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Un parapluie connecté !

Les startup françaises sont très présentes au CES 2016 de Las Vegas. L’une d’entre elle compte commercialiser un parapluie connecté (Oombrella laureat French Tech créé par Wezzoo). Il saura dire si vous avez besoin de lui (car connecté à une station météo), si vous êtes en train de l’oublier, il saura vous aider à le retrouver si vous l’avez perdu.

L’ultra connexion, un danger?

A priori c’est une bonne nouvelle, mais seulement à priori. Car à force d’être ultra connecté par son smartphone, par ses lunettes, par son gps automobile, nous laissons des traces de notre vie un peu partout. Notre liberté n’en subit-elle pas les conséquences ? Toutes les techniques d’analyse de ce type de données orienteront le comportement des organismes de flicage de tous poils. Du flicage commercial au flicage politique en passant par le flicage conjugal …

Et notre spécificité humaine ?

Sommes nous en train d’abandonner l’utilisation de notre intelligence à des objets dépourvus de toute réflexion, de toute émotion ?

Auteur : groupe 4 ECOD

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La géolocalisation du Père Noël

Savez-vous qu'il est possible de géolocaliser le Père Noël pendant sa tournée ?

Le village du Père Noël se situe en Laponie (Finlande), dans le village de Rovaniemi sur le cercle polaire arctique. C'est de là que partira le Père Noël dans la nuit du 24 décembre pour effectuer sa tournée.

Il existe de nombreuses applications de géolocalisation sur le web permettant de suivre en direct le Père Noël sur son traîneau, jusqu'à son arrivée dans votre maison.

Décalage horaire oblige, il commence sa tournée par l'Australie et les îles du Pacifique. Il rejoint ensuite l'Asie, la Russie pour après descendre délivrer ses cadeaux aux enfants africains. Une fois fait, il remonte en Europe, traverse l'Atlantique et arrive en Amérique avant que les enfants ne soient réveillés. Il fait une dernière escale à Hawaï avant de rentrer dans son village, le traîneau vide, tous les cadeaux ayant été distribués.

Auteur : Groupe 4 ECOD

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Géolocalisation, comment limiter les risques ?

La geolocalisation passe par différents moyens technologiques, réseaux téléphoniques, applications ou encore données de connexion internet.

Votre position géographique n’est que la partie immergée de l’iceberg, en les accumulant avec d’autres informations (géolocalisation donnée par un autre service, données personnelles, goûts, habitudes de consommation ou de navigation…) on peut determiner votre profil avec une alarmante précision.

Un simple coup d’oeil à l’adresse https://www.google.com/ads/preferences/ vous donnera une idée des informations qui circulent à propos de vous. Mais cela ne concerne pas que Google ! Pour peu que vous soyez inscrit sur Twitter ou que vous utilisiez des applications sur votre portable, toutes ces données peuvent être recoupées.

Les risques sont réels : l’usurpation est un des dangers majeurs et il peut-être extrêmement compliqué de prouver sa bonne foi aux yeux des administrations ou de Facebook. Plus grave encore, le cybercasing, une pratique qui se répand et consiste à préparer un cambriolage grâce aux informations de géolocalisation fournie (de votre plein gré ou à votre insu) dans des photos et ainsi déterminer la « disponibilité » de votre domicile…

Pour limiter ces risques les précautions sont assez simple : ne pas laisser ses coordonnées sur des pages publiques, vérifier la confidentialité de vos photos et qui peut y avoir accès ou encore utilisez vos paramètres de navigation privée. Les plus prudent d’entre vous s’orienteront vers le chiffrage de leur e-mails ou le blocage des traqueurs publicitaires. Toutes ses solutions existent et sont le plus souvent gratuite et facile à mettre en place !

Firefox ou Chrome proposent des sessions de surf privée mais on peut aller plus loin en utilisant le réseau TOR qui garantit un anonymat total. Le désormais célèbre Adblock, devenu un incontournable ou encore la suite Framasoft de logiciels libre pour remplacer les applications un peu trop indiscrète…

Auteur : groupe 4 ECOD

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Les galères du GPS ....

Avez-vous déjà connu des galères en utilisant votre GPS ?

Certains oui... la preuve. 

