jemesouviensplus
jemesouviensplus
Je me souviens plus
13 posts
Don't wanna be here? Send us removal request.
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Le chat me veut du mal
Je suis allée à Miami pour des vacances, toute seule. J’ai pris l’avion mais je me souviens pas du voyage. Une fois là-bas, je ne savais pas que j’étais en vacances alors je suis restée enfermée dans mon appartement pendant ces quelques jours. Puis j’ai dû rentrer, et je me suis dit que peut-être, j’aurais dû sortir de l’appartement pour profiter des vacances. J’arrive à l’aéroport. Je suis en short et pieds-nus. Je vois un type qui attend devant le panneau d’affichage et qui me voit aussi. Je vais à l’accueil demander des renseignement en disant que je ne sais pas comment ça fonctionne car je n’ai jamais pris l’avion. La femme à l’accueil est très gentille. Comme je suis dans un pays étranger, et que c’est moi l’étrangère, tout le monde parle français et je parle avec un accent. Le type que j’ai vu arrive alors. On parle un bon moment puis on finit par s’embrasser. Il est blond et gentil. Il m’amène dans une boutique de l’aéroport où il n’y a que de beaux objets. On ne se déplace plus en marchant mais je ne saurais pas décrire comment. Les objets sont très chers. Je ne me souviens pas vraiment du départ ni des adieux à mon nouveau copain. Je n’ai aucun souvenir du trajet parce qu’il n’a pas eu lieu. Plus tard, je déménage de mon appartement. P. et J. sont venus m’aider avec la voiture. La voiture est garée loin alors on doit faire plein d’allers-retours pour amener les affaires. Puis P. et J. ont disparu et ma mère est apparue. À un moment je passe devant deux maisons abandonnées, côte à côte, couvertes de lierre et sans fenêtres. Devant, il y a un banc avec un chat couché dessus. Je passe mon chemin. On ramène encore des affaires avec ma mère mais elle me dit qu’on doit aller au lycée pour demander quelque chose. Nous devions trouver une classe de lycéens. Je suis montée aux escaliers et j’ai commencé à faire tous les étages mais j’étais dans le mauvais bâtiment. Je descends alors les escaliers aux rampes jaunes, mais d’une manière particulière, comme si les marches étaient devenues lisses et que je glissais en me tenant à la rampe. C’est apparemment très bien vu de descendre les escaliers de cette manière. Plus tard je me suis retrouvée derrière ce lycée où il n’y avait personne, il n’y avait qu’une bordure en herbe. J’essaye de téléphoner à ma mère mais je tombe sur une conversation qu’elle a avec A. Ce dernier lui demande comment ça se passe avec moi. Elle répond “elle commence à me faire confiance, petit à petit.” Je fait plusieurs fois le tour de la bordure en herbe avant de me rendre compte que je n’ai pas de chaussures. Je crois qu’à un moment je marche dans la merde avec mes chaussettes alors je râle. Puis je remonte, et je me retrouve à nouveau devant les deux maisons abandonnées. Il y a toujours le chat. Je regarde les maisons, et je vois, à l’une des fenêtres du haut, un vieux avec des lunettes et des cheveux blancs en train de peindre le paysage. Je m’approche du chat pour le caresser mais il s’énerve et me mord. Il miaule bizarrement. Je m’écarte alors mais il me saute dessus en me mordant et ne me lâche plus. Je sens ses dents pointues dans ma main et ça fait mal. Je crois que c’est pas la première fois que je descends les escaliers de cette manière, et c'est pas la première fois qu’un chat me veut du mal.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Un grand musicien sale
