isolasheart
isolasheart
Isola's Heart
7 posts
Petite soeur imaginaire de Wilde, revenue des tréfonds pour partager la vie et les pensées ingénieuses d'Oscar.
Don't wanna be here? Send us removal request.
isolasheart · 4 years ago
Photo
Tumblr media
ROYAL OAK HOTEL, BETWS-Y-COED
Un an après le mariage de sa mère, Constance se retrouva en tournée au Pays de Galles avec son grand-père, sa tante Emily et Otho, séjournant quelques jours au Royal Oak Hotel, Betws-y-Coed.
Le petit village de Betws était devenu une colonie d'artistes au milieu du XIXe siècle, avec plusieurs éminents peintres résidant dans la région et d'autres affluant pour capturer la vallée de Conwy environnante. Et quand ce n'étaient pas des peintres, c'étaient des passionnés d'art et des intellectuels qui y passaient aussi des vacances, espérant s'imprégner de l'esprit pictural qui y régnait et peut-être aussi s’offrir une œuvre d'art. Constance aurait feuilleté le livre d'or du Royal Oak et vu les croquis laissés là par les nombreux artistes qui y avaient séjourné avant elle, dont certains étaient les principaux peintres paysagistes du pays.
Constance fut enthousiasmée par les artistes qu'elle y rencontra. Elle fut ravie de rencontrer le célèbre peintre paysagiste Frederick William Hulme, qui était un visiteur régulier du village, et pendant qu'elle était à Betws, son grand-père acheta une peinture de Pont-y-Pair à un autre peintre, nommé Stevens.
Constance s'est épanouie dans cette atmosphère artistique, et bien que son séjour au Royal Oak ait été relativement court, ses nouvelles compétences de conversation réussirent à impressionner un autre touriste culturel, Henry Fedden, un marchand de sucre de Bristol. Lui et Constance s'entendaient à merveille.
"Je fus tellement désolé de quitter Betws, je commençais tout juste à me sentir chez moi là-bas"
CONSTANCE, THE TRAGIC AND SCANDALOUS LIFE OF MRS. OSCAR WILDE (FRANNY MOYLE)
0 notes
isolasheart · 4 years ago
Photo
Tumblr media
GROSVENOR GALLERY, 35 BURY ST, ST. JAMES’S
Constance fait beaucoup mention de la controversée Grosvenor Gallery dans ses lettres du début des années 1880. C'était un temple de l'art contemporain à New Bond Street, conçu comme un palais italien. Les amateurs d'art passaient par son imposante entrée palladienne récupérée de l'église démolie de Santa Lucia à Venise, avant d'entrer dans une immense salle ornée d'un plafond à corniches bleu sur lequel James McNeill Whistler avait peint les phases de la lune et un saupoudrage d'étoiles d'or. Sous une plinthe de velours verte, des murs de soie rouge ponctués de pilastres ioniques récupérés de l'ancien opéra italien de Paris présentaient le meilleur art d'avant-garde que l'on puisse acheter.
Mais le Grosvenor était plus qu'une simple galerie : c'était aussi le lien social du groupe alternatif, esthétique et libéral, aussi particulièrement favorable aux femmes. Depuis sa création, il s'était acquis la réputation de soutenir, parmi les artistes, les artistes « féministes », dont beaucoup deviendraient des amis fidèles de Constance et d'Oscar. Des peintres tels qu'Emily Ford, Louise Jopling, Evelyn de Morgan et Henrietta Rae y exposaient leurs œuvres. Elles, comme Constance, appréciaient le restaurant de la galerie, qui accueillait spécifiquement les dames déjeunant sans chaperon, ainsi que sa bibliothèque et son club, qui avait un salon réservé aux dames.
Oscar, qui même à l'université d'Oxford côtoyait le groupe de poètes et de peintres Esthétique, avait bien sûr tenu à être invité à l'inauguration du Grosvenor en 1877, et des années plus tard, il en résumait le prestige durable dans son roman The Picture of Dorian Gray : "Vous devez certainement l'envoyer [la peinture de Gray] l'année prochaine au Grosvenor", Lord Henry Wooton exhorte le peintre Basil Hallward.
