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Les Filles D'Arnaud2k
13 posts
Parfois, certaines histoires peuvent vous choquer. Elles ne reflètent que 20 % de la réalité. Sachez faire la part des choses entre les mots et les actes. Merci
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lesfillesdarnaud2k · 15 days ago
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Le Mariage de ma fille Histoire 0013
1/5 C'était le mariage de ma fille, un événement grandiose, une célébration somptueuse où plus de cinq cents convives se pressaient dans une effervescence joyeuse. Tout s'était déroulé à la perfection, chaque détail soigneusement orchestré. Assis dans un coin, un verre de champagne pétillant entre les doigts, je laissais mon regard errer sur la foule, à la recherche d'une proie qui saurait attiser mes sens. Mais ce soir-là, l'assemblée semblait fade, peuplée de jeunes femmes trop vielle, des poulettes de plus de vingt-deux ans, charmantes mais sans ce je-ne-sais-quoi qui fait vibrer.
La réception battait son plein, les corps dansaient, emportés par la musique enivrante. Je restais là, tranquillement installé, savourant la fraîcheur du champagne et l'ivresse légère qu'il procurait. C'est alors qu'une voix douce, comme un murmure de velours, glissa jusqu'à moi : « Tu veux danser avec moi ? » Mon cœur s'emballa. C'était elle, la fille d'une amie de ma fille, une vision enchanteresse. Je l'avais déjà aperçue, mais j'avais détourné les yeux, de peur que mon trouble ne trahisse le désir secret qui grondait en moi.
Comment refuser ? Elle était irrésistible. À peine Treize-ans, elle rayonnait dans une robe de dentelle blanche, délicate et translucide, qui épousait ses courbes naissantes avec une grâce provocante. Ses collants blancs soulignaient la finesse de ses jambes, et son sourire, éclatant timide et espiègle, promettait des instants interdits. J’acceptai, le souffle court, et nous nous mêlâmes à la danse. Nos corps se frôlèrent, s’effleurèrent, dans une tension électrique. Chaque mouvement semblait calculé, chaque contact une caresse déguisée. Je sentais mon corps répondre, trahi par une chaleur montante, et son rire léger, presque complice, me fit frissonner.
Elle se pencha alors, son souffle tiède effleurant mon oreille : « Tu veux venir avec moi ? » murmura-t-elle, sa voix comme une invitation à l’abandon. Mon regard balaya la salle, inquiet, cherchant à m’assurer que nul ne surprenait ce moment volé. L’excitation comme d’un premier rendez-vous, cette fièvre adolescente, me submergea. Sans un mot, je la suivis, prêt à plonger dans l’inconnu, guidé par la promesse de ses yeux et la douceur de sa peau.
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lesfillesdarnaud2k · 20 days ago
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Ma Fille chérie Histoire 0012
1/5 Me voilà seul avec elle, ma fille de 14 ans, dans cette grande maison silencieuse, où chaque craquement du bois semble murmurer des secrets. Une tension électrique flotte dans l’air, comme une promesse suspendue. Des bruits étouffés, presque imperceptibles, s’échappent de la chambre de ma fille, au premier étage. Un frisson me parcourt. Que peut-elle bien faire ? Mon cœur bat plus fort, un mélange d’inquiétude et de curiosité brûlante.
Je décide de monter, mes pas feutrés sur l’escalier de bois, chaque marche amplifiant ce désir trouble qui grandit en moi. Arrivé devant sa porte, je m’arrête. Elle est entrouverte, juste assez pour laisser filtrer une lumière douce, tamisée, qui caresse les contours de la pièce. Mon souffle se coupe. Là, sur le lit, elle est allongée, abandonnée à elle-même. Sa silhouette, nue, baignée dans l’éclat pâle de la lune, est une vision à la fois interdite et envoûtante. Ses jambes écartées, ses mouvements lents et sensuels trahissent un plaisir qu’elle s’offre en secret.
Je reste figé, hypnotisé. ma fille chérie, Mon esprit s’emballe, partagé entre l’émerveillement et une pulsion que je n’ose nommer. Elle est magnifique, rayonnante dans cette intimité volée. Pourquoi a-t-elle laissé la porte entrouverte ? Est-ce une invitation tacite, un jeu dangereux qu’elle m’invite à rejoindre ? La maison est vide, le silence complice. Mon instinct s’éveille, sauvage, irrépressible. Une part de moi, celle que je tais d’ordinaire, mon esprit pervers, des murmure dans ma tète me disent de m’abandonner à ce désir, de franchir le seuil, de plonger dans l’interdit.
Mais une question persiste, lancinante : et si c’était ce qu’elle attendait ? Mon cœur cogne, mon corps tout entier vibre d’une chaleur interdite. Que dois-je faire ? Écouter cette voix qui m’appelle à elle, ou résister à la tentation qui menace de tout consumer ?
