inanisnauseae - Tumblr blog

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The same way i don't understand how cis women can really feel their gender, like how you can see the woman gender and be "yes this is me" unless the entire world had told you that you are a woman and you had to endure it(i'm materialistically a cis woman). I'm also really puzzled how people can not be guilty after sex, specifically masturbation. What's funny is that my family isn't religious, i didn't grow up with a discourse saying that "masturbation is bad'. I'm baffled to know that some of you don't feel shame and don't want to disappear after masturbation. How ?

I know it's a trauma thing but i'm still falling on my ass every time someone says they don't feel the shameful dread of self pleasure

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— Franz Kafka, from Diaries, 1910-1923

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Wayne Tsay on Instagram

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What is the purpose of life if not to wear conflicting patterns and disappoint your mother

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J'ai lu dans un roman policier que c'était bien de prier à voie haute, même si on croit pas en Dieu, histoire de formaliser les choses.

Je vais pas vous cacher que je me sens un peu con à parler toute seule à personne. Ça ne peut pas être plus stupide que d'enchaîner les xanax, de se bourrer la gueule et de cloper en rafale.

Je me demande ce que racontent les gens quand ils prient ? Est ce qu'on doit forcément prier pour des grands trucs "salut jésus je voudrais le prix nobel de la paix, découvrir une nouvelle galaxie allez bisous"? Est ce qu'on a le droit de demander de gagner au loto, de remporter la tombola du 14 juillet, pour avoir le bain à remou des pieds, de pouvoir passer à "n'oubliez pas les paroles" ? Est ce que je peux demander à ce quelqu'un crève ? A avoir un bouclier de protection si quelqu'un souhaite ma mort ? Qui fait les règles ? Est ce que y'a des points ? Est ce que c'est comme la foire si j'ai 25 bon points de bonne action j'ai le droit de l'échanger contre une prière exaucée ?

Ça m'a l'air bien compliqué, un xanax c'est plus simple.

Allez Jesus, bisous

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J'ai la tête pleine de tout et de rien.

Je me demande ce que ça fait d'avoir une corde autour de son cou, c'est quoi comme sensation de savoir qu'on va mourir.

J'espère aller à la mer ou dans l'eau bientôt, j'ai besoin de m'immerger, de sentir l'eau fraîche s'enrouler entre mes jambes. Mettre la tête sous l'eau et ne plus respirer jusqu'à être prise d'une envie de vivre fulgurante, celle qui vous fait jaillir de l'eau et haper l'air de façon bruyante.

Ma tête est pleine et je rêve de distiller mon trop plein.

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Lettre à mon psy

Tw viol

Mes TOC c'est beaucoup en rapport avec l'image de soi, de moi. Ça revient toujours à la genèse, au rapport au corps. C'est pas juste une histoire d'avoir peur d'être contaminé c'est avant tout avoir peur de contaminer les gens que j'aime, c'est se sentir sale et refléter ça sur le monde entier. C'est avoir horreur de son corps et l'enlaidir peu à peu, c'est être étonné quand on se masse le ventre "tiens c'est ça mon corps ?" c'est avoir envie de vomir à son propre contact. Ne pas intégrer que ce corps c'est le mien, l'imaginer différemment dans sa tête mais surtout ne pas l'imaginer du tout.

Je suis toujours étonnée quand je lis des discours qui parle de prendre soin de soi, que faire du sport, bien manger ce n'est pas qu'une question de perdre du poids mais c'est investir en soi sur le long terme, c'est prendre soin pour avoir un corps fonctionnel plus tard, c'est avoir confiance dans le fait qu'on en vaut la peine.

Selon moi je n'en vaux pas la peine, pourquoi me priver de frites et arrêter de m'avachir quand je ne m'imagine pas dépasser 30 ans ?

Je me suis toujours sentie sale, je ne connais pas l'état propre malgré mes 100 lavages de mains et mes multiples douches et désinfections. Mes premiers heureux souvenirs d'enfance sont coincés entre les abus et la culpabilité du "secret".

Pourquoi prendre soin du corps qui m'a mis dans tant de situation de proie ? Pourquoi aimer ce corps abusé et violé ?

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Pensées en vrac :

Je veux déménager. Le hic c'est que mon partenaire a acheté LA maison dans laquelle on vit. Je veux un jardin, je veux que mes chats puissent sortir et profiter, gambader. Je veux de la lumière et pas une maison de village étriquée et sombre.

J'ai loupée ma vie, je suis passé à coté. J'ai pas eu de vrai enfance insouciante à cause des abus, une pre adolescence à angoisser qu'on découvre que j'étais pas "vierge" (big up les le témoignage dans sat club d'une meuf qui avait été emmené de force chez le gynécologue pour vérifier si elle était vierge), une adolescence très étriquée à angoisser qu'on découvre que j'étais lesbienne, et une vie d'adulte à essayer de survivre en ayant été violée. Je vois absolument comment faire a 28 ans pour arrêter de passer à côté de ma vie. Ni si au final elle vaut la peine d'être vécue .

