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Grâce à toi Odilon Redon
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Swamp Flower, 1884, Odilon Redon
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Grâce à toi Odillon Redon
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The Black Sun, Odilon Redon, ca. 1900
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Grâce à toi Joan Miro !
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Joan Miró (Spanish, 1893-1983) - Tête d'homme IV (Head of a Man IV), oil on canvas, 60.5 x 66 cm (1931)
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Disparitions -- Apparitions
Robert Empain - Galerie Grâce
7 juin - 23 juin  2024 
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« La pensée moderne, écrivait Michel Henry en 1996, repose sur la connaissance scientifique et non sur la connaissance que peut avoir l’homme de sa propre essence. Dans le champ ouvert par la science moderne, l’homme en tant que tel n’existe pas, une négation qui équivaut à celle de Dieu - un réductionnisme non voulu par la science mais inévitable et effectif. La défense de l’homme véritable, transcendantal, est la tâche de la philosophie mais la pensée moderne l’a trop oublié. Que reste-t-il de l’homme hors de la Vérité de la Vie, dans la vérité de ce monde qui aujourd’hui est d’une certaine façon l’Anti-Christ et dont l’agir est réduit à la technique, faisant de l’homme un automate ? Toutefois les hommes voudront mourir – mais non la Vie. »  Cette prédiction s’est réalisée sous nos yeux. L’illusion de l’ego de se faire dieu sans Dieu est à son comble, le scientisme se prend pour la nouvelle religion universelle, les puissances financières imaginent que le monde leur appartient, que nos vies, réductibles à des donnés numériques, leur appartiennent, que l’avenir de l’humanité est entre leurs mains, que la disparition de l’homme actuel est inévitable, que l’homme spirituel est obsolète, que le Dieu révélé par le Christ est à abattre, que le seul dieu réel est l’argent virtuel, que la vie éternelle des corps est à portée de leurs mains, que les faibles, les inutiles et les hostiles seront éliminés, que les hommes nouveaux de demain seront augmentés et fabriqués en série comme des robots biologiques, clonés et reclonés à volonté, jetés et ou recyclés selon les besoins. 
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Face à la disparition programmée de l’homme en tant que tel et à l’apparition de l’homme abject et de l’enfer sur terre, un profond  désespoir s’empare des hommes et de la jeunesse de ce siècle qui éprouvent les sentiments inextricables de mourir de ne pas mourir et de vivre sans vivre réellement ; ce faisant ils peuvent encore toucher en eux le fond abyssal de la Vie, de la Vie absolue qu’ils ont oubliée, mais qui, elle, ne les a jamais oubliés et qui jamais n’a cessé de les aimer. C’est alors que des profondeurs du désespoir humain la Vie peut encore appeler l’homme à la vraie vie, à un retournement vers lui-même pour ressusciter en lui l’espoir de faire de sa disparition programmée par la folie humaine l’apparition en lui de la vérité éternelle. 
Voilà brièvement résumée la situation apocalyptique dans laquelle nous sommes - apocalyptique au sens de révélation, de catastrophe et de mutation qu’évoque le titre de mon exposition, qui s’inscrit dans la vocation de la galerie Grâce et dans le prolongement du combat spirituel des artistes de la véritable Modernité artistique, qui, du XIXe siècle au XXIe siècle, s’opposèrent à la barbarie totalitaire que la modernité portait en elle à son insu depuis le début avec les idéologies dont elle a accouchés : le matérialiste, l’objectiviste, l’athéisme, le capitalisme, le colonialisme, le communisme, l’impérialisme, le nazisme, le fasciste, le scientisme, le trans-humanisme…
Les quarante œuvres présentées dans cette exposition, objets, dessins, peintures, sont reproduites dans un catalogue disponible sur demande à la Galerie. Ces œuvres, chacune à leur manière, sont des apparitions de notre disparition et inversement. La première, par exemple, est un objet trouvé en 1982 : un crucifix duquel le crucifié avait disparu, laissant sur la croix une trace qui révèle la fois sa disparition du monde visible et son apparition invisible en chacun de nous. Les arts chrétiens ont pour vocation première de porter à chacun la révélation de sa naissance éternelle en Dieu, de rendre visible la vie l’invisible et de faire connaître ce qui nous est caché depuis la fondation du monde. La voie royale de cet art fut résumée par Beethoven en ces mots simples : « Cela doit venir du cœur pour aller au cœur », car c’est en son cœur, en tant qu’organe spirituel, que tout homme peut connaître en lui le Don de la Vie. Les œuvres rassemblées pour cette exposition sont à recevoir comme des traces, des signes, des appels donnés à mon attention comme il en fut donné de nombreux à d’autres poètes et artistes en ces temps de détresse. 