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lesfillesdarnaud2k · 20 days ago
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Une vacancière venue de Russie Histoire 0011
1/3 Sous le soleil éclatant de la Côte d’Azur, ma petite boutique de vêtements, nichée dans une ruelle pittoresque de Nice, vibrait au rythme des vagues et des rires des vacanciers. J’étais fière, si fière. Ce modeste écrin, rempli de robes légères et de couleurs éclatantes, était le fruit de mes rêves, un refuge où chaque tissu racontait une histoire. À 21 ans, j’avais bâti ce lieu avec mes mains et mon cœur, et chaque journée passée ici me rappelait que j’avais trouvé ma place.
Un jour d’août, alors que la chaleur caressait les pavés et que l’air sentait le sel et les fleurs, elle entra. Une jeune femme, une apparition. Grande, élancée, elle avait la grâce d’une top-modèle, avec des cheveux blonds cascadant sur ses épaules et des yeux d’un bleu profond, comme la mer au large. Sa robe d’été, d’un azur éclatant, semblait danser avec la brise. Elle déambulait dans ma boutique, effleurant les étoffes du bout des doigts, un sourire discret aux lèvres, comme si elle portait un secret.
Je l’observais, comme j’observais tous mes clients, avec cette curiosité bienveillante qui m’avait toujours guidée. Mais quelque chose en elle m’intriguait, une lueur dans ses gestes, une assurance presque trop parfaite. Puis, je la vis. D’un mouvement rapide, presque imperceptible, elle glissa un foulard de soie et une paire de boucles d’oreilles dans son sac. Mon cœur s’arrêta une seconde. Surpris, je restai figée. Elle, si belle, si élégante, pourquoi faisait-elle cela ? Pourtant, au lieu de l’arrêter sur-le-champ, je laissai le moment s’étirer, comme si une force invisible me retenait.
Lorsqu’elle se dirigea vers la sortie, je pris une grande inspiration et l’interpellai doucement : « Mademoiselle ? »
Elle se retourna, ses yeux rencontrant les miens, un mélange de surprise et de défi dans son regard. « Suivez-moi, s’il vous plaît », dis-je en désignant l’arrière-boutique.
Dans mon petit bureau, à l’abri des regards, je fermai la porte. Elle ne parlait pas français, me dit-elle dans un anglais hésitant, teinté d’un accent slave. Russe, peut-être. Je lui demandai, toujours en anglais, de vider son sac. Elle obéit, lentement, révélant le foulard et les boucles d’oreilles, posés là comme des trophées d’un jeu interdit.
« Je suis en vacances avec mes parents », murmura-t-elle, sa voix tremblante mais ses yeux toujours brûlants de cette audace qui m’avait fascinée. « S’ils l’apprennent, ils me puniront. S’il vous plaît… »
Je la regardai, partagée entre l’indignation et une étrange tendresse. Elle était si jeune, si vive, si pleine de contradictions. Une tempête dans un corps de déesse. Je m’entendis dire, presque malgré moi : « D’accord. Garde-les. Je ne dirai rien à tes parents. »
Un silence chargé s’installa. Nos regards se croisèrent, une tension nouvelle naquit, faite de non-dits et de désirs tus. « Mais en échange », ajoutai-je, ma voix plus basse, plus chaude, « tu sais ce que je veux. »
Je ne peux détourner les yeux. Sous cette petite robe bleue, légère comme une caresse, ses formes se dessinent avec une grâce insolente. La finesse du tissu épouse ses courbes, laissant deviner, l’ombre délicate de sa lingerie. Une chaleur sourde s’éveille en moi, un feu qui pulse et m’enivre, comme si chaque battement de mon cœur murmurait son nom.
Je brûlais de l’enlacer, de l’emporter dans un élan fiévreux sur mon bureau, Je voulais lui offrir une étreinte si ardente, si profonde, qu’elle graverait Mon prénom dans son esprit à jamais, un amour dont elle ne pourrait jamais se défaire, un souvenir incandescent qu’aucun autre ne saurait égaler.
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lesfillesdarnaud2k · 20 days ago
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Une fille dans la nuit d'été Histoire 0010
1/4 Samedi 2 heures du matin, Je venais de célébrer l’anniversaire d’un ami, une soirée empreinte de rires et de chaleur, lorsque je me retrouvai à arpenter seul les ruelles silencieuses de mon quartier. Mon appartement n’était qu’à cent mètres, si proche, et mon esprit, encore vif, n’était troublé que par l’éclat de deux coupes de champagne. La nuit, douce et complice, enveloppait la ville d’un voile d’étoiles.
