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Séance 11: Médias numériques et démocratie
Le 15 décembre 2016, Julie Garrigues (Citizen Lab. En ligne. https://www.citizenlab.co/blog/participation-citoyenne/3-methodes-pour-combiner-la-participation-citoyenne-en-ligne-et-hors-ligne/) partagea un texte au sujet de la participation citoyenne. Son œuvre avait pour titre : 3 méthodes pour combiner la participation citoyenne en ligne et hors ligne. Comme le souligne l’auteure, la progression monstre de l’Internet et des médias numériques a changé drastiquement la façon dont les gens communiquent entre eux. Les particuliers tout comme les entreprises ont du adapter leurs techniques de communication. Les plateformes en ligne peuvent désormais, sans contredire, accentuer la participation citoyenne. Elles permettent d’engager de plus en plus les citoyens. Toute plateforme en ligne procure une flexibilité au citoyen et une accessibilité peu onéreuse, ainsi qu’une ouverture pour tous. Madame Garrigues ajoutait que : « sur une plateforme en ligne, un citoyen qui s’intéresse à un projet spécifique, tel que la construction d’une piscine municipale dans son quartier, peut se rendre sur la page de celui-ci depuis chez lui pour accéder à toutes les informations » (15 décembre 2016. Citizen Lab). Passons en revue rapidement les 3 méthodes proposer par madame Garrigues. 1- L’accès Wi-Fi et l’utilisation des hastags ; 2- La diffusion en direct en ligne de vidéos lors d’évènements ; 3- Débats en ligne d’idées proposées à différents évènements. Tout cela pour dire que les moyens désormais employés pour augmenter la participation des citoyens (nes) vise à créer un plus grand sentiment de communauté. Les citoyens (nes) peuvent aujourd’hui y aller de propositions, de commentaires et également voter pour des idées mises en place par les instances de pouvoir. Bref, la participation citoyenne témoigne bien d’un bon système démocratique.
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Séance 10: (S’) Informer à l’ère de Google et des médias sociaux

Puisque nous sommes désormais plongés dans une ère marquée par le moteur de recherche de Google et par les médias sociaux, il y a un concept qui prend de l’ampleur de plus en plus, soit celui du journalisme citoyen. Dans un article publié le 14 mars dernier par Radio-Canada (Quand le journalisme citoyen vient « combler le vide ». En ligne. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1022240/page-facebook-vide-couverture-juridique), nous sommes en mesure de constater l’importance que peut jouer ce phénomène de société. À ce sujet, Maurice Ali, président fondateur de l’Association internationale de journalistes indépendants a dit « croire au jour où les journalistes citoyens et les médias traditionnels collaboreront et arriveront à offrir un service complémentaire à la population ». Il ajoutait d’ailleurs ce qui suit : « Les deux entités peuvent travailler ensemble et éventuellement arriver un jour à établir une relation symbolique où de bonnes histoires provenant de journalistes citoyens seront diffusées dans les grands médias ». Un second intervenant dans cet article de Radio-Canada est monsieur Brent Jolly, directeur des communications chez National NewsMedia Council. Selon lui, « ce phénomène [journalisme citoyen] est en partie dû au virage numérique que certaines grandes institutions n’ont pas su prendre à temps ou encore y parviennent lentement ». De plus, comme le souligne l’auteur de l’article, monsieur Jolly se dit « conscient de cette réalité bien implantée à travers le pays ». Dans le même ordre d’idées, il était d’avis « qu’il y a un rôle possible pour les journalistes citoyens, mais il n’est pas totalement défini […] ». Pour cette raison, il est important que monsieur et madame tout le monde soit aux aguets et vérifie la validité de l’information puisque désormais il y a une abondance d’informations qui parfois rend difficile la tâche de distinguer le vrai du faux.
