lothalor
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safe landing
17 posts
safe landing est un projet de forum rpg fantasy, morceau choisi d’un monde inventé pour ses joueurs, et par ses joueurs, grâce à un système de worldbuilding participatif. inspiré par un trop plein de sea shanties, l'envie d'un monde nouveau comme d'une tendre utopie loin de notre capitalisme habituel, les tissus flottants stylisés chez zuhair murad et zareena et les océans des tableaux romantiques, le royaume fictionnel de lothalor n’attendra bientôt plus que vous pour s’enrichir de plus de références, comme d’autant de richesses culturelles. voilà donc à votre disposition un bac à sable plein d’écume pour venir poser vos pieds, ou vos branchies, que vous aimiez jouer la vie au jour le jour, ou les grandes intrigues politiques.
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lothalor · 2 years ago
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un jour, ce projet renaîtra de ses cendres, parce qu'il vit toujours dans mon cerveau, c'est promis.
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lothalor · 3 years ago
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le projet est toujours d'actualité ? 👀
hello, en effet, il l'est ! j'ai quelques petits soucis de santé en ce moment qui ont très clairement ralenti mon travail (et toujours un petit problème au niveau du codage du forum), mais j'y travaille toujours, sur ce bébé, même si je n'ai pas posté des masses ces derniers temps. promis, je vous reviens vite avec, je l'espère, des choses concrètes. et mes excuses pour tout ces délais, aussi ❤️
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lothalor · 3 years ago
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dernière update au 19/02.
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La fameuse petite surprise de début d’année. En cliquant sur le lien juste en dessous, vous trouverez un annuaire, incluant avatars réservés, quelques pnjs, et les teasers des postes vacants / ébauches de personnages que vous trouverez sur le forum à son ouverture, n’hésitez pas à cliquer sur les images qui vous intéressent pour dévoiler quelques mots !
CLIQUEZ ICI POUR L’ANNUAIRE !
A noter que les avatars des postes vacants sont présentés à titre d’illustration. Si ceux-là vous intéressent, mais que vous voulez changer leur tête, leur genre ou leur noms, c’est totalement possible !
De la même manière, si un avatar que vous vouliez réserver est assigné à un poste vacant, rien ne vous empêche de le réserver, vos envies primeront toujours.
Un teaser vous intéresse et vous voudriez plus d’informations ? N’hésitez pas à envoyer un DM à ce compte, ou nous rejoindre sur discord pour les poser, en public ou en privé. Il vous sera aussi possible de réserver lesdits postes vacants.
Vous avez une réservation, et une idée de personnage, ou un nom à lui donner ? Pareil, n’hésitez pas à envoyer de quoi éditer votre encart pour teaser votre personnage. Si en plus vous êtes ouverts à ce que d’autres vous contactent pour préparer des liens, il vous est possible de laisser votre contact. Ceci n’est pas obligatoire, il reste complètement possible de réserver un avatar en demandant juste celui-ci.
Vous avez une réservation, et déjà des idées de liens que vous aimeriez développer ? Toujours sur la même lancée, d’un message, il sera possible d’ajouter à l’annuaire vos futurs scénarios, il me faudra juste une petite description et de quoi vous contacter, au cas ou certains seraient intéressés d’en parler avant l’ouverture.
Au niveau des PNJs, ce que leur nom n’indique pas est qu’ils seront jouables - avec un système de comptes participatifs - si certains ont besoin d’eux. Le système, comme celui des comptes temporaires, sera mieux expliqué à l’ouverture du forum.
Encore des questions ? n’hésitez pas à venir les poser sur discord !
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lothalor · 3 years ago
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AESTHETIC — Les nobles aux visages couverts ( en voir plus )
une vieille tradition, une étiquette millénaire veut que la noblesse cache son regard. que celui-ci ne soit partagé qu’à ceux d’un même rang. un choix tangible, pour séparer d’une œillade ceux qui protègent et ceux qui vivent, ceux aux serments et ceux aux permissions. c’est qu’il faut bien garder la face, pour commercer, face aux autres royaumes, ou la noblesse est reine, et ne doit rien. ou l’on peut se noyer dans les richesses aisément. ici, on ne devine pas le rang aux broderies d’une étoffe, mais à ces visages emmurés. cachés un temps. cachés à demi. car, au fond, si chaque province a ses choix, ses modes, ses traditions, les voiles épais tirés sur les prunelles ont été remplacés par dentelles et bijoux, au fil des ans. c’est que plus les générations passent, plus le masque devient accessoire. marque d’une région quand on monte à la cour, marque d’une identité. mais ils ne cachent plus grand-chose, sauf pour ceux qui s’accrochent désespérément à des règles passées, qu’on tient du bout des doigts tant qu’elles ne sont pas abrogées. • en savoir plus sur le projet.
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lothalor · 3 years ago
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La fameuse petite surprise de début d’année. En cliquant sur le lien juste en dessous, vous trouverez un annuaire, incluant avatars réservés, quelques pnjs, et les teasers des postes vacants / ébauches de personnages que vous trouverez sur le forum à son ouverture, n’hésitez pas à cliquer sur les images qui vous intéressent pour dévoiler quelques mots !
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Vous avez une réservation, et déjà des idées de liens que vous aimeriez développer ? Toujours sur la même lancée, d’un message, il sera possible d’ajouter à l’annuaire vos futurs scénarios, il me faudra juste une petite description et de quoi vous contacter, au cas ou certains seraient intéressés d’en parler avant l’ouverture.
Au niveau des PNJs, ce que leur nom n’indique pas est qu’ils seront jouables - avec un système de comptes participatifs - si certains ont besoin d’eux. Le système, comme celui des comptes temporaires, sera mieux expliqué à l’ouverture du forum.
Encore des questions ? n’hésitez pas à venir les poser sur discord !
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lothalor · 3 years ago
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un petit atelier de worldbuilding ?
Histoire de s’occuper un peu, en cette fin d’année, et au début de la nouvelle, un atelier vient d’être ouvert sur notre discord - que vous pouvez rejoindre juste ici, si vous n’y êtes pas encore. Alors, si l’envie de parler calendrier vous prends, de nommer des jours, des mois, de discuter de ce qui viendra autour, ou de déjà préparer quelques fêtes à y incruster, n’hésitez pas à venir ajouter votre pierre à l’édifice ! 
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lothalor · 4 years ago
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Il est l’heure aujourd’hui de dévoiler une nouvelle annexe, histoire de parler de quelques éléments fantastiques de ce joli monde que nous espérons bientôt habiter. Ceux-ci sont spécifiques au royaume de Lothalor, qui est seul gardien des apadries, peuple des mers chassés d’un peu partout il y a quelques millénaires, et qui est un morceau à part entière de la population du royaume, profitant des mêmes droits et obéissant aux mêmes règles, à la même culture que leurs compatriotes sur terre.
pour plus d’infos sur le projet, n’hésitez pas à nous suivre sur tumblr ou rejoignez nous sur discord !
C’est qu’au fond, face à ce peuple uni, on peut bien se poser une question. Avant le que font-ils ici, avant le pourquoi rester, avant le pourquoi n’être qu’un - il est d’une importance toute capitale de savoir qui sont ces personnes vivant sous les eaux, et faisant vivre d’autant la partie submergée du royaume.
QU’EST-CE QU’UN.E APADRIE ?
D’apparence humaine, les différences entre les apadries et leurs compatriotes terriens se comptent presque sur les doigts d’une main. On notera d’abord, en y jetant un œil, leurs doigts palmés, autant que ces branchies qui s’ouvrent, sous l’eau, le long de leurs cous. Le visage sorti de l’eau, leur peau donnera une impression presque marbrée, pâle, le teint souvent plus froid que ceux qui vivent leur vie au soleil. 