Soudain, elle apparut, comme surgie d’un rêve fiévreux. Une jeune femme, une créature d’une grâce presque irréelle, traversa l’ombre devant moi. Ses cheveux blonds, longs et soyeux, dansaient dans l’air tiède, capturant la lumière des réverbères. Sa robe noire, élégante, épousait ses formes avec une audace subtile, et ses collants sombres, alliés à des talons hauts d’un noir profond, donnaient à chacun de ses pas une cadence à la fois vive et hésitante, comme si elle fuyait quelque chose… ou quelqu’un. Le claquement de ses talons résonnait dans la nuit, un écho qui semblait appeler mon cœur.
Mon souffle se suspendit. Une lolita égarée, une flamme dans l’obscurité ? Chaque pas qu’elle faisait semblait m’attirer, comme si le destin, ce soir-là, avait décidé de tisser nos chemins en un instant éternel.
Elle se retourna soudain, comme alertée par un instinct secret. Ses yeux, deux éclats d’émeraude dans la pénombre, croisèrent les miens. Un frisson la parcourut, et son pas s’accéléra, ses talons claquant plus fort contre le pavé. Mon cœur, ce traître, battit plus vite. Une force inexplicable me poussa à la suivre, cette vision qui avait troublé la quiétude de ma nuit.
Je pressai le pas, juste assez pour réduire la distance entre nous, et dans un élan de courage, je l’interpelai d’une voix douce, presque tremblante : « Attendez, Je ne vous veux aucun mal. Elle s’arrêta, méfiante, son regard empreint d’une peur qu’elle tentait de masquer. Ses lèvres frémirent, et elle murmura : Je viens de chez une amie… J’ai peur, Ne me faites pas de mal.
Son visage, si jeune, si délicat, portait une fragilité qui me serra le cœur, excité a la fois. Je suis un homme bien de 50 ans, Je pourrais être ton père repris-je, la voix basse pour la rassurer. Mon appartement est tout près, juste là, à quelques pas. tu veux venir avec moi? je peux vous raccompagner jusqu’à ce que vous vous sentiez en sécurité. » Elle hésita, ses yeux scrutant les miens, comme pour y chercher une vérité. Puis, d’un geste timide, elle hocha la tête, acceptant de me suivre, confiante, crédule dans l’inconnu.
En marchant à ses côtés, je ne pouvais m’empêcher d’admirer la grâce de ses mouvements, la façon dont sa robe noire dansait légèrement dans l’air frais de la nuit. Angéline, murmurai-je en mon for intérieur, lui prêtant ce nom comme une caresse, comme si elle était une héroïne sortie d’un roman interdit . Mon esprit s’égarait, des choses inavouable, J'avais qu'une seule chose en tête : attendre, ses pleurs et ses cris de la voir nue sur mon lit. Vers l’envie de caresser son corps, Cette nuit, je le sentais, promettait d’être le prélude à quelque chose d’inoubliable.
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lesfillesdarnaud2k · 20 days ago
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Vacances d'été chez ma tante et mon oncle. HISTOIRE 0009
1/4 Un jour d’été 1991, j’avais tout juste 16 ans. L’air était lourd, saturé du parfum des champs de lavande et du chant des cigales. J’étais en vacances chez mon oncle et ma tante, dans leur maison baignée de lumière, où le temps semblait suspendu. Assis sur le vieux canapé en velours, je feuilletais distraitement un livre, mes pensées vagabondant dans la chaleur languissante de l’après-midi.
Ma tante, une femme de 33 ans à la beauté envoûtante, entra dans la pièce, suivie de ma cousine, une jeune fille de 13 ans, dont le regard timide trahissait une innocence troublante. Elles s’assirent près de moi, leurs présences soudainement si proches que je sentis mon cœur s’accélérer. Leurs yeux, posés sur moi, brillaient d’une lueur indéchiffrable, comme si j’avais commis une faute… ou comme si elles attendaient quelque chose de bien plus intime.
Ma tante, avec un sourire énigmatique, brisa le silence. Sa voix, douce mais autoritaire, glissa dans l’air comme une caresse. « Tu vas lui apprendre les choses de la vie, murmura-t-elle. Je te l’ordonne. » Ses mots, à la fois tendres et impérieux, firent naître en moi un mélange de gêne et d’excitation. Mes joues s’empourprèrent, et je levai les yeux vers elles, cherchant à comprendre.
Ma cousine, avec ses longs cheveux cascadant sur ses épaules et son regard baissé, semblait hésiter, partagée entre la timidité et une curiosité brûlante. Pourtant, sous le poids de l’autorité de sa mère, elle n’avait d’autre choix que de se laisser guider. Nos regards se croisèrent, et dans ses yeux, je vis la peur le dégout et un désir inexpliqué .
