Base line du mois : La culture en Nouvelle-Aquitaine. Tirage : 20 000 exemplaires distribués en Gironde et dans les villes de la Nouvelle-Aquitaine.
Don't wanna be here? Send us removal request.
Text
Le numéro de Mars de JUNKPAGE #65
Mensuel culturel gratuit.
(20 000 exemplaires distribués sur près de 670 lieux du territoire de la Gironde et sur 200 points dans les villes de la Nouvelle-Aquitaine)
3 notes
·
View notes
Text
Sommaire
4 EN BREF
12 MUSIQUES BLA NEF TUNNG JAAKKO EINO KALEVI CHRISTIAN OLIVIER RUFUS WAINWRIGHT SIDÉRAL PSYCH FEST BORDEAUX LAS HERMANAS CARONNI SUNN O))) DB CLIFFORD FESTIVAL NOUVELLE(S) SCÈNE(S) BERTRAND BELIN
20 EXPOSITIONS DANS L’INTIMITÉ DE ROGER BISSIÈRE ARCHITECTURE DU BAUHAUS CLAIRE FONTAINE BABETTE MANGOLTE—SPACES TO SEE LISIÈRES LA PARADE MODERNE, CLÉDAT & PETITPIERRE ANETTE LENZ DOM JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE À PLAT L’HORIZON, BENOÎT GÉHANNE
34 SCÈNES PIÈCE D’ACTUALITÉ N°9-DÉSOBÉIR L’AUTRE RIVE BERLIN SEQUENZ WE WERE THE FUTURE PERIPÉ’CIRQUE UN PAYS DANS LE CIEL FISH MIND#4 LOUIS LUBAT RÉDA SIDDIKI FESTIVALS DE DANSE EN NOUVELLE-AQUITAINE
42 LITTÉRATURE
44 JEUNE PUBLIC
48 GASTRONOMIE JEAN-LUC ROCHA
2 notes
·
View notes
Text
C’EST DE FROID QUE LE MONDE VA MOURIR
LE BLOC-NOTES de Bruce Bégout
L’idée d’un développement durable de l’économie mondiale appartient à ce genre d’aspirations belles et compensatoires, dont la véritable fonction est en fait de masquer des intérêts plus profonds. Car, au fond, nul ne se soucie vraiment du futur, et la soi-disant attention morale tournée vers les petits-enfants à venir (et le monde qu’on leur laissera) se limite le plus souvent au choix égoïste des prénoms.
Cela fait longtemps que le futur n’est plus l’objet d’une exaltation sacrée, d’un culte social. Les menaces technologiques, bactériologiques et climatiques qui pèsent de tout leur poids funeste sur le monde actuel nous préviennent contre toute robinsonnade futuriste.
Certes, quelques pans de la recherche scientifique et technologique fondent encore quelque espoir dans l’avenir et, ici et là, une nouvelle innovation laisse augurer des avantages prochains et une amélioration possible de tel ou tel aspect de l’existence humaine. Mais ce sont là presque des gadgets isolés (voitures autonomes, maison connectée, nouveau traitement médical, etc.) qui ne modifient en rien l’impression générale d’une dégradation à long terme des conditions de vie.
Ceux qui annoncent le pire à venir ne prennent pas beaucoup de risques. À chaque fois qu’un prophète de malheur s’est manifesté ces derniers temps, l’histoire n’a pas mis longtemps à lui donner raison. La lucidité à l’égard de l’Apocalypse imminente devient quelque chose de commun, et on n’y ferait même plus attention si son objet n’était si terrifiant. Tout le monde est à peu près persuadé d’une « fin mauvaise », et Günther Anders, s’il vivait encore, pourrait aisément se rendre compte du caractère banal de ses sombres prédictions sur la bombe, la catastrophe finale et le nihilisme. Je ne sais pas, d’ailleurs, s’il serait ravi de voir cette conversion massive des peuples à une conception apocalyptique de l’Histoire, car il resterait pour lui à savoir si cette prise de conscience prépare effectivement un revirement dans la manière dont les hommes utilisent avec une inconscience irresponsable la technique, les armes de destruction massive et les produits industriels, ou n’est qu’un subterfuge de plus pour éviter de faire quelque chose. « Hiroshima est partout », mais nulle part cependant n’est réellement mis en oeuvre l’effort de changer de cap et de mettre fin à la machine infernale du productivisme moderne et à son alliance noire avec l’État et le Capital.
