si vous avez vu le film, pas de besoin de regarder cet arc. Idem pour le deuxième arc qui porte son nom. Loin d’être super intéressants, ces deux arcs posent clairement les bases pour la suite de l’anime.
Les moments-clé de ces deux arcs : les transformations en SSJ God et Bleu de Goku et Vegeta, et Golden Freezer.
Arc Dieu de la Destruction Champa
Cet arc d’une douzaine d’épisodes, introduit la notion des multiples univers avec Champa, Dieu de la Destruction de l’univers 6, frère de Beerus. Ces derniers décident d’organiser un mini tournoi entre leurs meilleurs combattants. Prétexte pour présenter de nouveaux personnages secondaires notables que nous reverrons dans le dernier arc. En tête d’affiche, Hit qui maîtrise le Toki- Tobashi (téléportation), Kyabe, un jeune sayian et, enfin, Frost, l’alter ego de Freezer.
Les moments-clé : transformation de Kyabe en Super Sayian, défaite de Goku contre Frost, apprentissage de Hit.
Arc Trunks du futur
Seul et unique vrai grand méchant inédit de DBS : Zamasu ! Un apprenti Kaio Shin qui déteste tous les êtres inférieurs et a pour projet de tous les anéantir. Cependant, il décide de rassembler les Super Dragon Ball afin de devenir une copie de notre Goku grâce aux Super Dragon Ball et à ses voyages dans le temps, il devient immortel et s’allie avec son “lui” d’un espace-temps parallèle, vous suivez ? Oui c’est le bordel mais c’est sans doute l’arc le plus intéressant scénaristiquement. Et pour complexifier tout ça, Trunks revient de son futur toujours aussi noir pour éviter l’avènement Zamasu. A partir de là ça devient bordélique et perd en cohérence. Dommage car ça partait d’une vraie bonne idée. Zamasu est hautain, odieux et voue une haine viscérale aux terriens. Avec des dialogues d’une profonde noirceur, cet arc avait tous les ingrédients d’une franche réussite. Dommage que le soufflé retombe avec les allers-retours dans le futur et la surpuissance divine de Goku Black et Zamasu. Mention spéciale quand même pour Goku Black franchement réussi avec des techniques inédites et originales. Quant à la fin de l’arc… je pense qu’elle est plus philosophique qu’autre chose : une soif de pouvoir incommensurable peut disparaître en un claquement de mains. Je vous laisse méditer.
Les moments-clé : le bref retour de Begeto (frissons garantis), Goku Rosé, Trunks et son épée de l’amitié.
Arc Survie de l’univers
Voilà l’arc majeur de DBS. Fini Zamasu et autres méchants. A l’instar des “7 mercenaires”, il s’agit d’une Battle Royale organisée par Zeno-Sama (le maître de l’univers) afin de décider quel univers est le plus fort. Sur les 12 univers seuls 8 devront s’affronter, jugés trop faibles pour continuer d’exister, les perdants seront anéantis avec leur univers respectif. Chaque univers devra donc sélectionner 10 combattants pour tenter de survivre. L’enjeu est énorme et pour ajouter un peu de piment, le tournoi se déroulera en 40 minutes. D’ailleurs, je ne vois pas trop l’intérêt d’avoir un compte à rebours vu qu’on sait tous que les combats vont avoir lieu et qu’on connait le nom des derniers combattants.
Goku et ses amis forment l’équipe de l’univers 7. Voici les sélectionnés : Goku, Vegeta, Gohan, Krillin, Piccolo, Ten Shin Han, Tortue Géniale, C-17, C-18 et…. Freezer ! En face, nous retrouvons des visages connus de l’univers 6 précités plus haut, avec en renfort deux sayians féminins Caulifla et Kale. Et bien entendu, tout plein de nouveaux personnages plus ou moins puissants.
Afin de ne pas écrire un énorme pavé, je vais énoncer ce que j’ai aimé et ce que je n’ai pas aimé dans cet arc de manière un peu anarchique.