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Ceci me donnant l’occassion de rappeler que nous tous les vivants sommes faits poètes et artistes par le Poète originel, par le Vivant Amour qui nous appelle à vivre dans sa Joie et à L’aimer en tout et en tous.
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Ecoutons sa Parole vivante, aimante et bienveillante au fond de notre cœur, ou au fond de notre vie phénoménologique radicale et divine, comme la nomment les phénoménologues contemporains, qui se sont levés et se lèveront avec nous contre cette barbarie infernale. Je serais heureux de parler de tout cela et de ces œuvres avec chacun de vous à la galerie Grâce où je serai présent durant toute l’exposition. Robert Empain
Oeuvres présentées dans cet article :
Âme disparue. Huile sur toile. 100x120cm. 1997
Seigneur prends pitié. Tempéra.50x65 cm. 2007/2022
Le coeur perdu. Mixte sur carton. 60x73cm. 2008
Les larmes disent vrai. Huile sur toile. 100x150cm. 1997
J"apparaitrai dans la nuée. Huile sur toile. 47x66cm 2007
J’ai mis devant toi la mort et la vie, choisis la vie. Mixte. 70x100cm..Avec Memling.  2023
D'autres oeuvres sont accessibles via le Tag Disparitions--Apparitions. Catalogue complet et prix à la demande à la Galerie Grâce
Exposition ouverte au public du 7 juin au 23 juin les vendredis, samedis et dimanche de 15h à 19h30
Impasse du Val des roses, 4 - 1000 Bruxelles
Tel. mobile + 32 486 86 00 71
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Nous avons le plaisir de vous annoncer la parution aux Editions Grâce à Bruxelles de Or, tu es né, un recueil de poésies, de prières, de tracts, de prescriptions, de textes sur l'art et de grâces rendues de Robert Empain, des années 70 à nos jours. A cette occasion l'artiste  dédicacera son livre à la Galerie samedi et dimanche prochains 29 et 30 juin de 15h00 à 19h00. Nous présenterons également une Edition à tirage limité de dix poèmes graphiques, intitulée Où est l'Ailleurs ?  Ces présentations auront lieu dans le cadre de l'exposition de Robert Empain Disparitions -- Apparitions à la Galerie, qui sera prolongée jusqu'au 30 juin. 
Nous publions ci dessous les deux textes d'où sont tirés les titres de ces publications.
Paradis retrouvé
Aquarelles. Flux et reflux de l'eau mêlée aux couleurs qui s’irisent au vent marin. Recréation perpétuelle... Pourtant, l'Ange déchu qu’est l’homme sombra dans sa rancœur et fit du Miracle restitué un cauchemar à son image. Mais des fils de l’homme allant par des chemins écartés reçurent dans leurs âmes un peu de la beauté du monde créé pour leurs retournements. Peu à peu, les rancœurs s'évanouirent de leurs cœurs et la lueur vivante illumina à nouveau leur Nuit. La voix qui murmurait depuis toujours dans leurs songes, dit plus fortement à l’un d’eux : -- Mon enfant, dis une seule parole et tu seras guéri de la première mort et de la deuxième. 
Parole inouïe pour lui et toujours incomprise de la plupart. La voix dit encore à l’enfant : -- Mon enfant, si ta résurrection te semble si difficile à croire, songes à ceci : ta naissance n'est-elle pas plus incroyable encore que ta résurrection ? Or, tu es né.                                                                                                                                                                         
1985
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Où est l’Ailleurs ? 
L’Ailleurs sera toujours ailleurs où que tu ailles. 
D’où il se trouve que l’Ailleurs est là où personne ne le cherche 
Même pas au bout de tes doigts, mais plus près encore de toi 
Même pas sous tes paupières, ni dans tes pupilles, ni sous ta peau veinée
Même pas dans ta chair chaude
Mais là où tu vois
Entends et sens l’Ailleurs couler et battre !