Lentement, presque comme dans un rêve, nos lèvres se rencontrèrent. Ce premier baiser, doux et hésitant, avait le goût de l’été, de la jeunesse, de l’interdit. Ma tante, assise face à nous, les jambes élégamment croisées, observait la scène avec une intensité qui me faisait frissonner. Son regard, à la fois complice et provocateur, semblait contenir une promesse, un désir de se joindre à cet instant suspendu. Je me sentais à la fois terrifié et enivré, pris dans un tourbillon de sensations nouvelles.
Mon cœur battait à tout rompre, partagé entre la peur et une excitation grandissante. Qui pourrait se plaindre d’un tel moment, d’une telle alchimie ? Alors, je me laissai emporter, abandonnant mes doutes pour savourer pleinement cet instant où l’été, la passion et la jeunesse s’entremêlaient dans une danse aussi fugitive violente qu’éternelle.
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lesfillesdarnaud2k · 1 month ago
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Le Jeu de la Bouteille Histoire 0008
1/4 Un samedi après-midi, nous nous sommes réunis entre amis. L’air vibrait d’une énergie légère, insouciante, celle des jours où le temps semble suspendu. Quatorze filles étaient là, leurs rires cristallins emplissant la pièce, mêlés aux éclats de nos voix et à l’excitation d’un jeu qui promettait de troubler nos sens. Un jeu audacieux, inspiré de celui de la bouteille, mais drapé d’une aura plus mystérieuse, plus envoûtante.
On m’a bandé les yeux. Le tissu, soyeux et opaque, m’a plongé dans une obscurité veloutée, où chaque son, chaque souffle devenait plus intense. Les filles, elles aussi, portaient des bandeaux, leurs visages masqués dans ce ballet de l’inconnu. Des casques audio diffusaient une musique lancinante, une mélodie qui semblait caresser l’âme, interdisant toute parole, tout mot qui aurait pu briser le charme. C’était un pacte silencieux : se laisser guider par les sens, par l’instinct.
On m’a conduit, doucement, dans une chambre à l’écart. L’odeur du bois ancien, mêlée d’un parfum entêtant, flottait dans l’air. Une présence féminine, tout près, faisait frissonner ma peau. Je sentais son souffle, léger, hésitant, puis plus assuré. Mes lèvres ont trouvé les siennes, dans un élan timide d’abord, puis avide. Le baiser était une danse, un mélange de chaleur et de vertige, où chaque contact semblait raviver des souvenirs enfouis, des émotions d’un autre temps. Mes mains, tremblantes, effleuraient sa peau, et son corps répondait, vibrant d’une intensité qui me faisait perdre pied.
Puis, dans un élan audacieux, elle s’est rapprochée encore, son souffle chaud glissant sur moi,
La voilà, déboutonnant mon pantalon, enlevant mes sous-vêtements. Je tremble, j'étais tellement excité. Elle prit mon sexe avec sa langue hésitante, elle lécha mon gland, puis ouvrit la bouche pour me faire une fellation digne d'une débutante expérimentée.
Dans ma tête, je me posais la question. Ce parfum… Je savais que je connaissais cette odeur, une odeur que je côtoyais tous les jours.
Incapable de résister à l’appel de la vérité, j’ai murmuré un « Tant pis » à moi-même, et, le cœur battant, j’ai ôté mon bandeau. La lumière tamisée de la chambre a révélé son visage. Mon souffle s’est coupé. C’était elle, Ma sœur Deborah. Devais-je la prévenir que c'était moi ou continuer cet instant charnel et interdit ?
Ses yeux, encore cachés par son bandeau, semblaient attendre, pleins d’une émotion contenue. Mon cœur s’est serré, partagé entre la surprise, la tendresse, Le casque sur les oreilles, elle n'entendait rien. Elle était presque nue, continuant à jouer. Elle voulait gagner les 1000 €, quel que soit le prix...
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lesfillesdarnaud2k · 1 month ago
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Megan et Chloé HISTOIRE 0007
1/4 Sous les étoiles d’une nuit d’été, une fête somptueuse bat son plein pour célébrer la fin de l’année universitaire. Dans une villa fastueuse nichée près de Monaco, l’air est saturé de champagne pétillant et d’une luxure à peine voilée. La chaleur enveloppe les corps, alanguis par l’ivresse et la liberté.
Les jeunes femmes, sublimes dans leurs mini-jupes, dansent avec une grâce provocante, leurs silhouettes sublimées par les lumières tamisées. Parmi elles, deux étudiantes anglaises, Megan et Chloé, tout juste âgées de 17 ans, rayonnent d’une élégance bourgeoise et d’une insolence juvénile. Issues de bonnes familles, elles se laissent emporter par l’euphorie de la soirée.
Mais Chloé, soudain, vacille. La tête lui tourne, le champagne et la chaleur ayant eu raison de son équilibre. Megan, fidèle amie, la soutient et décide de l’accompagner à l’étage, dans une chambre isolée au premier étage. Elle aide Chloé à s’allonger sur le lit de soie, referme la porte avec un sourire complice, puis redescend rejoindre la fête, abandonnant son amie à la quiétude de la pièce.