Ce que j’ai aimé :
Tortue Géniale se bat sérieusement, avec notamment le retour du Mafuba ❤
C17 et C18 reviennent au devant de la scène
Yamcha reste sur le banc
Vegeta fait du Vegeta et on aime ça, surtout quand il se sacrifie pour laisser la place à Goku comme contre Buu quand on attendait le SSJ4 de Goku
Freezer toujours autant une petite crapule qu’on aime détester tout comme son alter ego Frost
Piccolo et Ten Shin Han ont bien progressé et ça, ça fait plaisir
Les trois jeunes Sayians inédits dont la fusion en Kale et Caulifla (qui donne un Broly transgenre hormoné)
La Justice Troupe emmenée par Jiren et Toppo qui viennent casser le machinisme habituel de DB, puis faut avouer qu’ils sont surpuissants et bien stylés
Le dernier combat entre bonhommes
Ce que j’ai moins aimé voire pas du tout :
Gohan n’est que l’ombre de lui même et c’est chiant
Les trois frères loups, plus arrogants tu meurs
Malgré leur puissance, les Modèles japonaises qui prônent l’amour sont risibles et plutôt chiantes avec leur attaque chorégraphiée librement inspiré de Sailor Moon
Les mecha obsolètes sont anecdotiques
Le tournoi s’éternise sur les derniers épisodes
On ne voit pas assez Goku en Ultra Instinct
“Le vrai combat commence maintenant”
La fin prévisible et inéluctable
Le Genkidama désacralisé en quelques secondes…
Et pour finir, en désordre, les combats que j’ai le plus kiffés :
Goku en Ultra instinct contre Kafla (fusion Potaras entre Kale et Caulifla) : ce Kaméhaméha ❤
Dyspo contre Hit, un concours de vitesse classieux
Vegeta contre Toppo : la dernière transformation de Toppo et son pouvoir de la Destruction est vraiment cool
Tous les combats de Tortue Géniale, oui oui tous!
Goku contre Jiren (enfin juste l’épisode 130)
Voilà pour moi et cette critique de Dragon Ball Super. Il y avait finalement pas mal de choses à dire. J’ai certainement dû oublier des détails. J’ai globalement apprécié la série malgré des longueurs sur la fin. Comme d’habitude, n’hésitez pas à commenter pour donner votre avis ou juste dire bonjour. Par ailleurs, vous pouvez retrouver mon test de Dragon Ball FighterZ. A très bientôt sur le blog !
[AVIS] Dragon Ball Super : C'est fini.... retour sur la série! Dragon Ball Super s'est achevé, après avoir visionné tous les épisodes depuis le début de l'année, je vous livre ici ma critique de la suite officielle de Dragon Ball Z.
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gabssama · 6 years
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Frantics : Oncle Picsou serait ravi !
[AVIS] Frantics : Le dernier né des jeux #PlayLink à la traîne !
Dernier sorti de la série des jeux PlayLink sur PlayStation 4, Frantics utilise les fonctionnalités du smartphone pour s’affronter dans des petits mini-jeux. Et en guise de personnages, nous avons le droit à des animaux aux mines abattues. Je vous livre ici mon avis sur ce party game qui, sur le papier, avait tout pour être réussi.
Il y a quelques mois je vous donnais mon avis sur les premiers…
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gabssama · 6 years
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Les Remasters : pourquoi je trouve ça cool ?
[Critique&Réflexion] Les Remasters : pourquoi je trouve ça cool ?
Cette génération de consoles a vu la sortie de bon nombre de jeux vidéo remastérisés à tel point qu’aujourd’hui il semble normal de se réjouir de l’annonce d’un remaster. Pour ma part, j’y trouve globalement mon compte et je vous explique ici pourquoi. Un remaster keskecé ?
Je parle bien ici de remaster et non de portage ni de remake. Le remastering est une technique de post-production empruntée…
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gabssama · 6 years
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Shadow of the Colossus revient sur PlayStation 4 pour nous en mettre plein la vue avec des colosses plus beaux que jamais. Après avoir fini le jeu, je vous livre ici mon verdict.