1982
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Contact, informations, prix : [email protected]
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Quelques travaux récents
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Apparition-disparition de Marie. 70x100cm. 2023
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Vision de saint Jean à Patmos. Mixte. 50x60cm. 2022. Avec Memling.
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L'Innonence sauvée. Mixte. 30x45cm. 2023.
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J'ai mis devant toi la vie et la mort, choisis la vie. Deutéronome 30:19. Mixte. 79x100cm. 2023
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La Bête. Mixte. 24x34cm. 2023. Mixte.
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Vision de sainte Ursule. Mixte. 60x80 cm. 2023. Avec Memling
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Pèlerin vers Sainte Ursule. Mixte. 60x80cm. 2023. Avec Memling
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Quelques anges disponibles de Robert Empain
L'ange sur moi (avec Léonard da Vinci). Mixte. 65x85. 1993. 3.000€
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Art is either spiritual or it is nothing.
What fundamentally distinguishes a work of art from an ordinary object and from most works that we dare to present today in museums and galleries as art, is that in the presence of a true work of art you are not only attracted towards it, but called into it and touched to the heart because this work reveals to you an unknown dimension of yourself. A true work of art moves you, it truly sets your soul in motion and your spirit in revolution and evolution, it deepens you and elevates you in the same movement, making you more human and more alive by giving you the experience a new and lasting emotion: a joy, an admiration, an affection, a recognition, a gratitude for the artist who made it and for the Spirit who inspired it and who allowed you to encounter it so that it lives in you forever.
Those who have known and experienced such aesthetic experiences know perfectly well that art is spiritual or is nothing. (1)
Nothing, really?
Nothing other in any case than weak art, art made for fashion, entertainment, show off, decoration, speculation, commerce, art to impress the gallery, lousy art, throwaway art, official art. Nothing other than distorted, vile and empty art, presented to be sold to those who have never encountered, or very little in truth experienced, a work of art worthy of the name, a masterpiece. work, whether it is a painting, a fresco, a sculpture, an architecture, a drawing, an opera, a symphony, a ballet, a poem, a novel… a masterpiece in a word, namely a human work which pursues and reveals to those who live it the original, perpetual and divine Work of the Spirit, giver of life and creator of all that is necessary for its growth and accomplishment.
Official and commercial art belongs to the world, that is to say to the power of money, to the power of nothingness.
Spiritual art belongs to Grace. It comes from the Spirit who makes us in his Image and desires to make himself known to our spirit. It comes from the Living who desires to make himself known to the living that we are. Like the Spirit itself, spiritual art is alive and free and contributes to making humans more living and free beings, thus fulfilling the true vocation of the arts. Those who seek it find it: they are those who, throughout time, have done it and still do it: the artists. And it is those who remake it in their soul, live it in their spirit. Among them are those who help and support artists to accomplish their essential work.
Two spiritual artists of the 20th century saw all this: Marcel Duchamps and Wassily Kandinsky. Each in their own way maintained that art is spiritual or nothing and that it only lives and comes to life in the eyes of those who look at it and in the souls of those who love it.
The Grace Gallery was created in Brussels in 2003 by Robert Empain, who was soon joined by Saskia Weyts. Both were animated by this spirit which animated the founders of initial artistic Modernity and, faced with the nihilism of materialistic modernity, by the need for a return of the spiritual in art.
The vocation of the Grace Gallery was and remains to introduce the work of certain current spiritual artists to lovers of true art. Its founding principles were and remain those of grace: gratuity, freedom, beauty, fraternity, generosity, friendship, inspiration, creation and action.
From 2003 to 2012, the Gallery organized numerous exhibitions on and off its walls, exhibiting around thirty artists free of charge. But it was clear at the end of these years that very few artists were truly animated by the Spirit which animated the founders. The project of forming a group and starting a spiritual artistic movement was therefore postponed until later.
Meanwhile, the profound movement of curiosity and spiritual regeneration that appeared in the 20th century, in reaction to its barbarity unprecedented in human history, had developed and a timid return of the spiritual made its appearance in the contemporary arts. This movement very recently began to arouse the interest of institutional cultural circles.
After a few years of patience, the founders of Galerie Grâce therefore decided to resume its activities in May and June 2023 with the Retrospective of Robert Empain's works on paper. Cfr: the article opposite: Œuvrer ! Vers un art spirituel - Galerie Grâce - Bruxelles / Work! Towards a spiritual art - Galerie Grâce - Brussels
In 2024, two exhibitions will take place at the Galerie Grâce: that of Robert Empain in June and that of Saskia Weyts in September. We will come back to this.
