lecrivain05
lecrivain05
L'écrivain de la fiction imaginaire.
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lecrivain05 · 3 years ago
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lecrivain05 · 3 years ago
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Je peux suffoquer
Je peux agoniser
Je peux faiblir
Mais retenir... Larmes désespoir et colère en trois mots négativité, solitude, agressivité.
J'en ai besoin de toute façon quoi qu'il arrive quoi qu'il arrive j'en ai forcément besoin comme elle ou lui je n'ai pas à en avoir honte... D'apparaître sensible heureux malheureux devant un film à l'eau de rose... S'attacher au la vie d'un simple personnage d'une famille dont on aimerait faire partie pour identifier devant une scène un moment émouvant qui nous donnerait tous envie de crier la chamade, et nous permettrait un moment de réflexion pour dire adieu aux tabous sentiments forts... Tu pleures laisse-moi être fier et heureux de ne pas te laisser embobiner par les préceptes stupides de cette génération très renfermée. Et si tu penses que ça fait de toi une personne faible dont la virilité vient d'être ébranlée... Alors tu vraiment sont le connard numéro un sur la liste des imbéciles. Soyez fier quoi qu'il en soit, alors vous pourrez fièrement crier que la honte est là et qu'elle restera et crier d'une voix grave et sans bavure, vive la honte !!!
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lecrivain05 · 3 years ago
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On en a tous le besoin, on en a tous le droit... Alors laissons nous aller un bon coup. Comme nous sommes tous et seront à tout jamais humain.
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lecrivain05 · 3 years ago
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Papa ?
Petite comme un grain de sel l'innocence sous toutes ses formes. Regarde regarde comme tu ries enfant de la nuit. Unis et désunis à bien des façons aujourd'hui je la revois cette petite main à la peau si délicate qui grimpe sur mes genoux se blotissant autour de mes bras pour éviter la venue du monstre sous son lit. Tu as eu beau crier, tu as eu beau pleurer mais tu ne m'a jamais oublié... Papa es-tu là ? Papa attends moi ! Papa reviens là ?
Il fut un temps où tu n'étais qu'autorité et conflit la porte condamné inviolable reloger aux côtés des vieilleries du Dimanche. Papy disait ainsi. Calme toi, petite fille
Calme petite fille.
Ne sois point effrayer
L'obscurité ne t'atteindra pas
Calme toi le ciel s'éclaicira
Calme toi papa est là...
Calme toi papa reviendra.
Aurais-je eu honte de croire, contempler la fenêtre chaque soir à la recherche du visage de l'homme de dos ou de face. Les passants dévalant la rue, laissant les ombres les une après les autres défilé les une après les autres. Recevant. à nouveau le sentiment de déception facilement descriptible mais dès lors inavouable.
Rouvrant de ce faites le dossier sans réponse.
Fixant la glace en me demandant qui est-ce ? Et pourquoi n'était-il pas avec moi ? Le point d'interrogation, qui échappe de justesse à la justice qui n'a que trop longtemps été espéré. Vivre avec ou sans, cette cicatrice ce mal douloureux qui vous donne la force et le courage d'exister de sortir courir un cent mètres à la découverte de vous même. Résolvant ainsi le casse-tête de la vie. Préparant le deuil d'une vie, trop longue pour être sacrifié, à la trace dissimulée évaporée à travers la chimère.
Priant ainsi l'homme de ne jamais interrompre son voyage.
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lecrivain05 · 3 years ago
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Couper le mal à la racine... Nous avons toujours eu cette expression qui nous trottait à l'esprit, et nous a toujours amené à nous entraider l'un, l'autre. Mais dans quel but ? Certains plus couillon que d'autres n'y voyait aucune cohérence. Se tuer à la tâche... Voilà ce que nous nous efforçions de faire vingt quatre heures sur vingt-quatre. Mais à quel prix ? Le prestige, la reconnaissance, fut la tentation de trop. Comme on dit on n'a rien sans rien.