J’habite chez ma mère. Une nuit, en plein milieu, j’ai voulu sortir pour aller marcher. Je marche assez longtemps, puis je passe dans le quartier de R. Quand je passe devant chez lui, il arrive juste en même temps, il revient du fast-food où il travaille. On se dit bonjour, il est un peu froid. Puis son frère est sorti, a ouvert le minuscule portail de son jardin, et un jeune chien est sorti. Il m’a sauté dessus et je me suis mise à jouer avec lui. R. et son frère discutent. Puis leur mère ouvre la fenêtre en haut à gauche. Elle porte un bonnet de nuit comme les mamies, rose. Elle a l’air contente de me voir. Le soleil se lève alors et elle me dit qu’elle veut n’emmener prendre le petit déjeuner dans un restaurant qu’elle connaît bien. J’accepte mais ça me gêne beaucoup. On prend la voiture, avec R. et son frère. On arrive, on se met à table, mais avant qu’on commande je dis que je dois vraiment partir. Je me lève, je m’excuse et j’y vais, R. me suit et me dit vite fait au revoir. Je pars à pieds sur les petites routes de campagne, il fait très beau. J’avance un peu au hasard. Puis j’arrive à un petit village, sur une place devant l’église. Il y a du monde et l’ambiance est un peu médiévale. Il y a des musiciens. L’un d’eux, grand et sale, avec des habits troués, s’approche de moi et me dit qu’il veut me jouer un petit morceau. Son instrument est vraiment bizarre. Ça ressemble à une cornemuse, mais il y a aussi des cordes. Je me demande quel son ça peut bien faire, et il joue. Ça fait un son très grave et vibrant, pas très joli. Je me dis que c’est un instrument d’accompagnement. Puis il me demande gentiment si je peux lui donner une petite pièce. Je lui donne 1.50 euros puis quelques centimes. Il me remercie, et j’effleure les cordes de l’instrument pour entendre encore ce son. On discute un moment, je lui dit que je fais un peu de musique aussi, il est content. Puis je repars et lui va jouer ailleurs. Je grimpe alors une route très raide. Je croise quelqu’un qui m’explique, en chantant il me semble, que les routes sont souvent inondées. Une fois arrivée presque en haut, en effet, de l’eau se met à dévaler la route. Ça devient presque un fleuve. Je crois que je me fais emporter pendant un bon moment. Je me souviens plus de la suite.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
La maison hantée
Il a sûrement dû se passer des choses avant mais je me souviens plus. On est dans un fast-food, on vient y manger avant de faire, je crois, une grande randonnée ou montée d’escalier, je ne sais plus. Il y a P. et J. et plein d’autres personnes floues. Il y a M., mais elle est adoptée. Je ne sais plus comment je l’ai découvert, mais sa mère est tombée amoureuse d’une femme avec qui elle voulait vivre. J’en parle à P., il est très triste. Moi je suis triste pour M. Je me souviens plus de la suite. Plus tard, on est à une sorte de fête foraine. Je suis avec R. Il y a plein de monde. Il a quelque chose à faire alors je l’attends à côté d’un chapiteau. Je m’y appuie et je fais tomber une plaque à l’intérieur et tout s’est écroulé. Personne n’a vu que c’était moi mais je m’active de reconstruire le chapiteau, avec d’autres. Plus tard je me retrouve dans une autre attraction. C’est une très grande maison abandonnée, comme une maison hantée dans laquelle il faut déambuler. Avant de commencer il y a une petite réunion avec les participants. Une fille nous explique. Je crois que G. est là. Je suis assise près d’une porte fermée à clef. D’un coup quelqu’un derrière commence à enfoncer quelque chose dans cette porte très fine et je dois m’en éloigner. Il me semble que ce sont de jeunes délinquants dont cette fille s’occupe, mais là elle les laisse faire. Ils croient qu’il n’y a personne et veulent forcer la porte. Ils n’y arrivent pas et s’en vont. À la fin de la réunion, je suis assise sur le même fauteuil que G. On se lève tous, et dans le fauteuil il y a deux pinces à épiler : la mienne et celle de G. Je ne sais pas les différencier mais finalement je comprends que la mienne n’a que deux branches et la sienne trois. On doit être par deux pour découvrir la maison. On va de salle en salle, il y a plein d’objets partout, et d’un coup des gens déguisés en sorcières ou en fantômes s’approchent de nous. On se cache mais on sait qu’on ne risque rien parce-que c’est une attraction. Quand ils sont tout proches avec leurs