Sous l’eau, on ne parle pas. Logique abyssale, ils ont malgré tout une langue bien à eux, composée d’autant de signes et d’expression qui sont connus de tous, à Lothalor, tant cette langue est une des premières choses enseignées dans toute école du pays. Ce langage, une fois posé à l’écrit, est le parfait miroir du langage de ceux d’en haut, les deux ayant été construits sur les mêmes bases. Certains apadries sont en mesure d’utiliser l’oral, une fois la tête hors de l’eau, ceux-là sont surtout ceux qui sont nés sur terre, avant de faire le choix de vivre dans les cités sous-marines. Les cités sous-marines ont des noms dans cette langue, des signes définis, mais qu’on n’écrit pas, et qu’on ne prononce encore moins. Des noms qu’on ne traduit pas ailleurs, comme pour mieux protéger ses endroits qui, loin des frontières, ont statut de légende.
LE CHOIX.
Si les apadries et leurs compatriotes humains ne forment qu’un peuple, après toutes ces années, après autant de légendes, c’est bien qu’il existe des ponts, de l’un à l’autre. Un, en particulier - une cérémonie, que tout Lothalorien connait bien, tant chacun y passe, l’année de ses seize ans, ou un an après l’obtention de sa citoyenneté dans le cas de ceux qui sont arrivés adultes dans le royaume.
Un voyage jusqu’aux grottes des cascades d’Orphées devient nécessité, pour y promettre au peuple une fraternité somme toute impérieuse, et y faire ce choix. Qu’on ait nagé jusque sous les cascades, ou qu’on y ait fait le chemin à pied, l’importance est au fond le choix qu’on y fait - comment en repartir ? Et c’est ce choix, dans ces eaux millénaires, qui définira ceux qui resteront des apadries, ceux qui en deviendront, et ceux qui prendront le chemin de la terre. 
D’un point de vue purement statistique, beaucoup, au fil des ans, on fait le choix de rejoindre les terres, de laisser leurs branchies se refermer. Une vie plus simple, sûrement, aux yeux du monde entier. Mais à chaque âge d’or, il semble qu’une nouvelle génération veuille reprendre possession des cités sous-marines, et les voit de nouveau fleurir, grandir à loisir. A croire que sont là les poumons du royaume, à se remplir et se vider au fil des ans, au fil des prospérités.
LA VIE SOUS LES MERS.
La vie dans les cités sous-marine est, à peu de chose près, organisée de la même façon que sur terre. La redistribution est la même, et d’ailleurs, si les ressources sont parfois diff��rentes, tout ce qui peut être partagé entre les deux l’est. Et si certains travaux sont les mêmes, s’il y a autant d’écoles ou de lieux à construire et maintenir en l’état, autant d’enfants à élever et de personnes à soigner, d’autres travaux sont spécifiques aux apadries. Après tout, il serait bien difficile de demander à un terrien de venir travailler dans les mines ou les forges sous-marines, comme les apadries ne viennent pas travailler au creux des vignes volantes. Et les cités sous-marines ont aussi leurs particularités artisanales, aussi différentes les unes que les autres.
Comme chaque Lothalorien, il est possible aux apadries de passer du temps dans la marine, et cette escorte est bien ce qui fait la force de celle-ci, tant l’aide est aussi précieuse qu’inattendue, donnant l’impression à autant de pirates qu’ils sont plus féroces qu’ils en ont l’air - alors qu’au fond, leurs méthodes sont simplement différentes, une défense adaptée à ce soutien sous-marin que peuvent offrir les apadries qui font partie de l’équipage.
Les tissus fins, les plus à la mode ces dernières décennies sur terre, ne le sont que parce, qu’au fond, historiquement, ce sont toujours ceux-là qu’on a retrouvé sur le dos des apadries, et que les traditions se passent autant que les gens. Cette habitude de se vêtir finement et de se parer plus de bijoux que de broderies vient simplement du fait qu’il est plus simple de nager avec ceux-ci qu’avec sur le dos d’épaisses soieries. Et il arrive bien souvent aux artistes de passage de dépeindre alanguis sur les places des corps ou collent ces étoffes. Des corps humains, sans branchies, sans palmes. Car si on représente sans problème les apadries sur les murs des palais Lothalorien, rien qui ne contient leur image, rien qui ne confirme leur existence comme réelle, plutôt que légendaire, ne sort du royaume. Question de protection, de survie, et de paix, aussi. De ne donner ni peur, ni envie.
LEGENDES & RUMEURS.
Parait-il qu’il y a bien longtemps, à l’époque ou les apadries peuplaient tous les océans, ils étaient bien plus grands, la peau plus verdâtre. Moins humains d’apparence. Parait-il qu’ils terrorisaient ceux qui, à certains endroits, osaient s’approcher des côtes pour les exploiter, jusqu’à ce que Briséis les invite derrière Diòmha, derrière cette tempête étrange qui noircissait les cieux sans faire bouillir les vagues. 
Et c’est de ce flou, aussi, dont profite le royaume, et son peuple, qu’il soit sur terre ou sous les mers pour se protéger. Si certains parlent des apadries comme de monstres, comme de créatures légendaires, quelque chose qui, au fond, n’est que renforcé par la férocité des Lothaloriens sur les mers, avec leur flotte incroyable, personne ne viendra le nier. Et si pour certains au loin, ces créatures n’ont pas vraiment d’humanité, les voyant plus comme des monstres sous-marin qu’autre chose, d’autres n’y croient tout simplement pas. 
Les royaumes qui comptent parmi les plus proches alliés de Lothalor, bien sûr, savent leur existence. Mais souvent n’en parlent pas, comme on respecte les choses sacrées. Comme on respecte les choses uniques. Car après tout, même eux ont, peut-être, un peu peur de ces corps là, qui vivent sous les eaux, et ne savent pas grand-chose de ces cités sous-marines heureuses, dont on garde le secret. Peut-être les voient-ils comme des sangsues, qui s’abreuvent des richesses du royaume ? Peut-être les voient-ils comme ceux qui motivent le royaume à se trouver si égal, comme si on trouvait sous les mers plus de richesses que sur terre, et que c’était celles-là qu’on distribuait au peuple ? Peut-être comme des animaux, eux aussi ? Mais même eux, au fond, ne sont vraiment sûrs de rien - en dehors de leur existence. 
Et si au fond, beaucoup de pays se plaisent à les imaginer comme des morceaux de chaos, ou de quelque chose de démoniaque, de presque affreux - peut-être est-ce un écran de fumée - une légende pour faire peur à leurs gens, qu’ils se sont pris à croire, de peur que trop désertent vers ce royaume presque miraculeux. Une excuse, pour d’autres, comme si c’était eux qui faisaient pleuvoir l’or sur le royaume, seuls, et que sans leur présence l’égalité des richesses se trouvait impossible. Ainsi, dans chaque légende, chacun trouve son compte.
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lothalor · 4 years ago
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Si nous avons parlé la dernière fois de la vie quotidienne à Lothalor, ainsi que touché quelques mots de l’économie interne du pays, il est aussi bon de regarder plus en profondeur ce qui fait la richesse et le rayonnement de ce royaume à l’internationale, ainsi que de donner juste quelques détails de plus sur le fonctionnement de tout ceci. C’est donc l’heure de se pencher un peu sur ces choses, sur cette économie internationale, et sur la flotte marchande Lothalorienne qui est principalement ce pour quoi ils sont connus à l’étranger.
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Les richesses de Lothalor sont nombreuses, mais elles ne se comptent pas vraiment en pièces, comme dans d’autres pays. S’il y en a dans les caisses, elle n’est pas pour le peuple, à peine pour la noblesse. Cette monnaie ne circule qu’à l’échelle internationale, tant d’autres systèmes ont été mis en place pour assurer le bon vivre des Lothaloriens.