Bien sûr tout ce que l'homme rêve ne le tuera point, batailler et déblatérer sur le talent du nouveau venu dans la brigade, ne servirait finalement à rien. Des légendes, des rois de la gastronomie italienne. Non nous préférions plus simple les Cuistots. Une appellation simple direct et brève qui ne nous différenciaient pas plus qu'un autre. Je m'en souviens de cette fameuse journée qui a bouleversé nos vies à jamais. Nous ne pouvions pas y croire. Nous en avions tant rêvé et voilà qu'aujourd'hui il se présentait à nous comme un nouveau nez en manque de câlins. Notre premier restaurant un endroit conviviale et sociable que nous espérions imprégner de gaieté et de joie tout au long de cette aventure. Transmettre l'affaire familiale d'une main à l'autre jusqu'au bout. Perdre capituler. Dire adieu à la persévérance, à ce l'ingo d'or qui s'aloudit un peu plus à travers la paume tombant dans le puits s'enfonçant dans le tenébrisme d'une architecture amère et morose. Gachis ? Quel gâchis ? Nous répétions nous. Comment avions nous atteint un tel niveau d'abondance. L'Ambition encore et toujours l'ambition. La rançon de la gloire avait finalement eu raison de nous.
Voir plus grand ce qui nous a séparé et relié à nouveau. Une vision différente. Des divergences ouvrant fréquemment la voix du conflit... Des idées parfois farfelues les une après les autres. Des frères autrefois complice devenaient ainsi des étrangers. le simplisme qui était pour l'un la balle anti-stress et l'ambition qui fut pour l'autre une véritable obsession. Nous nous souvenions de ces nuits blanches privilégié à la cuisine. Pendant des heures entières à inventer la recette parfaite qui nous démarqueraient des autres, et qui ferait de nous des chefs reconnus dans le monde entier. On a beau dire pardon les excuses ne suffisent pas. Il faut alors s'adapter à ce nouvel échange à distance le manque la désolation, la peine la barrière qui peu à peu monte petit à petit et laisse apercevoir la porte de ses coeurs autrefois épleurés et meurtris par le chagrin, cicatrisant les plaies et recouvrant les blessures refermées à tout jamais. Désormais nous étions prêt à recoller les morceaux de ce tandem longtemps brisé.
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lecrivain05 · 3 years ago
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Les regards se posent et s’imposent au moment où on s’y attend le moins… Ils naissent et s’agrandissent commençant à s’envenimer et à s’entrecroiser entre eux jusqu’à qu’il ne reste plus que des corps vides gelés presque attendant qu’on vienne les enterrer.
Cela est-il possible quand tout est perdu et qu’il ne reste que les fantômes de ces défuntes âmes errantes qui ne cherche plus que la paix, le repos, ou la vengeance. Oui vous l’ignorez sûrement mais c’est le rythme que certains ont vécu, et que malheureusement nous suivrons nous- même par la suite.
Pour nombreux d’entre nous c’est bouleversant troublant inconcevable, la loi de la nature qui donne et qui reprend quand elle le décide.
Le choc, le regret, la haine, la détresse sont présents nous essayons de les refouler, de nier ce qui nous arrive mais où cela nous conduira rester vivre dans ce qui a été et ne pas faire le pas d’avancer sur ce qui adviendra et qui sera permettant de nous rendre plus fort, plus courageux surtout et qui nous permettra d’affronter les prochaines péripéties qui se présenteront à l’avenir. Chérir espérer et graver, certes mais se focaliser et se renfermer n’a plus aucun sens et laisse place à la solitude dont nous sommes les seuls originaires de cette situation.
Faire passer le sentiment de perte avant la reconstruction la plus grosse bêtise qu’il nous ait jamais été donné d’accomplir.