doigts crochus, les lumières s’éteignent. Ils nous frôlent dans le noir, et quand les lumières se rallument ils ne sont plus là. La suite est un peu floue. Petit à petit ça devient de plus en plus violent. Des objets et des vitres sont cassés, les gens sont de plus en plus violents, même entre eux. Les pièces sont de plus en plus lugubres. Je me souviens m’être dit “je suis dans un rêve, alors pourquoi ce serait pas plus violent ? Si ça doit être plus violent, alors il faudrait peut-être que ça aille vers un autre domaine.” Alors c’est devenu plus violent. Les gens se battent. Je suis devenue un monstre. Je casse les fenêtres et je mets le feu. Je me souviens plus si j’étais violente avec les gens mais il ne me semble pas. Une fois que ce jeu est terminé, tous les étages de la maison ont disparu. Nous sommes donc dans une immense salle vide avec un plafond très haut. Des gens s’apprêtent à faire un repas. Il y a un vieux piano. Je commence à jouer plein de morceaux et n’importe quoi, ce qui fait rire une fille à côté. Je me dis “je devrais pouvoir jouer tous les morceaux que je veux puisque je suis dans un rêve, et il me suffit d’y penser.” Alors j’essaye de jouer mais ça donne n’importe quoi. Le Do est souvent bloqué, et parfois il n’y a plus aucune différence d’octave, où que je joue sur le clavier. J’ai finalement réussi à jouer un morceau célèbre.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Le pirate piraté
Une fille d’apparence détestable m’en veut terriblement. Je l’ai découvert parce qu’elle a écrit un livre à ce sujet, avec mon prénom dans le titre. J’ai lu la quatrième de couverture. Tout le début c’est que de la foutaise, elle n’en vient au fait qu’au dernier paragraphe. En fait, elle m’en veut à mort parce qu’elle a essayé de pirater mon ordi, mais l’un de mes logiciels l’a détectée et a supprimé, au passage, toutes les données de son PC. J’ai lu la quatrième de couverture à ma mère et mon frère. J’ai du mal à lire parce que je suis malade et ma voix est enrouée. Ma mère fait semblant de s’intéresser, puis elle me fait comprendre qu’elle n’y comprend rien parce que j’ai du mal à lire, et parce que c’est que des foutaises, alors j’ai laissé tomber, vexée. Elle me dit quelque chose comme “mais non, mais c’est juste que je comprends pas.” Je lui dis que je suis malade et que j’ai plus de voix, alors j’essaie de leur expliquer l’histoire.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Mon père cette héroïne
J’étais chez L. et S. et je devais garder leur fille. Les toilettes étaient surélevées pour que S., qui est très grand, puisse les utiliser. Mais moi je n’arrivais pas à monter dessus, et en plus elles étaient pleines de pisse. Je me souviens d’un autre moment, dans la forêt, j’étais avec une copine et ses parents mais je me souviens plus qui c’était. Les parents cherchaient quelque chose, ils étaient tout en haut d’un talus très raide, et moi je regardais le ciel. Plus tard j’étais à la fenêtre de ma chambre. Je regardais le ciel à travers mon appareil photo et je n’en revenais pas, il était incroyable , il y avait même un arc-en-ciel démultiplié et j’ai pensé au “double rainbow” alors je me suis dit qu’il fallait absolument que je le prenne en photo. Je zoomais ensuite sur l’immeuble en face. Un type m’observait lui aussi avec le zoom de son appareil photo. Ça le faisait rire. À un autre moment je cherchais un job. Un bar m’a tout de suite envoyé un courrier pour me dire qu’ils me prenaient, ainsi qu’une autre entreprise. J’étais tentée par le bar alors mon père y est allée pour poser toutes les questions auxquelles je n’avais pas pensé, comme par exemple combien je serai payée. Le type avait répondu une somme minable. Mon père lui parlait sèchement. Il y avait deux autres filles qui bossaient là. Tout d’un coup elles l’avaient vu comme un sauveur et s’étaient jetées dans ses bras, mais ce n’était plus mon père, c’était devenu une femme, mais je me souviens plus qui c’était.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Les vibrations du sol