Est ce que je serais avec une fille si je savais que mes parents l'acceptaient ? Est ce qu'on peut être lesbienne en province ? Dans le trouduc de la campagne ?

Est ce que je suis trop bizarre pour avoir des amies ? Est ce que j'ai pas d'amies parce que je pense être trop bizarre ? Est ce qu'on peut se faire des amies passer 28 ans? Comment on se fait des amies?

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How I feel

I hate you, all of you. You laugh ,you live, you walk, you have friends, you go on trip.

And you forgot me.

I hate you so much. You were people I care about. I wasn't a perfect friends but god knows I tried.

And you forgot me.

I hate you. I've been there when all of you didn't feel good even if I live far from you,even if I'm awkward. I tried.

And you forgot me.

When it's my turn, you're not here because I'm weird because I feel too much.

Because it's heavy, because it's not gonna pass, because you don't want to do the emotional work.

Because in fact we never were friends like this.

I hate you so much

And I hate me more to believe I can have friends

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Toc #jesaispluscombien

J'ai l'impression de devenir dingue.

Y'a quelques années y'a une nana de twitter qui s'est suicidé je la connaissais un peu,on avait eu une correspondance par mail fut une époque puis une histoire nous avait séparé . Quand elle est morte je me suis demandé comment les gens autour d'elle n'avaient pas pu se rendre compte ou n'avait pas pu l'aider pas dans un sens accusateur plus dans le sens qu'est ce qui fait qu'on en arrive a ses situations pour des gens qui avaient l'air entourés. Mais je suppose que si demain je mettais fin a mes jours les gens se diraient pareil.

J'en suis arrivée à la conclusion que personne ne peut rien faire pour vous dans ces moments là. Enfin pour moi en tout cas. Déjà je mens, je veux alerter personne ,je coupe les communication,je n'appelle plus mes parents pour éviter de mentir en disant "vous inquiétez pas ça va aller" ,je ne réponds plus au conversation de groupe,j'évite les "ça va comment toi", j'évite les gens dans la vraie vie ,je prétexte des migraines (bon au final j'en ai vraiment des fois), la gastro , maux de ventres et je suis plus qu'heureuse quand les crises d'endo me permettent de rester chez moi même si la douleur me donne envie de crever parce que comme ça j'ai pas à mentir.

Je pense pas qu'a part un bon psy (j'espère c'est le cas du mien plize) et du temps je puisse être aider. La meuf que je suis actuellement arrive même a regarder dubitativement la meuf d'il y a quelque mois qui disait "j'ai déjà vécu ça,ça va s'arranger ". Je perds patience, ma vie qui me filait déjà entre les doigts est carrément en train de me passer à côté. Pendant que d'autres construisent leur carrière ,leur famille ,leurs aventures moi je suis sur pause et tout s'écroule .

En tout cas malgré tout j'apprécie quand vous prenez des nouvelles, ou quand vous pensez à moi. C'est encore pire quand j'ai l'impression que vous m'oubliez parce que vous savez probablement pas comment faire ou réagir . Je le comprend, je l'ai sûrement fait juste c'est pas facile à encaisser.

J'ai pas de super conclusion, j'espère juste qu'un jour ce que j'écris là servira a quelqu'un d'autre dans la même situation et que la suite de mes écrits ceux où je dirais "accroche toi ça va aller mieux" lui servira .

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Jeudi, j'ai eu envie de mourir pour de vrai. J'ai fait un test à la con et sur le test y'avait un lien vers un autre test pour déterminer la date de ta mort. Bref mon cerveau a mixé ce test avec la 1ere question qui me demandait ma tranche d'âge en "à quel âge pensez vous que vous aller mourir" et d'instinct je me suis dit entre 30 et 40 ans, probablement un suicide. C'était comme une révélation. Alors je me suis demandé pourquoi attendre. Je sais que ça fera du mal à mes parents, mon frère, mon mec mais est ce que la somme de ce que je leur inflige chaque jour ne vaut pas plus que la douleur que je leur infligerais en une fois ? J'aimerais que ça se passe sereinement, que tout le monde le sache à l'avance, mourir dans une de ces capsules. Je comprenais pas les gens qui voulait un suicide programmée, ça m'énervait même, je voudrais redevenir cette fille.

Puis je le suis rappelé que j'avais des places pour la japan expo et que ce serait bête de louper ça.

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Journal du Pardon #4

Je ne pardonnerais pas

Mais même avec le profond désarroi dans lequel je suis actuellement j'arrive à en vouloir à personne.