This Grace Gallery site was created to support this new stage, announce the exhibitions, refer to the sites of the artists presented, discuss the work of certain artists who have sincerely participated in exhibitions and actions for twenty years and open up to other artists in affinity who would like to join us.
This site will still allow those who wish to support us to discover and acquire available works by the artists represented by the Gallery. Those works will be gradually published on these pages, by theme or by artist, with the details necessary for their understanding.
For any questions, information or acquisition, please contact the Gallery by e-mail or by telephone.
Thanks to you
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(1) On our website "Attention l'art peut ressusciter la Vie! ", we publish images of works from all eras that can help you to enjoy such aesthetic experiences in real encounters with them.
Robert Empain
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Les mages à l'approche de la lumière de la Vie. 80x120 cm. Robert Empain. 2022
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Grâce à toi artiste anonyme égyptien
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New Year Gift: Horse Trappings, Norman de Garis Davies, A.D. 1913; original ca. 1427–1400 B.C., Metropolitan Museum of Art: Egyptian Art
Rogers Fund, 1930 Size: facsimile: h. 22 cm (8 11/16 in); w. 12.5 cm (4 15/16 in); scale 1:1; for framed measurements see 30.4.174 Medium: Tempera on paper
https://www.metmuseum.org/art/collection/search/557708
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Grâce à toi artiste anonyme égyptien
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Syrians Bringing an Ingot and a Chariot, tomb of Rekhmire, Nina de Garis Davies, ca. 1504–1425 B.C., Metropolitan Museum of Art: Egyptian Art
Rogers Fund, 1931 Size: facsimile: h. 42 cm (16 9/16 in); w. 55.5 cm (21 7/8 in) scale 1:1 framed: h. 45.2 (17 13/16 in); w. 59.7 (23 ½ in); th. 1.9 cm (¾ in) Medium: Paper, tempera paint, ink
https://www.metmuseum.org/art/collection/search/544617
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Grâce à toi artiste anonyme égyptien
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Female Musicians, Charles K. Wilkinson, A.D. 1921–1922; original ca. 1400–1390 B.C., Metropolitan Museum of Art: Egyptian Art
Rogers Fund, 1930 Size: facsimile: H. 41 16 1/8 in.); W. 64.8 cm (25 ½ in.), scale 1:1 framed: 42.9 (16 7/8 in.); W. 66.7 cm (26 ¼ in.) Medium: Tempera on paper
https://www.metmuseum.org/art/collection/search/557727
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Grâce à toi artiste anonyme égyptien
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New Year Gift: Mirror, Norman de Garis Davies, A.D. 1913; original ca. 1427–1400 B.C., Metropolitan Museum of Art: Egyptian Art
Rogers Fund, 1930 Size: H. 26.5 cm (10 7/16 in); w. 15.5 cm (6 1/8 in), scale 1:1, framed with 30.4.177 and .180 Medium: Tempera on paper
https://www.metmuseum.org/art/collection/search/557712
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Grâce à ces quelques lecteurs qui m’ont écrit...
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Grâce à Pierre Mertens, écrivain, académicien.
Premier lecteur en 1999 de L’Oeil joyau Carnets 1980-1985, le premier recueil de mes textes, augmentés ensuite pour Ad Imaginem Dei - L’oeuvre invisible “Cher Robert Empain, J’ai savouré ce voyage artistique ( et surtout qu’il s’agit d’une amorce à une série…) C’est de pèlerinage initiatique qu’il faudrait plutôt parler. En particulier sur les traces de Picasso à Antibes ( A propos, aimez-vous de Staël ?) Merci de tout cela, bien chaleureusement. Amitiés”
Grâce à Gabriel Arnou-Laujeac, romancier
“Il y a de très belles fulgurances dans ce livre traversé, de part en part, par le souffle et la quête du Tout Autre. Félicitations.“  
Grâce à Marie-Hélène Maindron-Charlier, peintre d'icône
“J’avais rendez-vous avec ce livre et je ne le savais pas. Je l’ai découvert par hasard et j’ai pressenti assez vite qu’à travers le voyage initiatique de l’auteur, qui a commencé bien avant la première page, il allait m’emmener dans un espace ouvert, sensible, créatif – un don que l’on reçoit avec gratitude. Dans un espace de vie bien ancré qui nous fait murmurer : c’est la vie ! Rien à voir avec la fatalité, mais avec le cri, la colère, le surgissement, la beauté, la gratitude. En le lisant, naturellement, j’ai griffonné des notes, fais des croquis. C’est aussi un livre que l’on prend à pleine mains avec des illustrations, de belles découvertes ou redécouvertes.”  