Considéré comme un chef d’oeuvre par beaucoup, Shadow of the Colossus revient une nouvelle fois sur PlayStation 4. Sorti initialement sur PS2 en 2005, un remaster HD a vu le jour sur PS3 en 2011 et, en toute logique, le voilà maintenant sur PS4. Encore une chance de combler mes lacunes vidéoludiques en jouant à ce jeu pour la première fois. Le concept est simple : un chevalier doté d’une épée et d’un arc accompagné d’un étalon doit battre 16 colosses pour sauver sa bien-aimée. Loin d’un Die&Retry, c’est une aventure épique dans laquelle la démesure est reine. Chaque colosse est une rencontre qui laissera un souvenir impérissable aux joueurs. Mêlant émotions et bravoure, venir à bout de ces géants n’est pas une partie de plaisir. Je les ai tous vaincus à la sueur de mes mains, voici mon avis sur ce remaster.
Lifting et shooting
Première impression, c’est grand, c’est beau, ça claque ! Le jeu respire la liberté, des grands espaces à traverser au triple galop, le bruit du vent dans les herbes hautes, tout semble léger… Gros travail sur la lumière avec un ciel plus vrai que nature (merci le HDR), des déserts à perte de vue, des forêts verdoyantes ainsi que des grottes luxuriantes nous plongent dans un monde magique. Bravo à l’équipe pour ce travail d’orfèvre, c’est magnifique et on ne s’en lasse pas. Les colosses n’ont pas été épargnés et rien que leur pelage qui bouge au grès du vent… c’est superbe ! Dans un élan de générosité ou peut-être par fierté de voir leur jeu être sublimé, ils ont implanté un mode photo.
Loin d’être ultra complet, ce dernier permet tout de même de faire de jolis clichés. Il est même possible de prendre une photo lors des cinématiques et ça c’est cool. Je regrette cependant l’absence d’une caméra libre et la possibilité de cacher le personnage. Je chipote certes mais quand c’est beau on veut le top du top à l’instar du mode photo d’Horizon Zero Dawn ou Forza Horizon 3. Je ne suis pas un grand maniaque de screenshots mais j’en ai pris tout de même quelques uns durant mon périple (l’image à la une de cet article en est un).
Chérie ça va secouer
La particularité de ce remaster réside dans le fait que son gameplay original a été conservé. Il faut avouer qu’il n’est pas bien complexe avec en gros trois actions principales : sauter, frapper/tirer et s’accrocher. Vous pouvez aussi vous accroupir et prier ou ramasser des objets. Globalement, cela suffit amplement et donne au soft une force de réalisme importante pour apprécier l’aventure. Notamment avec la jauge de Vigueur en plus de la barre de vie. Traduisez ici Vigueur par Endurance et vous comprendrez de quoi il s’agit. Dans les faits, cela nous empêche de rester accrocher 10 minutes sur le dos d’un colosse qui ne cesse de se secouer pour nous faire tomber. Eh oui… car il faudra bien grimper sur les colosses pour leur asséner des bons gros coups d’épée dans leurs points faibles afin qu’ils s’inclinent. Le jeu peut paraître répétitif mais la durée de vie limitée d’un run (comptez environ 7-8h) est parfaite. Et surtout la bonne diversité des géants vous donnera matière à réflexion pour trouver la seule et unique manière d’atteindre ces fameux points faibles. Heureusement, des conseils sont donnés pour nous aiguiller plus qu’appréciables.
Côté bémol, j’en ai noté deux dont un franchement gênant. Le premier reste la physique du jeu dépassée qui nous donne des acrobaties dignes d’un pantin de bois. Même les sauts sont parfois risibles avec tant de rigidité. J’ai rencontré quelques bugs de collisions mais rien de fou ou de contraignant. En revanche, le deuxième point beaucoup plus fâcheux, c’est la caméra! Malgré son contrôle avec le joystick droit, elle revient sans cesse se placer là où elle le veut… Un calvaire lors des phases d’action menant à une rage certaine.
Musique et clap de fin
Un mot sur la musique et l’ambiance sonore générale. Que serait ce monde merveilleux sans une musique merveilleuse ? C’est léger et épique à la fois, berçant et stimulant, inoubliable à des moments, imperfectible à d’autres… un vrai travail de son à l’image a été réalisé. A l’instar de Titan Souls, l’enregistrement de la musique orchestrale a été plus que soigné. J’ai particulièrement aimé le changement de musique lorsque vous trouvez la faille d’un colosse qui laisse clairement la place à l’action.