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Culture 2.0 - la revanche de l’amateur
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La notion de « mème » s’avère un concept plutôt particulier. De plus en plus sur le web, nous en entendons parler sans toutefois s’intéresser à sa réelle signification… De quoi s’agit-il vraiment ? En fait, le « mème » peut être perçu comme un phénomène de variation et de transformation d’un sujet à partir d’un autre qui le précède (Pour introduire la notion de « même ». En ligne. http://mooc2015.politechnicart.net/memeculture/page-d-exemple/pour-introduire-la-notion-de-meme-2/). À ce sujet, une référence importante est celle de Dawkins qui inventa cette notion dans son ouvrage « La gène égoiste « parue en 1976. Cet auteur a puisé dans le vocabulaire grec et sélectionna le mot « mimene » qui signifie « ce qui est imité » (Ibid.). Il faut saisir que si le « mème » est puissant, il peut aisément se diffuser de façon virale sur le web via les moyens de communication populaires comme les courriels et les réseaux sociaux. Désormais, le « mème » est donc étroitement lié aux nouvelles technologies et au progrès des médias numériques. C’est grâce à ces technologies si ces « mèmes » sont repris et diffusés de façon virale. D’ailleurs, comme il est possible de le constater si on y porte bien attention sur le web, les « mèmes » misent sur un caractère comique, humoristique, ironique ou parodique et se déclinent sous la forme d’images, de vidéos, de phrases ou de mots par exemple (Ibid.). Essayons d’illustrer ce concept de « même » avec un exemple : dans la vidéo qu’il est possible de consulter plus haut, on constate que cet extrait est une déclinaison presque similaire de la publicité de Dos Equis, l’homme le plus intéressant au monde. Dans ce cas-ci, il s’agit du même concept qui a été parodié avec la formule « L’homme le plus ridicule au monde » pour faire la promotion du produit de Vitamin Water.
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L’éthique des réseaux

L’auteur Steven Levy est à la source d’un ouvrage intitulé L’Éthique des hackers paru pour une première fois en 1984. En faisant de brèves recherches sur le sujet, j’ai découvert des éléments fascinants. Tout d’abord, il est à préciser que « un «hacker» n'est pas un vulgaire «pirate informatique». Un hacker est un «bricoleur de code». Son truc : plonger dans les entrailles de la machine » (20 minutes.fr. Accueil – Livres. 2013. En ligne. http://www.20minutes.fr/livres/1165621-20130611-20130531-l-ethique-hackers-steven-levy-chez-globe-paris-france Consulté le 20 février 2017). J’ai été aussi surpris d’apprendre que des figures emblématiques de l’informatique et du numérique telles que Bill Gates, Steve Jobs, Steve Wozniak et Mark Zuckerberg avaient tous débuté leurs carrières respectives comme hackers. De plus, ce que Steven Levy caractérise comme l’Éthique des hackers peut être résumée par ces lignes : « La plupart [les hackers] ne paient pas de mine mais tous partagent une même philosophie, une idée simple et élégante comme la logique qui gouverne l'informatique : l'ouverture, le partage, le refus de l'autorité et la nécessité d'agir par soi-même, quoi qu'il en coûte, pour changer le monde ». Selon Levy il s’agit en quelque sorte « d’une morale qui ne s'est pas exprimée dans un pesant manifeste, mais que les hackers authentiques ont mise en pratique dans leur vie quotidienne. Ce sont eux qui ont oeuvré, dans l'obscurité, à la mise en marche de la révolution informatique ». En terminant, je tiens à mentionner que bien que je ne sois pas un « callé » d’informatique… ces quelques lignes quant à l’œuvre de Steven Levy ont su piquer ma curiosité.
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La vie privée au temps de Facebook

Avec l’essor plus qu’impressionnant de Facebook, qui a mis fin au système de « chat » MSN, une inquiétude bien particulière refait constamment surface… Quant est-il de ma vie privée sur cette plateforme ? Martin Lessard de Radio-Canada a rédigé un texte plus qu’intéressant quant à cette problématique en établissant une comparaison avec l’application Snapchat (28 juillet 2016. Jusqu’où ira Facebook ? http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/795325/jusqu-ou-facebook). Comme le souligne monsieur Lessard, « la menace de Snapchat pour Facebook tient au fait que cette plateforme se positionne à l'opposé des principes de [Mark] Zuckerberg, qui croit à la transparence totale et la « fin de la vie privée » ». Il est également à noter que le fait suivant est soulevé : « Snapchat promet la discrétion totale en effaçant tout après 24 heures, alors que Facebook se vante de tout conserver (et ne se prive pas régulièrement de vous repasser un palmarès de vos publications passées) ». Martin Lessard réitérait également que « dans un tel contexte, l'espace privé serait alors la chasse gardée de Snapchat. Pour Facebook, c'était pourtant à l'origine au coeur de tout son système. Si Facebook a une limite, elle sera peut-être là ».