Il n’est pas toujours facile de se géolocaliser et des problèmes de communication peuvent exister entre l’homme et la machine. Vous en trouverez ici un bel exemple qui nous a beaucoup fait rire ....

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Les risques d’une géolocalisation manuelle ....

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Votre voiture bientôt arrêtée à distance  par la géolocalisation ?

Imaginez vous dans votre voiture, parcourant tranquillement votre itinéraire de départ en week-end. Soudain, vous ralentissez sans l’avoir demandé, vous avez beau appuyer sur l’accélérateur, aucune réaction du véhicule. L’auto ralentit inexorablement. Vous la conduisez vers le bas côté ou la voie d’arrêt d’urgence, elle finit par s’arrêter, le moteur s’éteint.

Cette aventure est arrivée à un automobiliste belge, le lundi 7 Novembre dernier. Il est vrai qu’il l’avait un peu provoquée, puisque c’est la société de surveillance en charge notamment de la protection contre le vol des voitures qui a déclenché cet arrêt à distance. L'homme avait braqué le propriétaire d’une Porsche, puis était reparti avec. Il se trouve que ce modèle est équipé d’un traceur associant les technologies de géolocalisation et de prise en main à distance.

Cette technique a permis à la police française d’arrêter ce malfaiteur ainsi que ses deux comparses. (entre temps la voiture ayant franchi la frontière franco-belge).

Une commission européenne en charge de la sécurité intérieure1 travaille à rendre l’installation de ce dispositif obligatoire sur tous les véhicules européens.

Cette possibilité ne sera donnée qu’aux policiers. Cela semble plutôt rassurant. Il leur sera plus facile d’arrêter les délinquants qu’ils n’arrivaient pas à intercepter jusqu’à présent. "Dans la plupart des cas la police est incapable de poursuivre le délinquant à cause du manque de moyens efficaces pour arrêter le véhicule proprement", explique le document de la commission. "Ce projet travaillera sur une solution technologique qui puisse être "construite de série" dans toutes les voitures qui entrent sur le marché européen".

En appuyant simplement sur un bouton, le policier pourra d’abord faire ralentir le véhicule jusqu’à son arrêt complet, et enfin couper le moteur.

Ceci ne sera possible que si le véhicule est équipé d’un système de géolocalisation et de communication wifi…. Toutes les voitures seront « mouchard inside »…

A ce niveau d’explication, rien de nouveau sous le soleil : nous donnons des moyens à la police de faire leur travail le plus efficacement possible, et comme pour d’autres pratiques policières, les techniques peuvent être «border line » en terme de liberté individuelle. A condition de ne pas être dans un état à tendance totalitaire !

Mais le vrai risque est que, par définition, des pilotages à distance peuvent être piratés, comme le montre cette vidéo : https://youtu.be/MK0SrxBC1xs  où l’on voit qu’il est possible d’accéder à ce système sans y être autorisé. Ce qui rend le scénario du début de cet article tout à fait vraisemblable. Si l’on pousse un peu plus loin, nous pourrions même imaginer que des délinquants « bien intentionnés » pourraient pirater le système des voitures des policiers ! Le risque n’en serait que pire !!!   Il faut souhaiter que la décision de cette mise en place générale ne sera prise qu’après des tests complets de fiabilité et de sécurité du système.

1 Le Comité permanent de sécurité intérieure (COSI), organisation européenne a vu son document décrivant le programme de 2014-2020 de coopération opérationnelle entre les différentes autorités policières en Europe rendu public par l`organisation Statewatch (Association britannique qui défend les droits des citoyens en matière de libertés civiles).

ENLETS (European Network of Law Enforcement Technology Services) , est un groupe d’étude chargé de trouver les solutions pour améliorer la recherche et l’approvisionnement de technologies par l’échange d’informations, de connaissances et d’expériences entre les différents pays de la Communauté Européenne.

Auteur : Groupe 4 ECOD

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Le cybercasing : le danger des photos et vidéos géotaguées

La géolocalisation au service des criminels

Le téléchargement de photos et vidéos sur le net peut nous rendre vulnérables dans notre quotidien vis à vis de personnes mal intentionnées, voire criminelles.