Mais par principe je ne pardonnerais à personne.

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Trop Okay Cool #2

J'ai du me laver les mains parce que la peinture rouge de mes nouvelles aquarelles ressemble à du sang. Such a surprise

Sinon dans ma tête je me sens un peu comme ça

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Trop Okay Cool #1

Des nouvelles du pays des TOC et de la folie (non se laver les mains parce que c'est sûrement une tâche de chocolat mais qui c'est peut être c'est du sang ce n'est pas normal)

Plusieurs choses

1) je n'aime plus le sexe. Je continue d'en faire mais c'est pas une activité que je trouve "enjoyable". En fait j'ai pas envie d'etre pénétré, nulle part, même une langue dans ma bouche ça me dégoute. J'en ai marre d'être un corps qui reçoit, j'en ai marre qu'on m'enfonce (ou que je me mette) des doigts, des godes, des bites, des langues. J'en ai marre d'être un réceptacle et j'ai l'impression que mon corps me hurle de le laisser récupérer et de ne plus lui infliger tout ça. Je trouve ça boring, c'est toujours la même chose et on a beau lire toutes les pages de Elle ou Glamour ce sera toujours la même répétition, vous avez vous mettre des piments dans la chatte vous reviendrez à ce qui est confortable. J'ai pas toujours pensé comme ça et je penserais probablement pas toujours de cette façon.

2) j'ai du mal à finir les choses c'est d'ailleurs pourquoi je vais arrêter ce texte là maintenant de manière abrupte.

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J'arrive de nouveau ? Encore plus ? Au moment où je n'en peux plus. Et que je remercie chaque jour d'habiter avec une personne formidable et d'avoir des chats qui comptent sur moi sinon je me serais foutu en l'air depuis un petit bout de temps.

Plus le temps passe plus je me sens déconnecté de tout, de vous, de la réalité. Je suis aigrie, la douleur me rend aigrie. Je suis aigrie parce que vous n'êtes pas là pour moi et en même temps comment vous en vouloir après 5 ans de la même rengaine "bouhou je hais mon boulot/prof" "bouhou je suis malheureuse" "bouhou j'ai mal" Comment vous en vouloir alors même que je vous repousse ? Je n'ai plus d'énergie, je n'ai pas cette énergie qui me faisait m'inscrire au foot l'année, déménager en mettant fin à une relation abusive de 5 ans, et rencontrer la personne la plus formidable de ma terre. Je n'ai même pas l'énergie pour faire la vaisselle. Aujourd'hui ma cheville est en vrac, j'ai dit adieu au foot, et la position debout m'est difficile tout ça dans la plus grande indifférence. Je voudrais inventer, j'aimerais que tout ça soit dans ma tête. Chaque jour je me demande si je ne suis pas folle, la plupart du temps j'arrive à travailler. Le sacro-saint travail. Tant que j'arrive à travailler je suis utile à la société alors les médecins n'ont pas de raison de s'inquiéter. Quand je n'y arrive plus je suis suspecté de feignantise aiguë. Chaque soir je me demande si je dois aller aux urgences, pour leur dire quoi ? "J'ai vraiment très très mal"? Pour répondre à leur échelle à la con ? "sur une échelle de 1 à 10 comment avez vous mal ?" chaque matin, chaque midi, chaque soir, chaque minute je me demande comment j'ai mal, sur une échelle de 1 à 10. Je ne comprend pas, je ne comprend pas comment quantifier cette douleur. Mon 1 n'est pas votre 1, je n'ai pas vécu de jour sans douleur depuis une éternité. Mon 1 c'est la douleur supportable celle avec laquelle je vais bosser, celle qui me fatigue, celle qui glisse en 3/4 au bout d'une semaine, même douleur mais fatigue plus prononcée, qui fait que tu encaisses moins bien.

Choisir entre la vaisselle et ta douche, choisir entre être bien au boulot et la soirée entre pote, entre la balade en amoureux et étendre la lessive.

Je suis fatiguée de cette vie, je suis fatiguée.