ECONOMIE LOCALE.
Les biens périssables, sont récoltés collectivement, et redistribués de façon quasi-directe, sans transit, sous la coordination de la noblesse locale. Leur travail consiste très clairement à faire en sorte que chacun ait son dû, et de quoi vivre. Ils sont aussi chargés de l’attribution des logements en fonction des besoins de chacun, et du maintien en l’état de ceux-ci.
Les non-périssables se divisent en deux catégories - et les deux passeront sous contrôle de la haute noblesse, principalement royale, à quelques exceptions près, avant de retrouver leur place. Une partie sera redistribuée directement dans le pays, encore une fois, en fonction des besoins et des envies de chaque habitant, l’autre partira à l’étranger, pour être vendue ou échangée.
Pour ce qui est de ce qui restent dans le pays: certaines choses ne sont pas limitées - comme le transport, les navettes fluviales, par exemple, sont accessibles à tous, alors que d’autres sont soumises à des limitations assez légères, afin d’éviter une impossibilité de redistribution équitable.
Dans la vie de tous les jours, chaque citoyen aura accès à un carnet, actualisé chaque mois, lui permettant de faire ses emplettes comme bon lui semble, avec un système de tampons. Les roturiers ont accès aux mêmes tissus précieux, que la noblesse, aux mêmes bien luxueux produits par le pays même, ainsi qu’aux importations. Les limitations sont rarement atteintes, et sont surtout en place afin de pouvoir restreindre efficacement et rapidement la consommation de certains biens si le besoin se fait sentir, par exemple en temps de guerre. Le nombre de biens récupérables, textiles ou nourriture, est identique pour la noblesse ou les roturiers.
La noblesse aura, ceci dit, accès à des biens qui sont considérés comme appartenant au peuple et à la couronne, pour des raisons d’apparences et de représentation. Bien que n’importe quel Lothalorien puisse faire la requête d’utiliser les joyaux de la couronne pour une occasion quelconque ( et c’est souvent le cas pour des mariages ou des célébrations diverses ), la priorité restera à la famille royale, en constante représentation. De la même façon, un repas préparé pour des dignitaires étrangers ne sera pas considéré comme devant venir de leurs dépenses personnelles. Si cette non-distinction au niveau des richesses personnelles est importante, elle n’empêche pas un fossé d’avoir été creusé et entretenu entre la noblesse et leurs vassaux, ainsi que des protocoles stricts visant à ne pas perdre la face face à d’autres royaumes. La faute à ces relations internationales souvent cordiales, qui font la richesse du pays, mais qui imposent à la noblesse de garder un mur entre eux et le peuple. De ne pas s’y mélanger, comme de se marier souvent par intérêt commercial et politique.
Les pièces de monnaie et autres chèques du trésor ne sont pas utilisées à l’échelle du royaume, et si un Lothalorien vient à voyager dans le Monde, il devra en faire la demande auprès du cabinet du Maître des Monnaies, l’une des rares positions à avoir accès aux caisses du Royaume. Elles lui seront bien souvent accordées sans le moindre trouble, tant qu’il justifie d’un voyage qui ne soit pas pour son enrichissement personnel, mais pour ses loisirs, sa culture, ou l’intérêt du pays.
Le Maître des Monnaies est celui qui gère lesdites caisses ainsi que les situations où cette monnaie serait nécessaire pour les Lothaloriens. Il est aussi celui qui récupère l’argent des tenants de boutiques qui auraient été amenés à vendre des bricoles à des visiteurs venus d’autres royaumes, qui n’en ont quoi qu’il en soit, pas grand-chose à faire, vu que non-utilisable au coeur du royaume. Comme les autres rares personnes qui touchent à l’argent dans le pays, ce Maître des Monnaies, comme le Maître de Marine, fait un vœu clair en prenant son poste - celui de ne jamais s’enrichir personnellement en œuvrant pour le peuple.
Le pays a un rapport au rendement bien différent d’autres, sa force résidant dans son rapport à son peuple, son estime pour celui-ci qui, malgré les barrières, est retourné. La noblesse est aussi respectée que ce système, que cette culture unique, car ils sont au fond considérés comme les héritiers de vieilles légendes, et les protecteurs du Royaume. Ils sont les seuls à avoir un travail fixe - celui de la redistribution et, bêtement, de faire en sorte que les choses continuent à bien se passer. Juges, sans être partis. Les citoyens lambdas, eux, ont une plus grande liberté, et si on s’attend d’eux qu’ils travaillent selon leurs capacités, ils peuvent changer sans trop de problème de vocation, ou d’éducation. Une des rares choses qui peut provoquer des troubles est de s’inscrire pour effectuer un travail quelconque et de ne jamais s’y présenter, sans aucune excuse. Malgré ceci, et même sans rien pour pousser la cadence, le pays réussit quand même à s’enrichir, à se faire une place dans le monde, grâce aux ressources précieuses qui y sont disponibles, et qui sont de plus en plus demandées de par le monde.
MARINE MARCHANDE.
D’autre part, les biens qui ne sont pas redistribués dans le royaume sont à la charge du Maître de Marine, à la tête de la flotte marchande du pays. Si celle-ci peut, en temps de guerre, être réduite, étant donné que majorité des vaisseaux sont aménagés de façon à pouvoir être utilisés en tant que navires militaires si le besoin venait, elle reste en temps de paix une des plus grandes forces du royaume. Ce Maître de Marine aura la charge du commerce international, des négociations avec d’autres pays pour échanger certaines productions du royaume, contre d’autres qu’on y trouve moins, ou, de temps à autres, contre cette monnaie qui vient à remplir les caisses de l'État, en cas de nécessité. S’il travaille en étroite collaboration avec le Maître des Monnaies, il n’est que rarement dans le pays de façon statique, et si ce rôle important a longtemps dépendu d’une autre famille, suite, il y a bien quatre cent ans, à quelques différends avec un ancien maître voulant s’enrichir, il est revenu à la famille Royale. Ce rôle, très représentatif, est actuellement tenu par le premier né du roi, ayant prêté serment l’année de ses seize ans, et parcourt depuis les mers.
Si de nombreux capitaines font le trajet de Lothalor jusqu’à d’autres royaumes, chaque bateau bien protégé par une escouade d’Apadries, ils n’ont que peu de pouvoir de décision sur leurs trajets, ou leur cargaison.
C’est le Maître de Marine qui négocie et coordonne tout ceci, pour le royaume, à bord d’un des joyaux de la flotte, le Maurellia, du nom d’une Déesse de la diplomatie et de la rhétorique. Et si beaucoup de royaumes ont des économies plus ouvertes, et des vaisseaux de commerce indépendants, Lothalor n’a jamais considéré ceux-ci, et fait le choix de négocier directement avec les gouvernements de façon systématique, à quelques cargaisons près. Ces exceptions étant souvent passées sous le manteau, pour des raisons inconnues du public, et des biens extrêmement bien cachés.
EXPORTS PRINCIPAUX.
Des bateaux, et d'autres outils de marine. Construits pour la plupart sous les verrières d’Acarsaid, qu’ils soient militaires ou commerciaux, le royaume est reconnu pour ses avancées technologiques sur les mers, et fournit plus d’un pays en la matière.
De l’or et des pierres précieuses - surtout récupérées du côté des mines sous-marines. Certaines pierres sont d’ailleurs uniques à celles-ci, car seulement trouvables au creux des mers, chose qu’ils sont les seuls à exploiter, étant donné la difficulté d’accès à celles-ci.
Des textiles fins, précieux, en quantité.