Grâce à Thierry Berlanda, philosophe, romancier
“Ce titre d’apparence canonique est celui d’un livre du peintre, penseur et poète Robert Empain. Cela dit, est-ce vraiment un livre ?  Et est-il vraiment canonique ? Deux fois non. Ce recueil de pensées, d’aventures et de prières est plus grand qu’un livre, plus sauvage aussi. Il n’est pas un objet à classer sur un rayonnage de bibliothèque : il fait partie de nous, présent dans nos cœurs bien avant même qu’il n’ait été écrit. Pas un livre donc, mais une révélation. Pas une référence, mais un ami intime. Pas une thèse, mais un chant. Dans cette pérégrination tout autant rafraîchissante que brûlante (sa nouveauté nous brûle, à vrai dire, et sa brûlure nous renouvelle), nous suivons Robert Empain pas à pas, débonnaire, fervent, parfois en colère, mais d’abord et finalement scintillant de sa confiance en Dieu. Ici il visite Venise ou Florence, à contretemps des hordes de touristes, là l’Espagne, le sud de la France ou les Etats-Unis ; chaque fois l’occasion de rencontres, agréables ou déchirantes, et d’études lumineuses, non seulement de peintres, (ses évocations de Picasso, de Dali, de Cézanne, de Matisse, entre vingt autres, sont inouïes), mais aussi d’écrivains, de sculpteurs (son Cellini est sublime) ou de philosophes (Jung notamment, si l’on veut bien admettre ce génie, injustement réprouvé, parmi les philosophes). Chaque fois, où qu’on le suive, où qu’il nous accompagne, Robert Empain agit et parle avec justesse, mais pas comme un sage en position de surplomb, jugeant et déjugeant, encapsulé dans ses certitudes, mais comme un homme parmi les autres, amoureux, enthousiaste, sagace comme pas deux, parfois frappé durement, mais se relevant toujours pour rendre grâce, sachant qu’il n’est pour rien dans le don qu’il reçoit, dans le don qu’il est, comme vous et moi, d’être miraculeusement vivant.   Ce livre, d’une profondeur et d’une beauté de volcan, n’est pas encore publié. Or aucun véritable éditeur, s’il en reste, ne peut laisser filer un tel OVNI, ce chant d’amour, ce gisement d’intelligence pure, sans tenter avec lui une rencontre du troisième type. Ici, nous n’aurons de cesse de favoriser cette rencontre. Et pas dans l’intérêt de Robert Empain, qui ne s’en soucie pas, mais dans celui de tous ses lecteurs potentiels : c’est-à-dire tout homme ayant un cœur, ce qui nous fait encore un assez grand nombre.