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L’identité dans un monde d’avatars

Les médias numériques jouent un rôle considérable dans la construction et la présentation de soi. À ce sujet, sur ces plateformes nous parlons désormais du concept « d’identité numérique ». Quant est-il alors vraiment de ce concept et comment faire pour bien maitriser son identité numérique. Comme le souligne si bien Olivier Ertzscheid dans son ouvrage « Qu’est-ce que l’identité numérique ? » (2013. P.13 à 27. http://books.openedition.org/oep/405?lang=fr): « L’identité numérique est constituée de la somme des traces numériques se rapportant à un individu ou à une collectivité : des traces « profilaires » correspondant à ce que je dis de moi (qui suis-je ?) ; des traces « navigationnelles » qui renseignent sur les sites que je fréquente et sur lesquels je commente ou j’achète (comment je me comporte) ; enfin des traces inscriptibles et déclaratives [...]. […] l’identité numérique peut être définie comme la collection des traces (écrits, contenus audios ou vidéos, messages sur des forums, identifiants de connexion, etc.) que nous laissons derrière nous, consciemment ou inconsciemment, au fil de nos navigations sur le réseau et le reflet de cet ensemble de traces, tel qu’il apparaît « remixé » par les moteurs de recherche ». De plus, comme le propose Netice (2012. Qu’est-ce que l’identité numérique? http://netice.fr/eportfolio/?p=378) : « Il semble nécessaire de la [l’identité numérique] prendre en main et participer activement à sa construction et sa délimitation pour mieux maitriser les risques et les dérives (délitement de la vie privée, usurpation d’identité, utilisation commerciale ou politique des données de navigation) tout en profitant des avantages et des possibilités qu’elle offre (agrandir et entretenir son réseau, valoriser ses compétences et savoir-faire, etc.) grâce une bonne maitrise des outils [numériques] et des nombreux enjeux que tout cela sous-tend ».
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Sociabilité et “vie en ligne”

Dans le cas de ce blog, je compte me concentrer exclusivement sur les activités du média social Facebook. À ce sujet, il est indéniable que cette plateforme a un effet significatif sur l’établissement des liens sociaux et sur nos rapports entre individus. Comme le souligne Godefroy Dang Nguyen ainsi que Virginie Lethiais dans leur ouvrage « Impact des réseaux sociaux sur la sociabilité : le cas de Facebook (GIS Marsouin) », l’essor des nouvelles technologies numériques telles que le téléphone intelligent créé un « entrelacement » entre les communications directes entre individus et celles en ligne. Ces deux auteurs ont d’ailleurs réalisé une enquête auprès de 2000 internautes de France. Suite à cette enquête, ils ont présenté au sein de leur conclusion que bien que Facebook a permis à plusieurs de reprendre contact avec d’autres, « Facebook renforce l’effet d’isolement géographique » (Godefroy Dang Nguyen & Virginie Lethiais, Impact des réseaux sociaux sur la sociabilité : le cas de Facebook. GIS Marsouin). De ce fait, je serais d’avis que les technologies numériques en réseau jouent sur les deux tableaux. D’un côté, elles permettent d’élargir de façon importante nos différents liens sociaux, mais de l’autre elles transforment nos relations affectives et nos rapports aux autres puisque désormais il est si facile de rejoindre nos êtres chers, nos amis (e) s et nos connaissances en l’espace de quelques secondes. En définitive, la société emboîte alors de plus en plus le pas et mise sur l’utilisation de moyens en ligne afin d’établir leurs rapports sociaux.