Dans une de leurs études, le ICSI (International Computer Science Institute), a analysé que les photos et vidéos postées sur les réseaux sociaux peuvent révéler la localisation géographique des internautes, les rendant vulnérables alors au « cybercasing ».

En effet certains criminels utilisent ces informations de géolocalisation renseignées sur les données téléchargés en ligne, pour monter des opérations telles que des attaques physique, des cambriolages, …

Aujourd'hui, les données de géolocalisation sont automatiquement intégrées par les appareils photos et les smartphones.

Les chercheurs du ICSI ont ainsi pu établir une correspondance entre ces données et Google Maps Street View , pour trouver où les photos avaient été prises. Dans certains cas, ils ont pu aussi découvrir l'adresse du domicile des internautes qui avaient télécharger leurs photos et vidéos sur des sites comme Craigslist ou YouTube, même si ces derniers avaient choisi de cacher leur identité (pas d'adresse, pas de nom, pas d'e-mail renseignés).

Il est donc évident que même si nous communiquons sur le net en utilisant des pseudos ou de façon à priori anonyme, il est possible, à partir de croisement de données, de nous identifier.

Pensez-y la prochaine fois que vous postez une photo en ligne ...

Auteur : groupe 4 ECOD

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Une erreur de géolocalisation peut vous faire plonger.

Source : groupe 4 ECOD Géolocalisation

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Les GPS, un risque pour la police ?

La géolocalisation a-t-elle desservi la police ?

Les événements épouvantables survenus le Vendredi 13 Novembre, ont mis en lumière le côté sombre de l’utilisation de la géolocalisation. En effet, les automobilistes ont signalé à l’aide de leur application GPS les barrages de police. On peut penser de bonne foi que ce comportement est plutôt positif, permettant ainsi aux flux de circulation de choisir d’autres itinéraires, évitant ainsi des embouteillages monstres. Ceci pour le côté face de la médaille, mais le côté pile est beaucoup moins reluisant . En effet, en informant tous les automobilistes, les systèmes GPS renseignaient aussi les terroristes, leur permettant d’anticiper une rencontre avec des policiers, au mieux en les évitant, au pire en préparant l’affrontement. Même si rien n’indique aujourd’hui que cela a eu un impact sur la fuite des terroristes aujourd’hui toujours en cavale, nous pouvons quand même nous demander si la géolocalisation n’est pas un risque pour l’intégrité physique des forces de l’ordre ? Ne faudrait t il pas faire en sorte  dans ces circonstances que les applications GPS interactives telles que Coyote ou Waze soient désactivées sur un secteur à risque bien défini ?

Auteur : groupe 4 ECOD

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La géolocalisation, que fait-on de vos données ?

Vous trouverez ci-dessous un compte-rendu de l'émission « Les Nouvelles Vagues » diffusée le mercredi 07 octobre sur France Culture, et intitulée « Géolocalisation, combien se vendent nos trajets? »

L'invité était Vincent Roca, chercheur à l'INRIA, Institut National de Recherche dédié aux sciences du numérique.

« Géolocalisation » est la contraction des mots localisation et géographique, au sens coordonnées géographiques, latitude et longitude. La géolocalisation est très intéressante car elle est porteuse de sens.

Un exemple de géolocalisation tout simple est notre carte d'abonnement aux transports en commun, qui fonctionne par puce. Cette technologie permet notamment de réguler le trafic à l'aide des données collectées (période de forte affluence, lignes les plus fréquentées …)

La géolocalisation est aussi utilisée via de nombreuses applications installées sur nos téléphones portables. Elle permet de récupérer un maximum d'informations sur notre comportement afin de définir notre « profil ».

Les acteurs qui composent notre écosystème des applications téléphoniques

Notre écosystème est composé d'un certain nombres d'acteurs, qui peuvent tous intervenir à leur niveau, dans la géolocalisation :

Éditeurs de système d'exploitation : Google (androïd), Apple, ... Constructeurs de téléphones Opérateurs téléphoniques Gestionnaires du marché d'applications Développeurs et éditeurs d'applications Les régies publicitaires qui sont des intermédiaires pour la publicité ciblée.

Les applications et services que nous pouvons télécharger sur nos téléphones sont très souvent gratuits. En contrepartie, les sociétés qui les développent se rémunèrent par le biais de la publicité ciblée.