Enfin, le jeu se termine en apothéose avec une belle cinématique émouvante et surtout une surprise quelque peu déconcertante. J’ai terminé le jeu en mode normal en presque 8h mais sachez qu’il y a un New Game +, un mode Time Trial, un mode difficile ainsi que des collectibles. Les chasseurs de trophées ne seront donc pas en reste et les amoureux des colosses non plus.
Shadow of the Colossus a bénéficié d’un très très joli lifting pour son aventure sur PlayStation 4. Aujourd’hui, je suis heureux d’avoir pu le finir, j’ai pris du plaisir et j’ai été ému. Faut bien l’avouer, ce jeu a de quoi marquer les esprits et il le fait très bien depuis 2005. Si vous ne l’avez pas encore fait et que vous aimez le genre, je ne peux que vous conseillez de chevaucher votre destrier et partir au triple galop à la rencontre des colosses. 
#ShadowoftheColossus : Un remaster colossal ? Voici mon avis : Shadow of the Colossus revient sur PlayStation 4 pour nous en mettre plein la vue avec des colosses plus beaux que jamais.
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gabssama · 6 years
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TFGA S03E04 : La suite et tout de suite !
#TFGA S03E04 : La suite et tout de suite !
Après un petit temps d’oisiveté plus ou moins volontaire sur le blog, il est temps de reprendre l’écriture. Et pour ça, rien de mieux qu’un bon vieux TGFA dont le succès n’est plus à prouver.
Comme le dit si bien Alex Effect dans son TFGA, l’année 2017 a été plus que généreuse en jeux vidéo. Entre nouvelles licences, remasters et suites, nous avons été gâtés. Cependant, force est de constater…
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gabssama · 6 years
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[OST] Horizon Zero Dawn
#OST Présentation de la musique et des vinyles de #HorizonZeroDawn cc @PlayStationFR
Si Horizon Zero Dawn m’a fait frissonné lors de sa toute première annonce, c’est en très grande partie grâce à sa musique. C’est en toute logique que je me suis procuré le coffret 4 vinyles.
Vendu en exclusivité sur le site PlayStation Gear et limité à 1500 exemplaires, le coffret 4 vinyles de l’OST de Horizon Zero Dawn a très vite rejoint ma collection. Je me rappelle encore des frissons…
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gabssama · 6 years
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TFGA S03E03 : Des uns connus des autres
#TFGA S03E03 : Des uns connus des autres
On se retrouve aujourd’hui pour un TFGA qui est en fait un remaster du tout premier. Le but étant de mettre en lumière cinq jeux passés plus ou moins à la trappe dans le vaste océan du marché des jeux vidéo.
Parmi la liste de jeux que j’ai terminé ces dernières années, en sélectionner cinq “peu connus” a été un véritable casse-tête. Merci à Alex Effectde sortir des thèmes qui nous donnent du fil…
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gabssama · 6 years
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Les nouveaux jeux de la collection PlayLink viennent d’arriver en exclusivité sur PlayStation 4. Je vous livre ici mon verdict sur ces jeux qui se veulent conviviaux et, surtout, jouables avec nos smartphones.
Je vous en parlais le mois dernier lorsque j’ai eu la chance de découvrir ces jeux à l’évenement PlayLink organisé par Sony. Si j’avais pu avoir un bel aperçu de ces quatre jeux, aujourd’hui je vous propose un avis définitif sur cette nouvelle façon de jouer. En effet, oublions les traditionnelles manettes remplacées ici par nos smartphones. Cette idée rend le gameplay accessible à tous et toutes vu que nos chers smartphones font partie de notre quotidien, si ce n’est de notre corps. Avec Qui es-tu ?, Hidden Agenda, Knowledge is Power et SingStar Celebration, la collection PlayLink se veut conviviale et familiale en proposant une expérience multi locale. Verdict ?
Qui es-tu ? 