Grâce à Olivier Mass, ingénieur et peintre trop modeste
"Il ne s'agit pas pour moi de faire un commentaire élogieux ou amical au bout du parcours, car ton livre me touche d'une manière particulière. L'idée qui me vient pour caractériser ce que je cherche à exprimer est une notion de globalité : je trouve que ton livre traduit de manière particulièrement juste la globalité d'une démarche : la vie sentimentale et professionnelle, l'expression vive, précise et inspirée d'une aspiration mystique très forte et très vivante, le cheminement d'une réflexion intellectuelle sur les valeurs et la société, une rumination approfondie sur une vocation artistique et les exigences de cette démarche en cohérence avec tes aspirations religieuses, intellectuelles et subjectives, et, pour finir, une iconographie représentant certaines de tes oeuvres personnelles ou celles d'autres artistes qui balisent ton cheminement et permettent d'en apercevoir les fruits. La globalité de ce parcours s'exprimant sur tous ces fronts sonne vrai et me touche, car elle couvre un certain nombre des thèmes qui ont également occupé mes pensées au cours de ma vie. (…) Ton amour mystique de la vie et du Christ que je partage, bien que chez moi il soit plus modéré, raisonnable voire somnolent. Ta recherche picturale logée au coeur de tes aspirations mystiques, de tes expériences oniriques, et de l'étude poussée des maîtres de la peinture et des théoriciens de cet art ; j'ai un peu parcouru ce domaine, en dilettante et pour moi dessiner et peindre est un plaisir "innocent” qui s'apparente simplement à la pratique d'une langue vivante d'un autre type qui nous met en relation avec la beauté du monde et des hommes. Je savoure tes analyses et tes commentaires d'oeuvres d'art pour leur pertinence et la compréhension de l'intérieur de l'oeuvre qu'elles révèlent. (…) Sache que quelque part en région parisienne un petit bonhomme fait un bout de chemin avec toi, le Robert d'aujourd'hui ou d'hier, un peu les deux probablement, et que cet amicale entraide de l'auteur vis à vis de son lecteur reproduit une fois de plus le miracle de la culture qui échappe aux limitations du temps et de l'espace.“ 
Grâce à Aude Fauconnier, artiste
"… C’est avec joie que je suivrai la route du poète pour lire (ou avoir cette étrange impression de l’entendre ?) raconter ses récits dans le tome à suivre. Il y a tant de choses qui méritent d’être vécues et qui attendent que nous venions à leur rencontre. Récemment, pour moi il s’agissait de la (re)lecture de ce livre où l’écriture y est telle une ode à la Vie.“
Grâce à Dominique Lebel, romancière
” Ce livre est né des carnets d’un artiste, griffonnés pendant plusieurs années. Et c’est un livre magnifique. Je vous invite à suivre ma visite, parce que tout s’est passé pour moi exactement ainsi J’ai suivi le guide – bon, par moments je ne l’ai plus écouté mais j’ai toujours été comme ça, incapable de trop de suite dans les idées. Je n’ai jamais suivi une visite  en entier, un rien me distrait. Mais là, j’avais un guide très particulier – vous vous souvenez des piles Duracel et des petits lapins qui tapaient sur un tambour, à la télé ? C’est lui. Et ce n’est pas lui, parce qu’il est aussi peintre. Et il a une prose extraordinaire, donc il est aussi écrivain - ou poète, vous choisirez. Je l’ai suivi à Venise, à Florence, à Ostende, à Manhattan, à Aix en Provence, dans les musées. Je suis partie en avion vers Rome avec lui et nous avons regardé les sommets enneigés des Alpes et il m’a dit regardez bien par le hublot, on dirait d’énormes reptiles pétrifiés. Il m’a montré une chapelle peinte par Giotto, m’a entraînée dans les turbulences des couleurs et m’a dit vous voyez, là c’est un miracle. Il m’a montré les femmes nues de Picasso et m’a dit aussi ce que vous voyez là, ce sont des équations féminines non résolues, comme des bateaux en réparation. Il m’a montré les peintures si lisses de Dali et m’a dit sur ces tableaux-là, le peintre a envie de rire, il plonge dans les apparences pour les détruire, ça l’amuse. Il m’a emmenée vers le sourire du Kouros grec, qui n’a pas trop envie de sourire parce qu’il n’est qu’un homme de pierre et qu’il lui manque la vie,  et il m’a montré aussi le drame dans le ciel, entre la lumière et l’ombre. Et puis j’ai vu au passage quelques femmes, et un couple extraordinaire et un directeur d’agence publicitaire – un