Le caractère andersien de l’époque se signale également par sa conviction contre-utopique d’un sauvetage conservateur de ce qui est, ou plus exactement de ce qui peut l’être. Comme le dit le philosophe allemand, parodiant Marx : « Jusqu’à présent les hommes n’ont fait que changer le monde, il faut maintenant le conserver. » L’heure n’est plus donc, en dépit de la révolution cybernétique, et même pour les hommes épris d’un renversement des choses, à la réalisation d’un idéal social, à l’invention du futur et à la synthèse de l’imagination et de la technique dans la cité utopique. À part dans les rêves de certains de leurs concepteurs (comme Elon Musk), les nouvelles technologies ne projettent au travers de leurs circuits et de leurs données numériques aucune société parfaite ; elles apportent simplement ici et maintenant quelques échappées loin de la réalité, sans que ce lointain ait une quelconque valeur critique ou paradigmatique pour le présent.
Le monde virtuel représente une pure et simple fuite de la réalité présente dans un ailleurs ludique, et ne possède aucune fonction utopique. Il se situe dans une atopie absolue qui ne recouvre nulle ambition critique, nul dessein politique. La technologie elle-même ne fait plus appel qu’à une imagination intime, et si elle promet un certain progrès à venir, elle le monnaye seulement aux particuliers et le cantonne à la sphère privée. On comprend dans ces conditions qu’elle soit déconnectée de tout projet d’utopie sociale, et limite ses promesses aux individus assez crédules pour pouvoir se payer les rêves à portée de main qu’elle propose.
Aussi, la grande majorité des Occidentaux se préoccupe-t-elle surtout de la conservation de ce qui peut être, dès aujourd’hui, sauvé et, par là même, acceptent les thèses d’Anders sur la nécessité d’un sauvetage de l’essentiel. L’époque est conservatrice par nécessité car tout changement, même social, fait peser sur elle la menace de sa disparition totale, sans fleur ni couronne.
5 notes
·
View notes
Text
STAGES
© Annabelle Roy
L’EBABX (école supérieure des beaux-arts de Bordeaux) propose 2 ateliers durant les vacances de Pâques, accessibles à tous et sur inscription (05 56 33 49 10). « Le portrait photographique », du 17 au 19 avril, consacré à la photographie numérique avec Claire Baudou, inscriptions les 25 et 26 mars, de 14 h à 19 h. « On dirait un corps », du 24 au 26 avril, modelage et techniques mixtes avec Amélie Boileux, inscriptions les 1er et 2 avril, de 14 h à 19 h.
www.ebabx.fr
0 notes
Text
JUKEBOX
D.R
Du 23 au 24 mars, c’est la 59e édition du Salon du disque de Bordeaux ! Ce rendez-vous, regroupant 80 exposants venus de toute la France et de l’étranger s’affiche comme la plus grande manifestation du Sud-Ouest dans sa spécialité. Avec plus de 2 500 visiteurs attendus, cet événement offre un moment de plaisir et de découverte et promet à chacun de trouver son bonheur dans tous les styles, des années 1950 à nos jours. Un incontournable pour tous les collectionneurs et autres amateurs d’occasion et de neuf, mais aussi de produits dérivés.
Salon international du disque, du samedi 23 (de 11 h à 19 h) au dimanche 24 mars (10 h à 19 h), Vélodrome - Parc des expositions. www.salondudisquedebordeaux.com
0 notes
Text
FUGACES
Lucie Geffre, Bleu outremer © Lucie Geffre
Artiste d’origine bordelaise, dont le travail a pu être vu à l’Institut Bernard Magrez en 2017 et dont le buste de Linné est installé au Jardin botanique, Lucie Geffré vit et travaille en Espagne où elle a été résidente à l’Académie de France à Madrid, la Casa de Vélazquez. Elle s’attache à peindre des présences silencieuses, qu’il s’agisse d’une figure humaine, d’un chien ou d’une théière. Son travail tourne autour de l’ambivalence présence / absence, elle cherche à établir un contraste et une tension entre abstraction et figuration, entre beauté et étrangeté.
« Évanescence », Lucie Geffré, du vendredi 8 mars au vendredi 26 avril, Airial galerie, Mimizan (40200). www.airialgalerie.fr
0 notes
Text
TANDEM
JP Nataf et Alfred © Poley Luard
Dans cette carte blanche, il s’agit de complicité et d’amitié. Alfred, artiste associé de la saison culturelle 2018/2019 de la Ville d’Eysines, convie son ami JP Nataf pour un concert dessiné. En donnant vie à ses illustrations autour de rencontres aussi singulières que poétiques, Alfred prend un immense plaisir à sortir de l’intimité de sa table à dessin pour se confronter à l’improvisation et à la scène. À partir de chansons solo et de reprises des Innocents, Alfred improvise en dessins, avec la virtuosité graphique qu’on lui connaît.