La leçon préconisée faire son deuil le plus sainement et le plus calmement possible
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lecrivain05 · 3 years ago
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Diminuer, voilà ce qui m'envahit en ce jour. Des forces moindres, en cultivant des résultats probants. Voltiger à travers la passion et le dégoût chaque jour sans jamais savoir si vous vous brûlerai les ailes au final. Agir à contre coeur, enfiler la peau écoeurante et dure d'un chien errant à travers les rues. Le regard perçant à espérer mieux… Le rôle à confectionner les dialogues à imaginer, le murmure à intégrer qui mettra vos sens en éveil… Je me cache à travers ce lieu de perdition, ces applaudissements et ces rires provocateurs, je reste inconditionnellement dans les aspects positifs de ma condition, douceur plaisir, et le pire de tous le sacrifice, la perte, celle aux exploits inoubliables bénéfique. Ils louent mes services, dans le seul but de se remplir les poches, l'arme secrète sur laquelle ils se sont reposés plus d'une fois. L'homme de main qu'ils sont toujours pu exploité. Aimer cela telle une passion une énergie sensationnelle vous traversant à travers tout le corps, mais qui reste tout de même anormal.
Le choix ne m'est pas permis je le crains, c'est une mission suicide que je me dois d'honorer à toute heure du jour comme de la nuit. Suis-je entré en cette terre avec de telles ambition, et une envie irrémédiable d'être tenu en laisse, à la botte de celui ou celle qui me traitera comme un moins que rien, oh mon bon Dieu que je bénis tous les soir, pourquoi cette condition ce fardeau à tenir comme un trophée et à chérir comme un présent, tout ce que on nous enseigne c'est à être prédisposé à la dévotion, la reddition totale que tous détiendront encore et à jamais… Animal de foire, animal d'exposition, repas du midi et du soir, renchérit continuellement au premier venu, et expédié de l'habitat naturel ou nous avions creusé racines et terres sacrées. Les hommes ne nous considèrent en rien comme important, faisant partie intégrante du monde comme eux. Tous se résignent à agir à contre cœur contre l'espèce animal, qui aujourd'hui prend les devants et agit en conséquence face aux actions commises par la race humaine qui met en péril l'équilibre même de la nature et de ses nombreuses bêtes qui ne demandent qu'être épargnés par ce funeste destin. Tout ce que le monde contredit fièrement et dément certains propos pour éviter de se justifier et mettre en avant la face cachée de l'histoire qui dévoile les mauvais traitements infligés aux animaux. Battons nous pour leur survie et trouvons la solution qui nous permettrons à tous d'y trouver notre compte.
La vie animale une suppression interminable d'espèces fantastiques en voie d'extinction.
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lecrivain05 · 3 years ago
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Survivre, survivre par dépit, survivre par malheur. Survivre le seul mot d'ordre qu'on entend de la bouche des personnes égoïstes, qui sont prêtes à laisser les autres se sacrifier à leur place, pour éviter de se salir les mains…
Je ne suis pas né, pour apprendre, je ne suis pas né pour aimer, je ne suis pas né pour profiter… Je décime l'obstacle à travers la pierre et trahis pour arriver à mes fins. À jamais traquer, à jamais puni, banni de tous lieux, libéré de toute censure, libéré de tout jugement. Malgré tout effrayé de l'intérieur, mais vivant de l'extérieur, me faire des alliés, puis en faire des ennemis à supprimer, ainsi que je vis ainsi que je respire, ainsi que je subis.
Vous avez beau, m'éradiquer, au-delà des frontières de l'horreur enchaîner brûler, et tuer, je trouverai toujours le moyen de vous hanter.
Mon âme est pourrie, faîtes de rancœur. Je m'adoucis, et je suis prêt à commettre… Le sens du devoir et du sacrifice m'est inconnu… Rester envie dans cette société où tu ne peux te fier qu'à toi même. Je connais ma condition, je l'assume et en fait d'elle une arme fatale, à ceux qui osent l'affronter. Survivre ma seule loi, mon devoir imposé, mon intérêt ultime, face à cette bataille éternelle qui n'en finit pas. Survivre à n'importe quel prix ? Répudier et haïs de tous, vivre dans les ténèbres, mon vécu, ma survie, mon choix de la vie.
