lesdeblaterationsanonymes - Tumblr blog

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Et puis on s’en remet à internet, à la simplicité de se sentir moins seul rien qu’en entrant un url. On s’en remet à un clin d’oeil, un cœur ou un match.

Ça me ferait presque marrer. 

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La vision que j’ai de moi actuellement : Le boulet qu’on ne retient pas

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Je me suis rarement sentie aussi vide, malgré toutes les pages et les pages de connaissance que je m’injecte. 

J’ai un problème, je crois. Ou peut-être serait-ce les autres ? 

Quand certains se laissent couler, vivre sans réfléchir, moi je suis là, fidèle au poste à me poser une centaines de questions à la seconde, à me triturer l’esprit avec des sujets totalement cons mais qui me semblent important. 

Vraiment, je sais pas. 

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J’avais pas encore compris, il fallait qu’on me blesse une dernière fois (peut-être?). Mais cette fois ci je mettais entourer de papier à bulles pour éviter le mal de faire place. J’avais décidé de laisser couler la vie, de profiter de tout les moments, tous. Mais voilà apparemment être bien à un prix et si vous ne le connaissez pas, demandez les conditions avant de vous lancer. 

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“L’espoir fait vivre”

Je l’ai rarement trouvé aussi fausse cette phrase. 

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C’est pas l’amour le problème. C’est les hommes. Les hommes qui ne savent pas ce qu’ils veulent, qui s’égarent quelques fois sans vraiment comprendre pourquoi. Ces mêmes hommes qui pensent et qui ne pensent plus, qui te sortent de l’eau pour t’y plonger à nouveau. Des agitateurs de cœur qui mettent tout en pièce ton intérieur. 

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Car j'imagine toujours le pire et le meilleur me fait souffrir

Indochine

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J'ai été blessé. J'ai versé beaucoup de larmes et crié ma rancœur mais finalement je ne peux mettre de mots sur celle ci. Je pense qu'elle est peut-être trop forte, trop puissante. Mais j'ai mal, c'est un fait. Je suis rongée et mon coeur se consume, je n'ose plus y penser, je n'ose même plus y croire à cet amour… J'aimerais lui faire du mal comme il en a fait à beaucoup et comme il continue à le faire. On est loin des satanés papillons dans le ventre et des foutaises de cour de récré, on est loin du désir et de la tendresse, aujourd'hui. Finalement, c'est peut-être cela, une foutue façade, un crève coeur, un attrape con. Je le saigne cet amour.

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la république des enragés_xavier bruce

Mai68 vivra toujours

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Je suis cette insatiable tête de mule qui change sans arrêt d’avis, qui se fait du mal une fois sur deux, puis qui regrette, qui dit pardon, qui prend les bonnes décisions quand elles ne sont pas à tenir, qui fichent tout ses espoirs par terre pour mieux les ramasser, qui fuit toujours le regard...

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A la lumière de nos amours, comme un mégot sur du velours. En cendres au fond d'un cendrier, il faudra bien mourir et me finir entre tes lèvres quand dans le ciel on se soulève contre la gravité du monde, mon amour quand tu tires, quand tu fais brûler l'oxygène, quand tu fais du bien dans la veine, quand tu consommes et tu consumes, quand on parle avec Dieu, quand de nos feux c'est l'extinction de l'incendie à l'horizon, quand j'ai plus le choix que m'éteindre. Rallume-moi !

Saez, Cigarette

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Et puis tout d'un coup, plus rien, le vide, le néant. La tête qui gonfle et le cerveau inondé. La perte de l'équilibre et les murs qui tombent.

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J’étais un électron libre, dont la force, la charge et la direction pouvaient être inversées à tout moment par des forces aléatoires extérieures à moi. J’étais l’une des balles perdues de notre époque.

de Steve Tesich, Karoo

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La norme. Si j'ai un nez bossu, j'y rentre ? 

Elle est censée regrouper mais elle divise. Il y a trop de monde, trop de différences et de personnalités, trop de vécus et d'histoires. 

On doit donc se contraindre ? Respecter ? 

Je n'y arrive pas. Je ne saisis pas le sens. Pourtant j'ai essayé, je vous le jure, j'ai tenté de rentrer dans une caste, de suivre les rangs, d'être au goût du jour mais évoluer dans mon temps est devenu de plus en plus terne. Evidemment et heureusement certains se complaisent dans cette idée. Mais j'y peux rien, les clones ne m'intéressent pas. 

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J’aimerais être quelqu’un d’assez bien pour être vu avec toi.

(via vivreaveclesmaux)