peu de sa vie. Il m’a montré des phrases, « je ne cherche pas, je trouve » et celle-là, que je voudrais ne jamais oublier: « La vie est si simple en été ». Et puis il m’a raconté une histoire, qui est l’histoire de l’art,  la vraie, c’est l’histoire d’un œil, parce qu’à partir de la Renaissance, les peintres n’ont plus eu qu’un œil, un œil de verre qui les empêchait de voir. Ensuite ils ont retrouvé leurs deux yeux parce qu’ils ont commencé à piéger cet œil qui ne voyait rien d’autre que la surface des choses, mais ce n’était pas assez. Il a fallu que l’un des deux yeux regarde à droite et l’autre à gauche et le troisième œil est né, avec Picasso. Cet œil-là voit ce qu’il y a à l’intérieur. A l’intérieur de l’écran. Mon guide m’a montré aussi ce qu’il était capable de faire, et je l’ai vu tracer un trait, le trait magique qui réconcilie le dedans et le dehors, vous savez, ce trait qui brise les vitres. Je l’ai vu aussi fabriquer du blanc, son blanc qu’il appelle le blanc camembert et ça m’a fait rire, de la part d’un publicitaire. Alors je dois le remercier – il faut toujours remercier le guide. Pas pour la visite de Venise, je trouve les Vierges à l’enfant espagnoles tellement plus belles et émouvantes que les italiennes. Pas non plus pour la visite de Florence, parce que je suis un peu comme Nina, moi aussi j’ai été happée par les vitrines des boutiques, qui sont fabuleuses là-bas. Non, je voudrais le remercier pour m’avoir cité cette phrase sublime de Fra Angelico, à laquelle je vais m’accrocher à partir d’aujourd’hui (une phrase pareille je vais vous dire, je ne vais pas la lâcher) : « L’obscurité du monde n’est qu’une ombre ». Et au moment de quitter mon guide, je l’ai bien regardé et j’ai repensé à cette parole de Picasso, qu’il m’avait répétée : « à quatorze ans je dessinais comme Raphaël, il m’aura fallu avoir quatre-vingts ans pour dessiner comme un enfant ». Et parce que j’espère très sincèrement que vous irez vous plonger vous aussi dans ce livre, je dois vous prévenir : il n’y a pas de plan de visite. Et n’en demandez pas au guide, il ne vous en donnera pas. Parce qu’il suit le plan originel, comme dans les salles des fac-similés égyptiens, il vous expliquera. Tous ces chapitres sont autant de fragments projetés sur un livre abstrait – abstrait au sens propre, c’est à dire détaché du monde des apparences C’est le livre d’une âme, si vous voulez tout savoir, mais d’une âme qui prend l’avion avec son patron pour aller demander de l’argent aux Américains, une âme qui s’enchante d’un beau paysage, une âme qui se fâche parce que le monde l’énerve, une âme qui tombe malade et qui rêve aussi. Qui rêve d’un art théophanique – auquel vous croirez ou pas, en tout cas, je vous promets une sacrée visite. Lisez-le, franchement, après vous vous sentirez…légèrement différent ! ”
Grâce à Marie Pairelle, secrétaire de mairie.
J'ai enfin pris le temps de me plonger dans ton livre ( Ad Imaginem Dei 1 L'oeuvre invisible) acheté lors de ton exposition à Plaincourault, où j'étais venue te déranger avec mes plans de géobiologie…Peu après, tu m'as demandé si je comprendrais ton cheminement à travers tes écrits. Oui, j'ai compris et j'ai aimé, beaucoup aimé même. J'avais commencé à marquer les pages au crayon papier dès qu'un passage traduisait de belle façon mes pensées, ou m'interpelait, ou me touchait. Je me suis vite rendue compte qu'il y en avait beaucoup trop pour que je te les cite, je vais donc résumer mes commentaires.Je ne m'attendais pas à ton passé de publicitaire et j'ai adoré ton analyse, moi qui ai été trésorière de l'Association Nationale de Défense des Téléspectateurs lorsque la pub a commencé à couper les programmes dans les années 90…Tu m'as un peu scotchée avec la cérémonie de messe. Afficher ainsi sa foi, Il fallait oser !Les descriptions de tableaux m'ont non seulement intéressée mais ont grandement  contribué à mon éducation… Et pas que … “ La Tentation de Saint Antoine” m'a éclairée pour mieux supporter des émotions à combattre et retrouver ma sérénité. Merci.Et tout cet amour ! Me voici rassurée sur la race humaine, encore merci.Lorsque j'ai un écrit important à rédiger, je choisis mon endroit, une feuille blanche et un crayon papier, et j'attends qu'on me souffle. Parfois je m'épate quand je me relis… au fond de moi que sais bien que si talent il y a, il ne vient pas vraiment de moi… Bien sincèrement.