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lecrivain05 · 3 years ago
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Un océan dominant, une herbe fraîche où se poser... Des sources revigorantes et naturelles . Une chaleur infernale à ne plus respirer. Un soleil qui n'a jamais connu l'ombre d'une nuit nocturne, où la délicieuse brise d'un hiver du mois de Janvier. Un monde idéal, où tous veulent trouver refuge et confort.
Je me console en me persuadant qu'un monde répondant à ces critères à connu sa première explosion de matière. Un monde où tout ce que nous connaissons comme notre poche désormais, ouvre la porte sur une nouvelle race, une nouvelle terre qui perce le mystère sur de nombreuses questions et en pose bien d'autres encore, nous menant vers une toute nouvelle direction. Selon vous, ce monde a- t-il déjà planté racine ? Ce monde aux origines fantaisistes qui nous permet de prendre la fuite et de ne jamais nous retourner pour faire face à la réalité du monde qui réveille de vieilles blessures. Le monde dans lequel nous demeurons n'est pas forcément celui dans lequel nous devons obligatoirement séjourner. Un monde Le monde le vrai monde est celui que nous bâtissons au fond de nous qui nous permet d'évoluer à notre rythme, où l'ordre de s'appliquer à un devoir ou à une parole n'est point soumise à être exécutée ou respecter... Un point de départ qui n'a pas de prix, qui vous offre une vision de votre univers qui vous épanouit et vous pousse à aller de l'avant. Un monde intérieur qui ne fait qu'une bouchée de vos ressentiments et de votre amertume. Pour vous préparer à faire face au monde extérieur. Un cœur autrefois meurtri par sa rage décide de faire ses preuves et de s'aventurer le plus loin possible de son havre de paix. De ses expériences passées il savait que malgré toutes les prières prononcées jusqu'à présent Il ne serait capable continuer sa route indéfiniment. Rendre l'âme sans avoir été capable d'accomplir son plus grand exploit entrer dans ce monde, cette société, qu'il définit comme un premier, un second, un milieu et une fin. Balayer toutes ses appréhensions et incompréhensions n'est point chose facile, mais si elle est nourrit par une force de surmonter ses traumas, elle ne sera plus conquérante bien longtemps. Se détacher de cette idée, de cet espace, peu ordinaire, dire au revoir à ce monde qui peut être fier d'avoir été présent là, quand vous avez décidé de jeter la clé, et avec la larme à l'œil, quand vous avez été enfin prêt à faire un pas vers la porte. L'issue de beaucoup d'entre nous à qui la déception ne leur à point montrer un signe de compatissance, ainsi qu' une légère lueur d'espoir qui vous dit qu'un jour vous pourrez monter toutes les marches de l'escalier et ne plus vouloir redescendre. Le monde intérieur que j'observe et défait aujourd'hui, m'a permis de déclarer et de prendre conscience que si j'avais la chance de recommencer et de remettre le train sur les rails.
Je ne changerai point de ligne. Et vous, quelle est votre vision du monde ? À quel monde intérieur pensez-vous appartenir ?
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lecrivain05 · 3 years ago
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Ce n'est pas celle que tu es mais c'est celle dont tu veux que les gens se rappellent. Celle dont la parole est une chose fraqile dont il faut prendre soin. Celle qui ne s'est toujours pas reprochée de ne jamais s'arrêter au moment où tout ce qu'elle désirait au plus au point lui semblait désormais oublié. Celle qui s'est toujours dit que ce ne serait qu'une jolie parenthèse parce qu'elle savait au plus profond d'elle même que s'attacher pourrait lui être fatale. Cette femme à qui pourtant rien ne manque, n'a pas pu concevoir l'idée de devenir autre que ce qu'on visualisait d'elle. Est-ce une peur, d'être dépendante. De ne plus connaître le plaisir, la soif, la sécurité... Celle qui a toujours été maîtresse de la situation. Confiante face au monde dont elle détenait le pouvoir. Réservée au temps de l'action, ouverte à l'heure de la transcription. Un mentor qui prendra un immense plaisir à faire éclater la bulle et donner un potentiel avant goût de ce à quoi votre nouvelle vie ressemblera. Une vie de dépravée voguant atrocement dans le péché auquel nul n'arrive à comprendre que par l'aspect du dégoût et du jugement continuel Prendre partie et renier facile à dire pour quelqu'un à qui tout réussi... Et voilà ma réponse...