Les lames des Forges d'Erynoid, forge de l’Oeuf, cité sous-marine sont voulues de par le monde. La qualité de celles-ci seulement renforcée par le travail d'orfèvre des couteliers d'art de Clerveil et Avilusia en font des armes recherchées. Il n'est ceci dit jamais souligné que celles gardées ont des propriétés différentes de celles qui sont échangées. Ces lames, comme les outils qui viennent de ces forges ne peuvent rouiller.
Quelques objets d'art, souvent créés à partir des matières précieuses du royaume.
Différents types de roches cristallisées, de type marbre - deux principalement, particulièrement reconnaissables - l’un rose pâle, l’autre très blanc. On les retrouve dans beaucoup des constructions du pays, mais elles sont quand même exportées de façon très limitée, en faisant un matériel de construction rare et luxueux, en dehors des frontières de Lothalor.
Le pays ayant attiré bon nombre de lettrés et d’intellectuels, s’il est loin de pouvoir offrir grand-chose en terme de magie des suites de son histoire compliquée avec celle-ci, sa production de savoirs, de livres et surtout - d’inventions et de remèdes est reconnue de par les mers, et il arrive bien souvent que le pays viennent à faire inventer des choses dont il n’auront pas grande utilité mais qui pourraient servir à un autre royaume.
Des algues comestibles, spécifiques aux côtes du Sud du pays. Celles-ci peuvent être consommées, ou traitées pour produire des engrais plus qu’efficaces.
Des vins uniques, épicés, avec le gout bien particulier des falaises du Couteau ou l'on retrouve les vignes volantes. Export limité, un bien de luxe, car comme trop de choses utiles au pays, beaucoup de litres y restent.
La nourriture n’est pas, ou très peu exportée vers l’étranger, elle reste dans le royaume, autant que faire se peut. Puis, en plus de ces exports personnels, énormément des matériaux et biens produits dans certains royaumes avoisinants transitent par les grands ports de Lothalor, contre quelques menues taxes de passage.
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lothalor · 4 years ago
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AESTHETIC — Le Palais Royal de Grehatiel ( en voir plus )
la lumière qui s’infiltre et se reflète contre les marbres blancs omniprésents, jusque sous les dorures, aveuglante. le joyau de la couronne, le joyau des petites mains. un foyer. des salles de bal immenses, des promenades les pieds dans l’eau de la baie, et des kilomètres de bibliothèques. des silhouettes aux yeux voilés pour hanter les lieux, les diriger, les habiter. la poussière qui se fait, dans les ailes des invités, depuis quelques années. et les héritiers qui grandissent. bientôt, l’endroit brillera de nouveau. un nouvel âge d’or est pour bientôt. • en savoir plus sur le projet.
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lothalor · 4 years ago
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Aujourd’hui, rentrons un peu dans le vif du sujet, avec quelques informations sur la vie quotidienne à Lothalor, en général, et surtout du côté de la population générale. Seulement quelques éléments importants, comme pour le reste du monde, au fil du temps, nous viendrons sûrement à ajouter autant de traditions que de détails pour rythmer la vie des habitants. Mais ces principaux éléments sont censés donner une bonne idée de leur mode de vie, et de pensée, forcément influencé par leur vie quotidienne et leur sociabilisation.
et n’hésitez pas à suivre le projet sur tumblr ou rejoignez nous sur discord !
Pour mieux comprendre un Lothalorien, leur façon de vivre, et de voir le monde, il est important de comprendre leur vie au jour leur jour, leur éducation. Un sens de l’idéologie qui régit ce peuple depuis sa naissance, englobe ceux qui le rejoignent, bien différente de celles d’autres contrées alentours, ou ailleurs dans le monde.
consommer.
Pour se nourrir, pour se meubler, pour s’habiller, il n’y a pas trente-six solutions. Si les Lothaloriens sont habitués à l’entraide, sans contrepartie, les objets sont ce qu’ils sont, et il faut bien les trouver. Pas d’argent dans ce royaume, seulement, sous la main noble, une redistribution de tout ce qui est créé dans le pays. 
Ainsi, les différentes provinces et villes redistribuent à l’échelle locale les denrées périssables. On peut venir chercher tout le nécessaire, autant que voulu, dans des lieux de vie fréquentés, dans les châteaux ou des entrepôts, ou demander à ce qu’il soit apporté directement devant sa porte, lors de tournées de livraisons. 
Les autres productions suivent le même système, mais à l’échelle nationale, transitant par la capitale, Grehatiel, Tergham, la ville-grenier, ou les entrepôts de Clerveil. Ainsi, on fait circuler les spécialités d’autres provinces, autant qu’on organise l’export à l’international.
Il est possible, en temps de guerre ou de disette, que certains éléments soient rationnés. La chose n’est pas arrivée depuis bien des siècles maintenant, mais si la situation venait à se présenter de nouveau, les aliments, ou objets seraient déposés à chaque habitant de façon équitable, selon leurs besoins, quel que soit leur apport à la communauté, qui n’est, de toute façon, pas mesuré.
Quant aux logements, il suffit d’en faire la demande. Dans les villes, il y a souvent assez de logements vacants pour que ceux-ci soient accordés de façon immédiate, en fonction des demandes de chacun. Dans certains villages, ou si la chose n’est pas immédiatement possible, la communauté mettra en œuvre ce qui est possible pour répondre à la demande, créer de nouveaux lieux de vie pour que chacun ait le toit désiré.  
créer, mettre la main à la pâte. 
Qu’on se décide à travailler la terre, fabriquer des meubles, à être d’une tournée de livraisons, à peindre ou soigner, autant qu’à devenir verrier, le système est similaire. Il suffit de signaler son envie de participer à la vie de la communauté, à la vie du royaume, et d’ajouter son nom à la liste pour faire ce qui peut intéresser. 
Si aucune obligation d’inscription n’existe, il est très mal vu d’ajouter son nom pour ne jamais venir, sans la moindre excuse. La parole, le devoir sont autant de choses chères aux Lothaloriens, autant de choses qu’ils cherchent à tenir. Et si certains vivront leur vie de leur côté, grande majorité viendront mettre la main à la pate, que ce soit pour aider, pour s’occuper les mains ou pour faire ce qu’ils aiment. Une certaine idée du collectif qui leur colle à la peau.
Certains choisiront de rester toute leur vie dans le même domaine, y formeront d’autres, de nouveaux arrivants, devenant autant de spécialistes. D’autres papillonneront, allant aider là ou le vent les porteront, emmagasinant bien des connaissances. Peu importe qu’ils suivent les annonces décrivant certains besoins, encore une fois gérés par les mains nobles, ou simplement leurs envies. Des motivations diverses, qu’on soit animé par l’envie de découvrir ou l’envie d’être utile aux autres. Et personne n’est jugé s’il ne peut pas, et aucun travail n’est vu comme ayant moins de valeur, qu’on parle d’art ou de manufacture.
Le volume de travail, comme le domaine, comme le rythme, est lui aussi, choisi par ceux qui se portent volontaire pour donner du leur. Par les travailleurs. Ils produisent ce qu’ils veulent, ce qu’ils peuvent, et s’il est possible de leur faire des requêtes spécifiques, d’inventer, ou de créer, en collaborant avec ceux-là, ce sont bel et bien eux qui choisiront dans quels temps ils réaliseront ces idées, s’ils choisissent même d’y travailler.
A Lothalor, on prend simplement soin de son prochain, autant que de son présent. Il est d’usage d’aider, sans rien attendre en retour. Quelque chose d’ancré dans les mœurs, tant la communauté, collectivement, rend en mille ce qu’on peut donner individuellement. 
éducation.
L’éducation est considérée comme des plus importantes, et son accès ne s’arrête pas une fois arrivé à l’âge adulte. Les lieux de culture sont ouverts à tous, comme les lieux d’éducation. 