Le jeu qui mettra vos connaissances sur votre famille et/ou vos amis à dure épreuve. Dans Qui es-tu ? ce sont des sondages et autres questions sur la vie de vos convives qui sont à l’honneur. Fun garanti je vous l’assure. Jouable jusqu’à 6 joueurs, Qui es-tu ? utilise le smartphone à merveille en alternant prise de photos, dessins et quiz. Chaque joueur aura droit à son moment imposant un rythme soutenu et varié dans des décors originaux. Cependant, la compétition est au rendez-vous avec des points à gagner et un classement final. A vous de bien gérer vos Jokers qui vous permettront d’occuper la première place. Honnêtement, je le dis de but en blanc, Qui es-tu ? est actuellement le meilleur jeu PlayLink ! Fun, varié, une direction artistique ultra sympa et une rejouabilité infinie, il n’en faut pas plus pour s’éclater à plusieurs ! Comptez environ 10 minutes de jeu par joueur pour une partie (une partie à 4 dure environ 40 minutes). De quoi avoir le temps de se payer une franche rigolade.
SingStar Celebration
SingStar Celebration signe le grand retour du jeu de karaoké. Exit les traditionnels micros puisqu’ici ce sont les microphones de vos charmants téléphones qui sont utilisés. Au programme 30 titres pour vous égosiller à souhait et casser les oreilles de vos voisins : Britney Spears, Lana del Rey, One Direction, Bruno Mars, etc. Amateurs de chansons françaises, passez votre chemin, seules des chansons internationales sont présentes. Un gros bémol pour ma part, malgré un SingStore présent vous permettant d’augmenter votre collection de morceaux. Pour cela, il faudra débourser 6,49€ pour un album de 5 titres. Jouable jusqu’à 8 huit joueurs, il faudra faire attention à ne pas frôler la cacophonie ! Si l’interface reste la même avec des cases à la bonne hauteur de chant, j’ai trouvé que l’ambiance générale manquait globalement de punch à commencer par le mixage audio de nos voix. Et faut avouer que chanter avec nos smartphones n’est pas franchement fun… Surtout que les microphones étant puissants, les voix des joueurs peuvent se chevaucher. Il est sans doute préférable de chanter chacun son tour ou d’opter pour les micros.
Hidden Agenda
L’enquête policière signée Supermassive Games, les créateurs du très bon Until Dawn, semble poser les bases d’un nouveau genre multi local. Hidden Agenda vous plonge dans un thriller palpitant dont vous devez percer tous les mystères. Le jeu commence avec une scène explosive avant de vous propulser 5 ans après. Oui 5 ans ! Le temps pour l’héroïne d’être promue à la Crim’ et pour le coupable d’être à quelques jours de sa sentence capitale. Votre but sera d’éclaircir les mystères qui rodent autour de cette affaire suite à des révélations troublantes du suspect qui ne cesse de clamer son innocence. A vous de convaincre les bonnes personnes, de prendre parti pour l’un ou l’autre et de démêler tout ce merdier avant l’heure fatale.
Dans les faits, Hidden Agenda est un bon jeu qui vous tient en haleine grâce à ses superbes graphismes, un bon jeu d’acteur et une ambiance terriblement noire. Le gameplay se divise en trois catégories : un choix unanime, des petits QTE lors de phases d’action et une exploration en quête d’indices. Les décisions devront être prises à l’unanimité pour faire avancer le jeu. Exception faite des deux cas suivants : si un joueur utilise une prise de contrôle lui conférant le droit absolu de prendre la décision ou, alors, c’est le joueur qui a été désigné comme étant le plus “courageux” ou le plus “compatissant” en début de chapitre par les autres qui est le seul à pouvoir répondre. De plus, sachez qu’à partir de trois joueurs, certains se verront attribuer des missions secrètes pouvant mettre à mal l’enquête… Bien entendu, Supermassive a pensé une multitude de fins différentes permettant une certaine rejouabilité. Sauf que dans les faits, peu importe vos choix, le mystère principal vous sera révélé rendant l’attrait pour une nouvelle partie un peu obsolète. Comptez environ 2h30 pour une partie et certainement un peu de frustration au bout. Hidden Agenda est loin d’être parfait mais procurera un moment très intéressant tel un film interactif. Une très bonne idée, même si je le trouve un peu cher actuellement, qui pose les bases d’un nouveau genre qui mériterait d’aller un peu plus loin.