Quelques instants plus tard, un homme blanc, élégant et mystérieux, pousse la porte par mégarde. Ses yeux s’arrêtent sur Chloé, alanguie sur le lit. Sa jupe, relevée, dévoile la courbe délicate de ses cuisses et l’éclat d’une lingerie blanche, innocente et provocante à la fois. Toujours consciente, Chloé flotte dans un brouillard onirique, ses mots incohérents se perdant dans l’air tiède.
L’homme s’approche, son souffle chaud effleurant la peau de Chloé. Il murmure des paroles douces, ses doigts frôlant sa joue. Elle tremble,
Toujours consciente, elle ne sait plus ce qu'elle dit. L'homme commence à l'embrasser, la caresser. Elle veut crier, mais elle ne peut plus.
une faiblesse qui l’empêche de réagir. Ses lèvres s’entrouvrent, mais aucun cri ne s’échappe – seulement un soupir, comme une invitation involontaire. Le moment suspend le temps, entre réalité et rêve éveillé, où chaque caresse semble effacer les frontières du possible.
Et Megan, dans l’ombre de la fête, sait-elle ce qui se joue à l’étage ? Son sourire énigmatique, lorsqu’elle a refermé la porte, cache-t-il un secret ? Est-elle l’architecte de cet instant, ou simplement une spectatrice insouciante de ce jeu dangereux ?
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lesfillesdarnaud2k · 1 month ago
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sœur et frère complice HISTOIRE 0006
C’était un mercredi après-midi, un de ces moments où le temps semble suspendu, flottant dans l’air tiède d’une maison trop calme. Mes parents étaient absents, laissant derrière eux un silence que seuls les craquements du plancher venaient troubler. J’étais seule avec Arnaud, mon frère aîné de dix-neuf ans, un garçon à la fois familier et mystérieux, comme tous les frères aînés le sont pour une sœur de quatorze ans. Moi, c’est Chloé, une adolescente à l’aube de mille découvertes, partagée entre l’innocence de l’enfance et les frissons d’un monde nouveau.
Ce jour-là, j’étais lovée dans ma chambre, un livre ouvert sur les genoux, les pages tournées par une brise légère qui s’infiltrait par la fenêtre entrouverte. Les mots dansaient sous mes yeux, mais mon esprit s’égarait parfois, happé par les murmures de la maison. Soudain, des sons étranges percèrent le calme. Des bruits sourds, irréguliers, venant de la chambre d’Arnaud, juste de l’autre côté du couloir. Mon cœur s’emballa. Était-il souffrant ? Avait-il besoin d’aide ? Une vague d’inquiétude me poussa à poser mon livre, abandonnant l’histoire de papier pour celle, bien réelle, qui se jouait à quelques pas.
Je me levai, mes pieds nus effleurant le parquet frais, et m’approchai de sa porte entrouverte. J’hésitai un instant, la main suspendue, puis, mue par une curiosité mêlée d’appréhension, je jetai un regard à l’intérieur. Ce que je vis me figea. Arnaud était là, assis devant son ordinateur, le pantalon baissé, dans une posture intime et crue. L’écran projetait des images explicites : une scène où un homme s’abandonnait aux caresses de deux femmes. Mon souffle se coupa. Surprise, dégoût, fascination – tout se mêlait en un tourbillon d’émotions contradictoires.
Je devais partir, m’enfuir, refermer cette porte sur ce secret. Pourtant, mes pieds restaient cloués au sol. Mes yeux, comme aimantés, ne pouvaient se détacher de lui – de son corps, de son geste, de cette intimité dévoilée. Une chaleur inattendue monta en moi, traîtresse, interdite. Sans même m’en rendre compte, ma main glissa, frôlant le tissu de ma culotte, comme si mon corps agissait malgré moi. J’étais là, spectatrice d’un moment qui n’était pas le mien, hypnotisée par la vision de son désir, par cette part de lui que je n’aurais jamais dû voir.
Une pensée folle, scandaleuse, s’insinua dans mon esprit, chassant toute raison. Une envie brute, presque irréelle, de m’approcher, de franchir un pas de plus vers l’inconnu. Mon cœur battait à tout rompre, partagé entre la honte et une curiosité dévorante. Que faire ? Rester figée, partir, ou céder à cet élan insensé ? Le monde, en cet instant, semblait s’être réduit à ce seuil, à ce regard, à ce désir naissant qui me terrifiait autant qu’il m’envoûtait.
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lesfillesdarnaud2k · 1 month ago
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Un jours pas comme les autres HISTOIRE 0005
1/4 Il était dix-sept heures, un crépuscule pâle enveloppait la route. Je rentrais du travail, les membres lourds, l'esprit engourdi par une journée sans éclat. La fatigue pesait sur mes paupières, mais je roulais paisiblement, bercé par le ronronnement du moteur.