Ça se passe dans un musée. Des œuvres d’artistes très connus y sont exposées. J’entre dans une salle. Des œuvres sont exposées au sol, essentiellement des amas de bouts de pierres, ou des plaques plus grandes, enchevêtrées dans de la corde et de la toile de jute. Ça ne m’intéresse pas, mais je m’efforce quand même de lire le cartel. Celui-ci est disposé au sol, de telle sorte que pour le voir, il faut se mettre accroupi près de l’œuvre. L’œuvre que j’ai choisie est composée de toile de jute un peu en vrac, d’une plaque de pierre en plusieurs morceaux mais assemblés, d’autres morceaux de pierres, et d’un petit tas d’allumettes disposé d’une certaine manière. Il y a du monde que je connais dans la salle. Parmi eux, L. et E. Il y a aussi le directeur du bâtiment. [ Le bâtiment était en fait une sorte d’immeuble ou d’école un peu délabrée, avec un sous-sol. Je me souviens qu’une fois tous les élèves partis, un soir, avec d’autres, nous avions décidé de déambuler dans le bâtiment. Les membres du personnel étaient encore là et faisaient des cochonneries dans leurs bureaux, c’était vraiment étrange. Apparemment le directeur était redouté. Plein de fric, corrompu, on le détestait. ] Je me suis accroupi. Je suis restée une minute le temps de déchiffrer le cartel. Il fallait tourner de minuscules pages. Je n’arrivais pas à lire. Tout d’un coup une petite pierre de la sculpture devant laquelle j’étais, tombe. Suivie d’une autre pierre, puis de la plaque. Je me demande comment c’est possible, car les pierres sont au sol. Tout le monde me regarde. Tout le monde commence à m’accuser. Je me tue à expliquer que je n’ai pas touché l’œuvre, que ce doivent être les vibrations du sol. Personne ne me crois. Je panique, j’en viens même à douter. Je me fais accabler, je me mets à pleurer beaucoup. Puis tout le monde part. Au début, L. et E. me soutiennent, mais au fur et à mesure elles finissent par me détester aussi. J’ai oublié un détails : dans la panique, je heurte très légèrement le petit tas d’allumettes, et je dis “là d’accord, j’ai touché l’œuvre, mais pas avant.” Le directeur m’enferme dans cette salle. Je n’ai plus le droit de rien, le directeur est méchant avec moi, je vais devoir tout repayer. Ça prend des proportions considérables, et je pleure énormément.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
C’est mort
J’avais un nouveau travail. C’était un peu le même système que le Mcdo mais on travaillait sur des ordinateurs, je ne sais pas sur quoi. Il y avait un manageur comme au Mcdo. M. et S. travaillaient au même endroit. Je ne sais pas trop où j’étais quand j’ai entendu ça, mais à un moment j’ai entendu très vaguement qu’il y avait une alerte à la bombe là où je travaillais. Puis arrive un autre jour de travail, je sens que c’est aujourd’hui. J’ai fini le travail et comme d’habitude je rentre à pieds, j’emprunte un très long boulevard en face de l’entreprise, donc je peux la voir si je me retourne. Je sens qu’il va se passer quelque chose. Je crois qu’à ce moment là je suis avec L. On est un peu éloignées, et d’un coup j’entends une voix qui fait un décompte. À 3, tout le monde se met à courir. Je cours aussi vite que je peux, en regardant en arrière. 2... 1... et d’un coup une énorme explosion, un énorme nuage, incroyable, au-dessus de mon entreprise. À ce moment là je me dis, en une seconde : “dans ce genre d’explosion, est-ce que nous voyons des membres humains voler ?” alors ce moment là je vois des morceaux humains voler. Je dis à L. de ne pas regarder. On décide de rentrer chez quelqu’un. Je vois une petite maison neuve, on se fait refouler, je ne sais pas comment, un homme ne veut pas qu’on entre. Alors on trouve une autre maison. Il faut monter un escalier. C’est extrêmement étroit, je suis coincée entre les murs et je me sens mal, on passe devant une fenêtre, je vois qu’il y a des restes humains sur la pelouse et j’empêche L. de regarder. On arrive à la porte, je tape, et je me souviens plus ce qui se passe ensuite. Je me retrouve au travail, dans l’endroit qui a explosé plus tôt, mais c’est intact. J’ai très peur pour S., je demande de ses nouvelles et une femme me dit en rigolant “boh, il a eu (la tête écrasée ? Les jambes ? je me souviens plus). Mais bon, c’est mort !” Je lui dis “comment ça, c’est mort ? Il ne va pas s’en sortir ?” et je me souviens pas de la suite.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Le confort du micro-ondes