Knowledge is Power
La suite spirituelle de Buzz est enfin là ! Etant fan du jeu de l’animateur sarcarstique, j’avais placé beaucoup d’espoirs dans Knowledge is Power. L’ambiance générale du soft est carrément fun et sympa à commencer par le choix du personnage loufoque associé à un superbe selfie personnel : L’homme hot-dog, le Bucheron, le Cosmonaute, etc. Une partie se déroule toujours de la même manière : choix du thème par les joueurs, envoi des pièges sur les adversaires, question, réponse et classement. La série de la petite dizaine de questions est interrompue par 2 épreuves et s’achève avec la grande finale. Les 2 épreuves mettent le tactile à l’épreuve : l’une consiste à associer deux mots ensemble suivant le thème tel “Animal et Film”, “Chanson et Artiste”, etc. L’autre consiste à swapper le mot à gauche ou à droite suivant sa catégorie telle “Bleu ou jaune”, “Écrivain ou peintre”,etc. Enfin, la grande finale. Une pyramide dont il faut atteindre le sommet en premier. Plus vous avez de points, plus vous partirez de haut. La vitesse de votre ascension dépendra de votre rapidité pour sélectionner la bonne réponse. Voilà en somme, une partie dure entre 10 et 15 minutes.
Si l’idée semble bonne et bien réalisée, une impression de répétitivité s’installe rapidement. Le manque de rythme et de diversité dans les épreuves n’aident pas à vouloir enchaîner les parties. Et ce n’est pas les quelques pièges et leurs animations rigolotes qui rattrapent le tout, surtout que nous pouvons pas passer ces petites cinématiques. Ceci dit, les thèmes des questions sont bien variés malgré une grande thématique choisie aléatoirement par partie. Je regrette aussi une épreuve qui peut littéralement chambouler le classement actuel. Dans Knowledge is Power, impossible de perdre des points ou d’en voler à ses adversaires, autant dire que si vous arrivez à la première place à la finale, difficile de ne pas gagner… Vu qu’il suffit de sélectionner la bonne réponse pour grimper tout en haut et remporter la partie. Si une mauvaise réponse signifiait une petite dégringolade, ça ne serait pas la même ! Bref, vous l’aurez compris, ce jeu est loin d’être abouti et semble même être une démo tant le contenu est pauvre. Ajoutez à cela l’absence de jouer en ligne, et le soft perd un intérêt indéniable.
La série PlayLink est loin de proposer une expérience parfaite mais elle a le mérite d’en proposer une nouvelle adressée à tout type de joueurs. Aujourd’hui, chacun dispose d’un smartphone il est donc aisé d’improviser une petite partie de PlayLink entre mis à la maison. J’ai bon espoir que des mises à jour ou de nouveaux titres intéressants s’ajoutent à la collection. A commencer par les prévus : Frantics, Erica ou encore La Planète des Singes. J’ai hâte de voir ce que nous réservent ces futurs titres. Et vous, est-ce que le concept vous plait ? Vous tente-il ? 
#PlayLink : Découvrez mon verdict sur les 4 jeux disponibles ! Les nouveaux jeux de la collection PlayLink viennent d'arriver en exclusivité sur PlayStation 4. Je vous livre ici mon verdict sur ces jeux qui se veulent conviviaux et, surtout, jouables avec nos smartphones.
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gabssama · 6 years
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Sorti fin septembre, Cuphead a fait rager beaucoup de joueurs qui l’ont testé. Un genre mêlant action et plate-forme proposant une difficulté élevée. La bande son empruntée au Blues et Jazz qui colle parfaitement à l’univers a, en toute logique, rejoint ma collection.
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gabssama · 6 years
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Sine Mora EX est un shoot’em up exigeant vous plongeant dans un univers sombre. Développé par Digital Extremes et édité par THQ Nordic, découvrez notre test de ce jeu qui mettra votre patience à dure épreuve.
Fiche Technique
Support : Ps4, Xbox One, PC, Switch Editeur : THQ Nordic Développeurs : Extremes Digital Sortie France : 8 août 2017 Genre : Shoot’em up Classification : PEGI 16 Modes: Solo, Coop…
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