« L'Académie est trop grande et trop vulgaire. Chaque fois que j'y suis allé, il y avait soit tellement de gens que je n'ai pas pu voir les œuvres, ce qui était affreux, soit tellement d’œuvres que je n'ai pas pu voir les gens, ce qui était pire. Le Grosvenor est vraiment le seul endroit. »
Constance se précipitait au Grosvenor à l'occasion pour rencontrer des amis, bien qu'elle semble l’avoir fait plutôt secrètement. Dans une lettre à Otho, elle lui confia que "comme grand-père était en ville et notre tante à Windsor, je me suis précipité là-bas en fiacre et... j'y ai déjeuné"
CONSTANCE, THE TRAGIC AND SCANDALOUS LIFE OF MRS. OSCAR WILDE (FRANNY MOYLE)
0 notes
isolasheart · 4 years ago
Photo
Tumblr media
100 LANCASTER GATE, HYDE PARK
Dans la seconde moitié du XIXe siècle, Hyde Park était devenu un terrain d’agrément entouré des palais des riches. C'est dans l'un de ces palais qu'à l'âge de vingt ans, Constance Lloyd résida. La maison de grand-père Horatio à Lancaster Gate était énorme et imposante. Construite dans le cadre d'un projet ambitieux au milieu des années 1850 autour de la nouvelle église Christ Church, elle faisait partie d'une rangée d'immenses maisons, en retrait de la route et surplombant Hyde Park, qui avait été décrit comme le plus beau jardin du tout Londres. John Horatio était un homme qui avait marqué son temps, et son adresse en était l’un des témoignages.
Parfois Constance apercevait une manifestation, puisque le parc restait l'arène de la manifestation politique depuis les grandes manifestations chartistes et réformistes des années 1840, 1850 et 1860. Et puis, en juillet, elle voyait les jardiniers municipaux disposer des milliers de palmiers en pot et de plantes semi-tropicales qui transformeraient le parc fort de sa « saison estivale » de dix semaines en quelque chose de tout à fait exotique.
Aussi prestigieuse et bien située qu’elle fut, Constance n'apprécia pas beaucoup la maison du 100 Lancaster Gate. Surdimensionné pour son occupation de trois personnes, c'était un endroit austère et peu accueillant pour une jeune femme moderne et, comme elle le dit plus tard à Oscar, elle ne s'y senti jamais plus qu'une invitée. Bien que Constance adorait son grand-père, sa tante Emily était démodée et désapprouvait nombre de ses ambitions.
CONSTANCE, THE TRAGIC AND SCANDALOUS LIFE OF MRS. OSCAR WILDE (FRANNY MOYLE)
0 notes
isolasheart · 4 years ago
Photo
Tumblr media
LIBERTY’S OF LONDON (REGENT ST., CARNABY, LONDON)
Le magasin phare de l'esthétisme était le Liberty's of London. En 1875, Arthur Liberty avait ouvert son magasin à Regent Street et offrait aux avant-gardistes de Londres la possibilité d'acheter les meilleurs meubles artisanaux et les meilleurs produits orientaux. Il se spécialisa également dans les « tissus d'art » confectionnés dans ces robes amples et à manches bouffantes, alors beaucoup portées dans le lieu emblématique du style bohème : la Grosvenor Gallery. Constance était une habituée du Liberty's. Ses lettres notent les livraisons du magasin et aussi le fait qu'elle y a acheté une cravate marron à Otho, un geste qui ne fut peut-être pas apprécié, étant donné ses réserves apparentes sur les vêtements esthétiques.