Aujourd'hui Google et Apple représentent 90 % de l’écosystème téléphonique français.

Souvent même si l'utilisateur est réfractaire à donner sa géolocalisation via une application, il passe outre pour pouvoir utiliser des services gratuits.

Nous avons néanmoins la possibilité de contrôler la géolocalisation : Apple : via un panneau de contrôle qui permet de sélectionner pour chaque application ou globalement si on autorise la géolocalisation. Androïd : la permission d'être géolocalisé est demandée à l'utilisateur lorsqu'il installe une application. C'est néanmoins un système volontairement simpliste de permission car Google a besoin de récupérer des informations.

Cadre légal

Le cadre réglementaire d'utilisation de données de géolocalisation est la loi « Informatique & Libertés » pour les citoyens français et européens.

On définit par données personnelles, toutes les données pouvant être rattachées à l'individu de façon directe ou indirecte par le responsable des traitements statistiques ou par un tiers.

Exemple : Une adresse IP peut être collectée par le fournisseur d'accès mais aussi par google. Ici le fournisseur d'accès est considéré comme un tiers. Il a la possibilité de rapprocher l'adresse IP des coordonnées de l'internaute : nom, adresse, téléphone...De ce fait l'adresse IP doit être considérée comme une donnée personnelle.

Il existe un cadre légal en France quant à l'exploitation de données personnelles, et des principes doivent être respectés par le responsable des traitements. Cependant les problématiques vont souvent au delà de nos frontières et il n'est pas toujours très simple de faire appliquer la loi. Exemple : La société Facebook est une société américaine, soumise donc à la réglementation des Etats-Unis. Facebook possède un centre de traitement de ses données en Irlande (réglementation européenne). Le base de données Facebook est constituées notamment de données de citoyens français. Qui gère donc le droit applicable à la collecte de ces données de citoyens français ?

En France quand une société collecte des données personnelles, elle doit obligatoirement en faire une déclaration à la CNIL. Si elle obtient de la part de l'utilisateur un consentement libre (sans contrainte) et éclairé (il sait exactement dans quel but seront utilisées ses données), le collecteur de données peut faire plus que ce qui est mentionné dans la loi.

Une réglementation est mise en place à l'échelle européenne, mais il est difficile de vérifier ce qui se fait dans la pratique, et les données exfiltrées à l'étranger, notamment aux États-Unis, sont difficilement contrôlables. Cependant la législation européenne va évoluer puisqu'une prochaine réglementation prévoit une harmonisation entre les 28 pays membres de l'Europe. Elle sera applicable à toutes les sociétés qui ont des centres de traitement en Europe, telles que Facebook. Les sanctions quant à elles seront plus significatives.

La frontière entre données personnelles et données sensibles (santé, politique, religion, … ) dont la collecte est interdite, est devenue très floue (en particulier pour les assureurs).

Illustration d'utilisation de la géolocalisation

Vous utilisez votre carte bancaire pour acheter un titre de transport (métro par exemple). Mais cette carte bancaire vous permet aussi d'effectuer des achats. A partir de là, nous pouvons connaître vos déplacements et les endroits où vous faites vos courses. Si nous croisons ces données là avec celles de tous les autres utilisateurs de carte de paiement et de transports, nous pouvons en déduire qui vous rencontrez et à qui vous parlez.

L'exploitation des méta-données collectées, croisées avec vos données personnelles est donc une suite de faits qui raconte une histoire sur vous mais qui n'est pas forcément vraie !

Importance du croisement des données

Les données de géolocalisation sont très porteuses de sens : Elles permettent de connaître - mon lieu d'habitation - mon lieu de travail - mes  consommations, - mes loisirs - mes modes de transport

Toutes ces informations,croisées avec des données INSEE, indiquent votre niveau social.

Quelles alternatives aujourd'hui ?

Il est difficile d’échapper à la géolocalisation, en particulier sur mobile où les applications vous contraignent à accepter toutes leurs conditions. Le vide juridique se comblera tôt ou tard, entre-temps ne la laissez pas activée par défaut et ne l’utilisez que lorsque vous en avez besoin. De plus il existe aujourd'hui un système de données cartographiques internationales, libre : « Open Street Map », plus respectueux de la vie des utilisateurs que les autres systèmes. Les utilisateurs peuvent contribuer au projet en effectuant des corrections, ajouter des informations manquantes. L'utilisation de ce système est libre de droit.