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Angoisses et vertiges du numérique

Avec l’évolution croissante des technologies numériques, les entreprises et les individus n’ont jamais été aussi exposés à différentes menaces sur leurs plateformes, que ce soit sur l’ordinateur, sur leur téléphone intelligent ou sur leurs tablettes par exemple. Il peut s’agir de cybercriminalité, de cyberintimidation, de cyberterrorisme ou également de cyberdépendance. Dans le cas de ce blog, je compte traiter exclusivement de la cybersécurité et de la cybercriminalité. D’abord, tel que mentionné par le service de sécurité publique du Gouvernement du Canada, « la cybersécurité fait référence à la protection de l'information numérique et de l'infrastructure qui héberge cette information. La cybersécurité s'attaque aux défis et aux menaces du cyberespace de manière à saisir les avantages et les occasions qui découlent de la vie numérique » (Gouvernement du Canada. (2016). Sécurité et prospérité dans l’ère numérique : Consultation concernant l’approche adoptée par le Canada en matière de cybersécurité. https://www.securitepublique.gc.ca/cnt/rsrcs/pblctns/2016-scrty-prsprty/index-fr.aspx#a19.).
Par surcroît, au sujet du cyberespace, il est désormais indéniable que l’essor des médias numériques et d’Internet est à l’origine d’une évolution inquiétante de la cybercriminalité. Ceci étant, le service de sécurité publique du Canada soulignait qu’il existe deux types de cybercriminalité : « La première se compose des activités criminelles traditionnelles, comme la fraude, le harcèlement et l'exploitation sexuelle, qui sont maintenant commises ou facilitées au moyen d'ordinateurs et de réseaux […]. La deuxième catégorie de cybercriminalité cible la technologie en soi » (Ibid.).
Bien que je définisse rapidement ces concepts, il est important de saisir que face à cette situation, tout utilisateur des technologies numériques se doit d’emboiter le pas et de protéger tout autant que possible ses données et ses informations. Si non, cela pourrait bien être à ses risques et périls.
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Promesses et vertus du numérique
Depuis quelques années, il est devenu indéniable que les médias numériques ont révolutionné le milieu médiatique, et ce, tout en conquérant l’esprit de monsieur ou madame tout le monde. Tel que l’on mentionné Aline Rutily et Bernard Spitz dans leur ouvrage intitulé Les nouveaux enjeux de la révolution numérique (La Revue Hermès no 44, (2006), p.29-32, https://www.cairn.info/revue-hermes-la-revue-2006-1-page-29.htm) « les contenus numériques sont désormais de plus en plus nombreux, accessibles chez soi comme à l’extérieur, consommables sur tous types de supports, enrichis, interactifs et personnalisés. Ils sont commercialisables selon des formules de plus en plus souples et servent efficacement de supports à la publicité et aux formes nouvelles de marketing direct ».
À ce sujet, lorsqu’il est question des différents types de supports, l’individu n’a jamais eu autant l’embarras du choix. Que ce soit à partir d’un téléphone intelligent tel que le iPhone de Apple, à partir d’une tablette de Samsung ou à partir d’un portable Dell, le consommateur peut désormais avoir accès à une tonne d’information, et ce, à la portée de ses doigts. D’ailleurs, dans une entrevue réalisée par le journal La Presse, (Perron, Louis-Samuel. (2016, 15 avril) Les médias numériques détrônent la télévision. http://www.lapresse.ca/arts/medias/201604/14/01-4971449-les-medias-numeriques-detronent-la-television.php) Daniel Giroux, secrétaire général du Centre d'études sur les médias de l’Université Laval déclarait ce qui suit : « Les plus jeunes ont l'idée que l'information devrait être gratuite et facilement accessible n'importe où, n'importe quand. [...] Les médias ont accompagné ce changement dans les habitudes de consultation de l'information et ont offert des contenus adaptés, plus récemment pour les tablettes et les téléphones intelligents […] ». Cette dépendance grandissante pour les médias numériques provenant de la société se veut donc un dur coup pour les médias traditionnels.
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