CONSTANCE, THE TRAGIC AND SCANDALOUS LIFE OF MRS. OSCAR WILDE (FRANNY MOYLE)  
0 notes
isolasheart · 4 years ago
Photo
Tumblr media
DANTE GABRIEL ROSSETTI - JANE MORRIS (THE BLUE SILK DRESS), 1868
Une histoire raconte qu'elle [Constance] assista un jour à une exposition de peintures préraphaélites de Dante Gabriel Rossetti à la Royal Academy et qu'elle entendit l'homme devant elle préciser que les lèvres boudeuses telles que Rossetti les peignait ne se rencontraient jamais dans la vraie vie. Mais lorsque l'homme se retourna et aperçut Constance, il fut « emporté » et « réduit au silence » par le vrai Rossetti qu'il vit soudainement devant lui.
[…]
La référence à Otho [son frère] gloussant devant sa « robe laide » fait allusion à son enthousiasme naissant pour la robe préraphaélite ou « esthétique ». En effet, la description que Constance donne des tenues qu'elle et Tizey [sa belle-sœur] pourraient porter pour le mariage d'Ada, en bleu paon avec des manches bouffantes, sonne particulièrement « préraphaélite ». Ce développement dans le goût et l'apparence de Constance n'a jamais été entièrement approuvé par Otho, qui, comme d'autres membres de sa famille, ne s'est jamais beaucoup identifié à l'esthétisme ni n'en a vu l'attrait.
En tant que préraphaélite déclarée - un terme qui dans les années 1880 était interchangeable avec « esthète » - Constance portait une torche dont la flamme avait été allumée dans les années 1850 par un groupe de femmes associées aux peintres fondateurs de la Confrérie préraphaélite. Des femmes comme Elizabeth Siddal et Jane Morris, respectivement épouses du peintre Dante Gabriel Rossetti et du poète, designer et socialiste William Morris, avaient posé pour les artistes préraphaélites, vêtues de robes amples et fluides.
Mais ce n'est pas seulement leur représentation sur toile qui a déclenché une nouvelle mode parmi une élite intellectuelle. Hors toile, ces femmes ont également établi de nouvelles libertés pour les femmes qui, une vingtaine d'années plus tard, étaient encore à peine adoptées par une population féminine plus large. Elles lancèrent de nouveaux types de robes, avec des manches cousues à l'épaule plutôt qu'en dessous, ou bouffantes et amples. Alors que le reste de la population féminine victorienne devait se déplacer avec les bras épinglés au corps dans des gaines serrées et immobiles, les femmes préraphaélites pouvaient bouger leurs bras librement, pour peindre ou poser ou simplement être à l'aise. Les filles préraphaélites ont également supprimé les énormes jupes à crinoline en forme de cloche, maintenues par des cerceaux et des cages attachées aux dessous féminin. Elles renoncèrent aux corsets serrés en sablier qui pinçaient la taille, ainsi qu'aux bonnets et aux coiffures complexes qui s’ajoutaient couche après couche à la toilette quotidienne d'une femme.
Leur robe 'Esthétique', comme on l'appelait, était plus qu'une simple mode ; c'était une déclaration. Dans la recherche du confort pour les femmes, il évoquait aussi un désir de libération qui allait au-delà de l'aisance physique. C'était aussi une déclaration sur l'expression créative des femmes, qui en soi était alignée sur des questions féministes plus larges. La fraternité préraphaélite d'origine vivait de manière non conventionnelle avec des artistes, travaillait sur ses propres projets artistiques et devint célèbre dans le processus. Les femmes qui portaient des vêtements esthétiques dans leur sillage avaient tendance à croire que les femmes devraient avoir le droit à une carrière et finalement être émancipées avec le droit de vote.
CONSTANCE, THE TRAGIC AND SCANDALOUS LIFE OF MRS. OSCAR WILDE (FRANNY MOYLE) 
0 notes
isolasheart · 4 years ago
Photo
Tumblr media
CONSTANCE WILDE, “THE YOUNG WOMAN”, 1895
Ceux qui s’abonnèrent à The Young Woman en janvier 1895 purent voir la dernière photographie de Constance accompagnant un article qu'elle avait écrit sur « Comment décorer une maison ». Contrairement à Oscar, qui posait si facilement, sa femme s'était assise plutôt maladroitement devant la caméra, semblant en fait plutôt maussade et peu sûre d'elle. C'était son expression par défaut devant un objectif, un regard involontaire dont elle n'était que trop consciente, la faisait apparaître « solennellement tragique ». Elle fut toujours surprise par de telles photographies. « Est-ce que je ressemble vraiment à ça ? » demanderait-elle.