JP Nataf & Alfred, jeudi 21 mars, 20 h 30, théâtre Jean-Vilar, Eysines (33220) www.eysines-culture.fr
1 note
·
View note
Text
PLUMES
Dan Franck © J-F Paga
Pour la cinquième saison des Éditeuriales, Grand Poitiers reçoit l’illustre maison Grasset. Au menu des rencontres : Dan Franck ; Olivier Nora (éditeur et PDG des éditions Grasset) ; Jean Bothorel ; Samuel Benchetrit ; Colombe Schneck ; Isabelle Carré ; Juliette Joste (éditrice) ; Carole Zalberg ; Jean Rouaud ; Jean-Marc Levent (directeur commercial) ; Guy Boley ; Chloé Deschamps (éditrice) ; Daniel Rondeau. Fondées en 1907 par Bernard Grasset, les Éditions Nouvelles ont publié en 1913, à compte d’auteur, le premier livre d’un certain Marcel Proust Du côté de chez Swann.
Les Éditeuriales, du mardi 12 au samedi 23 mars, Poitiers (86000). www.poitiers.fr
0 notes
Text
MACABRE
© Moviestore Collection
À la mort de leur père, Elias et Gabriel découvrent qu’ils ont été adoptés et que leur père biologique, Evelio Thanatos, est un généticien travaillant dans le plus grand secret sur une île mystérieuse. Malgré leur relation houleuse, ils décident de partir à sa rencontre. Arrivés sur cette île éloignée de la civilisation, ils vont découvrir une étrange fratrie et des origines inquiétantes. Il devient évident que, décidément, on ne choisit pas sa famille. Après le corrosif Les Bouchers verts, une irrésistible farce en hommage à L’Île du docteur Moreau signée Anders Thomas Jensen.
Lune noire : Men & Chicken, mardi 5 mars, 20 h 30, Utopia. www.lunenoire.org
0 notes
Text
CLICHÉS
Raphaël Bourelly & Sébastien Tixier, « Shan shui, de poussière, de béton et d’eau » © Raphaël Bourelly & Sébastien Tixier
18 expositions à la découverte de regards contemporains et singuliers. Depuis plus d’un quart de siècle, la manifestation a accompagné l’évolution de la photographie au rythme des révolutions techniques et stylistiques, en veillant à présenter les formes de photographies d’auteur les plus diverses. Du Rocher de Palmer à Cenon, à la salle capitulaire de la cour Mably, 11 lieux accueillent cette 29e édition et proposent aux visiteurs d’effectuer leur propre itinéraire.
Itinéraires des photographes voyageurs, du mardi 2 au dimanche 28 avril. www.itiphoto.com
0 notes
Text
MAESTRO
© Bourg Arts et vin
Le trajet de Riccardo, depuis sa naissance à Rome en 1956, est sinueux et rectiligne. Sinueux car le contrebassiste s’est frotté à toutes les musiques : du jazz à la musique contemporaine, de la musique de film au folklore. Rectiligne car c’est la même énergie amoureuse qui l’entraîne dans toutes ces aventures, la même éthique, la même subtile intelligence du monde. Tout cela avec humour, élégance, virtuosité, éclectisme, humilité. Dans le panthéon de ce fan de Chet Baker : entre autres John Coltrane, Gyorgy Ligeti, Claude Debussy, Gustav Mahler, Toru Takemitsu…
Quintet Riccardo Del Fra, vendredi 5 avril, 20 h 30, château de la Citadelle, Bourg-sur-Gironde (33710). www.bourgartsetvins.com
0 notes
Text
LEURRES
Rob Pruitt, Un carton de Dasani - Galerie Air de Paris
Florilège d’oeuvres de la collection du FRAC Poitou-Charentes, « Supermarché », initiée et coordonnée par le Réseau d’Éducation Prioritaire de Terres-de-Haute-Charente, est le fruit d’un partenariat entre le FRAC Poitou-Charentes, la commune de Terres-de-Haute-Charente, le collège Jean-Michaud et la DSDEN16. À lieu singulier – la salle au-dessus du marché de la commune de Terres-de-Haute-Charente –, présentation inédite : l’exposition met en jeu le mode de présentation des oeuvres et sème le doute entre lieu d’exposition et lieu de vente.