Grâce à Francoise Chaulder, mère de famille et femme de coeur
“Un livre se lit et s’oublie parfois… Il peut être relu ensuite pour se souvenir des moindres détails, le vôtre se parcourt au gré des pages, un chapitre chaque matin tel un livre précieux. On y découvre de bien belles choses : promenades, tableaux… On y rencontre de bien beaux personnages. Mais comment peut il en être autrement puisqu’il reflète votre douceur, votre plaisir de vivre… Je savais qu’en vous lisant sur internet, je devais posséder votre livre sur papier. Merci à vous Robert, grâce à vous mon esprit vagabonde, mes yeux s’ouvrent de nouveau vers un monde plus beau. J’adore parcourir votre livre à n’importe quel moment de la journée, il me renvoie à ma paix intérieure…”  
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Grâce à Raymond Oillet, philosophe
“J'ai lu avec plaisir la belle page que Thierry Berlanda a écrite pour présenter Ad Imaginem Dei : il vous compare à un ‘volcan’ et non à un ‘ange boiteux’ comme vous dites… Et moi je vous vois comme un 'phare’ mais c'est toujours en précisant 'à qui sait voir…’  Rappelez-vous Mallarmé qui parlait du 'troupeau ahuri des humains’…
Mais je lis dans votre livre : Les hommes sont des miracles qui s'ignorent tant qu'ils doutent de la source invisible qui les fondent, tant qu'il ne leur vient plus à l'esprit qu'ils sont eux-mêmes les preuves qu'ils cherchent éperdument au dehors, là où ne se trouvent plus que des traces éphémères de leurs vies. Ainsi, doutant, ignorant ou méprisant les pouvoirs qu'ils reçoivent du Vivant, ils les épuisent en conquêtes extérieures où ils s'annulent les uns les autres.(p. 304)
Et ceci un peu plus loin, sur Matisse, p. 311: L'émotion est ainsi le miracle qui meut simultanément, fait vibrer les couleurs de l'âme et les couleurs correspondantes du monde. Ce miracle, qui fait se rejoindre lumière de l'âme et lumière du monde, est semblable à celui qui met en résonances les sonorités de l'âme et celles du monde, ainsi que les saveurs, les senteurs et des élans du coeur. Toutes ces correspondances vibratoires étant celles du dedans et du dehors, de l'invisible et du visible, de l'âme et du monde, de l'Incréé et du créé, du Créateur et de sa créature, du Vivant et des vivants, de l'Amour et des aimés. Tous ces phénomènes se nomment encore des théophanies, à savoir des réalités divines manifestées dans le monde mais éprouvées dans l'invisibilité vivante de notre âme.OUI. La création, faudrait-il ajouter, me rend responsable de l'Amour. L'Amour inspire la Sagesse et réciproquement sans doute car sans discernement ni prudence, l'erreur et la passion nous emporteraient. Il n'y a pas UN (seul) mais bien création, Un en Deux, la créature (ou Fils) étant responsable du 'jeu’ ('je’) Et vous n'avez pas manqué cette vérité. Vous écrivez 'miracle’, 'théophanie’, 'résonance’ - vous savez, j'ai même précisé 'résonance’ et non 'raisonnance’ ! L'Amour et pourquoi pas la Foi ; je ne répugne pas à ce mot, somme toute le sentiment intense et précis d'appartenir à un ordre divin, mais qui n'est pas mécanique, déterministe. Liberté et responsabilité sont liées.”
Grâce à Jean Lavoué, poète, éditeur
“… Je viens de terminer la lecture de votre ouvrage dans lequel j'avais pu me plonger trois heures d'affilée jeudi après-midi. C'est la force de l'expérience intérieure et de la foi bien sûr qui s'impose et à certains moments nous emporte vraiment vers ce royaume de confiance et de Présence auquel l'art nous introduit. Votre art, mais votre écriture aussi et l'enthousiasme qui la soulève… Merci de m'avoir ainsi initié un peu plus à la magie de la création picturale et à tout ce qui l'accompagne dans une existence comme la vôtre traversée d'éclats, de joie et de douleurs… Et toujours cette Vie, cet indicible, cet invisible sur la toile duquel se dévoile pas à pas l'oeuvre essentielle. ”
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Découvrez sur Appel Books : AD IMAGINEM DEI 1 L’œuvre invisible de Robert Empain, un livre de 372 pages  illustré magnifiquement par les oeuvres d'art évoquées.
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Grâce à toi Hans Memling
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Christ Giving His Blessing, 1478, Hans Memling
Medium: oil,oak
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Grâce à toi Hans Memling
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St. Jerome, 1490, Hans Memling
Medium: oil,oak
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Grâce à toi Sano di Pietro
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Sano di Pietro
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