Sa chaleur naturelle et son charme n���apparaissent pas, néanmoins la photographie de The Young Woman révèle le visage rond et doux et les cheveux bruns de Constance, portés à la dernière mode parisienne : frisés et tirés sur les tempes et les oreilles, puis bouclés en chignon. Ses yeux semblent sombres sur la photo, démentant leur teinte bleu-vert réelle. Constance est photographiée portant l'une de ses tenues « Esthétique » préférées : une robe à manches longues avec un corsage plissé ample resserré à la taille. La soie qu'elle porte peut être rouge foncé ou verte, imprimée d'un motif de grenade moderne et audacieux. Autour de son cou, elle porte deux brins de « perles d'art » qui brillent comme des bonbons brillants. Nous n’avons aucun moyen de savoir qu’elle mesurait cinq pieds huit pouces (1m72).
CONSTANCE, THE TRAGIC AND SCANDALOUS LIFE OF MRS. OSCAR WILDE (FRANNY MOYLE)
0 notes
isolasheart · 4 years ago
Photo
Tumblr media
16, TITE STREET
« Chère Constance… Je te verrai à neuf heures. S’il-te-plait, sois présente – c’est important. Pour toujours le tien, Oscar ». Ainsi fut, d’une main pressée, bâclé le mot qu’Oscar Wilde, à cet instant apparemment l’homme le plus prospère de Londres, envoya à son épouse. C’était l’après-midi du 28 février 1895, et le dramaturge de quarante ans, esprit vif et bon viveur, écrivait depuis les pièces qu’il louait temporairement, dans les appartements opulents de l’Avondale Hotel au 68 Piccadilly, juste à côté de Dover Street. Il était dans un état de grande anxiété.
Le mot quitta l’Hôtel pour l’agitation hivernale de l’une des rues les plus fréquentées de Londres, où s’affairaient les chevaux et les voitures. Il se faufila parmi les messiers aux chapeaux melons et hauts de forme, et passa devant les publicitaires dont les planches en sandwich, enfilées sur les épaules, faisaient la promotion de tout, du plaisir de l’exposition actuelle « Orient à Londres » à l’Olympia, au magasin international de fourrure de Regent Street, où « un très bon et utile pardessus doublé de fourrure, garni d’un col et de poignets en fourrure » était disponible pour 10 livres.
Lorsque le mot eut laissé derrière lui les splendides pierres du centre de Londres, elle se retrouva dans les environs plus modestes mais sans aucun doute plus modernes du voisinage de Chelsea. Ici, il se rapprocha de sa destination de Tite Street, où une rangée de maisons mitoyennes en briques rouges surplombaient les jardins du Victoria Hospital for Children d’un côté, et tournaient le dos aux bidonvilles si mal nommés Paradise Walk de l’autre. Au numéro 16, ce fut sûrement Arthur, le jeune majordome des Wilde, qui attendit que le garçon postier frappa deux coups et s’assura que cette dernière missive soit placée entre les mains de sa maîtresse, Mme Wilde.
Les maisons de Tite Street étaient souvent belles, mais elles étaient généralement loin d’être grandioses, occupant un lieu qui, quelques décennies plus tôt, aurait été le repaire de prostituées et du déferlement qui se déversait depuis les célèbres jardins d’agréments, aujourd’hui détruits, de Cremorne. Le numéro 16 était la demeure d’Oscar Wilde depuis un peu plus d’une décennie. Mais bien que sa garde-robe, ses habitudes culinaires et son style de vie en général suggéraient une abondance de fonds, Oscar n’était même pas le propriétaire de cette demeure relativement modeste ; il en détenait seulement un bail. Oscar et sa femme, Constance, avaient obtenu le bail de la demeure de cinq étages en 1884, lorsqu’elle fut présentée comme une simple construction neuve et conventionnelle, typique du développement plus large de Chelsea dans le dernier quart du XIXe siècle.