T'es-tu déjà reconnu au visage d'une personne qui n'est qu'admiration. et perfection. Moi je te dirai que non. Contrairement à beaucoup qui ont leur bonne étoile à porter de main je reste parmi celles et ceux qu'on mentionne comme les invisibles. L'illusion la transparence. Qu'on prend, et à qui on ne dira jamais à quelle point elle compte, parce-qu'elle n'est qu'une sensation de fraîcheur dans un bain bouillant. Un repas exquis qu'on déguste espèrant peut-être que pour une fois on en termine les restes. Cette fille à qui on a tant appris... Qui a tant découvert sur le monde, rencontre aujourd'hui la femme. Et qui pourtant retient la leçon et se soumet une nouvelle fois sans un mot attendant sa prochaine visite. Se dirigea vers la fenêtre le sourire au lèvres observa le ciel avec attention et vit ces deux opposés entrer en collision un au couleur bien sombre à qui la route avait semblé incertaine. Un aux couleurs bien claire à l'allure rassurante qui dans leurs derniers instants songèrent à la vie comme la mort voyant les derniers rayons de soleil, se dissiper dans l'oubli.
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lecrivain05 · 3 years ago
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Où es-tu ?
Partout à l'arrière à l'avant. Tu sembles si près mais jamais trop loin. Garder tes distances ce que tu fais si bien.
J'ai beau crié j'ai beau pleuré rien ne m'amènera jusqu'à toi.
Je m'en rends compte de plus en plus jour après jour. Année après année. Mais rien ne serait capable de la forcée.
Elle m'a tant mis en garde. Elle m'a tant rattrapée sans jamais relâcher. Pousser la benne pour mieux respirer. Ouvrir les fenêtres pour mieux éradiquer. Je n'ai jamais voulu essayer. J'en ai trop dit ou pas assez. Cette issue à la porte close... Dit moi que ce ne fut pas le dernier à entrer. Je ne peux qu'attendre un jour, je ne peux qu'attendre une nuit, mais pas plus d'une décennie. La parole à bien changée depuis le temps. Mais je ne peux qu'espérer qu'elle me soit bénéfique à nouveau.
Transparence jusqu'au même degrés. Ma condition ma chute ma dernière escale, sont aujourd'hui tienne pour toujours et à jamais les déboires auront finalement atteint l'inimaginable. Regrettable jouvence, regrettable jeunesse. À quoi m'as-tu prépare ? J'en viens à rendre J'en viens à observer comme si tout s'imprégnait pour mieux encaisser. Tout se matérialise figeant ainsi mon mémorial dans l'arbuste. Qui comptera et filera l'histoire telle qu'elle se poursuit. À toi la vie qui dans l'affaiblissement redonne la raison et la foie dans ce sombre tas. Regrettable fille , regrettable folie. Je te laisse. Rabougris dessécher comme le lion surexcité. Regrettable aux sons, regrettable au cris. L'infime regret éconduit à travers la coquille. Ramener à l'état de furie. Regrettable jeunesse toi qui te positionne et raffermit... Oh regrattable vie, oh regrettable cris. Perds, vis, éclate fuis comme la cuit, trancher à la scie.
TEXTE EN RIMES...
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lecrivain05 · 3 years ago
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Dans le coeur qui s'imprègne de vivacité.
Tu montres une force de caractère qui te faisait défaut en ces temps...
Être à ton chevet t'empêcher de t'écrouler. Une santé de fer qui se déploie, te promettant une seconde chance.
Je t'accompagne et t'observe te débattre avec aplomb sans jamais te résigner. Le corps endoloris. Les yeux écarquillés dans le vide. Les souvenirs qui retournent vers leurs plus belles années s'étant résolu à ne jamais en immortaliser un second. J'ai esquinté ton mal pour en faire une force la séquelle
n'est plus ne reste plus que toi livrant bataille et mettant à genoux ces tourments qui font rage. Je te somme de t'équiper et de ne faire qu'une bouchée de ce fardeau qui se nourrit de tes ressentis les plus sombres.