Entre quatre et seize ans, les enfants doivent se rendre dans des écoles, les plus proches de chez eux. Des structures simples, ou l’on créé des groupes par niveau, non pas par âge. On y apprend d’abord la lecture, l’écriture, la langue Apadrie, le calcul, le système civil et civique, comme un socle commun. Et pas question qu’un adulte se retrouve face à vingt ou trente petits élèves, ces groupes seront composés de trois à cinq élèves au maximum. Si certains y dédient leur vie, ou une partie de leur vie, on encourage les parents à venir participer à l’éducation de leurs enfants, au moins de temps en temps, pour transmettre leurs savoirs, autant aux leurs qu’à ceux des autres.
Une fois ce socle commun acquis, le savoir devient plus larges, et l’enseignement plus horizontal. On s’appuie sur des livres, sur des œuvres, autant que sur les travaux manuels ou sur l’artisanat, en laissant enfants et adolescents se pencher vers ce qui les intéressent le plus, chaque jour, les encourageant à diversifier leur socle de connaissance. Les adultes ne composent plus de groupes, ils les composent eux-mêmes, sous certains regards bienveillants, pour répondre à leurs questions, mais à partir de ce moment, c’est à eux de mener la danse.
Les bibliothèques et les galeries sont des lieux de partage, ouverts à tous. Que ceux-ci soient des bâtiments à part entière dans des villes, ou des pièces dans les châteaux, ils se doivent d’être ouverts au peuple à toute heure du jour ou de la nuit. La même chose s’applique aux théâtres, ou l’on demandera juste à chacun de s’inscrire par avance pour assister à une représentation.
cellules familiales.
Si la cellule familiale nucléaire, ou chacun élève ses enfants avant qu’ils ne prennent leur envol d’eux-mêmes est assez commune, à Lothalor comme dans le reste du monde, elle peut quand même varier. Le format hétérosexuel n’est pas plus normalisé qu’un autre, et si les mariages nobles, pour se conformer à certaines doctrines générales dans le monde se font entre deux personnes et sont supposément exclusifs ( mais ont tendance à être plus traités comme des accords commerciaux que comme des mariages à proprement dit ), il n’est pas rare de voir des relations entre plus de deux adultes côté peuple, leurs unions étant définies par eux, par leurs besoins, plus que par des règles préétablies.
Les anciens auront tendance à pouvoir garder leur indépendance assez longtemps, grâce à l’aide de la communauté. Des bâtiments leurs permettant de se retrouver, et de vivre ensemble sont également dédiés à ceux qui le désirent, même s’ils ressemblent à tout sauf à des mouroirs, parfaitement ouverts sur le monde. Il est très mal vu de laisser ses aïeux sans nouvelles, ou dans la moindre solitude, les liens communautaires découlant des liens familiaux, et d’un certain respect des racines de chacun. Mais il ne sont jamais vraiment seuls, tant tous les plus vieux sont considérés comme la responsabilité de tous, et pas seulement celle de leurs enfants.
un refuge.
Lothalor est un pays ou l’art, autant que la science, ont leur libertés. La chose a pu mener à des avancées autant qu’à des débats importants, au fil de l’histoire du royaume. Ce n’est pas le cas partout, comme d’autres royaumes n’acceptent pas forcément la contradiction politique. Et ce royaume-là a bien une tradition, qui semble rester toujours - celle d’accueillir ceux qu’on a pas voulu, ceux qu’on a chassé, ou persécuté. 
De lieu perdu sous les eaux à véritable Nation, les légendes le disent clairement : ce qui a fait la différence fut les bras ouverts de Briséis aux Apadries, peuple marin chassé de partout. Et la tradition subsiste, et aura fait grandir le peuple au fil des siècles. Les Lothaloriens ont beau avoir leur idéologie, ont beau pouvoir, parfois, se montrer obtus face à la logique capitaliste ou à ce qu’ils ne connaissent pas, ils sont ouverts aux autres peuples, aux autres gens, aux nouveaux arrivants, traités comme les plus anciennes familles du cru, et gagnant, dès leur demande citoyenne faite, les mêmes droits.
Il arrive bien souvent que ceux dont on ne veut plus ailleurs, ceux qu’on peut rechercher, ceux qui ne plaisent plus décident de laisser derrière eux leurs anciennes vies pour en commencer de nouvelles ici. Laisser derrière eux leurs biens, pour se faire à et se fondre dans cet amas de communautés. Ce n’est pas à Lothalor qu’on leur reprochera d’avoir parlé contre quelque noblesse que ce soit, tant chaque plainte est écoutée. Un tremplin, une nouvelle chance pour autant de possibles, si tant est que l’on soit près à laisser derrière soi ses anciennes propriétés.
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lothalor · 4 years ago
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hello et bienvenue dans ce premier bulletin des marées, ou vous trouverez quelques nouvelles du projet toutes les deux semaines, ou plus, si je me retrouve avec un nombre surprenant de nouvelles pour vous.
côté forum.
la création du forum avance à son rythme, tranquille, sans vagues. sur les sept annexes principales, cinq sont prêtes à être postées, une doit être relue, et la dernière doit être rédigée, mais je commence à avoir ma réserve. vous pourrez les retrouver sur ce tumblr au fil des semaines, au rythme d’une par semaine. je ferais au mieux pour vous nourrir aussi, entre deux de ces posts conséquents côté informations, de quelques légendes, de petites moodboards, et d’informations à consommer en mode ‘bouchées’, quelques lignes sur des traditions ou des idées, histoire que vous ayiez de nouvelles choses sur le tumblr assez régulièrement pour vous faire attendre jusqu’à l’ouverture du forum. 
je travaille actuellement aux premiers schémas du futur design du forum, que j’espère présenter très vite à @code-lab & @bigbadwxlf - une équipe de choc qui va m’aider à mettre tout ceci sur pied, et je ne peux que les en remercier. ( oui, parce que si ca avait été que moi, je crois que vous seriez pas sortis de l’auberge ). 
côté discord.
le ciel est clair, sans nuages, et la mer calme. aucun naufrage à l’horizon, alors que nous sommes maintenant dix sur le discord. une petite communauté assez calme, mais un endroit bien sympa si vous voulez parler ou que vous avez des questions sur le forum à venir. certains commencent à avoir des idées de personnages bien ancrés, d’autres se laissent porter par les ondes. n’hésitez pas à nous rejoindre par ici si l’envie vous en prend ! 
en plus d’infos en avant-première, d’un brouillon de carte vraiment pas joli, et de boards pinterest, une section ‘question of the day’ a été lancée, histoire de pouvoir lancer la discussion de temps à autre - qu’on parle forum en lui-même ou inspiration. il y a même déjà un petit coin worldbuilding qui n’attends que vous. puis - on parlait de ces annexes qui seront postées une fois par semaine plus haut ? petit vote dans le channel #annonces pour décider de quel jour elles sortiront ! 
côté tumblr.
un contexte, une annexe très explicative, une légende, un moodboard, tout commence à se remplir, doucement mais sûrement. n’hésitez surtout pas à vous arrêter dans la boite à questions si vous avez quelque chose à demander !
et je crois que - pour cette première semaine, on a fait le tour ! bonne semaine à vous tous qui lisez, portez vous bien !
rejoignez le discord !
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lothalor · 4 years ago
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AESTHETIC — Diòmha ( lire la légende )
île-phare, île rempart, bioluminescence fantastique, nature sacrée ( ou la nature du sacré ), les vagues qui se lèvent, les chants des âmes, les murmures des amants, l’antre des soupirantes, la naissance d’une Histoire, autant que des histoires, des vœux, une dévotion sans faille. • en savoir plus sur le projet.