Je reviens de loin, je sais pas d’où. Je reviens chez mon père  et j’apprends que j’ai une fille. J’ai eu cette fille avec J. Apparemment c’était moi qui avait accouché mais je n’étais pas à l’accouchement . Je reviens après un moment et ma fille est déjà une enfant qui sait parler. Elle dort chez mon père dans un micro-ondes avec des couvertures dedans. J. m’appelle. Apparemment il n’avait jamais vu la fille. Je dis à la fille “tiens, c’est ton papa au téléphone”. La fille lui demande où il habite, son nom, etc. Pendant ce temps je regardais son visage pour savoir si elle nous ressemblait. Elle ne nous ressemblait pas. Elle était moche. Plus tard L. m’explique que son père l’a obligée à voir la vidéo de mon accouchement. Elle me dit que c’est dégueulasse. Plus tard j’ai appelé mon père mais le téléphone n’a pas sonné car il a appuyé sur “répondre” sans le faire exprès alors je l’entendais parler. J’espérais l’entendre dire ce qu’il pensait de toute cette histoire mais il parlait du documentaire qu’il regardait.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
La musique
Un type un peu gros me disait que quelqu’un avait voulu le séquestrer pour le tuer. Cette personne est arrivée plus tard et avec 4 autres on l’a empêché de venir. Ensuite 4 autres personnes sont venues et on s’est battu. Je me suis réveillée avec “La musique” de Nicoletta dans la tête parce que les 4 qui ont protégé le type l’ont chantée face à face.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Fourmis géantes et serpent rapide
Il y a quelques parties un peu floues. Il s’est passé des choses avant mais je me souviens plus. Ah si. J’étais dans un magasin de bricolage. J’y travaillais. Je me suis acheté des poissons et un aquarium divisé en quatre mais ouvert au milieu de telle sorte que les poissons puissent changer de case. Après je suis chez C. pour une soirée, on doit dormir là. Quelqu’un a fait un gâteau au chocolat. On est dans le jardin, je vois qu’il y a des fourmis sur un muret et je les regarde. Et d’un coup je vois plusieurs fourmis vraiment énormes, de la taille de la paume de ma main à peu près. Je dis à C. de regarder. Elle est impressionnée, et d’un coup elle me dit de reculer vite. Il y a un énorme serpent en bas du mur. Je dis à C. de le laisser tranquille mais elle l’embête avec un bâton. Alors il s’énerve et on se met à courir dans le jardin mais il nous suit, et il va beaucoup plus vite que nous. Je crois qu’il m’a mordu à la jambe mais je m’en souviens plus, en tout cas on s’en est enfin débarrassé.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Les ficelles du succès
J’étais dans une salle de classe. On faisait une sorte de jeu. Il y avait de petites ficelles au plafond avec je ne sais quoi attaché au bout. Il fallait mesurer un truc, monter sur une chaise, et les couper avec un cutter. Si quelqu’un n’y arrivait pas, c’était à un autre de prendre la relève. Arrive mon tour. Je les coupe toutes, une à une, en déplaçant ma chaise, c’est très facile mais tout le monde est impressionné. Une sorte de surveillant, qui me regarde faire, est un jeune qui a un faible pour moi depuis un moment, et il me fait des compliments. Une femme passe dans les rangs pour récupérer des documents administratifs, que j’ai oublié de remplir. Mais cette femme est sympathique, elle me parle comme si on se connaissait depuis toujours, comme si on était amies. Elle me dit que c’est pas grave, et que je peux lui amener chez elle. Plus tard, je vais chez elle. Pour y aller, juste à côté de sa maison, il faut descendre un talus herbeux très raide. Un arbre est planté dessus. En descendant, sur le côté gauche, il y a un mur et une petite porte. C’est une sorte de petit garage.  