Une volonté de faire sans égal à celle d'un autre pour qui peu suffit largement. Toi qui endure, toi qui survit au loin, donne lui de ce pouvoir de cette emprise qui lui échappe entre les doigts. À travers le voyage, la réponse te parviendra. L'âme sans dessus dessous tu dirigera le poing survolera la vague. Tout droit vers la porte des cieux tu sonneras. Ignorant et cupide tu as été. Valeureux et orgeuilleux tu es... Tu reviendras éblouir cette terre. L'espoir qui attend patiemment son heure pour se révéler à nous. Le battant qui reste en retrait pour accomplir ce qu'aucun autre n'est parvenu à mener à terme.
Le battant qui respire et vit en chacun d'entre nous
À nous de tout mettre en oeuvre pour le faire sortir.
Dans la profondeur de l'être humain, tu trouves refuge, forge la facette de ta personnalité, qu'aucun pas même toi n'est en capacité de percevoir. Je fais partie de ce que tu es... Celui que tu prie de ne pas prendre le dessus quand tu te sens si vulnérable. Terrifié à l'idée de découvrir ce que nous sommes l'un comme l'autre. Tu me condmanes à l'exil. Loin de tous. Moi qui t'implore d'être plus, meilleur que tu ne l'as jamais été te battre pour ce qui te révolte de l'intérieur. Laisse moi ce rôle, cette histoire que tous rêvent de vivre.
Moi ou toi quelle différence cela apporterait. Une prise de conscience qu'on attendait plus... Mais qui pourtant n'a jamais été aussi présente. Toi qui rit dans tes moustache, Je me heurte moi même à mes propres déceptions, qui m'obligent à voir les choses avec plus de rigueur et d'opinion. De fil en aiguille nous avons tous un temps une envie. Chacun étudions cherchons jusqu'à nous trouver. Unique en nos genres, nous aspirons secrètement à être le ou la meilleure en tout. Mais rien ne nous conviendra jamais si nous considérons cela comme une tâche et non comme un plaisir. Moi qui suis émerveillé à chaque succès personnel et financier. Je prends un temps pour réaliser et réeffectuer. Moi qui ait acquis sans jamais savourer où est l'intérêt d'exercer sans comprendre nos motivations. Personne n'est et personne ne sera. Toi qui saute sans savoir, moi qui chevauche à reculons sans céder à la répétition. Je trouve un sens qui t'est inconnu. Mais qui te semble d'or et déjà gagné d'avance.
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lecrivain05 · 3 years ago
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Plus rien à dire... Plus rien à prouver
Prêcher et lever, notre verre à notre seule santé. Devenir l'ombre de soi-même. Ce qu'il pense ce qu'il dit à toi de dire oui
À toi de dire non.
Une impression qui s'apaise. Une descente à parcourir un oeil qui s'ouvre un oeil qui se ferme. Tu m'as toujours dit de courir sans savoir pourquoi. Courir fuir sans comprendre sans dire stop et en un rien de temps arriver sur la piste emporter par l'éclair qui s'invite à la partie déjà très endiablée...
Me vois-tu rire ? Me vois-tu savourer ? À nos débuts à nos instants comme à nos fins... Ce que avons bâti, ce que nous découvrons et ce que nous refoulons.
Restons en là à travers ce chemin écailleux qui donnait autrefois tout son sens. Nous décidons sans regret de refermer le coffre... Sans savoir si un jour nous le réouvrirons
À nous le saint, à nous l'amour, à nous la peste. De celui qu'il est reste la plus belle des sincérités. Mère Nature choisit-telle ce qui peut donner lieu à la construction ?
Aimer à tort et à travers comme on le fait si souvent ... Nous nous sommes un jour trouvé sans que rien ne soit prévu d'avance... Un Amour passionnel fougueux qui ne s'est jamais laisser consumer par la peur du déjà vu ou de la lassitude.