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lothalor · 4 years ago
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En ouvrant n’importe quel livre de contes, en écoutant parler n’importe quel conteur, c’est sûrement une légende que vous entendrez, avec autant de mots différents, bien des centaines de fois. Celle de la naissance d’un royaume, il y a de cela un millénaire. Légende fondatrice, qu’est celle de la Déesse Briséis et d’un amour qui défie toutes les lois. Légende fondatrice, liée pour toujours à cette île sacrée, comme un avant poste. Seul endroit ou se produit ce phénomène étrange de bioluminescence qu’on ne retrouve pas sur d’autres berges. L’histoire d’un amour qui a fait taire la Tempête.
Parait-il que les esprits des êtres perdus en mer errent, jusqu'à retrouver leur chez-eux. La légende est aussi vieille que le monde, aussi vieille que les vagues, aussi vieille que l'idée qu'un enfant posé sur une plage ira à compter les grains de sable. Aussi vieille que les Dieux. Ils se perdent, divaguent, au creux de l'écume, se laissent porter par les vents, jusqu'à ce qu'ils puissent retrouver leurs places.
Avant les frontières, avant que les peuples ne se trouvent, déjà, trop d'âmes erraient. C'est que l'écume a toujours porté des radeaux, de rivages en rivages, des explorateurs, des pêcheurs, autant d’hommes et des femmes pour qui tout ceci n'était qu'un mystère de plus. Et plus ces humains conquéraient le monde, plus les Dieux choisissaient de se terrer ailleurs, au creux de falaises inaccessibles, ou au fond des mers. Les surveiller, eux et leurs suppliques, de loin, arriver sur des terres autrefois inhabitées, explorer, vivre, et mourir. Mais ce bout du continent, ces îles vierges d'humanité étaient encore loin d'être habitées. Découvertes.
Pourtant, des âmes en peines les trouvaient parfois. De ces âmes sans endroit à retrouver. Autant que les peuples marins, créatures et Apadries se frayaient un chemin dans ces courants, pour se protéger. Chassées partout, les voilà recueillies dans les baies de ce royaume qu'on appelle aujourd'hui Lothalor. La cour d'une déesse ancienne, Briséis, gardienne des océans, et de ses merveilles. Gardienne de ces terres-là, vides de toute vie, tant que ses tempêtes emporteront bien loin les bateaux, et continueront de battre incessamment le rivage.
Certains pourtant, tentent de se frayer un chemin au travers de ces vagues, au travers du tumulte, au prix de leur vies. Au prix de bien des barges au fond des mers, au prix de bien des âmes qui errent. Et il y en a une qui se perd. Ne trouve pas de chemin pour rentrer. N’en cherche pas vraiment. Et voilà la silhouette d'une jeune femme, juste un esprit, qui élit domicile sur cette île de rien. S'y accroche, parce qu'il n'y a rien pour elle d'où elle vient. Parce qu'il n'y a pas de chez-elle, jusqu'ou ce qu'il reste de son âme pourrait errer. Son amour était la mer, et elle aura pris sa vie.
Sans nulle part ou aller, voilà qu’elle ne suit que le bruit des vagues, jusqu’à cette petite île là, ou elle échoue comme par hasard. Que cette île, au-dessus de l'abri d'un peuple perdu. Le charme d'une pluie qui ne semble jamais s'arrêter, de vagues farouches, de vents incessantes. La nature dans son plus pur élément. Et il y a bien quelqu'un qui prend en pitié ces chants qui résonnent, au fil du zéphyr.
Une déesse qui elle, survit hors des eaux que ne peuvent quitter le peuple dont elle prend soin. Comme elle s'occupe de tous les mal-aimés, de tous les chassés, tant qu'ils ont l'âme libre, et le cœur bon. C'est bien là le travail des dieux, que de faire tourner leurs terres. De les préserver, comme ceux qui y habitent. Et le cœur de cette jeune femme est pur, autant que ses chansons sont belles. Mais il ne bat plus, quand son esprit tombe nez-à-nez avec cette forme-là, au bord de l'eau, sur la plage. La tempête qui semble incessante s'est calmée, et elles se voient. Se trouvent. Elle qui se croyait perdue, pourtant. Elle que l'œil humain n'aurait pu qu'enterrer, son corps au fond des eaux, sans personne pour l’honorer. Elle qui n’est plus qu’une âme perdue.  Mais les Dieux voient ce qu'il reste, voient ceux qui n'ont pas trouvé la paix. Voient le chaos, autant que le beau.
Personne n'était là, personne ne saurait dire pourquoi, comment un acte de pitié, pour ne pas laisser une âme se perdre seule s'est transformé en un amour sincère. Comment les éléments, qui semblaient vouloir séparer ces lieux du reste du monde ont décidé de se calmer. Comment une âme errante a trouvé dans ce présent bien tangible un chez-elle.
Parait-il que l'âme de cette marin vit toujours là, qu’elle y a trouvé sa dernière demeure. Qu'elle a trouvé la paix, qu'elle est le cœur qui bat au creux des terres, qu'on l'entend encore chanter, au puit sans fond. Que c'est la pureté de cette âme, qui a calmé les tempêtes. Sa moitié, son amante, sa divine maitresse, elle, reparut pour donner naissance à un enfant bien étrange, et disparaitre. Transformée en écume, rejoindre les terres, on ne saurait trop dire. Mais les Dieux ne donnent pas naissance. Ne le devraient pas, du moins, autant qu'ils ne peuvent ressusciter les morts. La vie est hors de leur portée, si eux veulent rester toujours. Au jour de sa disparition, pourtant, s’est passé une chose étrange, sur cette île-là. Diòmha, qu’on dit, aujourd’hui. Les ruisseaux, les plantes, les fleurs se sont mises à briller. Une lueur si particulière, qui la place comme un phare bien étrange, à l’entrée de ce pays là. Une île comme la gardienne d’une baie, sur laquelle on osera jamais construire quoi que ce soit. L’île ou reposent âmes, et ancêtres. Diòmha, ou l’on célèbre amour et sacrifice.
Puis il y a bien cet enfant qui grandit. Laissé à la garde d’un peuple à la merci des prochains explorateurs, maintenant. Cet enfant qui sourit, cet enfant étrange, attiré par le rivage. Que l’on tente bien de garder sous les mers mais qui, au jour de ses seize ans, pose un pied sur le sable, pour ne pas se retourner. Toujours, il gardera une main à l’écume salée. Jamais il n’oubliera Diòmha, les eaux, et les autres îles. Et de son peuple des mers, certains apprennent à le suivre. Prennent la main sur ces terres sauvages, encore, sur ces côtes que nous connaissons maintenant. Posent une couronne de coquillages sur ses boucles. Voilà donc la légende de Gaol, ce premier roi, descendu des Dieux et des éléments, descendu des femmes et des Morts, miraculeux enfant des vagues, et de ce qu’elles confisquent. Un homme juste, pour ces deux peuples, sur la mer ou la terre, qui au fond, tant que Lothalor vivra, ne seront qu’un.
On se souvient de lui, on se souvient de Briséis et de son exploratrice bien souvent. Lors des fêtes des Écumes, ou l’on vient jusqu’à Diòmha de partout, célébrer ce que nous apportent les océans, célébrer le futur, et l’amour, sans lequel, peut-être, la tempête ne se serait jamais levée. Quand on y vient se souvenir de ses âmes perdues. On s’en souvient quand ses descendants font le vœux de suivre ses pas, de protéger ce havre de paix bien étrange, de protéger ce peuple uni, malgré ses différences. Ou ils font bien le vœu d’être au service de leur peuple, et non  l’inverse. Qui sait ce qui se passerait si cet amour ancien, cette affection entre la population et la royauté venait à se briser ? Peut-être la Tempête reprendrait-elle, Briséis et sa douce déçues.