Je descends difficilement, puis je rentre chez elle. C’est très beau. Je la vois, on discute, je lui dis que j’ai toujours pas la feuille mais que je me mets une alarme sur mon portable le soir même pour ne pas oublier. Il y aussi son fils, qui est dans ma classe, un premier ou deuxième année. Il est apparemment fou amoureux de moi lui aussi, mais quand il me voit il paraît triste et distant. Je repars de chez elle. Le lendemain je vais en cours. Le fils de la femme n’est pas venu alors je m’inquiète. Pendant cette journée on est allés voir un film d’animation. Je me souviens d’un chat. Le soir je retourne chez la femme, je me souviens plus de ce qui se passe. Son fils n’est pas là, il est en cours. Sa mère me dit qu’il voulait faire des études d’histoire de l’art mais que c’était pas possible. Au moment de remonter le talus, 18 heures sonne à l’église, l’heure où le fils sort de cours. J’espère ne pas le croiser. Mais au moment où j’ai le plus de mal à monter, il est là, avec un carton à dessin, il rentre le poser dans le petit garage, on se dit trois mots et je m’en vais.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
Les taureaux et les centaures
J’étais dans une sorte de lycée où tout le monde faisait du sport. À côté, il y avait un champ avec des taureaux et un autre avec des centaures. À un moment un taureau m’a poursuivie, j’ai réussi à passer de justesse sous une barrière où le taureau ne pouvait pas passer mais j’ai eu très peur parce qu’il a donné un grand coup dedans et l’a cassée à moitié. À un autre moment, j’étais je ne sais pas où avec mon nouveau petit copain, un rugbyman comme une armoire à glace, pas du tout mon genre mais j’avais l’air contente. On est passés à table et J. était là, on discutait.
0 notes
jemesouviensplus · 5 years ago
Text
C’est quand même pas...
J’étais au lycée mais c’était une sorte de château très en hauteur avec de grandes fenêtres. C’était après le bac. À un moment je discute avec L. L. qui me dit qu’elle est aux repêches et je lui demande si elle préfère bien travailler les repêches et avoir son bac ou refaire sa terminale (je lui précise que ce doit être horrible). Elle me dit qu’elle va refaire sa terminale et je lui dis qu’elle est folle. Il y a aussi L. T., qui est tombée folle amoureuse d’un personnage de RPG, et elle a rencontré un type qui est presque pareil et elle tombe amoureuse, et elle fait qu’en parler. À un autre moment on est plusieurs dans une salle, il y a des profs dont monsieur P., qui nous explique un truc. Quelqu’un a fait une blague dans la salle d’à côté. On est quelques uns à y aller pour voir. Il a étalé de la merde sur tous les murs, et on doit nettoyer. On commence à nettoyer, puis je reviens dans la salle où il y a tout le monde et je dis : “ Monsieur P., euh, pourquoi c’est nous qui devons nettoyer, et pas celui qui a fait la connerie ?” Réponse vague. Je retourne dans la salle pour nettoyer, je me demande si c’est de la vraie merde alors je retourne dans l’autre salle et demande devant tout le monde : “C’est quand même pas de la vraie merde ?”  et celui qui a fait la connerie me répond que si. Alors je lui dis qu’il était pas obligé, qu’il aurait pu utiliser du colorant. À un autre moment on était à la cantine. C’étaient de longues tables posées sur les quais d’une gare. Je suis à une table avec J. et C. Je “ressens” que J. est amoureux d’elle. Il est gêné quand il lui parle. Il lui dit qu’il va se racheter un keffieh. Puis il sort un jouet de son sac : une espèce d’oiseau assez grand qui, une fois “remonté”, sautille partout comme un vrai oiseau. Il s’est passé d’autres choses vagues.
1 note · View note