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J'ai quitté Twitter, mon challenge c'est un mois j'en suis à 18 jours. Évidemment des gens me manquent et dire toutes les bêtises qui me passent par la tête aussi. Twitter c'est un peu mon seul lien avec des gens, comme pour beaucoup de ceux qui sont inscrits là bas. Pendant certaines périodes ça à même été mon seul lien avec le monde extérieur. Dernièrement je m'y sentais mal à l'aise, l'impression de tourner en rond, d'avoir que des "amitiés fausses", des relations qui ne menaient nulle part. Et j'en voulais aux gens, oh comme j'en voulais aux gens. Une histoire qui se répète, moi qui ne suis pas populaire autour de cool Kids que j'aime bien et qui ne font pas attention à moi. Il y a quelques mois quelqu'un à répondu à un Tweet m'accusant d'être méchante( sans me mentionner) "hysope, say no more" en mode Hysope (moi donc) tellement prévisible dans sa méchanceté. Sur le moment j'ai fait comme si je le prenais à la rigolade mais depuis ça me hante. Le soucis c'est que je ne suis pas quelqu'un de méchant, oui je m'énerve pour les choses qui me tiennent à cœur, oui je dis ce que je pense, ce que je considère être ma vérité et je reste fidèle à ça et oui j'ai été méchante, jugeante et j'ai eu tort plein de fois dans ma vie, mais je ne suis pas quelqu'un de méchante . Jamais je ne suis méchante par plaisir de l'être, jamais je ne souhaite faire du mal aux gens, je râle, je pique, je secoue. Ma seule exception : abuseurs, agresseurs et violeurs. Je me suis donc rendue compte que les gens avaient une mauvaise opinion de moi et j'ai commencé à voir ça partout, dans telle personne qui ne répond pas à mon dm, dans telle connaissance qui m'unfollow, dans telle mention, dans tel absence de réponse et j'ai commencé à devenir aigrie. Mon absence de relation je l'ai crée moi même, j'ai commencé à me méfier de tout le monde, et à être remplie de rancœur. Je me suis éloignée et j'en voulais aux gens de ne plus être là. La vérité c'est que je me fiche bien de ce que les gens peuvent penser de moi en général, je me fiche pas mal des qualificatifs que dont on m'affuble mais je déteste qu'on juge ce que mon cœur est et qu'on ai pu me qualifier par ma supposée méchanceté m'a complètement retourné. Le but de ce texte n'est pas de dire "regardez moi je ne suis pas méchante " c'est de mettre des mots sur ce que j'ai pu découvrir sur moi. Je ne peux pas évoluer dans le positif dans un espace où les gens se jugent en permanence et où je me sens jugée. Ma vie entière est un énorme jugement sur moi même y'a plus de place pour d'autres jurés. Je remercie la vie d'être capable aujourd'hui de pouvoir faire cette pause parce que j'ai autre chose à côté et que je suis plus connecté au monde extérieur qu'avant. J'imagine même pas si j'avais du faire ça il y a un an. I would have die. J'espère avoir la force de laisser couler et d'avoir plus confiance en ce que je suis pour ne pas faire attention à ce qu'on peut penser de moi. J'ai extrêmement souffert de cette impression de "plus personne ne m'aime". C'était important pour moi de mettre des mots sur tout ça et de savoir sur quoi avancer. Bisous

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Journal de Trauma #4

Ça me turlupine beaucoup cette histoire de pardon et d'envoyer du love aux gens qui t'ont fait du mal. J'en comprend l'idée et la possible portée mais c'est tellement à l'opposé de mes convictions, de mon fonctionnement. J'ai toujours eu un problème avec le pardon, je n'ai jamais réellement pardonné qui que ce soit et même pas moi même. “ni oubli ni pardon”, oh bien sûr je passais à autre chose tout en remettant sans cesse l'objet du délit sur la table, ma haine bien tapie dans le creux de mon estomac. J'ai aucune idée de comment on pardonne. Tu sais, c'est de ces trucs où tu vois “les x étapes pour pardonner” sans qu'il y ai un quelconque réel mode d'emploi, comme quand tu cherches à arrêter d'aimer ou arrêter d'être jalouse. Tout le monde en parle mais personne ne sait l'expliquer.

Pour le moment ça me dérange pas trop de pas envoyer du love à des gens dont je me fous et qui sont pas dans ma vie, là où çà m'emmerde un peu plus c'est quand ce sont des gens à qui je tiens. Exemple : je pensais avoir pardonner à ma mère, je me suis dis que donc j'allais l'intégrer à mes “mantras” d'amour, pour lui envoyer du love. Et GUESS What ? Cette simple idée me révulse. Comment je peux d'un côté apprécier passer du temps avec ma mère, être persuadé de lui avoir pardonné et de l'autre avoir autant de réticence à lui donner mon amour ? Pas étonnant que je sois frustré et que la moindre de ses actions m'irrite. Pas étonnant que j'attende des choses d'elle qui ne viendront et auxquelles ne laissent de toute façon pas la porte ouverte ? Y'a de grande chance pour qu'elle ressente ça et ne fasse plus de pas vers moi. Au moins si ma porte était ouverte et qu'elle ne faisait rien je pourrais faire mon deuil de cette relation mais non je préfère l'entre deux çà m'évite de me confronter à une issue. Toujours le cul entre deux chaises. A marquer sur mon épitaphe quand la haine aura fini par me consumer