Et sur cette île, on vient souvent confesser un amour, ou le professer devant les Dieux. Longtemps, avant les Pays, avant les ors, avant les mariages sur papier ressemblant affreusement à des accords commerciaux, c’était bien ici que tout se faisait. Sur cette plage ou l’on dit que les deux âmes se sont trouvées et qu’elles approuvaient de voir toujours, leurs enfants continuer à s’unir pour avancer, main dans la main.
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lothalor · 4 years ago
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Par définition, tout forum, ou toute expérience de roleplay est participative. Chacun va ajouter sa pierre à l’édifice, par le biais de son personnage, de son vécu, de ses écrits, en s’inscrivant dans une trame donnée par l’administration, ou ce qu’on appelle dans le jeu de rôle sur table des maîtres du jeu. Mais il faut se rendre à l’évidence - l’imagination d’une personne, ou d’une équipe est-elle assez quand notre toile vierge est un univers entier ? 
Lothalor, c’est un royaume. Mais un royaume auquel on donne approximativement un millénaire d’histoire. Un millénaire, c’est quelques évènements fondateurs, mais bon nombre d’évènements mineurs. Et un royaume, c’est seulement une partie moindre d’un monde, voire d’un univers. Et si on ne va pas partir tout de suite du côté de l’exploration spatiale, entre les océans et les siècles, il y a de quoi faire pour que chaque personne volontaire puisse apporter sa pierre à l’édifice. Bien entendu, la participation à cette création de monde ne sera pas obligatoire, si vous voulez arriver et mettre vos pieds sous la table en vous appropriant les éléments déjà présents dans les annexes, et uniquement ceux-là, la chose sera plus que possible. Vous aurez à votre disposition les annexes dites majeures, celles sur laquelle se fonde la trame du forum, et même pas besoin d’aller lire plus loin que celles-ci si vous ne voulez pas creuser. Mais pour ceux qui en ont envie, la créations de nouvelles annexes, histoire d’enrichir notre lore, sera possible. 
Ainsi, si par exemple, vous décidez que votre personnage a grandi dans un autre royaume, et que vous voulez laisser à disposition d’autres personnes ce royaume, pour lui donner sa place sur l’échiquier politique mondial au fil des intrigues, ou pour que simplement, d’autres personnes puissent en être originaires, ou connaître ses traditions, sa langue, ou ses dogmes, il vous sera entièrement possible de participer à la création d’une annexe, dite ‘secondaire’ sur ce royaume. L’exemple géographique est sûrement le plus parlant, mais ce système peut s’appliquer à toute chose qui n’est pas déjà fixée. Une nouvelle idée de fonctionnement magique, les fêtes propres à une ville ? Tout peut-être créé, et mis en commun. 
FONCTIONNEMENT.
En plus de catégories ‘classiques’ de gestion de personnage, formulaires divers et variés et autres présentations dans les premières parties du forum, sera présente une catégorie worldbuilding. Oui, on pourrait dire construction de monde, mais admettons que quand même, c’est super moche. Dans cette catégorie, il vous sera possible de mettre au brouillon vos idées quant à l’existence d’un autre royaume, quant à un évènement historique, les traditions spécifiques à une province et à peu près tout ce qui vous passera par la tête, tous les blancs que les annexes pourraient vous donner envie de remplir, afin d’en discuter avec d’autres membres, et de parfaire ces idées.
Que vous ayez envie de créer un point historique, culturel ou folklorique ancré dans ce réel, ou une légende persistante sur la fontaine au fond du jardin de votre personnage qui porterait chance parce qu’un Héros y a posé le pied, une fois, tout est possible. Entre wikipédia d’un nouveau réel, et livre de contes, le but est simplement de regrouper de façon collective des imaginaires, des envies, pour qu’elles deviennent des morceaux à part entière de la culture Lothalorienne, ou universelle. 
Et cette partie du forum sera un espace de création et de discussion, qui pourra mener, en fonction, à des ajouts dans les annexes principales ( qui comprendront ce que chacun doit connaitre ) ou à la créations d’annexes secondaires ( que de futurs membres pourront aller feuilleter pour se perdre dedans, et s’imprégner des détails de l’univers, ou seulement ouvrir s’ils en ont besoin, grâce à un petit système de mots-clés pas piqué des hannetons  ). Pas que les annexes secondaires soient moins importantes, mais chaque personnage, et donc chaque auteur ne sera pas forcément expert en géopolitique mondiale, ou l’agenda de toutes les fêtes de village du pays. On pourras s’y perdre, comme on pourras faire le choix de ne prendre connaissance que de ce qui viendra à concerner notre personnage. 
Ce système sera mis en place sur le forum même dès son ouverture, et, si les choses se passent bien, les invités y auront leur place, pour parler de leurs envies, avant d’arriver, demander si tel ou tel royaume en cours de discussion pourrait être le pays de naissance de leur personnage ou simplement participer à la discussion.
Et avant l’ouverture ? Comme indiqué sur le post d’introduction, nous avons un joli discord, que vous pouvez rejoindre ici si l’envie vous en prend, à n’importe quel stade de l’aventure. Il y a dedans, déjà, un channel #worldbuilding, ou la discussion est d’ores et déjà autorisée, quoi que je vous encourage d’attendre un peu la suite des annexes dites ‘principales’ pour quelques éclaircissements avant d’y aller. Mais attendez-vous à y trouver aussi des questions et autres petits sondages, ayant pour but de prendre en compte et d’intégrer vos envies, ou des détails qui pourraient vous passer par la tête à la lecture des annexes, et des teasers. 
Puis, créer ensemble, ça créé du lien. Entre nous, auteurs, et aussi entre nos personnages. Qui sait si deux expatriés d’un royaume voisin ne pourraient pas avoir vécu la même guerre, en plus de partager des traditions ? Si une bande d’artistes passionnés n’est pas à un cheveu de se lancer dans l’écriture et l’enluminure d’un recueil de légendes ? Si cette fête qu’on aura passé du temps à broder ne pourrait pas devenir un excellent sujet à plusieurs ? Un monde complet, c’est autant d’occasions d’enrichir ses personnages que ce soit de connaissances ou de rencontres.
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lothalor · 4 years ago
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Bonjour, Je voulais savoir, est-ce que cela se passe dans notre monde? J'avoue que c'est flou, ceux qui peuvent venir sont des gens commentoi et moi? Bon courage pour ton projet.
hello hello! alors, les infos à propos du système de worldbuilding participatif risquent de clarifier un peu tout ceci, du moins je l'espère - mais non, on pars sur l'idée d'un monde inventé, avec des relents de fantasy. je ne voulais pas ancrer le forum dans une période historique précise de notre monde, ou des évènements historiques précis, histoire de ne pas aller à brider la créativité de qui que ce soit, et accessoirement, de trouver un échappatoire plus complet au réel, ce qui est quand même sympa de temps en temps.
en faire une uchronie m'est bien passé par le tête, mais il aurait fallu placer lothalor à un point historique donné, à un endroit géographique donné (par rapport au vrai monde), ce qui n'est pas quelque chose qui m'attirait tant que cela, personnellement, quand on peut jouer à mixer les esthétiques et les évènements météorologiques. ceci dit, bien que le monde autour de ce royaume ne soit pas une version étrangère du notre, plutôt une page blanche, il y en aura forcément quelques échos, étant donné que lothalor est vraiment présenté comme une anomalie face à d'autres pays, voisins ou pas, qui ont des systèmes politiques et économiques moins utopiques que celui-ci, et qui se rapprocheront peut-être plus de notre vrai monde historique, voire de celui qu'on connait aujourd'hui. imaginer qu'un pays voisin est plus géré par ses plus grands commerciaux que par sa couronne, qui auraient mis en place un système de collecte de données important, c'est entièrement possible - par exemple.
mais il n'empêche que la plupart des gens qui vivent à lothalor sont comme toi et moi, des humains, avec deux bras, deux jambes, leurs mains, leur force de travail et une âme (c'est mieux). des êtres magiques sont une potentialité qu'on explorera bientôt, comme les apadries, qui seront une partie du peuple toute aussi jouable, mais je pense qu'on peut partir du principe que grande majorité des lothaloriens, qu'ils y soient nés, ou qu'ils en soient devenus citoyens après y avoir trouvé refuge vont être humains.
et merci à toi pour cette question!