Soudain, au détour d’un virage, une silhouette attira mon regard. Une jeune femme se tenait là, au bord de la chaussée, faisant du stop avec une grâce presque irréelle. Ses longs cheveux châtain clair dansaient doucement dans la brise, et son allure, à la fois fragile et captivante, évoquait une figure sortie d’un tableau. Elle était belle, d’une beauté qui semblait presque trop pure pour ce monde, une Lolita moderne, un éclat de jeunesse dans la grisaille du soir.
Je ralentis, intrigué, et m’arrêtai à sa hauteur. La vitre baissée, je lui demandai où elle allait. Sa voix, teintée d’un accent slave, peut-être russe, glissa jusqu’à moi, douce mais hésitante. « Nice », murmura-t-elle. Un sourire fugace traversa mon visage. « J’habite à Nice, dis-je. Monte, je t’emmène. »
Elle hésita un instant, puis acquiesça. Lorsqu’elle s’installa à mes côtés, je remarquai ses jambes croisées, gainées de collants noirs, et son regard, voilé par une tristesse qu’elle ne cherchait pas à dissimuler. Ses yeux, rougis par des larmes récentes, racontaient une histoire muette. Je sentis une étrange tension dans l’air, un mélange de curiosité et de compassion.
« Ça va ? » demandai-je doucement. Elle baissa les yeux, sa voix tremblante brisant le silence. « Je viens de me séparer de mon copain, dit-elle. je retourne vivre chez mes parents. a Nice Ses mots, fragiles, semblaient suspendus entre désespoir et résignation.
Je lui demandai son âge. « Dix-sept ans », répondit-elle, presque dans un souffle. Je marquai une pause, conscient de l’écart qui nous séparait. « Moi, j’ai cinquante ans », avouai-je, comme pour poser une frontière. Elle me regarda alors, un éclat étrange dans les yeux. « Comme mon père », dit-elle, et son ton portait une nuance indéfinissable.
Puis, dans un murmure, elle ajouta quelque chose qui me désarçonna. « J’aimerais me venger. Faire l’amour avec le premier homme que je rencontre. » Les mots flottèrent entre nous, lourds, inattendus. Mon cœur s’accéléra. Sans réfléchir, je posai une main sur sa cuisse, un geste instinctif, presque irréfléchi. « D’accord », murmurai-je, la voix rauque.
Je quittai la route principale pour m’engager dans un chemin discret, à l’abri des regards. Là, dans l’ombre d’un bosquet, j’arrêtai la voiture. L’atmosphère était électrique, saturée d’une tension que je ne pouvais ignorer. Je me tournai vers elle, et nos regards se croisèrent. J’approchai mes lèvres des siennes, mais elle recula légèrement. « Je… je ne peux pas », souffla-t-elle, sa voix empreinte de doute.
Pourtant, l’élan qui m’emportait était plus fort que ma raison. Ma main, déjà aventureuse, s’était glissée là où elle n’aurait pas dû. Une fièvre m’aveuglait, un désir brut, irrépressible, qui effaçait toute pensée cohérente. Je ne pouvais plus reculer...
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lesfillesdarnaud2k · 1 month ago
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Juste une Courtisane Pour Mon frère HISTOIRE 0004
1/4 Je pousse la porte de sa chambre. Il est là, face à son ordinateur, absorbé par l’écran. C’est Arnaud, mon grand frère, vingt-quatre ans, une présence à la fois rassurante et taquine. Moi, Émilie, sa petite sœur de quinze ans, je me tiens dans l’encadrement de la porte, un projet en tête. J’ai repéré une robe magnifique, mais mon porte-monnaie, hélas, reste désespérément vide. Je décide de tenter ma chance auprès d’Arnaud. Je sais qu’il a du mal à me résister.
D’une voix douce, je lui expose ma requête. Contre toute attente, il lève les yeux, un sourire en coin, et répond : « D’accord, Émilie, mais à une condition. »
Tu es assez grande pour saisir que les garçons, aiment se faire sucer Alors, déleste-toi de tes artifices, Marche pieds nus sur la terre douce, Et, sur le tapis, humblement agenouillée, ouvre grand la bouche, tire ta jolie langue, avec ta salive,
Il me parle avec un ton assuré. Suce-moi comme une débutante, avec de la pratique tu seras la reine des pipes.
Je me tenais là, figée, ne sachant que faire. Une vague d’hésitation m’envahissait, mêlée d’un dégoût sourd face à la situation. Pourtant, poussée par la nécessité – cette robe, ce caprice qui me tenait tant à cœur –, j’ai fini par céder. J’ai accompli ce qu’il m’avait demandé, le cœur lourd, les gestes mécaniques.