« Supermarché », du lundi 4 mars au vendredi 12 avril, marché couvert - Terres-de-Haute-Charente, Roumazières-Loubert (16270). www.frac-poitou-charentes.org
0 notes
Text
TAULARDES
D.R
Étouffées et contraintes par le poids de normes écrasantes, ces « incorrigibles et rebelles » des siècles derniers ont fini actrices de changements sociaux. Dévoilant des figures féminines jugées immorales de 1840 aux années 2000, « Mauvaises filles » s’appuie sur une scénographie dynamique. À côté de saisissantes photos d’archives, l’exposition invite à un jeu de l’oie incarnant diverses « personnalités » (vagabonde, fille-mère, fugueuse, crapuleuse…) et lieux de perdition (fête foraine, guinguette), de coercition (internat, prison), de soumission (maison close, foyer).
« Mauvaises filles - Incorrigibles et rebelles xixe-xxie siècles », jusqu’au dimanche 28 avril, château de Cadillac, Cadillac-sur-Garonne (33410).
0 notes
Text
NIPPON
Fabricants de lanternes en papier dites chōchin peignant, début du xxe siècle - © New York Public Library - D. R.
Le madd-bordeaux consacre une exposition à un mode d’éclairage devenu, au fil des siècles, constitutif de l’identité culturelle du Japon et dont la fabrication a été reconnue « artisanat traditionnel » par le ministère de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie. Il s’agit des chōchin, ces lanternes constituées d’une structure en bambou recouverte de papier, que la légèreté semble condamner à une vie éphémère. À travers objets, estampes, photographies et films, l’exposition présente leur fabrication et l’évolution de leur usage, leur place dans la mythologie et les rituels japonais, et leur adoption par les designers depuis les années 1950.
« As movable as butterflies - Les chōchin du Japon », jusqu’au dimanche 19 mai, musée des Arts décoratifs et du Design. madd-bordeaux.fr
#En Bref#As movable as butterflies#Les chōchin du Japon#musée des Arts décoratifs et du Design#Mars 2019
0 notes
Text
HOMMAGE
©SRF
Pour sa troisième édition, le festival de film documentaire Passagers du Réel met à l’honneur Agnès Varda. Avec une quarantaine de films à son actif, la cinéaste ne cesse d’étonner en livrant une oeuvre en perpétuel mouvement qui se moque bien des frontières établies. La manifestation propose sept ciné-débats, trois jours de rencontres ainsi qu’une carte blanche au festival Jean Rouch de Paris. Organisé par la Troisième Porte à Gauche, il se déroule entre la bibliothèque Mériadeck, le cinéma Utopia, le marché des Douves ainsi qu’au local de l'association.
Passagers du Réel : Portrait(s) d’Agnès Varda, du mercredi 6 au samedi 9 mars. www.troisiemeporteagauche.com
0 notes
Text
TROPHÉES
Dj Greem © Ben Lorph
Le 28 mars, c’est la remise des prix du Palmarès Régional d’Architecture en Nouvelle-Aquitaine [PRAd’A], dans le cadre du salon Architect@Work, à Bordeaux, décernée par un jury présidée par Bita Azima Khoï. La soirée se poursuivra avec un dj set de GREEM, (Hocus Pocus, C2C). Cette deuxième édition du [PRAd’A] est organisée par le 308 – Maison de l’Architecture, en association à l’Ordre Régional des Architectes, en partenariat avec les Maisons de l’Architecture du territoire (Limoges, Pau & Poitiers) et avec le soutien de la Direction Régionale des Affaires Culturelles.
Architect@Work, jeudi 28 mars, Parc des expositions de Bordeaux-Lac www.le308.com
0 notes
Text
PREMIÈRE
© Opéra de Limoges
Depuis plusieurs années, l’Opéra de Limoges développe une politique centrée autour de la voix à travers la sensibilisation du jeune public à la musique et l’éducation vocale à travers des projets participatifs. OperaKids en est le prolongement. Ce dispositif rassemble des enfants d’une classe d’âge entre 6 et 14 ans, issus de milieux socio-culturels différents, venant principalement des quartiers prioritaires de la ville de Limoges et de l’agglomération. Voix en cavale est le premier spectacle créé par les enfants d’OperaKids. Le livret est signé par Marion Aubert, la musique par Alexandros Markeas.
Voix en cavale, dimanche 3 mars, 15 h, Opéra de Limoges, Limoges (87000). www.operalimoges.fr
0 notes