Nous libérons l'air qui éteindra le feu délivrant l'amertume et la douleur. Jeter la pierre à l'eau qui resserrera ce lien mutuel qui nous collera à la peau comme deux spécimens
qui se doivent respect amour et affection en toute circonstance. Qui ne peuvent en aucun cas apprendre des autres et d'eux même, sans se référer aux conseils de l'autre. Nous nous racontons sans cesse qu'importe le temps qui s'écoule rien n'est en mesure de fragiliser cette relation cette alchimie positive qui nous vient quand nous nous imaginons au bas de l'échelle. Les individus qui feront tout leur possible pour vous sortir du placard. Qui tiendront la barre du navire et commanderont l'équipage face à la plus haute vague. Amis du jour... Amours de nuit Adorateurs de jour. Père frère, ami. Fille femme soeur. Ennemie. Les illuminés, les mythes, qui Jubilent dans les vapeurs. Ils glissent à tout bas discrètement.
Le monde n'a jamais jugé bon de prendre la parole sur ce qu'il attendait de nous. Qui qu'il ou qu'elle soit nous observe. au loin se faisant sa propre opinion sur la situation. Genre et race s'entrecroisent et donne vie à une société imparfaite, qui n'a que faire des êtat d'âmes et décide d'opérer en solo.
Dans un monde où tout semble mener à une rupture sanglante il est possible de songer que lorsque les temps seront des plus compliquées un espoir. Une volonté nous permettront de faire de l'inexplicable une réalité. Pour ainsi reconstituer les premières armure sur un champ ravagé par le chaos.
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lecrivain05 · 3 years ago
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Ne m'en veux pas... Même hors de toi je te dirai que c'est pas moi. S'il-te-plaît ne me blâme pas pour tout ce que tu ne comprends pas, des souvenirs à préserver. Des appels à ignorer. La pause est là...
La pause est là tu ne comprends pas... Tu ne comprends. pas Tu m'as toujours répété d'aimer. Tu m'as toujours répété d'apprécier. De ne jamais faiblir. Jouer gagner et perdre ce que j'ai connu ce j'apprends et ce je reçois. Je répondais présent à chaque cri sans jamais recevoir la reconnaissance tant recherchée. À moi de te la poser aujourd'hui. Pourquoi une telle emprise. Pourquoi un tel regard ? Un intêrét si peu commun, sur qui tu transmets tes rêveries insensés. Me tendre la pierre au moment le plus critique ce que tu faisais de mieux. J'ai appris à mes dépends que je n'aurai jamais le rôle ou la place tant convoitée. Un apprenti médiocre qui ne serait poursuivre dans cette voie que par complaisance ou pitié. Celui qui un jour dit oui sans savoir où cela le conduira. Celui qui ne pus s'empêcher de plonger en sachant qu'il ne remontera sur la terre ferme. Celui qui n'est point retenu, celui qui n'est point attendu... Celui qui s'attendait qu'on lui dise Qui-es-tu en lui claquant la porte au nez. Celui pour qui on n'aura jamais de considération. Celui à qui on dit qui n'est pas fait pour, qui ne sera jamais en accord avec ce que les autres arrivent à apporter. Celui à qui on a dit, on ne te prendra jamais de haut. Celui à qui on a dit on est ce qu'il ne sera jamais aussi que nous car sa fragilité est un frein qu'il ne serait contré. Celui à qui on a dit, la personne la plus égocentrique à qui on devrait cloué le bec aurait tort de stigmatiser une personne dont les atouts ne se révèlent finalement pas dans des activités sportives. Celui à qui on a dit qu'une personne en situation d'handicap ne pourra jamais faire évoluer ce monde parce-qu'il n'a qu'un rôle de pauvre victime. Celui à qui on a dit, Personne n'est faible, personne n'est fort, juste humain et peut-être... Incroyablement talentueux. Celui à qui on a dit, qu'as tu fais de mieux ? Qu'as tu fais de pire sans jamais te rendre compte, ouvrir les yeux et apercevoir ce qui compte réellement. ce qui a une valeur incomparable.
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