Lorsqu’il a relevé les yeux, son regard perçant m’a transpercée. Un sourire énigmatique flottait sur ses lèvres. « C’est bien, Émilie, a-t-il murmuré, mais ce n’est que le début. Pour la somme que tu me demandes, il faudra en faire davantage.
Allonge-toi sur le lit, je vais te baisé.
Une terreur glacée me paralysait. Mon cœur battait à tout rompre, chaque mot d’Arnaud résonnant comme une sentence. Pourtant, au fond de moi, une envie irrépressible persistait, tenace, presque obsédante : cette robe, sublime, parfaite, celle qui m’avait fait rêver dès le premier regard. Elle valait tous les sacrifices… ou presque. Mais à cet instant, face à son sourire calculateur, je me demandais si mon désir pour cette étoffe ne m’avait pas entraînée trop loin.
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lesfillesdarnaud2k · 1 month ago
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Un week-end inattendu HISTOIRE 0003
1/4 Cela faisait quatre ans que le divorce avait redessiné les contours de ma vie. Quatre ans que j’élevais seule ma fille, Alexandra, quatorze ans, un tourbillon d’énergie et de rires. Cet été-là, la maison baignait dans une chaleur douce, celle des journées où l’on vit en short et où les fenêtres restent grandes ouvertes. Alexandra avait invité sa meilleure amie, Alice, à passer le week-end avec nous. Alice, quinze ans, un an de plus que ma fille, était une adolescente vive, toujours entourée d’une aura de confiance.
Ce vendredi après-midi, lorsque Alice franchit le seuil de la maison, je remarquai immédiatement sa tenue : une minijupe rose pastel, légère comme un souffle, et un haut blanc, décolleté, qui soulignait sa silhouette avec une audace propre à son âge. Rien d’extraordinaire, me dis-je. Les adolescentes d’aujourd’hui portent ce genre de vêtements, non ? Pourtant, dès l’instant où elle s’approcha pour me saluer, quelque chose dans l’air changea, comme une note discordante dans une mélodie familière.
Comme à son habitude, Alice se pencha pour me faire la bise, son parfum sucré flottant autour d’elle. Mais ce geste, si banal, prit une tournure inattendue. Sa main, au lieu de rester sagement posée sur mon bras, glissa lentement, effleurant ma taille, puis s’aventura plus bas, là où l’intimité impose ses frontières. L’espace de cinq secondes – une éternité dans ce moment suspendu – ses doigts frôlèrent l’intérieur de ma cuisse. Mon cœur s’emballa. Je levai les yeux, et son regard croisa le mien. Un sourire, à la fois innocent et énigmatique, dansa sur ses lèvres.
J’étais pétrifiée. Mon esprit s’embroussa, cherchant une explication rationnelle. Avais-je imaginé ce geste ? Était-ce un accident ? Je jetai un coup d’œil furtif à Alexandra, qui, par chance, était occupée à ranger son sac dans le salon, indifférente à la scène. Mon souffle se relâcha, mais mon trouble persista. Dans ma tête, une voix raisonnable tentait de reprendre le contrôle : Tu te fais des idées, voyons. Ce n’est qu’une adolescente. Passe à autre chose.
Et c’est ce que je fis. Ou du moins, c’est ce que je m’efforçai de faire, tandis que l’été continuait de dérouler ses heures brûlantes, et que cette étrange sensation restait tapie, quelque part, dans un coin de mon esprit...
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lesfillesdarnaud2k · 1 month ago
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La Secrétaire Médicale Histoire 0002
1/4 Je me rends chez mon médecin généraliste, une visite banale pour renouveler mon ordonnance quotidienne. Rien de grave, À l’accueil, une jeune femme m’accueille d’un sourire qui fait vaciller mon cœur. « Attendez dans la salle d’attente, je vous en prie », murmure-t-elle d’une voix douce, presque caressante. Je ne saurais dire si elle est la secrétaire ou la fille du médecin. Elle semble tout juste sortie d’un rêve, à peine 20 ans, peut-être 21.
Elle est blonde, ses cheveux longs réunis en une queue-de-cheval soyeuse qui danse légèrement à chacun de ses pas. Une beauté à couper le souffle, le genre de femme qui attire tous les regards, hommes comme femmes, ces dernières rongées par une pointe de jalousie. Elle incarne un mélange envoûtant d’innocence enfantine et de séduction assumée. Sa petite robe noire épouse ses courbes avec une audace subtile, et ses talons hauts noirs sculptent ses jambes interminables, la faisant culminer à une élégante hauteur d’1m75.