Auteur : groupe 4 ECOD

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La géolocalisation dans l’entreprise, outil de travail ou flicage ?

La géolocalisation se « démocratise » dans les milieux professionnels

Les arguments d’optimisation du temps et des trajets sont certes indiscutables, mais les employés en ressentent ou en pressentent les dérives.

Pour les employeurs, ce n’est pas de la surveillance. Mais la sortie de route est possible.

Les pouvoirs publics en ont pris conscience, et ce que les progrès techniques permettent n’est pas forcément permis par la loi.  A tel point qu’utiliser la géolocalisation en plus d’être une menace pour l’employé, devient un risque pour l’entreprise.

Géolocalisation et législation

La réglementation impose :

- d'informer les employés

- déposer une déclaration à la CNIL

- donner la possibilité à l’employé de déconnecter la géolocalisation pendant les temps de repos. 

En début d'année, un employeur a licencié son employé car celui-ci avait roulé en excès de vitesse. Il a produit les relevés de géolocalisation pour justifier le licenciement devant le tribunal. Les magistrats ont annulé la procédure. Un employé licencié et un patron condamné, les conséquences des risques de la géolocalisation sont partagées. Les employés « tracés » sont habituellement des salariés qui ont une plage d’horaire de travail plutôt large, compensée par une certaine autonomie dans leur organisation. Sauf que cette autonomie est réduite à néant par le système de géolocalisation. Cette surveillance est ressentie comme un manque de confiance des supérieurs à l'égard du salarié. Qui dit manque de confiance, dit démotivation. Les employés risquent de moins s’impliquer dans leur tache, les relations entre employés et direction se dégrader. Le risque de perte d’efficacité de toute l’entreprise pourrait même aboutir à des conséquences plus sérieuses. Les téléphones à usage professionnels sont fournis et configurés par l’entreprise. Quand on sait qu'installer un logiciel espion sur le smartphone de son voisin est à la portée de tous, on imagine les tentations que peuvent avoir certains supérieurs à connaître les applications, fréquentations, les habitudes privées de leurs employés. Un véritable journal « people » à disposition, qui leur donne une sensation de pouvoir. Pour conclure, si vous êtes mis en cause dans votre travail pour des raison de géolocalisation, renseignez-vous sur le caractère légal de la mise en place de ce système. Si vous avez un smartphone d’entreprise, assurez vous qu’un logiciel espion n’y a pas été inséré. Bienvenue dans le nouveau monde du travail !

Auteur : groupe 4 ECOD

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La géolocalisation de votre conjoint, y avez-vous déjà pensé ? L'avez-vous fait ?

La géolocalisation pour s'assurer de la fidélité de son conjoint

L'infidélité concerne la moitié des hommes, contre un tiers des femmes. Partant de là, certains d'entre vous ont peut-être déjà vécu cette situation ou appréhendent de la vivre et ont déjà pensé à utiliser la géolocalisation pour connaître les déplacements de leur partenaire.

Rien de plus simple, puisque il existe aujourd'hui des applications disponibles sur le net gratuites, ou moyennant quelques euros, qui peuvent être installées sur un téléphone mobile afin d'en connaître les déplacements et donc ceux de son propriétaire. Le suivi peut se faire ensuite directement depuis son ordinateur à l'aide d'un compte créé sur internet. La seule difficulté est de réussir à se procurer pour quelques minutes le téléphone de son conjoint, sans que celui-ci s'en rende compte, afin d'y installer l'application.

En plus du service de géolocalisation, ce type d'outil propose d'autres services, tels que l'accès aux textos échangés, l'accès au répertoire téléphonique, l'historique des appels, l'accès aux photos prises par le téléphone et bien d'autres …

Maintenant une question se pose : êtes-vous sûr(e) qu'une telle application n'a pas été installée sur votre propre téléphone par votre partenaire ?

Nous verrons comment repérer ces outils et s'en débarrasser.

Auteur : groupe 4 ECOD