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lothalor · 4 years ago
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SAFE LANDING. un projet fantasy original et collaboratif.
PLAY. 
Lothalor, c’est un royaume. Safe landing, c’est un futur forum rpg, en francais, sur forumactif. Oui, je précise, parce qu’il faut bien admettre que je sais pas trop par ou prendre ce post pour ce petit projet qui me tient très à cœur, histoire de partager avec vous un monde qui se construit dans ma tête depuis plus d’un an maintenant, et qui, je l’espère, deviendra votre parfait bac à sable, autant que le mien. Inspiré par une surconsommation de sea shanties, un amour tout particulier pour l’esthétique de la mer et l’envie d’explorer un système économique et politique bien loin de notre capitalisme habituel, et plus utopique, peut-être, que ce que les médias ont tendance à nous proposer. Quelque chose de solaire, de salé, de mélancolique, parfois, un royaume pour se ressourcer dans un monde complexe - mais un monde autour aussi vierge qu’une toile, que chacun pourra s’approprier pour le faire grandir, et le rendre plus vivant.
contexte.
Par delà les océans, il est un royaume dont le nom est synonyme de légendes, dont le nom est synonyme de refuge. Par delà les mers, il est un peuple, peut-être deux, et l’harmonie pour les unir. On y prête des serments qu’on tient, de sous les vagues aux creux des sources, des rivages aux berges d’une frontière aqueuse. Pour ne pas voir la Tempête revenir. Autant de mythes que de rumeurs, sur ces navires qui régissent les mers du monde, et qui pourtant, n’appartiennent à personne d’autre qu’à une couronne, protégée des mers, au service des hommes. • EN LIRE PLUS
Pour résumer, en un peu moins de poésie, Lothalor est un royaume côtier, avec des relations complexes à la magie, autant qu’aux pays voisins - pour la simple et bonne raison qu’il fonctionne selon un système politique et économique de redistribution. Avec ses légendes, et ses croyances, il détonne dans son monde, bien qu’il ait la mainmise sur les océans. Vous pourrez y jouer des humains, ou des Apadries, qui évolueront sur les terres, ou sous les mers, des nobles, investis dans la politique du pays, au service de celui-ci, ou des roturiers, dont la vie sera plus libre, quoi qu’ils auront forcément aussi leur influence sur les avancées du pays. Ce système très bac à sable, qui ratisse large, vous permettra d’explorer ce qui vous intéressera le plus, du plus intime, au plus politique, de l’histoire d’un nouveau citoyen qui s’habitue à une nouvelle doctrine, à une nouvelle façon de voir le monde, à celle d’un noble pour qui les mariages ne peuvent être que de convenance, qui n’imaginerait pas trahir ou renoncer à ses voeux. 
Chaque décision, chaque avancée de l’intrigue sera définie par les membres, par leurs décisions, ainsi que celles de leurs personnages, comme toute la construction du monde, que j’espère participative. Mais pour plus d’infos là-dessus, stay tuned, on en discute demain. N’hésitez donc pas à suivre le tumblr 👀 pour les infos, et les annexes à venir. 
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lothalor · 4 years ago
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Par delà les océans, il est un royaume dont le nom est synonyme de légendes, dont le nom est synonyme de refuge. Par delà les mers, il est un peuple, peut-être deux, et l’harmonie pour les unir. On y prête des serments qu’on tient, de sous les vagues aux creux des sources, des rivages aux berges d’une frontière aqueuse. Pour ne pas voir la Tempête revenir. Autant de mythes que de rumeurs, sur ces navires qui régissent les mers du monde, et qui pourtant, n’appartiennent à personne d’autre qu’à une couronne, protégée des mers, au service des hommes.
On ne se souvient plus vraiment du commencement de cette histoire, du royaume de Lothalor. Les légendes subsistent, celles du peuple, celles qui sont l’histoire de la royauté. Descendants de Gaol, il est de leur devoir de prendre soin de leur peuple. Pas l’inverse, jamais. Il est de leur devoir de faire en sorte que la Tempête ne puisse plus jamais s’abattre sur leurs terres, qu’elle ne soit plus nécessaire pour protéger les criques habitées par les Apadries. Peuple des eaux complémentaire à celui qu’on retrouve sur les berges, dans les terres. Car les deux peuples, qu’ils respirent eau ou oxygène ne sont qu’un, ici, que l’endroit ou l’on vivra, ou l’on fera sa vie est un choix que chacun peut faire, aux cascades, à ses seize ans. Et l’endroit qui était d’abord un havre de paix pour ce peuple-ci, chassé de partout il y a bien un millénaire de cela est devenu, au fil des ans, au fil des rois et des reines, un royaume comme un refuge.
Chacun peut y trouver sa place, chaque affamé, chaque oublié, à condition de laisser derrière soi toute propriété. Chacun ici, sous la coupe de la dynastie, sous le regard des eaux, reçoit autant que son voisin. Et si les murs sont érigés bien haut, entre noblesse et peuple, ils craquellent avec le temps. Les symboles sont là pour se donner bonne figure, après tout, face à un monde ou l’on mesure la grandeur d’une nation à la richesse de sa noblesse. Et ils font tâche, dans ce monde-là. Ils font tâche, avec ce peuple drapé dans les soieries les plus fines, qu’on ne distinguerait pas de ses régents sans quelques murs, sans quelques interdits. Chacun ici, peut vivre en paix, trouver sa voix, ou n’en trouver aucune. C’est qu’on prend soin de son prochain, pour préserver l’harmonie. De ceux qui peuvent, de ceux qui veulent, et de ceux qui fatiguent, de ceux qui flottent à peine, tant la valeur d’une vie est la valeur d’une vie, égale en tout à celle d’une autre.
Point d’argent ici, seulement, derrière ces frontières-là, une toute autre façon de penser que celle des peuples conquérants, que celle des peuples belliqueux. Il n’est pas question de se nourrir de sang, que de perdre ses gens sur le champ de bataille au nom d’un nom royal à faire briller. Point de réputation guerrière, mais une politique bien connue, de par les mers ou ils semblent toujours souverains, les Lothaloriens. Ici, on ne mesurera les succès d’un régent que par le respect de ses vœux, que par son dévouement à ses gens. Le mot est valable pour chaque personne titrée, parfaitement à sa place. Ce n’est qu’en respectant ceci que l’on maintient l’équilibre. Et aucune ambition singulière, aucune avarice ne saura s’exprimer. C’est qu’après tout, ce que les Dieux ont donné, ils peuvent toujours reprendre, et les eaux engloutir de nouveau tout ce qui a été bâti.
Alors on vit. De politique, de mariages, de commerce, au nom de tous, au nom d’un peuple. De célébrations précieuses autant que de bals sur les plages, de sources ou l’on nage autant que de bateaux qui sombrent, pour que ceux du royaume arrivent à bon port. On vit, et sans guerre, sans argent, sans magie, la dévotion n’est que pour les Dieux, que pour le peuple, que pour la communauté. On vit, à construire un refuge qui accueille jour après jour plus d’âmes, comme autant d’histoires pour n’en former plus qu’une.
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