Elle m’adresse un sourire, un éclat timide mais brûlant, comme une promesse chuchotée. « Vous êtes seul dans la salle d’attente ? » demande-t-elle d’une voix innocente, légèrement tremblante, comme si elle était elle-même surprise par l’intensité du moment. Puis, elle s’avance et s’assoit face à moi, croisant ses jambes avec une grâce féline. Mon regard, malgré moi,
Je peux apercevoir la dentelle blanche de sa lingerie, un instant fugace mais électrisant. Je me sens rougir, troublé, mon cœur s’emballe.
Elle rompt le silence, glissant un bout de papier vers moi, son numéro de téléphone griffonné d’une écriture délicate. « Je ne fais jamais ça, vous savez… » confie-t-elle, ses joues rosissant légèrement. « Mais vous avez l’air si gentil… et, disons, terriblement charmant. » Ses mots, empreints d’une sincérité désarmante, me désarment à mon tour.
Je lui rends son sourire, le souffle court. « Je n’ai jamais croisé une femme aussi captivante que vous », dis-je, la voix rauque d’émotion. « Ce serait un honneur de partager un moment, ou plus, avec vous. » Je marque une pause, avant d’ajouter avec une pointe d’hésitation : « J’ai 50 ans, vous savez. »
Elle rit, un rire léger comme une caresse. « Moi, j’ai 21 ans », répond-elle, ses yeux pétillant d’une audace espiègle. « Et croyez-moi, les hommes mûrs ont ce quelque chose… qui me fait craquer. » Son regard s’attarde, complice, chargé d’une promesse silencieuse.
Nous échangeons un rire, une connexion inattendue, comme si le monde autour de nous s’était évanoui. L’air entre nous vibre d’une tension délicieusement interdite.
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lesfillesdarnaud2k · 1 month ago
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La voisine d'en face HISTOIRE 0001
1/4 Par une torride soirée d’été, une jeune femme aux cheveux châtain clair, longs et soyeux, venait d’emménager dans l’immeuble d’en face, au troisième étage, tout comme moi.
Si innocente. Je ne savais pas si elle était majeure. Depuis ma fenêtre, je l’observais, fasciné. Elle irradiait une innocence sensuelle, une aura qui semblait danser entre pureté et mystère. Chaque jour, elle apparaissait dans des jupes légères qui caressaient ses cuisses dorées et des talons hauts qui claquaient doucement sur le parquet, comme une mélodie envoûtante. Ses jambes fines, ses courbes délicates, ses petits seins menus que l’on devinait sous ses chemisiers légers… tout en elle m’enflammait.
Souvent, elle laissait sa fenêtre ouverte, offrant à la nuit des bribes de son intimité. Dans la pénombre, je l’apercevais parfois, se glissant hors de ses vêtements, son corps se dessinant comme une œuvre d’art sous la lumière argentée de la lune. Une nuit, alors que la chaleur étouffante semblait alanguir la ville entière, sa fenêtre béait, invitation silencieuse. Vingt-cinq mètres à peine nous séparaient, un gouffre que mon désir brûlant me poussait à franchir.
Au mépris du danger, je me hissai le long de la façade, mes mains agrippant les aspérités de l’immeuble, mon cœur battant à tout rompre. Par la fenêtre du couloir, je pénétrai dans son domaine, un intrus dans son sanctuaire. La porte de sa chambre céda sous mes doigts tremblants, et je me glissai à l’intérieur. L’obscurité était presque totale, seulement percée par les reflets de la lune et les lueurs diffuses de la ville. L’air était lourd, saturé de chaleur et de tension. Elle était là, allongée, une vision enchanteresse. Sa nuisette bleue, fine comme un souffle, épousait ses courbes, et ses pieds nus reposaient doucement sur le drap froissé.
Je refermai la porte à clé, scellant cet instant hors du temps. Mon souffle s’accéléra alors que je m’approchais, hypnotisé par sa silhouette endormie. Soudain, ses paupières frémirent, et ses yeux s’ouvrirent, deux éclats brillants dans la pénombre. Un cri s’étrangla dans sa gorge, mais avant qu’il ne brise le silence, ma main trouva ses lèvres, douce mais ferme. Ses prunelles s’écarquillèrent, mélange de surprise et d’une lueur indéchiffrable. Son souffle, rapide, chaud contre ma paume, trahissait une lutte intérieure.
Mais alors, quelque chose changea. Son corps, d’abord tendu, sembla s’abandonner, comme si un feu secret s’éveillait en elle. Ses joues s’empourprèrent, et un soupir étouffé glissa sous mes doigts. Était-ce de la peur, du désir, ou les deux entrelacés ? Je relâchai lentement ma main, et elle ne cria pas. Ses lèvres frémirent, murmurant des mots inaudibles, un mélange de supplication et d’abandon. Dans l’air tiède de cette nuit d’été, nos corps, si proches, semblaient vibrer d’une même chaleur, d’une même urgence. La frontière entre interdit et passion s’effaçait, et la nuit, complice, nous enveloppait.
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