L’arrondissement autrefois insalubre mais en plein développement avait acquis des références bohèmes au cours des années 1860 et 1870. Au début des années 1880, les jeunes mariés Wilde suivaient les traces de plusieurs aspirants maîtres de maison artistique, tels que le peintre James McNeill Whistler et le portraitiste Frank Miles, qui voulaient sécuriser leur propre chemin de bohème.
Les Wilde avaient suivi le protocole artistique et, comme leurs amis Whistler et Miles avant eux, avaient engagé l’architecte avant-gardiste à la mode Edward Godwin pour transformer leur maison conventionnelle en briques rouges en quelque chose de plus charmant, surprenant et esthétiquement à-la-minute-près. C’est ainsi que le numéro 16 de Tite Street, avec ses grilles en fer noir et sa porte de commerçant menant au sous-sol, domaine d’Arthur et du cuisinier, fut réaménagé. Ses pièces soigneusement conçues contrastaient avec le style sombre et encombré qui en était venu à définir le goût victorien. L’intérieur de Tite Street fut incroyablement épuré. Les murs furent peints en blanc et cirés, le revêtement de sol resta pâle et uni ; les portes de séparation intérieure furent remplacées par des rideaux, et les meubles minces et clairsemés contribuèrent à une sensation d’espace et de calme. Tout cela donna une plus grande importance à l’art exposé et aux touches décoratives inhabituelles que Godwin et ses clients avaient commandées. Dans le salon, par exemple, des estampes et des dessins s'exhibaient en frise, mis en relief sur une large bande d'or en fond. Et dans cette même pièce, des plumes de paon avaient été enfoncées dans le plâtre du plafond.
Mais malgré de telles fioritures, le numéro 16 de Tite Street était une maison qui ne suggérait pas des richesses mais des aspirations. C’était une maison qui plaçait ceux qui l’habitaient dans le groupe de personnes à l’esprit libéral et avant-gardiste, qui trouvaient un frisson de plaisir dans de nouveaux territoires, dangereusement proches des vieux bidonvilles de Londres, et qui, plutôt que d’afficher des richesses en accumulant quantités d’art et d’objets, montraient leur appréciation artistiques grâce aux quelques belles choses qu’ils possédaient. Les Wilde furent considérés comme des pionniers, avec plus de goût et d’intelligence que d’argent. Leurs couleurs furent épinglées au mat d’un mouvement appelé « Esthétisme » par les chroniqueurs de l’époque.
Peut-être à cause de leurs moyens loin d’êtres infinis, quelques concessions à l’art furent accordées à l’extérieur de la maison, qui, comme celles de l’autre côté, arborait des baies vitrées standards et un porche carrelé qui abritait les marches peu profondes menant à la porte d’entrée. Seule la décision audacieuse de peindre cette entrée principale en blanc équivalait à une déclaration.
Maintenant, le mot d’Oscar, entré par cette porte blanche non conventionnelle, se retrouva à l’intérieur d’une maison qui avait peu changée au cours d’une décennie. La naissance d’enfants avait, bien sûr, apporté avec elle le bouleversement qui l’accompagnait, et les signes révélateurs de son occupation partagée avec deux jeunes garçons pouvaient être discernés. Aux côtés des tirages d’artistes contemporains tels que Whistler, Edward Burne-Jones et Walter Crane, il y avait des portraits-photos des garçons, Cyril et Vyvyan, et un pastel de Cyril par l’amie et voisine des Wilde, l’artiste Laura Hope.
CONSTANCE, THE TRAGIC AND SCANDALOUS LIFE OF MRS. OSCAR WILDE (FRANNY MOYLE)
1 note · View note